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Département Normalisation/ Métrologie /Accréditation

Formation de base Métrologie


INTRODUCTION

La surveillance périodique des instruments de mesure et de contrôle est devenue une


nécessité. En effet, l’utilisation d’un instrument dont les indications sont erronées fait courir à
l’entreprise des risques importants, tels que des litiges avec les donneurs d’ordre, des
retouches, des rebuts, etc.

L’usage d’instruments régulièrement entretenus, vérifiés et étalonnés, permet en effet de


garantir une homogénéité de la production, de sécuriser la qualité des produits, de diminuer le
taux de perte et d’assurer la confiance et la satisfaction des clients, et donc d’améliorer la
compétitivité de l’entreprise.

2
DÉFINITIONS

CONFIRMATION METROLOGIQUE « NF EN ISO 10012 »

Ensemble d’opérations nécessaires pour assurer qu’un équipement de mesure répond aux
exigences correspondant à l’utilisation prévue.

Note 1 la confirmation métrologique comprend généralement l’étalonnage et la vérification,


tout réglage nécessaire ou la réparation et le réétalonnage, la comparaison avec les exigences
métrologiques pour l’utilisation prévue de l’équipement de mesure, ainsi que tout verrouillage
et étiquetage requis.
Note 2 La confirmation métrologique n’est considérée achevée qu’à partir du moment où
l’aptitude de l’équipement de mesure pour l’utilisation prévue est démontrée et documentée.
Note 3 Les exigences pour l’utilisation attendue comprennent des considérations telles que
l’étendue de mesure, la résolution et les erreurs maximales tolérées.
Note 4 Normalement les exigences métrologiques sont distinctes des exigences du produit
et ne sont pas spécifiées dans le cadre de ces dernières.
​ Formation métrologie, DC R&D, juin 2020
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DÉFINITIONS

ÉTALONNAGE « NFX 07-001 (VIM 93) »

Ensemble des opérations établissant dans des conditions spécifiées, la relation entre les
valeurs de la grandeur indiquées par un appareil de mesure ou un système de mesure ou
les valeurs représentées par une mesure matérialisée, et les valeurs correspondantes de
la grandeur réalisée par des étalons.

VIM est le vocabulaire international de métrologie

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DÉFINITIONS

EXEMPLE
Prenons l’exemple de la mesure de température avec 2 thermomètres, à savoir :
- Un premier thermomètre, appelé thermomètre « étalon », qui fournit une moyenne de mesures à
37°C. ,
Ce résultat présente une incertitude de …. °C conformément au certificat d’étalonnage.
- Un second thermomètre de travail, appelé « indicateur » (fig. ci- après) donne une température
moyenne de 37.2°C.
Le thermomètre de travail présente donc une erreur de justesse, c’est-à-dire une erreur de
l’indicateur de 0.2°C.
L’incertitude de ce thermomètre est évidemment supérieure à l’incertitude du thermomètre de
référence « étalon » et doit être correctement estimée.
On suppose ici que l’incertitude élargie de ce thermomètre de travail est de 0.05°C.
Remarque: En utilisation, il faudra appliquer une correction de -0.2°C au thermomètre de travail pour
corriger le biais de ce thermomètre s’il est utilisé à 37°C. En effet, rappelant un principe de base en
métrologie : « Celui qui commet une erreur, qui le sait et qui ne la corrige pas en commet une
seconde »
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DÉFINITIONS

Etalon indicateur
37,0°C 0,2°C 37,2°C

-0,05°C +0,05°C

Mais la question que l’on peut se poser, c’est « que se passe-t-il si on utilise alors le thermomètre de
travail à une température autre que 37°C ? ». La réponse à cette question correspond au concept
d’étalonnage.

Explication
Etablir une relation entre les valeurs et les incertitudes de mesure associées qui sont fournies par
des étalons et les indications correspondantes avec les incertitudes associées.
Il s’agit de fournir un tableau ou une courbe de résultats avec les incertitudes associées.

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DÉFINITIONS

T référence Incertitude de l’étalon T lue sur l’indicateur Correction Incertitude


(k=2) d’étalonnage
(k=2)

0,0 °C ± 0,1°C 0,1°C -0,1°C ± 0,7°C

5,0°C ±0,1°C 5,5°C -0,5°C ±0,7°C

37,0°C ±0,1°C 37,6°C -0,6°C ±0,8°C

L’étalonnage ne permet d’apporter aucun


jugement sur les résultats de mesure.

​ Formation métrologie, DC R&D, juin 2020


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DÉFINITIONS

VERIFICATION « NF X 07-001 (VIM 93) »

Confirmation par examen et établissement des preuves que les exigences spécifiées ont
été satisfaites
Dans le cadre de la gestion d’un parc d’équipements de surveillance et de mesure ESM, la
vérification permet de s’assurer que les écarts entre les valeurs indiquées par un ESM et
les valeurs connues correspondantes d’une grandeur mesurée sont tous inférieurs à
l’erreur maximale tolérée EMT, définies par une norme, par une réglementation ou une
prescription propre au gestionnaire du parc d’ESM.

Le résultat d’une vérification se traduit par une décision de


remise en service, d’ajustage, de réparation ou de réforme.

​ Formation métrologie, DC R&D, juin 2020


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DÉFINITIONS

Exemple de résultat de vérification d’un capteur de température Pt 100 –Classe A :

 Valeur Conventionnellement Vraie (VCV) = 50,25 °C


 Valeur Indiquée = 50,4 °C
 Erreur = + 0,15 °C
 Erreur maximale tolérée EMT du capteur classe A à 50 °C = 0,25 °C

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DÉFINITIONS

Le constat de vérification porte diverses informations :

 Le capteur à 50 °C est conforme (à la spécification ±0,25 °C),

 L’incertitude d’étalonnage élargie correspondant à 2 x incertitudes types = 0,08 °C (pour


l’exemple),
 La référence à la procédure, les étalons et leur raccordement, …

 Les résultats peuvent être joints au constat (à la demande du client).

Compte tenu du résultat 50,4 °C et de l’incertitude de mesure, la probabilité que le capteur


soit non conforme à la classe A peut être déterminée.

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DÉFINITIONS

 MODELE DE CERTIFICAT D’ETALONNGE


 MODELE DE CONSTAT DE VERIFICATION

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DÉFINITIONS

DIFFERENCE ENTRE L’ETALONNAGE ET VERIFICATION


Un étalonnage permet d’estimer l'erreur de l'instrument, et en cas de défaut de justesse, de la
compenser en appliquant une correction.

La vérification permet de confirmer que l'erreur de mesure reste plus petite qu'une erreur appelée
erreur maximale tolérée EMT.

L‘EMT est définie par l'utilisateur comme étant la plus grande erreur qu'il est prêt à accepter.

Certains font la distinction entre l'étalonnage qui est du domaine de la connaissance (on connaît
certaines caractéristiques de l'instrument) et la vérification qui est du domaine de la confiance (on
sait que l'instrument a une erreur plus faible qu'une valeur définie à priori).

Un étalonnage conduit à l'émission d'un certificat d'étalonnage, et la vérification à l'émission d'un


constat de vérification.

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DÉFINITIONS

DIFFERENCE ENTRE L’ETALONNAGE ET VERIFICATION

Références documentaires
Le lecteur pourra également consulter le fascicule de documentation FD X07-013 Métrologie dans
l'entreprise : Critères de choix entre vérification et étalonnage, utilisation et conservation des
résultats de mesure.

A retenir: L'étalonnage ne donne pas lieu à une décision de


conformité, seule la vérification permet d’établir un
jugement, une décision.

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DÉFINITIONS

ETALONNAGE / VERIFICATION
ETALONNAGE /VERIFICATION
Moyen de mesure à
Etalon
étalonner ou à vérifier
Comparaison
Mesure et tolérance
résultat de mesure: .
grandeur, unité, incertitude, erreur

Confrontation
résultats / tolérances
Certificat d'étalonnage non conformité conformité

• Corrections: Prise de décision :


Remise en service
• Traitement des résultats brut • Réforme
• Calcul d'incertitude • Déclassement
• Réparation
• Ajustage
Constat de vérification
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DÉFINITIONS

En bref, que faut-il retenir ?

Etalonnage Vérification

Connaissance Confiance

Pas de
décision Décision

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DÉFINITIONS

ERREURS MAXIMALES TOLÉRÉES (VIM 5.21)

Limites d'erreurs tolérées

ERREUR DE JUSTESSE (VIM 5.25)

Erreur systématique d'indication d'un instrument de


mesure

JUSTESSE (VIM 5.26)

Aptitude d'un instrument de mesure à donner des


indications exemptes d'erreur systématique

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DÉFINITIONS

FIDÉLITÉ (VIM 5.27)


Aptitude d'un instrument de mesure à donner des indications
très voisines lors de l'application répétée du même
mesurande dans les mêmes conditions de mesure.

CLASSE D'EXACTITUDE (VIM 5.19)


Classe d'instruments de mesure qui satisfont à
certaines exigences métrologiques destinées à
conserver les erreurs dans des limites spécifiées.

CORRECTION (VIM 3.15)

Valeur ajoutée algébriquement au résultat brut d'un


mesurage pour compenser une erreur systématique

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DÉFINITIONS

.
AJUSTAGE (VIM 4.30)
.

Opération destinée à amener un instrument de mesure à un état


de fonctionnement convenant à son utilisation.

RÉGLAGE (VIM 4.31)

Ajustage utilisant uniquement les moyens mis à la disposition de


l'utilisateur

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DÉFINITIONS

.
TRAÇABILITÉ (VIM 6.10)
.

Propriété du résultat d'un mesurage ou d'un étalon tel qu'il


puisse être relié à des références déterminées, généralement
des étalons nationaux ou internationaux, par l'intermédiaire
d'une chaîne ininterrompue de comparaisons ayant toutes
des incertitudes déterminées.

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LA CHAÎNE D’ÉTALONNAGE – RACCORDEMENT
AUX ÉTALONS NATIONAUX

Laboratoires primaires ou secondaires accrédités par ALGERAC

Étalon de Référence

Étalon de Transfert

Étalon de Travail

Moyen de mesure ou d’essai

Du laboratoire au service de métrologie d’une entreprise


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DÉFINITIONS

• Mesure matérialisée, appareil de mesure (ampèremètre étalon), matériau de


référence (étalon de masse de 1 kg) ou système de mesure destiné à définir,
ETALON réaliser, conserver ou reproduire une unité ou une ou plusieurs valeurs d’une
grandeur pour servir de référence.

ÉTALON DE • Etalon, en général de la plus haute qualité métrologique disponible en


RÉFÉRENCE un lieu donné, ou dans une organisation donnée, dont dérivent les
(VIM 6.6) mesurages qui y sont faits

ÉTALON DE • Etalon de transfert est un étalon de mesure utilisé comme intermédiaire pour


TRANSFERT comparer deux autres étalons de référence de la plus haute qualité.

ÉTALON DE • Etalon qui est utilisé couramment pour étalonner ou contrôler des
TRAVAIL (VIM mesures matérialisées, des appareils de mesure ou des matériaux de
6.7) référence.

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DÉFINITIONS

Le raccordement

• De l‘étalon ou de l'instrument de
mesure
• sous traite à un laboratoire
Etalonnage externe
accrédité Algerac/étalonnage
• Certificat d‘étalonnage - constat
de vérification

• Laboratoire accrédité
Choix d'un sous-traitant • Points d‘étalonnage
d‘étalonnage • Incertitude d‘étalonnage < Erreur
Maximale Tolérée

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CONTENU TYPE D’UNE PROCEDURE D’ETALONNAGE ET VERIFICATION
NF X 07 - 016
PROCEDURE D'ETALONNAGE PROCEDURE DE VERIFICATION

1. Objet et domaine d'application 1. Objet et domaine d'application


2. Références 2. Références
3. Méthode 3. Méthode
4. Conditions d'environnement 4. Conditions d'environnement
5. Moyens d'étalonnage 5. Moyens de vérification
6. Mode opératoire 6. Mode opératoire
7. Calcul d'incertitude 7. Conditions d'acceptation
8. Présentation des résultats 8. Présentation des résultats
NF X 07 012 : Certificat d’étalonnage NF X 07 011 : Constat de vérification

Note importante
Une méthode de vérification interne doit être validée. Ceci consiste, tout d'abord, à estimer l'incertitude liée à la
méthode de vérification puis à s'assurer que cette incertitude est acceptable par rapport à l'EMT de
l’équipement à vérifier par exemple :

incertitude liée à la méthode de vérification ≤ 1/4 EMT de l’équipement à vérifier

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PERIODICITE D’ETALONNAGE

Tous les instruments de mesure dérivent dans le temps, c’est un phénomène bien connu.
Un instrument de mesure « juste » aujourd’hui ne le sera peut-être pas demain parce qu’il aura
dérivé !
Les causes de dérive sont multiples et variées:
 origine mécanique : chocs et vibrations, l’usure,
 l’oxydation,
 le vieillissement,
 les conditions d’utilisation….

Pour illustrer cette notion de dérive, voici un exemple:


Les constructeurs de multimètres numériques indiquent en général 3 niveaux d’exactitude : sur
une durée de 24 heures, de 3 mois et de 12 mois. Ceci signifie que si l’utilisateur veut la meilleure
exactitude avec ce multimètre il doit le ré-étalonner, et vraisemblablement l’ajuster toutes les 24
heures. Par contre, si une exactitude moyenne lui suffit un réétalonnage annuel sera suffisant.
Dans cet exemple, la dérive systématique a été prise en compte dès la conception de l’instrument
et l’utilisateur est averti.

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PERIODICITE D’ETALONNAGE

Pour maîtriser la dérive, les utilisateurs mettent en place un système de vérification et/ou
d’étalonnage périodique. Pour étalonner ou vérifier un instrument de mesure, on le compare à un
étalon « raccordé» aux étalons nationaux ou internationaux. Les méthodes de
rattachement sont pratiquées couramment dans l’industrie et les laboratoires.
Mais avec quelle périodicité ?

Historiquement la périodicité d’étalonnage est de 12 mois dans la métrologie légale.


Les périodicités dans le monde industriel sont très souvent calquées sur la métrologie légale…

C’est pour cela que des industriels ont étudié la dérive des instruments à l’aide de différents outils tel
que les cartes de contrôle.
Trois méthodes ont ensuite été créées pour optimiser les périodicités d’étalonnage par la norme
FDX 07-014 :
la méthode de dérive, méthode Rapport de périodicité et la méthode OPPERET
Ces méthodes permettent d’ajuster et d’optimiser les coûts d’étalonnages en fonction de la
criticité et de l’utilisation de l’instrument de mesure
.
25
Détermination de l’EMT

Le choix des Erreurs Maximales Tolérées (EMT) est souvent complexe et sujet à discussion car il
représente un réel enjeu pour le coût et la fiabilité de la mesure.

Dans le VIM (Vocabulaire International de Métrologie – JCGM200), l’EMT est définie comme la
valeur extrême de l'erreur de mesure par rapport à une valeur de référence connue qui est tolérée
par les spécifications ou règlements d’un instrument de mesure ou un système de mesure donné.

L’EMT est utilisée lors de la vérification métrologique pour établir la conformité d’un équipement.
Un équipement est déclaré conforme lorsque l’erreur de justesse Ej en valeur absolue augmentée
de l’incertitude d’étalonnage est inférieure ou égale à l’EMT :

-EMT 0 +EMT
-U étalonnage +U étalonnage

[𝐸j] + 𝑈étalonnage ≤ 𝐸𝑀T

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Détermination de l’EMT

Dans certain cas, notamment pour la métrologie légale, les EMT des équipements sont imposées
par des textes règlementaires (ex : OIML R76-1 pour les instruments de pesage à fonctionnement
non automatique). Hors métrologie légale, un organisme peut :
Il appartient toutefois aux utilisateurs de définir les EMT de leurs équipements en fonction de leurs
besoins.
L’utilisation de la notion de capabilité de mesure tel que proposée dans le guide ISO 98-4 est alors
intéressante.

Capabilité de moyen de mesure : est la capabilité de ce moyen à fournir des indications en


adéquation avec les tolérances des spécification à respecter

Capabilité : Aptitude du processus à satisfaire les spécifications du client.

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Détermination de l’EMT

Le rapport de capabilité de mesure C est défini comme le rapport entre la tolérance T et l’incertitude
de mesure Umesure. Il est recommandé que ce rapport soit supérieur ou égal à 4 :

C4

Lorsque l’erreur de justesse est la composante principale de l’incertitude de mesure, l’approximation


suivante peut alors être faite : C=T/2Umesure≥4 et l’EMT peut alors en être déduite :

2 EMT

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Détermination de l’EMT

Exemple
Prenons comme exemple des produits conservés dans une enceinte thermostatique. Ces derniers
doivent être conservés entre 2°C et 8°C.
La tolérance T (différence entre les limites de tolérance supérieure et inférieure) sur la température
dans l’enceinte est donc de 6°C.
La température est contrôlée avec une sonde de température dont la justesse est la composante
principale de son incertitude de mesure.

En appliquant le rapport de capabilité, on peut définir l’EMT de la sonde : 2 EMT

L’EMT de la chaine de mesure de température devra donc être inférieure ou égale à


0,75°C.

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Maîtrise des Pocessus de Mesure MESM

Processus de mesure

Ensemble d’opérations permettant de déterminer la valeur d’une grandeur:

 le Moyen de mesure (instrument, chaîne, système),


 La Méthode, Mode opératoire,
 La Main d’œuvre ( opérateur),
 Le Milieu (environnement : T, HR, durée,…),
 Le Mesurande (grandeur objet du mesurage).

Résultats + Incertitude
Mesurande de mesure

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

Organisation en 10 points

1. Étudier les besoins en mesure et essais


2. Étudier les spécifications
3. Raccorder aux étalons nationaux
4. Recenser les moyens de mesure et d’essai
5. Qualification des moyens de mesure et d’essai
6. Définir les procédures de mise en œuvre
7. Définir les procédures d’étalonnage et de vérification
8. Programme de maintenance
9. Définir les responsabilités
10. Suivre l’application des procédures

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

1.Étudier les besoins en mesure et essais Identification des besoins pour la


maîtrise de la qualité des produits

Facteurs essentiels

Juste niveau

Actions

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

2. Étudier les Définition des qualités Fidélité


spécifications métrologiques minimales:
Justesse

Étendue de mesure

Constance dans le temps

Conditions de fonctionnement et Cadences


d’environnement :

Vibrations

Températures ...

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

3. Raccorder aux étalons nationaux Raccordement externe


ou internationaux
Laboratoire extérieur chaîne d’étalonnage

Raccordement interne

Étalon de référence de l’entreprise

Choix Coût et fréquence

Tous les instruments et étalons doivent être


raccordés.

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

4 . Recenser les moyens de mesure et d’essai Évaluer l’adéquation aux besoins


recensés

Permettre la gestion des


vérifications et des étalonnages

S’assurer de l’existence, de la
réforme du déclassement effectif

Tenir à jour

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

5. Qualification des moyens de mesure et d’essai Qualification initiale

Conditions d’étalonnages

Périodicité d’étalonnage

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

6. Définir les procédures de mise en œuvre Conditions d’installation

Conditions d’environnement

Personnes autorisées

Modes opératoires

Procédures écrites et
signalisations

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

7. Définir les procédures d’étalonnage Moyens utilisés (raccordement aux


et de contrôle des moyens étalons internationaux)

Modes opératoires

Sanctions

Enregistrements des résultats

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

D’étalonnage ou de vérification
8. Programme de maintenance
De contrôle

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

Nommer un responsable de processus


9. Définir des responsabilités MESM

Responsabilités et autorité des


opérationnels

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ORGANISATION DU PROCESSUS MESM

Audit interne
10. Suivre l’application des procédures
Audit externe

Revue de processus

Revue de direction

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MERCI POUR VOTRE ATTENTION

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