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CHU Bab-El-Oued Alger Le, 28/05/ 2012

Service de Médecine Interne


Chef de service Pr. A. BERRAH

Réponses :

1) Quel diagnostic proposez –vous ?


Phéochromocytome
2) Sur quels arguments ?
Malaises(2) paros cystiques (2) avec une hypertension artérielle(2)
Paroscystique (2) associée à la triade clinique de fontant : céphalées, sueurs,
palpitations.
3) quel bilan complémentaire faites-vous à visée diagnostique positif ?
-le dosage urinaire (1) des dérives de l’adrénalur (2), dérivés métanéphrines(1)
normétanéphrines sur les urines des 03 heures (1)suivant le malaise(1) est
l’examen le plus sensible(1) → 8 si celui –ci est impossible, on réalisera un
recueil urinaire des 24 heures (1) 03 jours de suite(1) avec dosage des 24
heures(1) des dérivés urinaires(1) métanéphrines(1) et normétanéphrines trois
jours de suite(1).

4) quel bilan complémentaire à visée pré thérapie? Qu’en attendez- vous ?


-les examens pré thérapeutique, sont les examens à visée de localisation du
Phéoclumocytome (2).
- Imagerie par résonnance magnétique nucléaire surrénalienne(1) avec injection
de Gadolinium(1) en l’absence de contre-indication à l’examen(1) qui montrera
une masse surrénalienne (1) hyper vascularisée (1), hyper signal en T2(1), avec
prise de contraste caractéristique, centripète(0,5)
- scintigraphie au MIBG(2) corps entier(1)
• car 10% des phéochromocytomes sont multiples.
• 10% sont extra surrénaliens
• 10% sont bilatéranse

- scanner surrénalien(2) sans et avec injection en l’absence de contre-


indication (1) pour chercher un envahissement loco-régional (0,5)
• Car 10% des phéochromocytomes sont malins
• Déterminer précisément les rapports anatomiques avant chirurgie.
5) quel sera votre traitement ?
• traitement chirurgical curatif (4) exérèse de la tumeur (2) sans anesthésie
générale (1)
• par une équipe comprenant un chirurgien entraîné (2) et un anesthésiste
entraîné→4
• après repérage de la tumeur (1) par l’imagerie(1) et détermination de ses
rapports anatomiques.
• Après équilibration tensionnels(4) par alpha et bêtabloquants(2)
Labétalol….6

Commentaire :
Il s’agit d’un geste chirurgical délicat, et le malade s’il est insuffisamment préparé
peut faire une HTA maligne sur la table.
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 28/05/ 2012

Service de Médecine Interne


Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr.HAMADENE

Madame A., 43ans a été retrouvée sans connaissance dans un grand magasin
où elle faisait des courses. Les pompiers vous disent l’avoir retrouvée en
sueurs, il lui ont donné de l’eau sucrée et le malaise a cédé, or à l’anamnèse la
patiente n’est pas diabétique, la glycémie capillaire est à 4,5mmol/l.
Dans ses antécédents vous trouvez des malaises identiques à celui-ci, avec de
plus des céphalées et des palpitations. Lors d’un malaise la pression artérielle a
été mesurée à 220/130mmHg, avec pression artérielle à 130/70mmHg après le
malaise.

Questions :

1) Quel diagnostic proposez-vous ?


2) Sur quels arguments ?
3) Quel bilan complémentaire faites-vous à visée diagnostic positif ?
4) Quel bilan complémentaire à visée pré thérapeutique ? qu’en attendez-vous ?
5) Quel sera votre traitement ?
6) Quelle sera votre conduite diagnostique et thérapeutique si les malaises persistant
après traitement radial ?
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 30/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

8) Quel est le diagnostic étiologique le plus probable ?


• Cancer brochopulmonaire
• Devant :
- Terrain : âge, tabagisme à 60 paquets années
- Anamnèse : évolution sur quelques semaines
- Clinique : hippocratisme digital
- Paracliniques : glomérulonéphrite extra membraneuse, masse pulmonaire hilaire droite à la
radiographie
- Argument de fréquence

9) le patient est toujours hospitalisé 48 heures après sa ponction biopsie rénale droite.
II présente brutalement une douleur lombaire droite
Quelles sont les deux étiologies principales à évoquer ?
• Hématome de la loge rénale droite (poste-PBR) ou hémorragie intra-calicielle droite compliquée
d’un caillotage urétérale et d’une dilatation des cavités pyélocalicielles
• Thrombose de la veine rénale droite
• CHU Bab-El-Oued Alger Le, 30/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

5) Quel bilan réalisez-vous ?


• Biologie :
- NFS, ionogramme, urée, créatininemie, VS, CRP
- Bilan lipidique (dyslipidémie secondaire au syndrome néphrotique ?)
- Electrophorèse des protéines sérique (gammapathie monoclonale)
- Glycémie à jeun (diabète ?)
- Bilan immunologique : anticorps anti nucléaires, anti DNA natifs, anti ECT, complément
(lupus ?)
- Sérologie hépatique B et hépatite C et HIV
- Hémocultures
- Bilan pré-biopsie rénale : groupe sanguin rhésus RAI, TP,
- TCA fibrinogène, ECBU
• Imagerie
- Echographie rénale (avant ponction biopsie rénale)
- Radiographie thoracique
• ECG
• Ponction biopsie rénale

6) La ponction biopsie rénale retrouve un épaississement spiculé de la membrane basale glomérulaire


avec des dépôts d’IgG et de C3 sous les podocytes (versant externe ou extramembraneux de la
MBG).Quel est votre diagnostic ?
• Glomérulonéphrite extra-membraneuse

7) Quelle en sont les étiologies possibles ?


• Idiopathique
• Tumoral (surtout si âge › 50 ans) : cancer du poumon, colique, du rein, mélanome, ovaires,
lymphome…
• Inflammatoire : lupus (surtout si femme jeune), sarcoïdose, Gougerot –Sjogren
• Infectieux : VIH, hépatite B, syphilis, lèpre, filariose
• Latrogène / médicamenteuse : AINS, D pénicillamine, sels d’or, Captopril.
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 30/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

2) Quel est votre diagnostic syndromique ?


• Syndrome néphrotique
- Protéinurie › 3g/j
- Protidémie ‹ 60g/l
- Albuminémie ‹ 30g/l
• Pur
- Absence d’hypertension artérielle
- Absence d’insuffisance rénale
- Absence d’hématurie macroscopique (Hématurie ici ‹ 1.105ml)
- Protéinurie sélective

3) Quelles en sont les complications ?


• Insuffisance rénale aiguë (fonctionnelle, nécrose tubulaire aiguë ou thrombose de la veine rénale)
• Insuffisance rénale chronique (néphrotoxicité de la protéinurie, atteinte rénale liée à l’HTA et liée à la
néphropathie responsable du syndrome néphrotique)
• Thrombose (fuite d’antithrombine 3)
• Infection (perte d’immunoglobulines) : risque avec les germes encapsulés : pneumocoques, hémophilus,
klebsielle
• Hyperlipidémie : hypercholestérolémie (augmentation de la production des VLDL et LDL et baisse de
leur catabolisme)
• Hypertension artérielle
• Dénutrition (par fuite protéique)
• Surdosage médicamenteux (par baisse de l’albumine sérique donc augmentation de la fraction libre des
médicaments)

4) Quelles sont les causes possibles de ce syndrome ?


• Syndrome néphrotique primitif
- Glomérulonéphrite extra-membraneuse (GEM)
- Glomérulonéphrite à lésions glomérulaires minimes(LGM)
- Hyalinose segmentaire et focale (HSF)
• Syndrome néphrotique secondaire :
- Diabète
- Amylose
- Lupus
- Infection virales (VHB, VHC, VIH) ou endocardite
- Tumeurs (cancer bronchique)
• CHU Bab-El-Oued Alger Le, 30/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

Corrigé :
Première lecture :

• Difficulté du dossier : 2/3


- Dossier très axé « orientation diagnostique » afin de poser un diagnostic précis chez un patient :
dossier assez court mais nécessitant de bien connaître son cours pour ne pas passer à côté de points
importants !
- A classer en 2éme position parmi les trois dossiers de l’épreuves
• Mots clés inscrire sur le brouillon :
- Arrêt du tabac
- Œdèmes : vérifier le cœur, le rein, le foie, la nutrition
- Syndrome néphrotique : anticoagulation, bilan lipidique, risque infectieux.

Grille de correction

Quelles sont les étiologies à évoquer devant des œdèmes des membres inférieurs ?

• Œdèmes localisés
- Obstacle veineux : thrombose veineuse, varices
- Obstacle lymphatique : envahissement tumoral ganglionnaire,
lymphoedème primitif, parasitose (filariose)
- Pathologie inflammatoire : érysipèle, algodystrophie, piqûre d’insecte, traumatisme, allergie
- latrogène : inhibiteurs calciques
• Œdèmes généralisés :
- Cause cardiaque
o Insuffisance cardiaque droite
o Insuffisance cardiaque globale
- Cause rénale
o Insuffisance rénale aigue ou chronique (avec apports sodés non adaptés)
o Syndrome néphrotique
o Syndrome néphrétique
- Cause hépatique : cirrhose, insuffisance hépatique
- Dénutrition
- Autres :
o Œdèmes cycliques idiopathiques (de la femme en période d’activité génitale : prise de
poids rapide en 1 ou 2 jours de 1 à 2Kg, avec oligurie, liés au cycle menstruel)
o Pré-éclampsie :
o Choc septique (trouble de la perméabilité capillaire)
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 30/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr. D. ZEMMOUR

Monsieur Z, 59ans, vous consulte car il présente depuis environ 10 semaines des œdèmes des membres
inférieurs.

A l’interrogatoire, vous ne retrouvez aucun antécédent particulier. Cependant, le patient est tabagique à
près de 60 paquets années, non sevré. Il ne boit pas d’alcool.

A l’examen physique :
TA : 12/7, FC : 75/min, Taille 1m68, poids 76Kg (+3Kg sur les deux derniers mois). Présences d’œdèmes
des membres inférieurs, bilatéraux, symétriques, blancs, mous, indolores, prenant le godet. Vous ne
retrouvez aucun signe d’insuffisance cardiaque, les bruits du cœur sont réguliers sans souffle. La
palpation abdominale est normale, vous ne retrouvez pas d’hépato splénomégalie.

Un bilan biologique retrouve :


Hb:13,5g/dl, plaquettes : 185.000mm3, leucocytes : 8.000/mm3, créatininemie 75 micromole /l, urée :
7mmol/l, protidémie 50g/l, albuminémie 18g/l, protéinurie 4g/24h. L’ECBU retrouve 5 hématies/mm3 5
leucocytes /mm3. Une électrophorèse des protides urinaires retrouve une protéinurie de type sélective.

1/ Quelles sont les étiologies à évoquer devant les œdèmes des membres inférieurs ?

2/ Quel est votre diagnostic syndromique ?

3/Quelles en sont les complications ?

4/Quelles sont les causes possibles de ce syndrome ?

5/Quel bilan réalisez vous ?

6/ la ponction biopsie rénale retrouve un épaississement spiculé de la membrane basale glomérulaire


avec des dépôts d’igG et de C3 sous les podocytes (versant externe ou
extramembraneux de la MBG). Quel est votre diagnostic ?

7/ Quelles en sont les étiologies possibles ?

8/ le patient est toujours hospitalisé 48 heures après sa ponction biopsie rénale droit.
II présente brutalement une douleur lombaire droite. Quelles sont les deux étiologies principales à
évoquer ?
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 30/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr. D. ZEMMOUR( non fait)

Madame D.M. 28ans, vient consulter son médecin traitant pour


l’aggravation progressive sur 3 jours d’une douleur maxillaire bilatérale,
apparue brutalement, prédominant le long des branches montantes de la
mandibule. elle rapporte une asthénie inhabituelle évoluant depuis un
mois, un amaigrissement de 3 Kg environ ( pour un poids de base de
58Kg, une taille de 1,65m) ll n’y a pas d’autre plainte ou symptôme
associé , mais la patiente vous signale que son visage s’est modifié en trois
jours « pour prendre la forme d’une poire » la température est à 37,2C°
et elle n’a pas constaté de fièvre à son domicile.

Madame D. est mère d’une fille de 1 an. La grossesse et l’accouchement


s’étaient déroulés normalement. II y a 6mois elle a eu une IVG à 7
semaines d’aménorrhée non compliquée. II n’y a pas d’autre antécédent
médical ou chirurgical. La patiente est fille unique, ses parents âgés de
60ans et 62ans sont en bonne santé. Elle ne prend aucun médicament, elle
n’est pas sous contraception orale et elle ne fume pas.

A l’examen clinique: vous notez une tuméfaction bilatérale et symétrique,


régulière dure, douloureuse, de 3cm sur 8 localisée sur les deux branches
montantes de la mandibule, elle est discrètement mobilisable par rapport
au plan profond, n’infiltre pas tissu sous-cutané. II y a une limitation
douloureuse et modérée de l’ouverture buccale qui n’est pas accentuée
par la mastication. Lors du massage de la parotide, il n’ya pas d’issue de
pus à l’orifice du canal de Stenon. Par ailleurs, l’examen clinique
notamment cardiovasculaire, pulmonaire, digestif, et neurologique est sans
particularité. Vous retrouvez deux petites adénopathies sous
mandibulaires, de 1cm de diamètre, indolores, dure, mobiles par apport
aux plans profonds et superficiels. Les autres aires ganglionnaires sont
libres, la thyroïde n’est pas palpable.
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 02/04/ 2012
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr.HAMADENE

Monsieur L âgé de 83ans, se présente à votre consultation pour augmentation du périmètre abdominal et
OMI. A l’interrogatoire, il déclare se sentir fatigué depuis plusieurs mois, il manque d’appétit et a des
difficultés à maintenir son activité de jardinage car il se sent rapidement essoufflé.
Sa femme explique qu’il est de plus en plus dépendant, elle l’habille, l’aide à faire sa toilette …..
« par contre ce qui est rassurant, il n’a pas perdu de poids, au contraire !)

Principaux : antécédents :
• Occlusion de l’artère centrale de la rétine suite à la quelle il est sous Aspégic
• Adénome de la prostate

A l’examen on retrouve/
• Un syndrome œdémateux, avec des OMI remontant jusqu’aux lombes, une ascite et une
dyspnée de repos
• L’auscultation pulmonaire montre des crépitants bilatéraux des deux bases.
• TA : 115/58 poids : 74Kgs pouls : 81/’ SPO2 : 95%
Il existe une hypotension orthostatique.

L’examen abdominal vous fait suspecter une hépatomégalie.

Il n’ya pas d’angiomes stellaires, ni d’hippocratisme digital.


il n’ya pas d’hypertrophie parotidienne mais les bords de sa langue sont marqués par l’empreinte de ses
dents.

1) Quelles sont les principales étiologies à évoquer devant ce tableau clinique ?


2) Quels examens de première intention vous semblent nécessaires ? lequel est disponible à la
consultation ?
…………………………………………………………………………………………………………..

Deuxième partie :
L’échographie abdominale mis en évidence une hépato splénomégalie.

Résultats du bilan :
• Créatininemie : 18mg/l
• Protéinurie : 3,63g/24h
• Absence d’hématurie ou de leucocytaire
• Albumine : 18,5g/l
• Bilan hépatique montre une choléstase anictérique
• TP : 75%
• Echographie rénale : absence d’obstacle sur les vois urinaires, rein symétrique de grande taille.

3) De quel type d’atteinte rénale s’agit-il ?


Troisième partie :

Le patient est gardé en hospitalisation pour bilan, voici les résultats :


• Electrophores des protides sériques : pic en gamma globuline avec élévation des Alpha2
globulines.
• Immunoélectrophorèse plasmatique pic monoclonal IgG lambda.
• Electrophores des protéines urinaires : protéinurie composée majoritairement d’albumine,
présence d’une protéinurie de Bence Jones.
• Sérologies HBV, HCV, HIV : négatives
• Cryoglobuline : négative.
• Myélogramme : plasmocytose médullaire à 12%

4) – Quelles maladie suspectez-vous ? (justifier) comment en faire l diagnostic ?


Quelle mesure devez-vous impérativement prendre avant de faire la PBR,
Existe-t-il d’autres moyens de confirmer le diagnostic ?

5) quels sont les principes du traitement ? y-a-t-il des mesures à y associer ?


Correction du cas clinque :
Première partie :
1) Quelles sont les principales étiologique à évoquer devant ce tableau clinique ?
1- Insuffisance cardiaque
2- Décompensation oedemato-ascitique d’une cirrhose
3- Syndrome néphrotique et néphropathies glomérulaires
4- Insuffisance rénale aigue ou chronique (évoluée)
5- Hypoalbuminémie due à une fuite protéique (entéropathie exsudative, infection chronique hyper
catabolisme…) ou dénutrition
2) quels examens de première intention vous semblent nécessaires ?lequel est disponible à la consultation.
- Radio pulmonaire
- Cœur : ECG, ETT
- Foie : bilan hépatique, TP plus facteurs 5, électrophorèse des protides sériques.
- Rein : NEFU, protéinurie des 24h,
- Créatinémie et albuminémie.
………………………………………………………………………………………………………….

Deuxième partie :
3) De quel type d’atteinte rénale s’agit-il
- Atteinte glomérulaire
- Syndrome néphrotique impur
• Albuminémie ‹ 30g/l
• Proteinurie › 3g/24
• Insuffisance rénale
Par contre pas d’HTA, ni d’hématurie.

…………………………………………………………………………………………………………..

Troisième partie :
4) 1- Quelle maladie suspectez-vous ? (justifier)
Comment en faire le diagnostic ?
2- Quelle mesure devez-vous impérativement prendre avant de faire de PBR ?
Existe –t-il d’autres moyens de confirmer le diagnostic ?

- Néphropathie amyloïde dans le cadre de l’amylose de type AL


- Syndrome néphrotique (protéinurie faite d’albumine et non de chaines légères) sans hématurie
- Insuffisance rénale
- Augmentation de la taille des reins
- Gammapathie monoclonale
- Organomégalie :HPM-SPM- macroglossie
- Hypotension orthostatique

2) PBR après élimination des contre-indications


Résultats obtenu : dépôts amyloïdes mis en évidence dans les glomérules, prenant la coloration par
le rouge Congo.

3) Arrêt Aspégic
4) biopsie des glandes salivaires accessoires, biopsie de la peau, biopsie de la muqueuse sous-rectale
5) 1) quels sont les principes de traitement ?
2) ya-t-il des mesures a y associer ?

1) Traitement de la cause ( myélome) : chimiothérapie dexaméthasone plus Alkeran.


Traitement symptomatique de la surcharge hydrosodée : diurétiques de l’anse (les autres sont CI par
l’I.R)
- Syndrome néphrotique ; abaisser la protéinurie en introduisant un IEC( objectif de protéinurie‹ 1g/24h
Prise en charge de l’hypotension orthostatique bas de contention

2) Hypoalbuminémie : ‹20g/l : anti coagulation


- Règles hygiéno-diététique : régime sans sels(4g/j), apports protidiques
- Surveillance de l’efficacité et de la tolérance du traitement.

-
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 29/12/ 2011
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr.LASSOUAOUI

Une femme de72ans est adressée en consultation pour fièvre oscillante à 38,5°C évaluant depuis un mois et une
toux sèche survenant volontiers par quintes. Ses antécédents personnels sont une cholécystectomie pour lithiase il
ya 5 ans et une hypertension artérielle essentielle traitée par Ramipril (TRIATEC®) 1,25mg/j depuis 2ans. Elle a
des antécédents familiaux de diabète non insulinodépendant et d’hypertension artérielle chez son père et sa mère.
Elle n’a jamais fumé.
Elle a maigri de 3 Kg en 15j (poids 58Kg pour 1,65m) l’examen clinique ne retient que l’abolition du pouls radial
droit et la perception d’un souffle artériel sous-clavier droit. les autres pouls périphériques sont présents et il y’a
pas de souffle sur les autres axes artériels.
L’auscultation pulmonaire est normale. Les aires ganglionnaires sont libres, il n’y a pas d’organomégalie.
Son médecin traitant a effectué le bilan suivant.
- hémoglobine à 8,9g/dl (N : 12-15), VGM à 79fl (80-95),
- Leucocytes à9700/mm3 (Nl : 4.10 000), polynucléaires neutrophiles à 7 200/mm3, éosinophiles à
368/mm3, plaquettes à 450 000/mm3 (N : 150.450 000).
- VS à80mm à la première heure, CRP : 150mg/l, fibrinogène à9g/l.
- Créatinine à 72μ mo/l, glycémie à5, 7mmol/l (4,1- 6,2).
- ASAT : 23 UI/l (N‹ 38), ALAT : 25 UI/l ( N‹41),gamma GT :83UI/l
(N ‹ 50), phosphatases alcalines : 131 UI/l (Nl‹120), bilirubine totale : 11μg/l (N‹18), absence de
dyslipidémie.
Les urines sont stériles. L’IDR est mesurée à 5 mm mais la radiographie pulmonaire montre les séquelles d’une
tuberculose survenue à l’âge de 15ans, et qui a été traitée pendant 03 mois par streptomycine seule. La radiologie
des sinus est normale.

Question N°1) Comment qualifieriez –vous cette fièvre et quel en sont les différents cadres étiologiques ?

Question N°2) Le tableau clinique vous évoque-il une étiologie particulière ?


Quels examens demandez-vous et à la recherche de quelles anomalies ?

Question N° 3) Quelles sont chez cette patiente les explications possibles à la toux ?
Quel test thérapeutique pouvez-vous faire pour en éliminer une.

Question N°4) Quel traitement allez-vous débuter et à quelle posologie ?

Question N°5) Une semaine après le début du traitement, la patiente présente une cécité de l’œil droit.

Quelles est votre attitude pratique ?

Après 15 jours de traitement bien suivi, la toux, la fièvre disparu et la cécité de l’œil droit persiste.
L’amaigrissement s’est amplifié avec une perte supplémentaire de 3kg alors que paradoxalement l’appétit s’est
amélioré. Elle dit boire et uriner fréquemment.

Question N°6) Quelles complication suspectez-vous et quel traitement allez-vous mettre en route ?
06 semaines après le début du traitement apparaissent des douleurs puis une éruption érythématovésiculeuse
intéressant la région cervicale droit, le moignon de l’épaule droit et s’étendant jusqu’au sein droit.

Question N°7) Quel diagnostic évoquez-vous ? Quel traitement mettez-vous en place ?


CHU Bab-El-Oued Alger Le, 21/11/ 2011
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr ZEMMOUR

Un homme de 32ans, se présente aux urgences de l’hôpital en début de soirée. Il se plaint, depuis
quelques jours d’un œdème atteignant l’ensemble de la face, ayant initialement débuté par un simple
gonflement des deux paupières.
Cet œdème s’associe depuis ce matin, à des douleurs cervicales diffuses et à une céphalée tenace rebelle
au paracétamol.
A l’interrogatoire, le patient explique être asthénique depuis presque un mois, il a perdu l’appétit et il est
passé de 70kg (Taille=180cm) à 60kg, il a de plus en plus de mal à maintenir son activité professionnelle
dans une grande entreprise, ce qui l’inquiète beaucoup.
Par ailleurs, il décrit un prurit depuis deux semaines, pour lequel il applique des crèmes émollientes sans
succès.
Il fume un paquet de cigarettes par jour depuis l’âge de 17ans.il n’ya pas d’autre antécédents médicale ou
chirurgical, personnel ou familial.
Le patient vit seul, célibataire et n’a voyagé qu’aux Etats-Unis au cours de l’année écoulée.
à l’examen clinique.
TA : 125/75 pouls : 90/’ T° :37,3C° Sa02 :98%

• Œdème cervicale manifeste associé à des jugulaires turgescentes


• Comblement bilatéral des creux sus-claviculaires
• Auscultation pulmonaire: discret Wheezing
• Poly ADP sous mandibulo-jugulo-carotidiennes de 1cm de diamètre en moyenne, indolores,
fermes. les creux inguinaux sont libres
• Pas d’HPM-SPM
• Des lésions de prurigo impétiginisées sur le tronc et les deux membres supérieurs.

Le reste de l’examen et sans particularité


L’examen neurologique est normal.

Question N° :1
A quoi correspond le syndrome cervical décrit par le patient ?
Sur quels arguments ?
Quel(s) élément(s) manque(nt) il pour que ce syndrome soit complet ?

Question N° :2
Devant le tableau clinique présenté par le malade, quelles sont les principales hypothèses étiologiques
que vous devez évoquer à ce stade ?
Donnez les éléments en faveur de chacune d’entre elle ?

Question N°3
Quel bilan para clinique prescrivez-vous en urgence et en dehors de l’urgence ?
Dans quels buts ?
Question N°4
Une partie des résultats des examens réalisés revient comme suit :
• NFS : Hb =9,4g/dl
VGM :71µ3
GB : 8000/mm3 75% PNN
Plaquettes : 245000/mm3 frottis normal

• Ionogramme sanguin : Na: 139mEq/l


K : 4mEq /l
Cl 100m mol/l (98-112)
Ca : 2,45 m mol/l
Urée : 3m mol/l (1,7-9,3)
C : 75 micromoles (44-106)
• ASAT, ALAT, PAL, GAMMA GT, BRBT : normaux
• TP, TCA : normaux
Dans l’attente des résultats du reste du bilan para clinique, rédigez la prescription que vous mettez
immédiatement en œuvre.

Question N°5

Quelques jours plus tard le compte rendu anapath d’une biopsie de ganglion sous mandibulaire droit
objective la présence de grandes cellules à noyaux multilobés de type Reed-Sternberg
au sein d’un infiltrat réactionnel scléro nodulaire
Quel diagnostic final retenez-vous ?

Question N°6
Vous prescrivez une poly chimiothérapie à type d’adriamycine (anthracyline) ,
vincristine , décarbazine, bléomycine.
Citez les principaux effets secondaires attendus avec ce traitement ?
Avec quelles molécules allez-vous pouvoir prévenir les nausées chimio – induites ?
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 10/10/ 2011
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

PLANCHAGE RESIDENCE DE MEDECINE INTERNE


Responsable de séance : Dr HAMADENE

Interne de garde aux urgence, vous êtes appelé (e) par votre externe qui vous relate les faits suivants : « je viens
d’examines madame T…., 30 ans
Elle n’a pas d’antécédents particuliers et prend comme traitement du paracétamol pour des maux de tète.
Elle vient aux urgences car depuis 2 heurs elle ressent des battements très forts dans le poitrine et depuis une heure
une douleur violente dans la jambe droite.
Sa jambe droite est froide, pâle à partir de la mi-cuisse. Je ne ressens pas le pouls poplité, tibial postérieur et
pédieux mais je ressens le pouls fémoral à droite son pouls est irrégulier avec une fréquence cardiaque a 130/min,
la tension artérielle est à 125/72 mmHg et la température à 37.2 C°.
Je pense à une ischémie aigue »

1/ Quelles questions précises posez-vous à votre externe pour confirmer et étayer son diagnostic ?

2/ Quel diagnostic complet retenez – vous ?

3/ Justifiez votre réponse

4/ Quel traitement mettez-vous en place immédiatement ?

5/L’iconographie N°= 1 est soumise à votre interprétation


Précisez à quel moment précis de votre prise en charge cet examen est-il réalisé ?

6/Dans les heures suivant votre traitement, de nouveau madame T….. se plaint de douleurs de son mollet
droit .Al ‘examen clinique, les mollets sont parfaitement souples, les pouls sont présents à droite comme à gauche.

Vous réaliser immédiatement un écho doppler artériel et veineux bilatéral des membres inferieurs. Le radiologue
vous répond :

« Le flux artériel est très satisfaisant en doppler couleur pulsé à droite et gauche, les veines profondes des
membres inférieurs sont dépressibles et non thrombosées à droite et à gauche »
Vous pensez à quelle complication ?

7/ L’épisode évoqué à la question n°= 6 est rétablir quel traitement de fond et quelle prise en charge proposez –
vous à moyen terme ?
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 28/ 07/ 2011
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

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Responsable de séance : Pr. HAKEM

Un patient âgé de 45ans, est hospitalisé en 1998 pour le bilan de douleurs abdominales évoluant depuis
un mois.
Ses douleurs sont plutôt continues et de siège épigastrique.
Elles irradient parfois dans le dos et sont majorées par les repas.
Il n’existe pas de trouble du transit associé.
Le patient signale qu’il perdu 8kg depuis l’apparition de ces douleurs.
Il se plaint également de l’apparition récente de paresthésies du membre supérieur droit.

Ses antécédents sont lourds : artériel des membres inférieurs ayant nécessité un pontage ilio –fémoral
droit et fémoro-poplité en 1994.
Pancréatite aigue nécrosante grave en 1991 compliquée d’un accident vasculaire cérébral orchidectomie
pour orchite en 1988.
Il s’agit d’un éthylique chronique sevré depuis 10ans
Son traitement actuel associe du préviscan, du torental et du praxiléne.

L’examen clinique d’entrée retrouve une altération sévère de l’état général avec une amyotrophie des
quatre membres.
L’abdomen est souple mais douleurs dans la région épigastrique.
Il n’existe pas de signe d’insuffisance hépatocellulaire ni d’hypertension portale.
L’examen révèle l’absence des pouls tibiaux postérieurs et retrouve les souffles aortique et fémoral
bilatéraux connus.
L’examen neurologique révèle un discret déficit proximal bilatéral des membres supérieurs.

1er partie :
A ce stade de l’observation
1) Quelles sont vos hypothèses diagnostiques?
2) Quels examens complémentaires demanderiez-vous pour les confirmer ?
………………………………………………………………………………………………….
2éme partie
Devant la négativité de ce bilan qu’auriez-vous fait ?
…………………………………………………………………………………………………..
3éme partie :
L’état clinique de ce patient pendant la réalisation de ces différents examens paracliniques s’aggrave.
• La persistance de douleurs abdominales intenses nécessite le recours aux morphiniques
• Des douleurs testiculaires gauches font découvrir une orchi-épididymite.
• Le déficit neurologique reste stable
……………………………………………………………………………………………………….
4éme partie :
• Que faites vous affirmer le diagnostic en définitive de cette affection.
5éme partie :
• Quelles sont les bases de votre thérapeutique ?
- Quel(s) diagnostic(s) évoquer vous maintenant ?
- Que proposer vous ?
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 18/ 04/ 2011
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

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Responsable de séance : Dr. HAMADENE

Monsieur S. 30ans est hospitalisé pour une oligo-arthrite des pieds et des chevilles.
cet homme est en arrêt de travail depuis trois ans du fait de trois interventions chirurgicales pour
hernie inguinale gauche récidivante.
Monsieur S. ressent des céphalées, des vertiges, une sensation d’asthénie intense.
L’histoire actuelle a débuté 07 mois auparavant par une éruption nodulaire douloureuse des mollets,
compatible avec le diagnostic d’érythème noueux associe à une arthrite modérée de la
médiotarsienne droite. L’évolution est régressive en 02 semaines mais une récidive survient 3mois
après sous la forme d’une arthrite de la tibiotarsienne et de la médiotarsienne gauches avec
gonflement important.
Enfin ,02 mois avant l’hospitalisation survient un troisième épisode articulaire bilatéral et
symétrique touchant toujours chevilles et médiotarses. Les douleurs sont intenses et limitent le
périmètre de marche à 50 mètres. des arthralgie du poignet droit complètent l’atteinte articulaire.

L’état général est médiocre avec une perte de 05 Kg en 03 semaines, anorexie, asthénie,
la T°= est à 37,8°C.
L’examen physique est pauvre, les articulations douloureuses sont peu gonflées
Le rachis est souple et indolore.
L’auscultation cardio-pulmonaire est normale
la palpation de l’abdomen réveille des douleurs modérées pé ri – ombilicales et dans les deux fosses
iliaques.
L’interrogatoire nous apprend que monsieur S. a des antécédents de gastralgies avec pyrosis et
vomissements fréquents. une fibroscopie gastrique a conclu à une gastrite.
Enfin, depuis 3 ou 4 ans existe une diarrhée évoluant par épisodes de 3 à 4 jours avec ténesmes
et épreintes entrecoupées de périodes de selles normales. lors d’un é pisode diarrhéique, 6 mois
plus tôt, le patient a remarqué du sang dans les selles mais cet accident ne s’est pas reproduit.

Les premiers examens complémentaires montrent :


- Une VS à 64/97 et une hyperleucocytose modérée (12600GB dont 82% de PN)
- La sérologie rhumatoïde est né gative.
- Il n’ya pas d’anticorps antinucléaires.
- Les ASLO sont normales (‹ 200U/ml)
- Le complément total est à 48U/ml (normale = 42 ± 7 U/ml).
- Les radiographies du bassin, des chevilles et des pieds sont normales.

1-Quels diagnostics à évoquer ?


2-Quels examens complémentaires pratiquer pour aboutir au diagnostic ?
3-Quel traitement proposer ?
CHU Bab-El-Oued Alger Le, 13/ 01/ 2011
Service de Médecine Interne
Chef de service Pr. A. BERRAH

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Responsable de séance : Dr.HAMADENE

Monsieur T, 35 ans, vous est adressé en consultation pour hypertension artérielle


Il n’a pas d’antécédent connu mais rapporte des chiffres de pression artérielle limite lors des visites de
médecine du travail, il ne prend aucun traitement médicamenteux, il dit uriner beaucoup dans la journée et
même se lever deux fois la nuit pour uriner et boire depuis plusieurs années.
Par ailleurs, il ne décrit aucun autre signe fonctionnel urinaire.
A l’examen clinique, les reins paraissent bosselés, sans douleur.
La PA est mesuré à 155/95 mmHg
Bilan Urinaire : GR : négatifs, leucocytes : négatifs
Nitrites : négatifs, protéines : négatifs.

➢ Question N°1 :
Quelle pathologie de fond suspectez-vous ? Sur quels arguments ?
Quel lien potentiel faites- vous entre la polyurie et cette pathologie ?
Quels sont les éléments de l’interrogatoire qui vous paraissent important de préciser ?

➢ Question N°2 :
Quel examen morphologique prescrivez- vous en première intention et qu’en attendez-vous ?

➢ Question N°3 :
Quels examens biologiques prescrivez- vous en première intention ?

➢ Question N°4 :
Les examens confirment votre diagnostic de forme la plus fréquente de la maladie, avec une créatininemie
mesurée à 125 µM, malgré cela son cas est isolé dans la famille. Comment pouvez- vous l’expliquer ?

➢ Question N°5 :
Le patient se présente 6 mois plus tard aux urgences pour douleur lombaire gauche.
Il n’a pas de notion de traumatisme.
A l’examen clinique, il existe une douleur élective sur le rein gauche, avec une
T° à 38°C
La bandelette urinaire effectuée en urgence est la suivante : BU GR++ GB++
Nitrites= (-)
Les examens de première intention sont les suivants :
Ionogramme sanguin Na= 138 mM ; K= 4,8 mM ; CL = 102mM.
Protidémie : 70 g/l
Créatininemie 120 ; µmol urée= 12mM.
FNS : Hb=14g/dl ; GB = 11000/mm3 ; Plaquettes = 250000/mm3
ECBU : GR= 104/ mm3 GB = 104/mm3
Examen direct négatif.
Quelles sont vos hypothèses diagnostiques et quelle est celle que vous retenez comme la plus probable ?
Quels examens prescrivez-vous ?

➢ Question N°6 :
Quelle est votre attitude thérapeutique concernant l’épisode aigu, si votre hypothèse est confirmée ?

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