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Ces propositions ont pour objectif de renouveler et de varier les mises en œuvre
traditionnellement observées au collège. Elles reposent sur des choix didactiques visant à
relancer la motivation de nos élèves et à transformer leur représentation d’une activité
souvent vécue comme longue, peu intense, monotone donc ennuyeuse, voire rébarbative.
la course de durée prenant tout son sens pour l’élève est-elle possible (intérêt,
progression et plaisir) ?
Apprendre au collège .
Classe de 6ème
Classe de 5ème
Classe de 4ème
Classe de 3ème
Avoir un Connaître
En avoir projet Agir les
envie. résultats
Se sentir
capable. - A court terme : un -Le plus souvent -De ses actions et de
Y trouver projet d’action. possible (Aspect ses apprentissages
du sens. - A moyen terme : un quantitatif) (progrès).
projet de -En respectant les
transformation. critères d’exécution
(aspect qualitatif)
C’est
pour le Créer les conditions favorables aux
prof : apprentissages.
2 OBJECTIFS GÉNÉRAUX
…Dans le cadre des relations que l'individu
entretient avec le monde physique :
apprendre à mobiliser ses
ressources et les développer en vue La détermination des ressources
d'atteindre une plus grande individuelles de chaque élève nécessite la mise
efficacité lors d'une performance, en place de test de terrain permettant de
d'une épreuve ou d'une compétition définir la VMA.
dont les résultats peuvent être La mobilisation et le développement des
appréciés ou mesurés dans le temps ressources de chaque élève nécessitent quant à
et l'espace … eux , une individualisation des charges de
Dans le cadre du développement de la travail et des efforts proches de VMA (90 à
connaissance de soi, on veille à enrichir le 130%)
rapport que l'élève entretient avec son corps et En permettant à chacun de progresser en
à favoriser l'élaboration d'une image de soi fonction de son propre niveau de ressource
positive. À cette fin, on privilégie les objectifs (largement influencé par des facteurs
suivants: génétiques) on facilite l’acceptation de soi ,
développer les perceptions l’expression d’un potentiel sans pour autant
sensorielles, faire de fatalisme génétique car courir à 100%
surmonter les appréhensions et de VMA correspond à la même quantité
savoir prendre les décisions liées à d’effort que l’on ait une VMA de 10 ou 13
l'action motrice. km.h-1.
PROGRAMME de 6e
(morceaux choisis)
…Les élèves qui entrent en classe de sixième On privilégiera dans cette optique les
présentent globalement quelques traits exercices courts aux intensités proches de
caractéristiques particulièrement sollicités par VMA qui semblent correspondre, tant au
les pratiques physiques : niveau physiologique que motivationnel, aux
le désir d'agir, en vue d'un plaisir et traits caractéristiques des élèves du collège.
d'un résultat immédiats, De même les jeux collectifs et les défis seront
l'envie de jouer avec les autres, … utilisés comme moyens de conserver la
motivation des élèves.
1 - Compétences spécifiques Ce que l’élève devra être capable de faire à
2 - Compétences propres à différents la fin du cycle : ex : être capable de courir 5’
groupes d’activités à allure proche de VMA.
Activités athlétiques Ces deux aspects du programme feront
En course de durée : l’objet de contenus que les élèves devront
réguler son allure, s’appropriés pour être efficients en course de
maîtriser sa respiration. durée (Cf. cycle 6ème). L’allure correspond à la
3 - Compétences et connaissances vitesse de course , elle est régulée en fonction
générales de la VMA, du temps de soutien, et de la
…Ainsi, en sixième, est privilégié ce qui permet distance ou du temps de course.
à l'élève: Conformément à ce qu’on évoquait plus
au plan individuel: haut, les compétences générales
d'identifier le but, les résultats et les s’opérationnalisent dans nos cycles selon 3
principaux critères de réussite de axes différents et complémentaires :
l'action motrice, Les repères sur l’action de l’élève qui
1 - Compétences spécifiques
Ce que l’élève devra être capable de faire à
la fin du cycle de :
5ème : « courir 5’ à un pourcentage de
VMA le plus proche de 100% »
4ème : « réaliser une performance sur
2 - Compétences propres à différents une distance de 1000 à 1500m ».
groupes d’activités
Activités athlétiques
En course de durée :
Respecter un tableau de marche
établi pour une course à allure Notion de train, englobe les notions
régulière et sur une distance d’allure et de régularité pour une course
adaptée à ses ressources. donnée. Elle s’exprime en terme de temps de
Dans la mesure du possible, estimer passage.
et expérimenter la vitesse maximale Elle est systématique et sert de base dans la
aérobie à partir de tests de terrain. détermination des charges de travail. A ce titre
, elle est systématique dans l’ensemble des
cycles.
PROGRAMME d’E.P.S. de la
CLASSE de TROISIEME
(B.O. n° 10 HS du 15/10/98)(morceaux
choisis)
…La prise en compte de l’hétérogénéité des Individualisation à partir des tests de
niveaux atteints par les élèves - engendrée par terrain.
la diversité des expériences et des possibilités
physiques - implique une différenciation de la
pédagogie ; les contenus et les démarches
d’enseignement doivent aussi prendre en Varier les modes d’entrée ,les formes de
compte l’évolution physiologique, groupement, le type d’épreuves : collectives ou
2
M.GERBEAUX et S. BERTHOIN : Aptitude et pratique aérobies chez l’enfant et l’adolescent. 1999 . (p 104).
Ces paramètres sont en étroite interrelation et peuvent difficilement être dissociés. Jouer sur
l’un des paramètres de façon dominante nécessite de redéfinir les autres puisqu’ils sont en
constante interaction. Ainsi, si l’on augmente l’intensité des exercices il faudra
nécessairement diminuer les durées de travail et inversement.
L’intensité : on peut la définir comme le degré de difficulté du travail
réalisé dans l’exercice, la série ou la séance. Définie de façon appropriée
et toujours référée à la V.M.A. elle est garant d’une certaine qualité de
travail. On sait par ailleurs, que pour développer une qualité physique, il
est indispensable de la solliciter à des intensités proches de son expression
maximale (légèrement inférieure, égale ou légèrement supérieure). Dans le
cadre scolaire, il semble donc judicieux de s’orienter vers la proposition
d’exercices proches de la puissance maximale afin de provoquer un impact
décisif sur l’organisme et des progrès plus rapides.
La durée : de l’effort est déterminée par l’intensité de course et le temps
de soutien à 100% de VMA . Plus l’exercice sollicite un pourcentage élevé
de VMA est plus la durée de la répétition est courte.
La durée de l’effort est aussi fonction du type d’exercice.
Dans le cas d’exercice en continu, si la vitesse imposée est égale ou
supérieure à 100% de VMA, la durée de l’effort sera égale ou inférieure au
temps de soutien et si la vitesse imposée est inférieure à 100% de VMA, le
temps de travail sera supérieur au temps de soutien. Dans les deux cas la
durée de travail sera toujours supérieure au temps de latence du processus
aérobie, c’est-à-dire supérieure à 3’.
Dans le cas d’exercices intermittents on peut donner trois types de durée de
répétition regroupés dans le tableau suivant :
Durée de la
Type de travail % de VMA Séries type Volume
répétition
Long-long 80 à 100% 50% du Tsout. 5 x50% du Tsout. 2.5 x Tsout.
Long-long 100 à 110% 3’ à 36’’ 2x(5x36-36) 1.5 à 2 x Tsout.
Court-court 110 à 130% Entre 18’’ et 9’’ 3x(10x9-9) Tsout.
La construction du cycle :
Après une entrée systématique « en douceur » pour ne pas rebuter les élèves, adopter une
certaine prudence (nos élèves sont souvent sédentaires) et rendre les tests d’évaluation
initiale significatifs, on cherchera à varier les différents modes de sollicitation des ressources
aérobie, en alternant le travail intermittent en « court-court » et/ou en « long-long »
(variation des intensités et des durées d’effort et de récupération ainsi que du volume total du
travail).
Contrairement au schéma classique et dépassé privilégiant le travail en continu à faible
intensité, on insistera sur le travail intermittent à des intensités proches de la puissance
maximale aérobie pour éventuellement l’articuler ensuite à des exigences de « volume ».
Dans la mesure du possible, (et les possibilités sont nombreuses) le travail proposé dans
chaque séance sera individualisé et adapté au niveau de chacun(e).
« Démarrage en douceur ».
Phase d évaluation, d’estimation des possibilités de chaque élève et
déclenchement de la phase de mise en projet.
Sollicitation et développement des capacités personnelles de chacun en
visant des transformations physiologiques efficaces (elles existent) grâce à
la définition pertinente des différents paramètres de chaque séance.
Phase d’entretien puis de travail à la vitesse spécifique de l’épreuve finale
où l’on se rapproche donc des intensités attendues en fin de cycle. Les
exigences sur le respect des allures de travail et de leur soutien régulier
deviennent très précises.
Evaluation terminale où on s’efforcera de mesurer les progrès des élèves
et d’apprécier ce qui a été appris.
Les contenus précis des différentes séances du cycle prendront évidemment des formes
différentes en fonction des options de développement choisies.
L’organisation du cursus :
Il faudrait ici, avoir le souci de proposer aux élèves d’expérimenter durant leur scolarité au
collège différentes façons de vivre la course de durée et les formes de travail principalement
utilisées. L’intérêt d’une programmation de la course de durée à différents niveaux de classe
réside alors dans le fait qu’une évaluation longitudinale devient possible. On peut ainsi
organiser une véritable progression et constater l’évolution des capacités des élèves sans que
l’organisation du cycle de 3ème ressemble à celui de la classe de 6ème.
Le plus simple en terme de gestion des situations est quand tous les élèves font la même
chose. Introduction surprenante pour une individualisation des charges de travail mais qui
n’est pourtant pas contradictoire : Les élèves courent ensemble, s’arrêtent ensemble et
repartent ensemble mais, s’il courent pendant la même durée, les intensités de course
(vitesses) sont différentes et se rapportent à un pourcentage de la VMA. Ainsi, s’il s’agit de
courir à 100% de VMA pendant n x 30’’, les distances à parcourir s’échelonneront selon les
VMA, de 75m pour une VMA de 9 km.h-1 à 125 m pour une VMA de 15 km.h-1. Les efforts
relatifs fournis par les élèves étant identiques, la récupération peut être la même pour tous.
Ce principe permet de faire fonctionner la classe en groupes différenciés de VMA ou de
permettre des confrontations d’élèves ou de groupes aux VMA différentes.
La nécessité pour les élèves de gérer leurs vitesses peut également être un facteur
déterminant dans le choix des durées de course. Pour pouvoir courir aux différentes allures
de course, les élèves ont besoin de repères extrinsèques d’abord puis de plus en plus
intériorisés. Ces repères sont constitués par des marquages au sol et des signaux sonores qui
leurs indiquent l’endroit où il doivent se trouver à l’instant « t » pour une vitesse donnée. La
durée de course est alors dépendante des possibilités de balisage de la piste et vice et versa.
Ainsi, sur une piste balisée tous les 25m, le nombre de plots franchis lors d’une course d’une
durée de 1’30’’, donne la vitesse kilométrique du coureur. Permettant de renseigner l’élève
sur les vitesses à intérioriser, permettant un contrôle aisé des intensités de travail et
permettant enfin l’utilisation d’un outil de différenciation efficient, ce principe repose sur la
similitude du rapport qui existe entre le temps et la distance :
25m 1/40ème de kilomètre ;
1’30 1/40ème d’heure.
En conservant ce principe il existe de nombreuses possibilités dont voici les plus courantes :
Balisage de la piste Temps de course Rapport
5m 18 ‘’ 1/200ème
10m 36’’ 1/100ème
20m 1’12 1/50ème
25m 1’30 1/40ème
50m 3’ 1/20ème
100m 6’ 1/10ème
Pour avoir tout son intérêt, la récupération doit être contrôlée : Trop courte, elle ne permet
pas de poursuivre dans de bonnes conditions les répétitions ou séries suivantes et l’exercice
s’arrête, trop longue, elle modifie l’impact physiologique visé et l’exercice n’a plus d’intérêt .
Pourtant, et c’est bien normal, Les temps de récupération ont tendance à s’allonger au fur et
à mesure que la pénibilité de l’exercice augmente. De façon générale les temps de
récupération sont égaux aux temps d’effort, aussi, pour éviter cette dilution à l’intérieur des
séries, on peut opter pour un système en alternance : un élève ou un groupe court pendant
que l’autre récupère, le signal d’arrêt de l’un étant le signal de départ de l’autre. Ce système
fait entrer les élèves dans une sorte de dynamique qui les garde en état de concentration
maximum tout au long de la série.
Echauffement en rapport avec le thème de la séance : durée, Toute la classe travaille simultanément en
distance,etc. aller-retour.
Travail intermittent « court-court » : La récupération se fait sur place.
Séries : 4x(18’’-18’’) ; r = 18’’ ; R = 2 à 3’
Découverte des
Intensité : 1ère série à 9km.h-1 ; 2ème série à 10km.h-1 ;3ème série à
intensités de course
12km.h-1 ; 4ème série à 15km.h-1 .
(lente, moyenne,
1 Volume total : 1 série = 2’24’’ 4 séries ≈ 10’ 45 m 9km.h-1
rapide) et de la
Consignes : 50 m 10 km.h-1
forme de travail en
Aux coups de sifflet( toutes les 18’’ ) tous les élèves 60 m 12 km.h-1
intermittent
doivent être sur la ligne qui correspond à la vitesse visée. 75 m 15km.h-1
Si je décroche, je reviens à une intensité inférieure.
Outils nécessaires : Plateau balisé et chrono .
32.5m
4 développement de la Séries : 4 manches de 5x(18’’-18’’) ; r = 18’’ (tps d’effort du 14km.h-1 35m
15km.h-1 37.5m
25m
VMA. partenaire) ; R = 3 à 5’. En aller-retour et en
Intensité : 110% de VMA 18’’.
+ 1km.h-1 pour les VMA 9,10,11,12
+ 1.5 km.h-1pour les VMA 13,14,15
Travail intermittent organisé sous forme de jeu : « Quitte et double ». Tous les élèves courent en même temps.
But : Réaliser le plus grand nombre de séries (1x1’ + 1x2’) 4 groupes diamétralement opposés.
sachant que l’intensité est incrémentée d’1ou 2 km.h-1 après chaque Les allures sont contrôlées grâce aux
série. plots et coups de sifflet.
Préparation du test et
Consignes : Quand on ne peut plus suivre (Quitte) on double la On marche jusqu’au prochain plot
familiarisation avec
1 dernière série réalisée entièrement. pendant la récupération.
les différentes allures
Intensité de l’exercice : 9,10,12,15 km.h-1.
et durées de course.
La récupération dans la série (r) est d’1’.
La récupération entre les séries (R) est de 3 à 5’.
Outils nécessaires : Piste balisée tous les 50 m(repères visuels) et
tableau de marche(repères sonores).
Test des paliers. Adaptation scolaire du test de Vaussenat. Un groupe court pendant que l’autre
But : Fournir un effort de 2’ à une intensité fixée puis un contre observe.
effort d’1’. L’intensité de l’exercice est incrémentée d’1 km.h-1à Départ sur plusieurs plots.
chaque période d’effort, jusqu’au décrochage.
Consignes : ♫
Coureur : se donner à fond
2 Estimation de la VMA
Observateur : repérer les retards (3-4m) et remplir la fiche.
Outils nécessaires : Piste balisée tous les 50 m(repères visuels) et
tableau de marche par pallier de 2’(repères sonores).
85m
Type d’exercices :Intermittents courts
VMA.
Intensité : Si V1000 > VMA 110% de VMA ( soit 1km.h-1 en plus
4 Deux option
pour les VMA 9,10,11,12, et 1.5 km.h-1pour les VMA 13,14,15)
45m
50m
possibles :
Si V1000 < VMA 100% de VMA
Si V1000 > VMA
Séries : 6x(18’’-18’’)+ 8x(18’’-18’’)+10x(18’’-18’’) ; r = 18’’ ; R
Si V1000 < VMA
= 3à5’
Volume total : ≈ 15’ 9 10 11 12 13 14 15 16 17
Outils nécessaires : Plateau balisé de 45m à 85m selon les différentes
VMA ( Terrain de foot en long).
Type d’exercices : intermittents courts 16 km.h-1 9 km.h-1
Intensité : Si V1000 > VMA 105% de VMA
Si V1000 < VMA 100% de VMA r = 12.7m
Séries :2x (5x(36’’-36’’)) ; r = 36’’ ; R = 3 à 5’
Sollicitation et Volume total : ≈ 12’
développement de la Consignes : 2 groupes homogènes entre eux et hétérogènes en leur
Départ 40m
VMA. sein travaillent en alternance : le temps de récupération des uns
5 Deux option étant le temps de course des autres.
possibles : Cette organisation peut permettre de consigner sur une fiche d’observation Les plots sont espacés tous les 10m.
Si V1000 > VMA le nombre de réussites pour chaque élève coureur. Le parcours fait 90m jusqu’au 1er plot (9 km.h-1)
Si V1000 < VMA Outils nécessaires : Parcours balisé en fonction des différentes VMA, ici de et 160m sur le dernier plot(16 km.h-1).
90m à 160m. Le parcours à cette forme pour rapprocher
Rappel : En 36’’ la distance à parcourir à VMA est égale à la valeur de l’arrivée du départ.
VMA x 10 ( VMA de 9 km.h-1 90m).
1x2’ à 15 km.h-1
1 Préparation du test. Intensité : donnée par la vitesse de course imposée.
Volume total : Faire au minimum 3 séries 9’de course.
Consignes : Pour chaque vitesse il faut être à l’aplomb du plot au
coup de sifflet . Si je décroche je finis la série à une vitesse
inférieure. Sur piste de 200m, on installe deux couleurs de
Outils nécessaires : Plateau ou piste balisés tous les 50m, tableau de plots pour multiplier les points de départ : « quand
marche par vitesses pour piste balisée tous les 50m . je commence sur un plot d’une couleur, je ne
m’occupe pas des plots de couleurs différentes. »
Test des paliers : Vaussenat 3’
3’ d’effort à une allure définie puis 1’ de contre effort . La vitesse est incrémentée d’1km.h-1à chaque nouveau palier.
2 Estimation des VMA Afin que le test soit significatif, 3 répétitions minimum sont nécessaires (9,10,11 par exemple) et 6 répétitions maximum
semblent raisonnables (ensuite, la fatigue s’installe et rend le test moins fiable) .
Chaque élèves (ou groupe d’élèves repérés en L1) entre dans le test à une allure définie.
But : il s’agit de maintenir la vitesse qui correspond à 100% de
VMA le plus longtemps possible. Les groupes sont constitués en fonction
Estimation du temps
Consignes : Il faut être à l’aplomb du plot au coup de sifflet. Quand des allures et le recueil des données
3 de soutien de la
le coureur décroche(retard de 3-4 m répété) l’observateur relève son s’effectue par binôme.
VMA.
temps de soutien.
Outils nécessaires :
! Pour la notation , on prendra en compte au choix ou de façon complémentaire : la régularité de la course dans le
respect d’une intensité significative (90 à 95% de VMA) au travers du coefficient de régularité et la performance au travers
d’un barème différencié garçons – filles des distances parcourues en 12’.