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ÉTS - GES800

M06
RAD
GES800- Contextes d’application de la gestion de projet
15 Diapos- Said BARAOUI

RAD - Rapid Application Development


Extraits du livre Rapid Development,
Steve McConnell
(ISBN – 1-55615-900-5)

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RAPID APPLICATION DEVELOPPEMENT
• On vise la rapidité des résultats

• Plusieurs approches agiles sont inspirées par ces pratiques

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LES QUATRE PILIERS DU RAD (4P)
Pour obtenir les meilleurs résultats possible (meilleurs
échéanciers), vous devez vous assurer de respecter les piliers
suivants:

1. La gestion du risque. (déjà fait)


2. Les compétences fondamentales.
3. L’évitement des erreurs classiques.
4. Les pratiques qui optimisent les échéanciers.

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2- LES COMPÉTENCES FONDAMENTALES
• Les compétences de gestion
Estimation et échéanciers, planification, suivi et contrôle, mesures

• Les compétences techniques


La gestion des besoins d’affaires
Le design
Le développement
L’implantation

• Les compétences en assurance de la qualité


Les revues techniques
Les tests – («validation & vérification»)
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3- L’ÉVITEMENT DES ERREURS CLASSIQUES
• Erreurs liées aux gens
1. Une motivation minée.
2. Des membres d’équipe faibles.
3. Le manque d’implication des usagers.
4. Des employé(e)s à problèmes non contrôlés.
5. Une attitude de héros.
6. L’ajout de membres d’équipe tard dans le projet.
7. Des espaces de travail bruyants et tassés.
8. Des frictions entre les développeur(e)s et les client(e)s.
9. Des attentes irréalistes.
10. Le manque d’engagement du/ de la commanditaire.
11. Le manque de «foi» de la part des protagonistes.
12. La pensée magique.
13. La «politicaillerie».

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3- L’ÉVITEMENT DES ERREURS CLASSIQUES
• Erreurs liées aux processus
1. Le manque de planification.
2. Une gestion du risque insuffisante.
3. Des échéanciers trop optimistes.
4. L’abandon du plan d’action sous la pression.
5. L’échec d’un sous-traitant.
6. La perte de temps au début du projet (Fuzzy Front End)
7. La minimisation des activités du début du projet.
8. Un design inadéquat.
9. Un manque d’assurance de la qualité.
10. Un manque de contrôle managérial.
11. L’omission de tâches requises lors de l’estimation.
12. Planifier de «reprendre le temps perdu» plus tard.

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3- L’ÉVITEMENT DES ERREURS CLASSIQUES
• Erreurs liées au produit
1. Le plaquage en or des besoins par le client(e) («gold-plating»)
2. Le plaquage en or par les développeur(e)s.
3. La croissance effrénée des besoins.
4. Le développement orienté recherche.
5. Des négociations en «tiraillement».

• Erreurs liées à la technologie


1. Le syndrome de la balle d’argent («Silver-bullet»)
2. Le changement d’outils au milieu d’un projet.
3. Le manque d’automatisation des activités de contrôle

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4- LES PRATIQUES QUI OPTIMISENT LES ÉCHÉANCIERS
• Minimisation des fonctionnalités – dès le début!
• La sélection du cycle de développement.
• Un développement centré sur le client(e).
• Un échéancier réaliste.
• Le raffinement continu des estimations.
• Créer une équipe performante.
• L’usage des facteurs de motivation.
• Utilisation d’outils performants.
• Usage de plan de récupération.

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES RAD
Comité d’approbation des demandes de changement.
Développement et test quotidien.
Prototypage évolutif.
Élaboration d’objectifs.
Joint Application Design (JAD).
Sélection du cycle de développement.

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES (SUITE)
Mesures
• Efficace pour la motivation à court terme.
• Efficace pour la gestion des coûts, des échéanciers et de la qualité.
• Procure de la visibilité.
• Mesures: des coûts et ressources, des changements et défauts des
processus et des produits.

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES (SUITE)
Mini jalons (1 à 2 jours, binaire)
• Les projets deviennent en retard un jour à la fois…
• Cette approche granulaire procure une bonne visibilité du statut des
activités.
• Pour réussir, il faut convaincre l’équipe des bienfaits de cette approche.
• Approche parfaite pour la récupération d’un projet.

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES (SUITE)
Un environnement productif
• Espace de travail et salles de rencontres.
• Espaces de détente.
• Pas de sonneries de téléphones.
• Pas de conversations «de corridors».
• Fenêtres extérieures.
• Accès rapide aux autres équipes.
• Accès rapide aux imprimantes, aux fournitures

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES (SUITE)
Nettoyage «à la brosse» des besoins
• Les spécifications du produit sont examinées attentivement dans le but
d’enlever les spécifications complexes et non essentielles.
• Réduction de l’échéancier.
• Réduction des risques.
• Accroissement des chances de succès.
• Accroissement du succès à long terme.

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES (SUITE)
Engagement écrit
• Au début du projet,
• Demander aux membres de l’équipe de s’engager totalement au
succès du projet.
• Si acceptée, l’équipe aura une grande latitude pour travailler le projet
«à sa façon».
• Efficace, mais risqué:
• Moins de visibilité, perte de contrôle, fatigue extrême…

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4- LES MEILLEURES PRATIQUES (SUITE)
Développement limité dans le temps «Timeboxing».

Gestion des 10 risques les plus importants.

Prototypage de l’interface usager.

Heures supplémentaires volontaire.

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