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INFRAROUGE
Groupe I
SOMMAIRE:
INTRODUCTION…………………………………...………………………………………..1
I-BUT……………………………………………...…………………………………………..1
II-PRINCIPE………………………...…..…………………………………………………….1
a- Equipement……………….….………..…..………………………………..2
CONCLUSION…………………….………………………………………………………..7
INTRODUCTION
I- BUT
II- PRINCIPE
Il repose sur l’absorption électromagnétique de la lumière par les molécules dans les
régions de l’infrarouge à des fréquences spécifiques et en convertissant cette absorption en
vibration moléculaire. L’infrarouge est la région ayant des rayonnements dont la longueur
d’onde est comprise entre 800 nm et 1 mm. La spectroscopie infrarouge ne fait en générale
appel qu’à ceux compris approximativement entre 2,5 et 25 µm. Ce qui correspond à
l’intervalle de nombre d’ondes compris entre 400 et 4000 cm-1 appelé Infrarouge moyen.
a- Equipement
1
Ici l’on utilise un spectrophotomètre encore appelé spectromètre infrarouge composé de
plusieurs éléments à savoir :
Une source de rayonnement infrarouge : cette source émet des rayons infrarouges qui
vont traverser l’échantillon à analyser ;
Un monochromateur : cet élément permet de sélectionner une plage de longueur
d’ondes spécifique dans le rayonnement infrarouge émit par la source
Un échantillon : c’est la substance que l’on souhaite analyser. Elle est placée dans une
cellule d’analyse transparente aux rayons infrarouges ;
Un détecteur : cet élément mesure l’intensité du rayonnement infrarouge qui traverse
l’échantillon ;
Un ordinateur : il permet de contrôler l’instrument, de traiter les données obtenues et
de les présenter sous forme de spectre infrarouge
b- Protocole de mesure
Quel que soit l’état physique de l’échantillon (solide, liquide ou gazeux) il est nécessaire de
bien le préparer pour l’analyse :
Une fois l’échantillon préparé, le déposer sur un creuset préalablement nettoyer à l’aide d’un
chiffon propre ou d’un solvant pour éviter toute contamination ou interférence dans les
résultats puis on l’introduit dans l’appareil.
Une l’échantillon prépare et dépose dans l’appareil, l’on met en marche ce dernier qui va
envoyer la lumière sur l’échantillon sous forme de balayage. Une partie de cette lumière sera
absorbée par les molécules de l’échantillon. Les molécules absorbent de l’énergie et vivent à
des fréquences spécifiques créant ainsi des bandes d’absorption infrarouge qui sont
enregistrées par le spectromètre. Ces bandes sont ensuite représentées graphiquement en
fonction de la longueur d’onde ou du nombre d’onde, ce qui permet d’obtenir un spectre
infrarouge.
d-Type de diffusion
Toutefois, il est important de noter que l’analyse à la surface de l’échantillon SOLIDE est
aussi possible par une technique dite spectroscopie infrarouge à Diffusion. Elle consiste à
mesurer la lumière diffusée par l'échantillon lorsque celui-ci est exposé à un faisceau de
lumière infrarouge. Cette lumière diffusée contient des informations sur la composition
chimique et la structure moléculaire de la surface de l'échantillon. La diffusion en
spectroscopie infrarouge est utilisée pour l'analyse de matériaux tels que les polymères, les
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céramiques, les métaux et les semi-conducteurs. Elle permet d'obtenir des informations sur la
structure de surface des matériaux, leur rugosité, leur porosité et leur homogénéité. Elle est
également utilisée pour l'analyse de revêtements, de films minces et de couches de surface.
Cette diffusion peut être de deux types : la diffusion Raman et la diffusion Mie.
La diffusion Raman est basée sur l'interaction entre les photons infrarouges et
les molécules, qui résulte en un changement de fréquence de la lumière diffusée
par rapport à la lumière incidente ;
La diffusion Mie, quant à elle, est due à la diffusion élastique de la lumière par
des particules de taille comparable à la longueur d'onde de la lumière incidente.
Le tracé de ce spectre est possible grâce à la loi de BEER-LAMBERT qui est essentielle en
spectroscopie infrarouge pour quantifier la concentration des molécules absorbantes dans la
solution et obtenir des spectres de haute qualité. Cette loi stipule que : « lorsqu’un faisceau
de lumière de longueur d’onde définie traverse une solution à analyser, l’intensité
lumineuse absorbée par la solution est proportionnelle à la concentration de la substance
absorbante ».
A= 𝜺.l.C avec 𝜺 le coeficient absorption en L/mol.cm-1
l longueur de la cuve en cm ; C concentration de la solution en mol/l
A absorbance sans untié
4
V-Exemple de spectre infrarouge : cas du Métakaolin
Si-O-Al et Si-O-
Si-
Al-
Si-
5
Le spectre infrarouge si dessus (IR) de MK-Dib0 montre la présence de quatre bandes
d’absorptions :
Toutes ses liaisons nous permettent ainsi de dire que l’échantillon analysé est le métakaolin.
FOURIER est la plus utilisé des spectroscopies. Elle utilise un interféromètre dit
interféromètre de MICHELSON pour mesurer la quantité de lumière absorbée par les
échantillons. L'échantillon est placé sur une plaque transparente et est exposé à un
faisceau de lumière infrarouge. La lumière qui traverse l'échantillon est ensuite réfléchie
par un miroir mobile et se combine avec la lumière qui n'a pas traversé l'échantillon. Cette
combinaison de lumière crée des interférences, qui sont mesurées par un détecteur. La
fréquence de la lumière infrarouge est ensuite transformée en un spectre de fréquence
grâce à la transformation de Fourier. Le spectre obtenu représente l'absorption de la
lumière infrarouge par les molécules de l'échantillon.
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La spectroscopie infrarouge à transformée de Fourier est une technique rapide et précise
d'analyse des échantillons, qui est largement utilisée dans les domaines de la chimie, de la
biologie, de la pharmacologie, de la médecine et de l'industrie.
En chimie : pour identifier les groupes fonctionnels présent dans une molécule et
déterminer sa structure chimique ;
En pharmacie : pour analyser les médicaments et les produits pharmaceutiques et vérifier
leur pureté ;
En alimentation : pour analyser la composition des aliments et des boissons et détecter les
contaminants éventuels ;
En environnement : pour analyser les polluants dans l’air, l’eau et le sol ;
En forensique : pour analyser les échantillons de preuves dans les enquêtes criminels.
CONCLUSION
En somme, notre exposé portant sur les techniques d’analyses des matériaux notamment la
spectroscopie infrarouge. Il en ressort donc que cette technique est d’une grande importance
car elle donne de nombreux renseignements (type de liaison, nature du composé, structure)
sur le composé analysé. Bien qu’il en existe plusieurs type de spectroscopie infrarouge, celle a
transformée de Fourrier reste la plus efficace car elle donne sans balayage et en un temps
record, toutes les fréquences en même temps. Toutefois, cette technique ne renseigne que sur
la composition structurale du composé à analyser. Qu’en est-il de sa composition chimique ?
De ses caractéristiques physiques et mécaniques ?
GROUPE II
THEME : ANALYSE GRANULOMETRIQUE : TAMISAGE A
SEC, TAMISAGE HUMIDE ET SEDIMENTOMETRIE
SOMMAIRE:
INTRODUCTION
I-)TAMISAGE
1) BUT
2) PRINCIPE
2-1) prince du tamisage à sec
2-2) principe du tamisage humide
3-) méthode
3-1) appareillage
3-2) matériel
3-3) Préparation d’un échantillon
a-) exemple de tamisage sec : tamisage du sol
b-) exemple de tamisage humide : tamisage de l’eau
c-) domaine d’application du tamisage
3-4) Acquisition des résultats
II-) SEDIMENTOMETRIE
1-) but
2-) principe
3-) méthode
3-1) appareillage
3-2) matériel
3-3) Préparation d’un échantillon
a-) mode opératoire
b-) exemple d’application de la sédimentométrie
3-4) Acquisition des résultats
CONCLUSION
INTRODUCTION
La mesure de la granulométrie d’un échantillon est des problèmes majeurs rencontrés par le
minérallurgiste. En effet, la valorisation d’un niveau est fortement conditionnée par la taille 7
des particules. Il est donc important de posséder cette information. Ainsi, l’analyse
granulométrique permet de déterminer et d’observer les différents diamètres de grains qui
constituent un granulat. Pour ce faire, la granulométrie consiste à séparer et classer, à l’aide
d’un tamis, des grains selon leur diamètre. Dans la pratique, les différentes méthodes
d’analyses granulométriques peuvent être repartis en deux grandes classes soient les méthodes
directes consistant à mesurer directement un paramètre représentatif de la géométrie de la
particule (tamisage) et les méthodes indirectes reposant sur l’existence d’une corrélation entre
la taille des particules et les comportements dans certaines conditions (sédimentation). Notre
travail consistera à cet effet à donner le but, le principe et les caractéristiques propres à chaque
méthode.
Sécurité/ Equipment de protection
* masque anti-poussière FFP2
(recommandé pour éviter l'inhalation
de terre)
I-) TAMISAGE
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Les masses des refus sont rapportés à la masse initiale du matériau, les pourcentage obtenus
sont reportés sous formes de graphique (courbe granulométrique).
3-) METHODE
3-1) Appareillage
Pour obtenir un devis, c'est hyper simple: cochez les produits et cliquez sur 'ajouter au devis', c'est tout...
Pour un simple ordre de grandeur, utilisez cette grille tarifaire (en Eu.): 200 < G < 300 < H < 420 < I < 550 < J < 800 < K < 1100 < L <
1500 < M < 2200 < N < 3000 < O < 4500 < P < 6300 < Q < 9000 < R < 12000;
Tamiseuse
électromagnétique
digitale BA300N Tamiseuse à Aspiration d'air (Jet sieve) Unite complète de microtamisage Système de tamisage Ultrasons
Tamiseuse Lab semi-indus. Dia.30 cm Tamiseuse Lab semi-indus. Dia.40 cm Bain ultrasons pour nettoyage tamis Tamiseuse Lab semi-indus.
Dia.40 cm AISI 316
Tamiseuse électromagnétique digitale BA200 Analyse granulométrique tamisage Analyse granulométrique tamisage 10
3-2) Matériels
● En général, on utilise une série de tamis emboitées les uns sur les autres, dont les
dimensions des ouvertures sont décroissantes du haut vers le bas. Les dimensions courantes
sont alors : 80 mm - 50 mm - 32 mm - 20 mm - 10 mm - 5 mm 2mm - 1 mm - 0.4 mm - 0.2
mm - 0.08 mm (=80μm). Les masses de refus restants dans chacun des tamis seront alors
pesées.
.
Méthode
1. Travaillez avec des échantillons bien secs. Des échantillons séchés à l'air ou séchés au
four (45 ° C à 105 ° C) sont acceptables. Les échantillons humides obstrueront le tamis
à moins d'être très sablonneux.
2. Tarez une coupelle et pesez l’échantillon de départ ; notez le poids dans votre cahier
de laboratoire
Tamis 2mm
Bac de récupération
4. Placez le couvercle et secouez horizontalement le tamis plusieurs fois.
8. Tapez les grosses mottes avec le pilon et broyez doucement l'échantillon pour détruire
les macro-agrégats.
9. Dès que du matériel fin apparaît, verser de nouveau l'échantillon sur le tamis pour
éliminer la terre fine. Ne continuez pas à broyer une fois qu'un matériau fin apparaît,
car cela entraînerait une fragmentation des particules.
10. Répétez les étapes 4 à 9 jusqu'à ce que tous les macro-agrégats soient détruits et que
seuls des fragments propres et grossiers restent sur le tamis (deux à huit fois).
11. Tarez un sachet ou un pot de stockage et remplissez-le de terre fine. Notez le poids
dans votre chier de labo.
12. Faites la même chose pour les fragments grossiers et les grosses racines.
13. Étiquetez soigneusement tous les contenants (nom de l'échantillon sur les pots et les
couvercles ; date, nom et projet sur le contenant secondaire).
14. Nettoyez soigneusement le fond et le couvercle du tamis, ainsi que le mortier et le
pilon avec une petite brosse. Déloger délicatement les petits graviers du tamis en
poussant avec une spatule.
15. Essuyer tout le matériel avec de l'éthanol avant de passer à l'échantillon suivant
16. À la fin de la journée, nettoyez soigneusement tout l'équipement. Faire tremper, frotter
avec du savon dans de l'eau tiède et rincer abondamment. Nettoyez les paillasses et
aspirez le sol. :
L'épuration des eaux usées consiste en un traitement biologique et comporte quatre étapes
: le pré-traitement, le traitement biologique par boues activées, la clarification et le
traitement des boues.
En règle générale, pour les stations collectant plus de 1000 équivalents-habitants, l'épuration
des eaux usées arrivant à l’usine, est effectuée par un traitement biologique et suit les étapes
suivantes :
1. le pré-traitement commence par le dégrillage : séparation des déchets solides les plus
gros, retenu par un système de tamis ou de grilles
2. le pré-traitement se poursuit par le dessablage - dégraissage : élimination des graisses
par flottaison et des matières lourdes par décantation
3. le traitement biologique par boues activées : les micro-organismes (bactéries)
transforment la pollution dissoute en boues biologiques par une alternance de phase
d’aération et de repos dans des bassins. Le traitement biologique est la transformation
de la pollution par des bactéries en gaz carbonique, eau traitée et boues
4. la clarification sépare les boues de l'eau qui, dépolluée à plus de 90 %, est ensuite
rejetée dans le milieu naturel.
5. le traitement des boues consiste à concentrer la matière organique en filtrant les boues
liquides pour obtenir des boues solides plus facilement transportable et stockable.
L’ analyse granulométrique par tamisage est une technique assez limitée car elle peut
traiter les grains seulement jusqu’à 80 ou 100µm. C’est donc pour compléter cette
technique qu’on à recours à la sédimentométrie
II-) SEDIMENTOMETRIE
3-) Méthode
3-1) Appareillage
Eprouvette Densimètre
pénétromètre
3-2) Matériels
Ici, comme matériels, nous avons :
- Un densimètre gradué de 0.850 à 1.100 g/cm3
- Deux éprouvettes en verres de 1L de contenance
- Un thermomètre au mercure (Hg) de 0-50°C gradué au 1° de °C
- Un chronomètre
- Un défloculant (solution à 5% d’hexametaphosphate de sodium M=611,77g/mol)
- Un agitateur mécanique à grande vitesse (10 000 trs/min)
- Une balance a pression
- Une étuve
- De l’eau distillée
Le densimètre ne pourra être retiré de la solution qu’après avoir relevé la lecture à 2min.
b-) exemple d’application de la sédimentométrie
Elle s’applique dans les domaines des travaux routiers, dans l’industrie de fabrication des
matériaux de constructions, dans le domaine de déformation élastique dans un solide
isotrope
3-4) Acquisition des résultats
La chimie est une science qui dispose de nombreuses techniques d’analyses qui
permettent la détection, l’identification, la caractérisation et la quantification des composés
chimiques. Certaines de ces techniques s’intéressent à la micro-analyse comme la
spectroscopie EDS ou EDX qui fera l’objet de notre étude. La spectroscopie par rayon X à
dispersion d’énergie (EDX) est une méthode d’analyse instrumentale qui exploite l’émission
des rayons X généré par un faisceau électronique accéléré incident sur un échantillon en vue
de le caractériser quantitativement et qualitativement. Les rayons X étant des rayonnements
du spectre électromagnétique donc les longues d’onde sont de l’ordre 10-8 à 10-12m et les
énergies des photons sont comprises entre 40 et 4.105 eV. Il sera donc question pour nous
dans ce devoir de vous présenter son but, son principe de fonctionnement, son protocole de
mise en œuvre et une exploitation de ces résultats.
I. But
Il est basé sur les interactions lumière - matière. En effet, lorsqu’un faisceau de
rayons X primaires est dirigé sur l’échantillon à analyser, il interagit avec les atomes
présents dans celui-ci en provoquant l’émission des rayons X caractéristiques ou
secondaires. Ces rayons X caractéristiques ont une énergie qui correspond à la
transition électronique de l’atome et qui par la suite pourra être exploiter pour
déterminer les éléments présents dans l’échantillon.
NB: il est important de noter que ce principe peut également reposer sur
des interactions électrons-matière. En effet, on pourrait également bombardé
notre échantillon avec un faisceau d’électrons et obtenir les mêmes résultats que
dans le premier cas.
III. Protocole de mise en œuvre
Il est important de noter que l’analyse EDS est généralement couplé à la microscopie
électronique à balayage (MEB). Le dispositif suivant rend compte de cette association.
Les pluies acides riches en Na2SO4 NaHCO3 H2SO4 constitue un milieu corrosif pour le fer,
pour retarder pour retarder la vitesse de corrosion, on utilise l’OTH comme inhibiteur de
corrosion.
En absence d’OTH, l’attaque de l’électrode est bien visible. Les produits de corrosion qui en
résultent ont la forme de boule de coton typiques de la morphologie de l’hydroxyde de
structure p-FeOOH caractéristique des produits de corrosion formés en présence des ions
chlorures.
En absence d’OTH, cette analyse révèle la présence d’oxygène et de fer, ceci doit
correspondre vraisemblablement à la structure des produits de corrosion correspondants aux
composés oxydes/ hydroxydes de fer.
a- Limites
- Lors de l’analyse, les éléments H, Li, Be ne pourront jamais être détectés car devant
le détecteur, une « fenêtre » empêche le passage des photons de faibles énergies.
- La microanalyse ne permet pas de déterminer l’arrangement des atomes ainsi, par
exemple pour un spectre contenant de l’oxygène et du fer on ne pourra pas savoir s’il
s’agit de FeO, ou de Fe3O4, en fait il pourrait même s’agit de 4Fe(OH) » puisque l’on
ne peut pas détecter l’hydrogène.
b- Avantages
- Technique non destructive et rapide ;
- Nécessite peu d’échantillon (quelques µg), possibilité d’analyser de petites zones ;
- Pas de préparation d’échantillon ;
- Analyse rapide, facile.
-
c- Inconvénients
- Analyse élémentaire seulement ;
- Travail sous vide ;
- Calibration requise pour les analyses sémi-quantitatives
CONCLUSION
https://imops.univ-lorraine.fr/laboratoire/plateformes-de-mesures/plateforme-
spectroscopie/flurescence-x.11/01/2021.16.55h
http:/fr.scribd.com/présentation/491515117/présentation-MEB-EDX.