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SAM 5 INTRODUCTION
AUX EUROCODES
JANVIER 2020
Etablissement d’enseignement supérieur technique privé
SOMMAIRE
2
1
Principe
Principe de la modélisation
4
Principe de la modélisation
5
Principe de la modélisation
6
Calcul des sollicitations
N : effort normal
V : effort tranchant
7
Dimensionnement
8
Dimensionnement
9
2
Les Eurocodes :
introduction
Pourquoi les normes?
11
Pourquoi les normes?
Un architecte qui a réalisé une maison qui s'est effondrée sur ses occupants
et ayant causé leur mort, est condamné à la peine de mort (code
d’Hammurabi)
12
Pourquoi les normes?
13
La sûreté
Il faut savoir que les ruines les plus catastrophiques ont eu lieu pendant la phase de construction. On cite ici
« le second Narrows bridge » en Vancouver (Canada) 1958. La ruine est due à plusieurs fautes de
conception, mais la cause principale est le mauvais montage des treillis de support. Bilan : 20 morts
14
La sûreté
Ruine du pont de Québec 1908, toujours pendant la construction. La cause principale était une mauvaise
évaluation du comportement des éléments en compression. Bilan : 75 ouvriers tués
15
La sûreté
Les barrages ont eu un taux de mortalité particulièrement élevé. Par exemple, le barrage de
Malpasset en France s’est ruiné en décembre 1959 avec 400 décès.
La cause de la ruine est liée à des problèmes de fondations et aux travaux de terrassement.
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La sûreté
Des constructions qui résistent aux charges habituelles (charges gravitaires, vent, neige,…)
s’effondrent quand elles sont secouées , alors que d’autres résistent…
17
La sûreté
18
Les normes - généralités
La NFP 06-001
La NV 65 révisée 65
La N84
…
Les règlements purement français (Fascicules, DTU…)
19
Les normes : approche déterministe
20
Les normes : approche probabiliste
21
Les normes : démarche semi-probabiliste
La démarche semi-probabiliste se traduit par des règles, en partie forfaitaires, qui introduisent la
sécurité par :
des marges, plus ou moins apparentes, dans les divers modèles (modèles
des actions, des effets des actions et des résistances).
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Les Eurocodes : Définition
Les EUROCODES sont des NORMES EUROPÉENNES de CONCEPTION et de CALCUL pour les
BÂTIMENTS et les OUVRAGES de GÉNIE CIVIL.
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Les Eurocodes : Définition
Ce sont des documents de référence reconnus par les autorités des pays membres :
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Les Eurocodes : historique
25
Liens entre Les Eurocodes
26
Les Eurocodes
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Adaptation nationale des Eurocodes
Les Eurocodes ne s’appliquent pas directement dans les différents États membres de l’Union
européenne, mais ce sont les normes nationales transposant les Eurocodes qu’on applique.
En France, ces normes nationales, diffusées par l’AFNOR, sont identifiées par l’appellation NF
EN.
Elles sont dotées d’une annexe nationale, identifiée par les lettres NA suivant la même
appellation.
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3
Eurocode 0 : les
états limites
Eurocode 0 - NF EN 1990 : Bases de calcul des structures
L’Eurocode 0 traite des bases de calculs de toutes les structures (béton, métal, bois, etc). Cette
norme introduit une notion nouvelle, celle de la durée d'utilisation de projet.
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Eurocode 0 - NF EN 1990 : Bases de calcul des structures
L'EN 1990 définit des principes et des exigences en matière de sécurité, d'aptitude au service et
de durabilité des structures.
Une structure est un assemblage d’éléments conçu pour supporter des charges et assurer un degré
suffisant de rigidité.
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Les états limites - définition
Les états limites sont des états au-delà desquels la structure ne satisfait plus aux critères de
dimensionnement.
Les états limites doivent être associés à des situations de projet : durables, transitoires,
accidentelles, sismiques.
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Les états limites
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Vérifications aux états limites de service
Il convient que la vérification des états-limites de service repose sur des critères concernant les
aspects suivants :
• les déformations qui affectent l'aspect, le confort des utilisateurs ou la fonction de la structure (y
compris le fonctionnement des machines ou des services) ;
• les vibrations qui nuisent au confort des personnes ou qui limitent l'efficacité fonctionnelle de la
structure ;
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Vérifications aux états limites ultimes
Les états-limites ultimes suivants doivent être l’objet de vérifications chaque fois qu’il y a lieu :
• une défaillance due à une déformation excessive, à la transformation en mécanisme de tout ou partie
de la structure, à une rupture, à une perte de stabilité de tout ou partie de la structure, y compris ses
appuis et fondations ;
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Vérifications aux états limites ultimes
36
Les principes de vérification aux états limites
37
4
Eurocode 1 : calcul
des actions sur les
structures
Les actions
Les actions sont des forces ou des couples directement appliqués sur la
construction. Elles peuvent aussi provenir de déformations imposées à la
structure telles que dilatations, tassements d'appuis, retraits, etc.
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Les actions
1 - Mur de façade
2 - Mur de refend
3 - Charge concentrée
4 - Action du vent
5 - Personnes
6 - Meuble
7 - Poussée des terres
8 - Plancher en béton armé
9 - Cloisons
10 - Température
11 - Revêtement de plancher
12 - Poutre en béton armé
13 - Automobile
14 - Sous-pression d'eau
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ACTION – CLASSIFICATION PAR ORIGINE
les séismes,
42
ACTION - Variation des actions dans le temps
43
Actions : les actions permanentes (G)
44
Actions : les actions permanentes (G)
La valeur caractéristique (Gk) d'une action permanente doit être déterminée de la façon
suivante :
Si la variabilité de G peut être considérée comme faible, une valeur unique de Gk peut
être utilisée (une variabilité faible se situe dans la fourchette 0,05 à 0,10 ) ;
Si la variabilité de G ne peut pas être considérée comme faible, deux valeurs doivent
être utilisées: une valeur supérieure Gk,sup e t une valeur inférieure Gk,inf.
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Actions – charges d’exploitation (Q)
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Illustration des valeurs caractéristiques des actions (l’approche probabiliste)
Combinaisons de
charges
47
Eurocode 1 : NF EN 1991
48
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-1
Les charges permanentes (G) :
49
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-1
Les charges d’exploitations (Q) sont classifiées en 4 catégories :
50
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-1
Les charges d’exploitation sur les planchers, balcons et escaliers :
51
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Domaine d’application
Sont exclus:
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Charge de la neige S
S i .Ce .Ct .S k
Avec
i = coefficient de forme
Ce = coefficient d’exposition
Ct = coefficient thermique
Sk = charge de neige au sol
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Charge de neige sur le sol : Sk
La charge de neige au sol appelée Sk est donnée dans les annexes nationales de l’E1. Elle est fonction du
département.
Sk est donnée en kN/m2
Si l’altitude du département est inférieure à 200m, le tableau suivant donne la charge normale au sol.
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Charge de neige sur le sol : Sk
55
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Coefficient d’exposition Ce (clause 5.2.(6))
Topographie Ce
Exposé au vent 0.8
Normal 1.0
Protégé 1.2
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Coefficient thermique Ct (clause 5.2(7))
Les bâtiments normalement chauffés étant systématiquement isolés, il convient de prendre
Ct=1,0 sauf spécifications particulières dûment justifiées du projet individuel.
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-3 - Action de la neige
Coefficient de forme µi
Case (iii) µ1(1) 0,5µ1(2)
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Phénomène physique
1
Pression dynamique : q v ²
2
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Vitesse du vent
60
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Rugosité du terrain
L’orographie
La turbulence du vent…
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 Action du vent
Signe de la charge de vent
La pression du vent, we, exercée sur les faces extérieures s'obtient à l'aide de l'expression
suivante :
we q p ze .c pe
où :
• qp(ze) est la pression dynamique de pointe ;
• ze est la hauteur de référence pour la pression extérieure;
• cpe est le coefficient de pression pour la pression extérieure.
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Pression aérodynamique sur les surfaces §5.2
Il convient de déterminer la pression aérodynamique agissant sur les surfaces intérieures d'une
construction, wi, à partir de l'expression
wi q p zi .c pi
où :
• qp(zi) est la pression dynamique de pointe ;
• zi est la hauteur de référence pour la pression intérieure;
• Cpi est le coefficient de pression pour la pression intérieure.
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Coefficients de pression pour les bâtiments §7.2
65
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Murs verticaux des bâtiments à plan rectangulaire §7.2.2
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Les coefficients de pression extérieure cpe,10 et cpe,1 pour les zones A, B, C, D et E sont définis à
la figure suivante
67
Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Tableau 7.1 — Valeurs recommandées des coefficients de pression extérieure pour les murs verticaux des bâtiments à plan rectangulaire
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Toitures à deux versants §7.2.5
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-4 - Action du vent
Lorsque l’aire des ouvertures dans la face dominante est égale à deux fois l’aire des ouvertures dans les
autres faces : C 0.75.C pi pe
Lorsque l’aire des ouvertures dans la face dominante est au moins égale à trois fois l’aire des ouvertures
dans les autres faces. C 0.90.C pi pe
Lorsqu'il se révèle impossible, ou lorsqu'il n'est pas considéré justifié d'évaluer μ pour un cas particulier, il convient alors de donner
à cpi la valeur la plus sévère de + 0,2 et – 0,3.
70
Les autres actions
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Les combinaisons d’actions
But :
Associer à l’action permanente , une ou plusieurs charges variables, compatibles
entre elles, affectées de coefficients de pondération (ϒ) ou de combinaison(ψ), de
manière à créer l’effet le plus défavorable .
Rechercher en toute section, la combinaison de charges déterminante en vue du
dimensionnement ou de la vérification de la structure.
Les valeurs des coefficients diffèrent suivant l’état limite envisagé (ELU ,ELS) , sa
nature (exemple pour ELU: équilibre, résistance, fatigue, etc.) et de la situation
(durable ou accidentelle).
Pour un état limite donné et une situation donnée,
• Les valeurs des coefficients (ϒ) traduisent le niveau de sécurité recherché .
• Les valeurs des coefficients (ψ), dépendent de la probabilité de compatibilité et/ou de
concomitance des actions variables entre elles.
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Combinaisons ELU
Expressions symboliques des combinaisons d'actions pour les états-limites ultimes
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Combinaisons ELU
Dans l’Annexe nationale française, la combinaison d’actions fondamentale retenue est celle définie par l’expression
6.10 avec les valeurs suivantes:
Nota: G est dit « favorable » lorsqu’il produit un effet de sens opposé à celui de l’action variable principale étudiée
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Combinaisons ELS
Expressions symboliques des combinaisons d'actions pour les états limites de service
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Eurocode 1 : NF EN 1991-1-1
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Combinaison d’actions – Simplification annexe nationale
Extrait annexe nationale : Clause A1.2.1 Généralités
Les clauses A1.2.1(2) et A1.2.1(3) ne sont pas modifiées.
— Pour l'application des équations 6.10 et 6.14b, il n'est pas nécessaire d'envisager plus d'une action variable
d'accompagnement.
— La prise en compte de plus de deux actions variables est spécifiée, lorsqu'il y a lieu, pour le projet individuel.
Interprétation : Les combinaisons sont établies soit avec une seule action variable soit avec 2 actions variables
(principale + accompagnement); On retient dans chaque section la combinaison la plus défavorable .
Exemple: Construction soumise aux charges permanentes (G) et 3 actions variables (S,W et Q):
- S: Action de la neige (ψ0S = 0.5) ; W : Action du vent (ψ0W = 0.6) ; Q: Charge d’exploitation (ψ0Q = 0.7)
- Combinaisons à envisager suivant 1991 AN:
- ELS : Action principale : neige S: n=3 : G + S ; G + S + 0.6W ; G + S + 0.7Q
- ELS : Action principale : vent W : n=3 : G + W ; G + W + 0.5S ; G + W + 0.7Q
- ELS : Action principale : exploitation Q : n=3 : G + Q ; G + Q + 0.5S ; G + Q + 0.6W
- ELU : Action principale : neige S: n=3 : 1.35G + 1.5S ; 1.35G + 1.5S + 0.9W ; 1.35G + S + 1.05Q
- ELU : Action principale : vent W : n=3 : ϒg =1 (au lieu de 1.35) si effet de G de sens opposé à celui du vent
- (1.35 ou 1)G + 1.5W ; (1.35 ou 1)G + 1.5W + 0.75S ; (1.35 ou 1)G + 1.5W + 1.05Q
- ELU : Action principale : exploitation Q : n=3 : 1.35G + 1.5Q ; 1.35G + 1.5Q + 0.75S ; 1.35G + 1.5Q + 0.9W
Nota: ELU : Pondération G par 1.35 si G de même sens que l’action variable principale (défavorable); Sinon G =1
-
Valeurs des combinaisons pour differentes situations de projet et differents états limites
Expression generale des combinaisons : (ϒgsup) x GSUP + (ϒginf) x GINF + ϒq x Q1 + Σ ϒq(ψji)xQi (avec i = 2 ou 3)
Nota AN : i = 3 uniquement si demande specifique du projet ;Pour batiment courant i = 2 → 2 charges variables maxi par combinaison :
Situations de projet DURABLES et TRANSITOIRES Q1 (principale) et Q2 (accompagnement)
Etat limite Gsup(def) Ginf (fav) Q1 Q2 Q3 ϒg , ϒq : Coefficients de pondération
ELU defavorable favorable principale accompagnement (si precisé dans CCTP) ψji : Coefficient d'accompagnement pour Qi
EQU (1) 1,1 0,9 1,5 0 ou 1.5. ψ0,2 0 ou 1.5. ψ0,3
Stabilité d'ensemble -Renversement
EQU (2) 1,35 1,15 1,5 0 ou 1.5. ψ0,2 0 ou 1.5. ψ0,3
Combinaison fondamentale
STR 1,35 1 1,5 0 ou 1.5. ψ0,2 0 ou 1.5. ψ0,3
Resistance des elements de structure
Defaillance ou deformation
STR-GEO 1 1 1,3 0 ou 1.3. ψ0,2 0 ou 1.3. ψ0,3
excessive du sol
Situations de projet ACCIDENTELLE (Ad)
Etat limite Gsup(def) Ginf (fav) Ad =Q1 Q2 Q3
ELU defavorable favorable principale accompagnement 1 (si precisé dans CCTP)
Si Q1= Ad = Incendie → ψ1,2. Q2
1 1 1 0 ou (ψ1,2 ou ψ2,2) 0 ou ψ2,3
Si Q1= Ad = Sad ou Autre ; → ψ2,2.Q2
Situations de projet SEISME (Aed)
Etat limite Gsup(def) Ginf (fav) Aed = Q1 Q2 Q3
ELU defavorable favorable principale accompagnement (si precisé dans CCTP)
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La descente de charges
Le cheminement des charges a
lieu :
du haut vers le bas,
des planchers vers les
porteurs horizontaux ;
des porteurs horizontaux vers
les porteurs verticaux ;
et des porteurs verticaux vers
les fondations.
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La descente de charges
Pour les structures en bois ou en acier, les porteurs horizontaux sont les poutres et les
porteurs verticaux, les poteaux.
En béton armé (ou béton précontraint), les porteurs horizontaux sont les poutres, les dalles et
les porteurs verticaux sont des poteaux ou des voiles en béton armé ou des murs en
maçonneries.
les éléments d’une structure doivent être eux-mêmes modélisés par leur ligne moyenne.
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Surface d’influence
La surface d’influence (S.in) est la surface équivalente à la zone de chargement d’un élément
porteur horizontal repris par un porteur vertical.
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Surface d’influence (illustration)
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Bande de charge
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Les poutres continues
Une poutre continue est une poutre reposant sur plusieurs appuis simples, et dont les
moments sur appuis, hormis les appuis de rives, ne sont pas nuls.
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CALCUL DES EFFORTS DANS LES POTEAUX
1,10 pour les poteaux intermédiaires des poutres à trois travées ou plus.
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La dernière étape : dimensionnement des éléments structuraux
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