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INTRODUCTION:
1. La rupture
L’impressionnisme est une rupture avec l’art académique, les différences sont:
Premièrement, les sujets alors que l’art aquademique ont des sujets bien définis: un
paysage de ville, une personne,... les impressionnistes peingnent quelques fois des
fragments comme une simple branche d’arbre.
Ensuite, il y a chez les impressionnistes l’intéret des variations de couleurs et de lumière,
on peint plus l’ambiance ce qui est très visible sur la palette de couleur choisie qui est plus
vive et primaire chez les impressionnistes.
Enfin, la visibilité du trait est flagrante, on voit chaque traits, chaque mouvement de
peinceaux.
Ils sont critiqué pour le manque de précision de leurs oeuvres certains qualifieront même
leurs productions de brouillonnes.
Leur différence leur attirera les critiques de certains comme Louis Leroy qui écrira un
article entier, ces lui d’ailleurs, qui leur trouvera le nom d’impressionnistes. Et ce moquera
de la place de leurs impression sur la représentation du monde.
Mais aussi les éloges de certains qui comprendront leur désir de faire évoluer le monde
artistique comme Emile Zola, selon lui = les impressionnistes s’intéressent non pas au
monde lui même mais aux changements même qui le caractérisent. Ils se concentrent sur
les méthamorphoses du monde ce qui rend leur peinture moins figé et précise mais bien
plus vivante.
nous???: Celui qui regarde, qui s’arrête pour pretter attention plus attentivement
violence: ethymologie: viens du latin vis-> impulsion, pression produite pour que le sang
circule dans nos veines, soit, la force est l’usage sur laquelle elle repose .D’après le
pédopsychatre jean louis le Run, la violence est l’abus de force, un usage déréglé de celle-ci.
1. INTRODUCTION
La violence est condamnée par la morale, cela en fait quelque chose d’interdit voir tabou à
l’instar de la sexuualité. La violence est partie intégrante de l’homme, en effet, il n’y aurait
aucune raison de l’interdire si l’homme n’y asspirerai pas fortement.
Et comme toute chose interdite elle est attirante, alors pour assouvir son besoin de
violence, l’homme ne va non pas user de la violence mais y assister. Ainsi, ces pulsions
seront assouvies et sa frustration aténuée. Il n’aura pas les responsabilité des actes puisque
il n’a pas user de la violence.
Malaise de la culture, Freud -> l’homme porte en lui des pulsions d’agression, il a besoin de
voir souffrir l’autre pour être pllus apaisé.
EX: Lorsque comme en temps de guerre, les règles morales sont “suspendues”, les actes
violents debordent. Les violes, les pillages,... fusent.