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(DP)

Énoncé du Dossier Clinique Progressif


Monsieur P (81 ans) consulte aux urgences suite à un traumatisme du coude droit avec apparition dans les suites d'un œdème important du coude et de son
avant-bras droit.
Dans ces antécédents médicaux, on note :
- Hypertension artérielle traitée
- Hypertrophie bénigne de la prostate sans suivi urologique récent
- Pacemaker mis en place en 2019 pour BAV 2
- Adénocarcinome du colon en 2015, traité par sigmoidéctomie
Le patient rapporte comme principaux antécédents chirurgicaux :
- Deux kystes pilonidaux opérés; - Cataracte bilatérale opérée en décembre 2020;
Son traitement habituel est :
-VALSARTAN -ADENURIC -PERMIXON
L’examen clinique retrouve :
-Ecchymoses diffuses au niveau de la paroi abdominale.
-Œdème du coude droit
-Hématome de l’avant-bras droit sans signe de compression
Des radiographies du membre supérieur droit ont été réalisées, permettant d’éliminer la présence d’une fracture. Un examen par échographie-doppler est réalisé
et ne retrouve pas de thrombose au niveau du membre supérieur droit, ni en sous clavier ou en jugulaire droit mais objective un hématome de l’avant-bras
droit et d’une infiltration sous cutanée diffuse.

Un bilan biologique a également été réalisé et retrouve :

Hémogramme :
HB : 7.8 g/dL
VGM : 88.9 fL
Plaquettes : 274 G/L
Bilan d’hémostase :
Leucocytes : 3.55 G/L
TP : 100 %
Polynucléaires neutrophiles : 2.73G/L
TCA : 60 secondes (TCA Témoin : 25 secondes)
Polynucléaires éosinophiles : 0.01 G/L
Fibrinogène : 4.5 g/L
Polynucléaires basophiles : 0.02 G/L
Lymphocytes : 0.57 G/L
Monocytes : 0.22 G/L
Réticulocytes : 65 G/L
QUESTION 1

Interpréter les résultats de l’hémogramme et du bilan d’hémostase :

1. Anémie normocytaire
2. Thrombopénie
3. Allongement isolé du TCA
4. Lymphopénie
5. Monocytose
QUESTION 2

Quelles sont les étiologies responsables d’allongement isolé du TCA ?

1. Traitement par héparine non fractionnée


2. Traitement par antivitamine K
3. Hémophilie A
4. Hémophilie B
5. Anticoagulant circulant
QUESTION 3

Devant la présentation clinique et les résultats biologiques, des examens biologiques complémentaires sont nécessaires, préciser lesquels ?

1. Dosage du Facteur VIII


2. Dosage des D-Dimères
3. Dosage du facteur V
4. Recherche d’un anticoagulant circulant
5. Bilan martial
QUESTION 4

Les facteurs de la voie intrinsèque de la coagulation plasmatique ont été dosés et retrouvent les résultats suivants :
Facteur VIII = 2%

Facteur IX 120%

Facteur XI 95%

Parmi les hypothèses diagnostiques suivantes, laquelle est la plus probable ?

1. Hémophilie A acquise
2. Hémophilie A
3. Maladie de Willebrand
4. Maladie de Willebrand acquise
5. Hémophilie B
QUESTION 5

Vous évoquez une hémophilie A acquise. Quelles sont les principales étiologies associées à ce diagnostic ?

1. néoplasies
2. hémopathies
3. maladies auto-immunes
4. iatrogénie
5. cardiopathies
QUESTION 6

Préciser les examens complémentaires indispensables au diagnostic ?

1. recherche et titrage d’un anticorps anti-Facteur VIII


2. dosage du facteur Willebrand (VWF :Ag)
3. recherche d’un anticoagulant circulant
4. recherche d’un pic monoclonal
5. dosage de l’activité du facteur Willebrand
QUESTION 7

Préciser les examens complémentaires à réaliser dans le bilan étiologique ?

1. recherche d’un pic monoclonal


2. scanner thoraco-abdomino-pelvien
3. immunophénotypage lymphocytaire
4. dosage de la TSH
5. bilan d’auto-immunité
QUESTION 8

Le scanner retrouve un conglomérat d'adénomégalies médiastino-hilaires bilatérales prédominant à droite, avec une adénomégalie axillaire droite de
2 cm de petit axe. Les adénomégalies hilaires droites sont responsables d'un effet de masse sur le pédicule pulmonaire avec des troubles ventilatoires
au niveau parenchymateux en aval. La rate mesure 16 cm de grand axe. Il existe aussi des adénomégalies latéro-aortique gauche de 2-2,5 cm de grand
axe.

Quelles sont les éléments de l’interrogatoire qui sont utiles dans votre démarche diagnostic ?

1. Perte de poids > 10% du poids habituel dans les 6 derniers mois
2. Fièvre > 38°C
3. Sueurs nocturnes abondantes
4. Prurit à l’eau
5. Notion de néoplasie dans la famille
QUESTION 9

Quel examen prescrivez-vous pour avoir un diagnostic positif ?

1. Splénectomie
2. biopsie ostéo-médullaire
3. Immunophénotypage des lymphocytes circulants
4. biopsie ganglionnaire médiastinale
5. biopsie ganglionnaire axillaire gauche
QUESTION 10

La biopsie ganglionnaire axillaire gauche montre qu’il s’agit d’un lymphome à cellules du manteau. Après stabilisation du syndrome hémorragique, vous
décidez de faire un bilan d’extension du lymphome. Quel bilan demandez-vous ?

1. Une biopsie ostéo-médullaire


2. Une TEP – scanner
3. Une coloscopie
4. Une biopsie cutanée au niveau de la paroi abdominale
5. Une ponction lombaire
QUESTION 11

La biopsie ostéo-médullaire montre un envahissement de la moelle osseuse par des cellules de taille moyenne exprimant la marqueur CD20 et le marqueur
CD5 identique compatible avec les cellules à lymphome du manteau.

Quel est le stade de la maladie lymphomateuse selon la classification Ann-Arbor ?

1. Stade I
2. Stade II
3. Stade III
4. Stade IV
5. Stade C
QUESTION 12

Le patient a été transfusé de plusieurs culots globulaires et à plusieurs reprises.

Quelles sont les facteurs qui ont pu contribué à l’anémie chez ce patient ?

1. une hémolyse périphérique


2. le saignement
3. l'infiltration médullaire
4. la lymphopénie
5. L’âge du patient
QUESTION 13

2 à 3 jours plus tard le bilan biologique montrait les résultats suivants :

Bilirubine
totale 35
Hémogramme :
micromol/l
Hémoglobine : 10
(N < 20)
g/dL
Bilirubine
VGM : 93 fL
libre 25
Réticulocytes : 93
micromol/l
G/L
(N < 13)
Le reste de
Haptoglobine
l’hémogramme était
< 0.1 g/l (N :
normal hormis la
1,5-4 g/l)
lymphopénie
Ferritinémie
40 ng/l

Comment expliquez-vous les résultats de l’haptoglobine et la bilirubine libre dans ce contexte ?

1. Hémolyse aiguë auto-immune


2. Infiltration moelle osseuse par les cellules du lymphome
3. post biopsie ostéo-médullaire
4. Résorption des hématomes
5. Hémophile A acquise
QUESTION 14

Quels examens prescrivez-vous avant le début du traitement spécifique anti lymphome ?


1. Echographie cardiaque
2. Fond d’œil
3. Electrocardiogramme
4. Créatininémie
5. Taux de LDH
QUESTION 15

le patient vous demande de lui donner des informations sur son traitement.

Parmi les propositions suivantes les quelles sont correctes ?

1. Le traitement comporte un anticorps monoclonal anti CD 20


2. Le traitement comporte des agents alkylants
3. Le traitement nécessite une surveillance régulière
4. Le traitement comporte un risque d’agranulocytose
5. Le traitement n’entraine pas de risque infectieux
(DP)
Énoncé du Dossier Clinique Progressif

Une jeune femme de 28 ans consulte car elle a remarqué l’apparition d’un relief cervical antérieur en se regardant dans la glace. Sa mère a été opérée de la
thyroïde il y a quelques années pour nodules.

Une échographie a été réalisée et a révélé une thyroïde de 17mL avec un parenchyme globalement hétérogène et hypo-échogène, plusieurs micronodules dans
les 2 lobes et un macronodule de 16mm dans le lobe droit (classé EU-TIRADS 3).

QUESTION 1

Quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. Il s’agit d’un goitre simple


2. La patiente présente une hyperthyroïdie
3. Il s’agit d’une thyroïdite subaiguë de De Quervain
4. Il s’agit d’une thyroïde multi-nodulaire
5. Le macronodule est à faible risque de cancer
QUESTION 2

Concernant cet examen d’imagerie, quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. Il s’agit d’une scintigraphie thyroïdienne


2. La captation du radiotraceur est homogène
3. Le nodule thyroïdien droit est hyperfixant
4. Le tableau clinique-biologie-imagerie est compatible avec un adénome thyroidien en voie d’autonomisation
5. L’aspect évoque un goitre multi-hétéronodulaire
QUESTION 3

Quel(s) examen(s) biologique(s) faut-il réaliser pour compléter l’exploration ?

1. T3L
2. T4L
3. Ac anti TG
4. Thyroglobuline
5. CRP
QUESTION 4

Concernant la classification échographique des nodules thyroïdiens, quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. EU-TIRADS 2 correspond à l’absence de nodule


2. EU-TIRADS 3 correspond à un kyste simple bénin
3. EU-TIRADS 4 correspond à un risque intermédiaire de cancer
4. EU-TIRADS 5 correspond à un cancer médullaire de la thyroïde
5. EU-TIRADS 6 n’existe pas
QUESTION 5

Quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. La classification de Bethesda concerne les images échographiques de nodules thyroïdiens


2. La catégorie 1 de Bethesda correspond à un échec de la cytoponction
3. La catégorie 2 de Bethesda correspond à des cellules thyroïdiennes bénignes
4. La catégorie 3 de Bethesda correspond à des cellules thyroïdiennes malignes
5. La catégorie 4 de Bethesda n’existe pas
QUESTION 6

La cytoponction est classée Bethesda 2, ce qui correspond à des cellules bénignes. La patiente se plaint de quelques palpitations. Elle a perdu 2 Kg en quelques
mois. Son appétit est conservé.

Quel est l’examen biologique à réaliser en première intention ?

1. T4L
2. Ac anti TPO
3. Ac anti Rc TSH
4. TSH
5. Thyrocalcitonine
QUESTION 7

Sa TSH est basse à 0,23mUI/L.

Quel est l’examen de 2ème intention ?

1. Scanner cervical
2. PET-scan corps entier
3. Scintigraphie thyroïdienne
4. Scintigraphie au MIBG
5. Examen ORL
QUESTION 8

La T4L est augmentée à 18 pmol/L (N : 7-16)

Quel(s) symptôme(s) et signe(s) recherchez-vous à l’interrogatoire et à l’examen clinique ?

1. Tachycardie
2. Prise pondérale
3. Syndrome du canal carpien
4. Frilosité
5. Insomnie
QUESTION 9

Quelle(s) est(sont) la(les) option(s) thérapeutiques qui peut(peuvent) être proposée(s) à la patiente ?

1. Radiothérapie cervicale
2. Prescription d’hormones thyroïdiennes
3. Lobectomie thyroïdienne droite
4. Traitement par iode radioactif
5. Corticothérapie
QUESTION 10

Six mois plus tard, une nouvelle échographie est réalisée. L’aspect est inchangé mis à part la mise en évidence d’une croissance du macronodule du lobe droit
maintenant mesuré à 23mm (toujours classé EU-TIRADS 3).

Quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. La croissance rapide du nodule est une indication à proposer un cytoponction thyroïdienne


2. La croissance rapide du nodule est un argument qui doit faire évoquer un cancer thyroïdien
3. La cytoponction est réalisée sous guidage scanner
4. La cytoponction nécessite une anesthésie générale
5. Le macronodule et tous les micronodules doivent être cytoponctionnés chez cette patiente
QUESTION 11

Une lobectomie thyroïdienne droite est le traitement finalement choisi. La patiente a cependant très peur de l’anesthésie générale car elle a lu sur internet qu’il y
avait des complications cardiaques possibles en cas d’hyperthyroïdie. Quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?
1. La thyrotoxicose peut se compliquer de péricardite
2. Les complications cardiaques de la thyrotoxicose sont regroupées sous le terme de cardiothyréose
3. La fibrillation auriculaire est le trouble du rythme supra-ventriculaire le plus fréquent en cas de thyrotoxicose
4. Les troubles du rythme cardiaque en lien avec une thyrotoxicose sont rares avant l’âge de 40 ans
5. La thyrotoxicose peut révéler ou aggraver une insuffisance coronaire
QUESTION 12

La lobectomie droite est réalisée et se déroule sans difficulté. Le nodule est bénin à l’analyse histologique. Aucun traitement n’est nécessaire car le bilan
thyroïdien à 3 mois post-opératoire est normal. La patiente est perdue de vue.

Vous la revoyez 2 ans plus tard. Elle a accouché 3 mois auparavant d’un garçon bien portant qu’elle allaite toujours actuellement. Elle a une asthénie
persistante. Elle vous consulte car on vient de lui diagnostiquer une hypothyroïdie : TSH = 14 mUI/L (Nle 0,5-4) ; T4L = 9,3pmol/L (Nle 11-22) ; Ac anti TPO
= 245 UI/L (Nle < 10).

Quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. Il s’agit d’une thyroïdite auto-immune du post-partum


2. Il s’agit d’une hypothyroïdie centrale secondaire à un syndrome de sheehan (nécrose hémorragique hypophysaire)
3. Il s’agit d’une hypothyroïdie infraclinique
4. Il faut compléter l’exploration par une échographie
5. Il faut compléter l’exploration par une scintigraphie
QUESTION 13

L’échographie montre un lobe gauche résiduel multi micronodulaire, avec un parenchyme globalement hypoéchogène et hétérogène, compatible avec une
thyroïdite auto-immune. La patiente vous montre également un bilan biologique réalisé par un autre médecin sur lequel vous observez une anémie normocytaire
normochrome à 10,2 g/100ml, possiblement en lien avec l’hypothyroïdie périphérique. Quelles sont les autres anomalies biologiques non spécifiques qui
peuvent être observées en cas d’hypothyroïdie ?

1. Hyperkaliémie
2. Hyponatrémie
3. Hypercalcémie
4. Hypercholestérolémie
5. Elévation des CPK
QUESTION 14

Concernant le traitement hormonal à mettre en route dans ce contexte, quelle(s) est(sont) la(les) affirmation(s) juste(s) ?

1. Il est préférable d’utiliser en première intention un mélange oral de T3 et T4


2. Le traitement d’attaque repose sur des injections intraveineuses de T4
3. Les besoins en hormones thyroïdiennes sont en moyenne de 1 à 1,5µg/kg/j
4. La T4 orale est le traitement utilisé dans une grande majorité des cas
5. Le bon équilibre thérapeutique s’apprécie par des dosages répétés de T4
QUESTION 15

La patiente envisage une nouvelle grossesse à court terme. Elle vous demande des informations concernant l’objectif de TSH en situation de grossesse. Quel est
l’objectif de TSH chez la femme enceinte hypothyroïdienne ?

1. <0,5 mUI/L
2. 0,5-2,5 mUI/L
3. 2,5-4 mUI/L
4. 0,5-4 mUI/L
5. >4 mUI/L
DFASM MODULE 4 MAP DCPMINI 2021 (MDP)
Énoncé du Mini Dossier Clinique Progressif

une femme de 46 ans, directrice du personnel dans la grande distribution, vous consulte pour perdre du poids. Elle pèse 78 kg pour 1,68 m soit un IMC à 27,6.
Elle n'a pas de symptômes, pas d'antécédents. Elle s'est inscrite l'an dernier à Weight Watchers et a perdu 4 kg en pratiquant un régime modérément restrictif
équilibré, mais a tout repris pendant le confinement.

QUESTION 1

quelle est votre attitude? (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. prescription d'une hyperglycémie provoquée par voie orale


2. prescription d'une TSH
3. recherche de troubles du comportement alimentaire
4. mesure du tour de taille à mi-distance entre les côtes et la crête iliaque
5. évaluation du stress
QUESTION 2

son tour de taille est de 78 cm. Vous avez identifié une impulsivité alimentaire avec des compulsions chez cette patiente très stressée par son travail. (cochez les
réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. l'objectif est une stabilisation pondérale


2. l'objectif est une perte de poids de 5 à 10% (4 à 8 kg)
3. vous proposez une psychothérapie
4. vous lui demandez de reprendre son régime modérément restrictif équilibré (environ 1600 kcal/jour)
5. vous lui demander de marcher un peu toutes les 2 heures, même pendant son travail
QUESTION 3

Quel abord psychologique proposez-vous ? (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. entretien motivationnel
2. therapie cognitivo-comportementale
3. psychanalyse
4. analyse transactionnelle
5. renforcement de l'estime de soi
QUESTION 4

Quel abord psychologique proposez-vous (suite) ? (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. renforcement de l'affirmation de soi


2. psychothérapie existentielle et humaniste
3. gestion des émotions
4. psychothérapie systémique
5. thérapie familiale
DFASM MAP module 4 2021 (MDP)
Énoncé du Mini Dossier Clinique Progressif

Un homme de 79 ans est hospitalisé pour altération de l'état général. A l'interrogatoire, il signale une asthénie sans autre symptôme. Il a perdu du poids, mais ne
sait pas le chiffrer. A l'examen, il présente une amyotrophie, son poids actuel est de 60 kg, son IMC est de 22,5.

QUESTION 1

Afin de stabiliser son poids, quel est l'objectif calorique journalier à atteindre?

1. 1400 à 1700 kcal

2. 1800 à 2100 kcal

3. 2200 à 2500 kcal

4. 2600 à 3000 kcal


QUESTION 2

Le patient présente une anorexie sévère, fait des fausses routes et ne mange pratiquement rien. Quel support nutritionnel préconisez-vous ?

1. complémentation orale

2. nutrition entérale

3. nutrition parentérale

4. hydratation intraveineuse

5. enrichissement de l'alimentation
QUESTION 3

Que surveillez-vous comme dosage sanguin pour dépister un syndrome de renutrition inappropriée ? (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être
justes)
1. sodium
2. potassium
3. phosphore
4. magnésium
5. créatinine
DFASM-2122-S1-MODULE 4-SQI (SIQ)
Séquence de Questions Isolées
QUESTION 1

Un patient de groupe B et de phénotype D+C-E-c+e+, devant être transfusé en concentrés de globules rouges phénotypés, peut recevoir :

1. Un concentré de globules rouges O D+C+E-c-e+


2. Un concentré de globules rouges O D+C-E-c+e+
3. Un concentré de globules rouges B D+C+E-c-e+
4. Un concentré de globules rouges B D-C-E-c+e+
5. Un concentré de globules rouges AB D+C-E-c+e+
QUESTION 2

A propos des concentrés de plaquettes, quelle(s) es(son)t la(les) proposition(s) exacte(s) :

1. La transfusion d'un CP implique de connaître le groupe ABO RHK du receveur (ou de le prescrire avant transfusion)
2. La transfusion d'un CP implique de connaître le groupe HLA du receveur (ou de le prescrire avant transfusion)
3. La transfusion d un CP implique de disposer d'un résultat de recherche d'anticorps irréguliers de moins de 72 heures (ou de le prescrire avant transfusion)
4. La posologie d'un CP est proportionnelle au poids du patient (0,5 à 0,7 1011 plq/kg)
5. La posologie d'un CP est proportionnelle au poids du patient (0,5 à 0,7 1011 plq/10 kg)
QUESTION 3

Réponses vraies à propos de l’anémie de l’enfant ?

1. Il est d’usage devant une anémie microcytaire, de doser le fer et la ferritine pour orientation étiologique
2. Une carence martiale se traduit par une anémie et une thrombopénie.
3. L’absorption du fer étant digestive, les maladies chroniques intestinales peuvent entraîner une malabsorption et de ce fait, une carence martiale
4. En pédiatrie, on définit une anémie sévère dès que le taux d’hémoglobine est inférieur à 8g/dl.
5. Des infections répétées des voies aériennes peuvent se constater en cas de carence martiale
QUESTION 4
Réponses vraies à propos des adénopathies de l’enfant ?

1. Il est fréquent qu’une découverte d’adénopathie soit à l’origine d’un diagnostic d’hémopathie maligne.
2. En cas d’adénopathies évolutives compliquées de signes de compression et de manifestations systémique grave, un sauvetage par corticoïdes est indiqué.
3. Pour l’exploration histologique d’une adénopathie, la cytoponction ganglionnaire peut être suffisante pour poser le diagnostic.
4. Une adénopathie dure, fixée, et volumineuse doit vous inquiéter et en découle des examens d’exploration approfondis.
5. La démarche étiologique est identique quel que soit la localisation d’une adénopathie isolée (cervicales, inguinales, sus-claviculaire et axillaire)
QUESTION 5

une supplémentation en acide folique (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. est conseillée chez les femmes en préconceptionnel


2. est conseillée chez les femmes ménopausées
3. est conseillée chez les personnes fumeuses ne consommant pas de fruit
4. permet de diminuer le risque de cancer chez un adulte sain
5. peut entraîner une microcytose
QUESTION 6

Les besoins de la femme enceinte (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. diminuent au 1er trimestre


2. augmentent au 3ème trimestre
3. sont en partie couvert par une augmentation des apports oraux
4. sont en partie couvert par une augmentation de la réabsorption rénale de calcium
5. sont en partie couvert par une augmentation de l'absorption intestinale de fer
QUESTION 7

L'alimentation de la femme enceinte (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)
1. les fromages à pâte molle et à croûte lavée peuvent être consommés
2. la viande doit être consommée bien cuite
3. il faut privilégier le sel supplémenté en iode
4. les besoins en calcium sont élevés et doivent être couvert par 3 produits laitiers par jour
5. les produits à base de soja sont autorisés en petite quantité (1 par jour maximum)
QUESTION 8

quelle est la dose quotidienne d'acide folique à prescrire chez une femme 28 jours avant la conception ?

1. 0,4 mg

2. 0,5 mg

3. 4 mg

4. 5 mg

5. 50 mg
QUESTION 9

Quels sont les critères étiologiques à prendre en compte pour diagnostiquer une dénutrition ? (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. agression
2. malabsorption
3. pathologie aiguë
4. pathologie chronique
5. réduction de la prise alimentaire
QUESTION 10

Chez un homme de 57 ans qui a perdu 5% de poids en 1 mois, quel est le seuil d'albuminémie permettant de classer une dénutrition comme sévère ?
1. < 25 g/l

2. < 25 g/l associée à une C-reactive protéine normale

3. < 30 g/l

4. < 30 g/l associée à une C-reactive protéine normale

5. < 35 g/l
QUESTION 11

La référence nutritionnelle pour la population (RNP), anciennement dénommée ANC, est l’apport quotidien qui couvre les besoins de quel pourcentage de la
population en bonne santé ?

1. 50%

2. 75%

3. 95%

4. 97,5%

5. 100%
QUESTION 12

quelle est la dose quotidienne d'acide folique qu'il faut prescrire à une femme en pré conceptionnel?

1. 0,4 mg

2. 0,5 mg

3. 4 mg

4. 5 mg

5. 40 mg
QUESTION 13

quelles sont les recommandations d'activité physique (AP) de l'ANSES ? (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. au moins 150 minutes d'AP modérée à élevée par semaine


2. éviter de rester 2 jours consécutifs sans AP
3. renforcement musculaire une à deux fois par semaine
4. privilégier l'AP le matin à jeun
5. interrompre les périodes de sédentarité au moins toutes les 2 heures
QUESTION 14

quels sont les principes de l'éducation thérapeutique du patient ?

1. mettre en place d'objectifs limités


2. faire du renforcement positif
3. émettre un jugement sur les objectifs non atteints
4. forcer les résistances au changement
5. réajuster les objectifs à chaque consultation
QUESTION 15

Concernant les produits laitiers (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)

1. un adulte doit consommer 2 produits laitiers par jour


2. un sujet âgé doit consommer au moins 3 produits laitiers par jour
3. les produits laitiers protègent des maladies cardiovasculaires
4. les produits laitiers protègent du cancer colorectal
5. le lait entier contient de la vitamine D
QUESTION 16

concernant les boissons (cochez les réponses exactes, 1 à 5 réponses peuvent être justes)
1. la seule boisson indispensable est l'eau
2. les sodas sucrés doivent être limités
3. les sodas sucrés doivent être remplacés par des sodas édulcorés
4. les jus de fruits pressés frais peuvent être bus à volonté
5. les boissons alcoolisées doivent être limitées à 2 verres par jour maximum
QUESTION 17

Parmi les paramètres suivants, lesquels sont utiles pour interpréter la valeur de la calcémie ?

1. le taux de l’hémoglobine
2. la créatininémie
3. le pH sanguin
4. l’albuminémie
5. la kaliémie
QUESTION 18

Une hypercalcémie peut se manifester par :

1. une somnolence
2. des vomissements
3. une hypothermie
4. une déshydratation
5. une oligurie
QUESTION 19

Lesquels, parmi ces profils biologiques, peuvent correspondre à une hyperparathyroïdie primitive ?

1. Calcémie = 2,54 mmo/l (N = 2,20 à 2,60) ; 25 hydroxyvitamine D = 32 ng/ml (N > 30) ; PTH = 88 pg/L (N = 12 à 68)
2. Calcémie = 2,15 mmo/l (N = 2,20 à 2,60) ; 25 hydroxyvitamine D = 8 ng/ml (N > 30) ; PTH = 93 pg/L (N = 12 à 68)
3. Calcémie = 2,22 mmo/l (N = 2,20 à 2,60) ; 25 hydroxyvitamine D = 30 ng/ml (N > 30) ; PTH = 21 pg/L (N = 12 à 68)
4. Calcémie = 2,98 mmo/l (N = 2,20 à 2,60) ; 25 hydroxyvitamine D = 25 ng/ml (N > 30) ; PTH = 128 pg/L (N = 12 à 68)
5. Calcémie = 2,77 mmo/l (N = 2,20 à 2,60) ; 25 hydroxyvitamine D = 35 ng/ml (N > 30) ; PTH = 60 pg/L (N = 12 à 68)
QUESTION 20

Parmi les propositions suivantes concernant le surpoids et l’obésité de l’enfant, lesquelles sont exactes ?

1. Le surpoids est défini par un poids > 95ème percentile


2. Le surpoids est défini par un IMC > IOTF-25
3. L'IMC normal d'un adolescent est entre 18,5 et 24,9 kg/m2
4. L’obésité de l'enfant est définie par un IMC > 30 kg/m2
5. Un enfant qui a un IMC > 30 kg/m2 est obèse quel que soit son âge
QUESTION 21

Parmi les propositions suivantes concernant le rebond d’adiposité, lesquelles sont exactes ?

1. Le rebond d’adiposité est corrélé avec une obésité à l’âge adulte


2. L’âge du rebond d’adiposité permet d’orienter vers une obésité commune ou secondaire
3. Une absence de rebond d’adiposité oriente vers une obésité génétique
4. Le rebond d’adiposité est visualisé sur la courbe de croissance pondérale
5. L’âge du rebond d’obésité permet de dépister l’obésité de l’enfant en pratique courante
QUESTION 22

Parmi les facteurs suivants, lesquels peuvent augmenter le risque de surpoids chez l’enfant ?

1. Un diabète gestationnel bien équilibré pendant la vie intra-utérine


2. Une hypotrophie à la naissance
3. Des difficultés socio-économiques des parents
4. Des abus physiques dans l’enfance
5. Le manque de sommeil
QUESTION 23

Parmi les symptômes suivants chez un enfant obèse, lesquels orientent vers une obésité d’origine endocrinienne ?

1. Une cassure de la vitesse de croissance


2. Un micropénis
3. Un retard des apprentissages
4. Une accélération de la vitesse de croissance avec âge osseux en avance
5. Un acanthosis nigricans
QUESTION 24

Concernant la prise en charge de l’obésité de l’enfant, quelles sont les propositions exactes ?

1. Les recommandations sur l’activité physique (ANSES 2016) comportent des objectifs chiffrés d’augmentation de l’activité physique et de diminution de la
sédentarité
2. En cas d’obésité primaire non compliquée chez un enfant n’ayant pas fini sa croissance, l’objectif est de ralentir la progression de la courbe d’IMC
3. Chez un enfant en croissance, il n’est pas indispensable de réduire le poids pour ralentir la progression de la courbe d’IMC
4. Chez l’enfant ayant une obésité commune compliquée, un régime amaigrissant est indiqué
5. La diminution du temps passé devant les écrans permet de réduire la sédentarité
QUESTION 25

Cochez-la ou les réponses exactes.

1. Un choc hypovolémique avec hyponatrémie , hyperkaliémie doit faire évoquer une insuffisance surrénale
2. Chez le nouveau-né de sexe féminin porteur d’une hyperplasie congénitale de surrénales, on peut observer une virilisation des organes génitaux externes
3. Le traitement de l’hyperplasie congénitale nécessite une association d’hydrocortisone et de diurétique
4. En cas de stress ou d’infection chez l’insuffisant surrénalien, il faut doubler voire tripler les doses d’hydrocortisone
5. Une atteinte neurologique associée à une insuffisance surrénale doit faire évoquer une adrénoleucodystrophie chez une fille
QUESTION 26

L’hyperplasie congénitale des surrénales :

1. Est toujours d’expression congénitale


2. se diagnostique au dépistage sur un dosage de la 21 hydroxylase
3. Peut engager le pronostic vital du nouveau-né
4. est la cause la plus fréquente d’insuffisance surrénale primaire de l’enfant
5. Se transmet sur un mode autosomique dominant
QUESTION 27

La gynécomastie

1. Doit toujours être explorée chez l’enfant prépubère


2. Peut être d’origine médicamenteuse
3. La gynécomastie bilatérale de l’adolescent en cours de puberté n’est pas physiologique
4. Doit faire prescrire un caryotype chez l’adolescent avec un faible volume testiculaire
5. Le traitement de la gynécomastie est le plus souvent médical
QUESTION 28

Quel(s) examen(s) biologique(s) à visée diagnostique vous ferez prélever lors d’une hypoglycémie symptomatique à 0,30 g/l (1,65 mmol/l) chez un nourrisson
de 6 mois, survenant 30 min après la fin d’un biberon?

1. Des dosages hormonaux de GH et cortisol (pour éliminer un déficit de sécrétion de l’hormone de croissance et un déficit en cortisol)
2. Le dosage d’insulinémie (pour éliminer un hyperinsulinisme)
3. Le profil des acylcarnitines plasmatiques sur buvard (pour éliminer un déficit de l’oxydation des acides gras)
4. Tous les examens ci-dessus
5. Aucun examen ci-dessus: cette hypoglycémie ne nécessite pas de prélèvement car elle survient à l’état nourri
QUESTION 29

Cochez la/ les réponse (s ) EXACTE(S) concernant l’étiopathogénie des hypoglycémies


1. L’insuline bloque la glycogénolyse et augmente l’utilisation périphérique du glucose, de ce fait elle a une action hypoglycémiante
2. L’insuline augmente la néoglucogenèse et l’utilisation périphérique du glucose, de ce fait elle a une action hypoglycémiante
3. Les hypoglycémies peuvent avoir des causes endocriniennes et métaboliques
4. L’hypercortisolisme est une cause possible d’hypoglycémie
5. Aucune réponse ci-dessus
QUESTION 30

Parmi ces signes, lesquels peuvent être observés au cours du syndrome tumoral provoqué par un macroadénome hypophysaire ?

1. Céphalées occipitales
2. Baisse de l’acuité visuelle
3. Quadranopsie bitemporale supérieure
4. Hémianopsie latérale homonyme
5. Voile devant les yeux
QUESTION 31

Un patient porteur d’un diabète de type 1 présente une hypoglycémie à 0.35 g/L. Cochez la (les) proposition(s) vraie(s)

1. Elle peut se traduire par un trouble du comportement


2. A ce niveau de glycémie, il n’y a jamais de sueurs ou de tremblements associés
3. Sa traduction clinique est généralement d’apparition très progressive
4. Les signes cliniques d’hypoglycémie disparaissent très rapidement après resucrage
5. Elle peut évoluer vers un coma agité si la glycémie continue de s’abaisser
QUESTION 32

Concernant une hypertension artérielle associée à une tumeur surrénalienne de découverte fortuite, cochez la (les) proposition(s) vraie(s)

1. Elles doivent faire rechercher une cause endocrinienne à l’HTA


2. Elles peuvent correspondre à une tumeur secrétant des catécholamines
3. Elles peuvent correspondre à une tumeur secrétant du cortisol
4. Elles peuvent correspondre à une tumeur secrétant des androgènes
5. Elles peuvent correspondre à une tumeur secrétant de la rénine
QUESTION 33

Concernant une anomalie du cholestérol, cochez la (les) proposition(s) vraie(s) :

1. Une élévation du LDL cholestérol ou une baisse du HDL cholestérol font partie des facteurs de risque cardiovasculaires modifiables
2. Une hypercholestérolémie familiale peut se traduire cliniquement par des dépôts lipidiques sur les paupières et les extenseurs des doigts
3. Une élévation du LDL cholestérol au-dessus de 2 g/L fait partie de la définition du « syndrome métabolique »
4. Une hypercholestérolémie par mutation du récepteur LDL à l’état hétérozygote induit des complications cardiovasculaires précoces dès l’âge de 20 ans
5. Une insuffisance thyroïdienne provoque fréquemment une hypercholestérolémie avec élévation du LDL cholesterol
QUESTION 34

Concernant la rétinopathie diabétique, cochez la (les) proposition(s) vraie(s) :

1. Elle est favorisée par l’élévation chronique de la glycémie


2. Elle est favorisée par l’élévation chronique de la pression artérielle
3. Elle est favorisée par la ménopause
4. Elle est favorisée par la prise chronique d’alcool
5. Elle voit sa prévalence augmenter avec la durée du diabète
QUESTION 35

Quels sont les objectifs de contrôle glycémique au cours du diabète gestationnel :

1. L’HbA1c doit être < 8%


2. La glycémie à jeun doit être < 0.90 g/l
3. La glycémie à jeun doit être > 0.60 g/l
4. La glycémie 2h après le repas doit être < 1.40 g/l
5. La glycémie 2h après le repas doit être < 1.20 g/l
QUESTION 36

Quels sont les éléments en faveur d’un diabète de type 1 :

1. Transmission familiale à chaque génération de type mendélienne


2. Association possible à une rétinopathie dès la découverte du diabète
3. Amaigrissement et soif à la découverte du diabète
4. Présence d’auto-anticorps circulants dirigés contre des antigènes de l’îlot de Langerhans pancréatique
5. Présence de corps cétoniques dans le sang et dans les urines
QUESTION 37

Concernant l’insuffisance surrénale primaire, cochez la (les) proposition(s) vraie(s) :

1. Elle s’accompagne de fatigue, amaigrissement, hypotension artérielle


2. Elle est caractérisée par une pâleur cutanéo-muqueuse même en l’absence d’anémie
3. Elle s’accompagne fréquemment d’une natriurèse augmentée lors de sa découverte
4. Elle peut s’accompagner d’une élévation de la glycémie en rapport avec la carence en cortisol
5. Elle peut s’accompagner d’une élévation de la kaliémie en rapport avec la carence en aldostérone
QUESTION 38
Concernant l’hypercortisolisme, cochez la (les) proposition(s) vraie(s) :
1. Il entraine généralement une prise de poids massive de 20 à 30 kg
2. Il provoque des anomalies cutanées à types d’ecchymoses et de vergetures typiquement larges et pourpres
3. Il peut entrainer un œdème des membres inférieurs
4. Il peut induire une hyperglycémie voire un diabète sucré
5. Il peut entrainer des douleurs articulaires
QUESTION 39

Concernant la gynécomastie , cochez la (les) proposition(s) vraie(s) :


1. Elle peut correspondre anatomiquement à une prolifération de tissu adipeux dans la région mammaire
2. Elle constitue à la palpation un tissu ferme, centré sur le mamelon, de localisation unilatérale ou bilatérale
3. Elle traduit un déséquilibre entre les concentrations circulantes d’estrogènes et d’androgènes
4. Elle peut être d’origine médicamenteuse
5. Elle peut être provoquée par un excès d’hormone de croissance qui stimule la glande mammaire
QUESTION 40

Monsieur P est hospitalisé dans un service de réanimation du CHU. Vous redoutez une coagulation intravasculaire disséminée. Quel bilan biologique
prescrivez-vous ?

1. Hémogramme
2. Temps de Quick
3. Fibrinogène
4. Facteur VIII
5. Monomères de fibrine
QUESTION 41

Une jeune femme de 12 ans se présente aux urgences pédiatriques pour une anémie suite à ses premières règles. Quels sont les éléments cliniques et
biologiques en faveur d’une maladie de Willebrand ?

1. Notion de transmission autosomique dominante


2. Allongement du temps d’occlusion plaquettaire
3. Déficit qualitatif en facteur Willebrand
4. Anomalie des fonctions plaquettaires
5. Symptomatologie cutanéo-muqueuse chez cette jeune femme
QUESTION 42

Vous devez interpréter le bilan suivant chez un homme de 78 ans. Multiples antécédents chirurgicaux sans complication hémorragique (prothèse de genou,
cholecystectomie, avulsions dentaires). Traitement non communiqué.
TCA : 45 secondes (Témoin : 25 secondes)

Taux de prothrombine : 100%.

Fibrinogène : 3g/L.

Quels sont les étiologies possibles ?

1. Hémophilie A
2. Hémophilie B
3. Anticoagulant circulant
4. Traitement par anti-vitamine K
5. Traitement par Héparine
QUESTION 43

Concernant les déficits en facteurs de coagulation, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) correcte(s) ?

1. les déficits multiples sont majoritairement d’origine génétique


2. le déficit en FVII allonge uniquement le TQ
3. une carence en vitamine K est associée à un allongement du TQ
4. un déficit en FVII peut être retrouvé en cas de carence en vitamine K
5. le déficit constitutionnel plus fréquent st le déficit en FVIII
QUESTION 44

Concernant les microangiopathies thrombotiques, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) correcte(s) ?

1. La thrombopénie est d’origine centrale


2. Bilan biologique avec LDH augmenté
3. Le test de Coombs direct est positif
4. Présence de schizocytes sur le frottis sanguin
5. Une myélogramme est nécessaire au diagnostic
QUESTION 45

Concernant le purpura vasculaire, quelle(s) est(sont) la(les) proposition(s) correcte(s) ?

1. Les lésions purpuriques sont infiltrées


2. L’évolution des lésions est fixe
3. Localisations préférentielles dans les zones déclives
4. L’aspect nécrotique est un signe de gravité
5. Etiologies infectieuses fréquentes
QUESTION 46

Quels examens peuvent être prescrits pour la recherche d’une thrombophilie familiale ?

1. Antithrombine
2. Protéine C
3. Protéine S
4. Recherche d’un anticoagulant circulant lupique
5. Mutation du Facteur V Leiden
QUESTION 47

Madame B, 26 ans, est enceinte au terme de 26 SA. Elle présente une thrombose de la veine iliaque gauche, confirmée par l’imagerie. Elle n’a pas d’antécédent
personnel ni familial. Quel(s) bilan(s) prescrivez-vous ?

1. Aucun examen biologique


2. Un dosage de Facteur VIII
3. Un dosage de D-Dimères
4. Un bilan de thombophilie héréditaire
5. Une recherche d'anticoagulant circulant lupique
QUESTION 48

Madame J, 78 ans, a présenté il y a 3 mois une embolie pulmonaire sans thrombose veineuse dans membres inférieurs retrouvée lors du diagnostic. Elle n’a
aucun antécédent personnel ou familial de maladie thromboembolique veineuse. Son frère vient de décéder d’un accident vasculaire cérébrale à l’âge de 85 ans.
Quelle(s) est(sont) la(les) conduite(s) à tenir ?

1. Réalisation d'un bilan de thrombophilie héréditaire


2. Prescription d'une recherche d'anticoagulant circulant lupique
3. Réalisation d'un bilan d'extension à la recherche d'une néoplasie
4. Réalisation d'une enquête familiale
5. Recueil d'un consentement pour réaliser des examens génétiques
QUESTION 49

Quelles situations peuvent fausser les résultats d’un bilan de thrombophilie ?

1. La grossesse
2. La prise d'Aspirine
3. Un traitement par Apixaban
4. Un alitement prolongé
5. Un cancer actif
QUESTION 50

Concernant la maladie de Willebrand, quelles sont les réponses correctes?

1. Il faut rechercher un déficit secondaire en Facteur VIII


2. Le type 3 est le phénotype biologique le plus fréquent
3. Le temps d'occlusion plaquettaire est un test de dépistage
4. Il s'agit d'une pathologie de l'hémostase primaire
5. Le taux de facteur Willebrand diminue avec le stress et l'inflammation
QUESTION 51
Une patiente de 22 ans, de phénotype Caucasien, vous consulte pour une fatigue d’installation progressive. L’examen clinique est normal hormis une
tachycardie à 91/min.

L’hémoglobine à 9.7 g/dl ; le VGM 77 fl ; des leucocytes à 6.6 G/l et une formule équilibrée ; un taux de plaquettes à 477 G/l.

Quelles sont les possibles étiologies aux anomalies de l’hémogramme ?

1. ménométrorragies abondantes et prolongées


2. drépanocytose
3. maladie de Biermer
4. thrombocytémie essentielle
5. déficit enzymatique en G6PD
QUESTION 52

Une femme de 72 ans vous est adressée pour une pancytopénie. L’hémoglobine est à 10 g/dl ; le VGM à 101 fl, les leucocytes 2.6 G/l, des neutrophiles à 0.5
G/l, et des plaquettes à 87 G/l. Les réticulocytes sont à 78 G/l

Elle a été traitée il y a 15 ans pour un adénocarcinome mammaire droite par taxotère, épirubicine et radiothérapie sur le sein droit. Son examen clinique est sans
particularités notable à savoir pas d’hépatosplénomégalie.

Quel examen complémentaire prescrivez-vous, en premier lieu, à visée diagnostic hématologique dans le contexte?

1. Un dosage des vitamines B12 et folates


2. une échographie mammaire droite
3. un myélogramme
4. une biospie osteomédullaire
5. une électrophorèse de l’hémoglobine
QUESTION 53

Une patiente de 40 ans consulte pour l’apparition brutale et spontanée d’un épistaxis et bulles hémorragiques intrabuccales. Elle n’a pas d’antécédent
particulier et ne prend aucun médicament.
L’examen clinique montre des ecchymoses au niveau des cuisses et taches purpuriques non infiltrées au niveau des jambes. Elle est apyrétique et en bon état
général

Le taux de plaquettes est à 12 G/l. L’hémoglobine est à 12.5 g/dl ; le VGM à 88 fl. Les leucocytes à 5.5 G/L avec une formule sanguine normale. Les
réticulocytes sontà 80 G/L.

Quels examens complémentaires prescrivez-vous ?

1. Temps de saignement
2. Sérologie hépatite C
3. Anticorps anti plaquettes
4. Sérologie HIV
5. Dosage pondéral des immunoglobulines
QUESTION 54

Un homme de 67 ans vous consulte pour une adénomégalies sus claviculaire droite de 4 cm, non douloureuse et de consistance pierreuse. Vous suspectez une
néoplasie profonde. Quelle(s) zone(s) anatomique(s), susceptible(s) d’être à l’origine de cette adénomégalies explorez-vous en premier ?

1. Abdomen
2. Pelvis
3. Paroi thoracique antérieure
4. Médiastin
5. Poumons
QUESTION 55

Une femme de 26 ans vous consulte pour un prurit diffus sur tout le corps apparu il y a 2 à 3 mois et résistant au traitement anti histaminique. L’examen
clinique montre la présence d’une adénomégalie jugulocarotidienne droite moyenne de 2 cm, axillaire droite de 3 cm et axillaire gauche de 2-3 cm. Les
adénomégalies sont fermes, mobiles et non douloureuse. Il n y a pas de splénomégalie. Elle se plaint de sueurs nocturnes abondantes et a perdu 6 kg en 4 mois
d’une manière involontaire. et n’a pas d’antécédents particuliers.

L’hémogramme montre une hyperéosinophilie à 0.7 G/l confirmée à 2 reprises.

Quel examen complémentaire à visée diagnostique, prescrivez-vous ?


1. Dosage des IgE
2. Biopsie ganglionnaire
3. Biopsie de la moelle osseuse
4. Anticorps anti nucléaires solubles
5. Sérologies parasitaires
QUESTION 56

Monsieur P., âgé de 72 ans, vient vous consulter pour fatigue ancienne mais d’aggravation récente avec quelques troubles de l’équilibre et des douleurs
articulaires. La langue est rouge, dépaillée. Il n y a pas d’hépatomégalie, de splénomégalie ni de circulation collatérale.

L’hémogramme montre : hémoglobine : 9 gr/dl ; VGM : 112 fl ; Leucocytes : 8.1 giga/L ; Polynucléaires neutrophiles : 5.8 G/L ; éosinophiles : 0.05 G/L ;
Basophiles : 0.03 G/L ; Lymphocytes : 1.5 G/L ; monocytes : 0.6 G/L.

Parmi les signes cliniques suivants, le(les) quel(s) peuvent être des signes d’anémie ?
1. fatigue
2. douleurs articulaires
3. troubles de l’équilibre
4. langue dépapillée
5. hypertension artérielle
QUESTION 57

Vous êtes consulté pour un patient de 74 ans ; Il est fatigué et présentant une dyspnée à l’effort et malaise.

Dans ses antécédents on note, un alcoolisme chronique, une hypertension artérielle traitée, une gastrectomie partielle fundique il y a plusieurs années et un
cancer de la prostate traité par radiothérapie il y a plusieurs années. Son traitement comporte du Simvastatine, Olmetec et Tramadol.

Son hémoglobine est à 8,7 g/dl ; VGM 108 fl, réticulocytes 68 G/l ; plaquettes 110 G/l. Les leucocytes à 3.2 G/l, polyneutrophiles 1.2 G/l, éosinophiles 0.3 G/l,
lymphocytes 1.3 G/l, monocytes 0.4 G/l.

Parmi les hypothèses diagnostiques suivantes, lesquelles sont à évoquer chez ce patient ?

1. microangiopathie thrombotique
2. anémie hémolytique et thrombopénie autoimmune
3. carence martiale
4. carence vitaminique
5. syndrome myélodysplasique
QUESTION 58

Vous recevez un patient de 62 ans pour avis devant une thrombopénie à 85 G/l, vérifiée sur un tube citraté, découverte devant un état de fatigue. Il n’a
pas d’antécédents particuliers connus hormis des épigastralgies régulières et la prise d’anti inflammatoires non stéroïdiens pour douleurs musculaires.
Il travaille dans le bâtiment et père de 2 enfants

Il est en bon état général. Le poids est 67 kgs, stable. Vous notez, à l’examen abdominal, la présence en hypochondre gauche, d'une masse superficielle, mobile
à l'inspiration profonde et indolore.

Le reste de l’hémogramme montre une hémoglobine à 14 g/dl, un VGM à 88 fl ; des leucocytes à 6.8 G/l et une formule équilibrée.

Quelle (s) hypothèse(s) diagnostique(s) évoquez-vous devant ce tableau ?

1. Leucémie aiguë
2. Syndrome myélodysplasique
3. Hypersplénisme
4. Adénocarcinome rénal avec métastase médullaire
5. Adénocarcinome de la queue du pancréas
QUESTION 59

Monsieur J. FE., vous consulte pour une hémoglobine à 18,5 g/dl documentée sur plusieurs hémogrammes depuis 6 mois et une hématocrite à 59%

Il a 68 ans, se plaint de fatigue, de céphalées régulières, d’acouphènes récentes, et troubles de la vue. Il rapporte aussi une notion « d’allergie à l’eau » (prurit).
Il est traité pour une HTA et une hyperuricémie de découverte récente.

Le reste des examens biologiques montre un VGM à 77 fl ; des plaquettes à 526 G/l ; des leucocytes à 10 G/l et une formule normale et équilibrée.

Quelles sont, parmi les propositions suivantes, celles qui sont compatibles avec le diagnostic de maladie de Vaquez devant ce tableau ?
1. La splénomégalie
2. Le taux de plaquettes
3. Les acouphènes
4. Le taux de leucocytes
5. Le prurit à l’eau
QUESTION 60

Un patient de 42 ans se présente aux urgences pour épistaxis, ecchymoses diffuses et fatigue. Il est pâle. L’examen clinique ne montre pas de syndrome
tumoral.

L’hémogramme montre un taux de plaquettes à 10 G/l ; hémoglobine 9 gr/l, polyneutrophiles 0.8 G/l, lymphocytes 1.2 G/l. le myélogramme montre la présence
de plus de 20% de blastes avec des corps d’Auer. Le TP est à 90%, le fibrinogène à 1 g/l ; D-dimères et complexes solubles sont positifs

Parmi les propositions suivantes, lesquels sont justes ?

1. La leucémie aigüe lymphoblastique est très probable


2. Le traitement par acide-tout-trans-rétinoïque est un traitement à débuter en urgence
3. la translocation t(9;22) au caryotype est caractéristique de ce tableau
4. la coagulation intravasculaire disséminée est habituelle dans cette maladie
5. La corticothérapie initiale est un des traitements très actif dans cette maladie
QUESTION 61

Patient de 78 ans vous ai adressé pour fatigue et gêne abdominale. Il présente une hépatomégalie de 17 cm, une splénomégalie de 15 cm, des adénomégalies
profondes lombo-aortique de 3-4 cm. Hémoglobine 13,2 g/dl, plaquettes 231 G/l ; leucocytes 48 G/l, lymphocytes 42G/l, neutrophiles 5 G/l, monocytes 1.4 G/l.

Il a une HTA contrôlée, diabète non insulinodépendant

Quelles sont vos hypothèses diagnostiques

1. Infection bactérienne
2. Lymphome avec phase leucémique
3. Leucémie lymphoïde chronique
4. Leucémie aigüe lymphoblastique
5. Leucémie myéloïde chronique
QUESTION 62

Concernant les syndromes myélodysplasiques, quel(les) est(sont) la(les) propositions(s) exacte(s) :

1. L’anémie est souvent microcytaire


2. On retrouve toujours une pancytopénie
3. De l’érythropoiètine (EPO) peut être utilisée en cas de neutropénie
4. Le caryotype est indispensable pour le pronostic des syndromes myélodysplasiques
5. La réalisation d’un myélogramme n’est pas utile pour le diagnostic
QUESTION 63

Quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) à propos de la numération formule sanguine ?

1. L’hyperlymphocytose est définie par un taux de lymphocytes >40%


2. Les valeurs normales de l’hémogramme sont identiques selon le sexe
3. Les nouveaux nés ont une polyglobulie physiologique
4. L’anémie est définie sur un taux d’érythrocyte inférieur à la normale
5. La CCMH est caractérisé par le volume occupé par les globules rouges dans une quantité de sang connu
QUESTION 64

Ernest, âgé de 63 ans vous ai adressé à la consultation pour douleurs osseuses et un pic monoclonal à l’électrophorèse de protides sériques. Dans ses
antécédents on note, une HTA traitée.

Il se plaint de douleurs lombaire basses anciennes mais d’exacerbation récente. L’hémogramme est normal. La Calcémie est à 2,35 mmol/l, créatininémie à 80
micromol/l,

L’examen clinique note une douleurs provoquée au niveau lombaire avec irradiation de type L5/S1.

Quels examens complémentaires sont utiles pour étayer votre diagnostique ?

1. Myélogramme
2. Biopsie ostéomédullaire
3. Scanner osseux
4. Bandelette urinaire
5. Immunofixation des protéines sériques
QUESTION 65

Un patient de 70 ans en bon état général, vous consulte pour un pic monoclonal IgG lambda. Il ne présente aucune symptomatologie clinique. L’examen
clinique ne montre pas d’organomégalie ni d’adénomégalies.

Quelles sont parmi les pathologies suivantes celles qui vous évoquez devant une gammapathie monoclonale ?

1. Myélome multiple
2. Lymphome
3. Gammapathie monoclonale de signification indéterminée
4. Myélofibrose
5. Leucémie aiguë
QUESTION 66

Patient de 67 ans ayant comme antécédents un alcoolisme chronique, un foie dysmorphique et une splénomégalie de 18 cm vous ai adressé pour avis devant un
taux de plaquettes à 76 G/l . il se plaint d’hémorroïdes d’apparition récente. L’hémogramme montre une hémoglobine à 10,5 g/dl, un VGM à 77 fl, la CRP est 3
mg/l.

Parmi les propositions suivantes, laquelle est la première hypothèse à évoquer pour expliquer la thrombopénie de ce patient?

1. Hypersplénisme
2. Carence martiale
3. Thalassémie hétérozygote
4. Thrombopénie immunologique
5. Syndrome myélodysplasique
QUESTION 67

Concernant la leucémie myéloïde chronique quelle(s) est(sont) la(les) réponse(s) exacte(s)

1. On peut observer une augmentation du nombre de plaquettes


2. On peut observer une hyperuricémie
3. La mutation du gène JAK2 est caractéristique de la leucémie myéloïde chronique
4. Le traitement de référence repose sur de la chimiothérapie
5. L’étude cytogénétique est obligatoire pour faire un diagnostic
QUESTION 68

Patient de 67 ans est adressé en consultation pour avis devant une thrombocytose.

Dans ces antécédents, on note un accident ischémique cérébral transitoire, une phlébite de la veine saphène interne droite il y a 10 ans et une splénectomie post
traumatique il y a 15 ans.

Au décours d’une ostéosynthèse chirurgicale pour fracture fémorale droite et une infection ostéoarticulaire, l’hémogramme a montré

une hémoglobine 12,4 g/dl ; VGM 87 fl ; leucocytes 12 G/l ; neutrophiles 8.2 G/l, lymphocytes 2.4 G/l, monocytes 1,2 G/l, éosinophiles 0.2 G/l et des
plaquettes à 760 G/l. Le coefficient de saturation de la transferrine est abaissé à 10% et la transferrine plasmatique est normale.

Quel(s) diagnostics évoquez-vous devant ce tableau et dans ce contexte ?

1. Syndrome inflammatoire
2. Thrombocytémie essentielle
3. Leucémie myéloïde chronique
4. Splénectomie
5. Carence martiale
QUESTION 69

Quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) concernant l’hémogramme ci-dessous d’un homme de 53 ans ?

Hémoglobine : 13 G/L, VGM : 86fL, Plaquettes : 679 G/L

Leucocytes 98 G/L dont polynucléaires neutrophiles 68%, polynucléaires éosinophiles 3%, polynucléaires basophiles 7%, lymphocytes 2%, monocytes
5%, myéloblastes 3%, promyélocytes 3%, myélocytes 7%, métamyélocytes 2%

1. Une leucémie aigüe myéloïde


2. Une leucémie lymphoïde chronique
3. Une carence martiale
4. Une thrombocytémie essentielle
5. Une leucémie myéloïde chronique
QUESTION 70

Parmi les pathologies suivantes, lesquelles peuvent être associées à un syndrome mononucléosique

1. Primo-infection à CMV
2. Primo-infection par le VIH
3. Hépatites virales B
4. Leucémie aiguës
5. Hémolyse auto-immune
QUESTION 71

Parmi les propositions suivantes concernant les troubles du comportement alimentaire de l'adolescent, lesquelles sont exactes?

1. L'anorexie mentale touche deux fois plus les filles que les garçons à l'adolescence
2. Dans l'anorexie mentale typique, aucun examen complémentaire n'est nécessaire
3. Il n'y a pas de comportements compensatoires inappropriés dans l'hyperphagie boulimique
4. L'estime de soi est influencée de manière excessive par le poids et la forme corporelle dans la boulimie
5. La dysmorphophobie est la phobie de prendre des formes corporelles (souvent ventre et cuisses)
QUESTION 72

Quels sont les signes paracliniques du syndrome de renutrition inapproprié?

1. hypokaliémie
2. hypoglycémie
3. hypomagnésémie
4. hyperkaliémie
5. hypophosphorémie

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