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CMHDA

2.Penser l’exposition : quelques repères histo en guise d’intro :

On voyait à la Renaissance l’art dans les églises et l’exposition est un signe de modernité.
Une exposition fait œuvre ( photographie d’exposition de Malévitch : exposition de l’empire
russe) , Vue d’une expo collectif , ils étaient 14 , elle se trouve à Petrograd. Nous voyons
une partie de l’expo. Dans le champ de la photo on voit des œuvres expérimentales , c’est
une façon d’affirmer , un manifeste visuel , spatial car il va réunir ensemble ses œuvres.
Œuvres suprémacisme , l’objet flotte dans la toile.

L’exposition rend le dynamisme aux œuvres selon Malévitch. Avec 8 rectangles , les
rectangles ne sont pas disposés de manière statique , elles bougent , flottent sur la toile.
L’exposition est un supplément et augmente la force des œuvres.

Comment sommes- nous arrivés à une force étroite entre exposition et œuvres d’arts ?

Il va rendre le mur dynamique , il donne une place au visiteur.

Quel est l’histoire du 20 ème siècle ?

Comment comprendre l’intérêt que donnent les artistes à l’exposition ?

Exposition temporaire et public :

A.Hadmart Salon 1699 : 1er Salon dans la grande galerie du Louvre

L’art a été conçu dans un appareil religieu , on y allait pour prier mais pas pour voir des
œuvres. Les œuvres perfoMaient les éléments de la foi. Nous avons des tableaux de
chevalet et mythologiques. Nous avons des objets naturels étranges , artefacts étranges qui
vise à un public de connaisseurs.

Nous avons des processus qui vont converger ( les lumiers , revo indus , modernité ,
capitaliste) , le cadre religieu était la seule manière de pensé le monde et dans les villes une
grde pop de gens et une augm d’artiste comme une guilde puis ça commence à se
démocratiser. 1787 : Pieto Antonio Martial Salon 1787 : on s’adresse à un ordre plus
important de gens. C’est un phénomène récent qui date du 19, 20ème. C’est un événement
teporaire qui s’adresse à un public élargis et qui acquierent des co grâce aux œuvre. C’est
là où le terme apparaît le terme de public qui est diff de la foule. On va toucher du doigt la
créa du goût des gens, créer des normes par l’exposion , par l’art et la créa visuel. Créa du
public qui est distant de la foule. Un public = nbr de gens qui ont un jug . L’expo se dev en
Angleterre et en France. Les œuvres , formes forment une tapisserie. Chardin ( faisait des
tapisserie) , a un pouvoir de donner de la puissance à une œuvre ou de la démolir par sa
disposition. Créer une harmonie dans l’exposition.

Le salon de Gustave Doré en 1888 « Pablo de l’industrie » : on expose par milliers , pour y
voir qlque chose il faut des outils ( télescope , échelle) et épuisement de ce monde.

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L’œuvre d’art cesse d’être peinte pour un lieu donner ( église , maison privée , maison d’une
collection privée, commandité d’un tel mécène.) On a des œuvres peintes , la majorité des
œuvres sont peintes pour être vendus et non pour un destinataire immédiat , nous avons
une plus grde autonomie de l’œuvre. Nous avons un avantager commerciale , l’artiste
cherche ses moyens de subsidence. On parle des grdes expositions universel : palais de
chrystale : œuvres ,structure , luminaire , mobiliers : les œuvres d’arts sont un corps de
métiers. Cette concomitance entre œuvre et marchandise en 1891.

1877 : des grands magasin mettent en spectacles leurs marchandises comme une
expérience extatique et artistique. Les salons participent dans ce phénomène dans les
magasin et dans les expositions universels.

L’auteur met en Opposition l’art et l’exposition. Selon lui l’exposition tue l’art.

Est ce que l’exposition est bonne pour l’art ?

Une tension d’une valeur esthétique ou marchande.

Les musées jusqu’au années 50-60 ne montre pas une collection temporaire.

Opposition entre le musée et collection temporaire

Le musée= temple laïque. Le musée est statique. Il est le gardien du temple fixe.

Opposition au salon et son coté commerciale , mouv de replie sur l’intime qui ne va pas
concerner une partie d’œuvre mais des petites sté d’artiste qui vont montrer leurs œuvres.
Des petites sté vont fleurires et vont favoriser des expos de plus petites échelles plus
cohérentes : par genre ( fe peintre) , par médium : les aquarellistes. On est dans qlque
chose de plus petits , plus cohérents , plus intime. Les impressionnistes , exposent des
œuvres dans un environnement domestique. Nous sommes plus dans la tapisserie mais
dans une exposition dans un environnement bourgeois , nous avons qlque part ce retour de
balancier.

Les musées exposent des collections permanentes.

Fin du XIX , les artistes vont réfléchir de l’intérieur et se demander comment l’expo vont être
cohérentes avec les œuvres avec le mouv symbolisme par ex. Le symbolisme réveil une
œuvre d’art totale , nous donne des expériences qui agissent sur tous les sens ( la
synesthésie). Un environnement créer ( mur recouvert de tissus) , présence de mobilier
créatifs. La tactilité , les concerts de musique , l’odorat donnent cette synesthésique. Créa
d’un environnement total et les œuvre est un environnement totale ! C’est une manière
d’apprivoiser l’expo et de renforcer la dimension , les qualité d’ensemble de l’expo que de
travailler la dimension public ou commerciale. Pour arriver au début de l’art contemporain.
Ce n’est plus le salon d’état , le salon persiste mais il y en a plsrs comme le salon
expérimentaux et salon d’automne. Montrer l’œuvre comme autonome , montrer chaque
œuvre ayant chacune une valeur. Vs surcharges du XIX et de la valeur écrasante. On va
faire une expo pour donner des œuvres de manière individuelle. Malévitch ne donne pas
une place à chaque œuvre qui donne un rythme , lui il fait un pas de côté pour créer un
espace totale pour en faire une seule œuvre. L’expo renforce la puissance des œuvres.
L’expo est un prolongement des œuvres. Est ce que le suprématisme aurait la même force
sans l’expo , l’accrochage ?

On peut faire parler les œuvres ( spatialement / etc.)

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La presse veut casser l’effet d’ensemble en voulant montrer que les artistes font soit disant
n’importe quoi. Là elle prend un ensemble , c’est à dire que même par la négative , montre
que l’espace n’est pas neutre comme Malévitch voulait le monter. L’exposition est un
discours.

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20/09/2022

Penser l’exposition dans l’histoire de l’art du XX eme siècle

Expériences avants gardistes (1920-1930) :

L’utopie d’un espace dynamique et poly-sensoriel et d’un spectateur actif dans la


mise en exposition constructiviste (El Lissitzky, Laszlo Moholy-Nagy)

L’utopie renforce le dynamisme des œuvres / l’expo donne un changement.

Plan :

1. La collobaration entre El Lissitzky, Lazlo Moholy-Nagy et Alexander Dorner

a) Les salles de démonstration d’El Lissitzky et Dresde et au musée de Dorner à


Hanovre

c’est sera des espaces d’expérimentation qui sera comme des prototype d’expériences qui
concernerait plus de gens , de lieux , qui changent par l’exposition.

Espace à Dresde et à Dordre , deux espaces. En quoi ce sont des espaces de


démonstration et porteur d’une utopie aux spectateur et qui apporterai une multiple de sens.

El Lisstzky : artiste juive et russe, à fait de l’architecture, faire la navette être l’all ,
union soviétique. Trains en guise de patin à roulette : avant son départ pour l'all
chargé de commission 1926. Année 20 , accueille un changement de sté avec égalité et
que l’art peut contribuer à ce changement. Il meurt en 1990, il croit dans la cause
communiste. Il est resté en Union soviét.

Il a énormément contribuer au design graphique , experimentation ds le design graphique ,


archi.

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Esquisse pour Proooune 1E [ville] 1919-20 : formation de design/ archi

Proche de Malévitch , Malevitch s’écarte de tte figuration du non art sans objet nommé
suprématisme. C’est un art qui présente , forme et couleur rentre dans des relations varié et
complexes, aucunes formes sont formé par des outils , construire un monde purement
artistique. On ne va pas chercher une ressemblance de celle de notre monde ; Ce qui
manque chez Malévitch est sa tridimensionnalité . El Lisstzky va rajouter un plan et
tridimensionnelle esquisse pour Prooune ( néologisme : projet d’affirmation du
nouveau). Cela appelle déjà a une relation tactile et une perception pas que optique. Il
va ajouter des matériaux contemporains ( alu) , Proche de Rotcheko. Transformer le quo en
art , imposer des règles épurées enlevant les choses arbitraires , émotion au nom d’un art
partagé par tous. A PARTIR de la ligne on peut dériver des formes « deux cercles 127 ».

El Lisstzky , comment les formes habitent l’espaces et comment elles bougent. Nous avons
une contruction autour d’elle « construction flottant dans l’espace 1920 », changer la façon
dont on approche l’art = donner du dynamisme dans notre perception de l’art.

Qlque chose de rationnelle avec la construction de nouveaux objet. Pour El Lisstzky il ne


faut pas que changer les objet mais notre perception. « la surface du Prooune cesse
d’être un tableau et se transforme en structure autour de laquelle nous devons
tourner. Nous le regardons de tous les côtés , scrutons de haut en bas. Le résultat est
la destruction de l’acte unique du tableau , en angle s droits et à l’horizontale.
Tournant tout autour , nous , nous insérons nous mêmes dans l’espace...». Invitation à
la participation ,

Proooune à huit propositions 1923 : ça ressemble à un objet abstrait mais nous voyons déjà
le recours des matériaux moderne qui nous donne une tactilité ( l’alu) qui se mélange
à des matériaux trad. L’œuvre n’a pas qu’une seule forme , nous avons huit positions
possibles et non une unique. Il ne prévoit pas que ses prooounes qu’elles soient accroché
au mur mais à plat pour qu’on tourne autour. Cherche à sortir de cette limite du tableau
car le tableau appartient au passé ( car statique , érige le tableau comme unique , précieux ,
luxe etc). On peut les voir comme des prototypes.

Appelé pour faire des prototypes d’espaces pour cette collection collectif Prounenraum
en 1923.Il travaille les angles , travaille sur les prérequis des angles , on perd nos repères
SPATIAUX , troubler par ce travail sur les angles. Nous sommes interpellé physiquement ,
nous avons des travaux sur les angles . Travailler une unité et non une division. Rendre
l’espace dynamique et non statique du tableau. Nous sommes obligés de tourner autour ,
dedans et avec. Pas de ornement qui est la caractéristique du constructivisme. Il rejoint ce
mouv le constructivisme avec la mort du table au nom d’un art dans la vie quo mais la
nous sommes plus dans le questionnement de la place du spectateur. La lumière ajoute un
aspect dynamique.

1926 : El Lissitzky est appelé à l'international musée d’art à Dresde , ce n’est pas l'œuvre
qui prend l’espace ou prend forme d’un espace mais un prototype d’espace. Il va faire
son premier prototype. Salle constructivisme : pour ces œuvres nouvelles , radicales , on ne
peut plus les montrer de manière trad. Les murs ne sont pas plat ( lattes de bois) , murs
recouvert de latte , peintes en blanc d’un coté et de l’autre en noir ( réfléchis par les
angles). 3 possibilité ( noir , gris , blanc). L’espace se transforme par le déplacement des
spectateurs. Voir une œuvre à la fois par une grille : regard privilégié , voir celle du haut
et du bas partiellement. Manipuler le dispositif.

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Cabinet des abstraits : de manière permanente du musée de Hanovre en 1928. (il créer
les murs de manières prototypes pour ses œuvres) , il écrit un livre en 1926 : il parle de 5
contraintes principales :

- Penser le mur en fonction de l’œuvre

- considérer les 4 murs non pas comme des supports mais comme dissoudre la surface du
mur , travailler le mur en tant que surface.

- comment faire pour accommoder des œuvres sans qu’il y ait de surcharges

- comment contrôler la lumière

- comment eviter qu’il (exposition) devienne un espace décoratif et comment imaginer un


espace qui impliquerait une relation public , un espace standard qui pourrai se déployer
dans diff lieu

1. il va traiter le mur pour le dynamiser par cette introduction de ces lamelles selon lui
introduit un dynamisme optique. Plus encore ce travail de ces lamelles des couleurs (
gris) en sorte que le mur se dissout de manière optique qui nous donne un dynamisme.
Oeuvres est mur , environnement font qu’un , l’environnement est le prolongement. Effet
de changement ( couleurs des lattes en bois). Lamelles plus rapprochées : impression
d’optique de fusion , elle ne sont plus en bois mais en acier , plus petit profondeur de
4cm et d’espacement de 2cm , dc effet optique plus fort. Lopart : mouvement du trouble
optique . Lui il donne un propre dynamique optique

3. Créa casier à amovible va évoluer de sorte que ça bouge , laisse le spectateur de


composer ce qu’il veut voir , privilégié. Voir l’œuvre diff. On ne voit pas l’œuvre de la
même façon. Il souhaite le plafond comme lumineux , les couleurs chaudes s'ajoutent de
manière dynamique dans l’espace qui transforme notre perception des œuvres (
lumière chaudes et froides). La lumière est un facteur qui intéresse les artistes.

5. Rejoint les conviction sociale , il faut produire des prototypes , des espacexs
standard a diff principes , faire en sorte que le spectateur adopte un comportement actif ,
il devient conscient de comment on perçoit l’art , la rencontre des œuvres , ça
augmente de la vie réel ( l’art nous rend actif et nous rendre compte de ce qui nous
entoure)

Montrer dans l’art moderne , il y a cette ouverture de manière infini ( simplifié le nbr des
couleurs , direction , a partir de peu de moyens bcp de possibilité , bcp de possibilité.)
Combi des règles et de possibilité retranscrit par les lattes , ouvre des possibilité
perceptif. Art du possible et non fixe , statique , émanciper le spectateur. Le monde est
ouvert. Œuvre qui exalte la machine ,l’industrie…

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Perte des habitudes par rapport à l’art pour s’ouvrir à d’autres ouvertures à l’art.
Ouvrir des possibilités d’être vus ! Créer un espace diff pour chaque œuvre, créer des
manières diff pour chaque œuvres ( diff selon le mur , casier) , créer le plus de manière
diff pour la perception d’une œuvre , grd nombre de possibilités.

Première mise en expo qui renforce le dynamisme des œuvres

Le projet de Alexandre Landesmuseum de Hanovre :

Dorner va réorganiser les salles , il va donner à chaque œuvre un espace pour qu’on les
apprécie. Il va instaurer une ambiance spé selon la période des œuvres. D’un côté une expo
décorative et de l’autre une émancipation du spectateur . Il aussi fait en sorte de faire
des salles d’ambiance = reconstituer dans chaque salle du musée une impression de la
conception / vouloir de l’art de l’époque.

Riguel qui dans ses écrits disait que chaque époque a sa volonté d’art. Quelque chose
qui prédomine.

Créer des ambiances diff. Le Moyen-Âge couleurs sombres , pas de pénétration de


lumière. Dépendent de la lumière naturelle sans pénétration de lumière naturelle.

Recréer son propre vouloir d’art pour les œuvres religieuses ( de la foi , prière) , mur et
plafond , pénétration étroite de lumière. Dévo

Renaissance : géométrie et la conception comme fenêtre ouverte au monde

baroque flamand : murs tapisser des tissus de velour rouge et cadre doré (archi / géo
fusionne)

art hollandais : domesticité

art rococo : rose , blanc huitre

romantisme : œuvre isolé , artiste génie , fragment : blanc et fond bleu donne
l’impression que les œuvres flotte dans un fond bleu, travaille sur la lumière ambiante
, pas de lumière naturelle car trop variable.

Dans cette conception du musée il va demander une salle abstraites

Souligner une particularité de l’époque= salle ambiante

Il va cristalliser l’ambiance de l’art du XX dans l’idée du dynamisme , émancipation.

LAZLO MOHOLY

Salle du temps présent :

devait être confié à un artiste hongrois , cette salle n’a pas été réalisée. Projet ambitieux ,
il nous reste les plans. Il va rejoindre le Bauhaus , constructivisme , intérêt aux
matériaux et aux technologies qui transforme l’art. Tableau conçu par téléphone no 2
en 1922. Photogramme 1922.

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L’homme peut se dépasser. Plus loin que la vue. Intérêt à l’environnement ( acier)

Objet poétique : il montre la notion de ressort , opacité , la transparence.

Modulateur espace-lumière : œuvre. L’art est arrivé à une certaine limite. Culture
visuel qui se dev qui témoigne quelque chose de nouveau dans le temps présent.

Lamelles de plexi : transfo de ce qu’on voit derrière , regarder par son premier
dispositif . Salle que de reproduction

Première fois dans un cadre muséale que des photos qui témoignent de spectacles
,archi , diapo : culture visuel de l’époque dans le champs de l’art

Présence et influence avec des panneaux perforés qui deviennent des filtres donne
un dynamisme.

SUSPENSION : qui flotte dans l’espace exalte le nouveau

ciné expérimentale

plafond fait partie du dispositif , sensation du temps présent qui est temporaire ,
reproductible.

Q sur l’art , le dispositif repose sur le dynamisme du spectateur. La photo devient un filtre qui
unifie tous ces arts.

CM03

Dulguerova

L’espace d’exposition selon Frédérick Kiesler : Exploiter la continuité de l’espace ,


solliciter le spectateur, intensifier la perception ?

A) 1924 : Invention du système d’unités « L » et « T » ( Leger and Trager)

b) 1942 : La conception de la galerie Art of this Century

a)

dev de la réflexion d’expo en europe et voir comme un design d’expo pour véritablement
être investi d’une œuvre. Désir de dépasser le statut isolé et précieux de l'œuvre d’art , aller
au-delà de la prod d’objet mais de produire des environnement , lieux. Élargir des pratiques
artistiques en fusionnant des arts. Autres lieux. Sortir des lieux du musée. Sortir du lieu , de
l’espace = réflexion sur le temps ( penser le temps de l'œuvre d’art) : est ce que l'œuvre a

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une temporalité , dimension temporelle. Contester la vision , la vue comme aspect privilégié
de l’œuvre : travailler à une vision sensorielle , motrice et non seulement visuelle.

Pas d’objectif poli , mais se rapproche d’une œuvre d’art totale , philosophique par son
ampleur et complexité. Objectif d’ordre social.

1924 : 1890-1925 Kreisler. 1924 : participation grde exposition collectif : « exposition


internationale des nouvelles techniques théâtrales » , Viennes

- URSS

- émigration russe

- Italien

Le rôle de commissaire dans cet expo , il va mettre en scène les œuvres d’art. Il va
présenter des scénographies. On montre des esquisses , maquettes , costumes , images
bidimensionnelles , tridimensionnelles . Ce qui a de commun de ces artistes : grde époque
du constructivisme internat ( rationalisé / efficacité / simplifier / ergonomie).

EXPO MODERNE , asymétrique , dimension aléatoire , c’est une mise en espace qui amène
le spectateur à s’impliquer. Il faut qu’il se baisse , monte son regard , aération , il travaille le
milieu de la salle , la déambulation du spectateur. Il ne travaille pas les murs mais
l’espace. Ça rappelle le constructivisme. Tout n’est pas sur le même plan. Ça ressemble
au collage : assembler ensemble ( bidimensionnel et tridimensionnel) pas d’homogénéité ,
rencontre des matériaux hétéroclites. Matériaux asymétriques. Bcp comparé le corps ,
pensée de l’espace non unifié mais par ajout. Invente un sys montant et portant ( verticale
/ horizontale) à partir d’un sys et non pas de mur : échafaudage mobile. Planche verticale (
dessins / plans , photo) ou horizontale qui sert de socle. Socle et cadre souligne une unité a
chaque œuvre. Penser par l’expo une œuvre unifiée. Vu différemment. Explique son sys
portant et de montant : rompre la rigidité de l’espace et de ce qu’il crée à l’intérieur , les
œuvres sont assujettie , on enlève la chose majestueux en créant une archi intérieur par son
sys (hauteur et profondeur ) peut donner à chaque œuvre une place spé. Se confronter à
chaque œuvre. Donner un aspect théâtrale avec la lumière pour donner un dynamisme (
présence de grpe) , ajuster la hauteur de vision en mettant le panneau à leur taille. Nous ne
sommes pas tous les mêmes par rapport aux œuvres. Détacher l’expo du mur , séparer les
œuvres des murs. Sys de poutres , la transparence varié des objets qui se donnent au
regard des visiteurs , encombrement , opacité qui se dissout. Transparence varié manipulé
par ces unités , le spectateur prend en main son expérience. Logique proche du
constructivisme. Transporter un sys d’expo car elle est flexible qui s’adapte , éco ,
exploitation efficace. Caractère modulable POUR MIEUX PERCEVOIR les objets exposés.
Espace qui n’est pas longé mais traversé , déambulé.

1925 : Cité dans l’espace , exposition internationale des arts décoratifs industriels : utopie

Ftiederick Kiesler : exploiter la continuité de l’espace, solliciter le spectateur , intensifier a


perception :

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b) La conception de la galerie Art of this Century DE Peggy Guggenheim à NY :

il va travailler sur des vitrine , grd étalage de magasin. La vitrine nourrit le désir des passant.
Aller au-delà du rationelle , vers le tabou , du reve , vers le désir. Les vitrines ne s’adresse
pas à une cible visé mais à tout public , pour capter le désir des passants est plus ambitieux
qu’une expo réussi car elle vise un public visé. Les œuvres viennent à nous + que nous on
vient vers les œuvres.

Conviction que le renouveau ne vient pas des musées mais des espaces de vies. La
continuité de l’espace de l’art et de la vie. La galerie n’est pas un lieu isolé.

1942 : Mécénat , une riche héritière Peggy Guggenheim (proche d’artistes émigrés = artiste
abstrait tel que Mondrian , Fernand Léger et aussi surréaliste= duchamps ). Elle décide de
convertir des anciens ateliers de coutures en galeries d’arts.

Art of Century : reconstruction de la maquette et plan des salles , ouverture de la galerie


Peggy Guggenheim à NY en 1942

Il va aménager pusieurs espaces , chaque espace a sa caractéristique , sa spé. L’espace


est conçut pour les œuvres. Si les œuvres sont diff , les salles sont diff. Les espaces sont
subdivisé. Un coté bleu : galerie abstraite et en vise à vie la galerie du surréalisme. Espace
noir : galerie kinésique (duchamps). Galerie du jour : celle avec la fenêtre.

En quoi les œuvres surréalisme / abstraites sont communes ?

Galerie ABSTRAITE :

Elle est pensée avec une couleur dominante bleu comme une couleur spirituelle. Le mur est
ondulant. Tout comme en 1924 il est radicalement opposé aux archi déjà existence = donner
une archi nouvelle pour les œuvres. Il va créer une bâche et l’accrocher au plafond pour
supprimer toutes notions d’angles pour renforcer cette idée de bleue et de l’espace continue
pour que l’on perde nos repaires dans l’espace géométrique. Le sol est peint en bleu. A
l’intérieur , il a inventé de nouveaux dispo. On est amené à tourner autour , sys de
suspension a base de fil , en hauteur et sur le sol qui va être le support sans être un support
lourd. Une sorte d’accrochage derrière. Tout va être ds l’espace vitale du spectateur.

L’une : structure suspendu dans l’aire

L’autre : nous avons des choses tridimensionnelles = mobilier adaptable , qui a plsrs
fonctions qui va appeler cela comme des instruments corréaliste. On peut dire que c’est du
mobilier. Bousculer nos catégories préétablies.

Nouvelle tech d’expo : 18 façons d’un instrument corréalistes : on peut s’asseoir , s’allonger ,
peut devenir qui sert de support au structure à l’accrochage suspendu , un siège pour plsrs
personnes…

On est dans une forme organique ; esthétique de la courbe que l’on retrouve dans le mur
ondulant , cet instrument n’est pas seulement un mobilier , un mobilier pour les œuvres et
pour les êtres hu. Aucune distinction n' est pour les œuvres et le spectateur. Ce qui a pr
conséquences : ce qui est spé pour l’art et la vie. On peut travailler en continu. On peut être
dans le tard avec le socle mais en le manipulant , on le transforme , on se l’approprie.

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1947 ; Manifeste du corréalisme ou les états unis de l’art plastique :

parler d’un projet d’une maison sans fin qui évolue constamment ( travaille jusqu’à sa mort)

il va faire un manifeste : s’oppose au statisme et un élitisme du musée et objets de


commerce comme œuvres. Dimension spirituelle.

Galerie de la lumière DU JOUR :

Corréalisme : 1947 , 1961 : Manifeste qui parle de continuité entre objet / environnement et
le spectateur. Tout doit etre intégré et non séparé.

Nous ne sommes pas dans un lieu codé. Reconstruire comme un espace comme un ateliers

Galerie cinétique :

Le principe de Peet Show , chaque œuvre éclairée par leurs propres spots , toutes les deux
minutes on entendait l’enregistrement du bruit du train qui passe.

Galerie Surréalisme :

Les murs sont en bois et tout est arrondi. Tout en bois. Le mur courbé donne une notion
d’étrangeté et notre dimension du monde est irrationnelle. On ne peut pas suspendre les
œuvres dans l’apesanteur mais elles sont présentées sur les murs non alignés. Elles se
présentent à nous à des hauteurs diff , à des sys de bras . Nous avons de grands bras où
les œuvres sortent du murs. Nous avons le questionnement de la place du spectateur. Créer
une sorte de tunnel où on se retrouve comme dans un rêve , une caverne primitive , dans un
ciné. Elle ( œuvre de Dali) est comme dans un écran de projection. Ça vient attaquer la vue
du spectateur . Les images de tte les hauteurs viennent de ts les coté du corps du
spectateur qui sert de socle. Sculpture araignée.

Kriesler : explique selon lu i pour bien percevoir l’art surréalisme il faut s’abandonner à un
état de rêvasserie mais il ne faut pas être dans un état conscient. Créer un espace onirique ,
surréelle.

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Kiesler : « Note sur Arts Century » : texte philo , anthropologique dans lequel il commence
par nous parler de langue primitif , il cherche a évoquer la langue de l’ho préhistorique. «
aux yeux de ‘ho primitif la vision et la réalité ne formait pas un monde séparé ... » la vision
doit avoir un règne distinct du règne de la vie. Il va s’intéresse à l’art repusse , expérience de
la vie diff. Barnett Newman « le premier ho est un artiste » : on ne peut pas chercher la
réponse ici mais ailleurs. Aucun cadre ne peut présenter un art ru pesse de notre vie. Abolir
la distinction entre l’art et la vie. Les animaux , les démons et lui même dans le même
espace= tout est ensemble. Nous sommes plus dans une compartimenté. Penser à la
continuité. Proche des surréalistes. Créer des espaces continue. Il arrache les cadres pour
libérer la peinture. Tableau flotte dans l’espace pour libérer le tableau et le laisser libre dans
l’espace du spectateur. Espace / œuvre / spectateur. La notion du temps = qui est celui de la
vie. Le temps continue de la vie , comme forme repos , qui nous sert de sortir du quo qui
nous ramène vers la caverne , préhistoire , ailleurs vers le reve , l’imaginaire. Ce n’est pas
un temps compartimenté. C’est un temps lent , c’est la lenteur. Le cadre sert a maintenir ce
qui doit etre vue et pas vus ( image / environnement) alors le cadre doit etre supprimé. Si on
supprime le cadre = il faut recréer la magie ancienne dans laquelle l’image de dieu et dieu =
monde dans lequelle ou nous avons pas de distinction vision et réalité. Maison sans fin
déstructuré sans cadres , dans cette maison ( espace en soi et de vie) qui existe de diff
formes. Pas un espace unique et pas un spectateur unique. L’expo = un allongement des
œuvres. Pas d’être hu normalisé , normal.

Sortir de la vision seule pour aller dans une expérience multi sensorielle.

C) Liens avec le DADA :

Première fois DADA d’art nationale « Première foire dada internationale »1920 Berlin:
désacraliser l’art d’expo car c’est une foire ( marchand , artistique , commerciale ; poli).
Œuvres compacté , les œuvres n’ont pus besoin de maintenir le corps entier.

D) Exposition internationale du surréalisme 1938 :

Marcel Duchamps ;Pensée comme un espace artistique , espace quo ( idée de la grde rue
avec des mannequins) , la vitrine comme espace de désir. L’espace des voitures qui sont
exploitées . Automates , mannequins. Registre du monde des objet quo et le monde revé
des fétiches et sculpture fautrices du monde occidentaux. 1500 sacs de charbons haut
dessus des têtes des spectateurs , danse de rituel comme une sorte de foyer. Source de
chaleur imminente qui pouvait créer un incendit. On est dans une experience qui transforme
l’espace et donne une dimension rituel à la situation ( rituel fait partie de la vie). Rapprocher
l’art à une expérience de la vie quo.

1942 : Accrochage par M.dUCHAMP de l’exposition First Papers of Surrealisme NY :

Ce qui transforme est l’installation par les fils qui fait toile d’araignée ou le spectateur doit se
freiller son chemin comme la théorie freudienne on n’accede pas immédiatement à nos désir
, que l’on refoule par des images qui nous empechent de voir.

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CM4HDA

Entre liberté et contrainte , pratiques de l’exposition chez Herbert Bayer

Exposition et photographie : deux aspects de la reproductibilité de l’art moderne.

Libérer le spectateur du statisme est une face positif mais une autre face a force de libérer
on finit par diriger.

On va parler d’une figure importante qui a eu une très longue vie qui est Herbert. C’est une
figure incontournable.

Sortir du BA , sortir muséale du terme.

On était dans le champs de la peinture / sculpture ( champs de l’art admise) avec Bayer , on
va parler des œuvres reproductible ( photographie) . En 19206-30 n’était pas considéré
comme un art et est reconnu en 1980, pour eux c’était un moyen de documentation , de voir
sous plusieurs angles ( contre plongé , de loin). Son statut diff en all en 1930, « L’oeuvre
d’art à l’ère de la reproductibilité technique » : la place de la photographie.

1. Le design d’exposition de Herbert Bayer ( 1900-1985) ,e ntre liberté et contrainte :

a) projet dans le cadre du Bauhaus en All

étude du Bauhaus ( école lié à l’expérience traumatique de la guerre , réparer ce


monde bléser. Trouver un langage commun).

Il est la première gé d’étudiant et il va rapidement devenir maître ( chef de l’atelier de l’atelier


d’imprimerie et publicité à 25 ans). Il cherche un langage unitaire. Direction d’une ligne
,relation des couleurs. Il va s’attaquer a qlque chose de +commun qui sont les signes , les
lettres ( alphabets) qui sont utilisés dans la presse. 1926 : Projet pour une écriture
universelle. Nous n’avons pas d’empattement, c’est épuré. Enlever les majuscules porte une
modernité ( se couper des conventions du passé). Pas de majuscule dans son langue.
Trouver un principe universel , dans une expo il va trouver un moyen de toucher les gens de
manière directe. Pendant les années 30 , il va être proche des architectes et voir l’expo
comme un prolongement des expériences Bauhaus. Il va imaginer l’espace de la section all ,
nous avons des objets du quo ( chaise de Kandinsky = métal et cuir) , maquette
photographie ( architecture du Bauhaus) . Pt de vue diff , photo qui accentue un effet de
profondeur. Elles ne sont pas montrées de manière linéaire et statique. C’est un diagramme
du champ de vision , c’est un œil qui est ouvert bcp + que de manière normale , on est sortie
d’une vision frontale pour une vision 180 C° ( voir globale , du plafond jusqu’au sol). C’est
uen volonté de ce diagramme de libérer l'œil de son usage habituel. Il traduit ça a l’échelle
de l’espace et libère le public et incite le public à être actif et se libérer de ses habitudes et
de ses conventions. C’est un dispositif qui se combine avec les pts de vues habituels ,on a
une sorte de perception de l’espace très éclaté ( photomontage de l’espace). Sortir d’une
idée d’un objet unique , avoir plsrs pt de vue dans le dynamisme du monde et d’une unité de
plsrs fragments dans une vision totale. C’est une manière d'englober le monde éclaté en

12
plsrs fragments d’échelle , dimensions. Liberer la perception , la rendre + mobile et d’obliger
le spectateur a travailler sur son regard et le travail sur le regard et du corps. La q° du
parcours , diagramme illustrant le texte de Bayer « Fundamentals of Exhibition Design »
1939 L’architecture nous dicte ou notre corps doit aller mais les avants gardistes sont contre
l’écarsement de l’architecture sur l’homme. Alors il créer quelque chose de + organique ,
sortir des parcours rectangulaire et prendre en compte l’être hû avec son côté moteur. Nous
avons quelque chose de plus courbé aussi.

b) Comparaison : l’aménagement

Il essaie de prendre compte le mouv du spectateur comme si il faisait corps de l’exposition.


Si les corps se déplacent de manière rectiligne , les corps n’ont pas de liberté. Cette
recherche de liberté : Herbert Bayer , Gropius et Laszlo Moholy-Nagy : DESIGN de
l’exposition des syndicats ouvriers du bâtiments : ce n’est pas vraiment une expo d’art tradi.
Cherche à fusionner tt les art & transformer l’environnement de vie. Enjeu social. Les choses
qui sont exposé transforme les choses environnante : objet de nature diff , photo de gens en
réunion , des vues d’ensemble , portrait surdimensionné. Ce sont des diagrammes qui
reflètent un bilan d’entreprises qui deviennent des éléments graphiques et visuels ( photo ,
diagramme ,la coupure de journal) . Grande hétérogénéité de choses présentées qui sont
décryptées avec des pts de vue différents. C’est une sorte de grd photomontage à l’échelle
de l’espace qui sollicite notre œil , omission. De manière dynamique à l’expo. Ref à Lanzsky
avec les murs en lattes ( dissoudre le mur en illusion , le mur est porteur de sens. Latte en
bois et en métal). Même dispositif avec une image reproduite sur un dispositif sur des lattes.
On découvre le personnage en se déplaçant qui nous donne un effet de proximité ( limite en
tête à tête) , pour la voir il faut marcher ce qui donne une dimension poli et l’identification à
la personne.

- jeux des échelles ( photomontage)

- Le spectateur doit se déplacer

- défilement des images comme au cinéma ( trad du cinéma sur l’environnement)

démarche d’expositions didactique : objets qui transmettent des co ( photo , textes) vont
intéressé les avants gardes ds les années 20-30 , soif de désir d’aller au-delà de l’art au
sens du terme . Environnement nouveau et dynamique de nouveaux arts et réponds au
désir des artistes de changer le spectateur. 1928 : El Lissitzky : Amménagement du pavillon
soviétique à l’Exposition internationale Fresco [La Presse] :

- vue générale

- détail : les transmission

Il va influencer plsrs artistes.

Les transmission ( imprimerie trad : dans le ciné c’est un sujet qu’il les intéressent.) La
presse est le moyen de touché le public. Il a envie de montrer diff manière de toucher le
public. 3 transmissions : La première transmission : Le rouleau d’impression d’une presse ;
la deuxième : la pélicule qui tourne dans un sys rotatif. Le rouleau tourne et les images
défilent. Se traduit par l’idée même de spatialiser le montage). Cette photo murale est
montrée comme un énorme photomontage. Diff dimensions qui rythment notre parcours ,
mouv du corps ( pris en considération) et déployer une vision étendue pour voir. Dispositif
qui est présent pour décoder , décrypter et rythmer le regard.

13
C’est une manière d’intégrer l’art dans la réalité sans passer par l’écrit en donnant une
puissance au visuel et en cumulant des diff arts ( propriété de la photo , …). Travaille sur
des images instables ( diff de regarder , diff pts de vues) ou le spectateur doit reconstruire
par son déplacement.

Idée du spectateur promeneur qui n’est pas statique et qui avec le deplacement de son
corps active le sys d’expo

- la ref du modèle cinématographique qui permet de traduire spatialement le photomontage


qui est activé par le mouv de son corps.

Idée d’avoir un langage visuel efficace.

cumulé les diff art

intégrer l’art à la réalité

éduquer le spectateur ( cause , visuel )

Procéder à une structure instable , déconstruite et son but est de reconstruire ;

c) Projet de Herbert Bayer ;

Il va rapidement être demandé pour l’expo : plan d’expo du bauhaus 1919-28

Road to Victory 1942 : le principe de montage , entre mobilité de la perception et souci de la


circulation : on est dans cette idée ( grande mobilité) et contrainte ( contrôlé la circulation). Il
va inventer un espace dans l'espace. Il va introduire énormément de courbe. Les murs sont
courbes , ils suivent la dimension organique de la vue plutôt que l’architecture. Les murs
sont indé de L‘architecture. Contre en guerre. Expo en parallèle avec Pearl Harbor , le pays
va mobiliser sa pop pour aller en guerre. C’est une commande idéologique , expo qui rend
cette idée , qui appelle à la mobilisation. C’est une route vers la victoire contre l’ennemie
nazie et à l’échelle mondiale. Première créat pour montrer la premiere appartenance à la
terre , alternance des format , les courbes , les images se dévoilent au cours que l’on
marche et donne un sentiment d'identification à la nature. On aura des images qui défilent et
avec plsrs ponctuation. Ce sont des images avec diff métiers , activités quo. Sentiment
d’idendification en montrant les gens qui peuplent en Amérique heureux. Rupture ds
l’espace de l’expo ( spatial , symbolique) en montrant un mise en danger par ce diptyque
ouvert comme un livre. On voit une figure holywoodien ( macho , héro , mature de l’age) , à
droite une explosion. Un homme seul dans les nuages qui défie l’explosion. Par terre nous
avons deux asiatiques rigoler en regardant l’explosion , par le dispositif spatial se moque de
ces militaires japonais. Ce militaire là défie l’homme américain. Rupture dans l’espace oblige
un temps d'arrêt et un temps d'identification , en tant que citoyen américain on est obligé de
s’identifier au héros. Dispositif ami / ennemie mis en scène. Dispositif spatial de 180 C° . On
arrive à un nouveau dispositif d’identification par une immense photo murale que l’on voit
graduellement , tout est unifié. Nous n’avons plus le choix de voir les fragments mais là on
nous impose de le regarder. Cela porte la trace des années 20 mais nous sommes plus
dans le dynamisme et de fragment mais + dans le contrôle et diriger.

d) élément de réflexions :

14
- la conception de l’exposition pour Herbert Bayer à partir de son texte de 1961

- Quand il y a t-il un spectateur libre

- L’exposition didactique , un média de masse à l’heure de la reproductibilité technique.

On peut considérer que l’exposition est un média de masse qui combine les atouts (
journal filmé) et qui rend très concret en le disposant dans un espace de vie.

H.Bayer extraits de « aspects of design of exhibitions and museums »

design = conception / imagination

les expositions sont du design dans l’espace , les éléments architecturaux organise les ….

Les éléments d’incorporation doivent être intériorisé dans un schéma , on volonté une
impression , de produire un effet sur le visiteur ;

Objectif du concepteur : intensifier la communication. Car on est attaqué de manière


récurentes de messages publicitaire . On doit amiliorer nos techs de comm et maintenir les
attaques . Il dit « le design d’expo a évoluer comme une nouvelle discpline » . L’expo
integre ts les médias ,un effet collectif , effort collectif . Il comprend du langage imprimé , du
son , image , des médias structuraux , de la couleur , la lumière , displace ,diagramme ,
stats , mouvement , film . L’implication mentale et psychologique exercée et de l’impression
sur le public. Langage nouveau intensifier devient une application du graphisme
architecturale , la psychologie publicitaire au concept de l’espace , la lumière et la
couleur avec le mouv et du son. ...

le moyen d’expo + fort que les art

ccl :

- exposition et photographie , deux aspects de la reproductibilité de l’art moderne

Benjamin :

- On ne peut pas faire semblant que la reproductibilité n’existe ( voir Anais)

la reproduction se distingue de l’image .L’image originale dure dans le temps et demande la


contemplation vs la reproduction se caractérise par la fugacité et la répétition. Le temps

15
n’est pas stable , fugitif. Qlque chose à changer dans le monde que l’on éprouve. Distinction
entre l’œuvre originale ( appartient à un régime rituel) et œuvre reproductible ( perte du
caractère unique) . L’oeuvre s’émancipe du cadre parasitaire du rituel. Le rituel est un
rapport très codé que l’on a l’art , rituel de l’art , musée. De plus en plus l’oeuvre d’art
reproduite devient reproduction d’une œuvre d’art conçue pour être reproductible. Mais dès
lors que le critère d’authenticité n’est plus applicable à la production artistique , toute
fonctio….

Voire diapo tel Benjamin :

- perte de l’unicité de l’oeuvre de la notion : affirmation de la reproductibilité et du multiples

- nouveau régime temporel : actualité , fugacité , possible , répétition

- nouveau destinataire de masse ( plutot que le spectateur individuel intime)

- régime de distraction dans la reception ( collective) et de perception ( étendue , grâce à la


technologie)

-nouvelles condition de production des œuvres (œuvre par def reproductible et mobile)

- la fonction de l’art change : passagr rituel à une praxis : potentiel d’émancipation selon
Benjamin ( ex : DADA, cinéma) mais aussi danger

- danger : esthétisation du politique , ex : dans le cas facisme. ( Giusseppe Terragni ,


exposition de la revolution faciste de 1932 et Sala 0 dédié à la Marche sur Rome de 1922)

CM05

L’industrialisation des dispositifs expositionnels dans les années 1950.

Deux études de cas :

1) Designer George Nelson

2) Richard Hamilton et le pop art britannique

comment ce phénomène qui envahit en qlque sorte les pratique art / expo art va aetre
tourné a profit dans le pop art britannique pour dépasser une œuvre d’art en tant que tel
pour penser l’expo en un œuvre d’art en elle meme ?

16
1)

A) Le travail de designer de Nelson dans le contexte de son époque :

née en 1908-1986 est designer. La chais. de noix de coco , lampe à bulle 1952. , horloge à
boule. Épurement , érgonomie et fonctionnelle. Histo de design pr ces sys , objets
multifonctionnelle : prototypes dans les espace de travail et en haut buffet en 1946. Objet qui
est en économie des moyens. Pas de superflux. Storage wall ( mur de rangement) photo
parue dans life magazine en 1946 = femme de maison submergé et désemparé par ce
chaos , prenez un mur de rangement vous allez tout ranger. Compréhensive starage system
1959 : meuble pour tout ranger au couleur du drapeau américain. Meuble ergonomique ,
multifonctionnelle et économique , écologique. On va retrouver ces mm caractéristiques
chez ….

b) le dispositif d’exposition struc-tube et le livre display :INSISTANCE SUR LES SYS


DISPOSITION « autonome »

Il va penser à un sys autonome. Au lendemain de la 2GM 1947 il va parler de StrucTube , il


va publié le livre en 1953. On va retrouver un aboutissement de certaines idée de Bayer :
important travail de reduire le non essentiel. Placer dans l’air du futur : faire ref a ce que l’on
connaît ( suspension des œuvres) , il fallait que les supports soient le moins visible ,
contraignant. Comment alléger , simplifier , synthétiser la mise en expo. Élément
mondulaires : première invention du dispositif stocké :

- des tubes en alu qui sont de deux formats , grde simplification des matériaux , légère

- socle qui sont des bases prenantes , les rendre invisible = but

- panneaux

1848 : vue d’agencement lors de l’exposition The artist in social 1948 : il va expérimenter
son dispositif la première fois. Expo d’affiche , photo , l’artiste communique sur son travail.
L’expo est un moyen de communication avt tout. Il s’agit de communiquer vs expérience
esthétique. Agencement de diff choses. Il occupe de la déambulation. Ne dépend pas de
l’espace , du lieu ( mur / plafond). Dispo géométrique qui repose sur une règle simple et est
modulaire. Volonté d’inventer un dispositif d‘expo absolue. Détails du livre de G.N , Display
1953 , section « sys » : expose des œuvres et si on regarde bien il a amélioré , on ne voit
plus les bases , les tiges deviennent plus légère. Travelling Exhibit : dispo usage
commerciale , dispo expérimenté nommé flexible display par Carreiro , W.Daley , Q.Quillin.
Expo scientific : dispo d’origine hongroise Tubes et jonction , on retrouve Bayer expo
démontable mais organiser pour une entreprise indus ( pas ds le contexte muséale mais
corporative). Image / objet ont les dispo qui sont les même. Quantité de variations autour du
gris , ts les designer se mettent à expérimenter pou acceuillir les objets a exposer (
ergonomie , …). Dev de l’indus , dispo qui repond a une époque , au lendemain de la 2GM ,
une volonté du retour de la conso , confiance du progrès de l’indus. Il réunit ts ces exemples
, il fait l’éloge de ces sys modulaires à base d’une unité structurelle standarisé qui peut être
legere , flexible , facile a mouvoir , construire et déconstruire. Ce sont les nouvelles
caractéristiques de l’époque & espace. Ce nouveau sys ne resulte pas le fait d’un progrès
technologique , c’est « resulte d’un changement de notre sentiment à l’égard de l’espace » .
Pdt des siècles nous étions dans la construction des espaces permanent = doivent durer.
Nous avons un nouveau sentiment de l’espace basé sur une structure éphémère qui

17
n’inspire pas l’éternité. Elle doit être transportable. Construction éphémère : pensée la
maison préfabriqué. Mais nous sommes dans le conrexte de la 2GM. Confiance dans le
domaine de l’indus & progrès pour toucher un + grd nbr faire des choses éphéméride =
Nouvelle conception de l’espace. Moindre poids , le moindre effort. Dispo peuvent non
seulement acquérir des artefacts et peuvent aller partout.

Les Utopies ou nous avons deux versants :

- grâce a ce sys on peut avoir une extension modulaire potentiellement infini ( pas de
début et de fin) qui ne dépend plus de contraintes spatiale données : s’affranchir du lieu !

- Application universelle qui s’applique à tous et fait aussi la main d’oeuvre


particulière. Comment rendre ça le + simple possible. Elle répond aussi qui est ce
phénomène la taylorisation et industrialisation. Idée de circulation ( = voyage en avion , dev
de la tv , communication , le voyage spatiale = l’ho libre et non contraint par l’espace) .
Versant plus soumis a une logique de rendement , indus.

< exposition Harmonie et Proportions , Triennale de Milan 1951 : labyrinthe visuel

Nelson, Jungle gym , aménagement du pavillon en verre de Welton Becket lors de


l'exposition nat américaine Moscou : ref Bauhaus , constructivisme.

Martin Beck :

vie au EA. Travaille avc Julie Ault ( grp Mati-ville). Dès 2006 , M.B, Installation.

Artiste néo conceptuel , il s'intéresse aux idées des projets artistique reflet le
questionnement d’époque.

< photogramme de son film , About the relative size of things un the Universe 2007 : a la fois
un sys flexible , souple et extensibilité infini. Aspect contraignant , rigide et contrôlant de ce
sys qui est répétitif que n’importe qui peut faire et économique de la main d’oeuvre. 2 jeunes
( garçon / fille) font un travail que l’on a payé , ils vont prendre les diff éléments et vont
monter le dispositif dans commentaire , et on voit le geste répétitif et non spé. On voit un
autre perso avec des prospectus qui renvoi à la gréve , lutte ouvrière , le dialogue de ne
passe pas entre le travaille de la chaîne et les jeunes. Ils vont monter et dispositif et le
démontent. Ils refusent d’aller vers une réflexion de la tache elle même. Une fois montée le
sys contient trois autres panneaux qui sont les 3 couleurs primaires. Elle est sous forme de
grille. Les trois couleurs primaires montrent la simplicité , qu’avec ça on peut faire plusieurs
couleur. Ref aussi Mondrian , Kandinsky ( théorie de la couleur) . Att une des voix ce sys en
grille , un sys indu et capitaliste = on arrive a qlque chose de dangereux / contraignant.
Utopie de libération vs dystopie de contrôle. Régule en le libérant. Ambiguïté d’une liberté
potentielle et d’une sté capitaliste. Travail sur les couleur et formes qui ne circule pas ds un
monde sans repaire , ils sont rattrapé dans le monde où on vit. Lest tracts vont côtoyer le
sys.

2) Usages de l’exposition comme dispositif et/ou œuvre dans le pop art britannique des
années 50

18
Autour de r.Hamilton (1922-2011) et de l’indépédence GROUP Londres

Institute of Contemporary Arts à Londre , fondé en 1952 :

R.Hamilton

Niguel Handerson

John McHale

Eduardo Paolozzi

art à l’ancienne ou nouveauté qui vient de la sté de masse et de conso ?

a) intérêt pour les representation produites par la culture pop , scientifique & technologie

Interet culture pop ( bd , ciné , presse, pub ) , scientifique ( image scientifique) , technologie (
image technologique , outil de vision : téléscope , appareil photo). Mettre en parallele toutes
ces representation . Expo = moyen d’expérimentation de leurs idées.

E.Paolozzi : fait des collage a partir des élléments de la culture pop sans interventions
supplémentaire « Rich Man » collage from Bunk en 1947

démarche scientifique = étudier ce que les representation nous disent , il fait des atalas pour
savoir quel types de stéréotypes de comportements ? Les pubs nous façonnent.

I was Rich Man Plaything

Hamilton , hommage a chrysler , corps , 1957 :;le corps qui est une machine , le corps de la
voiture elle meme comme un corps désirable ( en parallèle a la fê) ref aussi a duchamps ;

énigme a décrypter

étude de ces nouveaux fantasme que nous procure la pub ‘( tv , film holywood)

< AAH , 1962 : levier de vitesse que l’on caresse de maniéré érotique

R.Hamilton , ldef de l’art pop pratiqué par l’independant Group :

« c’est un art pop transitoire non indispensable , peu couteux , produit en masse n jeune ,
facétieux , sexy , gadget , glamoureux, grand business »

ref au l’éco (peu coûteux) et aussi ref de l’éphémérité.

19
< CATALOGUE DE L’EXPO PARALLEL OF ART LIFE 1953 :

moyen de se questionner

tout nu à londre dans

interet imagerie technologique ( imagerie médicale , pub pour un rasoir )

- nous avons dans cette expo :

. que des reproductions

. pictogramme ( langage scientifique , langage ancien)

. image scientifique

. photo des corps hu

. reprod des art classiques

. élément venant de la nature

. photo de mouv ds diff contexte

. moyen de locomotion

. pdv aérien

. vue téléscopique , microscopique

espace entier est enveloppé par les photos et pas de cartel alors nous sommes perdue et
envelloper. Idée = être sur le même dénominateur photo. Si nous apprenons à regarder les
images nous pouvons voir les liens entre le microscosme et le macrocosme , les cellule et le
paysage. Avoir le savoir absolue par le moyen d’image. Destabiliser nos certitudes ,
catégories ( le fait de tout catégoriser). Imaginer un langage des formes / des images qui
seraient universel . Une volonté de tt exposé et de mettre sur le même dénominateur
commun. L’art = vie. Héritage de Bayer. 2 ans plus tard hamilton ,

< Man , machine and Motion 1955 :

Conception de Hamilton ;

atteindre ce que sa morpho hu ne peut pas atteindre ( la plongé , le vol)

REF A DARWIN

échelle diff

plafonnd et murs occupé

20
+ symétrique

structure modulaire : cadre en acier , panneaux flexible ( forme cubique) qui matérialise le
sujet de l’expo + zoom images

PRENDRE conscience de notre mouv

les artistes avaient vu déjà des images comme celle ci

forme de grille = sys

dispo modulaire et structurelle qui a une certaine liberté. Usage moins rigoureux. Pour
Hamilton ,il exploite toute la dimension de l’espace comme un labirinthe structure. Sollicite le
spectateur par l’accrochage. Le support photo est unificateur entre l’ho et la machine lui
donne un nouveau mythe. Fondation d’une mythologie nouvelle.

< Exhibit (= objet que l’on expose / expo dans son ensemble) : exposition conçu par
Hamilton , Victor Pasmore et Lawrence Alloway 1957 :

panneaux plexi translucide

structure en grille est tjrs là ( suspension)

il utilise des cadres en nylon

ref de l’utopie de bayer ( objet suspendu en l’air avec un support invisible)

sur ces cadres en nylon nous avons des panneaux de plexi translucide de diff couleurs sont
disposé des hauteurs diff , ils ont diff opacité selon leurs couleurs sont distribuer a travers
des grilles. Qd le visiteur est dedans , les images projeté seront abstraites. Sur certains
panneaux , éléments de collage pr accentuer la multiplicité des formes. ON PERD nos
repaires spatiaux car effet de transparence , reflet. Il fallait peuplé l’expo , si on est dans le
labyrinthe , on peut voir de manière fantomatique les personnes autour de nous. Comme si
les corps se dissout comme en photo. Hamilton l’expo devient sa propre justification. L’expo
s’approprie un sys géo , modulaire et oublie le lien de communication mais au profit de
l’exploration des effets de perception. Nous sommes amené a voir des combi de couleur et
de corps autour de nous. 2 ans plus tard Hamilton refait l’exposition « Exhibuts II » en 1959.
Structure visible , cadre en acier et dispose les panneaux translucide de plexi , dans cette
deuxième version : on voit une réutilisation d’un sys en grille , il va intégré ces panneaux qui
ne véhiculent pas un sens précis mais qui nous amène a jouer et a faire l’expérience des
plans coloré de l’espace et transforme notre perception de l’autrui. En le mettant ensemble ,
il nous transforme.Ces deux versions reposent sur cette idée que l’expo peut gerer un
espace de perception et non ce communication

CM05

L’industrialisation des dispositifs expositionnels dans les années 1950.

Deux études de cas :

1) Designer George Nelson

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2) Richard Hamilton et le pop art britannique

comment ce phénomène qui envahit en qlque sorte les pratique art / expo art va aetre
tourné a profit dans le pop art britannique pour dépasser une œuvre d’art en tant que tel
pour penser l’expo en un œuvre d’art en elle meme ?

1)

A) Le travail de designer de Nelson dans le contexte de son époque :

née en 1908-1986 est designer. La chais. de noix de coco , lampe à bulle 1952. , horloge à
boule. Épurement , érgonomie et fonctionnelle. Histo de design pr ces sys , objets
multifonctionnelle : prototypes dans les espace de travail et en haut buffet en 1946. Objet qui
est en économie des moyens. Pas de superflux. Storage wall ( mur de rangement) photo
parue dans life magazine en 1946 = femme de maison submergé et désemparé par ce
chaos , prenez un mur de rangement vous allez tout ranger. Compréhensive starage system
1959 : meuble pour tout ranger au couleur du drapeau américain. Meuble ergonomique ,
multifonctionnelle et économique , écologique. On va retrouver ces mm caractéristiques
chez ….

b) le dispositif d’exposition struc-tube et le livre display :INSISTANCE SUR LES SYS


DISPOSITION « autonome »

Il va penser à un sys autonome. Au lendemain de la 2GM 1947 il va parler de StrucTube , il


va publié le livre en 1953. On va retrouver un aboutissement de certaines idée de Bayer :
important travail de reduire le non essentiel. Placer dans l’air du futur : faire ref a ce que l’on
connaît ( suspension des œuvres) , il fallait que les supports soient le moins visible ,
contraignant. Comment alléger , simplifier , synthétiser la mise en expo. Élément
mondulaires : première invention du dispositif stocké :

- des tubes en alu qui sont de deux formats , grde simplification des matériaux , légère

- socle qui sont des bases prenantes , les rendre invisible = but

- panneaux

1848 : vue d’agencement lors de l’exposition The artist in social 1948 : il va expérimenter
son dispositif la première fois. Expo d’affiche , photo , l’artiste communique sur son travail.
L’expo est un moyen de communication avt tout. Il s’agit de communiquer vs expérience
esthétique. Agencement de diff choses. Il occupe de la déambulation. Ne dépend pas de
l’espace , du lieu ( mur / plafond). Dispo géométrique qui repose sur une règle simple et est
modulaire. Volonté d’inventer un dispositif d‘expo absolue. Détails du livre de G.N , Display
1953 , section « sys » : expose des œuvres et si on regarde bien il a amélioré , on ne voit
plus les bases , les tiges deviennent plus légère. Travelling Exhibit : dispo usage
commerciale , dispo expérimenté nommé flexible display par Carreiro , W.Daley , Q.Quillin.
Expo scientific : dispo d’origine hongroise Tubes et jonction , on retrouve Bayer expo
démontable mais organiser pour une entreprise indus ( pas ds le contexte muséale mais

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corporative). Image / objet ont les dispo qui sont les même. Quantité de variations autour du
gris , ts les designer se mettent a experimenter pou acceuillir les objets a exposer (
ergonomie , …). Dev de l’indus , dispo qui repond a une époque , au lendemain de la 2GM ,
une volonté du retour de la conso , confiance du progrès de l’indus. Il réunit ts ces exemples
, il fait l’éloge de ces sys modulaire a base d’une unité structurelle standarisé qui peut être
legere , flexible , facile a mouvoir , construire et déconstruire. Ce sont les nouvelles
caractéristiques de l’époque & espace. Ce nouveau sys ne resulte pas le fait d’un progrès
technologique , c’est « resulte d’un changement de notre sentiment à l’égard de l’espace » .
Pdt des siècles nous étions dans la construction des espaces permanent = doivent durer.
Nous avons un nouveau sentiment de l’espace basé sur une structure éphémère qui
n’inspire pas l’éternité. Elle doit être transportable. Construction éphémère : pensée la
maison préfabriqué. Mais nous sommes dans le conrexte de la 2GM. Confiance dans le
domaine de l’indus & progrès pour toucher un + grd nbr faire des choses éphéméride =
Nouvelle conception de l’espace. Moindre poids , le monter du moindre effort. Dispo peuvent
non seulement acquérir des artefacts et peuvent aller partout.

Les Utopies ou nous avons deux versants :

- grâce a ce sys on peut avoir une extension modulaire potentiellement infini ( pas de
début et de fin) qui ne dépend plus de contraintes spatiale données : s’affranchir du lieu !

- Application universel qui s’applique a tous et fait aussi la main d’oeuvre particulière.
Comment rendre ça le + simple possible. Elle répond aussi qui est ce phénomène la
taylorisation et industrialisation. Idée de circulation ( = voyage en avion , dev de la tv ,
communication , le voyage spatiale = l’ho libre et non contraint par l’espace) . Versant plus
soumis a une logique de rendement , indus.

< exposition Harmonie et Proportions , Triennale de Milan 1951 : labyrinthe visuel

Nelson, Jungle gym , amménagement du pavillon en verre de Welton Becket lors de


l’exposion nat américaine Moscou : ref Bauhaus , constructivisme.

Martin Beck :

vie au EA. Travaille avc Julie Ault ( grp Mati-ville). Dès 2006 , M.B, Intallation.

Artiste néo conceptuelle , il s’interesse dont les idées des projets artistique reflet le
questionnement d’époque.

< photogramme de son film , About the relative size of things un the Universe 2007 : a la fois
un sys flexible , souple et extensibilité infini. Aspect contraignant , rigide et contrôlant de ce
sys qui est répétitif que n’importe qui peut faire et économique de la main d’oeuvre. 2 jeunes
( garçon / fille) font un travail que l’on a payé , ils vont prendre les diff éléments et vont
monter le dispositif dans commentaire , et on voit le geste répétitif et non spé. On voit un
autre perso avec des prospectus qui renvoi à la gréve , lutte ouvrière , le dialogue de ne
passe pas entre le travaille de la chaîne et les jeunes. Ils vont monter et dispositif et le
démontent. Ils refusent d’aller vers une réflexion de la tache elle même. Une fois montée le
sys contient trois autres panneaux qui sont les 3 couleurs primaires. Elle est sous forme de
grille. Les trois couleurs primaires montrent la simplicité , qu’avec ça on peut faire plusieurs
couleur. Ref aussi Mondrian , Kandinsky ( théorie de la couleur) . Att une des voix ce sys en
grille , un sys indu et capitaliste = on arrive a qlque chose de dangereux / contraignant.

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Utopie de libération vs dystopie de contrôle. Régule en le libérant. Ambiguïté d’une liberté
potentielle et d’une sté capitaliste. Travail sur les couleur et formes qui ne circule pas ds un
monde sans repaire , ils sont rattrapé dans le monde où on vit. Lest tracts vont côtoyer le
sys.

2) Usages de l’exposition comme dispositif et/ou œuvre dans le pop art britannique des
années 50

Autour de r.Hamilton (1922-2011) et de l’indépédence GROUP Londres

Institute of Contemporary Arts à Londre , fondé en 1952 :

R.Hamilton

Niguel Handerson

John McHale

Eduardo Paolozzi

art à l’ancienne ou nouveauté qui vient de la sté de masse et de conso ?

a) intérêt pour les representation produites par la culture pop , scientifique & technologie

Interet culture pop ( bd , ciné , presse, pub ) , scientifique ( image scientifique) , technologie (
image technologique , outil de vision : téléscope , appareil photo). Mettre en parallele toutes
ces representation . Expo = moyen d’expérimentation de leurs idées.

E.Paolozzi : fait des collage a partir des élléments de la culture pop sans interventions
supplémentaire « Rich Man » collage from Bunk en 1947

démarche scientifique = étudier ce que les representation nous disent , il fait des atalas pour
savoir quel types de stéréotypes de comportements ? Les pubs nous façonnent.

I was Rich Man Plaything

Hamilton , hommage a chrysler , corps , 1957 :;le corps qui est une machine , le corps de la
voiture elle meme comme un corps désirable ( en parallèle a la fê) ref aussi a duchamps ;

énigme a décrypter

étude de ces nouveaux fantasme que nous procure la pub ‘( tv , film holywood)

< AAH , 1962 : levier de vitesse que l’on caresse de maniéré érotique

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R.Hamilton , ldef de l’art pop pratiqué par l’independant Group :

« c’est un art pop transitoire non indispensable , peu couteux , produit en masse n jeune ,
facétieux , sexy , gadget , glamoureux, grand business »

ref au l’éco (peu coûteux) et aussi ref de l’éphémérité.

< CATALOGUE DE L’EXPO PARALLEL OF ART LIFE 1953 :

moyen de se questionner

tout nu à londre dans

interet imagerie technologique ( imagerie médicale , pub pour un rasoir )

- nous avons dans cette expo :

. que des reproductions

. pictogramme ( langage scientifique , langage ancien)

. image scientifique

. photo des corps hu

. reprod des art classiques

. élément venant de la nature

. photo de mouv ds diff contexte

. moyen de locomotion

. pdv aérien

. vue téléscopique , microscopique

espace entier est enveloppé par les photos et pas de cartel alors nous sommes perdue et
envelloper. Idée = être sur le même dénominateur photo. Si nous apprenons à regarder les
images nous pouvons voir les liens entre le microscosme et le macrocosme , les cellule et le
paysage. Avoir le savoir absolue par le moyen d’image. Destabiliser nos certitudes ,
catégories ( le fait de tout catégoriser). Imaginer un langage des formes / des images qui
seraient universel . Une volonté de tt exposé et de mettre sur le même dénominateur
commun. L’art = vie. Héritage de Bayer. 2 ans plus tard hamilton ,

< Man , machine and Motion 1955 :

Conception de Hamilton ;

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atteindre ce que sa morpho hu ne peut pas atteindre ( la plongé , le vol)

REF A DARWIN

échelle diff

plafonnd et murs occupé

+ symétrique

structure modulaire : cadre en acier , panneaux flexible ( forme cubique) qui matérialise le
sujet de l’expo + zoom images

PRENDRE conscience de notre mouv

les artistes avaient vu déjà des images comme celle ci

forme de grille = sys

dispo modulaire et structurelle qui a une certaine liberté. Usage moins rigoureux. Pour
Hamilton ,il exploite toute la dimension de l’espace comme un labirinthe structure. Sollicite le
spectateur par l’accrochage. Le support photo est unificateur entre l’ho et la machine lui
donne un nouveau mythe. Fondation d’une mythologie nouvelle.

< Exhibit (= objet que l’on expose / expo dans son ensemble) : exposition conçu par
Hamilton , Victor Pasmore et Lawrence Alloway 1957 :

panneaux plexi translucide

structure en grille est tjrs là ( suspension)

il utilise des cadres en nylon

ref de l’utopie de bayer ( objet suspendu en l’air avec un support invisible)

sur ces cadres en nylon nous avons des panneaux de plexi translucide de diff couleurs sont
disposé des hauteurs diff , ils ont diff opacité selon leurs couleurs sont distribuer a travers
des grilles. Qd le visiteur est dedans , les images projeté seront abstraites. Sur certains
panneaux , éléments de collage pr accentuer la multiplicité des formes. ON PERD nos
repaires spatiaux car effet de transparence , reflet. Il fallait peuplé l’expo , si on est dans le
labyrinthe , on peut voir de manière fantomatique les personnes autour de nous. Comme si
les corps se dissout comme en photo. Hamilton l’expo devient sa propre justification. L’expo
s’approprie un sys géo , modulaire et oublie le lien de communication mais au profit de
l’exploration des effets de perception. Nous sommes amené a voir des combi de couleur et
de corps autour de nous. 2 ans plus tard Hamilton refait l’exposition « Exhibuts II » en 1959.
Structure visible , cadre en acier et dispose les panneaux translucide de plexi , dans cette
deuxième version : on voit une réutilisation d’un sys en grille , il va intégré ces panneaux qui
ne véhiculent pas un sens précis mais qui nous amène a jouer et a faire l’expérience des
plans coloré de l’espace et transforme notre perception de l’autrui. En le mettant ensemble ,
il nous transforme.Ces deux versions reposent sur cette idée que l’expo peut gerer un
espace de perception et non ce communication

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