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Cultura y civilización Francesa II

IDI-1730

L'évolution des femmes depuis la Révolution


française.

Francisca Gómez Yamaguchi


100044446
INTRODUCTION
L'histoire de la plupart des sociétés qui nous ont précédés restreint le rôle des
femmes en tant que reproductrices et soignantes du foyer, toujours protégées par
les hommes.
L'homme, en raison de sa nature physiquement plus grande et plus forte,
assumait le rôle de pourvoyeur et de protecteur de la famille. L'homme a
atteint / conquis des positions plus privilégiées et des rôles plus importants que
la femme, avec
(je mettrai plutôt le singulier /une position / un role…que les Les femmes ont
été de plus en plus diminuées en ce qui concerne la position qu'elles occupaient
dans (non) la société, étant soumises et à simple objet de possession masculine.
la création (situation, position ?) de la femme reposait sur le respect permanent
d'un « mâle alpha » au sein du noyau familial, d'abord le père, puis le mari et,
s'ils étaient veufs, le fils aîné, qui prendrait les rênes de la famille.
Partant du postulat que les femmes ont été soumises à la présence masculine,
(n0n, repetitif) Les droits des femmes ont été ignorés (sont largement ignorés)
par les premières législations : considérant que tout ce qu'elles devaient faire et
être était sous le contrôle de l'homme qui subvenait aux besoins de la famille.
(mets tout ce qui est possible au present dans tout le texte) !)
Avec le déclenchement de la révolution industrielle, les femmes ont commencé
à avoir plus d'opportunités, car le travail féminin a commencé à être accepté
dans les industries. Cependant, elles n'auraient/ n’ ont pas la même
rémunération, considérée bien souvent comme un « complément »de celui des
hommes. Elles doivent et devraient avoir l'autorisation de leur père ou de leur
mari pour le faire. exercer le/ un métier.
L'inégalité sociale entre les hommes et les femmes est devenue pertinente
/insupportable? et inacceptable,/. c'est Ttout au long du 20e siècle que les
mouvements revendiquant l'égalité des droits ont gagné en visibilité et aspirer à
l’égalité des femmes dans la législation est devenu un rêve possible.
Le rôle important des femmes dans la Révolution
française.
Present !!

Le rôle des femmes à la fin du XVIIIe siècle était lié au maintien dans l'espace domestique à
travers la conception des Lumières des mères éducatrices,/. c'est-à-dire que l/L'éducation des
femmes était différenciée en raison de l'idée de / est destinee a les préparer à éduquer leurs
enfants afin que ils pourraient devenir de bons citoyens. (distinguer filles et garçons)
Les penseurs des Lumières défendant les libertés individuelles et les droits des citoyens n'ont
pour la plupart pas admis l'idée d'égalité des sexes, déclarant l'infériorité féminine.

Cependant certains hommes comme Condorcet député de la Convention (régime politique en


cours de Révolution française) écrit /deja sur le droit des femmes à la participation politique
dans le Journal de la Société de 1789.

Participation des femmes à la Révolution française


Les femmes ont participé à la Révolution française principalement de deux manières : dans le
but de transformer la condition économique dont souffrait leur famille, ainsi que dans la lutte
pour la conquête de leurs droits politiques, recherchant l'égalité avec les hommes.
De nombreuses femmes désespérées par la famine qui massacre leurs familles à cause des
pénuries alimentaires organisent des émeutes populaires, comme par exemple, au printemps
1789, un groupe de protestataires mené par une femme enceinte Marie-Jeane stimule
/organise l'invasion de la manufacture du Nouvel An.
Dans un épisode important du processus révolutionnaire (donner les dates), un groupe de plus
de 7 000 femmes s'avança vers Versailles dans le but de ramener le roi à Paris afin qu'il
résolve la crise du «pain ».
On estime qu'/ elles ont parcouru/present environ quatorze kilomètres sous la pluie, armées
de lances, de haches, de faux, tirant un canon sans munitions accompagnées de leurs maris,
elles ont atteint l'objectif de commander/ elles obtiennent le retour de la Famille Royale.
Certaines femmes soucieuses de défendre la patrie (1792) lorsque la France déclare la guerre
à l'Autriche, s'enrôlent dans l'armée déguisées en hommes pour accompagner leurs maris,
frères et pères. Marie Charpentier était une femme qui /inutile / réussit à s'enrôler et à servir
jusqu'en 1796.
Un autre rôle important est le militantisme féminin dans l'espace public, ce sont d'abord les
lettres et pamphlets recueillis dans les Cahiers de Doléances adressés au roi Louis XVI ou
aux députés des États généraux (début 1789) qui expriment les doléances de diverses
femmes.
Les principales critiques sont : une éducation plus qualifiée pour les filles, le droit des
femmes à la propriété, les opportunités d'emploi, c'est-à-dire qu'elles ont mis /present en
cause les injustices subies/ pratiquées dans/ par leur condition dans la société avant la
législation.
Pendant la Révolution, D/les femmes créent des clubs politiques qui débattent des droits des
femmes, comme l'Association des républicains révolutionnaires, créée en 1793 par Claire
Lacombe et Pauline Léon.
L'une des plus importantes était la Société patriotique de bienfaisance et les Amigas da
Verdade, ?? qui défendait les droits politiques des femmes, le divorce et l'éducation des
femmes,/. Elle est/dirigée principalement par Olympe Gouge qui redige (créa la Déclaration
des droits de la femme et du citoyen en 1791 en réponse à la absence de droits de la femme
dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789),/ En 1791, Olympe de
Gouges déclare que « la femme naît libre et vit en égalité de droits avec l'homme».
Cependant elle fut accusée d'être contre-révolutionnaire et de ne pas suivre les obligations du
sexe féminin et elle est en se faisant guillotiner/ee.
Attention une phrase a changée de place/ tous les « il y a » sont inutiles en langage ecrit
Il y avait des femmes, comme Marie-Jeanne Roland et Germaine de Staël, dites salonnières,
qui organisaient des salons où les idées révolutionnaires étaient promues et le pouvoir
politique négocié. Et bien sûr, il y avait des femmes qui ont pris les armes. /pour defendre la
patrie revoluionnaire
En octobre 1789, alors que les pénuries de farine et la famine à Paris suscitent un
mécontentement qui se transforme en colère, les femmes sont au centre du maelström. Cette
phrase ne rajoute rien et serait de toutes façons mal placee

Droits équitables
Il y avait aussi ceux qui = certaines demandaient au gouvernement des droits plus
particuliers.
En mars 1792, Pauline Léon s'adressa à l'Assemblée législative au nom des femmes
parisiennes pour suggérer qu'une milice féminine soit formée pour défendre leurs maisons
dans un/le contexte de violence contre-révolutionnaire croissante. Bien qu'elle ait finalement
été rejetée, sa pétition a été signée par plus de 300 femmes.
Léon/Pauline n'était pas étrangere à la lutte armée. Il avait marché jusqu'à la Bastille en
juillet 1789 portant sa propre pique. Mais comme pour d'autres femmes, l'implication de
Léon/ Pauline ne se limite pas aux émeutes et aux manifestations.
En 1793, avec l'actrice Claire Lacombe, elle/ Pauline fonde la Society of Revolutionary
Republican Women, une organisation éphémère qui fait pression pour le droit des femmes à
contribuer à la révolution.
Ce n'était/n’est en aucun cas la seule société de ce type, car les clubs sociaux et les salons
révolutionnaires devinrent des centres importants, bien qu'avec des missions différentes.
Il y avait aussi ce que l'on pourrait appeler aujourd'hui/inutile/ des « alliés masculins »,
comme l'intellectuelle et aristocrate Marie-Jean Caritat, marquis de Condorcet.
En juillet 1790, elle publie un article de journal affirmant que les millions de femmes en
France doivent jouir des mêmes droits que les hommes.
L'article a fait sensation en abordant le sentiment largement répandu que les femmes ne
possédaient pas la même capacité que les hommes de rationalité ou de sens de la justice.
Au contraire, Condorcet a mis les critiques au défi de "montrer une différence naturelle entre
les hommes et les femmes sur laquelle l'exclusion pourrait légitimement se fonder".
À son tour, l'article de Condorcet a inspiré le Cercle social, l'un des clubs sociaux les plus
progressistes du Paris révolutionnaire, qui a lancé une campagne pour les droits des femmes
entre 1790 et 1791.

Des ambitions entravées


Mais la période de la révolution qui a donné aux femmes ce sentiment de progrès social ne
durera pas longtemps.
Malgré leur présence au centre de nombreuses factions et salles, l'opinion dominante restait
que les femmes pouvaient mieux servir la cause en agissant en tant que «mères
républicaines», chargées d'enseigner à leurs enfants à honorer et aimer la République et à
soutenir la nouvelle société qui était étant sculpté ?? / en formation ? construction ?
Maintes et maintes fois, les critiques ont insisté sur le fait que la nature déterminait des rôles
différents pour les hommes et les femmes. Ces divisions et objectifs divergents, tant entre les
individus qu'entre les classes de femmes, et reflétés dans le mouvement en général, ont
entravé toute possibilité de progrès réel.
En mai 1793, les femmes sont bannies des instances gouvernementales et peu de temps après,
interdites de formation d'assemblées politiques. L'assassinat de par Charlotte Corday du
révolutionnaire Marat en juillet est devenu un tournant pour le gouvernement
révolutionnaire. Et en octobre 1793, tous les clubs féminins sont interdits.
La question de savoir si la Révolution française a promu les droits des femmes reste
aujourd'hui une question controversée parmi les historiens. Certains droits sociaux ont été
accordés aux femmes : les nouvelles lois sur l'héritage, par exemple, signifient que, quel que
soit leur sexe, les enfants peuvent hériter de manière égale de la richesse de leurs parents.
Il y a eu un autre pas en avant pour le statut juridique des mères célibataires et de leurs
enfants. ETTandis qu'une nouvelle loi permettait d'accorder des conditions égales aux
hommes et aux femmes en cas de divorce.
Mais lorsque Napoléon est arrivé au pouvoir, les idéaux de la "maternité républicaine" ont
perduré./present Important de préciser plus car le Code Napoléon organise la soumission
complète a l’ homme. Si la révolution a sans aucun doute été un moment de grand débat sur
le statut et les droits des femmes de toutes les classes sociales, la révolution n'a pas beaucoup
changé quant à sa capacité à contribuer à une démocratie française. Et bien que la révolution
ait eu des effets durables, E/elle ne peut être considérée comme un contributeur direct au
suffrage des femmes en France, un droit qu'elles n'obtiendront qu'en 1945.

NOTES de fin de chapitre  ?? ou portraits ?/ il faut une indication

Olympe de Gouges
L'écrivaine et militante est née Marie Gouze, fille d'un boucher autodidacte du sud de la
France. Elle était en grande partie responsable de l'introduction des droits des femmes dans la
cause révolutionnaire. Adressant son pamphlet "Déclaration des droits de la femme et de la
citoyenneté" à la reine Marie-Antoinette en 1791, Gouze devient une voix unificatrice pour
les femmes.
Ses écrits, ainsi que ses relations avec le groupe politique girondin, valent aussi sa
condamnation à mort. Elle a été dénoncée comme "contre nature" et guillotinée pendant La
Terreur en 1793.
Marie Jeanne Roland
Elle était écrivain et hôtesse dans un salon bourgeois clé à Paris où les idéaux
révolutionnaires ont d'abord éclos. Elle gagne en influence au sein du gouvernement lorsque
son mari, Jean-Marie Roland, devient ministre de l'Intérieur sous Louis XVI en 1792.
Elle a aidé à rédiger de nombreux discours gouvernementaux, y compris une lettre de son
mari critiquant le roi.
Changement d’ emplacement = Les Roland continuent d'exercer leur pouvoir et leur
influence au centre de la faction girondine. Marie-Jeanne est arrêtée en mai 1793 à la place de
son mari qui s'est enfui craignant sa propre arrestation.
Elle a été exécutée par guillotine en novembre de cette année. Ses derniers mots furent "Ô
liberté! Quels crimes sont commis en ton nom!"

Charlotte Corday
Aristocrate mineur, Corday a été impliqué dans la révolution dès ses premiers jours, assistant
aux réunions politiques et s'inspirant des idées de la faction girondine. Il estimait que la
faction montagnarde était trop radicale et voulait sauver la révolution en supprimant son chef
Jean-Paul Marat.
Le meurtre de Marat pendant son bain a été un tournant tristement célèbre dans la façon dont
les femmes de la révolution étaient perçues. Corday a été guillotiné en 1793 et reste un
symbole de l'action des femmes pendant le tumulte qui a balayé la France.

L'évolution des droits des femmes: Chronologie


Par le travail
A partir de la révolution industrielle, aux XVIIIe et XIXe siècles, ils ont commencé à
travailler hors de chez eux, dans des usines, soumis/es à des horaires de travail allant jusqu'à
15 heures par jour, à/avec de bas salaires et victimes à des mauvais traitements. La
revendication de conditions de travail décentes et de droits du travail est/sont à l'origine de la
lutte des femmes /changement de place/ Parallèlement aux mouvements ouvriers, les femmes
ont organisé des manifestations dans les pays européens et aux États-Unis.
La première célébration d'une Journée nationale de la femme a eu lieu à la suite de
revendications syndicales. En mai 1908, environ 1 500 femmes organisent une manifestation
pour l'égalité aux États-Unis. Au début des années 1900, les grèves dans l'industrie textile, le
principal employeur de travailleurs à l'époque, ont suivi/eclatent.
De cette période, deux dates se détachent et ont largement contribué aux réalisations
professionnelles des femmes et à la création du 8 mars : Le 25 mars 1911, une usine textile à
New York subit un incendie et environ 130 ouvrières meurent par carbonisation/carbonisées.
Le 8 mars 1917, 90 000 travailleurs ont participé à la manifestation "Pain et Paix" en Russie.
Ce n'est qu'en 1919 que l'équité salariale est devenue une préoccupation mondiale. Cette
année-là, l'Organisation internationale du travail (OIT) a adopté une résolution exigeant un
salaire égal pour les hommes et les femmes dans le même rôle. À ce jour,/De nos jours
cependant, l'égalité de facto n'a pas été réalisée. Selon l'étude des statistiques sur le genre de
l'IBGE, la rémunération des femmes au Brésil est, en moyenne, de 76 % de celle des hommes
occupant le même poste.

Par vote
Maria Deraismes et Léon Richer Reconstruire : ne se comprend pas
Couple phare du féminisme, a hésité à s'engager en politique par anticléricalisme, craignant
l'influence réactionnaire de l'Église mais aussi parce qu'ils estiment que la République est
encore trop fragile. Le courant dominant du féminisme est resté longtemps modéré, ce qui
explique pourquoi Léon Richer a interdit toute discussion sur le droit de vote des femmes lors
de son congrès de 1878.
Hubertine Auclert / au present
Première suffragette française, elle estimait que le droit de vote devait être le préalable
nécessaire à tout épanouissement des femmes. C'est en possédant le suffrage universel que les
femmes pourront accéder au progrès politique et social. Elle fait donc de l'émancipation
politique des femmes une priorité, avant l'émancipation civile. Elle a obtenu un grand succès
dans l'arène politique mais n'a pas été soulagée/soutenue dans ses actions par les politiciens
de l'époque.
Elle décide alors de recourir aux méthodes des suffragettes anglaises, ce qui choque l'opinion
publique. Ainsi, après avoir reçu son avis d'imposition de 1880, il refusa de payer ses impôts,
estimant qu'en ne votant pas il n'avait pas à payer. Pourtant, il a fini par payer, après avoir
effectué sa démarche au Conseil d'Etat. Mais elle avait établi le lien entre droit électoral et
droit civil, lien qu'elle a farouchement défendu dans son journal "La Citoyenne", fondé en
1881.
L'une des luttes les plus importantes pour les femmes et qui marque le début du mouvement
féministe est celle pour le droit de vote. L'organisation des femmes en faveur du droit à
s'exprimer politiquement a eu lieu presque simultanément en Europe et aux États-Unis. En
1869, la National Association for Women's Suffrage est créée à New York par Susan B.
Anthony et Elizabeth Cady Stanton.
En Angleterre, l'articulation a commencé en 1903, l'année de la formation de l'Union sociale
et politique des femmes, dirigée par Emmeline Pankhurst. Les Britanniques ont brisé des
fenêtres et des biens, saboté les services publics et même mené un attentat à la bombe face à
la résistance du gouvernement. Après avoir soutenu les efforts du pays pendant la Première
Guerre mondiale, les Britanniques ont obtenu le droit de vote en 1918.
Cette période de revendication du vote a été considérée, des années plus tard, comme la
première phase du féminisme, bien que le terme n'existe pas encore officiellement.
Au Brésil, ce droit n'a été garanti que par la Constitution de 1932, après une lutte de plus de
10 ans menée, surtout, par la biologiste Bertha Lutz, l'une des principales articulatrices du
mouvement pour le suffrage des femmes dans le pays. Pourquoi le Brésil ?

Pour l'éducation
Les femmes remportent leurs premières victoires dans la lutte pour l'accès à l'éducation au
XIXe siècle : en 1837, les femmes sont autorisées à entrer dans les universités aux États-
Unis. En Europe, l'accès à l'éducation est devenu populaire après la 1ère guerre mondiale.
L'accès des femmes à l'enseignement public du primaire à l'université s'est déroulé entre la fin
du XIXe siècle et le début du XXe, mais l'égalité des conditions avec leurs pairs masculins
fait partie des luttes qui se poursuivent jusqu'à nos jours.
Les premières approches des femmes à l'éducation formelle ont eu lieu dans les écoles
paroissiales pendant la colonie. Les religieuses les instruisent dans la foi chrétienne, le
service à la famille et au foyer.
Avec la consolidation de la République, les premiers lycées féminins publics ont été créés et
des écoles techniques ont été formées.
L'État considérait l'éducation des femmes comme une contribution au développement
national et les préparait principalement aux travaux domestiques et salariés, aux soins
familiaux et à la maternité.
La loi sur l'instruction primaire de 1860 a proclamé l'égalité d'accès à l'éducation pour les
garçons et les filles. Cependant, les programmes d'études étaient différents pour chaque sexe,
puisque le travail domestique était renforcé dans les établissements féminins.
Le personnel enseignant de ces établissements était majoritairement féminin, car leurs
qualités étaient associées au travail d'enseignant et étaient considérées comme une exigence
pour leur développement professionnel.

Pour le contrôle des naissances


Les années 1960 sont marquées par la libération des femmes, ou la révolution sexuelle.
Poussées par des œuvres féministes comme Le Deuxième sexe (1953), de Simone de
Beauvoir, et La Mystique féminine (1963), de Betty Friedan, elles lancent un mouvement
plus social que politique. En 1960, la première pilule contraceptive a commencé à être
commercialisée, ce qui a permis aux femmes d'avoir plus de contrôle sur la grossesse et a
révolutionné les coutumes de l'époque.
La 1re Conférence mondiale sur la population a lieu à Rome en 1954. En 1965, l'expression «
planification familiale » est utilisée pour la première fois lors de la 2e Conférence mondiale
sur la population. L'O.N.U. s'engage alors, par l'intermédiaire de l'O.M.S., dans une politique
de développement d'activités de planification familiale. Des centres de planification familiale,
publics ou privés, sont mis en place dans beaucoup de pays à travers le monde. Cependant,
des pays surpeuplés comme l'Inde ou la Chine ont recours à une politique de contrôle des
naissances. //Attention : la plannification familiale a plutôt été une arme pour controler la
croissance des populations pauvres, avec sterilisation de millions de femmes…tu peux en
parler mais il faut souligner cet aspect criminel.
Dans les pays occidentaux, la contraception et l'avortement sont considérés comme des sujets
tabous avant 1965. Les gouvernements redoutent les conflits moraux et politiques que la
légalisation de tels actes pourrait engendrer, malgré l'attitude plutôt favorable de l'opinion
publique. Aujourd'hui, les préservatifs sont en vente libre, tandis que les ventes de pilules et
de stérilets sont soumises à une prescription médicale. La stérilisation est autorisée dans de
nombreux pays après consentement éclairé et délai de réflexion. Les lois sur l’avortement
varient selon les pays : celui-ci est interdit ou légalisé et, dans ce dernier cas, la durée de
gestation où l’I.V.G. est possible varie de 12 à 24 semaines d’aménorrhée

Pour les libertés civiles


Dans les années 1960 et 1970, les femmes ont progressivement acquis certaines libertés
civiles. En 1962, le Statut de la femme mariée a amendé plus de 10 articles du code civil
actuel. La nouvelle loi a supprimé l'obligation d'autoriser le mari à travailler, non : de
demander l’ autorisation du mari pour…) a accordé le droit à l'héritage, à le present !!
de narration
demander la garde des enfants et a étendu aux femmes le pouvoir familial, auparavant réservé
aux hommes. Cela signifiait, juridiquement, que le couple a le même poids au sein de la
structure familiale, et émancipait les épouses de la tutelle des maris, même s'il fallait changer
les coutumes. En 1977, la promulgation de la Loi sur le divorce a donné aux femmes la
liberté et l'autonomie nécessaires pour rompre les mariages malheureux.

8 Mars
Les Nations Unies ont officialisé la journée du 8 mars en 1977. Toutefois, cette journée puise
ses origines dans l'histoire des luttes ouvrières et des manifestations de femmes au tournant
du XXe siècle en Amérique du Nord et en Europe. = Supprimer tu le redis ensuite…
À partir de 1909, les États-Unis, sous l'impulsion de femmes socialistes américaines, décident
d’organiser chaque année, le dernier dimanche de février, une "Journée nationale des
femmes" (National Woman's Day) pour célébrer l’égalité des droits civiques.

C’est lors de la deuxième conférence internationale des femmes socialistes, en 1910 à


Copenhague, que Clara Zetkin, journaliste et militante allemande, appelle les "femmes
socialistes de tous les pays" à organiser chaque année une Journée internationale des femmes.
Elle est célébrée dès le 19 mars 1911 en Autriche, Allemagne, Danemark et en Suisse.
En Russie, une "Journée internationale des ouvrières" est célébrée le 3 mars 1913 puis le 8
mars 1914. Lors du 8 mars 1917 (23 février 1917 selon le calendrier julien en vigueur dans le
pays à ce moment-là), des femmes manifestent dans les rues de Petrograd (Saint-Pétersbourg)
pour exiger "le pain et la paix". Cette manifestation marque le début de la révolution russe et
la date du 8 mars sera officiellement célébrée en Union soviétique à partir de 1921.
Après la Seconde Guerre Mondiale, le 8 mars est célébré dans de nombreux pays. C'est en
1977 que les Nations Unies officialisent la Journée internationale des femmes, incitant ainsi
tous les pays du monde à fêter / celebrer les droits des femmes.

Mouvement de libération des femmes (MLF)


Le 26 août 1970 naissait officiellement le Mouvement de libération des femmes (MLF), un
mouvement destiné à lutter contre toutes les différentes formes d'oppressions et de misogynie
à l'encontre de la femme.
Dans les années 70 et 80, les féministes revendiquent des droits tels que l’avortement ou la
contraception. En ce début de XXIème siècle, les militantes réclament l’égalité salariale, la
parité et dénoncent le traitement des femmes dans les quartiers difficiles.
Ce dernier sujet est aujourd’hui défendu par la/une célèbre association féministe, Ni putes ni
soumises. Créée en 2003 après que Sohane Benziane soit brulée vive dans son quartier, cette
association se bat contre la dégradation des femmes dans les cités de France. Fondée par
Fadela Amara, Ni putes ni soumises lutte pour l’émancipation des filles et garçons, l’égalité
des sexes, la laïcité et la mixité dans les quartiers populaires.
Le mouvement féministe regroupe plusieurs groupes et collectifs préexistants et héritier des
luttes féministes historiques plus anciennes comme celles du Women's Lib américain.
Son credo : lutter contre toutes les différentes formes d'oppressions et contre la misogynie,
militer pour le droit à la contraception et à l'avortement amorcées par le Planning familial en
France et bien-sûr obtenir l'égalité de tous les droits, moraux, sexuels, juridiques,
économiques entre les hommes et les femmes.

Conclusion
En passant en revue, même succinctement, l'histoire des droits des femmes, il est possible de
percevoir un peu la réalité et le contexte de vie que les femmes ont eu au fil du temps.

La subordination du genre est particulièrement claire dans les civilisations antiques et


médiévales de l'Occident dans lesquelles les relations sociales, politiques et économiques
étaient souvent fondées sur des conceptions sociales concernant les caractéristiques physiques
des individus, dans lesquelles, par exemple, prédominait le genre communément appelé "loi
du les plus fortes, imposant aux femmes la responsabilité des activités domestiques et
conjugales.

Ainsi, pendant longtemps, les femmes ont vécu dans des conditions d'infériorité dans la
société, n'ayant pas accès aux droits les plus élémentaires faute de voir leur citoyenneté
reconnue.

La conquête de l'égalité des droits a demandé et continue de demander beaucoup de luttes et


de revendications. Selon l'argumentaire pour l'élaboration de la Convention sur l'élimination
de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes, il faut reconnaître que pour que
l'équité soit établie, il faut favoriser les groupes historiquement exclus par rapport aux non-
exclus.

Car, traiter les inégaux de manière égale peut contribuer à alimenter l'inégalité existante.

Toute la structure sociale, économique et politique construite sur les injustices à travers
l'histoire ne peut être déconstruite seule.

Il reste encore un long chemin à parcourir pour que l'égalité des droits entre les hommes et les
femmes puisse être effectivement mise en œuvre dans la pratique. Par conséquent, en tant que
citoyennes, nous devons exiger que les droits des femmes conquis jusqu'à aujourd'hui soient
garantis.

Le projet Equity est né précisément avec cet objectif, pouvoir collaborer avec une société
moins inégalitaire grâce à la diffusion de contenus impliquant les droits de l'homme.

Bibliographie
https://www.lefigaro.fr/histoire/2018/07/12/26001-20180712ARTFIG00194-13-juillet-1793-
charlotte-corday-assassine-le-citoyen-marat-dans-sa-baignoire.php
https://criminocorpus.org/fr/reperes/chronologies/chronologie-des-droits-des-femmes-en-
france-de-la-revolution-fra/
file:///C:/Users/NIKI/Downloads/16090-Texto%20do%20Artigo-49507-1-10-20101105.PDF
https://www.ehu.eus/documents/3012743/4523330/Trujillo-Chanquin-Martha-Regina.pdf
https://www.vie-publique.fr/eclairage/19590-chronologie-des-droits-des-femmes
https://www.cairn.info/revue-informations-sociales-2019-2-page-50.htm

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