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développement industriel cad amélioration de la productivité de travail,

industrialisation.
==) Une notion historiquement datée aux profondes racines idéologiques voire même
croyance occidentale (RIST 2001).
De la « croissance illimité » à l’expérience des limites
 Le rapport du club de Rome (1970) : émergence de la nouvelle économie du
développement, le développement tel qu’il est à ce moment ne peut être étendu à la
planète toute entière.
 Des visions catastrophiques du futur qui deviennent d’actualité avec la croissance
chinoise des le début des années 2000.
 Donc le développement ne peut pas être pensée sont considère la dimension
écologique.
Du développement au développement durable
 « Développement humain » « développement social « développement durable »
 Le dev doit être durable soutenable : il répond aux besoins du présent sans
compromettre la capacité des générations futures de satisfaire les leurs
(Bruntland,1998)
 Les pays en dev eux même n’ont pas pris en compte la dimension écologique dans
leurs objectifs de développement
 Comment combiner les approches économiques et environnementale ?
2) Economie du dev , eco de la croissance
 Quest ce que « l’éco de la croissance » ? : On parle de la macro éco qu’utilise les
modelés mathématiques pour expliqué l’évolution du revenu par tete
 Pourquoi une « économie du développement » ? 4 visions
1. Les principes de bases de leco sont universels et inters temporels ; et donc
leco standard serai suffisante pour expliquer à la fois les comportements
individuels et les évolutions macro
2. Leco du dev consiste en l’analyse d’un ensemble de phénomènes en voie de
disparition ; ==) les PED, malgré leur faible PIB/tête (une analyse du
rattrapage économique des pays plus pauvres à une date donnée.
3. Les PED ont des caractéristiques spécifiques qui rendent non pertinente
l’application des modèles macro-économique standard
4. L’économie du développement a l’ambition de décrire l’évolution des
économies en tant que système sociaux complexes et multidimensionnels
==) Multidisciplinarité
Economie du développement, économie de la croissance ?

Deux rapprochent du processus de croissance :


 Processus de développement linéaire (Rostow, 1960) : PED en retard peut-on
appliquer les mêmes processus de développement que les pays industrialisés ?
 Trappes à pauvreté (Nurkse, 1952) : cercle vicieux, choc positif ? Identification des
raisons de blocage pour sortir du cercle vicieux ou cercle vertu. (28 :28 v2) cette
trappe dit que non les pays ne sont pas identiques au début
==) L’économie du développement comme source d’amélioration de la science économique
(ex : salaire d’efficience de L’Eisenstein = votre salaire qui va déterminer votre productivité
plus on est payé plus on est productive et pas le contraire).
Une vue d’ensemble
 Les débats intenses au moment des décolonisation ont laissé place a une première
pensée dominante sur le dev eco
 Remise en cause seulement dans les années 1980 lors de la contre révolution
classique
 Le « consensus de Washington » censé guider les pays du sud vers une voie de dev
pérenne laisse des années plus tard un bilan contesté de débouche sur une nouvelle
série de mesures plus institutionnelles
 Le monde en dev est contrasté : des pays dits émergents des pays moins avancés et
une myriade de pays entre ces deux extrêmes.
1) La mort lente du consensus de Washington
 D’inspiration néoclassique le consensus de Washington fait référence aux
programmes de stabilisation et d’ajustement structurel prescrits dans les années
1980.
 En quoi consistent ces programmes
- Réduire le rôle de l’Etat au profit de celui du marché
- Réorienter les dynamiques de croissance vers les marchés extérieurs
- Assouplir la législation relative au iv des entreprises étrangères
- Politiques de libéralisation financières
- Reforme macroéconomique visant a assurer la stabilisation économique la lutte
contre l’inflation et l’équilibre des comptes
Des résultats mitigés
 Rééquilibrage macroéconomique et si l’hyperinflation a généralement été jugulée
mais la
croissance ralentit et est généralement repartie
 La pauvreté recule en Asie stagne en Amérique latine mais explose en Afrique
 « L’ajustement à visage humain » constitue l’un des premiers avertissements sur les
conséquences sociales de l’ajustement en termes de malnutrition de scolarisation et de
chômage notamment sur les populations les plus vulnérables

Economie du développement
L’éco du dev = a pour objectif d’appliquer les outils de le science économique à l’étude des
problèmes que rencontrent les PED (pays en développement).
Nous nous intéressons en particulier aux déterminants de la pauvreté et du sous- développement
et aux politiques mises en œuvre pour y remédier.
Livres = économie du développement / l’aide publique au développement
Introduction : Une vue d’ensemble : les PED quelles politiques, quelles trajectoires
I. Le concept de développement
L’économie traite de l’accumulation de la richesse et la croissance de cette richesse c’est leco de
la croissance.
En quoi le développement diffère il de la croissance?
1) La notion de développement
La croissance est assez limitée, par un agrégat défini
Le développement c’est une croissance pluridimensionnelle :
 Croissance unidimensionnelle  Développement comme un changement de structure de
l’économie voire même la société.
==) Le développement c’est un phénomène qui associe la croissance à des changements dans
d’autre domaines.
 Diversification des secteurs de production  Amélioration de la qualité du niveau de vie  Une
définition souvent « téléologique = guider par la fin » à questionner
Les modèles de développement se diffèrent d’un pays à l’autre : les cultures et les modalités ne
sont pas les mêmes.
Les évolutions successives de la vision du développement et l’éternel « croissance illimité
»
 A l’antiquité at au moyen-Age : conçu sur le modèle des êtres vivant :  A la renaissance : le
développement est associé à un processus d’amélioration continu et sans limite  Au 19 S,
révolution industrielle, la notion de développement a été associe à l’idée de progrès, trouvant son
origine dans la croissance de la productivité et le
développement industriel cad amélioration de la productivité de travail, industrialisation.
==) Une notion historiquement datée aux profondes racines idéologiques voire même croyance
occidentale (RIST 2001).
De la « croissance illimité » à l’expérience des limites
 Le rapport du club de Rome (1970) : émergence de la nouvelle économie du développement, le
développement tel qu’il est à ce moment ne peut être étendu à la planète toute entière.  Des
visions catastrophiques du futur qui deviennent d’actualité avec la croissance chinoise des le
début des années 2000.  Donc le développement ne peut pas être pensée sont considère la
dimension écologique.
Du développement au développement durable
 « Développement humain » « développement social « développement durable »  Le dev doit
être durable soutenable : il répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des
générations futures de satisfaire les leurs (Bruntland,1998)  Les pays en dev eux même n’ont
pas pris en compte la dimension écologique dans leurs objectifs de développement  Comment
combiner les approches économiques et environnementale?
2. Economie du dev , eco de la croissance  Quest ce que « l’éco de la croissance »? : On parle de
la macro éco qu’utilise les modelés mathématiques pour expliqué l’évolution du revenu par tete 
Pourquoi une « économie du développement »? 4 visions
1. Les principes de bases de leco sont universels et inters temporels ; et donc leco standard
serai suffisante pour expliquer à la fois les comportements individuels et les évolutions macro
2. Leco du dev consiste en l’analyse d’un ensemble de phénomènes en voie de disparition ; ==)
les PED, malgré leur faible PIB/tête (une analyse du rattrapage économique des pays plus
pauvres à une date donnée.
3. Les PED ont des caractéristiques spécifiques qui rendent non pertinente l’application des
modèles macro-économique standard
4. L’économie du développement a l’ambition de décrire l’évolution des économies en tant que
système sociaux complexes et multidimensionnels ==) Multidisciplinarité
Economie du développement, économie de la croissance?
« Un consensus de Washington augmenté » : Augmente d’une série de réformes
institutionnelles :
 Augmente d’une série de réformes institutionnelles  Renforcement des institutions  Bonne
gouvernance  Régimes pluralistes et démocratiques  Lutte contre la corruption et le gaspillage
des ressources publiques  Démocratie locale
==) Aussi on a assisté à une reforme de processus de décentralisation du pouvoir et cela dont le
but de rapprocher les citoyens des gouvernements locales, et qu’ils peuvent utiliser de
informations autours d’eux pour pouvoir mesurer la capacité de ces gouvernements locaux et des
décideurs.
La fin d’un paradigme :
 La mise en lumière des risques liés à la globalisation financière : crise asiatique de 1997 +
aggravation de la crise en argentine au début des années 2000  La destruction des mécanismes
de solidarité la baisse des DP et le blocage de la croissance économique associés à une forte
croissance démographique conduisent à une hausse sans précédent du chômage et à
l’explosion de la pauvreté (ben Hammouda et al 2010
==) « le consensus de Washington » est mort (James Wolfensohn 2002)
==) la grande Désillusion (Joseph Stiglitz 2002).
 Ces politiques sous forte influence idéologique seraient devenues des fins en soi imposées de
manière antidémocratique et dogmatique (Dani Rodrick,2006), Rodrick remet en cause le fait que
l’on puisse énoncer des décisions politiques pour l’ensemble des pays en développement et ces
politiques avaient pour objectif de diminuer les distorsions sur les marchés considérés efficaces
alors qu’ils sont imparfaits  « Les économistes se sont égarés » dans leur désir de disposer de
modèles mathématiques « intellectuellement élégants » leur donnant l’occasion d’exhiber leurs
prouesses mathématiques (Krugman 2009).
2) Laisse un monde en développement entre émergence et exclusion
Les pays émergents, acteurs majeurs de la croissance mondiale
Les pays émergent : sont ceux qui ont pris une place dans les marchés extérieurs avec des pays
développés, ils sont très hétérogènes
 Le concept d’émergence ( Antoine Van Agtmael ) : idée de mouvement de rapprochement avec
les économistes développées, sur les marchés il y a des tx de rendement qui sont supérieurs aux
pays occidentaux, les tx de croissance de ces pays sont supérieurs aux autres pays mondiaux,
se sont des économies qui ont des
places croissantes dans le commerce internationales, avec ces critères différents on peut avoir
des classements différents de ces pays en dev : Brazil ; inde ; chine ;l’Afrique de sud ; Indonésie
= on arrive à trouver des pts commun entre ces pays émergents.  Bq de classements différents
du plus large au plus restreint : BRIC, BRICS, BRIICS, BRICI  Certains points communs :
 N’ont pas réussi le décollage économique qu’ont connus les grandes puissances
 Couvrent de grande superficie
 La chine et l’Inde ont connu l’humiliation de l’invasion étrangère
 Ont profité de l’évolution du contexte économique à partir du milieu des années 1980 ???
 Leurs réformes ont été marquées par un rôle important de l’état
 L’ouverture économique qui a accompagné la croissance s’est principalement faite sur la base
dune spécialisation fondée sur l’avantage comparatif
Différences socioéconomiques entre les BRIC : tableau
Comment expliquer cette ascension économique ???
Un consensus de pékin : un modèle de réussite consacré au dev de la chine et d’autre pays
émergents qui est différents de Washington
N’est le modèle chinois ni de Washington n’est accepté par les économistes du fait que chaque
pays doit avoir un modèle précis qui va bien avec sa structure économique.
==) politiques adaptés aux caractéristiques de chacun des pays
 Part croissante des BRIC dans le commerce mondial : entre 1994 et 2008 la part des pays à
bas revenu ou à revenu internationale dans le commerce mondial est passée de 24^pourcetn à
42, la chine et l’Inde comptant pour la moitié de cette croissance  Présentent aussi des
vulnérabilités : très sensibles à la conjoncture mondiale et les institutions ne sont pas tjrs
suffisamment développées et la stabilité sociale devra être assurée  Parallèlement à ce
phénomène de croissance il y a une marginalisation croissante entre ses pays
Les pays les moins avancés :
 Quels critères? faiblesse conjointe des revenus, des indicateurs humains en santé et en
éducation) et de la vulnérabilité économique (nations unies 2014)  Nombre de PMA dont la
majorité se situe en Afrique subsaharienne a quasiment doublé passant de 25 en 1981 à 48
aujourd’hui  Le statut de PMA confère des avantages (prioritaires pour avoir des dettes, des
facilités pour trouver des places dans le commerce international
 Si des progrès substantiels apparaissent incontournables notamment en termes de santé, de
réduction de l’extrême pauvreté ou encore d’accès plus inégalitaire à l’éducation primaire toutes
les cibles définies n’ont pas été atteintes  Apparait la nécessité d’intégrer la lutte contre la
pauvreté dans un mouvement plus globale de régulation des déséquilibres macroéconomie et de
rééquilibrage de la croissance à l’échelle mondiale  Le fameux rapport des un intitulé « la route
vers la dignité d’ici à 2030 » a couvert la voie à ce que l’on nomme les objectifs « post rios 15 et
post2015 » il propose dix-sept nouveaux objectifs à l’horizon 2030 appelés ls objectifs de dev
durable (ODD)
Les ODD s’applique à tous les pays du monde
Chapitre1 : pourquoi l’économie du développement
I. Les mesures du développement 1. Le PIB/habitant et ses limites
 Des limites des mesures du développement au niveau macroéconomique à l’analyse de la
pauvreté au niveau microéconomique  S’interroger sur les mesures du développement, c’est
s’interroger sur ses finalités
PIB = production produite à l’intérieur du territoire par les entreprises françaises nationales sur le
territoire
PNB = production des entreprises françaises quelles soit sur le territoire ou à l’étranger
On a intégré la notion d’espérance de vie a la naissance mais pas tjrs
PIB indicateur très utiliser et son utilisation pose des problèmes dans le cadre des PED parce
que on échappe à plusieurs activités dans son calcule :
 L’auto consommation est une activité de production mais ne donne pas lieu à un flux monétaire
 L’économie informelle est difficilement observable, cette économie représente 30% de la
population active non agricole en Amérique latine, 45% de l’emploi urbain en Inde et 40% du PIB
du Cameroun  Les chiffres des populations sont peu fiables par endroits et des manipulations
sont parfois orchestrées afin d’accéder à tel ou tel guichet de la banque mondiale  Manipulation
statistique pour accéder à tel ou tel guichet de la Banque Mondial
2. Le RNB/habitant préférable dans les PED
Le RNB par tête préférable dans les PED :
On estime que les transferts s’élèvent à 15% du RNB (financement extérieur) RNB=PIB+ revenu
des facteurs de production versés de l’extérieur. Classification par niveau de revenu des pays.
La BM regroupe les pays par niveau de revenu :
High Income>Low Income> Lower middle Income> Upper Middle Income
==) critique plus générale : hypothèse que le PIB est une bonne mesure de bien etre ???
==) PIB est une approche réductrice car la mortalité infanto-juvénile ou l’espérance de vie est
plus parlant lorsqu’on étudie le développement
Les inégalités se creusent de plus en plus dans plusieurs pays à travers le monde ( suisse,
Luxembourg....)
On peut l’évoluer en intégrant et prenant en compte d’autres dimensions dans le calcul du PIB ex
: le cote environnementale, le sociale...
5,7 d’enfants de moins d’un un sont morts en 2012
3. Au-delà du PIB : L’Indice de Développement Humain (IDH)
 Développé pas le PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement), notamment
Amartya Sen (Prix Nobel 1998).
 L’IDH est compris entre 0 et 1, plus on approche de 1 plus le niveau de vie d’un pays est élevé
 Il mesure l’achèvement basique du développement humain et comprend
trois dimensions : la santé, l’éducation (mesuré par la durée moyenne de scolarisation
pour les adultes de + de 25 ans) et les standards de vie (mesuré par le niveau de vie qui
est mesurée par le revenu PPA). On peut citer : l’espérance de vie à la naissance, la durée
moyenne de scolarisation (+25 ans) ou durée attendue de scolarisation (enfant) et le revenu par
habitant (PPA) C’est une moyenne géométrique car les bons résultats dans 1 élément ne
peuvent pas compenser de mauvais résultats dans 1 autre élément.
 L’IDH contrairement au BNB (Bonheur National Brut) ne prend pas en compte le bonheur ni les
inégalités. On a un classement de IDH chaque année.
 L’IDH ne reflète pas le niveau moyen par pays et sans prendre en compte les inégalités
 Le revenu PIB n’a pas tjrs un impact linéaire sur le bonheur.
 Il excite une corrélation positive entre entre IDH et PIB par habitant mais par une relation
parfaitement linéaire.
4. Alternative à l’IDH : L’Indicateur de Pauvreté Humaine (IPH)
IPH mesure la privation des 3 dimensions basiques du développement humain mais de manière
différente pour les pays en développement et pour les pays industrialisés.
b. Le sous-indice des chocs qui est une moyenne pondérée de 3 indices composants * Les
victimes de catastrophes naturelles * L’instabilité de la production agricole * L’instabilité dans les
exportations de biens et services.
Créer un indicateur selon les besoins d’une analyse : ACP ; on va avoir plusieurs variables.
Filmer et pritchett 2001 utilisent une technique statistique lacp pour determner poids qui penvent
etre associe à chaque element pour reduire un indice L’ACP est une methode de compression
des donnes contenu dasn une matrice de donnes cest un moyen de reduire la complexité dune
matrice originelle. Cest une methode utile quand il ya de la colinearité entre les variables drigine
de la matrice. It is a thechnique for extracting from a set of variables those few orthogonal linear
combinators
IDH ajustés aux inégalités : Ajouté à l’IDH tout une une series dindicateurs qui mesures inégalités
dans certains pays.
B- Les mesures de développement humain : inégalités et pauvreté
 Analyse microéconomique de la pauvreté fondée sur les besoins fondamentaux universels,
Paul Samuelson (1983). On se demande si c’est par altruisme ou pas intérêt, ces mesures se
sont tournées vers la question des besoins fondamentaux
Paul Samuelson (1983) : Pour le repos de notre conscience nous sommes dans l’obligation
d’aider ces myriades de malheureux en outre l’histoire nous enseigne que la faim n’est pas
bonne conseillère et que les hommes ne se resignent pas toujours à mourir silencieusement.
 L’analyse en termes de pauvreté monétaire :
L’approche par la pauvreté monétaire consiste à évaluer la situation des individus à partir de leur
revenu ou de leur consommation.
Il y a deux manières d’appréhender la pauvreté monétaire :
De façons absolue : un niveau sépare pauvres et non pauvres : c’est le seuil de pauvreté en
dessous duquel l’individu est dans l’incapacité à atteindre un certain niveau de revenu, de
consommation, de capacité... quel seuil?
La moitié du revenu médion est le seuil
De façons relative : la pauvreté est pensée en termes d’inégalités >disposer d’un revenu
inférieur à celui d’un groupe de référence. En lien avec les inégalités en fonction de l’endroit
ou on se trouve.
Quelles mesures de la pauverauté :
Incidence de la pauvereté
Profondeur de la pauvereté
Gravité de la pauvereté
1. Le taux de pauvreté (H)
Il s’agit de la proportion de la population pauvres, Proportion de la population pauvre, pour
laquelle la consommation ou le revenu est inférieur au seuil de pauvreté : c’est l’incidence de la
pauvreté
Si n est la taille de la population et P le nombre de pauvres, le taux de ce pauvreté H égal :
H= P/n
2. L’écart de pauvreté ou poverty gap (PG)
Représente la profondeur de la pauvreté : distance moyenne qui sépare la population du seuil de
pauvreté, les non pauvres se voyant attribuer une distance de zéro.
L’écart de pauvreté est une mesure du déficit de pauvreté de l’ensemble de la population, ou la
notion de déficit de pauvreté englobe les ressources nécessaires pour sortir tous les pauvres de
la pauvreté grâce à des transferts de fonds parfaitement ciblés.
Si yi est le revenu individuel et z la ligne de pauvreté, le poverty gap est donné par :
3. L’écart de pauvreté au carré (gravité de la pauvreté) ou squared poverty gap (SPG)
Mesure la sévérité de la pauvreté : l’écart de pauvreté au carré prend en compte le carré de la
distance entre les pauvres et le seuil de pauvreté. De ce fait, l’écart est pondéré par lui-même ce
qui donne plus de poids aux très pauvres. Autrement dit l’écart de pauvreté au carré tient compte
de l’inégalité entre les pauvres.
Tient compte de l’inégalité entre les pauvres.
Si yi est le revenu individuel et z la ligne de pauvreté, le squared poverty gap est donné par :
3) Quelles mesures de la pauvreté relative? 1. Le coefficient de GINI Indicateur synthétique
qui permet de rendre compte du niveau d’inégalité pour une variable et sur une population
donnée. Compris entre 0 et 1, 0 si l’égalité est parfaite (tout le monde a le même niveau revenu)
et 1 si l’inégalité est totale (une personne déteinte l’intégralité des revenus et les il n’en reste plus
pour les autres)
Pauvreté et famine : Diminution de la quantité alimentaire et certains aliments disponibles ne
peuvent atteindre certaines catégories de la population (surtout dans les sociétés non
démocratiques)
Pauvreté culturelle : Ne pas avoir suffisamment de relation sociale, dans certain religion et
sociétés la pauvreté peut être considérer comme une valeur et une richesse...
Pauvreté et exclusion : Forme la plus radicale de rejet du fait de ses caractéristiques propres
II. L’aide publique au développement
Définition de l’APD : activité par laquelle des pays font transiter vers d’autres des ressources
publiques en vue de contribuer à leur développement. Au-delà des capitaux financiers, sont
également transférés des pratiques, compétences, technologies voire des valeurs.
Nait vraiment à la fin de la deuxième guerre mondial ; pretton woods , BIRD
15 millard de dollars transférer vers l’Europe en 4 ans
L’aide au collonies : l’empire britanique
Chronologie :
Avant la seconde guerre mondiale l’aide publique était d’origine privée :
Nait vraiment à la fin de la deuxième guerre mondiale
 1944 Bretton Woods : FMI (banque internationale pour la reconstruction et le développement
 1945 San Francisco l’ONU : paix, droits de l’Homme
 1947 Truman : Plan Marshall, naissance de l’APD avec une aide pour l’Europe
Aide aux colonies :
 1930 empire britannique avec des infrastructures.
 En France, les colonies étaient indépendantes financièrement et tenues d’alimenter la France en
matières premières
Dimension sociale de l’APD :
 1944 : la Caisse Centrale de France d’Outre-Mer a des missions de développement, elle répond
aux problèmes de santé et d’éducation notamment
 Jusque dans les années 50, l’aide internationale est dominée par l’Amérique du Nord en Europe
et au Japon
 Au début des années 60, les pays donneurs se multiplient
 1961 : Comité d’Aide au Développement (CAD) au sein de l’OCDE,
 1965 : Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD)
 1998 : Agence Française de Développement (AFD)
1. Qu’est-ce que l’APD : Ce terme désigne :
 C’est un système international mettant en contact des pays donateurs et des pays
bénéficiaires.  Agrégat statistiques précis , objet de débat, conçu dans le but de mesure
l’activité du système.
Une définition statistique en 4 points :
1. Une dépense publique :
état collectivité locales, l’idée est que laide est financé par l’impôt, contrairement à laide privée
qui est volontaire
2. Au bénéfice des pays et territoires en développement
On recense 150 pays éligibles qui représentent 80% de la population et 40% du PIB mondial. On
distingue l’aide bilatérale (d’un pays à un autre directement) de l’aide multilatérale (où l’aide
transite via un organisme international)
3. Ayant pour intention le développement
Le maintien des pays, la recherche ne sont pas inclus dans l’aide
4. Accompagnée de conditions financières favorables
Des dons ou prêts : transferts en espèce ou nature sans conditions de remboursement ou des
prêts avec obligation de remboursement (25% d’éléments de dons au moins) la valeur actualisée
du prêt ne doit pas dépasser 25 de d’éléments de dons.
Des modalités très variées
1. L’Aide Sanitaire d’Urgence
En cas de catastrophe sanitaire notamment d’épidémie mettant en danger la population
2**. L’Aide au Développement Alimentaire**
Besoins alimentaires visibles en que l’on peut anticiper pour améliorer les conditions de vie
(transport, stockage, distribution) mais qui amène parfois à une certaine forme de dépendance
vis-à- vis de cette aide.
3. Assistance Technique
Financement de formations, renforcement des capacités de hauts fonctionnaires, mise à
disposition d’experts pour augmenter le capital humain : renforcement de compétences. Cette
aide est considérée comme indispensable et complémentaire à l’APD par certains (le FMI
fonctionne de cette façon). En revanche, certains pensent qu’elle est contreproductive car elle
découragerait le développement.
5. Aide projet = aide productif s’oppose à l’aide budgétaire.
On finance un projet productif particulier et on contrôle l’utilisation des fonds.
Utilisation de fonds contrôlée ; capital productif, infrastructures, activités mises en œuvre comme
les puits, l’école et production de réalisations concrètes qui engendrent des résultats : accès à
l’eau potable et à l’éducation. Le donneur est très présent notamment dans la traçabilité des
fonds et a
6. Aide programme
2. Analyses théoriques des motivations de l’APD
Théorie néoréaliste de la recherche de puissance
On considère que le monde est en conflit généralisé où chacun cherche à augmenter son pouvoir
sur le monde. Idée qu’il faut punir ceux qui ne soutiennent pas le gouvernement et au contraire
récompenser, influencer à travers l’APD De Gaulle « on doit aider pour maintenir l’influence ».
Théorie néomarxiste de l’exploitation capitaliste
Deux grands conflits structurent le monde : l’un entre capitalistes et prolétaires puis l’autre entre
les capitalistes eux-mêmes. Il y a une lutte pour la domination et l’idée que l’APD a une double
fonction :
 L’exploitation des pays périphériques.
 Le gain de puissance des pays capitalistes.
C’est une réincarnation du colonialisme, une sorte de piège afin de maintenir la dépendance.
Théorie néolibérale de la recherche du bien-être matériel
On n’est pas dans une logique de recherche d’intérêt mais si les pays s’aident, c’est qu’ils ont
besoin de matériel. Investissement mutuellement favorable, exploitation de ressources, meilleur
consommation, production car main d’œuvre moins cher.
Théorie libérale : poursuite d’intérêts privés
Intérêt d’un petit groupe (investisseurs) qui arrive à imposer l’APD à toute une population, à la
défense de leurs propres intérêts.
Théorie idéaliste : un accomplissement moral
Idéal moral, une aide désintéressée où l’éthique et les valeurs dominent (altruisme)
On ne developpe pas en se developpe
On veut des partenariat saines claires et des discussions transparentes
Non pour LAIDE AU DEV OUI à Linvestissement solidaire
Oui pour changer le nom et les termes
Réequilibrer la relation
Il reste des traces sur la marmites
La France a une responsabilité contre lafrique
Commerce triangulaire
Derrière le pardon il y a la volonté de passer à autre chose et passer à un travail de
reconnaissance
2. Qui met en œuvre les ressources?
a) La gestion de l’aide bilatérale b) Les institutions de Bretton Woods c) Les Nations Unies crée
en 1945
3 objectifs : garantir la paix, les Droits de l’Homme et gérer l’APD
Le PNUD Coordonne différents acteurs tels que l’OMS, le PNUE ou encore l’UNICEF
d) Les fonds thématiques mondiaux e) Les institutions régionales
3. Partenaires et parties prenantes
 Fondations privées
Pas à but lucratif, fondations non gouvernementales qui utilise les rendements de l’activité privée
pour l’APD.
 Organisation de solidarité internationale
Exemple de médecin sans frontière, pas de patrimoine au départ mais recherches de fonds
contrairement aux fondations privées
Recherche des fonds pour développer leurs activités
 Collectivités locales et coopération décentralisée :
 Monde de la recherche
4) Opinion public
70% de l’opinion public estime qu’il est préférable de gérer les problèmes nationaux avant de
s’attaquer à l’aide des autres pays. Plus on est éduqué, moins on a ce point de vue (fonction
décroissante à l’éducation) Il y a une méconnaissance de l’APD, les montants sont souvent
surévalués.
1. L’évolution des paradigmes de l’aide
*1955-1965 : Volontarisme d’état et industrialisation :
crise de 29 mises en évidence de l’éco libérale capitaliste, émergence du japon, dominé par
l’importance de l’état, synonyme d’industrialisation, constat : La figure de l’état est centrale dans
le développement. Une faible renta des iv persistence de la pauvreté sous emplois importance
des inégalités, endettement très important, les intérêts sont importants. On change de paradigme
alors
 1965-1980 : développement rural et besoins fondamentaux
Diminution de la main d’œuvre avec l’essor de l’industrie. D’où une augmentation de la
productivité (révolution verte). Combat contre la faim. Revient à remettre en cause cette idée d’un
monde moderne qui doit se faire au dépend de l’agriculture. Milieu agricole pour lutter contre la
pauvreté, et un tournant redistributif et sociaux.
 1980-1999 : équilibre macroéconomie, ajustement structurel
Revoir la partie sur les « programmes » dans l’introduction. L’APD est jugée suspecte
 Depuis 2000 : lutte contre la pauvreté, bonne gouvernance
La question de la bonne gouvernance qui prend place dans les débat, la question des pol pub
efficace transparente, qualité des institution, lutte contre la corruption, la question de la qualité de
l’environnement , dev de la démocratie....
2/ Aide projet vs aide budgétaire
Aide projet est très largement majoritaire, moyen privilégié de transférer un k productif une
infrastructure, on veut éviter les risques de malversation et on met un système de production qui
va être séparé des administration pub.
Cout des transaction élevés, ces aides soit lies à des contrats avec des entreprises ou l’état des
pays qui aide, l’imprévisibilité des montants a pu conduire à affaiblir les capacités de gestion des
pays en embauchant les meilleurs gestionnaires des pays , La question de fongibilité de l’aide,
l’argent sera dépensé comme le pays le souhaite.
Aide projet : l’état décide en quoi doit être dépenser les ressources financières
 L’aide budgétaire croitre a émerger, son intérêt quelle permettait d’ouvrir la possibilité d’un
dialogue de budget de l’État, son avantage permet de réduire les couts, permet de améliorer la
coordination entre les bailleurs, les donneurs, permet d’insister à une réflexion globale à penser
le dev et la gestion du budg dans une stratégie plus globale, discuter des stratégies de dev à
mettre en œuvre, une menace à la souveraineté et en même temps dans des e  tes qui sont très
affaibli en terme de gouvernance, cette aide budg va être très inefficace, car des gouvernements
corrompu. Efficacité :  L’aide est souvent accusé d’être inefficace d’être perdu dans des projets
mal conçus ou d’être détourné par des dirigeants locaux et quelque part mesurer l’efficacité de
laide est considérer comme l’un des moteurs.
L’évaluation des projets :
Plusieurs types d’évaluations :
1. L’évaluation ex ante
2. L’audit : Vérifie la régularité de l’usage des ressources
3. Le suivi d’évaluation : contrôle de la gestion du projet, pendant l’exécution du projet
4. L’évaluation finale : après l’achèvement du projet, on veut mesurer les résultats du projet lui-
même
5. L’évaluation rétrospective : évaluer les effets quelques années après la fin du projet
Quels critères pour vérifier l’efficacité des programmes ??
Pertinence du projet
La cohérence de la démarche
Efficacité : les résultats des projets ont été atteint grâce a la réalisation du projet,
Efficience : rapport entre le résultat au cout du projet.
Impact : sur le LT
Durabilité :
L’évaluation des programmes : principe général
A l’aide des expériences aléatoires, au hasard
Ce n’est pas évident d’évaluer l’analyse d’impact d’un programme
L’efficacité macro de l’aide :
1. Aide et croissance on contrôle les autres variables at on vérifie l’effet de APD sur la croissance
efficacité de APD dépend de la qualité des politiques économiques adoptés dans le pays. L’aide
est efficace que dans les pays avec des po leco très bien gérer et contrôler.
2. Capacité d’absorption : cad est ce que dans le pays il y a des capacités locales de gestion
suffisantes, montant d’aide pas bénéfice. ex : syndrome hollandais
3. La qualité de l’aide : dépend de l’alignement cad du fait les politiques d’aide du dev sont aligner
avec les plans stratégiques du pays receveur ce qui permet la appropriation de ces aides, degré
de prolifération, degré de volatilité et d’incertitude.
4. Le principe de sélectivité de l’aide : l’alloué selon certains critères, politique, stratégique ou
bureaucratique.
5. Critique de la sélectivité
6. Les limites de l’évaluation macroéconomique de l’aide
Au-delà de l’aide au dev lui-même il y a la cohérence des politiques publiques entre les différents
pays aidant cela peut mener à des contradictions.
IV- Des OMD aux ODD

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