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Sommaire

- Biographie de l’artiste p.2

- Analyse

1. Un paysage chronologique p.3

2. Songes et rêves, affect de la matière p.4

- Conclusion p.7

- Annexes p.8

1
Biographie
Salvador Dali1 est un artiste connu principalement pour ses travaux picturaux appartenant au
mouvement artistique du Surréalisme2 au XXème siècle. Cependant, sa pratique artiste ne s‘arrête pas
exclusivement au médium de la peinture et prend d’autres formes telles que l’écriture, la performance,
la sculpture, le cinéma ou encore la performance.

Il né le 11 mai 1904 à Figueras, une petite ville au nord de la Catalogne ; plus précisément dans la
région d’Emporda ;. Sa région natale va l’inspirer et l’accompagner tout au long de sa vie artistique et
sera une source inépuisable d’inspiration visible ou non selon les œuvres de l’artiste. C’est en 1922
que Dali intègre une célèbre résidence artistique espagnole pour commencer une formation au sein
de l’Académie Royale des Beaux-Arts de San Fernando.

Trois ans plus tard, il participera sa première exposition solo où il présentera deux huile sur toiles dont ;
Jeune fille à la fenêtre de 1925 (annexe 1, p.8) et Portrait du père de l’artiste de 1925. Ces œuvres
mettent en lumière sa maîtrise quasi parfaite du style de représentation moderne. Dali était un grand
admirateur des peintres de la Renaissance Italiennes, dont Léonard de Vinci ou encore Vermeer. Ce
type de représentation pictural sera présente dans la totalité de l’œuvre de l’artiste. Notons également
que pour le surréalisme prend source dans la figuration et qu’il ne faut pas confondre avec l’art
abstrait. Le surréalisme tire de son sujet des formes et des composition extraites des rêves et des
songes alors que l’art abstrait se libère complétement de toutes les formes de la figuration afin de
construire des images relativement hypnotiques et détachées de toute réalité. C’est d’ailleurs en 1929,
qu’il rejoint le Cercle des Surréaliste ; composé entre autre par André Breton, René Magritte, etc. C’est
grâce à ses nombreuses rencontre que Dali perfectionne sa technique de peinture surréaliste et qu’il
met au point la méthode de la Paranoïaque-critique3. Le surréalisme est une conception du monde
transcendant les rêves et réalité, créant ainsi la parallèle entre l’imaginaire et le réel.

Jusqu’à sa mort l’œuvre de Dali consistera à mettre en place des stratagèmes pour gommer cette
barrière entre les deux mondes, proposant de formes la limite loufoques. Tel que son apparition en
1955 dans une Rolls-Royce pour une conférence à la Sorbonne de Paris intitulé « l’aspect
phénoménologique de la méthode paranoïaque critique », où l’artiste distribue des choux fleurs en
guise de signature… acte de surréaliste pour le lieu mais qui est aussi l’exemple fort d’une pensée très
affirmé. Dali s’éteindre le 23 janvier 1989 à l’âge de 84 dans la ville où il a vu le jour et qui l’a
accompagné à chaque instant. Lieu symbolisant, peut-être, une boucle qui prend définitivement fin.

1
De son vrai nom Salvador Dali i Domèch en Catalan
2
Surréalisme : Courant littéraire et artistique du début du XXème siècle (1917-1960) visant à libérer la création
de toute contrainte et de toute logique, et pouvant utiliser l'absurde et l'irrationnel. L’un de ces plus acteurs
n’est autre que le poète et écrivain André Breton avec la parution de son Manifeste du Surréalisme en 1924.
3
Méthode Paranoïque-critique : consiste à fixer un sujet pendant plusieurs heures provoquant ainsi une sorte
de délire. Permettant l’accès à notre subconscient et à en libérer le potentiel créateur.

2
Analyse
1. Un paysage temporel
Suite à cette courte biographie de l’artiste et ainsi qu’aux éclaircissements apportés sur le
Surréalisme, j’ai décidé de porter mon regard sur l’un de ses objets d’art, dont La persistance de la
mémoire de 1931. Pour réaliser l’analyse ce cette toile, nous procéderons de la manière suivant ; une
première partie identifiera l’œuvre dans sa composition générale, la seconde imposera des focus sur
les éléments qui composent la toile et qui nous permettrons de nous s consacré à une approche plus
analytique, conceptuel et hypothétique de l’œuvre.

(La persistance de la mémoire, 1931, huile sur toile, 24 x 33 cm, Musée d’Art Moderne de New York (Museum
of Modern Art), n° inv. 162.1934.0.)

L’œuvre ne comporte pas de plan à proprement parler permettant de facilité son analyse, mais
quelques éléments permettent d’en déduire qu’il s’agit d’un paysage à caractère tellurique comme
peut l’indiquer la présence d’un bloc de terre, d’une plaque de métal , d’une branche d’arbre sur la
partie gauche de la toile ainsi que celle d’une falaise sur la partie opposé de ces derniers. Remarquons
aussi la présence d’un point d’eau au niveau de la coupe de l’horizon. Horizon qui se retrouve miroité
par l’eau et qui voit son infinité et sa profondeur se décupler provoquant une sensation d’infinité au-
delà de se coucher ou lever de soleil. Sur la partie droite du tableau (annexe 3, p.8) se trouvent trois
montres à gousset. Deux d’entre elles sont posées sur un parallélépipède rectangle tant dis que la
dernière, plus en hauteur, se retrouve perchée au bout d’une branche. Concernant celles qui se situent
sur le volume, on peut noter que l’une d’entre elle mise face contre le sol. Elle de couleur orange qui
tend vers le marron et est recouverte de petites insectes qui semblent être des fourmis. Elles ont peut-
être une signification pour l’artiste qui les a peint, ce pendant il existe tellement de manière et de façon
de conceptualiser la présence de ce type d’insecte que nous nous attarderons pas dessus. L’autre
montre posée juste à côté est quand elle de face et indique une heure précise, soit 11h30, notons la
présence d’une mouche sur celle-ci, située ,quant à elle, prêt du chiffre douze de la montre. La dernière
comme nous l’avons décrit précédemment est située sur une branche. Il est maintenant indispensable
de dire que les deux dernières montres décrites semble couler, ruisseler voir limite de tendre vers une
dislocation.

Autres éléments qui attire notre regard (annexe 4, p.9), c’est la présence d’une forme hybride
semi-organique. Semi-organique dans le sens où l’on discerne des éléments qui peuvent rappeler des
formes organiques, soit celle d’un humain mais qui pourrait aussi ressemble à la croupe d’un cheval.
L’autre aspect, quant à lui non-organique évoque aussi un voile, un linge blanc qui aurait position sur
ce morceau de terre peinte après voir virevolté au grès du vent après plusieurs temps. Concernant la
« humaine », on peut deviner avec facilité qu’il s’agit d’un autoportrait de l’artiste. On discerne très

3
distinctivement son œil, son nez, ainsi que sa langue la composition semble relativement cubique dans
le sens ou le visage de face et de profil se superpose. Au-dessus de ce presque corps, est posé une
quatrième et dernière montre, elle aussi molle. Grâce à tous les éléments précédemment, nous
pouvons en déduire deux choses. La première est que les choix de compositions et de représentations
de l’artiste font émané de l’œuvre un certains surréalisme. Entre les montres molles, la présence d’un
corps vaporeux, ou même celle de la taille des insectes par rapport à la montre, toutes ces brides
d’informations traduisent d’une déformation de la réalité.

Comme indiqué en amont dans ce développement, les surréalistes utilise pour bases des formes
du réelles et les déforment à l’aide de la puissance de l’inconscient et de la créativité, soit le rêve. Il
réalise à partir de cela des formes certes réaliste mais qui ne peuvent « existé » à proprement parlé.
L’autre déduction, serait celle d’une symbolique dite plus générale du tableau. C’est dans les arts en
général et particulièrement dans l’art moderne une œuvre composé d’objets faisant référence à la
chronologie du temps ainsi qu’à l’humain est perçu comme une vanité ou une allégorie du temps
(annexe 5, p.9). Celle-ci serait dédié à son propre créateur soit Dali. Ses songes et ses rêves le feraient-
ils converger vers l’emprunte qu’il laissera ? Vers son trépas ? Ou est-ce qu’il se questionne par rapport
à l’organicité des corps à travers le temps ? Ce qu’il est certain c’est que nous sommes devant une
œuvre qui pourrait se synthétisé en deux mots « Memento Mori4 » mais concernant le récepteur du
message… Mais ces interrogations reste pour le moins personnel, tout n’est que point de vue.

1. Songes et rêves, affect de la matière organique.


Pour cette partie nous reprendrons les éléments phare de la toile soit ; les montres molles ainsi
que l’autoportrait de l’artiste. En les considérants comme les piliers fondateur de ce prochain
développement, nous tenterons de répondre à deux questions. Celles-ci nous permettront de nous
interroger en tant que spectateur et, par la même occasion, d’interroger l’artiste face à son œuvre. La
première sera orientée sur l’inconscient et sur la figuration de celui-ci sur l’écoulement intrinsèque du
temps et prendra la forme de trois mots succincts : songes, rêves ou cauchemar ? Puis rebondir ensuite
sur la question de la matière face au bouleversement dû à la fuite du temps.

Pour questionner les songes, le rêve et le cauchemar. Notons que les trois font appel à
l’inconscient. Plus précisément à l’une des capacités de notre cerveau à nous envoyer un brassage
d’images et d’informations lorsque que nous somme « déconnecté » de la réalité. Attention, il n’est
pas question de dire que nous quittons une réalité pour une autre. Mais plus d’un transfert de réalité
basé sur une réalité propre et distinct. On peut simplifier cela en disant que nous glissons d’un monde
vers un autre ou encore que notre cerveau nous envoi vers un monde dit « parallèle ». Cela reprend
un peu le principe de « la méthode paranoïaque critique » mais d’un point de vue interne et non en
relation avec un sujet observé. Deuxièmement, les mots songes, rêves et cauchemar sont synonyme,
ils questionnent la perception des images que nous recevons lorsque nous dormons. Cette perception
change en fonction des individus, mais en règle générale, les songes font écho à une réflexion interne
lors d’une situation et ceux quel qu’elle soit. Le rêve évoque une pensée agréable, chaleureuse et
rassurante, provoquant des sensation de bien-être. Alors que le cauchemar, qui lui, diamétralement
opposé au rêve, est un lieu d’angoisse, de peur et d’injustice sont de mises. Le dénominateur commun
à ces trois termes est la réalités si l’on exécute une hypothèse de sens en relation avec le sujet, ainsi
que la matérialité de cette réalité. Tout le monde a déjà rêver d’une personne, d’un lieu ou même

4
Memento Mori : nom du latin, issue du médiéval signifiant « souviens-toi que tu es en train de mourir ».

4
d’une situation5 qui lui serait familier. Mais que vaut la friabilité et la fragilité de ces images ? Quelle(s)
partie(s) de son inconscient Dali nous livre-t-il et que en est le sens ? Certainement à sa propre
existence mais se serait complétement réducteur de n’en déduire que cela. Il est fortement possible
qu’il soit question du rapport à la matière dans son sens le plus large. Interroger la matière issue du
subconscient peut paraître titanesque. Toutefois, nous nous focaliserons sur une interprétation assez
sommaire. Elle sera en relation avec les principaux systèmes de pensée de l’artiste.

La matérialité d’un objet ou d’un sujet se caractérise par son volume, les matériaux qui le
constitue, sa couleur, puis viennent des notions liées au touché pour identifier la texture ou encore le
poids de l’objet. Voir éventuellement l’odorat ou encore l’ouïe. Tous ces éléments constituent en
quelque sorte une définition concrète d’un objet et cet ensemble est automatiquement enregistré par
notre cerveau. Symboliquement, la réalité effectue un glissement vers l’inconscient, sans que l’on ne
s’en rende compte. C’est une transposition de l’image. Image qui sera ensuite utilisée pour nous
permettre de nommer ce qui nous entoure mais aussi d’alimenter la rêverie. Néanmoins, l’objet subit
une perte lorsqu’il est utilisé par l’inconscient. Faire appel à la mémoire, c’est surtout faire appel à des
brides de souvenirs qui une fois compacté forme un objet, une image, une sujet. Cette perte peu
desservir l’objet remémoré mais aussi lui donner de nouvelle(s) propriété(s) en fonction des pensées
qui habitent notre inconscient. En prenant l’exemple des montres molles présentent dans l’œuvre que
nous analysons, nous reconnaissons les attributs d’une montre ; sa forme, on devine sa texture, et l’on
connais aussi sa fonction, en l’occurrence nous renseigner du l’heure. Déformées ensuite par les
songes de l’artistes, ces montres ont perdues de leur solidité pour nous apparaitre comme molles.
Cette mollesse évoque une sorte de mouvement de la matière, ce qui iconographiquement pourrait
s’apparenter à la fuite du temps, le fait que nous ne puissions avoir un réel contrôle sur lui. Reste à
savoir si ces montres s’écoulent ou se reconstituent. Mais ceci révèle d’une interprétation personnelle
de l’image et ne peut donc pas être généralisée. En ce qui concerne Dali face à la mollesse des montres,
il s’agirait plus d’un écoulement du temps, d’une prise de conscience complète sur la fugacité et sa
viscosité. Le temps s’écoule sans relâche, sans obstacle, comme l’eau d’une rivière. Bien que le temps
soit une notion inventée, créée et représentée par les êtres humains pour rythmer les jours. Quand
est-il de son impact sur le milieu organique, plus précisément sur la condition humaine ?

Pour ce faire nous allons référé à la représentation du portrait de l’artiste dans sa toile. Petite
parenthèse, la composition du portrait de l’artiste nous est reconnaissable grâce aux attributs de son
visage et notamment grâce à son nez. Pour le reste du visage, nous distinguons l’œil, un cil, une bouche
et sa langue. Toutes ces informations, indique à notre cerveau, inconsciemment, que nous sommes
face à un visage. Mais celui-ci n’en est pas un, il n’est que l’interprétation inconsciente directe de son
possesseur, car n’oublions pas que c’est un autoportrait. Les visages tels que nous les connaissons ne
ressemble pas dans leur généralité à cela. On peut aussi noté que la compositions de ce visage peut
rappeler les codes de représentations des artistes cubiste (là où le profil et la vue de face d’un sujet se
juxtaposent). Dans le cas présent de notre analyse, la concentration de ces attributs lié à la forme
générale de notre sujet, n’a rien d’un visage, mais plus l’apparence d’un hybride, une chose organique,
d’un amas de chair. Notons aussi que la présence de l’une des montres molles sur l’autoportrait de
l’artiste symbolise une pleine conscient de l’affecte du temps sur son propre corps. C’est surement
pour cela qu’il s’est représenté sous les traits d’une forme informe aux attributs mous, victime de la
chronologie du temps.

On peut en traduire que ce choix de représentation serait l’illustration même d’une possible
crainte ou d’une prise de conscience face à la mort, face à l’impact du temps sur notre le monde

5
Je fais référence ici au rêve prémonitoire. Rêve qui interroge notre subconscient face à une situation déjà
vécu ou que nous rencontrerons dans un futur proche.

5
matériel et immatériel. Tout ce qui fait de notre corps, se ramollie, s’affaisse, se disloque pour ne
devenir qu’organique. Les songes de l’artiste dans ce cas précis est assez directe et est transpirant
d’angoisse, ce qui nous touche violement et frontalement. Elle nous pousse à prendre conscience de
la temporalité qui nous entoure, nous transcende avec les répercussions que cela peut entraîner. Il ne
s’agirait donc pas d’une simple représentation propre de l’artiste mais d’un allégorie globalisante u
temps. En extrapolant d’avantage, Salvador Dali nous montre les trois âges ; le passé, le présent let le
futur. Dans la persistance de la mémoire, le passé est représenté par les montre solide, le présent par
celle qui est molle sur la branche de l’arbre et le futur avec la superposition de l’une des montre et de
l’autoportrait victime de la temporalité du « monde ». Ce qui peut rappeler l’une des grandes
références picturale de l’artiste, Diego Vélasquez avec son tableau de 1657, Les fileuses (annexe 6,p.
9) où l’on assiste à la fabrication d’une tapisserie qui symbolise ces trois temps et son évolution, la
trame de fabrication, le fil du temps.

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Conclusion
La persistance de la mémoire de Dali n’est pas seulement une représentation issue de
sa méthode de la paranoïaque critique et d’un jeu de la mémoire mais aussi il nous livre aussi
une par des ses songes. Elle relève plus d’une introspection psychologique que d’un processus
de création. Mise en relation avec la condition des êtres humains avec les affres du temps.
L’ensemble est assez figuratif, et en tant que spectateur, nous nous arrêtons pas ce type de
détails et nous nous focalisons sur ce qu’il représenté. Pour comprendre ce genre de peinture,
il faut se questionner, questionner la réflexion qui s’st dissimulée dans l’œuvre et se permettre
le loisir d’effectuer un travail de fouille interne. En prenant une œuvre contemporaine, comme
par exemple celle de Chiharu Shiota, présente au Musée Royal des Beaux-Arts de Bruxelles en
2019, intulée Moi (annexe 7, p. 10). L’artiste nous propose de rencontre son rapport avec le
temps et la maladie. On retrouve un peu de l’œuvre de Dali dans cette proposition, dans le
sens, où il est aussi de nous rappeler du dépérissement du corps mais de manière plus
poétique. Les pieds représentants le sol, la partie matériel du corps alors que
l’enchevêtrement de fil rouge nous indique la part immatériel de l’être et de la pace
gigantesque que ce dernier peut prendre dans un espace…. Soit le souvenir qui finira par la
suite par s’estomper peu à peu. Une dislocation parfaite et légère entre le monde matériel et
immatériel, entre le corps et l’esprit, le réel et l’irréel. Mais d’un point de vue générale et ceux
quel que soit médium ou la type d’expression choisit, tout est le reflet symbolique et
allégorique d’une connexion entre l’humain et son interaction avec le temps. Cette relation
indissociable entre la vie et la mort, ces deux forces qui s’opposent mais qui se complémente
et font de notre vivant une corse contre la montre perpétuel entre notre passage sur Terre et
sur les traces que nous laisserons derrière nous.

Nous avons qu’il est aisé de mettre relation le temps et l’Homme et d’identifier la
réflexions qui s’y cachent. Mais sommes-nous obligé de lié le temps et l’humain pour
symboliser une représentations figuratives ou non de notre propre mortalité ? Si il existe des
solutions, auront-elles le même impact, la même puissance ou seront-elles contraires ? N’y-a-
t-il que le monde vivant et organique qui puissent symboliser les mélancolies du temps.

7
Annexes

1. Salvador Dali, La jeune fille à la fenêtre, huile sur


toile , 105 x 74,5 cm, 1925, Musée national du
centre d’art de la Reine Sofia (Museo Nacional
Centro de Arte Reina Sofía), n° inv. AS02157,
Madrid

2. Salvador Dali, La persistance de la


mémoire, huile sur toile, 24 x 33 cm,
1931, Musée d’Art Moderne de
New York ( Museum of Modern
Art), n° inv. 162.1934.0.

3. La persistance de la mémoire, 1931,


découpe de la première partie.

8
4. La persistance de la mémoire,
1931, découpe de la deuxième
partie.

5. Philippe de Champaigne (1602-1674),


La Vanité ou allégorie de la vie humaine,
huile sur bois, 28 x 34 cm, 1646, Musée de
Tessé, Le Mans.

6. Diego Vélasquez (1599-1660),


Les fileuses, huile sur toile, 167
x 252 cm, 1657, Musée de
Prado, n° inv. P001173,
Madrid.

9
7. Chiharu Shiota, Moi ailleurs,
laine rouge, corde, plâtre,
exposition personnelle « Moi
quelque part ailleurs », 2019,
Musée royal des Beaux-Arts de
Bruxelles, Belgique

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