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Développement et
inégalités
I. Le monde se développe …
inégalement
Les états les plus développés se situent généralement dans le nord et les états les moins développés dans le sud. Il
faut néanmoins nuancer car ce ne veut pas dire qu’un pays développé est riche et l’autre non. Une étude nous a
donc amené à analyser différents pays et leur niveau de développement pour prouver l’hypothèse qu’un pays
riche n’est pas forcément développement ou inversement.
Par conséquent, on peut conclure qu’un pays riche n’est pas toujours développé. Les inégalités en revanche sont
considérées comme un frein au développement ou inversement, un pays moyennement riche peut-être
développés lorsque les richesses sont mieux réparties.
Selon la page 104, on peut d’ores et déjà observer des inégalités géographiques. En effet, les riches habitent près
de Moscou et les villes riches sont celles qui sont proches et tournés vers l’Europe. Ceux en dessous du seuil de
pauvreté se trouvent au centre du pays. Ainsi, une opposition entre les régions urbaines et rurales sont clairement
marquées.
On peut conclure qu’un IDH plutôt élevé révèlent pas les inégalités internes.
Thème 2 : Territoires, populations et développement
Au niveau mondial, 42 milliardaires possèdent 82% des richesses mondiales ce qui insiste pour montrer les
inégalités. En revanche, d’un point de vue positif, il y a une baisse de la pauvreté en général car on observe une
diminution de 1 milliards de pauvres en 30 ans.
Le développement durable est un modèle qui permet de satisfaire les besoins actuels sans compromettre ceux des
générations futures. Ce concept a été établi en 1987.
On suppose qu’une transition économique s’appuie sur 3 piliers : - Pilier social
- Pilier économique
- Pilier environnemental
En 2015, l’ONU enrichi le concept avec 17 objectifs pour 2030 dont les 6 premiers se lient à un développement
économique et qui s’avère compliqué à réaliser pour certains pays notamment les pays pauvres.
Ces 6 objectifs peuvent être un frein au développement pour les pays pauvres. En effet, les PMA (pays
moyennement avancés) sont ceux qui ont le moins remplis les objectifs en 2017.
Les pays du Nord, eux, sont dans une transition durable grâce aux moyens fournis à leurs dispositions qui amène
à une économie verte en plus d’une économie numérique qui permet moins d’investissement direct. Malgré cela,
les inégalités se creusent le développement durable ne les empêchent pas.
Les pays émergents ainsi que certains pays riches comme les USA ont une économie qui s’appuie sur
l’industrialisation, les services ainsi que l’exploitation des ressources naturelles. Le développement durable n’est
pas un objectif dans cette économie. Les inégalités se creusent plus rapidement en cas de ralentissement de
l’économie. Les PMA ont une croissance économique trop faible pour s’engager dans une transition économique
car l’économie s’appuie sur les ressources naturelles. Le développement seulement est l’objectif et non le
développement durable. Il y a une volonté de seulement faire progresser l’IDH et non le reste.
C’est pourquoi nous pouvons affirmer qu’il faut une volonté politique pour permettre le développement durable.
Le développement durable est également critiqué. En effet, le développement durable sous-entend une
production de richesses qui elle s’appuie sur les ressources naturelles mondiales qui nécessitent de les exploiter
et de ne pas les sauvegarder pour les générations futures.
Finalement, on peut conclure que le développement et les inégalités dépend des choix politiques des États. Ceux
qui n’ont pas les moyens, n’ont pas la possibilité de s’engager dans une transition durable. Alors que pour les
riches, c’est une possibilité. Les inégalités finissent par continuer de se creuse avec plus ou moins d’intensité
même si le niveau de développement général augmente.