Contenu du cours basé sur 4 aspects relatifs à la question :
- Processus participatif dans les politiques sociales ? quelle envergure, enjeux de la participation dans les politiques sociales ? - Les outils conceptuels pour questionner via approche critique - Eléments empiriques et pratiques qui permettent de donner une grille d’analyse au PP - La participation en pratique (cf. empowerment). Cours : Alternance entre théorie et pratique via des lectures critiques des textes scientifiques. La participation est importante. Evaluation : Examen oral ; il faut prendre un exemple réel et concret d’un processus participatif pour pouvoir le présenter et échanger lors de l’examen. Il faut s’appuyer sur des exemples. - Qu’est-ce que la participation citoyennes dans les politiques sociales ? o Demander l’avis aux citoyens - Pour quelles politiques demandons-nous ce processus ? o Dans les politiques de revalorisation de quartier par exemple o La santé communautaire piloté probablement par la COCOF; maison de quartier ou médicale en consultant la population pour voir quels sont les intérêts de la population o Parlement bruxellois avec les commissions de participation (assemblée citoyenne) Le tableau du cours = les attentes du cours. Il faudra être vigilant à faire les lectures avant le cours pour avoir de la matière pour le cours. Introduction : Lecture du texte : « construire les politiques sociales avec les personnes accompagnées : la participation en attente d’un modèle d’intervention collective » (Avenel Cyprien, Eres « vie sociale », pg 51-71). Voir le document des critiques faite en classe. Cf. Echelle de Arnstein = attention ne pas la prendre de manière trop type top ; elle a aussi ses critiques. Notes supplémentaires : - La participation (lien avec les ODD de institution internationale) qui tend à impliquer les usagers au projet de développement. - Attention bien nuancer, participation et responsabilisations des personnes. - Quid de la notion « le consensus à la Belge ». - Dans la partie 1, souligner : la participation est abordée selon la place que l’on accorde ; elle couvre un champ illimité d’action publique mais en matière sociale, c’est la participation des personnes bénéficiaires dans la conception, la mise en œuvre et les évaluations. Graduellement, elle est devenue un enjeu incontournable. La place donnée aux personnes = centrale. De plus, elle rejoint la question de la place des citoyens dans la société ; comment revitaliser et renforcer la démocratie : au niveau politique (participation à la décision –> comme régime politique) et enjeu de société (pas que le vote mais recouvre un fonctionnement de la société ; reconnait la place de chacun) ? Lien à Rosanvallon qui remet en cause la démocratie de manière générale. La mobilisation de ressource locale, de territoire (lien avec systémique : territoire de ressource, comme potentiel come espace de représentation pour donner des ressources matérielles et non-matérielles : ex : identité de quartier). On doit les mobiliser. Volonté d’impliquer les citoyens Autre approche : le développement social des quartiers = la mobilisation de ressources locales, de potentiels de la population, … toujours dimension des ressources matérielles et immatérielles pour proposer des solutions endogènes// au problématiques. Idée est de rapprocher les décideurs du citoyen pour que les citoyens puissent avoir accès aux décideurs Objectif de ces dynamiques territoriales : mobiliser les dynamiques significative mais décalage entre les ambitions et la réalité. - Partie 2 : on interroge la manière de gouverner les institutions et politiques sociales qui est derrière la conception de mobilisation ; on interroge même la hiérarchie entre le travailleur et le bénéficiaire. On valorise leur implication mais aussi le principe de Co-construction des solutions On construit la vision de l’usager comme un expert ; le citoyen devient un expert pour concevoir le politiques publiques La notion de démunis semble plus faire le lien avec la notion de précarité, utilisateurs des services sociaux. Les citoyens qui sont présents, ne sont en aucun cas mandaté ou légitimé, mais ce sont eux qui représenteront les autres ; quid des inégalités ? Démocratie représentative ><démocratie continue/ participative = complète les lacunes de la première. - Partie 3 et plus, voir les notes communes du pdf.