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Les mots nous trahissent-ils ?

Commentaires :
- attention, préoccupation insuffisantes des termes du sujet
- récitation du cours qui est problématique
- il faut véritablement être au centre du sujet
- dans ce sujet toute la charge sémantique se trouve dans le verbe trahir
- dans le développement aussi il faut se soucier des termes du sujet
- il faut faire attention au double sens du sujet

double sens du mot trahir :


- une trahison par défaut, les mots restent peu suffisant a traduire la pensée
- la trahison par excès, les mots vont au-delà de se que nous voulon dire, ils en disent trop
→ révèle a notre insu se que l’on pense
- la question est de savoir si les mot trahissent le locuteur lui même
voir introduction rédigée

I-
il peut sembler a premier vue voir même paradoxal de dire que les mots nous trahissent dans la
mesures ou les signes linguistiques élaboré ne tiennent qu’a notre usage.

A) une langue est un système de signes unique en sont genre. Il est codifié, souple et ouvert. Par
opposition au codes naturel des signaux utilisé pas les autres especes qui lui est rigides, les langues
humaines semblent faites pour piuvoir tout dire. En effet la double articulation du langage fait d’une
langue, un système très performant. Avec les phonèmes et les monèmes on peut construire
indéfiniment des combinaisons qui sont ajustés a toutes sorte de situations. Le langage permet de
designer tous les éléments de la réalité icompris les nouvelles choses. Rien ne s’oppose à la
puissance de nomination de lz réalité. Puissance que detient l’Homme avec sa faculté langagière.
Sde même toutes idéees de la plus simple à la plus complexe peut être formulées avec plusieurs
phrases. Rien de ce qui est perçu, les choses ou les événements , et rien de ce qui est conçu par
l’esprit humain, rien n’échappent en droit a sa représentation possible par le langage. Comment
alors les mots peuvent-ils nous trahir, c’est à dire comment peuvent-ils nous faire défaut.

B) ce caractère performant des langues, leur vient de l’extrême diversité et richesse interne de leur
lexique. Une langue comporte des mots de natures différentes. Les noms oules pronoms….. tout
cela permet cette opération élémentaire du langage par prédication. Il existe d’autres catégories de
mots quine correspondent à aucunes qualités, actions…. Tous ces types de mots, de natures
différentes, sont indispensable pour pouvoir se représenter un monde, un tout organisé et cohérent.
A cette diversité, s’ajoute la richesse des synonymes qui sont très rarement des synonymes parfaits.
Ils permet donc des fines nuances de sens. Il y a aussi des transfère de sens ( exemple avec les
métaphore). Dans ces conditions comment encore les mots peuvent nous trahir ? La langue en elle
même ne manque de rien. Il ne tient qu’a nous de puiser dans la richesse langagière. Si nous
disposons de la compétence linguistique, tout peut être dit. Chulsky

C) la langue ne manque de rien, toutes les expériences, les idées peuvent se dire en elles. C’est au
niveau de la parole, de son usage singulier, que peut sugir le sentiment d’etre trahit par les mots.
Comme si ils faisaient défaut à notre intention de significations. Et de faites les mots peuvent nous
trahir nos pas par leurs natures même mais parce que notre maîtrise linguistique est insuffisantes.
La capacité du langage est dépendante de la compétence linguistique du locuteur. Il ne tient qu’a
nous de ne pas être trahit par les mots. Il est de notre responsabilité d’accorder de l’importance à
notre langue et la façon dont on s’exprime.
II- Double trahison
a) - communion silencieuses des consciences,
- BERGSON A MIT EN LUMI7RE cette inadéqution de l’esprti et du langauge
- npous pouvons toujours ds un soucis de précision affiner au max notre expression
- on reduit la perte
- l’impossibilité de rendre les fils enchevetrés
- bergson : impossibilité de rednre le caractère mouvant .
- incommensurabilité du langage et de l’esprit
-
b)
- situation et expériences ou le langage fait défaut, il manque

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