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PRÉSENTATION DU SUJET

L’intitulé de ma thèse est: La poétique du regard nocturne, dans la littérature africaine et


occidentale du XIX ème au XX ème siècle . Les textes faisant office du corpus sont : Au
bout du silence de Laurent Owondo, Sur les falaises de marbre d’Ernest Jünger, Nadja
d’André Breton, Le voyage d’hiver d’Amélie Nothomb et Les villes invisibles d’Italo
Calvino. Cette pluralité d’œuvres de différents auteurs, et à situations géographiques
différentes, se justifie premièrement par le fait que nous voulons comparer une littérature
européenne en rapport à une littérature africaine. Nous voulons sortir de cette méthode
stéréotypée, qui nous oblige à procédé à une collationnure de textes, provenant de deux
nations différentes uniquement. De plus, ces textes mettent en scène l’inconscient dans toute
son étendue en union avec le conscient. En outre, ces textes mettent en scène un espace qui
n’est pas réductible au monde habité, un espace invisible, renvoyant au monde merveilleux,
au monde surnaturel. Cet espace n’est pas traduit pareillement d’un auteur à un autre. Tandis
que Calvino se situe dans une itinérance de la recherche des mondes multiples, inexistant
référentiellement dans son texte, des mondes imaginaires, Breton exploite un espace réel qu’il
adjoint d’un regard surréaliste, que les personnages mettent en exergue par l’inconscient.
Laurent Owondo, dans cet espace invisible, fait intervenir le monde des masques de la
tradition Omyènè du Gabon, Amélie Nothomb, dans cet espace, réintroduit des lieux
mythiques grecs. Enfin, le choix de ces textes se justifie par le fait qu’ils mettent en scène la
question de la « nuit » au sens littérale du terme, mais aussi au sens métaphorique. Autrement
dit, ces textes se retrouvent le mieux, car ils arrivent à mettre en scène le langage de la nuit,
c’est à dire de la nuit prise au sens métaphorique, comme tout ce qui est inapercevable à l’œil
nu, et d’autre par,t la nuit prise dans son sens premier, à savoir les ténèbres.

MOTIVATION

Passons à la motivation et au problème abordé dans ce travail, Il nous est venu l’ambition de
parler d’une question comme le regard, car c’est un thème qui emmène à penser l’imaginaire,
l’imagination et les identités culturelles. Il faut dire d’entrée de jeu, que le monde dans lequel
nous sommes aujourd’hui, présente des réalités rhizomiques, qui parfois déjouent le mode de
connaissance du visuel ; c’est-à- dire qui détrompent l’œil, à cause des effets de la
mondialisation et parfois du conflit entre la conscient et l’inconscient. Au point où l’homme
est obligé de se lancer dans l’imagination pour comprendre mieux ce qu’il voit. Cette situation
laisse à voir une image sous l’angle kaléidoscopique, cela renvoie à une image qui présente
plusieurs réalités qui se bifurque, poussant alors chaque individu à l'interpréter à sa manière..
Le regard diurne conditionne l'homme dans le temps et l'espace, car elle s'appuie sur des
vérités perceptibles à l'œil nu. Le regard nocturne modifie le monde et le sujet percevant.

THÉORIES LITTÉRAIRES

Étant donné que notre objectif est de parler d’une poétique de la nuit, qui serait anti-réaliste
et qui a un lien avec l’inconscient et la psychanalyse, il nous incombe de mettre en évidence
les théories littéraires réalistes sur lesquelles nous souhaiterons apporter des nuances. Pour ce
qui est des théories littéraires, il faut dire que nous nous sommes appesantis sur celles de
Stendhal et de Gérard Genette. Les théories sur lesquelles nous nous appuyons sont d'ordre
idéologique et structural. La première est d’ordre idéologique et la deuxième, d’ordre
structural, donc narratif. La première renvoie à une affirmation stéréotypée de la fonction de
la littérature. Ils est à constater de nos jours, que plusieurs écrivains parlent du roman comme
un reflet, miroir de la société, à l’instar de Stendhal qui affirme dans Le Rouge et le Noir que
« le roman est un miroir que l’on promène le long du chemin » donc que le roman ou la
littérature n’est que la représentation parfaite de faits perceptibles de la société. Nous avons
l’ambition de nuancer cet argument. Le roman ne met pas en exergue uniquement des choses
relevant du visible. Il met aussi en évidence des réalités de l’invu et de l’insu ; et cela se fait
par le billet de la géométamorphose. Autrement dit, le miroir rend encore compte des objets
physiques du monde, surdéterminés par le temps et l’espace, nous ne voulons pas nous arrêtés
sur le regard rendu par le miroir, le regard diurne, mais nous allons plus loin, sur le regard
nocturne, traduit par l’inconscient des personnages.

La deuxième théorie, est celle de Genette, comme nous l’avons dit plus haut, axée sur la
structure narrative du texte. Il aborde plus des questions de focalisation, focalisation o externe
et interne, donc il montre les positions de l’auteur dans un texte littéraire. L’on constate que
dans Figure III, la question du regard en rapport à la narration, est plus axée sur le mécanisme
des focalisateurs. Nous souhaiterons ajouter à ceci, une scénographie du regard, voire le
langage secret du regard. Nous voulons mettre l’accent sur un regard métaphysique, qui
s’effectue entre le regardant et le regardé, mais encore plus dans le sujet qui regarde. Le
troisième est celle de Ouellet dans la poétique du regard. Ouellet parle de la perception
mentale qu’un personnage fait par rapport à une image quelconque qui se présente à lui.
Tandis qu’ Ouellet s’arrête simplement sur la perception chez un sujet en état de conscience et
à moitié conscient dans ce qu’il voit nous, nous voulons mettre en exergue un sujet conscient,
à moitié inconscient et totalement inconscient dans sa lecture géocritique de l’espace et dans
la découverte qu’il fait de soi. De plus, Ouellet s’arrête simplement à la perception mentale
qu’un sujet se fait d’un espace phénoménologique, tandis que nous, nous voudrions mettre en
scène une perception mentale et apparente, se produisant dans le noumène ; se traduisant
dans le domaine même du nocturne. nous parlons ainsi de perception métaphysique, voire
surnaturelle, que nous livre, un espace, un objet dans un texte littéraire.

PROBLÉMATIQUE ET HYPOTHÈSES

Problématique

Au vu de tout ceci, une problématique se fait jour, la première est la principale et les autres
secondaires. La question principale à un double volet, qui se présente comme suit :
Comment la fiction littéraire exprime t-elle la manière dont le regard se pose sur des objets,
lorsque la visibilité s’assombrit et Quelle est la signification et l’implication du regard
nocturne, dans la littérature africaine et occidentale

Comment apporter amples explications sur la notion du regard, du regard nocturne en rapport
à l’espace temps ?

A quelle scénographie du regard accède-t-on par le truchement du regard nocturne, quelle


poétique met-elle en œuvre, pour exprimer son importance ?

Comment alors approcher ce monde extasié dont rend compte la géométamorphose et


comment transforme-t-il l’Homme dans son être intérieur et permet-il la sauvegarder
environnent?
Toutes ces questions posées nous font ricocher sur des hypothèses à double volets, esthétiques
et épistémologiques dont voici la première: Le regard nocturne nous permet de mettre en
avant une nouvelle géocritique de l’espace, que nous qualifions de « géocritique de
l’inconscient ». Cette géocritique a pour but d’étudier les processus de changement de
l’espace et les changement d’identité de l’homme. Elle examine aussi la relation profonde qui
existe entre l’homme et son environnement. En vue de démontrer tout ces processus, nous
avons conceptualisés une notion que nous nommons la géométamorphose. C'est une nouvelle
manière de lire l'espace et soi-même, de transgresser le réel. Elle s'appuie sur le rapport entre
les métamorphoses physique de l'espace et celles qui sont métaphysique et les transformations
de cet espace à l’intérieur de l’homme. Cette géocritique se fait d’une part, en même temps
que le personnage est dans le monde physique de l'œuvre que dans le monde surnaturel de la
fiction, et d’autre part, lorsque ce dernier est totalement inconscient. Il y décrypte des images
que les autres personnages peuvent voir, mais aussi, des images que les autres personnages ne
peuvent voir ; et nous qualifions cela de géométamorphose, une géocritique de l’espace
visible et invisible, du conscient et de l’inconscient du sujet percevant. C’est une géocritique
de l’imaginaire de la fiction narrative, elle s’intéresse plus sur les effets du monde surnaturel
du récit fictif en l’homme et hors de lui . Bien qu’elle combine les deux monde, à savoir le
monde fictif du récit et celui nous conduisant au merveilleux. Elle permet ainsi de ne plus
jamais séparer ces deux mondes, en vue d’une meilleure compréhension de l’espace et d’une
meilleur lisibilité de celui-ci. L’originalité de ce travail se situe dans le processus analytique
du personnage géocriticien. la géocritique est une science qui est en continuelle interrogation,
et elle a besoin qu’on y apporte d’autres variences. Westphal, en la créant, considère
principalement les espaces humains sans cesse déconstruits et recomposés dans le temps par
le langage et le verbe. Il ne parle point de la dimension surnaturelle de ces espaces fictif, et de
la transposition de ces espace à l’intérieur du personnage, traduit non seulement par l’état de
conscience du personnage, mais aussi de la position d’inconscience au sens strict de ce
dernier. Nous mettons ainsi l’accent plus sur la description des espace humain, du cosmos,
voir de l’absolu, mise en scène à l’extérieur et l’intérieur de l’homme, par l’entremise d’un
regard nocturne. Ainsi, on se propose d’apporter un plus dans la géocritique, qui nous
permettra de déboucher sur une nouvelle approche pour étudier les différents espace fictifs
d’un texte. On en vient toujours à parler de la géocritique, lorsqu’on veut étudier les
différentes représentations des espaces humain dans un texte imaginaire. Cependant, j’apporte
une nouvelle approche, qui prendra en compte (dans les textes, romans, nouvelles etc), les
réalités de l’imaginaire de la fiction, mais aussi, les réalités de « l’imaginaire de
l’imaginaire ». Une géocritique qui mette l’accent sur les deux facette de l’homme, à savoir la
conscience et l’inconscient sur toute ses forme, dans la lecture de l’espace. On constate un
processus répétitif dans certains textes littéraires. C’est le fait que par le regard d’un
personnage conscient, à moitié conscient et totalement inconscient, on arrive à percevoir des
espaces réels de la fiction et les espace merveilleux, voir surnaturels, ayant un lien d’intimité
avec l’homme. Ce phénomène littéraire n’a jamais été nommé. Nous le nommons aujourd’hui,
c’est une géométamorphose. Elle apparaît comme nom, pour décrire la lecture des espaces
humains, par l’entremise de l’inconscient et du conscient, se produisant par le regard externe
et interne de l’homme.
Quand on parle d’inconscient, elle peut être au sens strict chez certains personnages. C’est
une lecture de l’espace physique et de l’espace se lisant à l’intérieur de l’homme. Nous
voulons mettre en évidence, le phénomène de stratigraphie et de déterritorialisation qui
s’effectue dans l’intérieur de l’homme, puis dans le monde visible et invisible, pendant le jour
et la nuit. On a là une géocritique de l’entre - deux mondes et de l’entre - deux temporalités.
Par la géométamorphose, le temps et l’espace n’ont plus d’emprise sur les personnages du
corpus. Cette géométamorphose met en exergue un autre espace abstrait, qui fait en sorte que
les personnages soient en dehors du système solaire de l’œuvre. Il faut ajouter que cette
géométamorphose se nourrit de l’inconscient des personnages plus que de leur niveau
conscient, afin de leur permettre de voir, de comprendre le monde qui les entoure autrement.
C’est ainsi que nous parlons de poétique du regard nocturne.

L’hypothèse soulevée dans ce travail, au niveau épistémologique se décline avec doubles


facettes : anthropologique et d’ordre écologique. Pour le premier, il faut dire que :
l’objectivité de la connaissance du monde, par la perception, trouve une faille, lorsqu’on se
focalise sur le regard nocturne, car il permet au sujet d’avoir sa propre réalité du monde, sa
propre vérité. En effet, dans une image quelconque de l’espace. Chaque individu à sa manière
de percevoir cette image et donc,nous confirmé l’hypothèse stipulant que l’on ne peut plus
déduire la connaissance du monde a une vérité objective, mais elle reste subjective. Cette
connaissance est liée au patrimoine culturel de chacun. Un Africain, par l’entremise de sa
tradition a sa définition du monde, qui ne serait être la même, par rapport à un occidental, qui
voit le monde dans son point de vue subjectif, par rapport à son patrimoine culturel. Ainsi, le
regard nocturne, par le biais de la géométamorphose, transforme l’espace et le Moi, qui se
projette comme un espace qui serait relié à sa tradition. En effet, par la vision qu’il a du monde
et avec son bagage culturel, il transforme sa manière de percevoir le monde. La connaissance
du monde n’est plus objective, elle demeure et perdurera subjective. La géométamorphose
nous permet de comprendre le mieux les réalités confuses, les mécanismes de transformation
qu’on retrouve dans un monde fictif. Nous parlons ainsi d’une négation de surdéterminisme du
monde des vivants. D’où le sujet transgresse le monde et entraîne à une fragilité de la
connaissance, car elle devient polyscensorielle, elle dépend de la subjectivité du sujet, en
contact avec le regard et les autres sens du corps. C’est justement par cette hypothèse que se
justifie le choix de mon corpus.

De plus, il faut dire que la vérité est nocturne, toutes les réalités du monde se révèlent dans la
nuit, et parfois, dans ce qu’on ne peut voir dans la journée. Et a un lien avec l’appartenance
culturel du sujet pensant. Le seul capable de décrypter cette vérité est un initié, une personne
appartenant à une tradition initiatique quelconque. En effet, Le regard qu’a l’homme
aujourd’hui sur son environnement est un regard diurne, un regard profane, l’homme, par le
regard, nocturne, doit faire une introspection, lors d’une initiation quelconque, afin de voir
son environnement, et lui-même autrement. L’homme, en le faisant pourra découvrir en lui,
certains caractère de la nature qui lui serait propre et ainsi renouer le lien entre le monde des
morts et celui des vivants ; et entre l’homme et la nature. Dans Le Voyage d’Hiver d’Amélie
Nothomb, Aliénor (personnage dans l’œuvre), en procédant à la géométamorphose, une
lecture introspective de soi et du monde, découvre qu’elle est l’Okoumé et prend conscience
qu’il faut mieux garder l’univers qui l’entoure. Ce regard métaphysique prône la gestion
durable de l’espace Vert dans l’espace urbain. Nous parlons ainsi du caractère spirituel de
l’écocidaire, comme une prise de conscience qui interpelle la société, face à la dégradation de
l’écosystème. Rappelons que la vision de l'homme sur une image du monde est déterminée
par le temps et l'espace. L'on s'est toujours plein de cette condition d'aliénation dans laquelle
l'espace et le temps assujettissent l'homme. Et ici, la poétique du regard nocturne vient comme
un palliatif pour sortir l'homme de l'aliénation du temps et de l'espace et fait de lui un être
semblable au dieux.

CADRE MÉTHODOLOGIQUE

Pour mieux répondre à cette problématique, nous avons choisi quatre méthodologies, à savoir
la géocritique de Bertrand Westphal, la géopoétique de Kenette White, la phénoménologie de
Merleau Ponty et de Gaston Bachelard, et la psychanalyse de Freud . La géocritique, la
phénoménologie et la psychanalyse sont les plus importantes et seront plus exploiter dans ce
travail. Bertrand Westphal théorise l’étude de l’espace par l’établissement du concept
nouveau, la géocritique, qui permet de lire la question de l’espace inscrit dans les œuvres
littéraires. Pour le théoricien, la géocritique renseigne sur le rapport que les individus
entretiennent avec les espaces dans lesquels ils vivent et se meuvent. La géopoétique de
Kenette White nous permet de mettre en exergue les interactions de l’homme et son
environnement. La phénoménologie et la psychanalyse nous est d’un grand apport ici
également. En effet, elle permet de comprendre le psychisme de l’homme, pendant la rêverie
et le sommeil. Le choix d’utiliser la géocritique, la phénoménologie et la psychanalyse
comme méthodologies principales, réside dans la démonstration d’une nouvelle géocritique de
l’espace, qui décrit l’espace réel de l’œuvre (fictif) en même temps qu’elle décrit l’espace
métaphysique, du monde des divinités se déclinant par l’inconscient du sujet, mais aussi de
manière claire dans le récit ; c’est cette nouvelle géocritique que nous nommons
géométamorphose. Ces deux espaces se retrouvent alors inséparables, l’un et l’autre étant, de
manière circulaire, consubstantiels. Secondairement, nous verrons ici l’influence que l’espace
réel et imaginaire du récit a sur le niveau psychique des personnages errants, ce qu’il crée en
eux comme pulsions ou fantasmes et le lien intime qui les unit. Ces deuxième approche est
tout à fait valide, car elle nous permet d’étudier les espaces invisible et visible, mais encore
plus, elle nous permet de comprendre ce qui se passe dans l’inconscient de l’homme, son
psychique.

BIBLIOGRAPHIE

I/ CORPUS DE BASE
Breton André, Nadja, Paris, Œuvres complètes, tome 1, Gallimard, La Pléiade, Paris 1928.
Jünger Ernest, Sur les falaises de marbre, Paris, Gallimard, coll. « Blanche », 1942.
Calvino Italo, Les villes invisibles, Paris, Points Seuils, 1996.
Owondo Laurent, Au bout du silence, Paris, Monde Noir, 2002.
Nothomb Amélie, Le Voyage d'hiver, Paris, Albin Michel, 2011.
III/ OUVRAGES DE CRITIQUES ET DE THÉORIES LITTÉRAIRES
Bachelard Gaston, La poétique de l'espace, Paris, Gallimard, 1990.
Certeau Michel de, L'invention du quotidien, Art de faire, Paris, Gallimard, 1990.
Westphal Bertrand, La Géocritique, Réel, fiction, espace, Paris, Minuit, « Paradoxe », 2007.
Texte philosophique L'œil et l’esprit, Paris, Gallimard, coll. « Folio / Essai 1964.
Bachelard Gaston, L'intuition de l'instant, Paris, Poche, 1994.
La psychanalyse du feu, Paris, Gallimard ,1938
Gilbert Durand Gilbert Durant, Les structure Anthropologiques de l’imaginaire, Introduction
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Ouellet Pierre, Poétique du regard. Littérature, perception, identité, Sillery/Limoges,
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2000.
Josephe Tonda, L’impérialisme postcolonial, critique de la société des éblouissements, Paris,
Karthala « Les Afriques », 2015
IV / Articles de revues, périodiques, journaux, magazines littéraires, actes de colloque ou
congrès
Lenclud, Gérard « Quand Voir c'est reconnaître. Les récits de voyage et le regard
anthropologique », Enquête, 1995.
Piot Maudy, « Le regard est visage Le visage est regard », Recherches en psychanalyse, N°6,
février 2006.
« Héloïse : regard de vie / regard de mort » de Jeans Yves Le Fourn, dans Enfance & psy
2008/4 n° 41 p 69-73.
Renombo Steeve, «Nocturne et Modernité dans la littérature et le cinéma gabonais » : Essai
sur les arts de l’itinérance dans Au bout du silence de L. Owondo et L’ombre de Liberty
d’Imunga Ivanga, in : French Studies in Southern Africa / Études françaises en Afrique
australe, (Pretoria : Association for French Studies in Southern Africa (AFSSA), n°39, 2009,
207 p. ; p. 169-188

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