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OFPPT
SECTEUR ELECTROTECHNIQUE
RESUMES DE
THEORIE ET
TRAVAUX
Module n° 25:
SYSTEMES D’ALARME ET DE
SIGNALISATION
Spécialité :
ÉLECTRICITÉ D’ENTRETIEN
INDUSTRIEL
Niveau :
Qualification
ANNÉE : 2001
i
Remerciements
Pour la supervision
Pour l'élaboration
Mme EL ALAMI
DRIF
ii
SOMMAIRE
Projet synthèse
Résumés de théorie des :
- Objectifs opérationnels de premier niveau et leur durée
- Objectifs opérationnels de second niveau et leur durée
Exercices pratiques des:
- Objectifs opérationnels de premier niveau et leur durée
- Objectifs opérationnels de second niveau et leur durée
iii
PRESENTATION OU PREAMBULE
Ce résumé de théorie et recueil de travaux pratiques est composé des éléments suivants :
Le projet synthèse faisant état de ce que le stagiaire devra savoir-faire à la fin des
apprentissages réalisés dans ce module, est présenté en début du document afin de bien le
situer. La compréhension univoque du projet synthèse est essentielle à l’orientation des
apprentissages.
Viennent ensuite, les résumés de théorie suivis de travaux pratiques à réaliser pour chacun des
objectifs du module.
Les objectifs de second niveau (les préalables) sont identifiés par un préfixe numérique alors
que les objectifs de premier niveau (les précisions sur le comportement attendu) sont marqués
d’un préfixe alphabétique.
Le concept d’apprentissage repose sur une pédagogie de la réussite qui favorise la motivation
du stagiaire, il s’agit donc de progresser à petits pas et de faire valider son travail.
Les apprentissages devraient se réaliser selon les schémas représentés aux pages qui suivent :
4
SCHÉMA D’APPRENTISSAGE D’UN OBJECTIF
Lecture du résumé de
théorie de l'objectif " n "
Réalisation du travail
pratique de l'objectif " n "
Évaluation
formative de
l'atteinte de
N
l'objectif " n "
O
5
SCHÉMA DE LA STRATÉGIE D'APPRENTISSAGE
ENSEIGNEMENT CORRECTIF
ENSEIGNEMENT CORRECTIF
ENSEIGNEMENT CORRECTIF
6
MODULE 25 : SYSTEMES D’ALARME ET SIGNALISATION
Code : Durée : 60 h
COMPORTEMENT ATTENDU
Pour démontrer sa compétence, le stagiaire doit
installer des systèmes d’alarme et de signalisation
selon les conditions, les critères et les précisions qui suivent.
CONDITIONS D’ÉVALUATION
• Travail individuel.
• À partir :
- d’un plan;
- de directives;
- des normes en vigueur.
• À l’aide :
- de l’équipement, de l’outillage et du matériel appropriés.
(à suivre)
7
OBJECTIF OPÉRATIONNEL DE PREMIER NIVEAU
DE COMPORTEMENT(suite)
8
OBJECTIFS OPÉRATIONNELS DE SECOND NIVEAU
LE STAGIAIRE DOIT MAÎTRISER LES SAVOIRS, SAVOIR-FAIRE, SAVOIR PERCEVOIR OU SAVOIR ÊTRE JUGÉS
PRÉALABLES AUX APPRENTISSAGES DIRECTEMENT REQUIS POUR L’ATTEINTE DE L’OBJECTIF DE PREMIER
NIVEAU, TELS QUE :
7. Utiliser les notions d’analyse de circuits c.c. et c.a. nécessaires à l’installation des
systèmes d’alarmes et de signalisation.
8. Utiliser les notions d’électronique nécessaires à l’installation des systèmes
d’alarmes et de signalisation.
9. Utiliser des notions de soudage à l’étain nécessaires à l’installation des systèmes
d’alarmes et de signalisation.
10. Appliquer des notions de logique combinatoire et séquentielle.
11. Tracer des croquis et des schémas.
9
EEI MODULE : 25
PROJET SYNTHESE
Le stagiaire doit installer des panneaux de contrôle, des boites de câble et de conduit ainsi
que des détecteurs de mouvement à infrarouge et autre relatifs aux installations d’alarme et de
signalisation. Il doit être apte de dépanner ces installations.
EEI25PS.doc
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI2501RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
I- Système d'appel
a- Carillon
Figure 1
a) Constitution :
1) Bobine.
2) Noyau plongeur formant marteau.
3) Ressort de rappel.
4 et 5) Plaques formant gong.
b) Fonctionnement :
Lorsque la bobine (1) est alimentée, le noyau (2) est attiré et son extrémité vient frapper le gong
(5). Lorsque l'on relâche le bouton-poussoir d'alimentation de la bobine (1), le ressort (3) ramène le
noyau qui vient frapper (4).
EEI2501RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
b- Sonnerie trembleuse
Figure 2
a) Constitution :
1) Timbre.
2) Marteau.
3) Bobine avec circuit magnétique fixe.
4) Bornes de branchement.
5) Armature mobile.
6) Vis de réglage du contact avec l'armature mobile.
7) Borne et support de l'armature mobile.
b) Fonctionnement :
Lorsque le courant traverse les bobines (3),l'armature mobile (5) est attirée et le marteau (2)
frappe le timbre (1). En même temps, le contact (6) est coupé, donc l'armature (5) est revient, le
contact (6) est établi, le courant traverse à nouveau les bobines et le cycle recommence.
Le réglage de la fréquence du son s'opère en tournant la vis (6). Elle est munie d'un contre-écrou.
c- Sonnerie à un coup
Sur la figure 2, on relie directement la borne (7) à la borne (4) sans passer par (6). Chaque fois que
les bobines sont alimentées le marteau frappe le timbre, mais une seule fois.
EEI2501RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
d) Sonneries polarisées
Figure 3
a) Constitution :
1) Aimant de polarisation.
2) Electro-aimant parcouru par le courant alternatif.
3) Armature mobile solidaire du marteau.
4) Timbres.
b) Fonctionnement :
L'armature mobile (3) est polarisée par l'aimant (1).
Le passage du courant dans l'électro-aimant (2) provoque l'attraction et la répulsion de l'armature
mobile pivotante (3) qui frappe les timbres (4).
Ce type de sonnerie est surtout utilisé en téléphonie avec appel par magnéto.
Figure 4
a) Constitution :
1) Timbre en bronze chromé.
2) Circuit magnétique.
3) Bobine.
4) Armature mobile avec marteau (5).
EEI2501RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
b) Fonctionnement :
L'armature mobile (4) vibre à la fréquence du courant alternatif, elle est attirée 2 fois par période,
il n'y a aucun contact électrique.
Sur le même système, il existe des ronfleurs dont le timbre est différent d'une sonnerie.
Voyant mécanique
Ce système de signalisation consiste à faire apparaître ou disparaître un disque que l'on observe à
travers un orifice.
Figure 5
a) Constitution :
1) Bobine d'appel.
2) Bobine de disparition.
3) Armature mobile.
4) Disque.
5) Orifice.
6) Axe d'articulation.
b) Fonctionnement :
Lorsque la bobine (1) est alimentée, elle fait apparaître le disque dans l'orifice (5), il reste en
position même si on cesse d'alimenter la bobine. Pour provoquer la disparition du disque, il faut
alimenter la bobine (2) pendant la durée du basculement du disque.
Voyant lumineux
Une lampe alimentée généralement en basse tension illumine un verre coloré, ou une indication
écrite ou chiffrée.
EEI2501RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
g- Tableau annonciateur
TABLEAUX D'APPEL
Ces tableaux conviennent pour appels d'huissier, écoles maternelles, maisons de retraite,
hôtels, etc.
Ils sont livrés complets. Leur installation de demande que deux fils par direction et une
alimentation courant alternatif de 24 V.
Fonctionnement très simple : un poussoir suffit pour effectuer l'appel.
Figure 6
EEI2501RT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 7
a) Constitution :
1) Electro-aimant.
2) Armature mobile.
3) Membre recevant les vibrations de l'armature.
4) Contact de rupture.
b) Fonctionnement :
Les vibrations de l'électro-aimant alimenté en courant continu par l'intermédiaire du contact (4)
qui provoque des coupures, sont transmises à une membrane qui produit un son de notes différentes
selon sa constitution.
2- Sirène
Figure 8
Un moteur entraîne une turbine tournant à 3 000 tr/min provoque une turbulence d'air qui en
passant à travers des chicanes émet un son.
La fréquence du son vraie entre 700 et 1 4000 Hz et la portée peut atteindre jusqu'à 10 km pour
une puissance du moteur de 18 kW.
EEI2501RT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
3- Les détecteurs
3.1- Les détecteurs périmétriques qui signalent les ouvertures des portes, fenêtres ou
trappes et les bris de vitres ou volets. Ils peuvent être :
• Magnétiques ; un aimant permanent, contenu dans un premier boîtier, attire un
contact et le maintient fermé. Ce contact situé dans un deuxième s'ouvre s'il y a
séparation des deux boîtiers (figure 9, a) ;
• A contact mécanique de feuillure ; ils contrôlent l'état d'ouverture ou de fermeture
d'une porte ou d'une fenêtre (figure 9, b) ;
• A chocs à masse mobile ; celle-ci déplace sous l'action d'un choc et coupe le circuit
(figure 9, c) ;
• A chocs munis d'un détecteur piézo-électrique qui émet un signal lorsqu'il y a un bris
de vitre, il se raccorde à un émetteur spécial.
Figure 9
a) Détecteur thermique
Il comporte une résistance à coefficient de température élevée (C T N ou C T P) qui provoque
l'alarme dès que la température atteint de 57 à 65°C dans les locaux.
b) Capteur thermo-vélocimétrique
Le capteur précédent risque d'agir trop tard, il est préférable de détecter la vitesse d'élévation de
la température.
L'élément sensible est, en général, une thermistance associée à un dispositif électronique qui
émet un signal lorsque la vitesse d'élévation de la température est supérieure à 7°C par minute.
EEI2501RT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 11
1) Filament en platine permettant d'élever la température à une valeur donnée en fonction du gaz
à détecter.
2) Céramique semi-conductrice dont la résistance varie avec le gaz en présence.
3) Électrode de sortie permettant la mesure de la résistance entre les bornes (b, c).
EEI2501RT.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
f) Schéma de principe
Figure 12
1) Transformateur d'alimentation.
2) Gazistance.
3) Relais de sortie.
Vs : Tension de sortie.
Vf : Tension de chauffage du filament.
g) Les détecteurs volumétriques destinés à prévenir les intrusions dans un local surveillé. Ils
sont généralement à rayonnement infrarouge. Ils détectent tout mouvement à l'intérieur d'un
local surveillé par mesure des variations rapides de température (chaleur dégagée par le corps
de l'intrus).
Ils sont caractérisés par leur portée : 12 à 25 m et l'angle d'ouverture du faisceau : large 90°,
fin 10°.
h) Les détecteurs à émetteur radio qui transmettent à la centrale, par ondes hertziennes, le
changement d'état des contacts de sécurité. Ils sont placés le plus près possible des détecteurs
avec lesquels ils sont reliés, ce qui limite l'importance de la filerie.
i) Les détecteurs hyperfréquence qui fonctionnent par émission permanente d'une onde
électromagnétique.
EEI2501RT.doc 10
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
EEI2501TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
1.
2.
3.
4.
EEI2501TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
5.
6.
EEI2501TP.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Ce résumé théorique comprend les commandes à 24 V c’est à dire et les commandes c.c.
- Directives particulières :
EEI2502RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
GENERALITES
La signalisation permet de transmettre à distance des signaux ou des informations qui sont
ensuite traités par l'utilisateur. Son but est d'attirer l'attention des personnes sur un fait précis.
Un circuit de signalisation comprend :
- Une source d'alimentation.
- Une protection du circuit.
- Un ou plusieurs organes de commande.
- Un ou plusieurs récepteurs auxiliaires (éventuellement).
- Un ou plusieurs organes récepteurs.
- Une liaison électrique entre ces différents éléments.
1- Source d'alimentation
Son choix est très important car il conditionne la fiabilité de la signalisation. La tension
d'alimentation peut être :
Un transformateur BT/TBT branché sur le réseau 230 V délivre une tension de sécurité
TBT. Ce système possède un inconvénient majeur : en cas de panne E.D.F l'utilisateur ne possède
plus de signalisation.
Schéma développé
Figure 1
Légende :
F1 : Fusible de protection.
T1 : Transformateur 220 V/24 V.
Remarque :
Dans un schéma développé, la phase est toujours située à gauche ou en haut et le neutre à
droite ou en bas.
La tension 24 V permet le fonctionnement des sonneries et des carillons.
EEI2502RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 2
Légende :
G : Batterie 9 V
F1 : Fusible de protection.
Remarque :
Dans un schéma développé, la polarité L + est toujours située à gauche ou en haut et la
polarité L - à droite ou en bas.
Schéma développé
Figure 3
EEI2502RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Légende :
F1 : Fusible de protection.
T1 : Transformateur 220 V/10 V.
V1 : Pont de diodes.
G : Batterie 12 V.
F3, F2 : Fusible de protection du circuit batterie.
La tension alternative est redressée à travers un pont de diodes afin de maintenir la batterie
d'accumulateur à sa valeur nominale.
Pour améliorer ce redressement, un condensateur peut être branché en parallèle sur la sortie
du pont redresseur.
La tension continue permet d'alimenter les claviers des systèmes d'alarme et les détecteurs
infrarouges.
EEI2502RT.doc 4
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
EEI2502TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2502TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Définir les divers modes de fonctionnement des systèmes d'alarme et de
signalisation.
Ce résumé théorique comprend la mise en circuit fermé d'un circuit, en circuit ouvert d'un circuit,
impulsions électriques provenant d'un système électromagnétique ou prévenant d'un capteur
infrarouge.
- Directives particulières :
EEI2503RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
a) A commande directe
Figure 1
Lorsque l'on ouvre une porte ou une fenêtre, les contacts S1 ou S2 sont actionnés et
provoquent le retentissement de la sonnerie. Dès que la porte ou la fenêtre est refermée, la sonnerie
s'arrête.
b) A commande à relais
Figure 2
Dès qu'un contact a été actionné, le relais L s'enclenche et s'auto-alimente par K2, tandis que
K1 alimente la sonnerie H. Une impulsion sur S3 (contact à clé) permet d'arrêter l'alarme.
L'inconvénient majeur de ce système est que la coupure d'un conducteur ou qu'un mauvais
contact empêche le dispositif de fonctionner sans qu'on puisse s'en apercevoir.
EEI2503RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 3
Figure 4
Le circuit de garde est parcouru, comme précédemment, par un courant constant, le pont est
déséquilibré et aucun courant ne parcourt le relais.
EEI2503RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
K1
Sirène K1
R1
Th
R3
K2
C2 C1 R2
Figure 5
th : thyristor
K1 : Bobine.
K2 : Contact.
R1, R2, R3 : Résistances
g : Gâchette
C1, C2 : Condensateurs
Le thyristor est commandé par la gâchette qui, lorsqu'elle est soumise à un certain courant
permet d'amorcer le thyristor. Lorsque celui ci est amorcé, il reste conducteur même si l'on coupe le
circuit de la gâchette. Pour le désamorcer, il faut couper le courant dans le circuit.
EEI2503RT.doc 4
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Définir les divers modes de fonctionnement des systèmes d'alarme et de
signalisation.
- Directives particulières :
EEI2503TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
1- Circuit 1 :
2- Circuit 2 :
EEI2503TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Repérer les renseignements dans les normes liées à l’installation des
systèmes d’alarme et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2504RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2504RT.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Repérer les renseignements dans les normes liées à l'installation des
systèmes d'alarme et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2504TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Quels sont les renseignement repères sur les normes NFC 45 et 48 liées à l’installation des
systèmes d’alarme et de signalisation?
EEI2504TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Déterminer les principaux symboles et composants d'un plan d'installation
des systèmes d'alarme et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2505RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
NORMALISATION
1- Alimentation
Lettre
Désignation Symbole
repère
L Conducteur phase
N Conducteur neutre
PE Conducteur de protection
Lettre
Désignation Symbole
repère
V Diode
EEI2505RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
3- Appareil de protection
Lettre
repère Désignation Symbole
F Fusible
4- Appareil de commande
Contact à ouverture
K
Contact à fermeture
EEI2505RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
5- Récepteurs auxiliaires
K Bobine de relais
6- Récepteurs
H Voyant de signalisation
Sonnerie
H
Ronfleur
H
Sirène
H
Klaxon
H
Schéma architectural
Gâche électrique
Y
Autres schémas
EEI2505RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Remarque :
On peut préciser la couleur du voyant par :
RD couleur rouge
YE couleur jaune
GN couleur verte
BU couleur bleue
WH couleur blanche
7- Détecteurs
Les détecteurs de grandeurs physiques sont représentés par des contacts auxquels sont
associés les symboles suivants:
Lettre
Désignation Symbole
repère
Commande par niveau de fluide
EEI2505RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Exemples :
Lettre
Désignation Symbole
repère
EEI2505RT.doc 6
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Déterminer les principaux symboles et composants d'un plan d'installation
des systèmes d'alarme et de signalisation.
Le stagiaire doit déterminer les principaux symboles des systèmes de signalisation et d'alarme.
- Directives particulières :
EEI2505TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Symboles Désignation
EEI2505TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
EEI2506TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2506TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
EEI2506TP.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
EEI2506TP.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : A DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25ART.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : A DURÉE : 1h
- Consultation de la légende.
EEI25ART.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : A DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25ATP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : A DURÉE : 1h
Figure 1
EEI25ATP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Utiliser les notions d'analyse de circuits c.c. et c.a. nécessaires à l'installation
des systèmes d'alarme et de signalisation.
Ce résumé théorique comprend un rappel de la formule de la loi d'Ohm pour le calcul des
dispositifs de protection et de la grosseur des conducteurs.
- Directives particulières :
EEI2507RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
1- La loi d'Ohm
U = R⋅ I
I = ρ ⋅S
S= I
ρ
I d =U o
Zs
I d : courant de défaut.
U o : tension nominale de l'installation.
Z s : impédance de la boucle de défaut.
RA ≤ U L I d =U o RA =U L Z e
Id Ze Uo
I d : courant de défaut.
U o : tension nominale de l'installation
Ze : impédance entre neutre et terre.
U d : tension limite conventionnelle.
RA : résistance de la prise de terre des masses d’utilisation.
EEI2507RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2507RT.doc 3
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Utiliser les notions d'analyse de circuits c.c. et c.a. nécessaires à l'installation
des systèmes d'alarme et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2507TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Exercice n°1:
Exercice n°2 :
EEI2507TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Utiliser les notions d'électronique nécessaires à l'installation des systèmes
d'alarme et de signalisation.
Ce résumé théorique comprend des notions de bloc d'alimentation, notions d'amplificateur, notion
de capteur infrarouge.
- Directives particulières :
EEI2508RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
I- Bloc d'alimentation
1- Diode
anode cathode
La diode est un composant à deux bornes, passif et non linéaire, très important et très utile.
Elle présente la caractéristique courant-tension, voir figure 1.
La flèche de la diode (l'anode) est dirigée dans le sens su passage du courant direct. Par
exemple, si la diode est dans un circuit parcouru par un courant de 10 mA de l'anode vers la
cathode, le graphe montre que la tension de l'anode est supérieure de 0,5 V environ à celle de la
cathode ; cette tension s'appelle la "chute de tension directe". Le courant inverse, dont la mesure se
situe dans la gamme des nanoampères pour une diode d'usage général (remarquez les échelles du
graphe, différentes pour le courant direct et pour le courant inverse), n'a presque jamais de
conséquence jusqu'à ce qu'il atteigne la tension de claquage inverse (PIV, pour Peak Inverse
Voltage). La tension de claquage inverse est de 75 V pour une diode d'usage général comme la
1N914 (ou 1N4148). (Normalement, vous ne soumettrez jamais une diode à une tension
suffisamment importante pour produire un claquage inverse ; la seule exception est la diode Zener ).
Souvent aussi, la chute de tension directe de 0,5 V à 0,8 V a peu d'importance, et la diode peut être
considérée comme une bonne approximation d'un conducteur à sens unique. Il existe d'autres
caractéristiques importantes qui distinguent les centaines de types de diodes disponibles, comme le
courant direct maximal, la capacité, le courant de fuite, le temps de rétablissement inverse.
EEI2508RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
2- Redressement
Un redresseur transforme le courant alternatif en courant continu ; c'est une des applications
les plus simples et les plus importantes des diodes (les diodes sont quelquefois appelées
redresseurs). Le circuit le plus simple est celui de la figure 2. Le symbole "alternatif" représente la
source de tension alternative ; dans les circuits électroniques, il s'agit habituellement d'un
transformateur alimenté par le secteur alternatif. Pour une entrée sinusoïdale beaucoup plus grande
que la tension directe, environ 0,6 V pour les diodes courantes au silicium), la tension ressemblera à
celle de la figure 3. Si vous considérez la diode comme un conducteur à sens unique, vous n'aurez
pas de peine à comprendre le fonctionnement du circuit. Ce circuit s'appelle un redresseur simple
alternance, parce qu'il n'utilise que la moitié de la forme d'onde.
Figure 3
Figure 5
EEI2508RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
3- Filtrage d'alimentation
Les formes d'ondes précédentes ne sont pas bonnes à grand-chose telles qu'elles se
présentent. Les tensions sont continues dans le sens qu'elles ne changent pas de polarité, mais elles
présentent une forte ondulation (variation périodique de la tension autour de la valeur fixe). Une
tension ondulée doit être lissée pour devenir une véritable tension continue. C'est ce que nous
ferons en ajoutant un filtre passe-bas (voir figure 6). En fait, le résisteur en série n'est pas nécessaire
et se trouve toujours omis (même si vous voyez quelquefois une faible résistance en série pour
limiter le courant de crête du redresseur). La raison est que les diodes empêchent le courant de
"ressortir" des condensateurs, les quels fonctionnent alors plus comme des réservoirs pour le
stockage d'énergie que comme les composants d'un filtre passe-bas classique. L'énergie stockée
dans un condensateur est U = (CV2)/2. Pour C en farads et V en volts, U s'exprime en joules (watts
seconde).
Figure 6
La capacité est choisie de telle façon que R charge C>>1/ƒ (avec ƒ qui représente la fréquence
d'ondulation, ici 100 Hz) pour garantir une ondulation faible, en rendant la constante de temps de la
décharge beaucoup plus longue que la durée qui sépare deux recharges.
Si vous vouliez effectuer les calculs sans aucune approximation, il vous faudrait appliquer la
formule exacte de la décharge exponentielle. Vous seriez mal inspiré de persévérer dans cette voie,
pour deux raisons :
a) La décharge n'est une exponentielle que si la charge est une résistance ; beaucoup de charges
n'en sont pas. En fait, la charge la plus commune, un régulateur de tension, ressemble à une
charge à courant constant.
b) Les alimentations sont construites avec des condensateurs dont la tolérance est habituellement de
20% ou plus. Pour prendre en compte les dispersions, vous calculerez en comptant avec les
valeurs du cas le plus défavorable.
Dans ce cas, considérer le début de la décharge comme une rampe est en fait parfaitement
exacte, surtout si l'ondulation est très petite, et dans tous les cas l'erreur va dans le sens du calcul
pessimiste, elle surestime l'ondulation.
EEI2508RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Alimentation symétrique
EEI2508RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Le montage montre une variante répandue du redresseur à deux alternances à point milieu. Il
fournit une alimentation symétrique (tension positive et négative égales), comme de nombreux
circuits en réclament. Ce circuit a un bon rendement, parce que les deux moitiés de l'onde d'entrée
sont utilisées dans chaque section des enroulements.
Multiplicateurs de tension
5- Régulateur
EEI2508RT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Une meilleure conception des alimentations consiste à utiliser assez de condensateurs pour
ramener l'ondulation à un niveau assez bas (environ 10% de la tension) et à utiliser ensuite un
circuit actif à contre-réaction pour éliminer l'ondulation résiduelle. Un tel circuit "surveille" la
tension de sortie et agit sur un résisteur variable en série (en fait un transistor) de façon à maintenir
constante la tension de sortie (figure 12).
Ces régulateurs de tension sont utilisés quasi universellement comme alimentations pour les
circuits électroniques. De nos jours, des régulateurs de tensions complets se trouvent sous la forme
de circuits intégrés. Une alimentation à circuit intégré régulateur peut être rendue facilement
réglable, auto-protégée contre les surcharges et les courts-circuits, avec d'excellentes
caractéristiques comme source de tension (par exemple, une résistance interne qui se mesure en
milliohms).
Pour la plupart des applications non critiques, le meilleur choix en matière de régulateur de
tension est le type tripode simple. Il ne comporte que trois bornes (entrée, sortie et masse) et offre
une tension de sortie fixée par la fabrication. Le type courant est la série 78 xx. La tension est
spécifiée par les deux derniers chiffres de référence, qui peuvent être : 05, 06, 08, 10, 12, 15, 18 ou
24. La figure 13 montre combien il est simple de réaliser un régulateur +5 V, par exemple, avec un
de ces circuits intégrés. le condensateur en parallèle avec la sortie améliore la réponse aux
transitoires et maintient une faible impédance à haute fréquence (un condensateur de 0,33 µF au
minimum doit être ajouté en parallèle avec l'entrée si le régulateur est placé à une distance
appréciable des condensateurs de filtrage). La série 7800 est disponible dans les mêmes boîtiers en
métal ou en plastique que les transistors de puissance.
EEI2508RT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Une version à faible puissance, 78 Lxx, est disponible dans les mêmes boîtiers que les transistors
pour petits signaux. La série de régulateurs négatifs 7900 fonctionne de la même façon (avec une
tension d'entrée négative, naturellement). La série 7800 peut débiter un courant de 1 A dans la
charge, elle comporte un dispositif de protection contre les sur-intensités et l'échauffement excessif
; la tension de sortie s'effondre, le circuit intégré n'est pas détruit. De plus, le circuit refuse de
fonctionner en dehors de zone de sécurité en réduisant l'intensité du courant de sortie pour les fortes
différences de tension entre l'entrée et la sortie. Ces régulateurs sont peu coûteux et faciles à utiliser
; ils facilitent la conception de systèmes avec de nombreuses platines auxquelles on distribue la
tension continue non régulée, pour la réguler sur place.
Figure 13
Les régulateurs tripodes à tension fixe ont des variantes utiles. Le LP2950 fonctionne
exactement comme le 7805, mais il ne consomme que 75 µA de courant de repos (à comparer aux 5
mA du 7805 ou aux 3 mA du 78L05) ; il régule avec seulement 0,4 V de différence de tension entre
l'entrée et la sortie (tension de déchet), à comparer aux 2 V de déchet du 7805 classique. Le
LM2931 présente aussi un faible tension de déchet, mais on pourrait le dire à milli-puissance (0,4
mA de courant de repos), par comparaison à la micro puissance du LP2950. Les régulateurs à faible
tension de déchet existent aussi en versions à fort courant, par exemple la série LT1085/4/3 de
Linear Technologie (3 A, 5 A et 7A, chaque type est disponible en + 5V et + 12V). Les régulateurs
comme le LM2984 sont des régulateurs tripodes fixes, mais avec des sorties supplémentaires pour
signaler au microcesseur que l'alimentation a disparu ou est revenue. Enfin, les régulateurs comme
le 4195 contiennent deux régulateurs de 15 V, l'un positif, l'autre négatif.
Vous pouvez avoir besoin quelquefois d'une tension régulée non standard (comme + 9 V
pour remplacer une pile) et ne pas pouvoir utiliser un régulateur de tension fixe de la série 78xx.
Vous pouvez aussi vouloir une tension standard, mais avec précision meilleure que les ± 3%
typiques des régulateurs fixes. La figure 14 montre un régulateur ajustable.
EEI2508RT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
II- Amplificateurs
Amplificateurs opérationnels
La majeure partie de note travail avec la rétroaction nécessitera des amplificateurs
opérationnels, des amplificateurs différentiels couplés en continu, à très grand gain, avec des sorties
asymétriques. Pensez à la "paire à longue queue" classique avec ses deux entrées et son unique
sortie comme à un prototype, bien que les véritables amplificateurs opérationnels aient un gain bien
supérieur (en général 105 à 106) et une impédance de sortie inférieure ; ils permettent d'avoir une
excursion de sortie sur presque toute la plage d'alimentation (habituellement, nous utilisons une
alimentation double, la plupart du temps ±15 V). Maintenant, les types d'amplificateurs
opérationnels disponibles se comptent, littéralement, par centaines.
Figure 15
Leur symbole universel est représenté sur la figure 15, les entrées (+) et (-) agissent comme
prévu : la sortie est positive lorsque l'entrée non-inversée (+) est plus positive que l'entrée inversée
EEI2508RT.doc 9
RÉSUMÉ DE THÉORIE
(-), et vice versa. Les symboles (+) et (-) ne signifient pas que vous devez maintenir une entrée
positive par rapport à l'autre, ou quelque chose comme cela ; ils vous indiquent seulement la phase
relative de la sortie (importante pour que la rétroaction négative reste négative). Nous utilisons les
adjectifs "non-inverseur" et "inverseur" plutôt que "plus" et "moins" pour éviter une confusion.
Souvent, les raccordements à l'alimentation ne sont pas représentés, et il n'y a pas de borne de terre.
Les amplificateurs opérationnels ont un gain en tension et ils ne sont jamais utilisés sans
rétroaction. Considérez l'amplificateur opérationnel comme du "matériau" pour rétroaction. Le gain
en boucle ouverte est si grand que pour tout gain raisonnable en boucle fermée, les caractéristiques
ne dépendent que du réseau de rétroaction.
Des centaines d'amplificateurs opérationnels différents sont disponibles. Un très bon acteur
complet est le LF411 vulgaris ("411" en abrégé), présenté à l'origine par National Semi-conductor.
Comme tous les amplificateurs opérationnels, c'est une toute petite bête emballée dans un boîtier dit
DIP (dual in- line package), voir figure 16.
Cet amplificateur opérationnel est bon marché et facile à mettre en oeuvre ; il est disponible
dans une version améliorée (LF411 A) et aussi sous la forme d'un boîtier mini-DIP contenant deux
amplificateurs opérationnels indépendants (LF412, appelé amplificateur opérationnel "double").
Le morceau de silicium à l'intérieur du LF411 contient 24 transistors (21 transistors
bipolaires, 3 FET), 11 résisteurs et 1 condensateur.
Amplificateur non-inverseur
EEI2508RT.doc 10
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Examinons le montage. Comme précédemment, son analyse est des plus simples :
V A =V entrée
VA =Vsortie R1 (R1 + R2 )
Figure 18
Si seuls des signaux alternatifs doivent être amplifiés, il est souvent conseillé de "ramener"
le gain en continu à l'unité, en particulier si l'amplificateur a un gain en tension important, afin de
diminuer les effets de la "tension finie de décalage d'entrée". Le circuit de la figure 19 a fréquence
inférieure de coupure (3 dB) de 17 Hz, fréquence à laquelle l'impédance du condensateur est égale à
2 KΩ. Remarquez la forte capacité nécessaire. Pour les amplificateurs non-inverseurs avec un gain
élevé, le condensateur dans cette configuration d'amplificateur à courant alternatif peut être trop
gros. Dans ce cas, il est préférable d'omettre le condensateur et d'annuler la tension de décalage.
Une autre solution est d'augmenter les résistances R1 et R2 ; utilisez éventuellement un
réseau en T pour R2.
EEI2508RT.doc 11
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 19
EEI2508RT.doc 12
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2508RT.doc 13
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2508RT.doc 14
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Utiliser les notions d'électronique nécessaires à l'installation des systèmes
d'alarme et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2508TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2508TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Utiliser des notions de soudage à l’étain nécessaires à l’installation des
systèmes d’alarme et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2509RT.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Utiliser des notions de soudage à l’étain nécessaires à l’installation des
systèmes d’alarme et de signalisation.
Le stagiaire doit réaliser les exercices proposés par le formateur comme rappel au module 15
« Soudage à l’étain ».
- Directives particulières : L’exercice doit être réaliser sous la forme d’un exercice de synthèse.
EEI1405TP 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI2510RT.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Le stagiaire doit réaliser les exercices proposés par le formateur comme rappel au module 23
«Logique combinatoire» et module 24 «Logique séquentielle».
- Directives particulières : L’exercice doit être réaliser sous la forme d’un exercice de synthèse.
EEI1405TP 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI2511RT.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Le stagiaire doit réaliser les exercices proposés par le formateur comme rappel au module 4
«Traçage de croquis et de schémas».
- Directives particulières : L’exercice doit être réaliser sous la forme d’un exercice de synthèse.
EEI1405TP 1
EXERCICE PRATIQUE
Figure 1
EEI1405TP 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : B DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25BRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : B DURÉE : 1h
EEI25BRT.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : B DURÉE : 2h
- Directives particulières :
EEI25BTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : B DURÉE : 2h
Figure 1
EEI25BTP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : C DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25CRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : C DURÉE : 1h
1. Méthodes de test
Pour diagnostiquer un défaut, on doit mesurer les tensions et intensités à différents endroits du
circuit en panne, ces endroits étant judicieusement choisis. Quelques informations supplémentaires
- élévation anormale de température, forme d'un signal de sortie - permettront alors de maîtriser la
panne. L'outil essentiel pour le diagnostic est un bon multimètre. Celui-ci doit présenter une
résistance minimum de 20 000 Ω par volt. Cette résistance interne est un paramètre important ; une
résistance interne trop faible conduit à des résultats erronés, car le voltmètre ajoute en parallèle une
charge résistée sur le circuit mesuré. Si ce dernier présente une résistance très élevée, on doit
prendre des précautions lors de l'interprétation de la mesure.
L'oscilloscope est d'une très grande utilité pour la recherche des pannes en électronique. On
mesure au moyen de cet appareil des tensions continues et alternatives, des débits, des déphasages,
des fréquences, des périodes, des formes de signal et bien d'autres paramètres. La précision des
mesures effectuées avec cet appareil dépend de sa calibration. Les oscilloscopes actuels sont munis
d'une source de signaux de référence pour effectuer cette calibration. L'impédance d'entrée de ces
appareils est typiquement de 1 MΩ en parallèle sur 20 pF. Cette impédance d'entrée peut être
augmentée en utilisant une sonde spéciale, qui comporte un circuit intermédiaire, actif ou passif,
placé ente le point de mesure et l'entrée de l'oscilloscope. La sonde la plus simple est un diviseur de
tension.
Lorsqu'un appareil "passe" en maintenance et que les contrôles relèvent une défectuosité
quelconque, il faut confirmer le défaut diagnostiqué. Lorsq'un composant est soupçonné, son
remplacement permet de lever le doute. Il est encore meilleur de pousser l'investigation plus loin et
de savoir de quelle façon le composant est tombé en panne. Cela permet notamment d'établir des
statistiques sur la fiabilité du composant concerné, et de classer les défaillances observées.
Celles-ci peuvent relever d'une mauvaise méthode de fabrication, d'une erreur de conception
ou d’un vieillissement précoce. S’il s’avère par exemple que le même composant tombe souvent en
panne par coupure, le fabriquant doit en être informé afin de modifier son processus de fabrication.
EEI25CRT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Les capacités qui présentent des fuites peuvent aussi être testées à l'ohmmètre, après avoir
isolé du circuit l'une de leurs extrémités. Un condensateur électrochimique présente une résistance
faible pendant qu'il se charge, puis sa résistance devient rapidement infinie s'il est de bonne qualité.
Les capacités "coupées" sont très facilement testées par mise en parallèle d'une capacité identique et
vérification du fonctionnement du circuit. On peut aussi extraire la capacité suspecte et la mesurer
avec le montage simple représenté sur la figure 1
a) Utilisant un générateur BF à 1 kHz et deux multimètres. La capacité Cr = ½ π.V, peut être
mesurée avec une précision meilleure que 10% pour les valeurs de 1 000 pF à 1 µ F. Une méthode
encore meilleure consiste à utiliser un pont en alternatif comme le montre la figure 1 b). afin
d’effectuer une mesure par comparaison avec une capacité de référence.
Cr
Générateur 1 kHz V I
basse impédance
Capacité
étalon CS Cx
Boite à ac
décades Détecteur
R2 R1
Figure 1 b) - Pont de mesure pour capacités. Le détecteur peut être constitué par un casque, un
oscilloscope ou un voltmètre alternatif sensible
A l'équilibre : C x = R2 Cs
R1
EEI25CRT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Maintenant, on est à même de tester un transistor et d'apprendre quantité de choses sur lui.
D'abords à identifier ses bornes, si l'on n'est pas sûr de son brochage. On recherche d'abord entre
quelles bornes on observe une résistance importante dans les deux sens (1 000 kΩ et plus) ; on aura
ainsi déterminé l'émetteur et le collecteur (si le transistor n'est pas claqué), donc la base. On mesure
maintenant la résistance base-émetteur et base-collecteur ; celle-ci est faible dans le sens direct
(1 kΩ) et importante en inverse (100 kΩ). Si l'on obtient la valeur faible avec la base au pôle + de la
plie d’ohmmètre, s'il s'agit d'un transistor npn ; dans le cas contraire, c'est un transistor pnp.
Figure 3 - On utilise une diode pour vérifier la polarité d'un multimètre lorsqu'il est en
gamme "ohmmètre". Le multimètre indique un faible résistance, ce qui signifie que le fil noir est
relié ai pôle plus de la pile.
Le test précédent permet de s'assurer que les jonctions base-émetteur et base-collecteur sont
bonnes. Si l'une des jonctions présente une résistance élevée en direct comme inverse, c'est qu'elle
est ouverte ; si la résistance mesurée est faible, la jonction est claquée.
Lors du test de composants tels que les transistors courants, les FETS et les circuits intégrés,
on observera toujours les conseils suivants :
1. Vérifier l'arrivée de l'alimentation sur les composants testés.
EEI25CRT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 4 a) Figure 4 b)
- Mesure de la résistance de jonction - Polarisation directe
d'un transistor npn avec un multimètre, collecteur-base, on
polarisation directe base-émetteur. doit relever une
Une résistance faible (moins de 1 kΩ) résistance faible
doit être mesurée. (moins de 1 kΩ)
EEI25CRT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Figure 4 c) Figure 4 d)
- Polarisation inverse émetteur-base. - Polarisation inverse
Une résistance supérieure à 100 kΩ doit collecteur-base. Une
être relevé. résistance supérieure
à 100 kΩ doit être
relevée.
EEI25CRT.doc 6
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : C DURÉE : 1h
- Directives particulières :
OBJECTIF : C DURÉE : 1h
EEI25CTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Vérifier le fonctionnement :
EEI25CTP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : D DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25DRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : D DURÉE : 1h
2- Vérification de l'outillage :
• L'état des cordons d'alimentation des outils électriques.
• L'état général de fonctionnement.
• L'état des piles des instruments.
EEI25DRT.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : D DURÉE : 2h
- Directives particulières :
EEI25DTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : D DURÉE : 2h
Avant la réalisation d'une installation donnée rédiger un rapport sur les préparatifs de
l'équipement, l'outillage et le matériel.
EEI25DTP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Objectif poursuivi : Décrire les techniques d’installation du panneau de contrôle et des boîtes.
Ce résumé théorique comprend les techniques d’installation du panneau de contrôle et des boîtes.
- Directives particulières :
EEI2512RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2512RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2512RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2512RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
1. Description
Le panneau est fourni complet avec un boîtier de fond, une porte à charnières amovible, les
interrupteurs de commande, les témoins DEL, l’alimentation primaire et les batteries d’alimentation
secondaire. La garniture pour montage encastré, le module de poste à distance ou l’adaptateur de
classe A en option doivent être commandés séparément.
MODULES EN OPTION
EEI2512RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
DEBALLAGE ET INSPECTION
Déballer soigneusement le panneau de commande, et examiner toutes les pièces pour savoir
si elles ont subi le moindre dommage lors de l’expédition. S’il y a des dommages aviser
immédiatement le représentant local de la compagnie de transports. S’assurer que toutes les
instructions pour l’installation ne soient pas jetées avec les matériaux d’emballage.
METHODE D’INSTALLATION
AVERTISSEMNT
NE PAS BRANCHER L4AMIMENTATION C.A. OU LA BATTERIE AU PANNEAU AVANT
DE RECEVOIRCETTE INDICATION
INSTALLATION DU PANNEAU
Le panneau de commande est expédié avec la batterie maintenue par un support pour lui
éviter tout dommage pendant le transport. Il est recommandé de retirer la batterie pour simplifier les
opérations d’installation du panneau.
Pour retirer la batterie :
1. Retirer le support de maintien de la batterie.
2. Centrer la batterie comme indiqué sur la figure 1.
3. Soulever la batterie et
4. Incliner le bas de la batterie pour la sortir.
Pour remettre la batterie, procéder en sens inverse.
Figure 1
EEI2512RT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
2. Montage
POUR UN MONTAGE APPARENT marquer les positions des quatre trous de montage
selon les dimensions A et B indiquées sur la figure 2. Monter le panneau en surface, en utilisant les
crochets de fixation convenables.
Les instructions détaillées de montage sont fournies sur le croquis A46000-0737 qui accompagne la
garniture de type encastré et dans l’Appendice.
Figure 2
EEI2512RT.doc 7
EXERCICE PRATIQUE
- Objectif poursuivi : Décrire les techniques d’installation du panneau de contrôle et des boîtes
- Directives particulières :
EEI2512TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2512TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI2513RT.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Le stagiaire doit réaliser les exercices proposés par le formateur comme rappel au module 5
«Utilisation des outils de l’électricien».
- Directives particulières : L’exercice doit être réaliser sous la forme d’un exercice de synthèse.
EEI1405TP 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : E DURÉE : 3h
- Directives particulières :
EEI25ETP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : E DURÉE : 3h
EEI25ETP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Ce résumé théorique comprend les étapes que comporte les techniques de dépannage des
systèmes d’alarmes et de signalisation.
- Directives particulières :
EEI2514RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
La fiabilité des composants actuels est extrêmement grande : les résistances que l’on fabrique
aujourd’hui, en particulier, sont très faibles.
On peut dire qu’un composant est défectueux lorsque l’une de ses caractéristiques sort de ces
tolérances spécifiques.
Le tableau énumère les pannes les plus probables pour divers types de composants
électroniques.
Tableau
Il est sans doute facile de comprendre certaines pannes provoquées par des composants
défectueux ou des surcharges, mais pourquoi un composant cesse-t-il brutalement de remplir sa
EEI2514RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
fonction ? En fait, tout composant «vieillit» sous l’action des contraintes qui lui sont appliquées.
Ces contraintes sont de deux types : les contraintes fonctionnelles liées à sa nature et les contraintes
d’environnement dépendant des conditions dans lesquelles on l’utilise. Les contraintes
fonctionnelles peuvent être réduites en faisant appel à des composants dont les limites de
fonctionnement sont largement au – delà des conditions d’emploi : autrement dit, on
«surdimensionne» les composants. Les contraintes d’environnement dépendant des conditions de
température, d’humidité, de choc et vibrations, de pression, de corrosion, d’empoussièrement et
d’agressivité en général du milieu dans lequel fonctionne le circuit. L’ensemble des contraintes
d’environnement affectent les composants et provoquent une dérive de ses caractéristiques
conduisent à la panne finale. Considérons, par exemple, un composant soumis continuellement à
des cycles chaud-froid, le matériau dont il est constitué risque fort de se craqueler, et un choc un
peu violent peut provoquer une coupure franche (circuit ouvert).
Les effets des contraintes d’environnement peuvent en général être atténués en soignant la
conception de l’ensemble électronique concerné. Cela est d’autant plus recommandé si l’ensemble
en question doit être le maillon d’une chaîne de contrôle de processus industriel et fonctionner dans
une ambiance où les vibrations et les échauffements sont importants.
EEI2514RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Panne Symptômes
Polarisation défectueuse. Déplacement du point de repos jusqu’à la
Résistance coupée ou trop élevée. coupure du transistor signal distordu ou pas de
signal de tout.
Court-circuit des capacités de couplage ou de Déplacement du point de repos sur débit des
découplage transistors. Sortie grossièrement distordue.
Court-circuit des capacités de couplage en Pas de signal transmis d’un étage au suivant.
circuit ouvert. Polarisation normale. Pas de signal de sortie.
Capacité de découplage en circuit ouvert. Faible gain par suite de l’introduction d’une
contre-réaction supplémentaire.
Découplage d’alimentation en circuit ouvert Net accroissement du niveau de ronflement à
100 Hz en sortie de l’amplificateur. Le premier
étage d’un préamplificateur est usuellement
alimenté par une ligne spécialement découplée.
Contre-réaction coupée. Gain excessif, accrochages.
Transistor ou résistance d’entrée bruyants. Faible rapport signal sur bruit (contrôler
toujours les étages de tête en premier lieu).
Diminution des valeurs des capacités de Réduction de la bande passante mauvaise
découplage. réponse en basse fréquence.
AMPLIFICATEURS DE PUISSANCE.
Panne Symptômes
Résistance de polarisation coupée ou de valeur Sur les amplis de classe B, largement répandus,
très grande. on révèle de la distorsion de passage à zéro.
Capacités de sortie en court-circuit. Les fusibles de sortie ont sauté ou les transistors
chauffent exagérément. On contrôle la
résistance du circuit de sortie pour caractériser
le défaut.
EEI2514RT.doc 4
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
EEI2514TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2514TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Directives particulières :
EEI2515RT.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2515TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
Figure 1
EEI2515TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : F DURÉE : 4h
EEI25FTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : F DURÉE : 4h
Dispositif magnétique
5K6
Détecteur de fumée
L1 out 5K6
L1 in L2
5K6
+ - - + + + - + - + - + - + - + -
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17
24 V
boucle 1
boucle 2
boucle 1
boucle 2
boucle 1
boucle 2
1 et 2
Sortie
Zone 1
Zone 1
Zone 2
Zone 2
Zone 3
Zone 3
+ - + - PE L N
EEI25FTP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
PE L N
Carte
PL1 Advisor
JP1 CD4300
16-20
Vac Retour Autoprotection
usine
autoprotection
SW1
Clavier
Boucle
extérieur
Batterie
12 V cc
intérieur
Sirène
Sortie
Sirène
Zone 1 Zone 2 Zone 3 Zone 4 Zone 5 Zone 6 A B C D
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30
+ - + - + - + -
+ - + -
A B C D
Contact Batterie
Clavier
entrée-sortie + -
1 2 3 4
1 2 Sirène
-- + N.B. : Toutes les
Détecteur de
3 4 5 6 7 8 mouvement résistances 4K7
EEI25FTP.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Ce résumé théorique comprend les étapes que comporte une technique de vérification.
- Directives particulières :
EEI2516RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
1. INFORMATIONS GÉNÉRALES
2. ESSAI PRÉLIMINAIRE
Après avoir branché le courant alternatif et le courant de la batterie du système, s’assurer que
seul le témoin DEL de courant alternatif est allumé. S’il existe des indications d’incident,
corriger les défauts avant de continuer.
EEI2516RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
3. VÉRIFICATION DE L’INSTALLATION
Si l’on cause un défaut provisoire dans le câblage de réception d’alarme ou de sortie d’alarme,
les signaux fonctionneront pendant 3 secondes. L’opération de vérification de l’alarme peut
être utilisée pour vérifier les entrées d’alarme de la zone 1 à la zone 4 et les entrées d’incident
de la zone 1 à la zone 4, ainsi que le circuit de signal et les défauts de mise à la terre.
4. ESSAI D’ALARME
EEI2516RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
4-3 Essai de déconnexion du poste à distance (uniquement pour les systèmes avec
connexion de poste à distance). Mettre le disjoncteur du poste à distance en position
hors circuit. Vérifier ce qui suit :
a) La tonalité audible sur le panneau pulse et la DEL TROUBLE (INCIDENT)
clignote sur le tableau de commande et sur le poste à distance (le cas échéant) ;
b) La tonalité audible s’arrête lorsqu’on actionne l’interrupteur SILENCE
(COUPURE DU SIGNAL).
Déclencher une alarme et vérifier que :
c) Le poste à distance n’a pas reçu l’alarme.
Remettre le disjoncteur du poste à distance en position normale. Réarmer le dispositif
qui a déclenché l’alarme et actionner l’interrupteur RESET (RÉARMENT).
Vérifier que :
d) Le système se réarme comme indiqué au paragraphe 2.
e) Pour les systèmes connectés au poste à distance, le signal d’incident est arrêté.
4-4 Essai des autres appareils réarmables --- Recommencer l’essai d’alarme comme
indiqué au point 1 et 2 pour les autres appareils réarmables jusqu’à ce que toutes le s
zones aient été essayées. Pour les systèmes avec un module Pompiers, placer le
disjoncteur en position en position HORS-CIRCUIT pour tous les autres essais et le
remettre en position NORMAL après la fin des essais.
5. ESSAIS D’INCIDENT
EEI2516RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
Le circuit étant ouvert, faire les essais d’alarme comme indiqué au point 4.1 et vérifier
que tout se passe comme indiqué à l’exception du signal d’incident qui est muet et des
contacts du relais d’incident auxiliaire qui reviennent en position normale. Réarmer le
système comme indiqué au paragraphe 4.2.
Vérifier que :
a) Tous les signaux sont arrêtés ;
b) Les DEL d’alarme pour les zones concernées s’éteignent ;
c) Les contacts du relais d’alarme auxiliaire se réarment.
EEI2516RT.doc 5
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
EEI2516TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2516TP.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : G DURÉE : 4h
- Directives particulières :
EEI25GTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : G DURÉE : 4h
EEI25GTP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Ce résumé théorique comprend les étapes que doit comporte la méthode de rangement.
- Directives particulières :
EEI2517RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
• Utiliser des coffrets compartimentés pour le rangement de petits outils comme les forêts ;
EEI2517RT.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
- Directives particulières :
EEI2517TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2517TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : H DURÉE : 1h
- Ce résumé théorique comprend les avantages et la procédure à suivre pour ranger et nettoyer.
- Directives particulières :
EEI25HRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : H DURÉE : 1h
Lorsque le travail demandé est terminé, on doit ranger le matériel et l’outillage et on doit
nettoyer le poste du travail. Cela à pour avantage de :
¾ Classement dans les coffrets des outils et des outillages selon leur usage ;
EEI25HRT.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : H DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25HTP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : H DURÉE : 1h
A la fin d’un travail pratique donné, le stagiaire doit ranger l’outillage et le matériel et
nettoyer son poste de travail.
EEI25HTP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
- Ce résumé théorique comprend les termes techniques et les caractéristiques des composants et
des dispositifs.
- Directives particulières :
EEI2518RT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 3
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 4
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 5
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 6
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 7
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 8
RÉSUMÉ DE THÉORIE
EEI2518RT.doc 9
EXERCICE PRATIQUE
Le stagiaire doit : utiliser les termes techniques et les caractéristiques des composants et des
dispositifs.
- Directives particulières :
EEI2518TP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
EEI2518TP.doc 2
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : I DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25IRT.doc 1
RÉSUMÉ DE THÉORIE
OBJECTIF : I DURÉE : 1h
Formulaire de consignation
EEI25IRT.doc 2
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : I DURÉE : 1h
- Directives particulières :
EEI25ITP.doc 1
EXERCICE PRATIQUE
OBJECTIF : I DURÉE : 1h
EEI25ITP.doc 2