COUR-4-ECO-PARASITAIRE 2-les machines immunitaire
;
Les gènes pour Tuer :
-si les mécanisme d’évitement n’ont pas été totalement
efficace et le parasite a gagné la 1er marche,la seconde
marche consiste pour l’hôte à sélectionner des moyens
pour tuer les parasites,certains de ses moyens font
appel à des comportement et d’autres à l’immunité.
1- les comportement :
Le grooming de l’antilope :
Les antilopes possèdent des incisives séparées par
des espaces (des grosses dents).
Selon cuvier Cette disposition est une adaptation pour
retirer les ectoparasites, notamment les tiques de
pelage.
Cette activité de nettoyage s’appelle grooming chez les
mammifères et preening lissage chez les oiseaux.
Les observations ont effectivement confirmer que les
antilopes retirent les ectoparasites grâce a leur dents,
l’efficacité de ce procédé a été démontré par la
planche .
-EX-Varroa jacobsoni (acarien):
Hôte abeille  :Apis mellifira en méditerranéens
l’acarien dévastateur pour cette espèces
Hôte abeille : Apis cerana en Asie l’acarien peu
pathogène pour cette espèces
la faible pathogénicité de l’Acacien Varroa jacobsoni
pour les ruches de Apis cerana est due en partie a
l’excrétion de substances chimiques anti acarien
cependant un autre mécanisme véritable grooming fait
que la population de Varroa jacobsoni n’atteint jamais
des densité élevé chez cette espèce l’abeille est
capable de se débarrasser du parasite avec ses pates
ou ses mandibules et ce nettoyage ne se fait pas . les
ouvrières effectuent une dense de nettoyage qui alerte
aux autres ouvrières qui viennes a son aide.
La forte pathogénicité de Varroa jacobsoni pour les
ruches Apis mellifira est due au fait que l’ouvrière de
cette espèce ne savent pas pratiquer l’alogrooming
conclusion :
on peut donc considérer les comportements de
nettoyage les premières réponses du génome des
hôtes au attaques des parasites cependant ses
comportements ne sont pas toujours efficace ni
possible dans tous les cas.
 
Le système immunitaire constitue le moyen le plus
privilégié des luttes poste invasive des agents
pathogènes, les systèmes de défense existe chez tous
les êtres vivants ils sont de plus en plus perfectionner
lorsqu’on s’élève de la chaine de l’évolution
EX-chez les mollusques :i
mmunité cellulaire : hemocyte
Au cour de l’infestation le nombre d’hemocyte
augmente ils agissent par phagocytose contre les
bactéries et encapsulement conte les helminthes, la
destruction des agents pathologique se fait grâce au
lysosome.
Chez les insectes les défences immunitaire sont aussi
confier au hemocyte au quelles s’ajoute des réactions
de mélanisation (dépôt de mélanine autour du parasite)
au moment des agressions bactériennes les insectes
produisent des peptides appelé défenines ou
diptericines qui complètent l’action des enzymes.
Remarque :
Ils faut souligner cependant que malgré un système
immunitaire très diversifier et redoutable, les hôtes ne
parviennent généralement pas à se débarrasser
totalement les parasite et finissent par les tolérer ce
phénomène de tolérance des parasites implique une
cohabitation que les écologistes appels  « la part du
feu ».
EX Acarien du lézard :
-Les lézards abritent les acarien dans des petites
poches de leurs corps, une structure qui est présente
dans le génome du lézard et existe depuis la naissance
même chez les individus qui n’ont jamais été parasiter
par les acariens, selon Arnold il s’agirait d’un
mécanisme de défense, les acariens qui habitent dans
la poche sont des acarinariums et sont très agressives
et consomment l’épithélium de leur hôtes ce qui
implique que les acarinarium ont bien été sélectionné
sous la pression des acariens , leur rôle est de
concentrer les acariens dans des endroits ou ils cause
moins de dommage, l’épithélium des acarinarium est
capable de se régénérer c’est « l’hypothèse des
dommages limiter »
CONCLUSION :
Le nombres de maladies parasitaire montre que le
systèmes immunitaire aussi perfectionnée quand il ne
pouvait remporter les victoire, la coévolution entre le
parasite et l’hôte va aboutir a la formation d’association
équilibrée.