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GRAND ORAL

1 Les impressionistes réinterprètent-ils le monde?

INTRODUCTION:

Le 19eme siècle. Siècle del’invention de l’empoule et de la photographie. Siècle de


l’industrialisation de l’Europe et des progrès techniques. Mais aussi siècle de
25 l’art ,aquadémique. Ces tableaux précis et spéctaculaires étaient en vogue à la fin du
sec 19eme.La bourgeoisie s’extaisait devant ces créations léchés.
Mais, parce qu’il doit y avoir un mais, en 1874 s’impose la Première exposition des
peintres impressionnistes.

impressionisme: impression instantanné d’un sujet. Le trait du pinceau est apparents, la


palette est riche et pas bcp de noir. Arrive au moment ou la photographie se développe, le
monde de l’art se sent menacé.
Aussi utilisé lorsqu’un philosophe dégrade la pensé d’un autre

monde: l’ensemble des phénomènes perçue par l’homme.

Contexte industriel -> développement de la photographie qui commence à faire peur au


milieu artistique. L’invention de la peinture en tube qui rend les artistes plus mobiles.
L’art académique -> visuellement très léché, peinture très précise et solennelle. Ex:
Gérôme peint ces propres sculptures: perfection sur toile.

1. La rupture

L’impressionnisme est une rupture avec l’art académique, les différences sont:
Premièrement, les sujets alors que l’art aquademique ont des sujets bien définis: un
paysage de ville, une personne,... les impressionnistes peingnent quelques fois des
fragments comme une simple branche d’arbre.
Ensuite, il y a chez les impressionnistes l’intéret des variations de couleurs et de lumière,
on peint plus l’ambiance ce qui est très visible sur la palette de couleur choisie qui est plus
vive et primaire chez les impressionnistes.
Enfin, la visibilité du trait est flagrante, on voit chaque traits, chaque mouvement de
peinceaux.
Ils sont critiqué pour le manque de précision de leurs oeuvres certains qualifieront même
leurs productions de brouillonnes.

Leur différence leur attirera les critiques de certains comme Louis Leroy qui écrira un
article entier, ces lui d’ailleurs, qui leur trouvera le nom d’impressionnistes. Et ce moquera
de la place de leurs impression sur la représentation du monde.
Mais aussi les éloges de certains qui comprendront leur désir de faire évoluer le monde
artistique comme Emile Zola, selon lui = les impressionnistes s’intéressent non pas au
monde lui même mais aux changements même qui le caractérisent. Ils se concentrent sur
les méthamorphoses du monde ce qui rend leur peinture moins figé et précise mais bien
plus vivante.

2. Un réel changement ou une simple évolution?


Les impressionistes se sont réaproprier le monde:
L’art = moyen d’expression
Monde = ensemble des phénomènes ( évènements tel qu’ils nous apparaissent)
mais eux on fait de l’expression une impression, leur expression se basent sur la
phénoménalité. Ils interiorisent le monde pour le montrer.
Même si certains se sont inspiré de classiques, leur retranscription du monde n’est plus
l’art tel qu’on l’entendait avant.

Redéfinition même du moyen d’expression

2 Contempler la violence fait-elle de nous des voyeurs?

nous???: Celui qui regarde, qui s’arrête pour pretter attention plus attentivement

violence: ethymologie: viens du latin vis-> impulsion, pression produite pour que le sang
circule dans nos veines, soit, la force est l’usage sur laquelle elle repose .D’après le
pédopsychatre jean louis le Run, la violence est l’abus de force, un usage déréglé de celle-ci.

1. INTRODUCTION

La violence est condamnée par la morale, cela en fait quelque chose d’interdit voir tabou à
l’instar de la sexuualité. La violence est partie intégrante de l’homme, en effet, il n’y aurait
aucune raison de l’interdire si l’homme n’y asspirerai pas fortement.
Et comme toute chose interdite elle est attirante, alors pour assouvir son besoin de
violence, l’homme ne va non pas user de la violence mais y assister. Ainsi, ces pulsions
seront assouvies et sa frustration aténuée. Il n’aura pas les responsabilité des actes puisque
il n’a pas user de la violence.
Malaise de la culture, Freud -> l’homme porte en lui des pulsions d’agression, il a besoin de
voir souffrir l’autre pour être pllus apaisé.
EX: Lorsque comme en temps de guerre, les règles morales sont “suspendues”, les actes
violents debordent. Les violes, les pillages,... fusent.

1. Assouvissement des pulsions d’agressions

Mais en temps normal comment assouvissons nos pulsions?


Avec: Pulsion scopique de Freud : plaisir de posséder l’autre par le regard
En observant les autres souffrir durant les châtiments en place publique au Moyen Age par
exemple.
Ou de nos jours dans des sociétés ou nous esseyons d’être civilisés: avec l’art, la littérature.
-> André Malreaux, La Condition Humaine
Scène de vilence crue, il ne fait pas l’appologie de la violence mais la montre tel quel, sans
filtre et le regard que nous lui portons est émerveillé.

-> Le Caravage, Judith et Holopherne


Scène crue, d’une grande beauté, pourtant elle égorge ce jeune homme, mais qui est
choqué au point de se détourné? Personne puisque ce sang rouge vif, l’expression supliante
d’holopherne nous attire et nous séduit.

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