NOTES D'ÉTUDE DE MI-SESSION D'ARTH

TERMES

Analyse formelle
 un type spécifique de description visuelle où l'explication de la structure visuelle, de la
manière dont certains éléments visuels ont été disposés et fonctionnent au sein d'une
composition
 le but de l'analyse formelle est de comprendre comment un artiste a construit une œuvre
d'art
 Au cours de la deuxième semaine de visionnage de « Comment faire une analyse visuelle
(formelle) en histoire de l'art » par le Dr Steven Zucker et le Dr Beth Harris, nous
apprenons que :
 L'analyse formelle ne discute pas de l'iconographie, c'est-à-dire de ce que symbolise une
œuvre d'art, de son histoire ou de sa signification. Plutôt:
 Nous nous concentrons sur ce que nous pouvons voir physiquement : (échelle,
composition, espace pictural, forme, ligne, couleur, lumière, ton, texture, motif)

Le colonialisme de peuplement
 un type distinct de colonialisme qui fonctionne grâce au remplacement des populations
autochtones par une société de colons envahissante qui, au fil du temps, développe une
identité et une souveraineté distinctes
 un système de pouvoir permanent qui perpétue le génocide et la répression des peuples et
des cultures autochtones
 normalise l'occupation continue des colons, exploitant les terres et les ressources avec
lesquelles les peuples autochtones ont des relations généalogiques
 cherche à remplacer la population originelle du territoire colonisé par une nouvelle
société de colons.
 repose sur une domination exogène, généralement organisée ou soutenue par une autorité
impériale.
 Le colonialisme de peuplement a remplacé la culture autochtone par une société de
colons envahissante
 Au cours de la quatrième semaine de lecture par Adam Barker et Emma Battell Lowman,
« Définition du colonialisme de colonisation », Global Social Theory, ils expliquent
comment :
 Le colonialisme s'est produit au Canada, aux États-Unis, en Australie et en Afrique du
Sud
 Les impacts du pouvoir de l’État colonial sur la politique mondiale
 ont l’intention d’occuper et d’affirmer de manière permanente la souveraineté sur les
terres autochtones
 persiste dans l’élimination continue des populations autochtones et dans l’affirmation de
la souveraineté de l’État et du contrôle juridique sur leurs terres
 une tentative d'éliminer les défis posés à la souveraineté des colons par les revendications
foncières des peuples autochtones en éliminant les peuples autochtones eux-mêmes et en
affirmant de faux récits et structures d'appartenance des colons
Musées
 un bâtiment dans lequel sont stockés et exposés des objets d'intérêt historique,
scientifique, artistique ou culturel.
 La façon dont un musée présente les œuvres influence la façon dont vous les comprenez
 Mission AGO : rassembler les gens grâce à l'art pour voir, expérimenter et comprendre le
monde d'une nouvelle manière (attirer les gens)
 institution qui s’occupe d’une collection d’artefacts et d’autres objets d’importance
artistique, culturelle, historique ou scientifique. De nombreux musées publics mettent ces
objets à la disposition du public à travers des expositions qui peuvent être permanentes ou
temporaires.
 une institution permanente à but non lucratif au service de la société et de son
développement, ouverte au public, qui acquiert, conserve, recherche, communique et
expose le patrimoine matériel et immatériel de l'humanité et de son environnement à des
fins d'éducation, d'étude et de plaisir. .
 Au cours de la deuxième semaine de visionnage de « Comment visiter un musée d'art »,
nous apprenons que :
o Il est important de poser des questions
o Ne touche à rien
o Prendre des photos des étiquettes
o Ce que vous retirez de l'expérience muséale dépend de ce que vous y mettez
o Encouragez-nous à aller au musée !

Centres d'artistes autogérés

 galeries et espaces d'art développés par des artistes au Canada depuis les années 1960.
 fournir un lieu alternatif au système établi de galerie d'art et aider également l'artiste à
installer l'œuvre et facilitera souvent la création d'un texte critique publié conjointement
avec l'exposition.
 organisations créées et gérées par des artistes au Canada.
 ont été fondées sur le principe que les artistes avaient besoin de plus d'opportunités de
réseauter avec d'autres artistes, ainsi qu'avec des galeristes, des conservateurs, des
écrivains, etc.
 Un exemple de centre d’artistes autogéré est A Space.
 Animé par des artistes/bénévoles
 Montre de l'art expérimental
 Financé par le gouvernement.
 Au cours de la semaine 9 de visionnage de la tournée vidéo A Space (un centre d'artistes
géré) avec la directrice/conservatrice, Vicky Moufawad-Paul, nous apprenons que :
 Une galerie spatiale est le plus ancien centre d'artistes dirigé par des artistes au Canada
 Navire rempli des artistes qui l'utilisent
 fait partie d'un système parallèle (différent des systèmes qui s'intéressent autant à l'art
national qu'à l'art commercial)
 un véritable art canadien plus expérimental et ouvert
 Le centre d'artistes géré est une organisation à but non lucratif, gérée par des bénévoles.
  Présenter des artistes émergents, intermédiaires et établis (pas de communautés
dominantes)
 gagner de l'argent en comptant sur les subventions et les dons du gouvernement et
rémunérer leurs artistes

 Au cours de la semaine 9, lecture de Nicholas Brown et Jaclyn Bruneau « Les centres

d'artistes autogérés sont-ils toujours pertinents ? ils mentionnent que :
 LES CENTRES D'ARTISTES GÉRÉS SONT LE « TISSU CONJONCTIF » QUI LIEN
LES ARTISTES À TRAVERS LE pays -- AA BRONSON
 Les centres d'artistes sont comme un « centre communautaire » qui accueille non
seulement des expositions d'art visuel, mais aussi des événements de toutes sortes.
 Les ARC ne vendent pas d’œuvres d’art, mais ils le font…..
 À quoi servent les arcs :
o peut montrer un travail qui n’est pas établi ou commercial
o peut soutenir le travail des personnes issues de communautés marginalisées, qui
ont peu de chances d’être reconnues par les grandes institutions ou les marchés
commerciaux
o peut fournir une représentation professionnelle (je pense à la distribution et aux
galeries gérées par des artistes) qui insiste pour que les artistes soient payés pour
l'exposition de leurs œuvres, afin que les artistes ne soient pas constamment
confrontés à la promesse d'une « exposition » au lieu d'un paiement
o peut soutenir une véritable expérimentation

Art moderne
 L’art moderne cesse d’essayer de représenter la réalité et se concentre davantage sur
l’idée
 œuvre artistique produite au cours de la période s'étendant approximativement des années
1870 aux années 1980, et désigne les styles et les philosophies de l'art produit à cette
époque. Le terme est généralement associé à un art dans lequel les traditions du passé ont
été mises de côté dans un esprit d’expérimentation.
 Les œuvres produites à cette époque témoignent de l'intérêt des artistes pour réimaginer,
réinterpréter et même rejeter les valeurs esthétiques traditionnelles des styles précédents.
 L'art moderniste, c'est quand les gens ont commencé à passer de l'idée de créer quelque
chose dans la vie réelle (en prêtant attention aux éléments de l'art et du design) --- ce qui
n'est pas réaliste.
o Impressionnisme
o Cubisme
o Expressionnisme abstrait (ex : Jackson Pollock - faire glisser la douleur sur la
toile (mouvements de peinture)

Art conceptuel
 art dans lequel l’idée ou le concept présenté par l’artiste est considéré comme plus
important que son apparence ou son exécution.
 toute la planification et les décisions sont prises à l’avance, et l’exécution est une affaire
superficielle.
  l'art se concentre davantage sur l'idée que sur les aspects formels de l'œuvre
 Un bon exemple d'art conceptuel est « L'impossibilité physique de la mort dans l'esprit de
quelqu'un vivant » de Damien Hirst (1991). Hirst n'a pas créé physiquement cette œuvre
d'art à la main comme on le ferait pour une œuvre d'art traditionnelle, mais a plutôt
chargé un pêcheur d'attraper le requin. Ce type de processus créatif serait considéré
comme de l’art conceptuel dans la mesure où les artistes organisaient la conception de
l’œuvre d’art sans avoir à dessiner ou à construire l’œuvre elle-même. (l'art est fait par
des techniciens)

Nouveau média
 formes de médias qui sont informatiques et qui dépendent des ordinateurs pour la
redistribution.
 Ex : animations informatiques, jeux informatiques, interfaces homme-machine,
installations informatiques interactives, sites Web et mondes virtuels
 Livré numériquement
 Au cours de la semaine 3, on apprend que des artistes comme Tessa Nadine ont
utilisé de nouveaux médias comme le cinéma. Tessa s'est spécialisée dans les supports
physiques du film, ne raconte pas d'histoires (pas de début, milieu et fin)
Art haut/bas
 Grand art : apprécié par ceux qui ont le goût le plus cultivé. bon, qualité, revenus plus
élevés
 Le Low art : pour le grand public, accessible et facile à comprendre. n'ont pas
d'expérience dans la culture de haut niveau (ex : musique pop, folk, artisanat, bandes
dessinées, spectacles de lutte)
 Il n'y a pas de règles claires sur ce qui est considéré comme un art haut ou bas. Dans la
plupart des cas, il s'agit d'une question d'opinion basée sur des expériences et des
croyances passées.
Dans la conférence de Michael Zryd de la troisième semaine, nous apprenons que l'art
haut/bas :
 Se rapporte à la classe sociale, aux goûts et à la classe
 Cela dépend de la démographie
 Peut être identifié grâce à des attributs tels que les sites
 Les distinctions changent
 Ex : si l'argent distingue le grand art et le bas art, c'est très différent (le jeu
Disneyland/raptors était autrefois du bas art mais il est très cher)
 L’argent est désormais moins un facteur distinctif
 Il suggère également que lorsque le cinéma a été inventé en 1895, il était à l'origine
connu comme une forme d'art bas, mais aujourd'hui, le cinéma a tellement évolué là où il
est présenté dans les grands théâtres et est associé au glamour, comme les remises de prix
et les acteurs célèbres. , c'est donc maintenant un exemple du grand art.
 Dans cette conférence, nous avons également découvert des individus comme Bruce
Connor et Kenneth Anger qui incluent des éléments du bas art comme la culture
populaire et les présentent dans des contextes artistiques élevés.
 en composant des films entièrement à partir de ce qui serait considéré comme du bas art,
comme des séquences trouvées dans des laboratoires de cinéma (actualités, comédies,
 etc.), Connor les rassemble d'une manière hautement culturelle. Cette tactique amène la
basse culture vers la haute culture et commence à brouiller la distinction entre les deux.

Marché de l'art
 lieu physique ou figuratif dans lequel l'art est acheté et vendu
 nécessite une œuvre d'art, qui peut être tirée d'un très large éventail d'objets de
collection ; un vendeur; et un acheteur, qui peut participer directement aux négociations
ou se faire représenter par des agents.
 le marché des acheteurs et des vendeurs de produits, de services et d'œuvres d'art
 Au cours de la semaine 10, en visionnant la présentation de Candace Worth « Définir la
valeur sur le marché de l'art contemporain d'aujourd'hui », nous apprenons que :
o le marché a énormément changé au cours des 10 dernières années
o au début des années 2000, on pouvait acheter de nombreuses œuvres d’art à une
fraction du prix qu’on devrait payer aujourd’hui.
o Le prix des œuvres des nouveaux artistes a également augmenté
o Le marché de l'art est très vaste : des milliers de galeries, chaque galerie
représente 10 à 20 artistes.

IMAGES

2) Emily Carr, « Église du village de Yuquot », 1929. Huile sur toile. Musée des beaux-arts
de l'Ontario, Toronto
ANALYSE FORMELLE
- Nuances de vert foncé
- tranches
- vagues
- les formes naturelles de la
nature, les arbres et les feuilles
en lignes curvilignes contrastant
avec la forme rectiligne de l'église
3) Norval Morrisseau, L'homme se changeant en Thunderbird 1977. Peinture acrylique sur
toile. Musée des beaux-arts de l'Ontario.
ANALYSE FORMELLE
-6 panneaux
- Formulaires très décrits
- Couleur vive
- changement de chiffre au fil des
heures
- pas beaucoup d'espace négatif
- bidimensionnel comme beaucoup
d'art indigène traditionnel, donc
nous ne voyons pas de contour, de
lumière ou d'ombre dans ces
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
- Bien que Carr ne soit pas autochtone, elle était une artiste
canadienne qui s'est inspirée des peuples autochtones de la côte nord-
ouest du Pacifique et a peint de nombreuses représentations de
paysages autochtones comme celle-ci.
 Au cours de la semaine 5, lecture de Un musée canadien
promeut l'art autochtone. Mais ne l'appelez pas « indien ». Le
New York Times apprend que le Musée des beaux-arts de
l'Ontario a récemment renommé le tableau de Carr,
initialement intitulé « Indian Church », affirmant que
l'ancienne terminologie « dénigre et discrimine ».
 rend hommage à l'artiste et aux personnes qu'elle admirait
tant
 Wanda Nanibush (conservatrice de l'art autochtone du musée)
et Mme Uhlyarik ont décidé de changer le nom
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
- Ce tableau se trouve au centre Mclean de l'AGO
- représente une vision changeante au fil du temps et de la croissance
personnelle (traditions artistiques autochtones et européennes)
- Dans la visite vidéo AGO de la semaine 5, nous apprenons que ce
tableau est un autoportrait de Morrissau passant de sa figue originale
à un oiseau-tonnerre en cuivre.
- Copper Thunderbird était le nom spirituel qu'il a reçu dans le cadre
d'une cérémonie de guérison, également un nom qu'il a utilisé
comme signature
 peintures

4) Lawren Harris, Dans la salle. 1917 Huile sur carton de pâte de bois

ANALYSE FORMELLE PERTINENCE POUR LA DISCUSSION

- Couleurs claires, pastel et pâles Au cours de la quatrième semaine de visionnage d'Andrew Hunter,
délavées ancien conservateur de l'AGO « In the Ward: Lawren Harris' Toronto »,
- On peut quand même dire que nous apprenons que :
 la maison n'est pas forcément
haut de gamme, mais elle est
présentée sous un jour plus
brillant, semble plus
accueillante
- L'utilisation de l'espace pictural
et l'utilisation de l'ombre et de
la lumière venant du côté droit
donnent à la peinture un aspect
tridimensionnel et créent de la
profondeur aux structures de
l'œuvre d'art.
- On peut voir la texture des
coups de peinture au bas du
tableau
5) Jeff Thomas, « Peace Chief, CN Tower, Bathurst St Bridge, Toronto » de la série Indians
on Tour, 2003.
 Le quartier est un quartier complexe - résidentiel avec des usines,
très sale,
 Pas beaucoup de services, les gens ont souffert
 Les maisons s'effondrent
 Des photographes comme Arthur Goss et William James
photographiaient ce quartier, mettant en valeur les maisons
détruites, mais Harris avait une perspective et une impression
différentes sur le quartier.
 Les peintures de Harris tentent de faire ressortir l'espoir dans ces
photographies et de montrer les possibilités, la joie, l'espoir (ex : la
porte est rouge)
 Approche renouvelée
ANALYSE FORMELLE
- Des personnages indiens en
plastique posés devant un
monument : ici la tour CN
- On reconnaît tout de suite ce
paysage, mais la figure
plastique semble quelque peu
déplacée et amène le
spectateur à réfléchir à sa
signification et à la raison pour
laquelle elle est là.
6) Titus Kaphar, Changer le regard, 2017.
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
- Nous fait réfléchir sur la tension entre le jouet stéréotypé et la
culture autochtone vivante
Lors du visionnage de la semaine 8 de l'interview de Jeff Thomas, nous
apprenons que :
- En plaçant un personnage dans un lieu obscur comme le monde urbain,
l'intention de Thomas est de créer un point central pour une
conversation sur les peuples autochtones et leurs origines.
- De nombreuses villes canadiennes existent dans des paysages urbains,
et les photographies de Thomas sont une façon de représenter le
colonialisme et les autochtones qui reprennent leurs terres.
- Contraste politique entre culture dominante et être en ville
ANALYSE FORMELLE
- de la peinture blanche a été
appliquée sur une réplique d'un
tableau de Frans Hals du XVIIe
siècle
- dissimuler des parties de la
composition et mettre en valeur
son histoire cachée qui a été
refoulée
- Cette peinture déplace notre
attention des détails des
personnages environnants vers la
vulnérabilité de l'individu noir.
7) « L'impossibilité physique de la mort dans l'esprit d'un vivant » de Damien Hirst (1991)
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
Après avoir regardé le Ted Talk de Titus Kapar au cours de la semaine
7, nous apprenons que :
 L'objectif de Kapar est d'examiner l'histoire et la représentation
des œuvres d'art, puis de les modifier pour révéler les vérités
tacites sur la nature de l'histoire.
 Kapar déclare que nous ne pouvons pas effacer l'histoire, mais
avec ce tableau, son objectif est de dépeindre l'honnêteté du
passé et d'apporter une reconnaissance aux luttes des peuples
afro-américains.
 parler de la diversité et des avancées du présent
 révéler quelque chose de ce qui a été perdu et enquêter sur le
pouvoir d'une histoire réécrite
 la peinture est un langage
ANALYSE FORMELLE
- art conceptuel
- Aucune trace de la main de
l'artiste (des gens rémunérés,
son rôle n'est qu'une idée)
- Pêcheurs commissionnés
Requin tigre, verre, acier, solution
de formaldéhyde à 5 %
- référence au titre -- La mort est
le requin, l'esprit est quelqu'un qui
le regarde
- Se retrouver face à face avec la
mort
- Peut le regarder tel qu'il est, en
toute sécurité (pas dans un
environnement où cela vous
mettrait en danger)
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
- ouvre la question de la manière dont nous interagissons avec la
nature et les autres espèces, l'artiste devient donc
essentiellement un intermédiaire d'expérience ce qui fait que
cette œuvre opère à plusieurs niveaux
o perspective psychologique avec les peurs humaines
o perspective zoologique avec les caractéristiques et les
caractéristiques d'un animal
o point de vue de la culture populaire avec des images
troublantes
o perspective artistique avec l'élargissement de la notion
d'œuvre d'art.
 8) Jin-me Yoon, Groupe des Soixante-Sept (détail), 1996-1997
ANALYSE FORMELLE
-67 citoyens américains d'origine
asiatique collés sur le tableau de
Lauren Harris et Emily Carr
-Paysages de l'art canadien
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
Au cours de la semaine 4 , nous avons regardé une vidéo dans laquelle
Jin-me Yoon explique que :
- Le travail renvoie à la question de l’identité nationale et du lieu
- Il ne s’agit pas non plus d’une question d’appartenance au Canada,
mais plutôt d’une question fondamentale sur la façon d’imager
l’appartenance au Canada.
- Groupe des 67 - faisant référence à l'année 1967 - les restrictions
d'immigration ont été levées pour les internationaux asiatiques
Yoon a fait poser soixante-sept membres de la communauté
coréenne-canadienne de Vancouver devant le lac Maligne, Jasper
Park (1924), de Lawren S. Harris , et Old Time Coast Village (1929-
1930), d' Emily Carr . Le nombre soixante-sept fait référence à
l'année de la Confédération canadienne et à son centenaire, au cours
de laquelle le gouvernement a apporté des modifications à la Loi sur
l'immigration.
 9) Idée générale, SIDA (Papier peint), 1988. Papier peint sérigraphié. Collection Musée
d'Art Moderne, New York.
ANALYSE FORMELLE
- 3 couleurs unies et
audacieuses
- Idée générale : création d'un
collectif d'art à Toronto, nail
art, recherche de
photographies pour explorer
les types de médias
- Lettres AID et S répétées
encore et encore
- Utilisé comme fond d'écran
et propagande
- Sensibiliser au sida
- Peur du sida
- Idée générale Devenir une
agence de publicité pour les
aides
PERTINENCE POUR LA DISCUSSION
- Au cours de la semaine 9 de visionnage de l'interview de AA
Bronson, nous apprenons que :
- Pendant environ sept ans, General Idea a commencé à créer des
œuvres uniquement sur le sida, car deux de ses membres (Felix
Parts, Jorge Zontal) avaient tous deux reçu un diagnostic de
SIDA, ainsi que plusieurs de leurs amis proches.
- General Idea a utilisé toutes les stratégies qu'ils avaient
apprises au cours de nombreuses années de collaboration et les
a appliquées à cet énorme problème.
- Comment donner de la visibilité à une maladie dont personne
ne parlait