Préface

Sept Centres de Gestion et trois Communes ont mis leurs compétences en commun en vue d’éla-
borer un Registre Unique Santé et Sécurité au Travail.
Ce registre a pour vocation de permettre aux collectivités d’entrer dans une démarche pérenne de
prévention et de maîtrise des risques professionnels. Il a également pour vocation d’être un instru-
ment de management de la santé et de la sécurité au travail dans la perspective d’instaurer et de
développer une culture «sécurité» au sein des collectivités.
Regroupant et harmonisant les documents relatifs à la réglementation en matière d’hygiène, de
sécurité et d’amélioration des conditions de travail, ce registre constitue un outil de gestion d’aide
à la décision permettant aux collectivités de mettre en oeuvre une politique de la sécurité au travail
homogène et cohérente.
La conception de cet outil a donc été volontairement placée sous l’angle du pragmatisme et de
la pédagogie, afin d’en faciliter, pour l’ensemble des acteurs de la prévention, la consultation et
l’appropriation.
Aussi souhaitons-nous que tous les acteurs de la prévention – élus, cadres, conseillers en préven-
tion, médecins, CTP/CHS, agents, ACMO, ACFI - s’engagent à exploiter ce registre, avec détermi-
nation et conviction, dans l’intérêt partagé des agents et des collectivités.

Jacques LAGRAVE Pierre IZARD

Président du Centre de Gestion de la Corrèze Président du Centre de Gestion de la Haute-Garonne

Gérard MALHOMME Jacques POUGET

Président du Centre de Gestion du Gers Président du Centre de Gestion du Lot

Guy BERNY Claude VIROLE

Président du Centre de Gestion du Lot et Garonne Président du Centre de Gestion de la Haute-Vienne

Michel HIRIART Jean-François ACOT-MIRANDE

Président du Centre de Gestion des Pyrénées Atlantiques Maire de la Teste-de-Buch

Alain RODET Alain CAZABONNE

Maire de Limoges Maire de Talence

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007

 $YDQWSURSRV
)RQGHPHQW $O¶LQWpULHXUGHFKDFXQHGHVSDUWLHVYRXVWURX
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58667 VHUYLUD j DUFKLYHU WRXV OHV GRFXPHQWV K\JLqQH
HWVpFXULWpPLVHQSODFHGDQVODFROOHFWLYLWpRX
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O¶pWDEOLVVHPHQWpSXUpGHWRXWHVDXWUHVLQIRUPD
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WLRQV,OSRXUUDrWUHFRQVXOWpSDUO¶DXWRULWpWHUUL
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GDQV XQ UHJLVWUH XQLTXH ORUVTXH FHWWH PHVXUH
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FROOHFWLYLWpRXGHO¶pWDEOLVVHPHQW

0RGHG¶HPSORLV 3UpDODEOHPHQW j OD PLVH HQ SODFH GX 58667

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OHFWLYLWpVWHUULWRULDOHVHWGHVpWDEOLVVHPHQWVSXEOLFV
‡ &KDPSG¶DSSOLFDWLRQOHVGRFXPHQWVTXLFRPSRVHQWOH58667RQWpWppWDEOLVDXUHJDUGGH
ODUqJOHPHQWDWLRQVXLYDQWH
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/LYUH,,WLWUH,,,GXFRGHGXWUDYDLOHWOHVGpFUHWVSULVSRXUVRQDSSOLFDWLRQ
‡ 'DWHGHYDOLGLWpOHVGLIIpUHQWHVSDUWLHVGX58667SHXYHQWIDLUHO¶REMHWGHPLVHVjMRXULQGp
SHQGDQWHVOHVXQHVGHVDXWUHV$XVVLXQHGDWHGHYDOLGLWp¿JXUHVXUFKDTXHGRFXPHQW

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
SOMMAIRE

Registre Unique Santé et Sécurité

au Travail
1 6
La santé et la sécurité au travail dans la Les autres écrits de la prévention
fonction publique territoriale
Mise à jour :
1.1 Du règlement à une démarche de progrès février 2007 Mise à jour :
6.1 Les notes, consignes et règlements février 2007
Mise à jour :
1.2 Les documents généraux de la collectivité février 2007 Mise à jour :
 /D¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLO février 2007

2 6.3 Les comptes rendus de visites liées à Mise à jour :

l’hygiène et à la sécurité du travail février 2007

L’évaluation des risques professionnels Mise à jour :

 /D¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ février 2007
2.1 L’évaluation des risques professionnels, Mise à jour :
Document Unique février 2007

Mise à jour :
7
 /D¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOV février 2007
Les accidents et les maladies
professionnelles
3
Mise à jour :
7.1 L’organisation des secours
Les registres au sens du décret n°85-603 février 2007

GXMXLQPRGL¿p 7.2 Le traitement administratif des accidents Mise à jour :

de travail et des maladies professionnelles février 2007
Mise à jour :
3.1 Le registre hygiène et sécurité février 2007 Mise à jour :
7.3 L’analyse des accidents du travail février 2007
3.2 Le registre des dangers graves et Mise à jour :
imminents février 2007
8
4 L’intervention des entreprises extérieures
Mise à jour :
Les registres d’aide à la gestion et à la Introduction février 2007

YpUL¿FDWLRQ 8.1 Le plan de prévention

Mise à jour :
février 2007
 /HVYpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHVHWODJHVWLRQ
Mise à jour : 8.2 Le protocole de sécurité pour les opérations Mise à jour :
des bâtiments et des équipements de février 2007 de chargement / déchargement février 2007
travail
8.3 La coordination SPS (Sécurité et Protection Mise à jour :
 /HV YpUL¿FDWLRQV HW OD JHVWLRQ GHV Mise à jour :
de la Santé) février 2007
équipements de protection individuelle février 2007
Mise à jour :
Mise à jour : 8.4 Le permis de feu février 2007
4.3 La gestion des produits dangereux février 2007

5
Les formations
Mise à jour :
Introduction février 2007

5.1 Les formations liées à l’exposition Mise à jour :

professionnelle février 2007

5.2 Les formations liées aux missions en Mise à jour :

matière d’hygiène et de sécurité au travail février 2007

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007

 1
SOMMAIRE

La santé et la sécurité au travail dans la

fonction publique territoriale
1.1 Du règlement à une démarche de progrès
1.1.1 Articulation des différentes sources de droit........................................................................p. 2
1.1.2 La prévention : l’affaire de tous, un devoir de chacun .........................................................p. 2
1.1.3 La prévention des risques professionnels : une démarche de progrès ...............................p. 2
1.1.4 Un engagement : la politique de prévention ........................................................................p. 3
1.1.5 Une organisation : les acteurs de la prévention...................................................................p. 3
1.1.6 La formation des agents ......................................................................................................p. 3

1.2 Les documents généraux de la collectivité

1.2.1 Méthodologie
Quels sont les documents généraux de la collectivité ? ......................................................p. 4
Qui doit mettre en place ces documents ?...........................................................................p. 4
Références juridiques ..........................................................................................................p. 4

1.2.2 Modèles de lettres, d’arrêtés et de conventions

Procédure de nomination d’un ACMO..................................................................................p. 5-7
Modèle de convention d’adhésion au service de médecine
professionnelle et préventive du CDG .................................................................................p. 8-10
Annexe technique de l’arrêté du 12 janvier 1984.................................................................p. 11
Modèle de convention d’inspection avec le Centre de Gestion. ..........................................p. 12-14
0RGqOHGH¿FKHGHVXLYLGHVWUDYDX[ ..................................................................................p. 15-16

1.2.3 Annexes
$QQH[H,GpFUHWQƒGXMXLQPRGL¿p ........................................................p. 17-21
Annexe II : acteurs de la prévention....................................................................................p. 22
Annexe III : exemple de lettre de mission d’un ACMO.........................................................p. 23
Annexe IV : exemple de règlement intérieur du CTP/CHS ..................................................p. 24-25
Annexe V : exemples de politiques de prévention ..............................................................p. 26-27

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 1

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HWOHWUDYDLOFDGHQFpHWGHUpGXLUHOHVHIIHWVGH
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HQIRQFWLRQGHVDIRUPDWLRQHWVHORQVHVSRVVLELOLWpV
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5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
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YDLOOHXUV
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GHSURSRVHUXQHGpPDUFKHGHSURJUqV
,OV VHURQW XWLOHV ORUV GH WRXWH UpÀH[LRQ HQJDJHDQW
ODSUpYHQWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVRXORUVGH
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ODVDQWpHWGHODVpFXULWpGHVDJHQWV
3DJH
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GHSUpYHQWLRQ
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VpFXULWpDXWUDYDLOHWG¶XQHYRORQWpSDUWDJpHODPDvWULVHGHV
ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV SHUPHW G¶HQJDJHU FKDTXH DFWHXU
GDQVXQFKHPLQHPHQWGHSURJUqVFROOHFWLI
/D SROLWLTXH GH SUpYHQWLRQ SHUPHW GH SUpVHQWHU O¶HQJDJH
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G¶DPpOLRUHUODSUpYHQWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOV/¶$&),
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ODFROOHFWLYLWpDVLJQpXQHFRQYHQWLRQ
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EDOH GH SUpYHQWLRQ GHV ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV SpUHQQH HW
DFFHSWpHSDUWRXV
(OOHSHUPHWWUD GH ¿[HU OHV REMHFWLIV GH GRQQHU OHV RULHQWD
WLRQVD¿QGHIDYRULVHUOHVSULVHVGHGpFLVLRQV
$LQVL LO SHXW rWUH VRXKDLWDEOH GH IRUPDOLVHU FHWWH SROLWLTXH
GDQVXQGRFXPHQW
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rWUHUpÀpFKLHHQIRQFWLRQGHODSROLWLTXHGHSUpYHQWLRQSUpD
ODEOHPHQWGp¿QLHSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
8QHRUJDQLVDWLRQOHVDFWHXUV
GHODSUpYHQWLRQ
'DQVFHWWHGpPDUFKHFROOHFWLYHFKDTXHDFWHXUGHODSUpYHQ
WLRQDXQU{OHHWGHVPLVVLRQVGp¿QLVSDUODFROOHFWLYLWp
HWGH6pFXULWp&73&+6LOFRQWULEXHjODSURWHFWLRQGH
ODVDQWpHWGHODVpFXULWpGHVDJHQWVDXWUDYDLO&RPSRVpGH
UHSUpVHQWDQWVGHODFROOHFWLYLWpHWGHUHSUpVHQWDQWVGXSHU
VRQQHOLOVWDWXHVXUOHVTXHVWLRQVTXLOXLVRQWVRXPLVHV
/DIRUPDWLRQGHVDJHQWV
$¿QTXHFKDFXQFRQQDLVVHOHVSUpFDXWLRQVjSUHQGUHSRXU
DVVXUHUVDSURSUHVpFXULWpFHOOHGHVHVFROOqJXHVHWOHFDV
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TXHHWDSSURSULpHHQPDWLqUHG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpGRLW
rWUH RUJDQLVpH GDQV OD FROOHFWLYLWp &HWWH IRUPDWLRQ UHODWH
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YDLOOHVFRQGLWLRQVG¶H[pFXWLRQGXWUDYDLOHWOHVGLVSRVLWLRQV
jSUHQGUHHQFDVG¶DFFLGHQWRXGHVLQLVWUHDLQVLTXHOHVUHV
SRQVDELOLWpVHQFRXUXHV

/¶DXWRULWp WHUULWRULDOH  HOOH HVW FKDUJpH GH YHLOOHU j OD Vp

FXULWp HW j OD SURWHFWLRQ GHV DJHQWV SODFpV VRXV VRQ DXWR
ULWp (OOH GRLW Gp¿QLU XQH SROLWLTXH GH SUpYHQWLRQ HW PHWWUH
HQSODFHXQHRUJDQLVDWLRQVSpFL¿TXHDXVHLQGHODTXHOOHHVW
FRRUGRQQpHO¶DFWLRQGHGLIIpUHQWVDFWHXUV'DQVOHGRPDLQH
GHODVDQWpVpFXULWpGXWUDYDLOO¶REOLJDWLRQGHPR\HQQHVXI¿W
SDVHOOHGRLWV¶DFFRPSDJQHUG¶XQHREOLJDWLRQGHUpVXOWDW 9RXV WURXYHUH] GDQV OH FKDSLWUH VXLYDQW  GHV PRGq
OHVGHGRFXPHQWVJpQpUDX[TXHODFROOHFWLYLWpSHXWXWLOLVHU
/¶HQFDGUHPHQW   LO DLGH j OD PLVH HQ °XYUH HIIHFWLYH GH DGDSWHURXDPHQGHUHQIRQFWLRQGHVHVEHVRLQV
FHWWHSROLWLTXHHWYHLOOHjVRQDSSOLFDWLRQVXUOHWHUUDLQ,ORU
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ULVTXHVSURIHVVLRQQHOV

/HVDJHQWVLOVSUHQQHQWVRLQHQIRQFWLRQGHOHXUVIRUPD
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DLQVLTXHGHFHOOHGHOHXUVFROOqJXHVHWOHFDVpFKpDQWGHV
XVDJHUV3RXUFHODLOVDSSOLTXHQWOHVLQVWUXFWLRQVHWFRQVLJQHV
GHWUDYDLOTXLOHXUVVRQWGRQQpHVLOVIRQWGHVVXJJHVWLRQVHQ
PDWLqUH GH SUpYHQWLRQ VLJQDOHQW OHV G\VIRQFWLRQQHPHQWV j
OHXUKLpUDUFKLHHWLOVGLVSRVHQWG¶XQGURLWG¶DOHUWHHWGHUHWUDLW
ORUVG¶XQGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQWFIFKDSLWUH

/¶$JHQW&KDUJpGHOD0LVHHQ¯XYUHGHVUqJOHVG¶K\JLq
QHHWGHVpFXULWp$&02LODVVLVWHHWFRQVHLOOHO¶DXWRULWp
WHUULWRULDOHGDQVODPLVHHQ°XYUHGHVUqJOHVG¶K\JLqQHHWGH
VpFXULWp/¶$&02HVWXQDJHQWGHODFROOHFWLYLWpGpVLJQpSDU
O¶DXWRULWpWHUULWRULDOHDYHFVRQDFFRUGHWDSUqVDYLVGX&RPLWp
7HFKQLTXH3DULWDLUHRXGX&RPLWpG¶+\JLqQHHWGH6pFXULWp

/HPpGHFLQGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH
LOHIIHFWXHODVXUYHLOODQFHPpGLFDOHGHVDJHQWVHWUpDOLVHGHV
DFWLRQVGHSUpYHQWLRQHQPLOLHXSURIHVVLRQQHO

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
3DJH
 /HVGRFXPHQWVJpQpUDX[GHOD
FROOHFWLYLWp
0pWKRGRORJLH
&HWWHSDUWLHSURSRVHXQHPpWKRGHG¶DUFKLYDJHGHV
GRFXPHQWV JpQpUDX[ GH OD FROOHFWLYLWp RX GH O¶pWD
EOLVVHPHQW
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98OHGpFUHWQƒGXMXLQPRGL¿pSDUOHGpFUHWQƒGXMXLQUHODWLIjO¶K\JLqQHHWODVpFXULWpGX
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5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
Modèle
1
Convention d’adhésion au service de
médecine professionnelle et préventive
Entre .......................................................... habilité par délibération du Conseil d’Administration en date du .......................,
Et le Maire habilité par délibération du Conseil Municipal en date du ……………………………
Il a été convenu et arrêté ce qui suit :

Article 1
………………………… adhère au Service de Médecine Professionnelle et préventive. de ....................................................

Article 2
/H6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHV¶HQJDJHjDVVXUHUO¶LQWpJUDOLWpGHVSUHVWDWLRQVGp¿QLHVSDUOH'pFUHW
QƒGXMXLQPRGL¿pSDUOH'pFUHWQƒGXMXLQ

I. Actions du médecin du Service de Médecine Professionnelle et Préventive

/HWHPSVPLQLPDOTXHFRQVDFUHOHPpGHFLQjVHVPLVVLRQVHVW¿[pHQIRQFWLRQGHO¶DUWLFOHGX'pFUHWQƒGX
Juin 1985. Ce temps est réparti comme suit :

$$&7,21685/(0,/,(8'875$9$,/
'pFUHWQƒGX-XLQ7LWUH,,,&KDSLWUH,,6HFWLRQ,
$UWLFOHOH6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHFRQVHLOOHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHOHVDJHQWVHWOHXUVUHSUpVHQ-
tants en ce qui concerne :
- l’amélioration des conditions de vie et de travail dans les services,
 O¶K\JLqQHJpQpUDOHGHVORFDX[GHVHUYLFH
- l’adaptation des postes, des techniques et des rythmes de travail à la physiologie humaine ;
- la protection des agents contre l’ensemble des nuisances et les risques d’accidents de service ou de maladie
professionnelle ou à caractère professionnel,
- l’hygiène dans les restaurants administratifs,
- l’information sanitaire.
Article 16 : le Service de Médecine Professionnelle et Préventive est consulté sur les projets de construction ou aménage-
PHQWVLPSRUWDQWVGHVEkWLPHQWVDGPLQLVWUDWLIVHWWHFKQLTXHVHWGHPRGL¿FDWLRQVDSSRUWpHVDX[pTXLSHPHQWVDLQVLTXHFHX[
OLpVDX[QRXYHOOHVWHFKQRORJLHV'DQVFHFDGUHLOSHXWSURFpGHUjWRXWHpWXGHHWVRXPHWWUHGHVSURSRVLWLRQV
,OIRUPXOHGHVSURSRVLWLRQVVXUO¶DFFHVVLELOLWpGHVORFDX[DX[DJHQWVKDQGLFDSpV
Article 17 : le Service de Médecine Professionnelle et Préventive est obligatoirement informé, avant toute utilisation de
VXEVWDQFHVRXSURGXLWVGDQJHUHX[GHODFRPSRVLWLRQGHFHVSURGXLWVHWGHODQDWXUHGHFHVVXEVWDQFHVDLQVLTXHGHOHXUV
modalités d’emploi.
Le médecin du Service de Médecine Professionnelle et Préventive consacrera à sa mission en milieu de travail au moins
OHWLHUVGXWHPSVHQDSSOLFDWLRQGHO¶DUWLFOHGX'pFUHWQƒGX-XLQPRGL¿pSDUOH'pFUHWQƒGX
16 Juin 2000).
&HUWDLQHVDFWLRQVSHXYHQWrWUHFRPPXQHVjSOXVLHXUVFROOHFWLYLWpVSDUWLFLSDWLRQjGHVJURXSHVGHWUDYDLOSDUWLFLSDWLRQDX[
CTP et CHS, analyse des accidents de service, rédaction du rapport annuel d’activité, …).

%6859(,//$1&(0(',&$/('(6$*(176
'pFUHWQƒGX-XLQ7LWUH,,,&KDSLWUH,,6HFWLRQ,,
1. Pour tous les agents : visite médicale annuelle. Cette visite présente un caractère obligatoire.
2. Surveillance médicale particulière à l’égard :
- des personnes reconnues travailleurs handicapés,

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 8

 GHVIHPPHVHQFHLQWHV
GHVDJHQWVUpLQWpJUpVDSUqVXQFRQJpGHORQJXHPDODGLHRXGHORQJXHGXUpH
GHVDJHQWVRFFXSDQWGHVSRVWHVGDQVOHVVHUYLFHVFRPSRUWDQWGHVULVTXHVVSpFLDX[
GHVDJHQWVVRXIIUDQWGHSDWKRORJLHVSDUWLFXOLqUHV
/HPpGHFLQGX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHGp¿QLWODIUpTXHQFHHWODQDWXUHGHVYLVLWHVPpGLFDOHVTXH
FRPSRUWHFHWWHVXUYHLOODQFHPpGLFDOH&HVYLVLWHVSUpVHQWHQWXQFDUDFWqUHREOLJDWRLUH
9LVLWHG¶HPEDXFKHSRXUOHVDJHQWVFRQWUDFWXHOV
6XLYLGHVDFFLGHQWVGHWUDYDLORXGHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV
/HPpGHFLQGX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHSHXWSUHVFULUHGHVH[DPHQVFRPSOpPHQWDLUHVGDQVOH
UHVSHFWGXVHFUHWPpGLFDO&HVH[DPHQVVHURQWjODFKDUJHGHODFROOHFWLYLWp

&±&2037(5(1'8'¶$&7,9,7('80('(&,1$/¶$8725,7(7(55,725,$/(
/HPpGHFLQGX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHpWDEOLWHWWLHQWjMRXUHQOLDLVRQDYHFO¶$&02HWDSUqV
FRQVXOWDWLRQGX&73HWGX&+6XQH¿FKHVXUODTXHOOHVRQWFRQVLJQpVOHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVSURSUHVDX[VHUYLFHVHWOHV
HIIHFWLIVG¶DJHQWVH[SRVpVjFHVULVTXHV
/H6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHpWDEOLWFKDTXHDQQpHXQUDSSRUWG¶DFWLYLWpTXLHVWWUDQVPLVjO¶DXWRULWp
WHUULWRULDOHHWjO¶LQVWDQFHFRPSpWHQWHHQPDWLqUHG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWp
&KDTXHDFWLRQVXUOHPLOLHXGXWUDYDLOGRQQHOLHXjXQUDSSRUWDGUHVVpjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH

,,,QGpSHQGDQFHGXPpGHFLQGX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYH
/HPpGHFLQGX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHH[HUFHVRQDFWLYLWpPpGLFDOHHQWRXWHLQGpSHQGDQFHHW
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6HORQ O¶DUWLFOH  GX &RGH GH 'pRQWRORJLH 0pGLFDOH OH PpGHFLQ QH SHXW DOLpQHU VRQ LQGpSHQGDQFH SURIHVVLRQQHOOH VRXV
TXHOTXHIRUPHTXHFHVRLW
6HORQO¶DUWLFOH5GX&RGHGHOD6DQWp3XEOLTXHOHIDLWSRXUXQPpGHFLQG¶rWUHOLpGDQVVRQH[HUFLFHSURIHVVLRQQHO
SDUXQFRQWUDWRXXQVWDWXWjXQHDGPLQLVWUDWLRQXQHFROOHFWLYLWpRXWRXWDXWUHRUJDQLVPHSXEOLFRXSULYpQ¶HQOqYHULHQj
VHVGHYRLUVSURIHVVLRQQHOVHWHQSDUWLFXOLHUjVHVREOLJDWLRQVFRQFHUQDQWOHVHFUHWSURIHVVLRQQHOHWO¶LQGpSHQGDQFHGHVHV
GpFLVLRQV
(QDXFXQHFLUFRQVWDQFHOHPpGHFLQQHSHXWDFFHSWHUGHOLPLWDWLRQjVRQLQGpSHQGDQFHGDQVVRQH[HUFLFHPpGLFDOGHOD
SDUWGHO¶HQWUHSULVHRXGHO¶RUJDQLVPHTXLO¶HPSORLH,OGRLWWRXMRXUVDJLUHQSULRULWpGDQVO¶LQWpUrWGHODVDQWpSXEOLTXHHWGDQV
O¶LQWpUrWGHVSHUVRQQHVHWGHOHXUVpFXULWpDXVHLQGHVHQWUHSULVHVRXGHVFROOHFWLYLWpVRLOH[HUFH
(QFRQVpTXHQFHOHPpGHFLQGX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHQHSHXWrWUHFKDUJpGHVYLVLWHVG¶DS
WLWXGHSK\VLTXHSUpYXHVjO¶DUWLFOHGX'pFUHWQƒGX-XLOOHWSULVSRXUO¶DSSOLFDWLRQGHOD/RLQƒGX
-DQYLHUSRUWDQWGLVSRVLWLRQVVWDWXWDLUHVUHODWLYHVjODIRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOHHWUHODWLIjO¶RUJDQLVDWLRQGHVFRPLWpV
PpGLFDX[DX[FRQGLWLRQVG¶DSWLWXGHSK\VLTXHHWDXUpJLPHGHVFRQJpVGHPDODGLHGHVIRQFWLRQQDLUHVWHUULWRULDX[,OQHSHXW
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$UWLFOH
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Gp¿QLHVGDQVO¶DUWLFOHGX'pFUHWQƒGXMXLQ

$UWLFOH
8QORFDOGRLWrWUHPLVjGLVSRVLWLRQGXPpGHFLQSRXUOHVYLVLWHVPpGLFDOHVDPpQDJpVHORQOHVFDUDFWpULVWLTXHVGpFULWHVSDU
O¶DQQH[HWHFKQLTXHGHO¶$UUrWpGX-DQYLHU)LFKHFLMRLQWH
/HVFROOHFWLYLWpVSHXYHQWIDLUHDSSHODX[pWDEOLVVHPHQWVLQWHUFRPPXQDX[D¿QGHPHWWUHjGLVSRVLWLRQGHVORFDX[SRXUOD
VXUYHLOODQFHGHOHXUVSHUVRQQHOV'HPrPHOHVFROOHFWLYLWpVSHXYHQWDFFXHLOOLUGHVDJHQWVHPSOR\pVSDUG¶DXWUHVFROOHFWLYLWpV
FRPSWDQWXQSHWLWQRPEUHG¶DJHQWV

$UWLFOH
7RXVOHVDJHQWVGHODFROOHFWLYLWppWDQWFRQFHUQpVXQHOLVWHGHFHVDJHQWVGHYUDrWUHIRXUQLHFKDTXHDQQpHDX6HUYLFHGH
0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYH
/DPLVHjMRXUGHFHWWHOLVWHHQ¿QG¶DQQpHHQWUDvQHUDODUpJXODULVDWLRQGHODSDUWLFLSDWLRQGXHSDUODFROOHFWLYLWpPRXYHPHQWV
GHSHUVRQQHO

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
0RGqOH

$UWLFOH
/HPRQWDQWGHODSDUWLFLSDWLRQGXHSDUODFROOHFWLYLWpHQpFKDQJHGHFHVSUHVWDWLRQVHIIHFWXpHVDXWLWUHGHO¶DQQpHHVW¿[pj
¼SDUDJHQWHWSDUDQjFRPSWHUGXHU-DQYLHU
(QFDVGHWUDQVIHUWGHSHUVRQQHOjODVXLWHG¶XQWUDQVIHUWGHFRPSpWHQFHRXGHPRGL¿FDWLRQGXVWDWXWMXULGLTXHGHODVWUXFWXUH
ODSDUWLFLSDWLRQVHUDFDOFXOpHDXSURUDWDGXWHPSVSDVVpSDUOHVDJHQWVGDQVFKDFXQHGHVFROOHFWLYLWpV
3RXUFHTXLFRQFHUQHOHVDJHQWVLQWHUFRPPXQDX[ODSDUWLFLSDWLRQGHVFROOHFWLYLWpVVHUDFDOFXOpHDXSURUDWDGXWHPSVGH
WUDYDLOGHVDJHQWVGDQVOHVFROOHFWLYLWpVDGKpUHQWHVDX6HUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYH

$UWLFOH
/¶DEVHQWpLVPHDX[YLVLWHVPpGLFDOHVUpGXLWOHWHPSVTXHFRQVDFUHOHPpGHFLQDX[DFWLRQVVXUOHPLOLHXGXWUDYDLO
$XVVLODFROOHFWLYLWpGRLWWHQLULQIRUPpOHVHUYLFHGH0pGHFLQH3URIHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHGHWRXWHDEVHQFHG¶DJHQWjOD
YLVLWHPpGLFDOHDXPRLQVMRXUVIUDQFVDYDQWODGDWHSUpYXH
(QFDVG¶DEVHQFHO¶DJHQWVHUDFRQYRTXpXQHVHFRQGHIRLV

$UWLFOH
/DSUpVHQWHFRQYHQWLRQHVWUHQRXYHODEOHSDUWDFLWHUHFRQGXFWLRQ(OOHSRXUUDrWUHUpVLOLpHSDUO¶XQHRXO¶DXWUHGHVSDUWLHV
SDUGpFLVLRQGHVRQRUJDQHGpOLEpUDQWVRXVUpVHUYHTXHFHWWHGpFLVLRQVRLWQRWL¿pHjO¶DXWUHSDUWLHDYDQWOH2FWREUHGH
O¶DQQpHDYHFHIIHWDX'pFHPEUH

$UWLFOH
(QFDVGHOLWLJHODSUpVHQWHFRQYHQWLRQSHXWIDLUHO¶REMHWG¶XQUHFRXUVjFRPSWHUGHODSUpVHQWHQRWL¿FDWLRQGDQVXQGpODLGH
GHX[PRLVGHYDQWOH7ULEXQDO$GPLQLVWUDWLIGH

)DLWj      )DLWj
/H      /H

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
$QQH[HWHFKQLTXH

$QQH[HWHFKQLTXHGHO¶DUUrWpGX-DQYLHUUHODWLYH
DX[FDUDFWpULVWLTXHVJpQpUDOHVjO¶DPpQDJHPHQWHWj
O¶pTXLSHPHQWGHVORFDX[PpGLFDX[¿[HVHWPRELOHV
&DUDFWpULVWLTXHVJpQpUDOHV
/HFDELQHWPpGLFDOHVWXQHSLqFHGDQVODTXHOOHOHPpGHFLQGRLWSRXYRLUSUDWLTXHUXQH[DPHQFOLQLTXHFRPSOHW
,OFRQYLHQWGRQFTX¶LOGLVSRVHDXPRLQVGH
‡ 8QEXUHDX
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Article 6 : modalités d’intervention

La durée nécessaire à chaque intervention sera déterminée par le Centre de Gestion en fonction de la taille de la collecti-
vité, de l’importance des services, du nombre d’agents et des chantiers et locaux à inspecter. (éventuellement, la durée de
l’intervention, la liste des locaux et services à visiter peuvent être indiquées ici ou en annexe)
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La Collectivité participera aux frais d’intervention du Centre Départemental de Gestion à concurrence du nombre d’heures
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Le recouvrement des frais de la mission sera assuré par le Centre Départemental de Gestion selon l’état d’avancement de
la prestation.
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Article 8 : compétence juridictionnelle

En cas de litige survenant entre les parties à l’occasion de l’exécution de la présente convention, compétence sera donnée
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Fait en cinq exemplaires

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Pour le Centre de Gestion, Pour la Collectivité,

Le Président, Le Maire/Président,

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 14

Modèle
1
Fiche de suivi des travaux comportant des
risques particuliers
Pour les travaux énumérés ci-dessous, le ou les médecins chargés de la surveillance médicale du personnel effectuant
d’une façon habituelle lesdits travaux consacreront à cette surveillance un temps calculé sur la base d’une heure par mois
pour dix salariés.
Cette liste est non exhaustive, et le médecin de médecine professionnelle et préventive a toute lattitude pour effectuer une
surveillance médicale particulière pour des actions non incluses dans cette liste. Il déterminera alors, lui-même, la fréquence
de ces visites.

Les travaux comportant la préparation, l’emploi, la Produit présent dans la commune/

manipulation ou l’exposition aux agents suivants : établissement
Fluor et ses composés

Chlore

Brome

Iode

Phosphore blanc et composés notamment : esters phosphoriques,

pyrophosphoriques et triphosphoriques ainsi que les autres compo-
sés organiques du phosphore
Arsenic et ses composés

Sulfure de carbone

Oxychlorure de carbone

Acide chromique, chromates, bichromates alcalins, à l’exception de

leurs solutions aqueuses diluées
Bioxyde de manganèse

Plomb et ses composés

Mercure et ses composés

Glucine et ses sels

Benzène et homologues

Phénols et naphtols

Dérivés halogénés, nitrés et aminés des hydrocarbures et de leurs

dérivés
Brais, goudrons et huiles minérales

Rayons X et substances radioactives

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 15

 Les travaux suivants Travail effectué dans la commune/
établissement
Application des peintures et vernis par pulvérisation
Travaux effectués dans l’air comprimé
Emploi d’outils pneumatiques à main, transmettant des vibrations
Travaux effectués dans les égouts
Travaux effectués dans les abattoirs, travaux d’équarrissage

Manipulation, chargement, déchargement, transport, soit de peaux

brutes, poils, crins, soies de porc, laine, os ou autres dépouilles ani-
males, soit de sacs, enveloppes ou récipients contenant ou ayant
contenu de telles dépouilles, à l’exclusion des os dégélatinés ou
dégraissés et des déchets de tannerie chaulés
Collecte et traitement des ordures
Travaux exposant à de hautes températures, à des poussières ou
émanations toxiques et concernant le traitement des minerais, la
production des métaux et les verreries
7UDYDX[HIIHFWXpVGDQVOHVFKDPEUHVIULJRUL¿TXHV
Travaux exposant aux émanations d’oxyde de carbone dans les usi-
nes à gaz, la conduite des gazogènes, la fabrication synthétique de
l’essence ou du méthanol
Travaux exposant aux poussières de silice, d’amiante et d’ardoise
(à l’exclusion des mines, minières et carrières)
Travaux de polymérisation du chlorure de vinyle
Travaux exposant au cadmium et ses composés
Travaux exposant aux poussières de fer
Travaux exposant aux substances hormonales
Travaux exposant aux poussières de métaux durs (tantale, titane,
tungstène et vanadium)
Travaux exposant aux poussières d’antimoine
Travaux exposant aux poussières de bois
Travaux en équipes alternantes effectués de nuit en tout ou en par-
tie (Instr. technique RT no 2, 8 août 1977, : BO/TEP no 77-38) ; les
mots « effectués de nuit en tout ou en partie » visent à faire béné-
¿FLHUGHODVXUYHLOODQFHPpGLFDOHVSpFLDOHOHVVDODULpVWUDYDLOODQWHQ
2, 3 équipes ou plus, qui incluent un poste de nuit
Travaux d’opérateur sur standard téléphonique, sur machines mé-
canographiques, sur perforatrices, sur terminal à écran ou vision-
neuse en montage électronique ; lorsqu’un salarié n’est affecté qu’à
temps très partiel à un travail sur visionneuse ou sur terminal à
écran, la surveillance médicale spéciale ne s’impose pas systémati-
quement. Pour en décider, le médecin doit tenir compte de toutes les
caractéristiques du poste de travail susceptibles d’être un facteur de
fatigabilité : rythme de travail, conditions d’éclairement générales,
luminosité de l’écran, contraste des caractères qui s’y inscrivent...
La même méthode sera utilisée lorsqu’il s’agira, par exemple, d’un
opérateur sur standard téléphonique, auquel cas les critères à re-
tenir seront notamment la fréquence des appels, le niveau sonore
d’ambiance, les contraintes physiques résultant du matériel utilisé
(casque, écouteur, micro...)
Travaux de préparation, de conditionnement, de conservation et de
distribution de denrées alimentaires
Travaux exposant à un niveau de bruit supérieur à 85 décibels

Page 16 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
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 Art. 26. (Modifié par décret 88-544 1988-05-06 art 20 jorf 7 mai 1988)
- Le service de médecine professionnelle et préventive établit chaque année
un rapport d’activité qui est transmis à l’autorité territoriale et à l’organisme
compétent en matière d’hygiène et de sécurité.
Un exemplaire en est transmis au centre de gestion qui établit un rapport de
synthèse de l’ensemble des rapports d’activité qu’il a reçus et le transmet au
Conseil supérieur de la fonction publique territoriale.
TITRE IV
organismes compétents en matière d’hygiène et de sécurité.
CHAPITRE I
rôle des comités techniques paritaires
Art. 27. - Les comités techniques paritaires exercent les attributions men-
tionnées au 5° de l’article 33 de la loi du 26 janvier 1984 précitée dans les
conditions fixées au présent titre.
Art. 28. (Modifié par Décret n° 2000-542 du 16 juin 2000 art 17 jorf du 20
juin 2000) - Lorsqu’ils ne sont pas assistés de comités d’hygiène et de sécurité,
les comités techniques paritaires exercent les compétences fixées au chapitre
6 du présent titre.
Dans ce cas, un représentant du service de médecine professionnelle et pré-
ventive et l’un des agents chargés en application de l’article 5 du présent dé-
cret d’une fonction d’inspection, peuvent assister, avec voix consultative, aux
réunions du comité technique paritaire qui sont consacrées aux problèmes
d’hygiène et de sécurité.
Ils reçoivent également communication du rapport annuel sur l’évolution
des risques professionnels et du programme annuel de prévention des risques
professionnels prévus respectivement aux articles 40 et 45 accompagnés de
l’avis formulé par les comités d’hygiène et de sécurité.
Lorsqu’ils sont assistés de comités d’hygiène et de sécurité, les comités techni-
ques paritaires reçoivent communication des documents élaborés par ceux-ci
et examinent les questions d’hygiène et de sécurité dont ils se saisissent ou
sont saisis par lesdits comités.
TITRE IV
organismes compétents en matière d’hygiène et de sécurité.
CHAPITRE II
organisation des comités d’hygiène et de sécurité
Art. 29. - Sont tenus de créer un ou plusieurs comités d’hygiène et de sécu-
rité, outre les services départementaux d’incendie et de secours sans condition
d’effectifs, les collectivités ou établissements mentionnés à l’article 1er, occu-
pant un effectif d’au moins 200 agents titulaires ou non, à temps complet ou
non complet, dans un ou plusieurs services comportant des risques profes-
sionnels spécifiques par leur fréquence et leur gravité, notamment en raison
de la nature des missions ou des tâches, de l’agencement ou de l’équipement
des locaux.
L’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement sous la responsa-
bilité duquel fonctionnent lesdits services détermine après avis du comité
technique paritaire le nombre, le siège et la compétence des comités d’hygiène
et de sécurité, et peut décider le cas échéant la division d’un comité d’hygiène
et de sécurité en sections correspondant à des spécificités différentes au sein
des services.
Les dépenses de fonctionnement du comité sont à la charge de la collectivité
ou de l’établissement public.
TITRE IV
organismes compétents en matière d’hygiène et de sécurité.
CHAPITRE III
composition des comités d’hygiène et de sécurité
Art. 30. (Modifié par Décret n° 2000-542 du 16 juin 2000 art 18 jorf du 20
juin 2000) - Le comité est composé en nombre égal :
a) D’une part de représentants de la collectivité ou de l’établissement désigné
par l’autorité territoriale auprès de laquelle fonctionne le comité d’hygiène
et de sécurité,
b) D’autre part de représentants du personnel élus au suffrage direct sur les
listes présentées par les organisations syndicales.
Le nombre des membres du comité d’hygiène et de sécurité est fixé, pour la
durée du mandat des représentants du personnel par l’organe délibérant de la
collectivité ou de l’établissement auprès duquel il est appelé à fonctionner.
Toutefois le nombre des membres titulaires de chaque catégorie de représen-
Page 20 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
tants ne saurait être inférieur à trois ni supérieur à dix. Il est tenu compte,
pour fixer ce nombre, de l’effectif des agents titulaires et non titulaires des
collectivités, établissements ou services concernés, et de la nature des risques
professionnels.
Chacun des membres du comité d’hygiène et de sécurité a un suppléant.
Les représentants de la collectivité peuvent se suppléer l’un l’autre. Des re-
présentants du personnel suppléants peuvent suppléer les titulaires élus sur
la même liste.
Le médecin du service de médecine professionnelle et préventive assiste de
plein droit aux séances du comité avec voix consultative.
nb : pour l’application de cet article aux fonctionnaires des administrations
parisiennes de cet article le b du premier alinéa est rédigé comme suit:
b) D’autre part de représentants des personnels .
La dernière phrase du dernier alinéa est supprimée .
Art. 31. - Les membres des comités d’hygiène et de sécurité sont désignés
pour une période de six ans dans les mêmes conditions que celles qui sont
fixées à l’article 3 du décret n° 85-565 du 30 mai 1985 relatif aux comités
techniques paritaires de la fonction publique territoriale.
Les collectivités et établissements peuvent procéder à tout moment et pour le
reste du mandat à accomplir au remplacement de leurs représentants.
Les fonctions de membre du comité sont renouvelables.
Toutefois, si, dans un comité d’hygiène et de sécurité déjà institué auprès
d’une commune ou d’un établissement public intercommunal, le premier
mandat des représentants du personnel venait à expiration dans les six mois
précédant le renouvellement de l’organe délibérant de la collectivité ou de
l’établissement auprès desquels fonctionne le comité d’hygiène et de sécurité,
ce mandat, nonobstant les dispositions de l’article 31, se trouverait prorogé
jusqu’au renouvellement de ladite assemblée.
nb : cet article n’est pas applicable aux fonctionnaires des administrations pa-
risiennes
Art. 32. - L’autorité territoriale désigne ses représentants parmi les membres
de l’organe délibérant de la collectivité ou de l’établissement, ou parmi les
agents de cette collectivité ou de cet établissement.
Art. 33. - Les dispositions des articles 5 et 6 du décret n° 85-565 du 30 mai
1985 relatif aux comités techniques paritaires sont applicables au remplace-
ment des membres du comité d’hygiène et de sécurité.
TITRE IV
organismes compétents en matière d’hygiène et de sécurité.
CHAPITRE IV
élection des représentants du personnel
Art. 34. - L’élection des représentants du personnel aux comités d’hygiène et
de sécurité s’effectue selon les dispositions prévues aux articles 7 et suivants
du décret n° 85-565 du 30 mai 1985.
nb : cet article n’est pas applicable aux fonctionnaires des administrations pa-
risiennes
Art. 35. - Sont électeurs les agents titulaires et non titulaires, à temps complet
et à temps non complet, en fonctions dans le ou les services auprès desquels
est institué le comité d’hygiène et de sécurité.
nb : cet article n’est pas applicable aux fonctionnaires des administrations pa-
risiennes
TITRE IV
organismes compétents en matière d’hygiène et de sécurité.
CHAPITRE V
fonctionnement des comités d’hygiène et de sécurité
Art. 36. - Le comité est présidé par un représentant de la collectivité ou de
l’établissement désigné par l’autorité territoriale parmi ses représentants au
comité d’hygiène et de sécurité.
Art. 37. - Les règles de fonctionnement prévues par le décret n° 85-565 du 30
mai 1965 relatif aux comités techniques paritaires sont applicables au comité
d’hygiène et de sécurité.
Art. 38. (Modifié par Décret n° 2000-542 du 16 juin 2000 art 19 jorf du
20 juin 2000) - Le comité d’hygiène et de sécurité peut entendre les agents
chargés d’une fonction d’inspection en application de l’article 5.
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‡ /XLUHQGUHFRPSWHGHVG\VIRQFWLRQQHPHQWVHWGHVPDQ ‡ (VSULWG¶DQDO\VHHWGHV\QWKqVH
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$QQH[H9

([HPSOHGHGp¿QLWLRQGHSROLWLTXH
GHSUpYHQWLRQ
/DSROLWLTXHGHSUpYHQWLRQSLHUUHDQJXODLUHGHODGpPDUFKHVDQWpHWVpFXULWpDXWUDYDLOFRQWLHQWOHVRULHQWDWLRQVVWUDWpJL
TXHVpPLVHVSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHSRXUVHUYLUGHJXLGHjO¶DFWLRQGHVUHVSRQVDEOHVGHVGLIIpUHQWVQLYHDX[GDQVFKDTXH
GRPDLQHG¶DFWLYLWpGHODFROOHFWLYLWp
/HFRQWHQXPLQLPDOGHFHWWHSROLWLTXHGHYUDLWLQFOXUH
‡ OHIDLWTXHODVpFXULWpGHVDJHQWVHWGXSXEOLFHVWGHSUHPLqUHLPSRUWDQFHSRXUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
‡ O¶HQJDJHPHQWGHWRXWIDLUHSRXUpYLWHUOHVDFFLGHQWVRXOHXUUpSpWLWLRQ
‡ O¶HQJDJHPHQWGHUHVSHFWHUOHVORLVUqJOHPHQWVHWQRUPHVHQYLJXHXU

9RLFLGHX[H[HPSOHVGHSROLWLTXHVGHSUpYHQWLRQ

([HPSOH

$XFXQFRPSURPLVQ¶HVWWROpUDEOHHQPDWLqUHGHVDQWpHWGHVpFXULWpDXWUDYDLO

/DSUpYHQWLRQGHVEOHVVXUHVHWGHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHVHVWO¶XQGHVSULQFLSDX[REMHFWLIVGHODFROOHFWLYLWpXQ
REMHFWLIHVVHQWLHOjODVpFXULWpSHUVRQQHOOHGHWRXVOHVDJHQWVHWGHOHXUVIDPLOOHV

7RXWHVOHVORLVHWWRXVOHVUqJOHPHQWVVXUODVDQWpHWODVpFXULWpGXWUDYDLOGRLYHQWDEVROXPHQWrWUHREVHUYpV

7RXVOHVQLYHDX[GHGLUHFWLRQGRLYHQWV¶DVVXUHU
‡ TXHOHVQRUPHVGHVDQWpHWGHVpFXULWpDXWUDYDLOVRQWREVHUYpHV
‡ TXH OHV ULVTXHV SRVVLEOHV SRXU OD VDQWp HW OD VpFXULWp VRQW LGHQWL¿pV HW TXH OHV PHVXUHV DSSURSULpHV VRQW
SULVHVGqVTXHSRVVLEOH
‡ TXHWRXVOHVDJHQWVUHoRLYHQWXQHIRUPDWLRQOHXUSHUPHWWDQWGHUHFRQQDvWUHOHVULVTXHVSRXUODVDQWpHWOD
VpFXULWpGHWUDYDLOOHUGHIDoRQVpFXULWDLUHHWGHVHSURWpJHUFRQWUHOHVEOHVVXUHVHWOHVPDODGLHVSURIHVVLRQ
QHOOHV
‡ TXHOHVSUDWLTXHVVpFXULWDLUHVGHWUDYDLOVRQWVXLYLHV

7RXVOHVHPSOR\pVRQWODUHVSRQVDELOLWpSHUVRQQHOOH
‡ GHVHIDPLOLDULVHUDYHFOHVSUDWLTXHVVpFXULWDLUHVGHWUDYDLOHWGHOHVREVHUYHU
‡ GHVHSURWpJHUDLQVLTXHOHXUVFROOqJXHVGHVEOHVVXUHVHWGHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV
‡ GHUHSpUHUHWGHUDSSRUWHUjOHXUKLpUDUFKLHOHVFRQGLWLRQVHWSUDWLTXHVGDQJHUHXVHV
‡ GHJDUGHUOHXUPLOLHXGHWUDYDLOSURSUHHQRUGUHHWVpFXULWDLUH

1RXVGHYRQVIDLUHGHODVpFXULWpXQGp¿jUHOHYHUHWXQHTXHVWLRQGH¿HUWp

/¶DXWRULWpWHUULWRULDOH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 ([HPSOH
$PpOLRUHU VHV UpVXOWDWV HQ PDWLqUH GH VDQWp VpFXULWp
HVW XQ pOpPHQW FOp GH FKDTXH FROOHFWLYLWp ,O HVW GRQF
QpFHVVDLUHGHFUpHUXQHRUJDQLVDWLRQFKDUJpHGHUHSUp
VHQWHUODPLVVLRQVDQWpVpFXULWpGXWUDYDLOHWGHGp¿QLU
OHVUqJOHVJpQpUDOHVDSSOLFDEOHVDX[GLIIpUHQWVVHUYLFHV
GDQV FH GRPDLQH HW JDUDQWLU OD SULVH HQ FRPSWH GH OD
VDQWpVpFXULWpDXWUDYDLODXSOXVKDXWQLYHDXGHODFRO
OHFWLYLWp
/D YRORQWp GH OD FROOHFWLYLWp HVW QRQ VHXOHPHQW GH
UHVSHFWHUOHVGLVSRVLWLRQVUpJOHPHQWDLUHVHWOHVUHFRP
PDQGDWLRQV SURIHVVLRQQHOOHV HW GH PHWWUH HQ °XYUH
OHV PHLOOHXUHV SUDWLTXHV PDLV pJDOHPHQW GH FKHUFKHU
FRQVWDPPHQW j DPpOLRUHU VHV SHUIRUPDQFHV GDQV OHV
GRPDLQHVGHODVpFXULWpGHODSURWHFWLRQGHODVDQWp
&HWWHDSSURFKHDFRQGXLWjODPLVHHQSODFHG¶XQSODQ
G¶DFWLRQ667HWjUHQIRUFHUQRWUHHQJDJHPHQWGDQVFH
GRPDLQHQRWDPPHQWSDUO¶pGLWLRQGHODSROLWLTXH667
/D UpXVVLWH HQ PDWLqUH GH 667 F¶HVW pJDOHPHQW Gp¿
QLU GHV PR\HQV SRXU \ SDUYHQLU PHWWUH HQ SODFH GHV
SURJUDPPHVHWGHVREMHFWLIVVSpFL¿TXHVHWV¶LQWpUHVVHU
DX[QRPEUHX[DVSHFWVGXPDQDJHPHQW667
/¶RUJDQLVDWLRQ HQ VDQWp VpFXULWp GX WUDYDLO YD GRQQHU
XQQRXYHOpODQjQRVDFWLRQVHWFRRUGRQQHUWRXWHVOHV
LQLWLDWLYHVHQJDJpHVDXMRXUG¶KXLVXUOHVD[HVGHWUDYDLO
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‡ SUpVHUYHUODYLHKXPDLQH
‡ SUpYHQLU HWUpGXLUH OHV ULVTXHV G¶LQFLGHQWV HWG¶DF
FLGHQWV
‡ DPpOLRUHU OHV SHUIRUPDQFHV GH OD FROOHFWLYLWp HQ
PDWLqUHGH667
‡ DVVXUHUODYHLOOHUpJOHPHQWDLUH
‡ VHQVLELOLVHUOHVDJHQWVSDUO¶LQIRUPDWLRQHWODFRP
PXQLFDWLRQ
‡ FRQWULEXHUjO¶XWLOLVDWLRQUDWLRQQHOOHGHQRVUHVVRXU
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‡ FRQGXLUH QRWUH FROOHFWLYLWp j DVVHRLU XQH FXOWXUH
VDQWpHWVpFXULWpGXWUDYDLO
‡ SURPRXYRLUO¶LQYHVWLVVHPHQWVRFLDO
0LVVLRQV
/HVPLVVLRQVHVVHQWLHOOHVHQPDWLqUHGH667FRQVLVWHQW
j
‡ pODERUHUODSROLWLTXHGHSUpYHQWLRQGHVULVTXHVSUR
IHVVLRQQHOV
‡ PHWWUHHQSODFHOHV\VWqPHGHPDQDJHPHQW667
‡ FRRUGRQQHUOHVDFWLRQV667DXVHLQGHFKDTXHVHU
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‡ YHLOOHUjODFRQIRUPLWpUpJOHPHQWDLUH
‡ DVVXUHUODIRUPDWLRQ
‡ LQVWDXUHUXQHFXOWXUH667DXVHLQGHODFROOHFWLYLWp
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/D FROOHFWLYLWp GHYUD UHVSHFWHU OHV SULQFLSHV JpQpUDX[
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3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
/HVSULQFLSHVPDMHXUVjUHVSHFWHUVRQWFODLUHPHQWUpVX
PpVSDUODIRUPXOH©SDVG¶DFFLGHQWDXFXQHDWWHLQWH
DX[SHUVRQQHVª
6DQWp
/DUpGXFWLRQGHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHVGRLWHWGH
YUDLWrWUHXQREMHFWLISULRULWDLUHHQUDLVRQGHVUpSHUFXV
VLRQVpFRQRPLTXHVHWVRFLDOHVLPSRUWDQWHVTXHFHOOHV
FLHQJHQGUHQWSRXUOHVDJHQWVHWODFROOHFWLYLWp
/HVREMHFWLIVHQPDWLqUHGHVDQWpVRQWGRQF
‡ 3UpYHQLUHWUpGXLUHO¶DSSDULWLRQOHVPDODGLHVSURIHV
VLRQQHOOHV
‡ 3URPRXYRLU XQ PLOLHX GH WUDYDLO VXU HW VDLQ SDU
O¶DPpOLRUDWLRQGHVFRQGLWLRQVGHWUDYDLO
‡ 5HFKHUFKHU OHV PHLOOHXUHV DGDSWDWLRQV SK\VLTXHV
HWSV\FKRORJLTXHVSRXUOHVHPSOR\pV
‡ &UpHU XQ HQYLURQQHPHQW GH WUDYDLO VDLQ SRXU OHV
HPSOR\pV
‡ 3URPRXYRLU O¶LQIRUPDWLRQ OD IRUPDWLRQ HW O¶pGXFD
WLRQ GDQV OH GRPDLQH GH OD VDQWp HW GH O¶K\JLqQH
DXWUDYDLO
6pFXULWp
/DSROLWLTXHGHSUpYHQWLRQSULYLOpJLHODVpFXULWpGHVSHU
VRQQHV
/DIRUPDWLRQHWODSUpYHQWLRQVRQWOHVFOpVGHO¶DPpOLRUD
WLRQGHVUpVXOWDWVGHVpFXULWpDXVHLQGHODFROOHFWLYLWp
/DUpGXFWLRQGXQRPEUHHWGHODJUDYLWpGHVDFFLGHQWV
GXWUDYDLOFRQFHUQDQWOHVDJHQWVSHUPDQHQWVHWOHVSUHV
WDWDLUHVH[WHUQHVHVWXQREMHFWLISULPRUGLDO
(QPDWLqUHGHVpFXULWpODFROOHFWLYLWpV¶HQJDJHj
‡ 5pGXLUHOHQRPEUHGHVDFFLGHQWVGHWUDYDLO
‡ 3URPRXYRLUXQQLYHDXGHVpFXULWppOHYp
‡ eOLPLQHUWRXWHFDXVHG¶LQFLGHQWVHWG¶DFFLGHQWV
‡ eOLPLQHUHWUpGXLUHSDUODSUpYHQWLRQOHVULVTXHVSRXU
ODYLHODVDQWpHWODVpFXULWpGHVLQVWDOODWLRQV
‡ $VVXUHUO¶LQWpJULWpHWODVpFXULWpGHVLQVWDOODWLRQV
‡ )RUPHUOHSHUVRQQHOGDQVOHGRPDLQHGHODVpFX
ULWp
&HWWH SROLWLTXH GH SUpYHQWLRQ GHV ULVTXHV SURIHVVLRQ
QHOVUHSRVHDXVVLVXUO¶LPSOLFDWLRQGHO¶HQFDGUHPHQWHW
O¶HQJDJHPHQW LQGLYLGXHO TXL VRQW OHV FRQGLWLRQV G¶XQH
DPpOLRUDWLRQFRQWLQXH
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
 2
SOMMAIRE

L’évaluation des risques professionnels

2.1 L’évaluation des risques professionnels - Document Unique

2.1.1 Méthodologie
Qu’est ce que ce document ?........................................................................................ p. 29
A quoi sert l’évaluation des risques ? ............................................................................ p. 29
Qui est responsable de l’élaboration de ce document unique ?.................................... p. 29
Qui participe à l’évaluation des risques ?...................................................................... p. 29
Comment réaliser l’évaluation des risques ?................................................................. p. 29
Quel formalisme utiliser ?.............................................................................................. p. 30
Références juridiques.................................................................................................... p. 30

2.1.2 Exemple de méthodologie d’évaluation des risques professionnels

Introduction.................................................................................................................... p. 31
ETAPE 1 – Préparation de l’évaluation ......................................................................... p. 31
ETAPE 2 – Recensement des activités......................................................................... p. 32
ETAPE 3 – Estimation du risque résiduel...................................................................... p. 33
ETAPE 4 – Classement des risques ............................................................................. p. 34-35
ETAPE 5 – Détermination des mesures de prévention ................................................. p. 36-38
ETAPE 6 – Plan d’action ............................................................................................... p. 38
Conclusion..................................................................................................................... p. 39
Annexes ........................................................................................................................ p. 40-47

 /D¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOV
2.2.1 Méthodologie
 4X¶HVWFHTXHOD¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOV" ....................................................... p. 48
 4XLUpGLJHOD¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOV............................................................... p. 48
 4XLSHXWFRQVXOWHUOD¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOV" ................................................ p. 48
 4XHOHVWOHFRQWHQXGHOD¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOV" ........................................ p. 48
Références juridiques.................................................................................................... p. 48

 0RGqOHGH¿FKHGHULVTXHV
...................................................................................................................................... p. 49-53

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 28

 /¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOV
GRFXPHQWXQLTXH
0pWKRGRORJLH
/HGpFUHWQƒGXQRYHPEUHLPSRVH
jO¶HPSOR\HXUGHWUDQVFULUHHWGHPHWWUHjMRXUGDQV
XQGRFXPHQWXQLTXHOHVUpVXOWDWVGHO¶pYDOXDWLRQGHV
ULVTXHVSRXUODVDQWpHWODVpFXULWpGHVWUDYDLOOHXUV
$TXRLVHUWO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV"
/¶REMHFWLIGHODGpPDUFKHHVWGHTXDQWL¿HUOHVULVTXHV
D¿QGHPHWWUHHQ°XYUHGHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ
DGDSWpHVDX[ULVTXHVUHFHQVpVHWGHPHQHUXQHYp
ULWDEOHSROLWLTXHGHVDQWpHWGHVpFXULWpDXWUDYDLO
DUW5GX&RGHGX7UDYDLO
&HWWHREOLJDWLRQDUHQIRUFpOD/RLQƒGX
GpFHPEUHTXLSUpYR\DLWGpMjjO¶DUWLFOH/
,,,DTXH©/HFKHIG¶pWDEOLVVHPHQWGRLWFRPSWH
WHQX GH OD QDWXUH GHV DFWLYLWpV GH O¶pWDEOLVVHPHQW
pYDOXHUOHVULVTXHVSRXUODVpFXULWpHWODVDQWpGHV
4XL HVW UHVSRQVDEOH GH O¶pODERUDWLRQ GH
FHGRFXPHQWXQLTXH"
/¶REOLJDWLRQ GH WUDQVFULSWLRQ GHV UpVXOWDWV GH O¶pYD
OXDWLRQGHVULVTXHVLQFRPEHjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
WUDYDLOOHXUV «  j OD VXLWH GH FHWWH pYDOXDWLRQ HW
HQ WDQW TXH GH EHVRLQ OHV DFWLRQV GH SUpYHQWLRQ
DLQVL TXH OHV PpWKRGHV GH WUDYDLO HW GH SURGXFWLRQ
PLVHVHQ°XYUHSDUO¶HPSOR\HXUGRLYHQWJDUDQWLUXQ
PHLOOHXUQLYHDXGHSURWHFWLRQGHODVpFXULWpHWGHOD
VDQWp GHV WUDYDLOOHXUV HW rWUH LQWpJUpHV GDQV O¶HQ
VHPEOHGHVDFWLYLWpVGHO¶pWDEOLVVHPHQWHWjWRXVOHV
4XLSDUWLFLSHjO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV"
&¶HVW XQ SURFHVVXV SOXULGLVFLSOLQDLUH 3RXU FHWWH
UDLVRQLOHVWHVVHQWLHOTXHODFROOHFWLYLWpV¶RUJDQLVH
SRXU rWUH DXWRQRPH GDQV FHWWH GpPDUFKH TXL GRLW
LPSOLTXHU OH SOXV JUDQG QRPEUH G¶DFWHXUV SRVVL
EOHV HQ LQWHUQH DXWRULWp WHUULWRULDOH HQFDGUHPHQW
$&02 PpGHFLQV GH  PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW
QLYHDX[GHO¶HQFDGUHPHQWª SUpYHQWLYHDJHQWV&73&+6%LHQHQWHQGXOHUH
&HWWH GpPDUFKH GH SURJUqV HVW XQH pWDSH HVVHQ FRXUVjGHVUHVVRXUFHVH[WHUQHVHVWWRXWjIDLWSRV
WLHOOHGDQVODPLVHHQ°XYUHG¶XQV\VWqPHGHPDQD VLEOH QRWDPPHQW SRXU DFTXpULU HW GpYHORSSHU GHV
JHPHQWLQWpJUDQWODVpFXULWpGXWUDYDLO FRPSpWHQFHVHQLQWHUQH
/H GpYHORSSHPHQW GH FHWWH DXWRQRPLH SHUPHW j
4X¶HVWFHTXHFHGRFXPHQW" O¶pWDEOLVVHPHQWSXEOLFGHUHVWHUPDvWUHGHVGpFLVLRQV
/HGRFXPHQWXQLTXHDGHX[IRQFWLRQVSULQFLSDOHV HWGHFRQWULEXHUjO¶DSSURSULDWLRQGHODGpPDUFKHSDU
‡ 5pDOLVHUXQELODQpFULWGHODVLWXDWLRQJpQpUDOH OHVDJHQWV
GHODFROOHFWLYLWpHQPDWLqUHG¶K\JLqQHGHVpFX
ULWpHWGHFRQGLWLRQVGHWUDYDLO
‡ &RQWULEXHUjO¶pODERUDWLRQG¶XQSODQG¶DFWLRQVGH
SUpYHQWLRQ

&RPPHQWUpDOLVHUO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV"
/HVpWDSHVHVVHQWLHOOHVVRQWOHVVXLYDQWHV

/¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV

3UpSDUDWLRQ (ODERUDWLRQG¶XQ
GHODGpPDUFKH SURJUDPPH

Gp¿QLWLRQPpWKRGH
PR\HQVU{OHV
0LVHHQRHXYUH
GHVDFWLRQV

5ppYDOXDWLRQGHV
ULVTXHV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 D 3UpSDUDWLRQGHODGpPDUFKH
&HWWH pWDSH HVW SDUWLFXOLqUHPHQW LPSRUWDQWH HOOH SHUPHW j
O¶DXWRULWp WHUULWRULDOH GH Gp¿QLU OHV REMHFWLIV OD PpWKRGH GH
WUDYDLO GH FRQVWLWXHU GHV JURXSHV GH WUDYDLO HW G¶LQIRUPHU
O¶HQVHPEOHGXSHUVRQQHOGHODGpPDUFKH
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ /LYUH,,WLWUH,,,GX&RGHGX7UDYDLO&KDSLWUHSUpOLPL
QDLUHSULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQ
‡ /RL Qƒ GX  GpFHPEUH  PRGL¿DQW OH
FRGHGXWUDYDLOHWOHFRGHGHODVDQWpSXEOLTXHHQYXH
GHIDYRULVHUODSUpYHQWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOV
E (YDOXDWLRQGHVULVTXHV
(OOHVHGpFOLQHHQSKDVHV
‡ 5HFHQVHPHQW GHV DFWLYLWpV
GHVDJHQWVGHVFROOHFWLYLWpV
‡ ,GHQWL¿FDWLRQ GHV GDQJHUV
OLpVjFHVDFWLYLWpV
‡ (YDOXDWLRQGXULVTXH
HW SRUWDQW WUDQVSRVLWLRQ GH GLUHFWLYHV HXURSpHQQHV
UHODWLYHVjODVDQWpHWjODVpFXULWpGXWUDYDLO
‡ 'pFUHW Qƒ  GX  QRYHPEUH  SRUWDQW
'pFUHWQƒ FUpDWLRQ G¶XQ GRFXPHQW UHODWLI j O¶pYDOXDWLRQ GHV
ULVTXHVSRXUODVDQWpHWODVpFXULWpGHVWUDYDLOOHXUV
SUpYXHSDUO¶DUWLFOH/GXFRGHGXWUDYDLOHWPR
GL¿DQW OH FRGH GX WUDYDLO GHX[LqPH SDUWLH  GpFUHWV
‡ 'pWHUPLQDWLRQGHVPHVXUHV /RLQƒ HQ&RQVHLOG¶(WDW
GHSUpYHQWLRQ

F (ODERUDWLRQGXSURJUDPPHG¶DFWLRQ
&HWWHpWDSHFRQVLVWHjSODQL¿HUOHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ
UHWHQXHVGDQVO¶pWDSHSUpFpGHQWHHWjGpWHUPLQHUOHGpODLGH
PLVHHQ°XYUHDLQVLTXHOHVSHUVRQQHVUHVSRQVDEOHV

G 0LVHHQ°XYUHGHVDFWLRQV
/HVSHUVRQQHVGpVLJQpHVUHVSRQVDEOHVGHVDFWLRQVPHWWHQW
HQ°XYUHOHSURJUDPPHVHORQOHVGpODLVLQGLTXpV

H 5ppYDOXDWLRQGXULVTXH
‡ /¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV Q¶HVW TX¶XQH SUHPLqUH pWDSH
(QHIIHWHOOHGRLWV¶LQVFULUHGDQVXQHGpPDUFKHG\QDPL
TXHHWGRQFpYROXWLYH
‡ 7URLV PRGDOLWpV G¶DFWXDOLVDWLRQ VRQW SUpYXHV SDU OD Up
JOHPHQWDWLRQ
8QHYpUL¿FDWLRQDQQXHOOHDYHFPLVHjMRXU
8QHDFWXDOLVDWLRQGXGRFXPHQWORUVG¶XQHGpFLVLRQ
G¶DPpQDJHPHQWLPSRUWDQWPRGL¿DQWOHVFRQGLWLRQV
G¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpWUDQVIRUPDWLRQGHVSRVWHV
GH WUDYDLO PRGL¿FDWLRQ GH O¶RXWLOODJH GHV SURGXLWV
RXGHO¶RUJDQLVDWLRQGXWUDYDLO
8QHPLVHjMRXUORUVTXHWRXWHLQIRUPDWLRQVXSSOp
PHQWDLUHFRQFHUQDQWO¶pYDOXDWLRQG¶XQULVTXHGDQV
XQHXQLWpGHWUDYDLOHVWUHFXHLOOLH

4XHOIRUPDOLVPHXWLOLVHU"
,O Q¶H[LVWH SDV GH GRFXPHQW W\SH &KDTXH FROOHFWLYLWp GRLW
FUpHUVRQSURSUHGRFXPHQW
7RXWHIRLV LO H[LVWH GHV H[HPSOHV GHV RXWLOV WDEOHDX[ HW
DXWUHV PRGqOHV pODERUpV SDU GHV SURIHVVLRQQHOV VXU OHV
TXHOVYRXVSRXYH]YRXVDSSX\HU
‡ 0LQLVWqUHGHO¶HPSORLGXWUDYDLOHWGHODFRKpVLRQVR
FLDOH  ©*XLGH G¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV SURIHVVLRQ
QHOVªHQOLEUDLULHDX[(GLWLRQV0RQWFKUpWLH
‡ ,QVWLWXW1DWLRQDOGH5HFKHUFKHHWGH6pFXULWp,156
©3ULQFLSH HW SUDWLTXHV UHFRPPDQGpV SDU OD &DLVVH
1DWLRQDOHG¶$VVXUDQFH0DODGLHGHV7UDYDLOOHXUV6D
ODULpV &1$076 OHV &DLVVHV 5pJLRQDOHV G¶$VVX
UDQFH 0DODGLH &5$0 OHV &DLVVHV *pQpUDOHV GH
6pFXULWp6RFLDOH&*66HWO¶,156SRXUO¶pYDOXDWLRQ
GHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVª('
‡ 2UJDQLVPHVSULYpVSUpYHQWHXUVGHVFROOHFWLYLWpVWHUULWR
ULDOHVHWGHVFHQWUHVGHJHVWLRQ

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 ([HPSOHGHPpWKRGRORJLHG¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOV
,QWURGXFWLRQ
3RXUTXRL XQ JXLGH VXU O¶pYDOXDWLRQ GHV
ULVTXHV"
/¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHVHVWXQHREOLJDWLRQLPSRVpH
SDUOHFRGHGXWUDYDLO(OOHDSRXUREMHFWLIGHGpWHFWHU
OHVULVTXHVDX[TXHOVVRQWH[SRVpVOHVDJHQWVHWGH
SURSRVHUGHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQD¿QG¶pOLPLQHU
RX GH UpGXLUH OHV ULVTXHV HW G¶DPpOLRUHU OHV FRQGL
WLRQVGHWUDYDLOG¶XQHPDQLqUHJpQpUDOH
/DUpJOHPHQWDWLRQLPSRVHG¶pYDOXHUOHVULVTXHVVXU
WRXVOHVSRVWHVGHWUDYDLO/HVUpVXOWDWVGHFHWWHpYD
OXDWLRQGHSXLVOHGpFUHWGXQRYHPEUHGpFUHW
/¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV QpFHVVLWH OD SDUWLFLSDWLRQ
DFWLYHGHWRXVOHVDJHQWVpWDQWGRQQpTXHO¶DFWLYLWp
GH WUDYDLO VXVFHSWLEOH G¶H[SRVHU OH SHUVRQQHO Q¶HVW
MDPDLV DXVVL ELHQ FRQQXH TXH SDU OHV DJHQWV HX[
PrPHV
/¶HQJDJHPHQWGHVpOXVHWGHO¶HQFDGUHPHQWHVWIRQ
GDPHQWDO HW OD PRELOLVDWLRQ GHV GLIIpUHQWV DFWHXUV
GDQVODGpPDUFKHWRXWDXVVLGpWHUPLQDQWH
(WDSH   3UpSDUDWLRQ GH
O¶pYDOXDWLRQ
2EMHFWLI
Qƒ GRLYHQW rWUH FRQVLJQpV GDQV XQ GR
FXPHQWXQLTXHTXLVHUDPLVjMRXUFKDTXHDQQpH
2UO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHVHVWXQHGpPDUFKHFRP
SOH[HTXLQpFHVVLWHGXWHPSVGHO¶LQYHVWLVVHPHQWHW
GHV FRPSpWHQFHV WHFKQLTXHV $XVVL HOOH GRLW rWUH
SURJUHVVLYH HW DPHQHU XQH FRQFHUWDWLRQ HQWUH OHV
GLIIpUHQWVDFWHXUVGHODFROOHFWLYLWp
&RQVFLHQWGHVGLI¿FXOWpVTXHUHYrWODPLVHHQ°XYUH
G¶XQHWHOOHGpPDUFKHSRXUOHVFROOHFWLYLWpVFHJXLGH
DpWppODERUpSRXUYRXVDLGHUSDVjSDVGDQVFHWWH
GpPDUFKH
&HWWH pWDSH HVW SDUWLFXOLqUHPHQW LPSRUWDQWH (OOH
SHUPHWjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGHGp¿QLUOHVREMHFWLIV
OD PpWKRGH GH WUDYDLO GH FRQVWLWXHU XQ JURXSH GH
WUDYDLO HW G¶LQIRUPHU O¶HQVHPEOH GX SHUVRQQHO GH OD
GpPDUFKH
'pPDUFKH
&RQVWLWXWLRQG¶XQJURXSHGHWUDYDLO
'DQVXQSUHPLHUWHPSVO¶DXWRULWpGRLWFRQVWLWXHUXQ
JURXSHGHWUDYDLOFRPSRVpG¶DJHQWVHWG¶pOXVUpIp
&RPPHQWHVWFRQVWLWXpFHJXLGH"
&HJXLGHGpWDLOOHOHVGLIIpUHQWHVpWDSHVQpFHVVDLUHV
jO¶pYDOXDWLRQHWjODPLVHHQ°XYUHGHPHVXUHVGH
SUpYHQWLRQ
,OVHGpFOLQHHQpWDSHV
‡ (WDSH3UpSDUDWLRQGHO¶pYDOXDWLRQ
‡ (WDSH5HFHQVHPHQWGHVDFWLYLWpV
‡ (WDSH,GHQWL¿FDWLRQGHVULVTXHV
‡ (WDSH&ODVVHPHQWGHVULVTXHV
‡ (WDSH   'pWHUPLQDWLRQ GHV PHVXUHV GH SUp
YHQWLRQ
‡ (WDSH3ODQG¶DFWLRQ
UHQWV /H QRPEUH GH SHUVRQQHV GH FH JURXSH HVW
IRQFWLRQGHODWDLOOHGHODFROOHFWLYLWp
&RPSRVLWLRQG¶XQJURXSHGHWUDYDLO
$XPRLQVXQpOXUpIpUHQW
/¶pOXUpIpUHQWSHXWSDUH[HPSOHrWUHO¶pOXUHVSRQVD
EOHGXSHUVRQQHOGHODVpFXULWpHWGHO¶K\JLqQH
/HU{OHGHVpOXVUpIpUHQWVHVWG¶DVVXUHUOHVXLYLGHOD
GpPDUFKHHWGHYHLOOHUjO¶LPSOLFDWLRQGHO¶HQVHPEOH
GXSHUVRQQHOGDQVFHWWHGpPDUFKH
,OVSHXYHQWSRXUFHODVHIDLUHDLGHUSDUOHVUHVSRQ
VDEOHV GH OD FROOHFWLYLWp SRXYDQW IDYRULVHU OH ERQ
GpURXOHPHQWGXSURMHW'*6VHFUpWDLUHGHPDLULH
&KDTXH pWDSH SUpVHQWH OHV DFWHXUV LQWHUYHQDQW OD
PpWKRGHjPHWWUHHQ°XYUHHWOHVRXWLOVjXWLOLVHU
%LHQ HQWHQGX FH JXLGH QH FRQVWLWXH TX¶XQH DLGH
SRXU OHV FROOHFWLYLWpV '¶DXWUHV PpWKRGHV G¶pYDOXD
WLRQH[LVWHQWHWSHXYHQWrWUHDSSOLTXpHV
/¶HVVHQWLHOQ¶HVWSDVODPpWKRGHG¶pYDOXDWLRQXWLOLVpH
PDLVODPDQLqUHGRQWODGpPDUFKHHVWPHQpHSRXU
SHUPHWWUHjFHWWHDFWLRQGHGXUHUGDQVOHWHPSV,O
V¶DJLWVXUWRXWG¶DSSRUWHUXQHUpÀH[LRQVXUOHVFRQGL
WLRQVGHWUDYDLOHWOHXUDPpOLRUDWLRQ
&RPPHQWrWUHV€UGHUpXVVLUODGpPDUFKH
G¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV" /¶$&02 $JHQW &KDUJp GH OD 0LVH HQ ¯XYUH GHV
3RXUDVVXUHUVDUpXVVLWHODGpPDUFKHG¶pYDOXDWLRQ
UHVSRQVDEOHGHVHUYLFH«
$XPRLQVXQDJHQWUpIpUHQW
3HXWrWUHDJHQWUpIpUHQWWRXWDJHQWGHODFROOHFWLYLWpTXL
‡ D XQH VHQVLELOLWp SDUWLFXOLqUH VXU WRXWHV OHV
TXHVWLRQVG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWp
‡ HVWELHQLQWpJUpGDQVODFROOHFWLYLWpHWDGHERQV
UDSSRUWVDYHFVHVFROOqJXHVGHWUDYDLO
/H U{OH GH FHV DJHQWV HVW GH PHQHU FRQFUqWHPHQW
VXUOHWHUUDLQODGpPDUFKHG¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV
,OHVWLPSRUWDQWTXHFHVDJHQWVVRLHQWVRXWHQXVSDU
XQHRXSOXVLHXUVSHUVRQQHVD\DQWXQSRXYRLUGHGp
FLVLRQ
UqJOHV G¶K\JLqQH HW GH VpFXULWp RX FRUUHVSRQGDQW
GHVULVTXHVGRLWUHSRVHUVXUXQHDSSURFKHVWUXFWX ORFDOGHSUpYHQWLRQGpVLJQpGDQVODFROOHFWLYLWpGRLW
UpHJOREDOHHWSDUWLFLSDWLYH QRWDPPHQWIDLUHSDUWLHGHFHVDJHQWVUpIpUHQWV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 'HVDFWHXUVH[WpULHXUV %XWGHO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV
'HVDFWHXUVH[WpULHXUVPpGHFLQGXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHV /HEXWGHO¶pYDOXDWLRQHVWGHUHFHQVHUWRXVOHVULVTXHVVXUXQSRVWH
VLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH FRQVHLOOHU SUpYHQWLRQ GX FHQWUH GH JHV GHWUDYDLOD¿QGHSRXYRLUPHWWUHHQSODFHGHVDFWLRQVTXLVXSSULPH
WLRQ«SHXYHQWpYHQWXHOOHPHQWrWUHFRQVXOWpVSRXUDLGHUOHJURXSH URQWRXGLPLQXHURQWOHULVTXH
GHWUDYDLOGDQVVDGpPDUFKH 3UpVHQWDWLRQGHODGpPDUFKH
5HPDUTXHV ([SOLTXHUDX[DJHQWVTXHGDQVXQSUHPLHUWHPSVXQHRXSOXVLHXUV
SHUVRQQHVUpIpUHQWVOHVDLGHURQWjpWDEOLUXQHOLVWHH[KDXVWLYHGH
'DQV OHV FROOHFWLYLWpV SOXV LPSRUWDQWHV LO HVW FRQVHLOOp GH PHWWUH HQ OHXUVDFWLYLWpV
SODFHGHX[W\SHVGHJURXSHVGHWUDYDLOSRXUPHQHUFHWWHGpPDUFKH (QVXLWHjSDUWLUGHFHWWHOLVWHLOVGpWHUPLQHURQWHQVHPEOHOHVULV
TXHVDX[TXHOVVRQWH[SRVpVOHVDJHQWVSRXUFKDTXHDFWLYLWp
8QFRPLWpGHSLORWDJH
/HVUpIpUHQWVSURFpGHURQWDXFODVVHPHQWGHVULVTXHVDYHFODSDU
,OHVWFRPSRVpG¶pOXVGHUHVSRQVDEOHVGHVHUYLFHV'*6'*67
WLFLSDWLRQ GHV DJHQWV HQ GpWHUPLQDQW OHV PRGDOLWpV G¶H[SRVLWLRQ
'5+GHPHPEUHVUHSUpVHQWDQWVGXSHUVRQQHODX&73&+6GX
JUDYLWpGXGDQJHUIUpTXHQFHHWGXUpHG¶H[SRVLWLRQ«
PpGHFLQGXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHHW
,OVSRXUURQWHQ¿QSURSRVHUGHVDFWLRQVFRUUHFWLYHVSRXUWUDLWHUOHV
GXVHUYLFHSUpYHQWLRQOHFDVpFKpDQW&HJURXSHLQWHUYLHQGUDVXU
ULVTXHVPLVHQpYLGHQFH
O¶RULHQWDWLRQGHODGpPDUFKHODGp¿QLWLRQGXSpULPqWUHG¶DFWLRQOH
,O HVW LPSRUWDQW GH SUpFLVHU DX[ DJHQWV TXH OHXU SDUWLFLSDWLRQ HVW
FKRL[GHVJURXSHVGHWUDYDLOODSODQL¿FDWLRQODYDOLGDWLRQGXWUDYDLO
HVVHQWLHOOHHWQpFHVVDLUH,OQHV¶DJLWSDVGHFRQWU{OHUOHXUDFWLYLWp
GHV JURXSHV OD Gp¿QLWLRQ GHV PR\HQV OD GpFLVLRQ GHV DFWLRQV j
PDLVG¶DPpOLRUHUOHXUVFRQGLWLRQVGHWUDYDLOHWGHVpFXULWp
HQWUHSUHQGUHHWODFRPPXQLFDWLRQDXSHUVRQQHO

8QRXSOXVLHXUVJURXSHVGHWUDYDLORSpUDWLRQQHOV
,OVVHURQWFKDUJpVFRQFUqWHPHQWGHUpDOLVHUOHWUDYDLOG¶LGHQWL¿FDWLRQ
/DFRPPXQLFDWLRQSHXWpJDOHPHQWrWUHUpDOLVpH
HW G¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV VXU OH WHUUDLQ (Q IRQFWLRQ GH OD WDLOOH
VRXVIRUPHpFULWH
GHODFROOHFWLYLWpSOXVLHXUVJURXSHVGLIIpUHQWVSRXUURQWrWUHFUppV
/DFRPSRVLWLRQGHFHVJURXSHVGHWUDYDLOVHUDGpWHUPLQpHSDUOH
FRPLWp GH SLORWDJH (Q WRXW FDV LO HVW QpFHVVDLUH G¶LQWpJUHU OH RX
OHV$&02 FRQFHUQpV j FH JURXSH HW VL SRVVLEOH OH PpGHFLQ GX
WUDYDLO ,O HVW pJDOHPHQW SRVVLEOH GH IDLUH DSSHO j GHV SHUVRQQHV
UHVVRXUFHVH[WHUQHVjODFROOHFWLYLWpSRXUDLGHUFHVJURXSHVGHWUD (WDSH   ± 5HFHQVHPHQW GHV
YDLOFHQWUHGHJHVWLRQ&5$0RUJDQLVPHVGHFRQVHLO«
DFWLYLWpV
2EMHFWLI
&HWWH pWDSH FRQVLVWH j pWDEOLU OD OLVWH GHV DFWLYLWpV DX VHLQ GH OD
E'p¿QLWLRQGHODPpWKRGHGHWUDYDLOHWGpWHUPLQDWLRQ
FROOHFWLYLWpHWjUHFHQVHUOHVDJHQWVHIIHFWXDQWFHVDFWLYLWpV3RXU
GHVXQLWpVGHWUDYDLO
FHWWH pWDSH OHV UpIpUHQWV VHURQW DPHQpV j UHQFRQWUHU OHV DJHQWV
'DQVXQGHX[LqPHWHPSVLOHVWQpFHVVDLUHTXHOHJURXSHGHWUDYDLO GHVGLIIpUHQWVVHUYLFHV
FKRLVLVVHODPpWKRGHG¶LQWHUYHQWLRQpWXGHGHWRXVOHVVHUYLFHVHQ
/DOLVWHGHVDFWLYLWpVSRXUUDrWUHpWDEOLH
SDUDOOqOHFKRL[G¶XQVHUYLFHSLORWH«HWSURFqGHDXGpFRXSDJHGHV
‡ VRLWSDUOHVDJHQWVGHVVHUYLFHVHX[PrPHVDYDQWO¶HQWUHWLHQ
XQLWpVGHWUDYDLO
DYHFOHVUpIpUHQWV
(QHIIHWODUpJOHPHQWDWLRQLPSRVHGHUpDOLVHUO¶pYDOXDWLRQGHVULV
‡ VRLWGLUHFWHPHQWSHQGDQWO¶HQWUHWLHQHQWUHOHVDJHQWVHWOHVUp
TXHV SDU ©XQLWp GH WUDYDLOª 8QH XQLWp GH WUDYDLO GRLW rWUH XQ HQ
IpUHQWV
VHPEOHFRKpUHQWG¶DFWLYLWpV,OV¶DJLUDGqVOHGpSDUWGHGp¿QLUFH
6HORQO¶LPSRUWDQFHGXVHUYLFHOHVUpIpUHQWVSRXUURQWUHQFRQWUHUXQ
TXH O¶RQ HQWHQG SDU XQLWp GH WUDYDLO  VHUYLFHV EkWLPHQWV SRVWHV
RXSOXVLHXUVDJHQWV
GHWUDYDLO«
3DUH[HPSOHGDQVOHVVHUYLFHVWHFKQLTXHVOHVXQLWpVGHWUDYDLOHQ
YLVDJHDEOHVSHXYHQWrWUHHVSDFHVYHUWVYRLULHEkWLPHQWV«'DQV
2XWLOV
)LFKH©5HFHQVHPHQWGHVDFWLYLWpVª
WRXVOHVFDVO¶LPSRUWDQWHVWTX¶DXFXQDJHQWRXDXFXQHLQVWDOODWLRQ
QHVRLWH[FOXGHFHGpFRXSDJH )LFKH©/LVWHGHVDJHQWVSDUDFWLYLWpª
(QRXWUHLOHVWQpFHVVDLUHGHUpÀpFKLUjODPDQLqUHG¶LQWpJUHUOHV
ULVTXHV OLpV DX[ EkWLPHQWV VWRFNDJHV DPpQDJHPHQW GHV SRVWHV 'pPDUFKH
GHWUDYDLO«TXLULVTXHQWG¶rWUHpFDUWpVVLO¶RQUpDOLVHXQGpFRXSDJH
SDUDFWLYLWp8QHXQLWpGHWUDYDLO©LQVWDOODWLRQªSHXWpYHQWXHOOHPHQW
rWUHFUppHVSpFL¿TXHPHQWSRXUDQDO\VHUFHVULVTXHV
6XUOD¿FKH©5HFHQVHPHQWGHVDFWLYLWpVª
‡ OLVWHUOHVDFWLYLWpVGDQVODqUHFRORQQH
‡ OLVWHU OHV WkFKHV FRUUHVSRQGDQW DX[ DFWLYLWpV GDQV OD qPH
FRORQQH
‡ GpFULUH OD WkFKH GDQV OD qPH FRORQQH HQ SUpFLVDQW OH PD
F,QIRUPDWLRQGXSHUVRQQHO WpULHO OHV SURGXLWV HW PpWKRGHV XWLOLVpV DLQVL TXH WRXWHV OHV
LQIRUPDWLRQVUHODWLYHVjO¶HQYLURQQHPHQWGHWUDYDLOTXLSRXUURQW
'DQV XQ WURLVLqPH WHPSV LO V¶DJLUD G¶LQIRUPHU O¶HQVHPEOH GHV
rWUHXWLOHVGDQVO¶pWDSHVXLYDQWHSRXULGHQWL¿HUOHVGDQJHUVDV
DJHQWVGHODFROOHFWLYLWp GHODGpPDUFKH G¶pYDOXDWLRQ GHVULVTXHV
TXLYDrWUHPLVHHQSODFH3RXUFHODLOHVWQpFHVVDLUHGHUpXQLUOHV VRFLpVjFKDTXHWkFKH
DJHQWVDYHFO¶DSSXLGHVUpIpUHQWV
6XUOD¿FKH©/LVWHGHVDJHQWVSDUDFWLYLWpª
‡ OLVWHUOHVDJHQWVHIIHFWXDQWFHVDFWLYLWpV
&RQWHQXGHO¶LQIRUPDWLRQ ‡ GpFULUH OD IRUPDWLRQ RX O¶H[SpULHQFH TXH FKDTXH DJHQW D GH
2EOLJDWLRQUpJOHPHQWDLUH O¶DFWLYLWp LQWLWXOp GH IRUPDWLRQV VXLYLHV QRPEUH G¶DQQpHV
/DUpJOHPHQWDWLRQLPSRVHG¶pYDOXHUOHVULVTXHVVXUWRXVOHVSRVWHV G¶H[SpULHQFHGDQVO¶H[pFXWLRQGHO¶DFWLYLWp«
GHWUDYDLO/HVUpVXOWDWVGHFHWWHpYDOXDWLRQGRLYHQWrWUHFRQVLJQpV ‡ LQGLTXHUVLO¶DFWLYLWpHVWKDELWXHOOHRXRFFDVLRQQHOOHSRXUFKD
GDQVXQGRFXPHQWXQLTXHTXLVHUDPLVjMRXUFKDTXHDQQpH TXHDJHQW

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
([HPSOH
/¶H[HPSOHFLGHVVRXVLOOXVWUHOHGpFRXSDJHSRXYDQWrWUHUpDOLVpSRXUO¶DFWLYLWp©pODJDJHªORUVGXUHFHQVHPHQWGDQVO¶XQLWp
GHWUDYDLO©HVSDFHVYHUWVª

),&+('(5(&(16(0(17'(6$&7,9,7(6

'$7( 1RPVGHVSHUVRQQHVFRQVWLWXDQW 

OHJURXSHGHWUDYDLO 

81,7e'(75$9$,/ (63$&(69(576
$FWLYLWpV 7kFKHV 'HVFULSWLRQGHODWkFKH
OLVWHUO¶HQVHPEOHGHVWkFKHVUpDOL 8QHGHVFULSWLRQSUpFLVHGHODWkFKHSHU
VpHVSDUOHVDJHQWVVDQVRPHWWUH PHW GH IDFLOLWHU O¶LGHQWL¿FDWLRQ GHV GDQ
OHVWkFKHVRFFDVLRQQHOOHVH[FHS JHUVTXL\VRQWDVVRFLpV
WLRQQHOOHVRXOHVVLWXDWLRQVGpJUD
GpHV
(ODJDJH $FFqVGDQVOHVDUEUHV
8WLOLVDWLRQG¶XQHWURQoRQQHXVH
7UDYDLO HQ ERUGXUH GH URXWH SRXU 8QVHXODJHQWDYHFODWURQoRQQHXVH
O¶pODJDJHGHFHUWDLQVDUEUHV
7RQWH 3UpSDUDWLRQGXPDWpULHO
7RQWH
(YDFXDWLRQGHVGpFKHWV
7UDYDLO WRXMRXUV UpDOLVp j GHX[ DX PLQL
PXP
8WLOLVHpFKHOOHVLPSOHHQDOXFRXOLVVDQWH
7UDYDLOUpDOLVpVHXO
0DWpULHO HW RXWLO GDQV DWHOLHUV (9 WUDQV
SRUWDYHFXQHUHPRUTXHMXVTX¶DXOLHXGH
WRQWH
+HUEHVVRQWWUDQVSRUWpHVDYHFOHFDPLRQ
MXVTX¶jODGpFKHWWHULHGDQVODMRXUQpH

/,67('(6$*(1763$5$&7,9,7(6 '$7(
$&7,9,7e(/$*$*( 81,7e'(75$9$,/(63$&(69(576
1EUHG¶DJHQWVHIIHFWXDQWFHWWHDFWLYLWp
1203UpQRP )RUPDWLRQ HWRX H[SpULHQFH $FWLYLWp
GDQVO¶DFWLYLWp +DELWXHOOH 2FFDVLRQQHOOH
0DGDPH) )RUPDWLRQpODJXHXUQLYHDX ;
0RQVLHXU7 DQVG¶H[SpULHQFH ;
0RQVLHXU3 6DQVIRUPDWLRQHWH[SpULHQFH ;

(WDSH±,GHQWL¿FDWLRQGHVULVTXHV ‡ UHSRUWHU GDQV OD qUH FRORQQH OHV WkFKHV UHFHQVpHV

SRXUFHWWHDFWLYLWpVXUOD¿FKH©5HFHQVHPHQWGHVDF
2EMHFWLI WLYLWpVª
&HWWH pWDSH FRQVLVWH j UHFKHUFKHU OHV ULVTXHV DVVRFLpV j ‡ 'DQVODGHX[LqPHFRORQQHOLVWHUOHVULVTXHVDVVRFLpVj
FKDTXHWkFKHDXVHLQG¶XQHDFWLYLWpjSDUWLUGHODOLVWHG¶DF FKDTXHWkFKHjO¶DLGHGXGHVFULSWLIGHVWkFKHVUpDOLVpHV
WLYLWpVpWDEOLHGDQVO¶pWDSHSUpFpGHQWH GDQVOD¿FKH©5HFHQVHPHQWGHVDFWLYLWpVª
‡ ,O HVW SRVVLEOH GH V¶DLGHU SRXU OLVWHU OHV ULVTXHV GH OD
JULOOHGHEDOD\DJHGHVULVTXHVDWWHQWLRQFHWWHOLVWHQ¶HVW
&RPPHQW SDVH[KDXVWLYH
(QWUHWLHQHQWUHOHVUpIpUHQWVHWOHVDJHQWVFRQFHUQpV
/HVFRORQQHVVXLYDQWHVpYDOXDWLRQGHVULVTXHVPR\HQVGH
SUpYHQWLRQH[LVWDQWVPDvWULVHGXULVTXHVHURQWH[SOLFLWpHVHW
2XWLOV XWLOLVpHVGDQVOHVpWDSHVVXLYDQWHV
‡ )LFKH©5HFHQVHPHQWGHVDFWLYLWpVªUHQVHLJQpHGDQV
O¶pWDSH
‡ )LFKH©$QDO\VHGHVULVTXHVª ([HPSOH
‡ *ULOOHGHEDOD\DJHGHVULVTXHVHQDQQH[H, /¶H[HPSOHSDJHVXLYDQWHUHSUHQGOHVGLIIpUHQWVpOpPHQWVGH
ODWkFKH©pODJDJHªUHFHQVpHSUpFpGHPPHQWHW\DVVRFLH
OHVULVTXHV
'pPDUFKH
2QpWDEOLUDXQH¿FKHG¶DQDO\VHGHVULVTXHVSDUDFWLYLWp
6XUOD¿FKH©$QDO\VHGHVULVTXHVª
‡ UHSRUWHUO¶XQLWpGHWUDYDLOHWO¶DFWLYLWppWXGLpHGDQVO¶HQ
WrWH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 ),&+(),&+('¶$1$/<6('(65,648(6 '$7(
81,7e'(75$9$,/VHUYLFHWHFKQLTXH $&7,9,7eHVSDFHVYHUWV
$FWLYLWp 7kFKHVHW'HVFULS 'HVFULSWLRQGHV5LVTXHV (YDOXDWLRQ GX 0R\HQVGHSUpYHQWLRQ 0DvWULVH GX
WLRQGHODWkFKH ULVTXH H[LVWDQWV PHVXUHV ULVTXH
GH SUpYHQWLRQ WHFK

%RQQH

,QVXI¿VDQWH
QLTXHV RUJDQLVDWLRQ
QHOOHVKXPDLQHV«
) * 5

(ODJDJH $FFqV GDQV OHV 5LVTXHGHFKXWHGHKDXWHXU

DUEUHV 5LVTXHGHFKXWHGHPDWpULHOVXUXQH
7UDYDLOHQKDXWHXU SHUVRQQHDXSLHGGHO¶DUEUH
0DQXWHQWLRQ GHV 5LVTXH WURXEOHV GRUVRORPEDLUHV
pFKHOOHV PDOGHGRV
8WLOLVDWLRQ GH OD 5LVTXHGHFRXSXUH
WURQoRQQHXVH 5LVTXH GH VXUGLWp OLp DX EUXLW pPLV
7UDYDLOHQERUGXUH SDUODWURQoRQQHXVH
GHURXWH 5LVTXH GH SURMHFWLRQ GH FRSHDX[
GDQVOHV\HX[
5LVTXHGHKHXUWSDUXQYpKLFXOH
    

(WDSH(VWLPDWLRQGXULVTXH *  0RUW RX LQYDOLGLWp SHUPDQHQWH DEVROXH pOHFWURFXWLRQ

FKXWHGHKDXWHXUFDQFHU«
UpVLGXHO
/HV UpIpUHQWV HQ FROODERUDWLRQ DYHF OHV DJHQWV FRQFHUQpV
2EMHFWLI GpWHUPLQHURQWODIUpTXHQFHDLQVLTXHODJUDYLWpSRXUFKDFXQ
&HWWHpWDSHFRQVLVWHjKLpUDUFKLVHUOHVULVTXHVSRXUSHUPHW GHVULVTXHVLGHQWL¿pVjO¶pWDSHSUpFpGHQWHHWUHFHQVpVVXU
WUHGHGpJDJHUXQRUGUHGHSULRULWpD¿QGHSURJUDPPHUGHV OD),&+(/HVYDOHXUVHVWLPpHVGHVQLYHDX[GHIUpTXHQFH
DFWLRQV YLVDQW j VXSSULPHU RX j GLPLQXHU FHV ULVTXHV (OOH ))))HWGHJUDYLWp****DLQVLGpWHU
VHUD UpDOLVpH FRPPH j O¶pWDSH SUpFpGHQWH SDU OHV UpIp PLQpHVVHURQWLQVFULWHVGDQVODFRORQQHFRUUHVSRQGDQWHGH
UHQWVHQFROODERUDWLRQDYHFOHVDJHQWVFRQFHUQpV OD¿FKHG¶DQDO\VHGHVULVTXHV),&+(
2XWLOV
)LFKH©/LVWHGHVDJHQWVSDUDFWLYLWpª &/$66(0(17'(65,648(65
)LFKH©$QDO\VHGHVULVTXHVª
,OUHVWHHQVXLWHjGpWHUPLQHUOHQLYHDXGHULVTXH5HQIRQF
'pPDUFKH WLRQGXQLYHDXGHIUpTXHQFH)HWGXQLYHDXGHJUDYLWp*
&HWWH KLpUDUFKLVDWLRQ RX FODVVHPHQW GHV ULVTXHV 5 HVW 'DQVOHWDEOHDXGHUpIpUHQFHVXLYDQWRQFURLVHUD)HW*TXH
UpDOLVpHHQIRQFWLRQGHGHX[FULWqUHV O¶RQYLHQWGHGpWHUPLQHU
‡ ODIUpTXHQFHG¶H[SRVLWLRQDXULVTXH)
‡ ODJUDYLWpG¶XQDFFLGHQWSRWHQWLHO* 2QUHJDUGHDORUVjTXHOQLYHDXGHULVTXH5FHODFRUUHVSRQG
GDQVOHWDEOHDXVXLYDQW
'(7(50,1$7,21'(/$)5(48(1&()
,OH[LVWHQLYHDX[GHIUpTXHQFHG¶H[SRVLWLRQDXULVTXH ) ) ) ) )
)IUpTXHQFHG¶H[SRVLWLRQIDLEOHXQjGHX[MRXUVSDUDQ *
)  IUpTXHQFH G¶H[SRVLWLRQ PR\HQQH XQ j GHX[ MRXUV SDU * 5 5 5 5
PRLV
* 5 5 5 5
)  IUpTXHQFH G¶H[SRVLWLRQ  IRUWH XQ j GHX[ MRXUV SDU VH
PDLQH * 5 5 5 5
)IUpTXHQFHG¶H[SRVLWLRQWUqVIRUWHWRXVOHVMRXUV * 5 5 5 5

'(7(50,1$7,21'(/$*5$9,7(* 5ULVTXHWUqVLPSRUWDQW
/D JUDYLWp VH Gp¿QLW FRPPH OD FRQVpTXHQFH SUREDEOH HQ
5ULVTXHLPSRUWDQW
FDVGHUpDOLVDWLRQGHO¶DFFLGHQW
,OH[LVWHQLYHDX[GHJUDYLWp 5ULVTXHVHFRQGDLUH
*  'RPPDJHV PLQHXUV OpVLRQV VXSHU¿FLHOOHV RX LQFRQ
IRUW 5ULVTXHPLQHXU
*'RPPDJHVDYHFFRQVpTXHQFHVUpYHUVLEOHVHQWRUVHV
FRXSXUHVOXPEDJR«
&HQLYHDXGHULVTXHVHUDUHSRUWpGDQVOD¿FKH
*  'RPPDJHV DYHF VpTXHOOHV FRQVpTXHQFHV LUUpYHUVL
G¶DQDO\VHGHVULVTXHV),&+(
EOHVVXUGLWpVHFWLRQQHPHQWpFUDVHPHQWWUDXPDWLVPH«

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 (9$/8$7,21'81,9($8'(0$Ì75,6('(6 )
) ) ) )
5,648(6 *

* 5 5 5 5
3DUUDSSRUWjODYDOHXU5GpWHUPLQpHRQUHJDUGHOHVPR\HQV
GHSUpYHQWLRQGpMjPLVHQSODFHSRXUSUpYHQLUOHULVTXHG¶XQ
SRLQWGHYXHWHFKQLTXHKXPDLQHWRUJDQLVDWLRQQHO * 5 5 5 5

* 5 5 5 5
3DUH[HPSOH
‡ G¶XQ SRLQW GH YXH WHFKQLTXH  RXWLOODJH DGDSWp jOD Wk * 5 5 5 5
FKH IRXUQLWXUH G¶pTXLSHPHQWV GH SURWHFWLRQ FROOHFWLYH
RXG¶pTXLSHPHQWVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH«
‡ G¶XQSRLQWGHYXHRUJDQLVDWLRQQHOpODERUDWLRQGHSURFp 2QFURLVHOHVYDOHXUV)HW*GpWHUPLQpHVSUpFpGHPPHQW
GXUHVG¶LQWHUYHQWLRQLQWHUYHQWLRQVUpDOLVpHVjFHUWDLQHV HWRQREWLHQWXQQLYHDXGHULVTXH5F¶HVWjGLUHXQULVTXH
KHXUHVSRXUpYLWHUFHUWDLQHVQXLVDQFHVQXLWSUpVHQFH WUqVLPSRUWDQW
GXSXEOLF«
‡ G¶XQSRLQWGHYXHKXPDLQIRUPDWLRQVXUYHLOODQFHPp
GLFDOH 'pWHUPLQDWLRQGHODPDvWULVHGXULVTXH
&HVPR\HQVGHSUpYHQWLRQVRQWOLVWpVGDQVODFRORQQHSUp 'DQVO¶H[HPSOHVXLYDQWTXLFRQFHUQHOHULVTXHGHFKXWHGH
YXHjFHWHIIHW KDXWHXU GHV KDUQDLV GH VpFXULWp VRQW IRXUQLV DX[ DJHQWV
PDLVQHVRQWSDVSRUWpV'HFHIDLWODPDvWULVHGXULVTXHHVW
(Q IRQFWLRQ GX FODVVHPHQW GX ULVTXH 5 HW GHV PR\HQV GH LQVXI¿VDQWH
SURWHFWLRQH[LVWDQWVOHJURXSHGHWUDYDLOYDMXJHUVLOHULVTXH
HVWFRUUHFWHPHQWPDvWULVpRXQRQFRORQQH©PDvWULVHGXULV
TXHªERQQHRXLQVXI¿VDQWH),&+(

'DQVWRXVOHVFDVSRXUpYDOXHUVLOHULVTXHHVWFRUUHFWHPHQW
PDvWULVpLOQHVXI¿WSDVGHVHFRQWHQWHUGHVPHVXUHVGHSUp
YHQWLRQTXLVRQWPLVHVjODGLVSRVLWLRQGHVDJHQWVLOV¶DJLW
G¶pYDOXHUO¶HI¿FDFLWpUpHOOHGHFHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ

/¶H[HPSOH SDJH VXLYDQWH PRQWUH FRPPHQW FODVVHU OHV ULV

TXHVSRXUOHHUSRLQWUHFHQVpGDQVOD),&+(ULVTXHGH
FKXWHGHKDXWHXUORUVGHO¶pODJDJH

2QVHSODFHGDQVOHFDVGHDJHQWVTXLpODJXHQW
PRLVGDQVO¶DQQpHDYHFXQHpFKHOOH

'pWHUPLQDWLRQGH)
/¶DFWLYLWp HVW UpDOLVpH  PRLV GDQV O¶DQQpH VRLW HQYLURQ 
MRXUVGHWUDYDLO/HVDJHQWVpWDQWjUpDOLVHUFHWWHDFWLYLWp
FHOD FRUUHVSRQG j  MRXUV GH WUDYDLO SDU DQ VRLW XQH IUp
TXHQFHGHjMRXUVSDUVHPDLQH )UpTXHQFH)RUWH)

'pWHUPLQDWLRQGH*
'DQVOHFDVGXULVTXH©FKXWHGHKDXWHXUªODJUDYLWpHVW
WUqVLPSRUWDQWHULVTXHGHPRUW *

'pWHUPLQDWLRQGH5
2Q UHSRUWH OHV YDOHXUV ) HW * GpWHUPLQpHV HW RQ XWLOLVH OH
WDEOHDXGHUpIpUHQFHSRXUGpWHUPLQHUOHQLYHDXGHULVTXH5

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 ),&+(),&+('¶$1$/<6('(65,648(6 '$7(
81,7e'(75$9$,/VHUYLFHWHFKQLTXH $&7,9,7eHVSDFHVYHUWV
$FWLYLWp 7kFKHV HW 'HV 'HVFULSWLRQGHV5LVTXHV (YDOXDWLRQ GX 0R\HQVGHSUpYHQWLRQ 0DvWULVHGX
FULSWLRQ GH OD Wk ULVTXH H[LVWDQWVPHVXUHVGH ULVTXH
FKH SUpYHQWLRQWHFKQLTXHV

%RQQH

,QVXI¿VDQWH
RUJDQLVDWLRQQHOOHVKX
) * 5 PDLQHV«

(ODJDJH $FFqV GDQV OHV 5LVTXHGHFKXWHGHKDXWHXU ) * 5 )RXUQLWXUH GH KDUQDLV ;

DUEUHV 5LVTXH GH FKXWH GH PDWpULHO GHVpFXULWpQRQSRUWp
7UDYDLO HQ KDX VXUXQHSHUVRQQHDXSLHGGH SDUOHVDJHQWV
WHXU O¶DUEUH
0DQXWHQWLRQ GHV 5LVTXHGHWURXEOHVGRUVRORP
pFKHOOHV EDLUHVPDOGHGRV
8WLOLVDWLRQ GH OD 5LVTXHGHFRXSXUH
WURQoRQQHXVH 5LVTXHGHVXUGLWpOLpDXEUXLW
7UDYDLO HQ ERU pPLVSDUODWURQoRQQHXVH
GXUHGHURXWH 5LVTXH GH SURMHFWLRQ GH FR
SHDX[GDQVOHV\HX[
5LVTXHGHKHXUWSDUXQYpKL
FXOH
    

(WDSH'pWHUPLQDWLRQGHV DGDSWpHVRXV¶LOQ¶H[LVWHSDVGHPHLOOHXUHVVROXWLRQV
,O V¶DJLW GH Gp¿QLU SRXU FKDTXH ULVTXH OHV PHVXUHV GH SUp
PHVXUHVGHSUpYHQWLRQ
YHQWLRQ TXL SHXYHQW SHUPHWWUH G¶pOLPLQHU RX G¶DWWpQXHU  OH
ULVTXH
2EMHFWLI
&HWWHpWDSHFRQVLVWHjUHFKHUFKHUGHVPHVXUHVGHSUpYHQ &HVPHVXUHVSHXYHQWrWUHGHVPHVXUHVUHODWLYHVj
WLRQ DGDSWpHV D¿Q GH UpGXLUH RX GH VXSSULPHU OHV ULVTXHV ‡ ODWHFKQLTXHDPpQDJHPHQWPDWpULHOFRQVWUXFWLRQ«
PLVHQpYLGHQFHSUpFpGHPPHQW
‡ O¶RUJDQLVDWLRQPpWKRGHGHWUDYDLOKRUDLUH«
‡ O¶KXPDLQ  IRUPDWLRQ RX LQIRUPDWLRQ IRUPDWLRQ VSpFL¿
&RPPHQW TXH DI¿FKDJH GHV FRQVLJQHV DX SRVWH GH WUDYDLO«
(QWUHWLHQGHO¶DJHQWUpIpUHQWDYHFOHVDJHQWVFRQFHUQpV VXUYHLOODQFHPpGLFDOH

2XWLOV (OOHVGRLYHQWrWUHGpWHUPLQpHVHQIRQFWLRQGHVSULQFLSHVJp
QpUDX[GHSUpYHQWLRQ&HVSULQFLSHVSHUPHWWHQWGHVHSRVHU
)LFKH©$QDO\VHGHVULVTXHVª
OHVTXHVWLRQVHVVHQWLHOOHVSRXUWUDLWHUFKDTXHULVTXH
)LFKH©0HVXUHVGHSUpYHQWLRQª
5DSSHOGHVSULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQ

'pPDUFKH
6XUOD¿FKHPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ),&+(
‡ UHSRUWHUGDQVOHVFRORQQHVHWOHVULVTXHVUHFHQVpV
GDQVOD),&+(HQSURFpGDQWSDURUGUHGHSULRULWpVH
ORQOHFODVVHPHQWGXULVTXHG¶DERUGOHVULVTXHVGHW\SH
5MXVTX¶DX[ULVTXHVGHW\SH5
‡ GDQVODqPHFRORQQHUHSRUWHUO¶DFWLYLWpODWkFKHFRU
UHVSRQGDQWDXULVTXH
‡ GDQVODqPHFRORQQHQRWHUWRXWHVOHVPHVXUHVGHSUp
YHQWLRQSRVVLEOHVSRXUFKDTXHDFWLYLWp

,OFRQYLHQWLFLGHUppWXGLHUWRXWHVOHVVROXWLRQVPrPHFHOOHV
GpMj PLVHV HQ SODFH SRXU YpUL¿HU VL HOOHV VRQW UpHOOHPHQW

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 ([HPSOH
3ULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQ
/LVWH QRQ H[KDXVWLYH GHV TXHVWLRQV j VH SRVHU SRXU O¶pOD
$UW/GX&RGHGX7UDYDLO
JDJHGHVDUEUHV

(VWLO QpFHVVDLUH GH PRQWHU SRXU WUDYDLOOHU " 3HXWRQ IDLUH

(YLWHUOHVULVTXHV
DXWUHPHQW"

'HTXHOOHKDXWHXU"'XUpHGXWUDYDLO"&RPELHQG¶DJHQWV"
(YDOXHUOHVULVTXHVTXLQHSHXYHQWrWUHpYLWpV
'DQVTXHOOHVFRQGLWLRQV"

/HVHVSDFHVYHUWVVRQWLOVFRQoXVGHPDQLqUHjIDFLOLWHUO¶HQ
&RPEDWWUHOHVULVTXHVjODVRXUFH
WUHWLHQ"

/HV pTXLSHPHQWV XWLOLVpV VRQWLOV DGDSWpV j OD VLWXDWLRQ GH

$GDSWHUOHWUDYDLOjO¶KRPPH
WUDYDLO"$X[DJHQWV"

'HQRXYHDX[pTXLSHPHQWVGHWUDYDLOSHUPHWWHQWLOVG¶DPp
7HQLUFRPSWHGHO¶pWDWG¶pYROXWLRQGHODWHFKQLTXH
OLRUHUOHVFRQGLWLRQVGHVpFXULWpHWGHPDvWULVHUOHVULVTXHV"

 5HPSODFHU FH TXL HVW GDQJHUHX[ SDU FH TXL Q¶HVW SDV
3HXWRQUHPSODFHUOHPDWpULHOGDQJHUHX["
GDQJHUHX[RXFHTXLO¶HVWPRLQV

3RXUFKDTXHLQWHUYHQWLRQTXHOVVRQWOHVEHVRLQVHQPDWp
3ODQL¿HUODSUpYHQWLRQ
ULHOKRPPHVIRUPDWLRQ"

6LOHULVTXHGHFKXWHGHPHXUHHVWLOSRVVLEOHGHPHWWUHHQ
 3UHQGUH GHV PHVXUHV GH SURWHFWLRQ FROOHFWLYH HQ OHXU
SODFH
GRQQDQW OD SULRULWp VXU OHV PHVXUHV GH SURWHFWLRQ LQGLYL
 GHVSURWHFWLRQVFROOHFWLYHV"
GXHOOH
 GHVSURWHFWLRQVLQGLYLGXHOOHV"

4XHOOHV LQVWUXFWLRQV RX TXHOOH IRUPDWLRQ GRQQHU j O¶DJHQW

'RQQHUOHVLQVWUXFWLRQVDSSURSULpHVDX[DJHQWV
SRXUWUDYDLOOHUHQVpFXULWp"

5HPDUTXHV /¶H[HPSOHSDJHVXLYDQWHIDLWpWDWGHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ
SRXYDQWrWUHSURSRVpHVSRXUUpGXLUHOHVULVTXHVGHFKXWHGH
KDXWHXU
3URWHFWLRQV FROOHFWLYHV SULRULWDLUHV VXU SURWHF
WLRQVLQGLYLGXHOOHV
$YDQWGHPHWWUHHQSODFHXQpTXLSHPHQWGHSURWHFWLRQLQGL
YLGXHOOH(3,LOFRQYLHQWG¶pWXGLHUWRXWHVOHVDXWUHVSRVVLEL
OLWpVYLVDQWjUpGXLUHOHVULVTXHVPpWKRGHGHWUDYDLOWHFKQL
TXHXWLOLVpHPR\HQVGHSURWHFWLRQFROOHFWLYH
&HQ¶HVWTX¶HQFDVG¶LPSRVVLELOLWpGHUpDOLVDWLRQGHFHVGLI
IpUHQWHVPHVXUHVRXHQFRPSOpPHQWTXHOHV(3,DSSURSULpV
SHXYHQWrWUHPLVHQSODFH

7RXMRXUVGRQQHUGHVLQVWUXFWLRQVGHWUDYDLO
/HSULQFLSHGHSUpYHQWLRQQƒGRQQHUOHVLQVWUXFWLRQVDSSUR
SULpHVDX[DJHQWVHVWDSSOLFDEOHGDQVWRXVOHVFDV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 ),&+(),&+(0(685(6'(35(9(17,21
6(59,&(VHUYLFHWHFKQLTXHHVSDFHVYHUWV
$FWLYLWpV 0HVXUHVGHSUpYHQWLRQSRVVLEOHV
5 5LVTXHV
FRUUHVSRQGDQWHV 7HFKQLTXHV 2UJDQLVDWLRQQHOOHV +XPDLQHV
7UDYDLO GHSXLV OH VRO
DYHF XQH WURQoRQQHX
VHWpOHVFRSLTXH
)RUPDWLRQGHVDJHQWVj
8WLOLVDWLRQ G¶XQH QD
ODFRQGXLWHGHODQDFHOOH
FHOOH
HQVpFXULWp

,QWHUYHQWLRQ GDQV )RXUQLWXUH G¶pTXLSH (ODERUDWLRQ GH FRQVL

&KXWHGH
5 O¶DUEUH DX FRXUV PHQWV GH SURWHFWLRQ JQHVSRXUOHSRUWGHFHV
KDXWHXU LQGLYLGXHOOH KDUQDLV
GHO¶pODJDJH (3,
GH VpFXULWp FDVTXH
)RUPDWLRQGHVDJHQWVj
YLVLqUHFKDXVVXUHVGH
O¶XWLOLVDWLRQ G¶XQ KDUQDLV
VpFXULWp DQWLGpUDSDQ
GHVpFXULWp
WHV
9pUL¿FDWLRQGHO¶DSWLWXGH
PpGLFDOH SRXU WUDYDX[
HQKDXWHXU

(WDSH3ODQG¶DFWLRQ 'pPDUFKH
/HSODQG¶DFWLRQSHXWrWUHUpDOLVpVRLWSRXUO¶HQVHPEOHGHOD
2EMHFWLI FROOHFWLYLWpVRLWSDUVHUYLFH&HSODQG¶DFWLRQSHXWrWUHDQ
&HWWHpWDSHFRQVLVWHjSODQL¿HUOHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ QXHORXSOXULDQQXHO
UHWHQXHVGDQVO¶pWDSHSUpFpGHQWHHWjHQGpWHUPLQHUOHGpODL ,OFRQYLHQWGHFKRLVLUHQSULRULWpOHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQ
GHPLVHHQ°XYUHDLQVLTXHOHVSHUVRQQHVUHVSRQVDEOHV TXLUpGXLVHQWOHULVTXHDXPD[LPXPHQIRQFWLRQGHVPR\HQV
GH OD FROOHFWLYLWp %LHQ HQWHQGX SOXVLHXUV PHVXUHV GH SUp
&RPPHQW YHQWLRQ VRXYHQW FRPSOpPHQWDLUHV SHXYHQW rWUH UHWHQXHV
(QWUHWLHQHQWUHOHVpOXVOHVUpIpUHQWVHWOHVGLIIpUHQWVDJHQWV SRXUXQPrPHULVTXH
FRQFHUQpV
/HSODQG¶DFWLRQGHYUDrWUHVLJQpSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
2XWLOV
)LFKH©3ODQG¶DFWLRQª
5DSSHOGHVSULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQ

),&+(3/$1'¶$&7,21
&2//(&7,9,7e286(59,&(VHUYLFHWHFKQLTXHHVSDFHVYHUWV
$FWLRQVjPHWWUHHQ°XYUH 'pODL 1RPGHODSHUVRQQHUHVSRQVD 68,9,
EOHGXVXLYLGHO¶DFWLRQ

‡ $FKDWG¶XQHWURQoRQQHXVH
WpOHVFRSLTXH MRXUV 0<

‡ /RFDWLRQ G¶XQH QDFHOOH HQ

FDV G¶LPSRVVLELOLWp WHFKQL LPPpGLDW 0=
TXHG¶DFFqVjO¶DUEUH
‡ )RUPDWLRQG¶XQDJHQWjOD
0<
FRQGXLWH GH OD QDFHOOH HQ DQ
VpFXULWp

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
&RQFOXVLRQ 7URLV PRGDOLWpV G¶DFWXDOLVDWLRQ VRQW SUpYXHV SDU OD UpJOH
PHQWDWLRQ
‡ 8QHYpUL¿FDWLRQDQQXHOOHDYHFPLVHjMRXU
‡ 8QH DFWXDOLVDWLRQ GX GRFXPHQW ORUV G¶XQH GpFLVLRQ
/LPLWHVGHODGpPDUFKH G¶DPpQDJHPHQW LPSRUWDQW PRGL¿DQW OHV FRQGLWLRQV
&HJXLGHV¶DWWDFKHjDLGHUOHVFROOHFWLYLWpVjUpDOLVHUO¶pYD G¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpWUDQVIRUPDWLRQGHVSRVWHVGH
OXDWLRQGHVULVTXHVGDQVWRXVOHVVHUYLFHV,OHVWQpFHVVDLUH WUDYDLO PRGL¿FDWLRQ GH O¶RXWLOODJH GHV SURGXLWV RX GH
WRXW GH PrPH GH VRXOLJQHU TXH FHWWH GpPDUFKH FRPSRUWH
GHVOLPLWHV
‡ (OOHGHPDQGHjrWUHVXLYLHGDQVOHWHPSVSRXUSRXYRLU
GXUHUHWrWUHHI¿FDFHOHGRFXPHQWXQLTXHGRLWrWUHPLV
O¶RUJDQLVDWLRQGHWUDYDLO
‡ 8QHPLVHjMRXUORUVTXHWRXWHLQIRUPDWLRQVXSSOpPHQ
WDLUHFRQFHUQDQWO¶pYDOXDWLRQG¶XQULVTXHGDQVXQHXQLWp
GHWUDYDLOHVWUHFXHLOOLH
jMRXUDXPRLQVXQHIRLVSDUDQ
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‡ (OOHQ¶HVWSDVIRUFpPHQWH[KDXVWLYHHWOHIDLWGHGpFRX
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'DQVWRXVOHVFDVOHEXWGHO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHVHVWELHQ
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OHFWLYLWpLPSOLTXDQWOHSOXVJUDQGQRPEUHG¶DFWHXUVSRVVLEOH
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SDVrWUHPLVHVHQ°XYUHGDQVO¶DQQpHTXLVXLWO¶pYDOXDWLRQ
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WLRQVVXUSOXVLHXUVDQQpHV

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GRQFrWUHpFULWRXQXPpULTXH
,O HVW VRXKDLWDEOH TXH GDQV OH GRFXPHQW XQLTXH QH ¿JX
UHQWSDVXQLTXHPHQWOHVUpVXOWDWVGHO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHV
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&LUFXODWLRQ HW GpSODFHPHQW j
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3DVVDJH pWURLW RX ORQJHDQW GHV ]RQHV REMHWRXGHPRELOLHU
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8WLOLVDWLRQGHPDFKLQHVFRPSRUWDQWGHV
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5LVTXHGHFRXSXUH (VSDFHVYHUWV
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5LVTXH GH EOHVVXUH GH O¶DJHQW XWLOLVDQW OD
8WLOLVDWLRQ G¶RXWLOV DYHF ULVTXH GH SUR 5HVWDXUDWLRQFROOHFWLYH
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5LVTXHGHWURXEOHVGRUVRORPEDLUHV
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5LVTXHGHEOHVVXUHSRXYDQWrWUHOLpjODFLUFX
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8WLOLVDWLRQ G¶HQJLQV GH PDQXWHQWLRQ pFUDVHPHQW j OD FKDUJH PDQXWHQWLRQQpH 0pFDQLTXH
0DQXWHQWLRQPpFDQLTXH FKDULRWVpOpYDWHXUVSRQWVURXODQWVSD FKXWHKHXUWUHQYHUVHPHQWDX[PR\HQVGH 9RLULH
ODQVWUHXLOVJUXHV« PDQXWHQWLRQUXSWXUHGpIDLOODQFHRXjO¶HQYL 0DLQWHQDQFH
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5LVTXHG¶pFUDVHPHQWGHFKRF
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2ULJLQHGXGDQJHU ([HPSOHVGHGDQJHU 5LVTXHV GDQV OHVTXHOOHV RQ SHXW
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)'6VLJQDOHXQFDUDFWqUHFRUURVLIRXGRQWO¶pWL
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ODSHDXRXOHV\HX[

3URGXLWV GRQW OD )LFKH GH 'RQQpHV GH 6pFXULWp

)'6 VLJQDOH XQ FDUDFWqUH LUULWDQW RX GRQW O¶pWL (VSDFHV YHUWV WUDLWHPHQW SK\WRVDQL
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5LVTXH G¶LUULWDWLRQ SDU FRQWDFW DYHF
3HLQWXUHURXWLqUHHWEkWLPHQW
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3URGXLWVFKLPLTXHV GHSLqFHV
3ORPEHULH
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3URGXLWV GRQW OD )LFKH GH 'RQQpHV GH VpFXULWp 6WRFNDJHGHSURGXLWV
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5LVTXHG¶LQFHQGLHRXG¶H[SORVLRQ


  
3URGXLWV GRQW OD )LFKH GH 'RQQpHV GH VpFXULWp
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5LVTXH GH GpJDJHPHQW GH YDSHXUV

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7UDYDLOHQKDXWHXU 8WLOLVDWLRQ GH GLVSRVLWLIV PRELOHV pFKHOOH HVFD GHFKXWHHVWJUDQGH 7UDYDX[ GH QHWWR\DJH HQ KDXWHXU YL
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2ULJLQHGXGDQJHU ([HPSOHVGHGDQJHU 5LVTXHV YDLO  GDQV OHVTXHOOHV RQ
SHXWUHQFRQWUHUOHULVTXH
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5LVTXHGHEOHVVXUHOLpHDX[SURMHFWLRQVGDQV 6RXGXUH
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5LVTXH G¶DYHXJOHPHQW OLp DX UD\RQQHPHQW
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5LVTXHG¶LQFHQGLHRXG¶H[SORVLRQVLOHVWUDYDX[
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WkFKH ULHXU

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6HUUXUHULH

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(EORXLVVHPHQW OLp DX[ UHÀHWV VXU
6WUHVV
O¶pFUDQ
(FODLUDJHLQVXI¿VDQW

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PR\HQVH[LVWDQWV

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YHDXG¶LQLWLDWLYHVHWjXQHDEVHQFHGHSDUWLFLSDWLRQjOD
¿QDOLWpGXWUDYDLO
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5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
3DJH

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0pWKRGRORJLH
4X¶HVWFHTXHOD¿FKHGHULVTXHVSURIHV
VLRQQHOV"
/D¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOVHVWXQGRFXPHQW
DGPLQLVWUDWLIGDQVOHTXHOVRQWFRQVLJQpVOHVULVTXHV
OHVHIIHFWLIVGHVDJHQWVH[SRVpVjFHVULVTXHVOHXU
LPSRUWDQFHHWOHVDFWLRQVGHSUpYHQWLRQjPHWWUHHQ
°XYUHSRXUSDOOLHUjFHVULVTXHV
&H GRFXPHQW G¶DQDO\VH JpQpUDOH GHV ULVTXHV SUR
IHVVLRQQHOV SUpVHQWV GDQV OD FROOHFWLYLWp HVW FRP
SOpPHQWDLUH GH O¶DQDO\VH SUpFLVH SDU DFWLYLWp GHV
ULVTXHV SUpYXV GDQV O¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV FI
'HVDSSUpFLDWLRQVVXU
‡ /HV ULVTXHV SK\VLTXHV FKLPLTXHV LQIHFWLHX[
RXSDUDVLWDLUHVULVTXHVHWFRQWUDLQWHVOLpVjGHV
VLWXDWLRQVGHWUDYDLO
‡ /HVFRQGLWLRQVJpQpUDOHVGHWUDYDLOWHPSVGH
WUDYDLO LQVWDOODWLRQV JpQpUDOHV K\JLqQH JpQp
UDOH
‡ /HVLQGLFDWHXUVGHUpVXOWDWVDFFLGHQWVGHVHU
YLFH HW GH WUDMHW PDODGLHV SURIHVVLRQQHOOHV
DXWUHVSDWKRORJLHV
‡ /HVDFWLRQVWHQGDQWjODUpGXFWLRQGHVULVTXHV
PHVXUHVGHSUpYHQWLRQGHSURWHFWLRQ
FKDSLWUH
4XLUpGLJHOD¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQ
QHOV"
&HWWH¿FKHGRLWrWUHUHQVHLJQpHSDUOHPpGHFLQGX
VHUYLFH GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH
HQOLDLVRQDYHFOHRXOHV$&02
/D ¿FKH pWDQW IRQGpH VXU OD QRWLRQ GH ULVTXH OH
PpGHFLQ GX VHUYLFH GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH
HWSUpYHQWLYHORUVTX¶LOOHMXJHUDQpFHVVDLUHQRWDP
PHQWDXUHJDUGGHODWDLOOHRXGHODVWUXFWXUHGHOD
FROOHFWLYLWp RX GH O¶pWDEOLVVHPHQW FRQFHUQp SRXUUD
SUpVHQWHU OHV UHQVHLJQHPHQWV TXH GRLW FRPSRUWHU
OD¿FKHVpSDUpPHQWSRXUXQRXSOXVLHXUVVHFWHXUV
G¶DFWLYLWp GH OD FROOHFWLYLWp RX GH O¶pWDEOLVVHPHQW
FRPPHSDUH[HPSOHOHVVHUYLFHVWHFKQLTXHVOHV
5pIpUHQFHVOpJLVODWLYHV
‡ $UWLFOH  GX GpFUHW Qƒ GX  MXLQ
PRGL¿pUHODWLIjO¶K\JLqQHHWjODVpFX
ULWpGXWUDYDLODLQVLTX¶jODPpGHFLQHSURIHV
VLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHGDQVODIRQFWLRQSX
EOLTXHWHUULWRULDOH
‡ $UWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLO
‡ $UUrWpGXMXLOOHWUHODWLYHjODOLVWHGHV
WUDYDX[ QpFHVVLWDQW XQH VXUYHLOODQFH PpGL
FDOHVSpFLDOH
‡ $UUrWp GX  PDL  SULV HQ DSSOLFDWLRQ
GHO¶DUWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLOHW
¿[DQWOHPRGqOHGHOD¿FKHGHVULVTXHVSUR
IHVVLRQQHOVpWDEOLHSDUOHPpGHFLQGXVHUYLFH
GHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH
VHUYLFHVDGPLQLVWUDWLIV«GDQVODPHVXUHRFHV
VHUYLFHV UHODWLYHPHQW KRPRJqQHV SUpVHQWHQW GHV
ULVTXHVTXLGLIIqUHQWGHO¶XQjO¶DXWUH

4XLSHXWFRQVXOWHUOD¿FKHGHULVTXHVSUR
IHVVLRQQHOV" 0RGqOH GH ¿FKH GH
&HWWH¿FKHHVWWUDQVPLVHjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH(OOH ULVTXHV
HVWHQVXLWHSUpVHQWpHSRXUDYLVDX&73&+6FRP
9RLUSDJHVXLYDQWH
SpWHQWHQPrPHWHPSVTXHOHUDSSRUWGHPpGHFLQH
SURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH
(OOHGRLWUHVWHUjGLVSRVLWLRQGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
GH O¶$&), GH OD PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUp
YHQWLYH HW GHV FRPLWpV FRPSpWHQWV &73&+6 RX
&+6&7

4XHOHVWOHFRQWHQXGHOD¿FKHGHULVTXHV
SURIHVVLRQQHOV"
/HVUHQVHLJQHPHQWVGpWDLOOpVTXHGRLWFRPSRUWHUOD
¿FKHGHULVTXHVSURIHVVLRQQHOVVRQW
'HVUHQVHLJQHPHQWVG¶RUGUHJpQpUDOVXUODFROOHFWL
YLWpLGHQWL¿FDWLRQHIIHFWLI

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
Modèle
2
Fiche de risques
I - Renseignements d’ordre général

'DWHG¶pWDEOLVVHPHQWRXGHPLVHjMRXUGHOD¿FKHSDUOHPpGHFLQGXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH

...................................................................................................................................................................................................

1RPGXPpGHFLQ.....................................................................................................................................................................

1RPHWYLVDGXRXGHV$JHQWV&KDUJpVGHOD0LVHHQ2HXYUH FRQIRUPpPHQWjO¶DUWLFOHGXGpFUHWQƒGXMXLQPRGL¿p de

O¶K\JLqQHHWGHODVpFXULWp
...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

,GHQWL¿FDWLRQGHODFROOHFWLYLWpRXGHO¶pWDEOLVVHPHQWSRXUODTXHOOHHVWpWDEOLHOD¿FKH

1RP........................................................................................................................................................................................

$GUHVVH...................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

/DFROOHFWLYLWpRXO¶pWDEOLVVHPHQWGLVSRVHWLO
d’un CHS oui U non U
G¶XQ&73SURSUH    RXL U non U
du CTP du centre de gestion oui U non U
GHUHJLVWUHVG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWp RXL U non U

(IIHFWLIVFRQFHUQpVSDUOD¿FKH

(IIHFWLIWRWDO.......................................................................................................................................................................

dont......................................femmes......................................KRPPHV

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 49

 ,,$SSUpFLDWLRQGHVULVTXHV

)DFWHXUVGHULVTXHV
3RXUFKDFXQHGHVUXEULTXHVjSUpFLVHUODQDWXUHGXULVTXHSXLVOHVHIIHFWLIVSRWHQWLHOOHPHQWH[SRVpVDLQVLTXHOD
6XUYHLOODQFH0pGLFDOH6SpFLDOH606TXLHQGpFRXOH(QFHTXLFRQFHUQHOHVPHVXUHVVSpFL¿TXHVUHODWLYHVjODSUpYHQWLRQ
GHFHVULVTXHVSRWHQWLHOVHOOHVVHURQWUHJURXSpHVDXFKDSLWUH,,,

5LVTXHVSK\VLTXHV
5LVTXHVSK\VLTXHV 1EUHG¶DJHQWV 606 5HPDUTXHV
)DFWHXUVG¶DPELDQFH 7KHUPLTXH
6RQRUH
/XPLQHXVH
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/DVHU
,QIUDURXJHV
,RQLVDQWV
3RXVVLqUHVDPLDQWHERLVIHU
)XPpHV
$pURVROV
9LEUDWLRQV
$XWUHV

5LVTXHVFKLPLTXHV
1DWXUHGHVULVTXHVSDUUpIpUHQFHDX[VXEVWDQFHVXWLOLVpHVGDQVODFROOHFWLYLWpRXO¶pWDEOLVVHPHQWSXEOLFHW¿JXUDQWjO¶DQQH[H
GHO¶DUUrWpGXRFWREUHUHODWLIjO¶pWLTXHWDJH

5LVTXHVFKLPLTXHV 1EUHG¶DJHQWV 606 5HPDUTXHV

5LVTXHV G¶HIIHWV FDQFpURJqQHV PXWDJqQHV
WpUDWRJqQHV
7UqVWR[LTXHV
7R[LTXHV
&RUURVLIV
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$XWUHVULVTXHVH[SRVLWLRQPXOWLIDFWRULHOOH

8QHOLVWHGHVSURGXLWVFKLPLTXHVXWLOLVpVHVWHOOHWHQXHjMRXU" RXL ˆ QRQˆ

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6RQWHOOHVPLVHVjGLVSRVLWLRQGHVDJHQWV"    RXL ˆ QRQˆ

5LVTXHVLQIHFWLHX[RXSDUDVLWDLUHV
1DWXUHGHVULVTXHVSDUUpIpUHQFHQRWDPPHQWjO¶DUUrWpGXMXLOOHWHWDX[WDEOHDX[GHPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV

5LVTXHVLQIHFWLHX[RXSDUDVLWDLUHV 1EUHG¶DJHQWV 606 5HPDUTXHV

7UDYDX[GDQVOHVpJRXWV
&ROOHFWHHWWUDLWHPHQWGHVRUGXUHVPpQpJqUHV
3UpSDUDWLRQ HW GLVWULEXWLRQ GHV GHQUpHV DOLPHQ
WDLUHV
2EVHUYDWLRQVFRPSOpPHQWDLUHV
 

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
1.4 - Risques et contraintes liés à des situations de travail
Risques et contraintes liés à des Nbre d’agents SMS Remarques
situations de travail
Postures
Manutention quotidienne
Charge mentale
Travail sur écran
Travail isolé
Autres risques (dus, par exemple, à la multipli-
cité des lieux de travail, aux déplacements, aux
conditions climatiques, au décalage horaire,...)
Observations complémentaires ......................

1.5 - Risques d’accidents prépondérants

Risques d’accidents prépondérants Nbre d’agents SMS Remarques
Risques de chute de hauteur
Machines dangereuses
Risques liés à l’utilisation d’engins mobiles et
d’appareils de levage
Risques électriques (interventions sur ou au voi-
sinage)
Risques d’explosions ou d’incendie
Autres risques :...................................................

2 - Conditions générales de travail

2.1 - Temps de travail
Temps de travail Durée du travail pratiquée par Nbre d’agents Remarques
la collectivité concernés
Travail de nuit
Travail posté
Travail de garde
Travail d’astreinte
Travail en alternance (apprentis,...)

2.2 - Installations générales

Caractéristiques des locaux de travail

Description sommaire : ………………………………….............................................................................................................

………………………………………………………………………………......................................................................

Évaluation de l’état d’entretien : …………………………………........................................................................................……

…………………………………………………………………………..............................................................................................

Existence d’équipements sociaux

• Salle de repos oui U non U
• Salle de restauration/réfectoire oui U non U
• Restaurant administratif oui U non U
• Distributeurs de boissons oui U non U

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 51

 2.3 - Hygiène générale
Hygiène générale Description sommaire Évaluation sommaire de l’état
d’entretien
Dispositif d’aération
Ventilation
Conditionnement d’air, climatisation
Chauffage
Vestiaire
Douches
Toilettes

3. - Indicateurs de résultats (données connues au cours des douze derniers mois)

3.1 - Accidents du travail (y compris les accidents de trajet)
• nombre d’accidents (avec et sans arrêt) :.......................................................................
• nombre d’accidents avec arrêt :......................................................................................
• incapacités professionnelles permanentes :...................................................................
• nombre d’enquêtes sur les accidents du travail :............................................................
• taux de fréquence :.........................................................................................................
• taux de gravité :..............................................................................................................
• \DWLOXQHLQ¿UPHULH" RXLU non U

eOpPHQWVWLUpVGXUHJLVWUHG¶LQ¿UPHULH…………………………….......…………............................................................………
……………………………………………………………………………......……………..................................................................
……………………………………………………………………….................................................................……................…......
• \DWLOGHVWURXVVHVjSKDUPDFLHGDQVOHVORFDX[" RXLU non U
• VLRXLVRQWHOOHVYpUL¿pHVUpJXOLqUHPHQW"  RXLU non U
• \DWLOGHVWURXVVHVjSKDUPDFLHGDQVOHVYpKLFXOHV" RXLU non U
• VLRXLVRQWHOOHVYpUL¿pHVUpJXOLqUHPHQW"  RXLU non U

3.2 - Maladies professionnelles

Nombre de déclarations :…………….........................………………......…………….................................................................
• sur avis du médecin du service de médecine professionnelle et préventive :............................................……..
• sur avis d’un autre médecin :...........................................…………............................................….......………....

Nombre de maladies professionnelles reconnues :...........................................…………........................................................

• nature de la maladie et tableaux concernés : ....................................................................................................
• incapacités professionnelles permanentes : ......................................................................................................

3.3 - Maladies à caractère professionnel

Nombre de déclarations :…………….........................………………......…………….................................................................
• sur avis du médecin du service de médecine professionnelle et préventive :...........................................……..
• sur avis d’un autre médecin :...........................................…………............................................……….......…....
Nombre de maladies professionnelles reconnues :...........................................…………........................................................
• nature de la maladie et tableaux concernés : ....................................................................................................
• incapacités professionnelles permanentes : ......................................................................................................

3.4 - Autres pathologies remarquées

……………………………………………………………………………......……………................................................................
……………………………………………………………………….................................................................…..............…….....

Page 52 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
 ,,,$FWLRQVWHQGDQWjODUpGXFWLRQGHVULVTXHV
,OH[LVWHXQHGLVWLQFWLRQIRQGDPHQWDOHHQWUHODSUpVHQFHGHVRXUFHVGHULVTXHVSRWHQWLHOVGDQVODFROOHFWLYLWpRXO¶pWDEOLVVH
PHQWSXEOLFGpFULWVDXSUpFpGHQWFKDSLWUHHWO¶H[SRVLWLRQHIIHFWLYHGHVVDODULpVFRQFHUQpVjGHWHOVULVTXHV&HWWHH[SRVLWLRQ
VHUDG¶DXWDQWSOXVOLPLWpHTX¶DXURQWpWpPLVHVHQ°XYUHGHVDFWLRQVSUpYHQWLYHVGHGLYHUVHVQDWXUHVTXHODSUpVHQWHUXEUL
TXHDSRXUREMHWGHPHQWLRQQHU(OOHVHUWGHJULOOHG¶DQDO\VHDSSOLFDEOHHQWDQWTXHGHEHVRLQjODUXEULTXHGXSRLQW,,

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GXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHGXWUDYDLORXG¶DXWUHVFRQVHLOOHUVHQSUpYHQWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOV

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4XHOOHVVRQWOHVPRGDOLWpVDGRSWpHVHWSDUTXL"«««««««««««««««
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0HVXUHVFRQFHUQDQWOHVVRLQVHWSUHPLHUVVHFRXUV

3HUVRQQHOLQ¿UPLHU«««««««««««««««
6HFRXULVPHQRPEUHGHSHUVRQQHVIRUPpHV
1DWXUHGHOHXUIRUPDWLRQ
$FWXDOLVDWLRQGHODIRUPDWLRQ

 LQGLTXHU ORUVTXH FHOD HVW QpFHVVDLUH VL OHV UHQVHLJQHPHQWV VRQW IRXUQLV JOREDOHPHQW RX
GpWDLOOpVSDUVHUYLFHGRQWOHVFDUDFWpULVWLTXHVGRLYHQWDORUVrWUHSUpFLVpHV
HIIHFWLIWRWDO WRXVDJHQWVFRQIRQGXV
 LQGLTXHU ORUVTXH FHOD HVW QpFHVVDLUH VL OHV UHQVHLJQHPHQWV VRQW IRXUQLV JOREDOHPHQW RX
GpWDLOOpVSDUXQLWpGHWUDYDLOGRQWOHVFDUDFWpULVWLTXHVGRLYHQWDORUVrWUHSUpFLVpHV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 3
SOMMAIRE

Les registres au sens du décret n°85-603

GXMXLQPRGL¿p

3.1 Le registre hygiène et sécurité

3.1.1. Méthodologie
Qu’est ce que le registre hygiène et sécurité ?.......................................................p. 55
Qui est concerné par le registre hygiène et sécurité ? ...........................................p. 55
Où se trouve le registre hygiène et sécurité ? ........................................................p. 56
Quand compléter ce registre hygiène et sécurité ? ................................................p. 56
Quel est le suivi du registre hygiène et sécurité ? ..................................................p. 56
Références juridiques .............................................................................................p. 56

3.1.2 Modèle de registre hygiène et sécurité

................................................................................................................................p. 57

3.2 Le registre des dangers graves et imminents

3.2.1 Méthodologie
Qu’est-ce que le registre des dangers graves et imminents ?................................p. 58
Qu’est- ce que le droit de retrait ? ..........................................................................p. 58
Quelle en est la procédure ?...................................................................................p. 58
Références juridiques .............................................................................................p. 59
Récapitulatif général ...............................................................................................p. 60

3.2.2 Modèle de registre de dangers graves et imminents

................................................................................................................................p. 61-62

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 54

 /HUHJLVWUHK\JLqQHHWVpFXULWp

0pWKRGRORJLH %UXLW
‡ &RQYHUJHQFH GH IDFWHXUV EUX\DQWV QRP
EUHG¶DJHQWVUpFHSWLRQGXSXEOLFWpOpSKR
QHV
4X¶HVW FH TXH OH UHJLVWUH K\JLqQH HW Vp ‡ 0DWpULHOVEUX\DQWVLPSULPDQWHVSKRWRFR
FXULWp"
/HUHJLVWUHK\JLqQHHWVpFXULWpHVWGHVWLQpjVLJQDOHU
WRXWHV OHV REVHUYDWLRQV HWRX VXJJHVWLRQV UHODWLYHV
jO¶DPpOLRUDWLRQGHO¶K\JLqQHGHODVpFXULWpHWGHV
FRQGLWLRQVGHWUDYDLOGDQVODFROOHFWLYLWpRXO¶pWDEOLV
VHPHQW
,O GRLW rWUH PLV j GLVSRVLWLRQ GHV DJHQWV HW OH FDV
pFKpDQWGHVXVDJHUV
$LQVLFHGRFXPHQWSRXUUDWUDLWHUGHVVXMHWVVXLYDQWV
SLHXVHV«
(QYLURQQHPHQWJpQpUDO
‡ ,QWpULHXUDPELDQFHVWKHUPLTXHVHWDpUD
WLRQVWHPSpUDWXUHVpWpHWKLYHUSRVVLELOLWp
GHUpJODJHGHVLQVWDOODWLRQVVWRUHVKXPL
GLWp VpFKHUHVVH UHQRXYHOOHPHQW GH O¶DLU
DWPRVSKqUHHPSRXVVLpUpHFRXUDQWVG¶DLU
WDEDJLVPH«
‡ ([WpULHXUSUpVHQFHG¶HQWUHSULVHVSROOXDQ
OLVWHQRQH[KDXVWLYH WHVGHEUXLWVURXWHVFKHPLQVGHIHUDp
URSRUW«GDQJHUVOLpVjO¶DFFqVDXOLHXGH
‡ /¶DVSHFWLPPRELOLHU WUDYDLO SDVVDJHV SLpWRQV VLJQDOLVDWLRQV
GLI¿FXOWpVOLpHVjO¶DFFqVDXVHUYLFHRXDXSRVWH PDUTXDJH HW ÀpFKDJH pFODLUDJH SDUF GH
GHWUDYDLOFLUFXODWLRQVLQWpULHXUHVSDUFVGHVWD VWDWLRQQHPHQW«
WLRQQHPHQWHVFDOLHUVGpJUDGDWLRQVSUREOqPHV
(VSDFHGHWUDYDLO
OLpV DX GpSODFHPHQW GHV SHUVRQQHV j PRELOLWp
UpGXLWHVLJQDOLVDWLRQGHVGDQJHUVpWDWJpQpUDO
GXEkWLPHQWVROVWRLWXUHVIHUPHWXUHV«
‡ /DSURSUHWpHWO¶K\JLqQH
QHWWR\DJH JpQpUDO pWDW GHV VDQLWDLUHV pWDW GH
&DGUHGHYLHVROVPXUV«HQFRPEUHPHQWGHV
ORFDX[ GH WUDYDLO DEVHQFH GH IRQFWLRQQDOLWp
REOLJDWLRQGHGpSODFHPHQWV«
&KDUJHVSK\VLTXHVHWSRVWXUHV
SURSUHWpGHVORFDX[HWGHVEXUHDX[« 3RUW GH FKDUJHV ORXUGHV HWRX IUpTXHQWHV
SRVWXUHV HW JHVWHV LQGXLVDQW XQH JrQH RX GHV
‡ /DVpFXULWppOHFWULFLWpJD]« GRXOHXUV«
GLVMRQFWLRQV IUpTXHQWHV ULVTXH G¶pOHFWURFXWLRQ
7UDYDLOVXUpFUDQ
YpWXVWp GHV LQVWDOODWLRQV pWDW GHV SULVHV GH
FRXUDQW HW GHV LQWHUUXSWHXUV DUUDFKHPHQW RX (QYLURQQHPHQW GX SRVWH VLWXDWLRQ HVSDFH
GpWpULRUDWLRQ ¿OV MRQFKDQW OH VRO RX GpQXGpV JrQH YLVXHOOH UHÀHWV pEORXLVVHPHQW IDWLJXH
XWLOLVDWLRQGHSURORQJDWHXUVRXGHEORFVPXOWLSUL YLVXHOOH  pTXLSHPHQWV HUJRQRPLTXHV WDEOHV
VHV DEVHQFH GH SULVH GH WHUUH pOHFWULFLWp VWD ODPSHV VLqJHV UHSRVHSLHGV FDSRWV G¶LPSUL
WLTXHYrWHPHQWVSRXUWUDYDX[H[WpULHXUVpTXL PDQWHV«
SHPHQWVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOHFKDXVVXUHV
)RUPDWLRQ
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‡ /HVULVTXHVG¶DFFLGHQWVFRUSRUHOVRXGHPD
ODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV
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SULVHGHIRQFWLRQ«
,QIRUPDWLRQ
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FDV G¶DFFLGHQW O¶XWLOLVDWLRQ GH SURGXLWV RX GH
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‡ $UWL¿FLHOJpQpUDOHPSODFHPHQWHWpWDWGHV HWVpFXULWp"
OXPLQDLUHVVFLQWLOOHPHQWHQWUHWLHQ &HUHJLVWUHHVWRXYHUWjWRXVOHVDJHQWVGHODFROOHF
‡ (TXLSHPHQWHQODPSHVGHEXUHDX WLYLWpRXGHO¶pWDEOLVVHPHQWSXEOLFVDQVH[FHSWLRQ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 2VHWURXYHOHUHJLVWUHK\JLqQHHWVpFXULWp"
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
&HUHJLVWUHGRLWVHWURXYHUHQSHUPDQHQFHGDQVXQOLHXDF
‡ $UWLFOHGXGpFUHWQƒGXMXLQPR
FHVVLEOHjWRXVOHVDJHQWVHWOHFDVpFKpDQWGHVXVDJHUV&H
GL¿pUHODWLIjO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpDLQVLTX¶jOD
UHJLVWUHSHXWrWUHSUpVHQWHQSOXVLHXUVH[HPSODLUHVGDQVOD
PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH GDQV OD
FROOHFWLYLWpPDLULHVHUYLFHXQLWpGHWUDYDLO«
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‡ &LUFXODLUH125,17%2&GXRFWREUH
SULVHSRXUDSSOLFDWLRQGX'pFUHWQƒGXMXLQ
4XDQGFRPSOpWHUFHUHJLVWUHK\JLqQHHWVpFXULWp" PRGL¿pSDUOH'pFUHWQƒGXMXLQ

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‡ 8QULVTXHHQFRXUXRXpYHQWXHO
‡ 8QLQFLGHQWYpFXRXYX
‡ 8QG\VIRQFWLRQQHPHQWRXOHQRQIRQFWLRQQHPHQWG¶XQH
LQVWDOODWLRQRXG¶XQGLVSRVLWLIGHVpFXULWp
0RGqOHGHUHJLVWUHK\JLqQHHW
,O HVW WHQX GH OH VLJQDOHU GDQV OH UHJLVWUH K\JLqQH HW VpFX VpFXULWp
ULWp ,O SHXW pJDOHPHQW IRUPXOHU WRXWH VXJJHVWLRQ UHODWLYH j 9RLUSDJHVXLYDQWH
ODSUpYHQWLRQGHVULVTXHVHWjO¶DPpOLRUDWLRQGHVFRQGLWLRQV
GHWUDYDLO

$LQVL FKDTXH IRLV TX¶XQH REVHUYDWLRQ RX XQH VXJJHVWLRQ

VHUDIDLWHO¶DJHQWGHYUDLQGLTXHUGDQVFHUHJLVWUH
‡ /DGDWHHWO¶KHXUHGHO¶REVHUYDWLRQ
‡ /HVFLUFRQVWDQFHVGpWDLOOpHVGHODVXUYHQDQFHG¶XQIDLW
RX LQFLGHQW HQ SUpFLVDQW OHV IDFWHXUV PDWpULHOV HW KX
PDLQVD\DQWFRQFRXUXjVDUpDOLVDWLRQ
‡ 7RXWIDLWWRXWHFDXVHPRWLYDQWXQHVXJJHVWLRQ
‡ /DRXOHVVROXWLRQVHQYLVDJHDEOHVIDFXOWDWLI
‡ 6RQQRPHWSUpQRP

4XHO HVW OH VXLYL GX UHJLVWUH K\JLqQH HW VpFXUL

Wp"
/D FROOHFWLYLWp RX O¶pWDEOLVVHPHQW V¶RUJDQLVH SRXU FROOHFWHU
OHV LQIRUPDWLRQV H[SULPpHV GDQV FH UHJLVWUH /D SHUVRQQH
HQFKDUJHGHFHWWHFROOHFWHHQLQIRUPHUDO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
HWOH&73&+6TXLUHQGURQWOHXUVDYLVVXUOHSUREOqPHVRX
OHYp

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
0RGqOH

5HJLVWUH+\JLqQHHW6pFXULWp
6HXOHVOHVSDUWLHVQRQFRORUpHVVRQWjUHPSOLUSDUO¶DJHQWTXLYHXWpPHWWUHXQDYLV
1DWXUHGHO¶REVHUYDWLRQ $YLVGXUHVSRQVDEOHKLpUDUFKLTXHLPPpGLDW
pYRTXHUXQSUREOqPHSDU¿FKHSUpFLVHUODQDWXUHOHOLHXHWOHV
FLUFRQVWDQFHVGHVIDLWVHWYRVVXJJHVWLRQV

'DWH 'DWH
1RPHWVLJQDWXUHGXGHPDQGHXU
6LJQDWXUHGXUHVSRQVDEOH





$YLVHWSURSRVLWLRQGHO¶$&02 $YLVGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH

'pFLVLRQVVROXWLRQV



2EVHUYDWLRQV



$FWLRQjVXLYUHHWjLQVWUXLUHSDU
‰/¶$&02
‰
‰7UDQVPLVVLRQDX&73&+6'DWH

1RPHWVLJQDWXUHGHO¶$&02 'DWH
 6LJQDWXUH



5HWRXUjO¶LQWpUHVVpOH 'RVVLHUFORVOH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
3 3.2 - Le registre de dangers graves et
imminents
3.2.1 Méthodologie
Qu’est ce que le registre de dangers gra-
ves et imminents ?
Le registre de dangers graves et imminents est un
document dans lequel sont consignées toutes les
situations où un agent a exercé son droit de retrait.
Il décrit la nature du droit de retrait ainsi que les
moyens de prévention pris pour pallier la cause de
ce retrait (le cas échéant).
Qu’est ce que le droit de retrait ?
Il s’agit de la possibilité pour l’agent de se retirer
de sa situation de travail en cas de danger grave
et imminent.
L’exercice du droit de retrait est conditionné à la
présence simultanée de quatre conditions, avec
obligation d’alerte à la suite du retrait de la situa-
tion de travail :
• danger grave,
• imminence du danger,
• motif raisonnable,
• ne pas créer une nouvelle situation de
danger.
Le danger grave :
Le danger grave est à considérer comme une me-
nace directe pour la vie ou la santé, c’est à dire
une situation en mesure de provoquer une atteinte
à l’intégrité physique de cet agent (décès, inca-
pacité permanente, incapacité temporaire prolon-
gée).
L’imminence du danger :
/¶LPPLQHQFH G¶XQH VLWXDWLRQ VH Gp¿QLW SDU OD VXU-
venance d’un événement dans un avenir quasi
immédiat. Cette notion concerne plus particuliè-
rement les accidents de travail, mais il faut éga-
lement noter, que certains cas de jurisprudence
étendent cette notion aux risques de survenue
d’une maladie professionnelle. C’est à dire qu’ils
reconnaissent l’imminence d’une exposition à un
ULVTXHGp¿QL
Motif raisonnable :
La situation de danger grave et imminent doit être
distinguée du « danger habituel » du poste de
travail et des conditions normales d’exercice du
travail, même si l’activité peut être pénible et dan-
gereuse. Un travail reconnu dangereux en soi ne
SHXWMXVWL¿HUXQUHWUDLW
Ne pas créer une nouvelle situation de danger :
L’exercice du droit de retrait ne doit pas créer pour
autrui une nouvelle situation de danger grave et
Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
imminent. Par « autrui », il convient d’entendre
toute personne susceptible, du fait du retrait de
l’agent, d’être placée elle-même dans une situa-
tion de danger grave et imminent pour sa vie ou
pour sa santé. Il peut donc s’agir de collègues de
l’agent, mais aussi, le cas échéant, de tiers tels
que les usagers du service public.
Attention, l’exercice du droit de retrait ne
peut pas s’exercer pour les cadres d’em-
plois des sapeurs-pompiers, de la police
municipale et des gardes champêtres lors
de leurs missions.
Quelle en est la procédure ?
Voir le Schéma page suivante
Le droit de retrait fait l’objet d’une procédure stric-
te, décrite par l’article 5 du décret du 10 juin 1985
PRGL¿p
Le signalement du danger constitue la première
phase de cette procédure, appelée également la
«phase d’alerte». L’alerte est déclenchée :
• soit par l’agent confronté à un danger, no-
tamment lorsque le comité d’hygiène et de
sécurité (CHS) n’existe pas. L’agent informe
immédiatement son supérieur hiérarchique
du déclenchement de l’alerte. Même si le dé-
cret ne le précise pas, il est opportun qu’un
membre du CHS compétent soit informé de
la situation;
• soit par un membre du CHS ou, à défaut,
par un membre du comité technique paritaire
(CTP), de sa propre initiative, ou prévenu no-
tamment par l’agent qui a exercé son droit
de retrait, après avoir constaté la réalité du
danger grave et imminent. Il en avise aussitôt
l’autorité territoriale.
Dans les deux cas, le signalement sera formulé
SDUpFULWGDQVXQUHJLVWUHVSpFL¿TXHGHV©GDQJHUV
graves et imminents».
Après avoir signalé le danger, l’agent concerné
peut donc se retirer de sa situation de travail. Bien
entendu « l’autorité territoriale (ou son représen-
tant) ne peut demander à l’agent de reprendre son
activité dans une situation de danger grave et im-
minent».
Une fois le signalement du danger effectué, une
enquête doit immédiatement être engagée, à l’ini-
tiative de l’autorité territoriale ou de son représen-
tant: il s’agit de la deuxième phase de la procé-
dure. Si le signalement émane d’un membre du
CHS, ce comité doit obligatoirement être associé
à l’enquête.
.............Page 58
 1pDQPRLQVODSUpVHQFHG¶XQPHPEUHGX&+6HVWIRUWHPHQW
SUpFRQLVpHORUVGXGpURXOHPHQWGHO¶HQTXrWHTXHOOHTXHVRLW
ODSHUVRQQHTXLDXUDHIIHFWXpOHVLJQDOHPHQWGXGDQJHUJUD
YHHWLPPLQHQW/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGRLWSDUODVXLWHSUHQ
GUHOHVPHVXUHVQpFHVVDLUHVSRXUUHPpGLHUjODVLWXDWLRQOH
FRPLWpFRPSpWHQWHQpWDQWLQIRUPp
/DSURFpGXUHSHXWrWUHVLPSOHHWUDSLGHF¶HVWOHFDVORUVTXH
O¶DJHQWVHUHWLUHHQDOHUWDQWVRQVXSpULHXUKLpUDUFKLTXHYRLUH
6LODSURFpGXUHQ¶DERXWLWSDVTXHOHGpVDFFRUGVXEVLVWHHW
TXHO¶DJHQWSHUVLVWHGDQVVRQGURLWLOSHXWPRWLYHUVRQDFWLRQ
HQMXVWLFH
0DLVORUVTXHOHUHWUDLWGHO¶DJHQWDpWpFRQVLGpUpFRPPHpWDQW
LQMXVWL¿pRXTXHODVLWXDWLRQGHGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQWQH
SHUVLVWHSOXVO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHSRXUUDVLQpFHVVDLUHPHW
WUHHQGHPHXUHO¶DJHQWGHUHSUHQGUHOHWUDYDLOVRXVSHLQHGH
PLVHHQRHXYUHGHVSURFpGXUHVVWDWXWDLUHV
VRQDXWRULWpWHUULWRULDOHDYHFOHTXHOLOIDLWFHVVHUOHGDQJHU
JUDYH HW LPPLQHQW /D SURFpGXUH SRXU O¶H[HUFLFH GX GURLW
G¶DOHUWHHWGHUHWUDLWHVWDORUVFORVH
‡
&¶HVW HQ FDV GH GpVDFFRUG TXH OD SURFpGXUH V¶HQFOHQFKH
UpHOOHPHQW
4XHOOHVVRQWOHVLVVXHVSRVVLEOHVGHFHWWHSUR
FpGXUH"
/RUVTXHODVLWXDWLRQGHGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQWDpWpFRQ
¿UPpH OH UHWUDLW GH O¶DJHQW HVW MXVWL¿p DXFXQH VDQFWLRQ QH
SHXWrWUHSULVHjVRQHQFRQWUHHWDXFXQHUHWHQXHGHUpPX
QpUDWLRQQHSHXWOXLrWUHDSSOLTXpH
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
$UWLFOHV  j  GX GpFUHW Qƒ GX  MXLQ
 PRGL¿DQW OH GpFUHW Qƒ GX  MXLQ 
UHODWLIjO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLODLQVLTX¶j
OD PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH GDQV OD
IRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOH
‡ &LUFXODLUH125,17%2&GXRFWREUH
SULVHSRXUDSSOLFDWLRQGX'pFUHWQƒGXMXLQ
 PRGL¿p SDU OH 'pFUHW Qƒ  GX  MXLQ


3URFpGXUHGHGURLWGHUHWUDLW
$UWGXGpFUHWGXMXLQPRGL¿p
X Z
/¶DXWRULWpQHSHXWGHPDQGHUjO¶DJHQWGHUHSUHQGUHVRQDFWLYLWp
GDQVXQHVLWXDWLRQGHWUDYDLOSUpVHQWDQWXQGDQJHUJUDYHHWLP
PLQHQW
$XFXQH VDQFWLRQ QH SHXW rWUH SULVH DXFXQH UHWHQXH GH UpPX
QpUDWLRQQHSHXWrWUHHIIHFWXpHjO¶HQFRQWUHG¶DJHQWVTXLVHVRQW
UHWLUpVG¶XQHVLWXDWLRQGHWUDYDLOGRQWLOVDYDLHQWXQPRWLIUDLVRQ
QDEOHGHSHQVHUTX¶HOOHSUpVHQWDLWXQGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQW
SRXUOHXUYLHRXSRXUOHXUVDQWpRXSDUFHTX¶LOVRQWFRQVWDWpXQH
GpIHFWXRVLWpGDQVOHVV\VWqPHVGHSURWHFWLRQ
Y UDSSRUWXQHUpSRQVHPRWLYpHLQGLTXDQW
/HVDYLVPHQWLRQQpVDXSUHPLHUDOLQpDGHO¶DUWLFOHVRQWFRQ
VLJQpVGDQVXQUHJLVWUHVSpFLDOFRWpHWRXYHUWDXWLPEUHGXFR
PLWpPHQWLRQQpjO¶DUWLFOH6RXVODUHVSRQVDELOLWpGHO¶DXWRULWp
WHUULWRULDOHFHUHJLVWUHHVWWHQXjODGLVSRVLWLRQGHVPHPEUHVGH
FH FRPLWp HW GH WRXW DJHQW TXL HVW LQWHUYHQX HQ DSSOLFDWLRQ GH
O¶DUWLFOH
7RXWDYLV¿JXUDQWVXUOHUHJLVWUHGRLWrWUHGDWpHWVLJQpHWFRP
SRUWHUO¶LQGLFDWLRQGHVSRVWHVGHWUDYDLOFRQFHUQpVGHODQDWXUH
GXGDQJHUHWGHVDFDXVHGXQRPGHODRXGHVSHUVRQQHVH[SR
VpHV/HVPHVXUHVSULVHVSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH\VRQWpJDOH
PHQWFRQVLJQpHV
/¶LQWHUYHQWLRQSUpYXHDX[DOLQpDVHWGXSUpVHQWDUWLFOHGRQQH
OLHXjXQUDSSRUWDGUHVVpFRQMRLQWHPHQWjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHDX
FRPLWpPHQWLRQQpjO¶DUWLFOHHWjO¶DJHQWPHQWLRQQpjO¶DUWLFOH
&HUDSSRUWLQGLTXHV¶LO\DOLHXOHVPDQTXHPHQWVHQPDWLqUH
G¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpHWOHVPHVXUHVSURSRVpHVSRXUUHPpGLHU
jODVLWXDWLRQ
[
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHDGUHVVHGDQVOHVTXLQ]HMRXUVjO¶DXWHXUGX

‡ OHVPHVXUHVSULVHVLPPpGLDWHPHQWDSUqVO¶HQTXrWHSUpYXH
DXSUHPLHUDOLQpDGXSUpVHQWDUWLFOH
‡ OHVPHVXUHVSULVHVjODVXLWHGHO¶DYLVpPLVSDUOHFRPLWp
PHQWLRQQpjO¶DUWLFOHUpXQLHQXUJHQFH
‡ OHVPHVXUHVSULVHVDXYXGXUDSSRUW
‡ OHVPHVXUHVTX¶HOOHYDSUHQGUHHWOHFDOHQGULHUGHOHXUPLVH
HQ°XYUH
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHFRPPXQLTXHGDQVOHPrPHGpODLFRSLHGH
VDUpSRQVHDXFRPLWpPHQWLRQQpjO¶DUWLFOHDLQVLTX¶jO¶DJHQW
PHQWLRQQpjO¶DUWLFOH

/HUpJLPHGHUpSDUDWLRQDSSOLFDEOHHQFDVGHIDXWHLQH[FXVDEOHGHO¶HPSOR\HXUGp¿QLHjO¶DUWLFOH/GXFRGHGH
ODVpFXULWpVRFLDOHHVWGHGURLWSRXUOHVDJHQWVUHOHYDQWGXUpJLPHJpQpUDOGHODVpFXULWpVRFLDOHRXGXUpJLPHGHOD
PXWXDOLWpVRFLDOHDJULFROHTXLVHUDLHQWYLFWLPHVG¶XQDFFLGHQWGXWUDYDLORXG¶XQHPDODGLHSURIHVVLRQQHOOHDORUVTX¶HX[
PrPHVRXXQPHPEUHGXFRPLWpPHQWLRQQpjO¶DUWLFOHDYDLHQWVLJQDOpDXFKHIGXVHUYLFHRXjVRQUHSUpVHQWDQWOH
ULVTXHTXLV¶HVWPDWpULDOLVp

0RGqOHGHUHJLVWUHGHGDQJHUV
JUDYHVHWLPPLQHQWV
9RLUSDJHVXLYDQWH

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 6LWXDWLRQGHWUDYDLOSUpVHQWDQWXQGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQWRXFRQVWDWGH
GpIHFWXRVLWpVGDQVOHVV\VWqPHVGHSURWHFWLRQ

/¶DJHQWDYHUWLW
5pFDSLWXODWLI

8QPHPEUHGX&73&+6FRQVWDWHTX¶LOH[LVWHXQHFDXVHGHGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQW
LPPpGLDWHPHQWVRQ /¶DJHQW  DYHUWLW XQ PHPEUH
VXSpULHXUKLpUDUFKLTXH GX&73&+6
,OFRQVLJQHFHWDYLVGDQVOH©UHJLVWUHGHV
,OHQDYLVHLPPpGLDWHPHQWO¶DXWRULWp
GDQJHUVJUDYHVHWLPPLQHQWVª o
/H IDLW TXH O¶DJHQW VH UH
RXL WLUHGHVDVLWXDWLRQGHWUDYDLO
SHXWLOFUpHUSRXUDXWUXLXQH (QTXrWHLPPpGLDWHHWFRQMRLQWHSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
QRXYHOOHVLWXDWLRQGHGDQJHU
HWOHPHPEUHGX&73&+6D\DQWVLJQDOpOHGDQJHUOHFDVpFKpDQW
JUDYHHWLPPLQHQW"
/¶DJHQWQH
SHXWSDVVH QRQ /¶DXWRULWpSUHQGOHVPHVXUHVQpFHVVDLUHVHOOHOHVFRQVLJQHGDQVOHUHJLVWUHGHVGDQJHUV
UHWLUHUGHVD JUDYHVHWLPPLQHQWVHWLQIRUPHOH&73&+6
VLWXDWLRQGH /HV PLVVLRQV H[HUFpHV SDU
WUDYDLO O¶DJHQWVRQWHOOHFRPSDWLEOHV QRQ
DYHF O¶H[HUFLFH GX GURLW GH <DWLOGLYHUJHQFHVXUODUpDOLWpGXGDQJHURXODPDQLqUHGHODIDLUHFHVVHU"
QRQ UHWUDLW"/¶DJHQWQHGRLWSDV
RXL
H[HUFHU GH PLVVLRQ GH Vp
FXULWp GHV ELHQV HW GHV SHU
VRQQHVQRWDPPHQWGDQVOH 5pXQLRQGX&73&+6GDQVOHVK ,QWHUYHQWLRQGHO¶$&),
FDGUHGHODVpFXULWpFLYLOHHW
GHODSROLFHPXQLFLSDOH
QRQ
/DGLYHUJHQFHSHUVLVWHWHOOH"
RXL
RXL
/¶DJHQWVHUHWLUHGHVD
/¶DXWRULWpRXODPRLWLpGX&73&+6SHXYHQWGHPDQGHUO¶LQWHUYHQWLRQGHO¶LQVSHFWLRQGXWUDYDLO
VLWXDWLRQGHWUDYDLO
GXFRUSVGHVYpWpULQDLUHVLQVSHFWHXUVRXGXFRUSVGHVPpGHFLQVLQVSHFWHXUVGHODVDQWp
HWGXFRUSVGHVPpGHFLQVLQVSHFWHXUVUpJLRQDX[GXWUDYDLOHWGHODPDLQG¶°XYUHDLQVLTXH
RXL O¶LQWHUYHQWLRQGXVHUYLFHGHODVpFXULWpFLYLOH
(QTXrWHLPPpGLDWHSDU
O¶DXWRULWpWHUULWRULDOH n
/¶LQWHUYHQWLRQGRQQHOLHXjXQUDSSRUWDGUHVVpjO¶DXWRULWpDX&73&+6HWjO¶$&), p
<DWLOGLYHUJHQFHVXUOD
UpDOLWpGXGDQJHURXOD /¶DXWRULWpDGUHVVHGDQVOHVMRXUVjVRQDXWHXUXQHUpSRQVHPRWLYpHjFHUDSSRUWHW
PDQLqUHGHODIDLUHFHVVHU" FRPPXQLTXHFRSLHGHVDUpSRQVHDX&73&+6HWjO¶$&),
q

QRQ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
$GRSWLRQGHPHVXUHVWHQGDQWjIDLUHGLVSDUDvWUHOHGDQJHU

3DJH

Modèle
3
Registre de dangers graves et imminents
Collectivité ou établissement concerné : ..........................................................................................................
...........................................................................................................................................................................

Service concerné : ............................................................................................................................................

Poste(s) de travail concerné(s) : .......................................................................................................................

...........................................................................................................................................................................
...........................................................................................................................................................................

Agent(s) exposé(s) :
Nom et grade : .................................................................................................................................................
Nom et grade : .................................................................................................................................................
Nom et grade : .................................................................................................................................................
Partie 1 (seules les parties non colorées sont à remplir par les agents)

Description du danger grave et imminent encouru par le ou les agents

(nature et cause du danger)

Date :.......................................................................................Heure : .............................................................

...........................................................................................................................................................................
...........................................................................................................................................................................

Autorité hiérarchique ayant été alertée Autorité territoriale ayant été alertée

Nom et grade :............................................................. Nom et qualité : .........................................................

Date et heure : ........................................................... Date et heure : ..........................................................

Motivation du désaccord de l’autorité territoriale sur la réalité du danger ou sur les mesures à prendre pour
faire cesser le danger

Date :.......................................................................................Heure : .............................................................

...........................................................................................................................................................................
...........................................................................................................................................................................
...........................................................................................................................................................................

Transmission immédiate au CTP/CHS en cas de désaccord

Fait le .......................................................................................à (heure).....................................................

Signature de l’agent Signature de l’autorité Signature de l’autorité

hiérarchique territoriale

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 61

 Registre de dangers graves et imminents
Mesure(s) prise(s) dans l’immédiat
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
(seules les parties non colorées sont à remplir par les agents)

............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................

6RQWHOOHVGp¿QLWLYHV"RXL U non U

6LQRQTXHOOHVDXWUHVPHVXUHVVRQWHQYLVDJpHVHWGDQVTXHOGpODL"
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
...........................................................................................................................................................................
...........................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
Partie 2

............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................
............................................................................................................................................................................

Transmission immédiate au CTP/CHS en cas de désaccord

Fait le ..................................................................................à (heure)..............................................................

Signature de l’autorité territoriale Réception et visa du CTP/CHS

Page 62 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
 4
SOMMAIRE

Les registres d’aide à la gestion et à la

YpUL¿FDWLRQ
 /HVYpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHVHWODJHVWLRQGHVEkWLPHQWVHWGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO
4.1.1 Méthodologie
Que sont les bâtiments et les équipements de travail ?..............................................................p. 64
Quelles sont les obligations de l’autorité territoriale ? .................................................................p. 64
Quelles sont les règles à respecter lors de l’achat des équipements de travail ?.......................p. 64
4XHOOHVVRQWOHVGLIIpUHQWHVYpUL¿FDWLRQVGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLOHWTXLOHVHIIHFWXH"......... p. 64
4XHOOHVVRQWOHVSpULRGLFLWpVGHYpUL¿FDWLRQGHVEkWLPHQWVHWGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO" ...... p. 65
&RPPHQWFRQVLJQHUFHVYpUL¿FDWLRQV".......................................................................................p. 65
Procédure....................................................................................................................................p. 65
Références juridiques..................................................................................................................p. 65
  0RGqOHVGHUHJLVWUHGHJHVWLRQGHVYpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHVGHVEkWLPHQWVHWGHVpTXLSHPHQWV
de travail
'RFXPHQWQƒOLVWHGHVSULQFLSDX[FRQWU{OHVHWYpUL¿FDWLRQVREOLJDWRLUHV.................................p. 66-68
'RFXPHQWQƒPRGqOHGHUHJLVWUHGHFRQVLJQDWLRQGHVYpUL¿FDWLRQVGHVEkWLPHQWV
et des équipements de travail .....................................................................................................p. 69

 /HVYpUL¿FDWLRQVHWODJHVWLRQGHVpTXLSHPHQWVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH
4.2.1 Méthodologie
Qu’est ce qu’un équipement de protection individuelle ? ............................................................p. 70
Quelles sont les obligations de l’autorité territoriale ? .................................................................p. 70
Qui gère les équipements de protection individuelle ?................................................................p. 70
Quand doit-on utiliser les équipements de protection individuelle ? ...........................................p. 70
Comment choisir un équipement de protection individuelle ? .....................................................p. 70
Quels sont les différents types d’équipements de protection individuelle ? ................................p. 71
Quelles sont les obligations des fabricants ? ..............................................................................p. 72
Procédure....................................................................................................................................p. 73
Références juridiques..................................................................................................................p. 73
4.2.2 Modèles de registre de gestion des équipements de protection individuelle
....................................................................................................................................................p. 74-75

 /DJHVWLRQGHVSURGXLWVGDQJHUHX[
4.3.1 Méthodologie
Qu’est ce qu’un produit dangereux ? ..........................................................................................p. 76
Quels sont les documents liés aux produits dangereux ? ...........................................................p. 76
Quelles sont les obligations de l’autorité territoriale ? .................................................................p. 77
Procédure....................................................................................................................................p. 80
Références juridiques..................................................................................................................p. 80
4.3.2 Modèle de tableau de gestion de produits dangereux
....................................................................................................................................................p. 81
4.3.3 Annexes
$QQH[H,OLVWHGHVSLFWRJUDPPHVGHVpFXULWpHWGHOHXUGp¿QLWLRQ ............................................ p.82-84
Annexe II : les phrases de risques (phrases R) et les conseils de prudence (phrases S) ..........p. 85-87
Annexe III : exemple de Bordereau de Suivi de Déchets dangereux..........................................p. 88-89
Annexe IV : exemple d’aménagement de local de stockage des produits dangereux................p. 90
Annexe V : tableau d’incompatibilité des produits chimiques......................................................p. 91

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 63

4 /HVYpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHVHWODJHVWLRQ
des bâtiments et des équipements de travail
4.1.1 Méthodologie
Que sont les bâtiments et les équipements
de travail ?
Les bâtiments de travail sont les lieux destinés à rece-
voir des postes de travail situés dans des locaux appar-
tenant à la collectivité territoriale ou l’établissement public
(exemples : local technique, mairie,...).
La réglementation désigne sous le terme d’équipements
de travail les machines, appareils, outils, engins, maté-
riels et installations que les agents sont amenés à utiliser
dans le cadre de leur activité professionnelle.
Quelles sont les obligations de l’autorité
territoriale ?
L’autorité territoriale doit veiller à ce que les locaux et les
équipements de travail mis en service ou utilisés dans sa
collectivité ou son établissement soient équipés, installés,
utilisés, réglés et maintenus de manière à préserver la sé-
curité et la santé des agents.
L’autorité territoriale est tenue de rechercher régulièrement
toute détérioration des installations, des équipements ou
des ambiances de travail susceptible de présenter un ris-
que, et d’éliminer le plus rapidement possible toute dé-
fectuosité de nature à affecter la santé et la sécurité des
travailleurs.
,O LPSRUWH GRQF G¶HIIHFWXHU UpJXOLqUHPHQW GHV YpUL¿-
cations et contrôles sur les bâtiments et les équipe-
PHQWVGHWUDYDLOGHODFROOHFWLYLWpD¿QGHV¶DVVXUHUGH
leur maintien en conformité.
Quelles sont les règles à respecter lors de
cette date et qui sont encore en service dans les collecti-
vités doivent aussi avoir suivi une procédure de mise en
conformité.
L’installation des équipements de travail
L’autorité territoriale doit mettre à disposition des agents
les outils, machines ou appareils qui leur permettent d’ef-
fectuer le travail demandé dans les meilleures conditions.
Pour cela, il faut que les équipements de travail soient
appropriés aux différents travaux à réaliser.
/HFRGHGXWUDYDLOGp¿QLWXQHVpULHGHSUHVFULSWLRQVjUHV-
pecter lors de la mise en service de la machine :
• s’assurer de sa stabilité,
• aménager les espaces et les accès nécessaires pour
les interventions des agents lors de l’utilisation mais
aussi lors de la maintenance,
• prévoir et adapter les voies de circulation aux per-
sonnes et aux engins,
• concevoir des surfaces pour le stockage et la circu-
lation des produits.
Certains équipements, essentiellement les appareils de
OHYDJHGRLYHQWSDUDLOOHXUVIDLUHO¶REMHWG¶XQHYpUL¿FDWLRQ
initiale avant leur mise en service.
&HWWHYpUL¿FDWLRQDSRXUREMHWGHV¶DVVXUHUTXHOHVpTXL-
SHPHQWV VRQW LQVWDOOpV FRQIRUPpPHQW DX[ VSpFL¿FDWLRQV
prévues par le constructeur et peuvent être utilisés en
sécurité.
/HVYpUL¿FDWLRQVDSUqVODPLVHHQVHUYLFH
La conformité de l’équipement doit être maintenue pen-
GDQWWRXWHVDGXUpHG¶XWLOLVDWLRQ'HVYpUL¿FDWLRQVUpJXOLq-
res permettront de déceler les détériorations du matériel.
Ces contrôles permettront d’effectuer rapidement les ré-
parations nécessaires et d’éviter ainsi des dysfonctionne-
ments susceptibles de mettre en danger la sécurité des
DJHQWV'HVDUUrWpVPLQLVWpULHOV¿[HQWGDQVFHUWDLQVFDV
OHVFDWpJRULHVGHPDFKLQHVTXLGHYURQWrWUHYpUL¿pHVSDU
une personne compétente, en donnant une périodicité mi-
l’achat des équipements de travail ?
L’autorité territoriale doit s’assurer, lorsqu’elle achète un
équipement de travail (neuf ou d’occasion), que ce maté-
riel est conforme aux règles techniques qui le concernent
et que les formalités et procédures de mise sur le marché
ont été accomplies.
/DSRVVHVVLRQGXFHUWL¿FDWGHFRQIRUPLWpSUpVXPHGHOD
conformité de la machine mais ne dispense pas la collecti-
vité de s’assurer de la conformité effective de celle-ci.
Matériel neuf
Lorsqu’ils sont neufs, les équipements doivent avoir fait
O¶REMHWGHVSURFpGXUHVGHFHUWL¿FDWLRQGHOHXUFRQIRUPLWp
Chaque machine livrée doit être accompagnée d’une dé-
claration CE de conformité, d’une notice d’instruction et
être revêtue du marquage CE.
Matériel d’occasion
Quand ils sont d’occasion et que leur mise en service à
l’état neuf est antérieure au 1er janvier 1993, les matériels
GRLYHQWDYRLUIDLWO¶REMHWGHVSURFpGXUHVGHFHUWL¿FDWLRQGH
conformité appelées «mise en conformité machine». Elles
VRQWOLYUpHVGDQVWRXVOHVFDVDYHFXQFHUWL¿FDWGHFRQIRU-
mité établi par le vendeur.
Tous les équipements de travail qui ont été acquis avant
Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
QLPDOHGHYpUL¿FDWLRQFIGRFXPHQWGXFKDSLWUH
Les conditions d’utilisation des équipements de tra-
vail
Pour que les agents utilisent les machines en toute sé-
curité, ils doivent être formés et informés des conditions
d’utilisation de la machine et des gestes à effectuer pour
l’accomplissement de leur tâche, ainsi que de la conduite
à tenir face aux incidents (cf. chapitre 5, « formation à la
sécurité du travail »).
Cette acquisition se fait par l’intermédiaire de notices d’in-
IRUPDWLRQVFRQVLJQHVRX¿FKHVGHSRVWH'DQVFHUWDLQV
cas, une formation, validée par une personne compétente,
s’avérera nécessaire (engins de chantier, Equipements de
Protection Individuelle de classe III, …). L’autorité territo-
riale doit s’assurer également que la machine est livrée
avec une notice d’instruction.
4XHOOHV VRQW OHV GLIIpUHQWHV YpUL¿FDWLRQV
des équipements de travail et qui les ef-
fectue ?
Il existe plusieurs types de contrôles qui renvoient à des
DUUrWpVPLQLVWpULHOVVSpFL¿TXHVHQFHTXLFRQFHUQHODSp-
riodicité, le contenu précis et les équipements de travail
ou les catégories d’équipements qui y sont soumis.
.............Page 64
 /DYpUL¿FDWLRQLQLWLDOH &RPPHQWFRQVLJQHUFHVYpUL¿FDWLRQV"
/HVUpVXOWDWVGHFHVYpUL¿FDWLRQVVRQWLQVFULWVVXUXQUHJLVWUHWHQX
(OOHSHXWrWUHjODFKDUJH VRXVODUHVSRQVDELOLWpGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHFIPRGqOHGHUHJLV
‡ GHODFROOHFWLYLWpH[HPSOHLQVWDOODWLRQVpOHFWULTXHV WUHGHFRQVLJQDWLRQGHVYpUL¿FDWLRQVGDQVOHGRFXPHQWGXFKD
‡ GXFRQVWUXFWHXUH[HPSOHDSSDUHLOVjSUHVVLRQRXPDFKLQHV SLWUH
VRXPLVHVjH[DPHQ&( /HFRGHGXWUDYDLOSUpFLVHTXHOHVDWWHVWDWLRQVFRQVLJQHVUpVXOWDWV
‡ GHODFROOHFWLYLWpHWGXFRQVWUXFWHXUH[HPSOHFKDULRWVDXWR HWUDSSRUWVUHODWLIVDX[YpUL¿FDWLRQVHWFRQWU{OHVPLVjODFKDUJHGH
PRWHXUV O¶DXWRULWpWHUULWRULDOHDXWLWUHGHO¶K\JLqQHHWGHODVpFXULWpGXWUDYDLO
VRQWGDWpVHWPHQWLRQQHQWO¶LGHQWLWpGHODSHUVRQQHRXGHO¶RUJDQLV
5HPDUTXH PHFKDUJpGXFRQWU{OHRXGHODYpUL¿FDWLRQHWFHOOHGHODSHUVRQQH
'DQV OHXU PDMRULWp OHV PDFKLQHV QH VRQW VRXPLVHV LQGLYLGXHOOH TXLDHIIHFWXpODYpUL¿FDWLRQ
PHQWVDXIDSSDUHLOVGHOHYDJHjDXFXQHYpUL¿FDWLRQLQLWLDOHREOL
JDWRLUHHWQHIRQWSDVO¶REMHWG¶XQHDXWRFHUWL¿FDWLRQGHODSDUWGX
FRQVWUXFWHXUFHOXLFLGRLWIRXUQLUXQHGpFODUDWLRQ&(GHFRQIRUPLWp
TXLVHUDFRQVHUYpHSDUO¶XWLOLVDWHXU
/HVHVVDLVIRQFWLRQQHOV
,OVSHUPHWWHQWGHV¶DVVXUHUTXHOHVGLVSRVLWLIVGHVpFXULWpUHPSOLV
VHQW ELHQ OHXU IRQFWLRQ ,O HVW VRXKDLWDEOH TXH O¶DJHQW HIIHFWXH OXL
PrPHFHVHVVDLVFDUF¶HVWOXLTXLHVWGLUHFWHPHQWH[SRVpDX[ULV
TXHV
/HVUHJLVWUHVHWOHVUDSSRUWVGRLYHQWrWUHWHQXVjODGLVSRVLWLRQGHV
LQVSHFWHXUVGXWUDYDLOGXPpGHFLQGHSUpYHQWLRQHWpYHQWXHOOHPHQW
GHVUHSUpVHQWDQWVGXSHUVRQQHO
,OVSHXYHQWrWUHGHPDQGpVSDUO¶$&),
/HVGRFXPHQWVFRQFHUQDQWODYpUL¿FDWLRQLQLWLDOHGRLYHQWrWUHFRQ
VHUYpVSHQGDQWODGXUpHGHYLHGHO¶LQVWDOODWLRQ
/HV UDSSRUWV GH YpUL¿FDWLRQV SpULRGLTXHV GRLYHQW rWUH JDUGpV 
DQV
$XVVLF¶HVWSRXUTXRLQRXVSURSRVRQVGHUHJURXSHUWRXVOHVGRFX
PHQWVGHYpUL¿FDWLRQGDQVOH58667
,OVVRQWUpDOLVpVUpJXOLqUHPHQWGDQVFHUWDLQVFDVFKDTXHMRXU
/HVYpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHV
(OOHVSHUPHWWHQWG¶DSSUpFLHUO¶pWDWGHVpOpPHQWVGHO¶LQVWDOODWLRQHW
GHVGLVSRVLWLIVGHVpFXULWp
(OOHVFRQVLVWHQWHQXQH[DPHQDWWHQWLIGHVpOpPHQWVGHO¶LQVWDOODWLRQ
HWGHVHVGLVSRVLWLIVGHVpFXULWp
(OOHVGRLYHQWrWUHGpFOHQFKpHVSDUOHFKHIG¶pWDEOLVVHPHQWHQUHV
3URFpGXUHGHPLVHHQIRUPHGDQVOH58667
‡ ,GHQWL¿HUYRVYpUL¿FDWLRQVREOLJDWRLUHVjO¶DLGHGXGRFXPHQW
GXFKDSLWUHRXGXGRFXPHQW,156('$WWHQWLRQ
ODUpJOHPHQWDWLRQFRQFHUQDQWODSpULRGLFLWpHWO¶REMHWGHVYpUL
¿FDWLRQVpYROXHUDSLGHPHQW1HSDVKpVLWHUGHVHUDSSURFKHU
GX VHUYLFH SUpYHQWLRQ GH YRWUH FROOHFWLYLWp RX GX &HQWUH GH
*HVWLRQSRXUGHSOXVDPSOHVLQIRUPDWLRQV
‡ 5pDOLVHUXQH¿FKHGHV\QWKqVHSDUEkWLPHQWSRXUFRQVLJQHU
OHVYpUL¿FDWLRQVGHVEkWLPHQWVHWGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO
SHFWDQWXQpFKpDQFLHU
/HVWH[WHVUpJOHPHQWDLUHVQH¿[HQWTXHOHVSpULRGLFLWpVPLQLPDOHV
/RUVTXHOHVFRQGLWLRQVGHVWRFNDJHRXG¶XWLOLVDWLRQGHO¶pTXLSHPHQW
RXGHO¶LQVWDOODWLRQVRQWVXVFHSWLEOHVG¶rWUHjO¶RULJLQHGHFRQWUDLQWHV
QpIDVWHVjODVpFXULWpLOFRQYLHQGUDGHUpGXLUHO¶LQWHUYDOOHHQWUHOHV
YpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHV
&HV YpUL¿FDWLRQV VRQW UpDOLVpHV SDU XQ WHFKQLFLHQ SRVVpGDQW XQH
FRQQDLVVDQFHDSSURIRQGLHGHODSUpYHQWLRQGHVULVTXHVGXVjO¶LQV
WDOODWLRQFRQQDLVVDQWELHQOHPDWpULHOOHVWHFKQLTXHVGHFRQVWUXF
WLRQHWGLVSRVDQWGHVDSSDUHLOVGHPHVXUHVDGpTXDWV
/HVWH[WHVUpJOHPHQWDLUHVQHSUpFLVHQWSDVV\VWpPDWLTXHPHQWTXHO
OHHVWODSHUVRQQHTXLGRLWHIIHFWXHUOHVYpUL¿FDWLRQV&HWWHGHUQLqUH
SHXWrWUHXQDJHQWGHODFROOHFWLYLWpRXXQHSHUVRQQHH[WpULHXUH
'DQVFHUWDLQVFDVSDUWLFXOLHUVFHVYpUL¿FDWLRQVVHURQWGHPDQGpHV
FIGRFXPHQWGXFKDSLWUH
‡ &ODVVHUFKDTXH¿FKHGHV\QWKqVHGDQVOH58667SDUWLHUpVHU
YpHjFHWHIIHWDYHFXQHFRSLHGHVFRQWU{OHVOHFDVpFKpDQW
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ $UWLFOHV / HW VXLYDQWV / 5 j
5HW5j5GXFRGHGXWUD
YDLO
‡ 'pFUHWQƒGXPDUVUHODWLIDX[GLVSR
VLWLRQVFRQFHUQDQWODVpFXULWpHWODVDQWpDSSOLFDEOHV
DX[OLHX[GHWUDYDLOTXHGRLYHQWREVHUYHUOHVFKHIV
G¶pWDEOLVVHPHQWVXWLOLVDWHXUV
SDUOHVVHUYLFHVGHO¶(WDW,QVSHFWLRQGXWUDYDLORXUpDOLVpHVSDUGHV ‡ 'pFUHWQƒGXMDQYLHUUHODWLIDX[UqJOHV
RUJDQLVPHVG¶(WDWH[HPSOHOD'LUHFWLRQ5pJLRQDOHGHO¶,QGXVWULH JpQpUDOHVG¶XWLOLVDWLRQGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLOHW
GHOD5HFKHUFKHHWGHO¶(QYLURQQHPHQWSRXUOHVWUDQVSRUWVURXWLHUV PR\HQVGHSURWHFWLRQ\FRPSULVOHVpTXLSHPHQWVGH
HWSRXUOHFRQWU{OHGHVpSUHXYHVG¶DSSDUHLOVVRXVSUHVVLRQ SURWHFWLRQ LQGLYLGXHOOH DUW / HW / GX
FRGHGXWUDYDLO

4XHOOHVVRQWOHVSpULRGLFLWpVGHYpUL¿FDWLRQGHV
EkWLPHQWVHWGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO" 0RGqOHVGHUHJLVWUHGHJHVWLRQ
,OH[LVWHGHX[SRVVLELOLWpVFRQFHUQDQWOHVSpULRGLFLWpVGHFRQWU{OH
GHV YpUL¿FDWLRQV SpULRGLTXHV GHV
/DUpJOHPHQWDWLRQSUpYRLWXQHSpULRGLFLWp
/D UpJOHPHQWDWLRQ GH FHUWDLQHV PDFKLQHV HW DSSDUHLOV HVW Gp¿QLH
EkWLPHQWV HW GHV pTXLSHPHQWV GH
GDQVFHFDVSDUODSpULRGHLPSRVpH WUDYDLO
/DUpJOHPHQWDWLRQQHSUpYRLWSDVGHSpULRGLFLWp ‡ 'RFXPHQWQƒOLVWHGHVSULQFLSDX[FRQWU{OHVHWYpUL¿FDWLRQV
'DQV FH FDV O¶DXWRULWp WHUULWRULDOH XWLOLVDWULFH GRLW GpWHUPLQHU FHV REOLJDWRLUHV
SpULRGHVHQIRQFWLRQ ‡ 'RFXPHQWQƒPRGqOHGHUHJLVWUHGHFRQVLJQDWLRQGHVYp
‡ GHVFRQGLWLRQVG¶XWLOLVDWLRQIUpTXHQFHHQYLURQQHPHQWFRUUR UL¿FDWLRQV
VLRQ
‡ GHV UHFRPPDQGDWLRQV GX FRQVWUXFWHXU GX IDEULFDQW RX GH 9RLUSDJHVVXLYDQWHV
O¶LQVWDOODWHXU
‡ GHO¶REOLJDWLRQIDLWHSDUOHVRUJDQLVPHVGHFRQWU{OHVH[HPSOH
 VHUYLFHV GHV 0LQHV &DLVVH 5pJLRQDOH G¶$VVXUDQFH 0DOD
GLH

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
'RFXPHQW

/LVWHGHVSULQFLSDX[FRQWU{OHVHWYpUL¿FDWLRQVREOLJDWRLUHV
/LVWHQRQH[KDXVWLYHHWVHORQODUpJOHPHQWDWLRQHQYLJXHXUDXRFWREUH

(TXLSHPHQW'pVLJQDWLRQ 5pIpUHQFHV 3pULRGLFLWp 2EVHUYDWLRQV

UqJOHPHQWDLUHV

$SSDUHLOVGHOHYDJHHWGHPDQXWHQWLRQ
$SSDUHLOVPXVPpFDQLTXHPHQWLQVWDOOpVjGHPHXUH
‡ 3RQWVURXODQWVWUHXLOVSRUWLTXHV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ $SSDUHLOVPXVjEUDV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ $FFHVVRLUHVGHOHYDJH ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ &KDULRWVGHPDQXWHQWLRQ ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ &KDULRWVGHPDQXWHQWLRQjFRQGXFWHXUVSRUWpV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ eFKDIDXGDJHV ‡ 'pFUHWGX ‡ PRLV
‡ $SSDUHLOVPRELOHVJUXHVPRELOHVJUXHVDX[LOLDLUHVVXUYpKLFXOHV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ 3RQWVpOpYDWHXUVSRXUYpKLFXOH ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ 2UJDQHVGHVXVSHQVLRQ ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ (OpYDWHXUV©SRVWHGHWUDYDLOªPXVPpFDQLTXHPHQW ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ (OpYDWHXUV©SRVWHGHWUDYDLOªPXVjEUDV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ (FKHOOHVHQERLV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ $VFHQVHXUVHWPRQWHFKDUJHRUJDQHVGHVpFXULWp ‡ 'pFUHWGX ‡ PRLV
‡ &kEOHVHWFKDvQHVGHOHYDJH ‡ PRLV
‡ 3RUWHVHWSRUWDLOVDXWRPDWLTXHVHWVHPLDXWRPDWLTXHV ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
‡ 0DFKLQHV PRELOHV G¶H[WUDFWLRQ GH WHUUDVVHPHQW G¶H[FDYDWLRQ RX GH ‡ $UUrWpGX ‡ PRLV
IRUDJHGXVROjFRQGXFWHXUSRUWp ‡ PRLV
‡ 0DFKLQHVjEDWWUHOHVSDOSODQFKHV ‡ $UUrWpGX

0DFKLQHV
‡ 3UHVVHVSRXUOHWUDYDLOjIURLGGHVPpWDX[
‡ 3UHVVHVjYLV
‡ 3UHVVHVjPRXOHUSODVWLTXHVFDRXWFKRXFPpWDX[
‡ 3UHVVHVjIDoRQQHUDYHFHPSRUWHSLqFHFXLUVSHDX[SDSLHUVFDUWRQV ‡ PRLV
SODVWLTXHV
‡ 3UHVVHjSODWLQH
‡ $UUrWpGX
‡ 0DVVLFRWVSDSLHUFDUWRQERLVSODVWLTXHV
‡ 0DFKLQHVjF\OLQGUHVFDRXWFKRXF
‡ 3UHVVHVjEDOOHV
‡ &RPSDFWHXUVjGpFKHWV ‡ PRLV
‡ 6\VWqPHGHFRPSDFWDJHGHVYpKLFXOHVGHFROOHFWHRUGXUHVGpFKHWV
‡ &HQWULIXJHXVHV

3UpYHQWLRQ±,QFHQGLH
‡ ([HUFLFHVG¶HQWUDvQHPHQW ‡ &RGH GX WUDYDLO DUW ‡ 7RXV OHV  PRLV
5 DXPRLQV
‡ &RQVLJQHV ‡ &RGH GX WUDYDLO DUW ‡ $ODPLVHHQVHU
5 YLFH
‡ 9LVLWHVSpULRGLTXHVHWHVVDLVGXPDWpULHO ‡ &RGH GX WUDYDLO DUW ‡ 7RXV OHV  PRLV
5 DXPRLQV
‡ 6\VWqPHG¶DODUPH ‡ &RGH GX WUDYDLO DUW ‡ 7RXV OHV  PRLV
5 HW DUUrWp GX DXPRLQV


0DWpULHOVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH
‡ $SSDUHLOVGHSURWHFWLRQUHVSLUDWRLUHDXWRQRPHVGHVWLQpVjO¶pYDFXDWLRQ
‡ $SSDUHLOVGHSURWHFWLRQUHVSLUDWRLUHHWpTXLSHPHQWVFRPSOHWVGHVWLQpVj ‡ 'HSXLV PRLQV
GHVLQWHUYHQWLRQVDFFLGHQWHOOHVHQPLOLHXKRVWLOH
GH  PRLV DX
‡ *LOHWVGHVDXYHWDJHJRQÀDEOHV ‡ $UUrWpGX
PRPHQW GH OHXU
‡ 6\VWqPHVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOHFRQWUHOHVFKXWHVGHKDXWHXU
XWLOLVDWLRQ
‡ 6WRFNV GH FDUWRXFKHV ¿OWUDQWHV DQWLJD] SRXU DSSDUHLOV GH SURWHFWLRQ
UHVSLUDWRLUH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 (TXLSHPHQW'pVLJQDWLRQ 5pIpUHQFHVUqJOHPHQWDLUHV 3pULRGLFLWp 2EVHUYDWLRQV

5pVHUYRLUVHQWHUUpVFRQWHQDQWGHVOLTXLGHVLQÀDPPDEOHV
(SUHXYH ‡ &LUFXODLUHLQVWUXFWLRQGX ‡ $ODPLVHHQVHUYLFH ‡ (TXLSHPHQWV VRXPLV j
5ppSUHXYH OD UpJOHPHQWDWLRQ GHV
‡ 5pVHUYRLUVHQIRVVHV ‡ &LUFXODLUH  LQVWUXFWLRQ GX  DUW ‡ DQVDSUqVODPLVHHQVHU LQVWDOODWLRQVFODVVpHV
 YLFHSXLVWRXVOHVDQV
‡ 5pVHUYRLUVHQIRXLV ‡  DQV DSUqV OD PLVH HQ
‡ &LUFXODLUH  LQVWUXFWLRQ GX  DUW VHUYLFH  DQV SRXU OD
 qPHpSUHXYHSXLVWRXVOHV
DQV

$SSDUHLOVDSUHVVLRQYDSHXU
‡ 7RXVDSSDUHLOV ‡ 'pFUHWGXDUWHWDUUrWpGX ‡ 7RXVOHVPRLVPD[LPXP 3UHVVLRQ!EDUYDSHXU
GpURJDWLRQV RX 7ƒ!ƒ HDX VXUFKDXI
9LVLWHUqJOHPHQWDLUH IpHHW9ROXPH!/FKDX
‡ (SUHXYH K\GUDXOLTXH SUpFpGpH G¶XQH YLVLWH ‡ 'pFUHW GX  DUW  HW DUUrWp GX ‡ DQ GLqUH RX 9ROXPH  ! /
FRPSOqWH DJUpPHQW ‡ DQV UpFLSLHQW
‡ $SSDUHLOV j FRXYHUFOH DPRYLEOH  FRQWU{OHV GHV ‡ $UUrWpV GX  HW GX 
VpFXULWpV DUW ‡ 7RXVOHVPRLVDXPRLQV $XWRFODYHVVWpULOLVDWHXUV
‡ &RQWU{OHV GX IRQFWLRQQHPHQW GHV GLVSRVLWLIV GH
VpFXULWp GHV FKDXIIHULHV IRQFWLRQQDQW VDQV SUp ‡ $UUrWp GX  HW GpFLVLRQ PLQLVWp ‡ DQ 3!NZ
VHQFHKXPDLQHSHUPDQHQWH ULHOOHGX ‡ DQ 3NZ

$SSDUHLOVjSUHVVLRQJD]
$SSDUHLOV¿[HVPL¿[HVRXPRELOHV ‡ 'pFUHWGXPRGL¿p ‡ 6HXLOVGHVRXPLVVLRQ3!
‡ 9LVLWHjO¶DUUrW ‡ $UUrWpGX±DUW ‡ DQV EDUV39!EDUVOLWUHV
5ppSUHXYHSUpFpGpHG¶XQHYLVLWHFRPSOqWH ‡ 6DXIVLODSpULRGLFLWpGHVUp
‡ $SSDUHLOV¿[HV pSUHXYHVHVWLQIpULHXUH
‡ 'pFUHWGX±DUW ‡ 'HjDQV ‡ 6XLYDQWOHW\SHGHJD]
‡ $SSDUHLOVPL¿[HVRXPRELOHV
‡ 5pFLSLHQWVjSUHVVLRQVLPSOHV&(( ‡ 6XLYDQWOHW\SHGHJD]
‡ $UUrWpGX±DUW ‡ 'HjDQV ‡ &ULWqUHV GH VRXPLVVLRQ
‡ 9LVLWHFRPSOqWHjO¶DUUrW
SDUWLFXOLHU
‡ 5ppSUHXYHSUpFpGpHG¶XQHYLVLWHFRPSOqWH ‡ $UUrWpGX ‡ 'HjDQV ‡ 3pULRGLFLWpVXSpULHXUHSRXU
‡ 'HjDQV FHUWDLQVDSSDUHLOV

,QVWDOODWLRQVpOHFWULTXHV
‡ 7RXWHVLQVWDOODWLRQV ‡ 'pFUHWGX±DUW ‡ DQ
‡ $UUrWpGXDUW
‡ (PSODFHPHQWGHWUDYDLOLVRODQW ‡ &LUFXODLUHGX±DUW ‡ DQV
‡ $UUrWpGXDUW

,QVWDOODWLRQVFRQWUHODIRXGUH
‡ ,QVWDOODWLRQVFODVVpHVVRXPLVHVjDXWRULVDWLRQ ‡ $UUrWpGX ‡ DQV

5D\RQQHPHQWVLRQLVDQWV
‡ 6RXUFHVVFHOOpHV ‡ /RLGXDUUrWpW\SHTXDWHU ‡ PRLV 6LLQVWDOODWLRQFODVVpH
‡ $SSDUHLOVJpQpUDWHXUVpOHFWULTXHVGHSOXVGH ‡ DQ
DQV
‡ $SSDUHLOV JpQpUDWHXUV pOHFWULTXHV GH PRLQV GH ‡ $UUrWpGX±DUW ‡ DQV
DQV ‡ DQV

‡ =RQHVVXUYHLOOpHV ‡ 'pFUHWGX±DUW ‡ PRLV

$PLDQWH
(YDOXDWLRQGHO¶pWDWGHFRQVHUYDWLRQ1GHVPD ‡ 'pFUHWGXPRGL¿p 3RXU WRXV OHV EkWLPHQWV
WpULDX[ FRQWHQDQW GH O¶DPLDQWH HW FRQVWLWXWLRQ ‡ $UUrWpGX DSSDUWHQDQW j OD FROOHF
G¶XQ'RVVLHU7HFKQLTXH$PLDQWH'7$ WLYLWp
‡ 6L1 FRQWU{OHSpULRGLTXHGHO¶pWDWGHGpJUDGD ‡ 7RXVOHVDQV
WLRQ
‡ 6L1 YpUL¿FDWLRQGXQLYHDXG¶HPSRXVVLqUHPHQW
(
‡ (¿EUHVOLWUHFRQWU{OHGHO¶pWDWGHGpJUD ‡ 7RXVOHVDQV
GDWLRQ
‡ (!¿EUHVOLWUHWUDYDX[GHFRQ¿QHPHQWRX ‡ 'pODLGHPRLV
GHUHWUDLWGHO¶DPLDQWH
‡ 6L1 PDWpULDX[GpJUDGpVWUDYDX[GHFRQ¿QH ‡ 'pODLGHPRLV
PHQWRXGHUHWUDLWGHO¶DPLDQWH

,QVWDOODWLRQVWKHUPLTXHV
‡ &RQWU{OHSpULRGLTXHGHVLQVWDOODWLRQVFRQVRPPDQW ‡ 'pFUHWGX ‡ DQV ‡ ,QVWDOODWLRQVGHSXLVVDQFH
GHO¶pQHUJLHWKHUPLTXH !0:

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
'RFXPHQW

(TXLSHPHQW'pVLJQDWLRQ 5pIpUHQFHV 3pULRGLFLWp 2EVHUYDWLRQV
UqJOHPHQWDLUHV

,QVWDOODWLRQVFODVVHHV
‡ ,QVWDOODWLRQVGHFRPEXVWLRQUHMHWV ‡ $UUrWpVGX$HW ‡ 0LQLPRLV
GX'
‡ &LPHQWHULHVIRXU ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLPRLV
‡ &LPHQWHULHVDXWUHVLQVWDOODWLRQV ‡ $UUrWpGX ‡ DQ
‡ ,QFLQpUDWLRQG¶RUGXUHVPpQDJqUHVVXUYHLOODQFHGHVUHMHWV ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLDQ
‡ ,QFLQpUDWLRQGHFDGDYUHVG¶DQLPDX[ ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLPRLV
‡ ,QFLQpUDWLRQHWFRLQFLQpUDWLRQGHVGpFKHWVLQGXVWULHOVVSpFLDX[ ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLPRLV
‡ 3DSHWHULHVVXUYHLOODQFHGHVUHMHWV±PRLVHQDXWRVXUYHLOODQFH ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLDQ
‡ 9HUUHULHVHWFULVWDOOHULHVVXUYHLOODQFHGHVUHMHWV ‡ $UUrWpVGXHWGX ‡ 0LQLDQ
 ‡ 0LQLDQ
‡ &DUULqUHVHWLQVWDOODWLRQVGHSUHPLHUVWUDLWHPHQWVSRXVVLqUHVHWpPLVVLRQV ‡ $UUrWpGX
‡ 6WRFNDJHGHVGpFKHWVLQGXVWULHOVVSpFLDX[OL[LYDWVHWTXDOLWpGHVHDX[ ‡ $UUrWpGX
‡ ,QVWDOODWLRQVG¶pOHYDJHV'%2'&20(61*/ ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLPRLV
‡ 7UDLWHPHQWGHVXUIDFHVVXUYHLOODQFHGHVUHMHWV ‡ $UUrWpGX ‡ 0LQLPRLV
‡ $XWUHVLQVWDOODWLRQV ‡ 0LQLPRLVjDQV
‡ 0LQLDQ

$PELDQFHSK\VLTXH
([DPHQVGHVLQVWDOODWLRQVG¶DpUDWLRQGHVORFDX[GHWUDYDLO ‡ $UUrWpGX
‡ /RFDX[jSROOXWLRQQRQVSpFL¿TXHFRQWU{OHGpELWG¶DLUQHXI ‡ $UW ‡ DQ
/RFDX[jSROOXWLRQVSpFL¿TXH
‡ ,QVWDOODWLRQVDQVV\VWqPHGHUHF\FODJHFRQWU{OHGpELWG¶DLUH[WUDLWUHOHYpGHV ‡ $UW ‡ DQ
SUHVVLRQVVWDWLTXHVFRQWU{OHGHODFRQFHQWUDWLRQHQSRXVVLqUHVHWSROOXDQWV
‡ ,QVWDOODWLRQDYHFV\VWqPHGHUHF\FODJH ‡ $UW ‡ PRLV

5pJOHPHQWDWLRQVSDUWLFXOLqUHV
‡ =RQHGH3URWHFWLRQ6SpFLDOH=36 ‡ $UUrWpV GHV  HW ‡ DQV ‡ 'pSDUWHPHQWV GX
 ‡ DQV 1RUGHWGX5K{QH
‡ $UUrWpGX ‡ DQV ‡ 3DULV ,OH GH
‡ $UUrWpGX ‡ DQV )UDQFH
‡ $UUrWpGX ‡ DQ ‡ 0DUVHLOOH
‡ 'LVFRQQHFWHXUV ‡ 5qJOHPHQW VDQLWDLUH Gp ‡ $JJORPpUDWLRQ GH
SDUWHPHQWDODUW 6WUDVERXUJ
$PELDQFHVGHVORFDX[GHWUDYDLO ‡ &RGHGXWUDYDLODUW5 ‡ DQV
‡ $FRXVWLTXH  ‡ 3RXU OHV SHUVRQ
QHVH[SRVpHV
‡ (FODLUDJH ‡ $UW5GXFRGHGX ‡ 3RQFWXHOOHPHQW
WUDYDLO
‡ $PLDQWH ‡ 'pFUHWGX ‡ PRLVjDQ
‡ %HQ]qQH ‡ 'pFUHWGX ‡ PRLVjDQ
‡ 3ORPE ‡ 'pFUHWGX ‡ PRLVjDQ
‡ 7UDYDX[UpDOLVpVSDUGHVHQWUHSULVHVH[WpULHXUHV ‡ 'pFUHWGX
‡ &RGH GX WUDYDLO DUW
5

&RQWU{OHGXULVTXHFKLPLTXHVXUOHVOLHX[GHWUDYDLO
‡ &RQWU{OHWHFKQLTXHGHVYDOHXUVGHFRQFHQWUDWLRQGHVVXEVWDQFHVRXSUpSDUD ‡ $UW 5 GX FRGH GX ‡ (Q IRQFWLRQ GH
WLRQVFKLPLTXHVGDQJHUHXVHV WUDYDLO O¶pYDOXDWLRQ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
'RFXPHQW

5HJLVWUHGHFRQVLJQDWLRQGHVYpUL¿FDWLRQVGHV
EkWLPHQWVHWGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO

&ROOHFWLYLWp 6HUYLFH

1ƒ (TXLSHPHQW 3pULRGLFLWpGH 3DU 'DWHGHVYpUL¿FDWLRQV

'pVLJQDWLRQ YpUL¿FDWLRQ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /HVYpUL¿FDWLRQVHWODJHVWLRQGHV
pTXLSHPHQWVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH
/DFROOHFWLYLWpWHUULWRULDOHGRLWJpUHUODSUpYHQWLRQGHV
ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV SDU OD UHFKHUFKH HW OD PLVH
HQ°XYUHGHPHVXUHVWHFKQLTXHVRUJDQLVDWLRQQHO
OHVHWKXPDLQHV
/HV PHVXUHV GH SUpYHQWLRQ FROOHFWLYH GHPHXUHQW
SULRULWDLUHV SDU UDSSRUW DX[ SURWHFWLRQV LQGLYLGXHO
4XL JqUH OHV pTXLSHPHQWV GH SURWHFWLRQ
LQGLYLGXHOOH"
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHJqUHOHV(3,FKRL[HQWUHWLHQ
VWRFNDJH$LQVLHOOHGpFLGHGHVRQPRGHG¶RUJD
QLVDWLRQHWGHJHVWLRQGHV(3,&HWWHPLVVLRQSHXW
rWUHFRQ¿pHjO¶HQFDGUHPHQWGHSUR[LPLWpU{OHGHV
OHV QpDQPRLQV ORUVTXH FHV PHVXUHV FROOHFWLYHV DJHQWVGHPDvWULVHQRWDPPHQWSRXULQWpJUHUODVp
V¶DYqUHQW LQVXI¿VDQWHV RX LPSRVVLEOHV j PHWWUH HQ FXULWpDXTXRWLGLHQFIOHPRGqOHGHUHJLVWUHSRXUOD
°XYUH OH UHFRXUV DX[ (TXLSHPHQWV GH 3URWHFWLRQ JHVWLRQGHV(3,DXSDUDJUDSKH
,QGLYLGXHOOH(3,V¶HQYLVDJH
0pWKRGRORJLH
4X¶HVWFHTX¶XQpTXLSHPHQWGHSURWHFWLRQ
LQGLYLGXHOOH"
,OV¶DJLWG¶XQpTXLSHPHQWSRUWpSDUO¶DJHQWTXLSDUWL
FLSHjODVDQWpHWjODVpFXULWpDXWUDYDLOYrWHPHQWV
GHWUDYDLOJDQWVGHSURWHFWLRQOXQHWWHVGHVpFXULWp
4XDQGGRLWRQXWLOLVHUOHVpTXLSHPHQWVGH
SURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH"
7RXWHXQLWpGHWUDYDLOGRLWIDLUHO¶REMHWG¶XQHpYDOXD
WLRQ GHV ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV GpWDLOOpH GDQV OH
5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO&HWWH
pYDOXDWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVSHUPHWGHGp
FLGHU GHV PHVXUHV GH VpFXULWp DGDSWpHV DX SRVWH
GHWUDYDLO/HVPHVXUHVGHVpFXULWpSHXYHQWVHWUD
GXLUHSDUOHSRUWG¶XQ(3,/HVDJHQWVFRQFHUQpVSDU
O¶XQLWp GH WUDYDLO DSSOLTXHQW OHV UqJOHV GH VpFXULWp
FKDXVVXUHVGHVpFXULWpSURWHFWLRQUHVSLUDWRLUH«
GpFLGpHVSDUODFROOHFWLYLWp

4XHOOHVVRQWOHVREOLJDWLRQVGHO¶DXWRULWp
WHUULWRULDOH" &RPPHQWFKRLVLUXQpTXLSHPHQWGHSUR
WHFWLRQLQGLYLGXHOOH"
‡ (YDOXDWLRQGXULVTXH
/¶(3, UpSRQG j XQH H[SRVLWLRQ j XQ ULVTXH SURIHV
‡ 6pOHFWLRQHWFKRL[GHO¶(3,OHSOXVDGDSWpFHOXL VLRQQHO /H SRUW G¶XQ (3, UHSUpVHQWH HQ JpQpUDO
FLSRXYDQWFRXYULUSOXVLHXUVULVTXHVVLPXOWDQp XQH FRQWUDLQWH SRXU O¶DJHQW 3RXU IDFLOLWHU OH SRUW
PHQW HIIHFWLI GHV (3, LO FRQYLHQW GH FKRLVLU O¶(3, DGDSWp
‡ )RXUQLWXUHJUDWXLWHHWSHUVRQQHOOHGHO¶(3, DXULVTXHDLQVLTX¶jO¶DJHQW$XVVLODFROOHFWLYLWpGRLW
‡ ,QIRUPDWLRQGHVDJHQWVXWLOLVDWHXUVHQIRQFWLRQ DVVRFLHUOHVDJHQWVDXFKRL[GHV(3,
GX ULVTXH HW IRUPDWLRQ j O¶XWLOLVDWLRQ GH O¶(3, ‡ (YDOXDWLRQGXULVTXHSURIHVVLRQQHO
YHLOOHUjODWUDoDELOLWpHWDXVXLYLGHFHVIRUPD ‡ 5HFKHUFKH GHV (3, SURWpJHDQW GH O¶H[SRVLWLRQ
WLRQV pYDOXpH
‡ ,QIRUPDWLRQFRQFHUQDQWODPDLQWHQDQFHHQO¶pWDW ‡ 5pDOLVDWLRQ G¶XQ FDKLHU GHV FKDUJHV SRXU DS
HWOHVFRQGLWLRQVGHVWRFNDJHGHO¶(3, SUpFLHUOHV(3,
‡ 9pUL¿FDWLRQ GX SRUW HIIHFWLI GHV (3, SRXU OHV ‡ 0LVHjO¶HVVDLGHSOXVLHXUV(3,GLIIpUHQWVIDEUL
DJHQWVH[SRVpV FDQWVSOXVLHXUVPRGqOHV«
(QHIIHWLODSSDUWLHQWjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGH
YpUL¿HUOHSRUWHIIHFWLIGHV(3,/HFRGHGXWUD
‡ &KRL[Gp¿QLWLI
YDLOUHQGUHVSRQVDEOHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGHV
FRQVpTXHQFHVGHVH[SRVLWLRQVSURIHVVLRQQHO
OHVDFFLGHQWGHVHUYLFHPDODGLHSURIHVVLRQ
QHOOH \ FRPSULV GDQV OH FDV GX QRQSRUW GH
O¶(3,SDUXQDJHQW
‡ 9pUL¿FDWLRQ SpULRGLTXH GHV (3, ¿JXUDQW VXU OD
OLVWHGHO¶DUUrWpGX
(QHIIHWOHV(3,GHFODVVH,,,UpSRQGHQWjGHV
REOLJDWLRQVGHFRQWU{OHGXFRGHGXWUDYDLOFI
FKDSLWUH
‡ 5HPSODFHPHQWGHV(3,GpWpULRUpV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 4XHOVVRQWOHVGLIIpUHQWVW\SHVG¶pTXLSHPHQWVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH"
/HV(3,VHFODVVHQWSDUIDPLOOH9RLFLXQHOLVWHQRQH[KDXVWLYHGHVQRUPHV(3,HQYLJXHXUDX

1250( (3,
0,6(6$-285
3URWHFWLRQGHODWrWHHWGXYLVDJH
(1 (TXLSHPHQWVSRXUOHVWUDYDX[GHVRXGDJH
(1 )LOWUHVGHVRXGDJHDXWRPDWLTXH
(1 &DVTXHVGHSURWHFWLRQSRXUO¶LQGXVWULH

(1 &DVTXHWWHVDQWLKHXUWVSRXUO¶LQGXVWULH

(1 3URWHFWHXUVGHO¶°LOHWGHODIDFHGHW\SHJULOODJp
3URWHFWLRQGHV\HX[
(1 6SpFL¿FDWLRQV
(1 )LOWUHVSRXUOHVRXGDJH
(1 )LOWUHVSRXUOHVUD\RQVXOWUDYLROHWV
(1 )LOWUHVGHSURWHFWLRQVRODLUHjXVDJHLQGXVWULHO
/DYH°LOLQGLYLGXHOVWpULOH
1);HW
/DYHXUVG¶\HX[
$16,=
3URWHFWLRQVUHVSLUDWRLUHV
(1 0DVTXHVFRPSOHWV
(1 $SSDUHLOVGHSURWHFWLRQUHVSLUDWRLUHDXWRQRPHjFLUFXLWRXYHUWjDLUFRPSULPp
(1 $SSDUHLOVGHSURWHFWLRQUHVSLUDWRLUHjDGGXFWLRQ
(1 'HPLPDVTXHV
(1 )LOWUHVDQWLJD]HWFRPELQpV
(1 )LOWUHVjSDUWLFXOHV
(1 'HPLPDVTXHV¿OWUDQWVFRQWUHOHVSDUWLFXOHV
$SSDUHLOVGHSURWHFWLRQUHVSLUDWRLUHLVRODQWVjDGGXFWLRQG¶DLUFRPSULPpjDLUOLEUHjYHQWL
(1
ODWLRQDVVLVWpHDYHFFDJRXOHXWLOLVpVSRXUOHVRSpUDWLRQVGHSURMHFWLRQG¶DEUDVLIV
(1 $SSDUHLOV¿OWUDQWVDYHFFDJRXOHSRXUO¶pYDFXDWLRQG¶XQLQFHQGLH
(1 'HPLPDVTXHV¿OWUDQWVjVRXSDSHVFRQWUHOHVJD]RXFRQWUHOHVJD]HWSDUWLFXOHV
(1 $SSDUHLOV¿OWUDQWVjYHQWLODWLRQDVVLVWpHDYHFFDVTXHRXFDJRXOH
3URWHFWLRQDXGLWLYH
(1 6HUUHWrWHV
(1 %RXFKRQV
(1,62 3URWHFWLRQVLQGLYLGXHOOHVSHUVRQQDOLVpHVPRXOpHV
(1 6HUUHWrWHVPRQWpVVXUFDVTXHGHSURWHFWLRQSRXUO¶LQGXVWULH
3URWHFWLRQGHVPDLQV
(1 ([LJHQFHVJpQpUDOHV
5LVTXHVPpFDQLTXHV$EUDVLRQQLYHDX[
(1
&RXSXUHSDUODPHQLYHDX['pFKLUXUHQLYHDX[SHUIRUDWLRQQLYHDX[
(1 5LVTXHVVWDWLTXHV
(1 *DQWVGHFRWWHGHPDLOOHHWPDQFKHWWHSRXUO¶XWLOLVDWLRQGHFRXWHDX[jPDLQ
(1 5LVTXHVFKLPLTXHV
(1 0LFURRUJDQLVPHV
5LVTXHVWKHUPLTXHVFKDOHXUHWRXIHX
&RPSRUWHPHQWDXIHXQLYHDX[
‡ &KDOHXUGHFRQWDFWQLYHDX[
(1 ‡ &KDOHXUFRQYHFWLYHQLYHDX[
‡ &KDOHXUUDGLDQWHQLYHDX[
‡ 3HWLWHVSURMHFWLRQVGHPpWDOIRQGXQLYHDX[
‡ *URVVHVSURMHFWLRQVGHPpWDOIRQGXQLYHDX[
3URWHFWLRQFRQWUHOHIURLG
)URLGFRQYHFWLIQLYHDX[
(1
)URLGGHFRQWDFWQLYHDX[
(WDQFKpLWpjO¶HDXQLYHDX
(1 &RQWDPLQDWLRQUDGLRDFWLYH
(1 *DQWVGHSURWHFWLRQSRXUVRXGHXUV
(1 7UDYDX[VRXVWHQVLRQJDQWVHWPRXÀHVHQPDWpULDXLVRODQW

*DQWVDGDSWpVDXFRQWDFWDOLPHQWDLUH
  

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 1250(
3URWHFWLRQGHVSLHGV

(1

(1
(3,

([LJHQFHVGHVPpWKRGHVG¶HVVDLVGHVFKDXVVXUHVGHVpFXULWpGHV
FKDXVVXUHVGHSURWHFWLRQHWGHVFKDXVVXUHVjXVDJHSURIHVVLRQQHO
6SpFL¿FDWLRQV GHV FKDXVVXUHV GH VpFXULWp j XVDJH SURIHVVLRQQHO
0,6(6$-285

HPERXWMRXOHV
6SpFL¿FDWLRQVGHVFKDXVVXUHVGHSURWHFWLRQjXVDJHSURIHVVLRQQHO
(1
HPERXWGHMRXOHV
(1 6SpFL¿FDWLRQVGHVFKDXVVXUHVGHWUDYDLOVDQVHPERXW
%RWWHVHWFKDXVVXUHVGHVpFXULWp5pVLVWDQFHDXJOLVVHPHQWVXUVROV
;36
LQGXVWULHOVOLVVHVHWJUDV
3URWHFWLRQGXFRUSV
(1 ([LJHQFHVJpQpUDOHV
9rWHPHQWV GH SURWHFWLRQ XWLOLVpV SHQGDQW OH VRXGDJH HW OHV WHFKQL
(1
TXHVFRQQH[HV
(1 9rWHPHQWVSRXUE€FKHURQV
(1 3URSULpWpVpOHFWURVWDWLTXHV
3URWHFWLRQFKLPLTXH
W\SH(WDQFKpLWpDX[JD]
W\SH(WDQFKpLWpOLPLWpHDX[JD]
W\SH(WDQFKpLWpDX[OLTXLGHV
W\SH(WDQFKpLWpDX[DpURVROV
W\SH(WDQFKpLWpDX[SDUWLFXOHVVROLGHV
W\SH(WDQFKpLWpOLPLWpHDX[pFODERXVVXUHVGHOLTXLGHV
1);HW
'RXFKHG¶XUJHQFH
$16,=
(1 9rWHPHQWGHVLJQDOLVDWLRQjKDXWHYLVLELOLWp
3URWHFWLRQFRQWUHOHVFKXWHV
(1 'HVFHQGHXUV
(1 $QWLFKXWHVPRELOHVVXUVXSSRUWG¶DVVXUDJHULJLGH
(1 $QWLFKXWHVPRELOHVVXUVXSSRUWG¶DVVXUDJHÀH[LEOH
(1 /RQJHVGHFRQQH[LRQ
(1 $EVRUEHXUVG¶pQHUJLH
&HLQWXUHVGHPDLQWLHQDXWUDYDLOHWGHUHWHQXHHWORQJHVGHPDLQWLHQ
(1
DXWUDYDLO
(1 $QWLFKXWHVjUDSSHODXWRPDWLTXH
(1 +DUQDLVDQWLFKXWH
(1 &RQQHFWHXUV
(1 6\VWqPHVG¶DUUrWGHVFKXWHV
(1 'LVSRVLWLIVG¶DQFUDJH

4XHOOHVVRQWOHVREOLJDWLRQVGHVIDEULFDQWV"
/DGLUHFWLYHQƒ&((GX©FRQFHSWLRQªpWDEOLWOHVREOLJDWLRQVGHVIDEULFDQWVDYDQWWRXWH
PLVHVXUOHPDUFKpG¶XQ(3,HWGp¿QLWOHVSURFpGXUHVGHFHUWL¿FDWLRQVHORQFODVVHV
&ODVVH 3URFpGXUHVGHFHUWL¿FDWLRQ 0DUTXDJH 5HPDUTXHV
&ODVVH,
5LVTXHV PLQHXUV HIIHWV &HVpTXLSHPHQWVGHFODVVH,DSSRUWHQW
Q¶D\DQW DXFXQH FRQVp $XWRFHUWL¿FDWLRQGXIDEULFDQW &(RX&(DQQpH XQVLPSOHFRQIRUWG¶XWLOLVDWLRQ
TXHQFH VXU OD VDQWp GH ([YrWHPHQWVGHSOXLH
O¶XWLOLVDWHXU
/HIDEULFDQWGRLWHIIHFWXHUGHVWHVWVHW
H[DPHQV&(DXSUqVG¶XQODERUDWRLUH
/D SOXSDUW GHV (3, VRQW GH FODVVH ,, 
&ODVVH,, QRWL¿pTXLVHUDVHXOKDELOLWpjGpOLYUHU &(RX&(DQQpHGHODERUDWRLUH
JDQWV OXQHWWHV YrWHPHQWV WHFKQLTXHV
5LVTXHVLQWHUPpGLDLUHV OH PDUTXDJH &( DSUqV YpUL¿FDWLRQ 'HSXLV&(
SURWHFWLRQVDXGLWLYHV«
GHV SHUIRUPDQFHV REWHQXHV HW GH OD
FRQIRUPLWpDX[QRUPHV
/HV (3, GH FODVVH ,,, FRQFHUQHQW QR
&HV (3, VRQW VRXPLV DX[ PrPHV WDPPHQW OD SURWHFWLRQ UHVSLUDWRLUH OHV
&ODVVH,,,
WHVWVTXHSRXUODFODVVH,,V¶DMRXWHj &(DQQpH1ƒGHODERUDWRLUH JLOHWVGHVDXYHWDJHODSURWHFWLRQFRQWUH
5LVTXHV JUDYHV RX LUUpYHU
FHWWHGpPDUFKHOHFRQWU{OHREOLJDWRLUH 'HSXLV&( OHV FKXWHV GH KDXWHXU 8QH IRUPDWLRQ
VLEOHV
GHTXDOLWpGHODSURGXFWLRQ DLQVL TX¶XQ FRQWU{OH UpJXOLHU VRQW REOL
JDWRLUHV

/HPDUTXDJHFRPSRUWHVHORQOHVFDVO¶LGHQWL¿FDWLRQGXIDEULFDQWQRPRXPDUTXHODUpIpUHQFHGXSURGXLW

ODWDLOOHHWOHQLYHDXGHSHUIRUPDQFHpYHQWXHOOHPHQWOHSLFWRJUDPPHGXULVTXHFRQFHUQp
7RXW(3,TXHOOHTXHVRLWVDFODVVHGRLWSRVVpGHUOHPDUTXDJH&(HWGRLWREOLJDWRLUHPHQWrWUHDFFRPSDJQp
GDQVVRQFRQGLWLRQQHPHQWG¶XQHQRWLFHG¶LQIRUPDWLRQHWG¶XQHGpFODUDWLRQGHFRQIRUPLWp

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 3URFpGXUH
$¿Q GH JDUDQWLU XQH SURWHFWLRQ RSWLPXP GH O¶DJHQW TXL OH
SRUWHO¶(3,GRLWrWUHDGDSWpHWHQERQpWDW/DSURFpGXUHVXL
YDQWHGHJHVWLRQGHFHVpTXLSHPHQWVSHUPHWWUDGHJDUDQWLU
ODTXDOLWpGHFHVGHUQLHUV
‡ (YDOXDWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVFIFKDSLWUH
‡ 'pWHUPLQDWLRQHWFKRL[GHV(3,QpFHVVDLUHV
‡ /LVWHUOHV(3,QpFHVVDLUHVDYHFOHQRPGXIRXUQLVVHXU
GXYpUL¿FDWHXULQWHUQHRXH[WHUQHHWO¶DFWLYLWpFRQFHU
QpHFIPRGqOHGHUHJLVWUHGHJHVWLRQGHVpTXLSHPHQWV
GHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOHDXFKDSLWUH
‡ $UFKLYHUOHVQRWLFHVG¶LQIRUPDWLRQGHFKDTXH(3,GRQ
QpHVSDUOHIRXUQLVVHXUDYHFO¶pTXLSHPHQW
‡ (WDEOLU XQ UHJLVWUH GH JHVWLRQ GHV (3, SRXU FRQVLJQHU
OHV SpULRGLFLWpV GH YpUL¿FDWLRQ GH FKDTXH pTXLSHPHQW
FIPRGqOHGHUHJLVWUHGHJHVWLRQGHVpTXLSHPHQWVGH
SURWHFWLRQLQGLYLGXHOOHDXFKDSLWUHjO¶DLGHGHV
QRWLFHVG¶LQIRUPDWLRQV
‡ 7HQLUjMRXUOHUHJLVWUHGHJHVWLRQGHV(3,

5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
5pIpUHQFHVOpJLVODWLYHVGDQVOHFDGUHGHODPLVHHQSODFH
GXPDUFKpXQLTXHHXURSpHQOD&RPPLVVLRQGHV&RPPX
QDXWpV(XURSpHQQHVDGp¿QLGHSXLVGHX[GLUHFWLYHV
FRQFHSWLRQHWXWLOLVDWLRQpWDEOLVVDQWXQHFHUWL¿FDWLRQGHV
(3,DYHFOHXUQLYHDXGHSURWHFWLRQ
‡ /DGLUHFWLYH©FRQFHSWLRQª
‡ /DGLUHFWLYH©XWLOLVDWLRQªHWOHGpFUHWQƒ
GX  pWDEOLVVHQW OHV REOLJDWLRQV GH O¶DXWRULWp
WHUULWRULDOH
‡ $UUrWpGX

0RGqOHVGHUHJLVWUHGHJHVWLRQ
GHV pTXLSHPHQWV GH SURWHFWLRQ
LQGLYLGXHOOH
9RLUSDJHVVXLYDQWHV

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
0RGqOH

5HJLVWUHGHJHVWLRQGHVpTXLSHPHQWV
GHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH

&ROOHFWLYLWp 6HUYLFH

1ƒ (TXLSHPHQW 0DUTXH 5pIpUHQFH )RXUQLVVHXU 9pUL¿FDWHXUV $FWLYLWpV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

5HJLVWUHGHJHVWLRQGHVpTXLSHPHQWV
GHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH
&ROOHFWLYLWp 6HUYLFH

3DU
3pULRGLFLWpGH
1ƒ (TXLSHPHQW 'DWHVGHYpUL¿FDWLRQ
YpUL¿FDWLRQ 8WLOLVDWHXU 3HUVRQQH
TXDOL¿pH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
4 4.3 La gestion des produits dangereux
4.3.1 Méthodologie
Qu’est ce qu’un produit dangereux ?
On désigne sous le terme de produit dangereux tous les
produits chimiques seuls ou en mélange qui peuvent avoir
XQHLQÀXHQFHQpIDVWHVXUODVDQWpKXPDLQHRXO¶HQYLURQ-
nement.
3RXUVLPSOL¿HUOHVSURGXLWVGDQJHUHX[VHURQWWRXVOHVSUR-
duits étiquetés par les pictogrammes de dangers suivants :
Quels sont les documents liés aux pro-
duits dangereux ?
La Fiche de Données de Sécurité (FDS)
&¶HVW SRXU O¶XWLOLVDWHXU G¶XQ SURGXLW OH GRFXPHQW OH SOXV
LPSRUWDQWGXSRLQWGHYXHGHODVpFXULWp$VDGHPDQGHOD
¿FKHHVWWUDQVPLVHSDUOHIDEULFDQWRXOHYHQGHXUDYHFFKD-
TXHSURGXLW/HV¿FKHVGRLYHQWrWUHSRUWpHVjODFRQQDLV-
VDQFHGXPpGHFLQGXWUDYDLOSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH(OOHV
GRLYHQWrWUHFRQQXHVGHVXWLOLVDWHXUVHWrWUHSUpVHQWHVVXU
OHOLHXGHVWRFNDJHHWG¶XVDJHGXSURGXLW
/D ¿FKH GH GRQQpHV GH VpFXULWp VH GpFRPSRVH HQ 
SRLQWVHWSUpVHQWHTXHOVTXHVRLHQWOHSURGXLWHWOHIDEUL-
FDQWOHVLQIRUPDWLRQVREOLJDWRLUHVVXLYDQWHV
• /¶LGHQWL¿FDWLRQGXSURGXLWFKLPLTXHHWGHODSHUVRQQH
SK\VLTXHRXPRUDOHUHVSRQVDEOHGHVDPLVHVXUOH
marché.
• /HV LQIRUPDWLRQV VXU OHV FRPSRVDQWV QRWDPPHQW
OHXUFRQFHQWUDWLRQRXOHXUJDPPHGHFRQFHQWUDWLRQ
QpFHVVDLUHVjO¶DSSUpFLDWLRQGHVULVTXHV
• /¶LGHQWL¿FDWLRQGHVGDQJHUV
• La description des premiers secours à porter en cas
G¶XUJHQFH
• /HVPHVXUHVGHOXWWHFRQWUHO¶LQFHQGLH
• Les mesures à prendre en cas de dispersion acci-
dentelle.
• /HV SUpFDXWLRQV GH VWRFNDJH G¶HPSORL HW GH PDQL-
pulation.
• /HV SURFpGXUHV GH FRQWU{OH GH O¶H[SRVLWLRQ GHV WUD-
vailleurs et les caractéristiques des équipements de
protection individuelle adéquats.
• /HVSURSULpWpVSK\VLFRFKLPLTXHV
• La stabilité du produit et sa réactivité.
• Les informations toxicologiques.
• Les informations écotoxicologiques.
• 'HV LQIRUPDWLRQV VXU OHV SRVVLELOLWpV G¶pOLPLQDWLRQ
des déchets.
• Les informations relatives au transport.
• Les informations réglementaires relatives en particu-
OLHUDXFODVVHPHQWHWjO¶pWLTXHWDJHGXSURGXLW
• Toute autre information disponible pouvant contri-
buer à la sécurité ou à la santé des travailleurs.
L’étiquette
/¶pWLTXHWDJHGHVVXEVWDQFHVHWSUpSDUDWLRQVGDQJHUHXVHV
DSRXUEXWG¶DVVXUHUG¶XQHSDUWODSURWHFWLRQGHVSHUVRQ-
nes qui peuvent entrer en contact avec les produits chimi-
TXHVHWG¶DXWUHSDUWODSURWHFWLRQGHO¶HQYLURQQHPHQW
De nombreux agents des collectivités territoriales du fait
GHOHXUPpWLHUSHLQWUHVMDUGLQLHUVDJHQWVG¶HQWUHWLHQPp-
/¶pWLTXHWDJH I€WV ELGRQV SRWV FDUWRQV VDFV« HVW OD
SUHPLqUH LQIRUPDWLRQ HVVHQWLHOOH HW FRQFLVH IRXUQLH j
O¶XWLOLVDWHXU VXU OHV GDQJHUV GHV SURGXLWV HW VXU OHV SUp-
cautions à prendre lors de leur utilisation. Ce document
GRQQHOHVV\PEROHVHWLQGLFDWLRQVGHGDQJHUFIDQQH[H
FDQLFLHQV HW GHV SURGXLWV TX¶LOV PDQLSXOHQW VROYDQWV ,GXFKDSLWUHOHVSKUDVHVGHULVTXHVSKUDVHV5
KXLOHVSURGXLWVSK\WRVDQLWDLUHVGpWHUJHQWVVRQWH[SR- HWFRQVHLOVGHSUXGHQFHSKUDVHV6FIDQQH[H,,GXFKD-
VpV j GHV GHJUpV GLYHUV GLUHFWHPHQW RX LQGLUHFWHPHQW
aux risques chimiques.
&HWWH H[SRVLWLRQ VL HOOH Q¶HVW SDV FRQYHQDEOHPHQW PDv-
trisée peut engendrer des phénomènes pathologiques
j pYROXWLRQ OHQWH GHV PDODGLHV SURIHVVLRQQHOOHV RX GHV
pYqQHPHQWVVRXGDLQVGHVDFFLGHQWVGXWUDYDLO'HSOXV
la mise en œuvre de ces produits chimiques est génératri-
FHGHGpFKHWVSURGXLVDQWGHVQXLVDQFHVHWGHVSROOXWLRQV
pouvant affecter gravement et durablement les milieux
humains et naturels.
Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
SLWUH
Les agents amenés à utiliser les produits et à manipuler
OHVHPEDOODJHVGRLYHQWrWUHIRUPpVjO¶LQWHUSUpWDWLRQGHV
pWLTXHWWHVD¿QGHSRXYRLUVHSURWpJHUGHVULVTXHVSRWHQ-
WLHOVHWDJLUHQFDVG¶DFFLGHQW
Si un nouveau conditionnement ou une division des pro-
GXLWV V¶DYqUH QpFHVVDLUH FKDTXH QRXYHO HPEDOODJH GRLW
FRPSRUWHUOHVPrPHVLQGLFDWLRQVGHVpFXULWpTXHVXUO¶HP-
EDOODJHG¶RULJLQH
.............Page 76
 La notice d’information • Lieux d’utilisation des produits.
L’autorité territoriale est tenue d’établir une notice pour chaque • Métiers, activités ou fonctions exposés aux produits.
poste de travail exposant les agents à des substances ou des pré- • Quantité annuelle utilisée.
parations chimiques dangereuses : cette notice, actualisée en tant • Quantité annuelle de déchet généré par le produit.
que de besoin, est destinée à les informer des risques auxquels • Lieu précis de stockage du déchet.
leur travail peut les exposer et des dispositions prises pour les évi- • Collecteur du déchet.
ter. Cette notice doit rappeler les règles d’hygiène applicables et, si • 'HVWLQDWDLUH¿QDOGXGpFKHW
nécessaire, les consignes relatives à l’utilisation des équipements • Mode de traitement (valorisation énergétique, incinération,
de protection collective ou individuelle (le modèle de tableau de recyclage,…).
gestion de produit présenté au chapitre 4.3.2. peut être le support • Possession du BSDD.
de base pour créer cette notice d’information).

Le Bordereau de Suivi de Déchets Dangereux Quelles sont les obligations de l’autorité

(BSDD) : (cf. annexe III du chapitre 4.3.3.) territoriale ?
Le décret n°2005-635 du 30 mai 2005 relatif au contrôle des cir-
cuits d’élimination de déchets générateurs de nuisances institue
un bordereau de suivi (BSDD). Il peut être réclamé par l’autorité Les obligations de l’autorité territoriale en matière
administrative compétente (Direction Régionale de l’Industrie, de la
de santé humaine
Recherche et de l’Environnement : DRIRE). Ce bordereau précise
la provenance, les caractéristiques, la destination, les modalités de
collecte, transport, stockage et élimination. Avant l’émission du bor- L’autorité territoriale doit évaluer les risques
GHUHDXO¶HQWUHSULVHGRLWREWHQLUXQFHUWL¿FDWG¶DFFHSWDWLRQSUpDODEOH Pour toute activité susceptible de présenter un risque d’exposi-
de la part du destinataire du déchet : cette opération est réalisée tion à des produits dangereux, l’autorité territoriale doit procéder à
généralement par le collecteur. l’évaluation des risques encourus par les agents (cf. chapitre 2.1).
Dès que les déchets dangereux sont cédés à un éliminateur, la Dans le cadre de cette évaluation, l’autorité territoriale doit notam-
procédure suivante doit être suivie : ment s’appuyer sur les données transmises par le fournisseur des
• se procurer un BSDD conforme au modèle réglementaire (cf. produits, par les FDS et l’étiquetage. Elle doit prendre en compte
annexe III du chapitre 4.3.3), toutes les activités au sein de la collectivité, notamment l’entretien
• remplir la partie du BSDD concernant le producteur et le re- et la maintenance, et les risques combinés des différents produits
mettre au collecteur, présents sur le lieu de travail. Cette évaluation tient compte des
• toutes personne prenant en charge les déchets doivent rem- conditions d’utilisation des produits et des remarques du médecin
plir la partie du BSDD les concernant, de médecine professionnelle et préventive.
• DX¿QDOO¶LQVWDOODWLRQGHVWLQDWDLUHGHVGpFKHWVGRLWUHWRXUQHUOH
BSDD rempli au producteur,
L’autorité territoriale doit informer les agents
• les BSDD doivent être archivés pendant 5 ans.
Les informations sur les risques chimiques et les moyens de les
Dans la majorité des cas, les collecteurs de déchets fournissent et
prévenir sont transmis aux agents, aux membres du CTP/CHS qui
remplissent le BSDD.
reçoivent une formation sur le sujet. Les agents reçoivent des in-
formations, périodiquement actualisées sur les agents chimiques
La mise en place d’un tableau de gestion des dangereux se trouvant sur les lieux de travail. Ils peuvent notam-
ment avoir accès aux FDS et être informés des Valeurs Limites
produits : (cf. chapitre 4.3.2.) d’Exposition (VLE) et valeurs limites biologiques à respecter.
Pour une bonne maîtrise des produits chimiques utilisés dans la
De plus ces informations seront transmises au médecin du service
collectivité, il est possible de réaliser un tableau reprenant l’ensem-
de médecine professionnelle et préventive.
ble des éléments caractérisant ces produits qui deviennent des
GpFKHWVHQ¿QG¶XVDJH&HWWHYLVLRQV\QWKpWLTXHGRQQHXQHYLVLRQ
L’autorité territoriale doit mettre en place des mesures de
globale quantitative et qualitative des produits, ainsi que les man-
prévention
ques éventuels et les actions à mener.
La réduction du risque d’exposition :
Pour chacun des produits, devront apparaître dans le tableau les
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGp¿QLWHWPHWHQ°XYUHOHVPHVXUHVGHSUp-
éléments suivants :
vention adaptées, en visant à réduire au minimum le risque d’expo-
• Désignation générale du produit (solvant, déboucheur, dés-
sition à ces produits dangereux. Cette réduction des risques passe
herbant, peinture,…).
notamment par une conception et une organisation des méthodes
• Utilisation.
de travail adaptées et par une réduction :
• Nom commercial.
• du nombre d’agents exposés,
• Nom chimique.
• des durées d’exposition,
• Forme chimique (poudre, liquide, gaz, solide, pâte).
• des quantités de produits utilisés.
• Fournisseur.
• 3RVVHVVLRQGHOD¿FKHGHGRQQpHVGHVpFXULWp)'6
• Risques principaux (irritant, corrosif, toxique,…).
• Principales mesures de protection pour la santé prévues par Le stockage, la manipulation et l’isolement des produits
la FDS (surveillance médicale particulière, protections collec-
chimiques incompatibles
tives et individuelles).
L’autorité territoriale prend les mesures nécessaires pour empê-
• Mesures de protection actuellement mises en œuvre pour la
cher la présence sur le lieu de travail de concentrations dangereu-
santé des agents.
VHVGHVXEVWDQFHVLQÀDPPDEOHVRXGHTXDQWLWpVGDQJHUHXVHVGH
• Principales mesures de protection de l’environnement pré-
substances chimiques instables.
vues par la FDS (ne pas rejeter à l’égout, faire traiter dans un
Pour cela, certaines règles de stockage, de manipulation et d’isole-
centre agréé,…).
ment des produits incompatibles doivent être respectées.
• Mesures de protection actuellement mises en œuvre pour la
L’annexe IV du chapitre 4.3.3. propose un exemple de local de
protection de l’environnement ;
stockage de produits dangereux avec les principales règles de sé-
• Possession de la documentation technique.
curité à respecter.
• Lieu précis de stockage.
L’annexe V du chapitre 4.3.3. donne la liste des produits chimi-
• Mode précis de stockage (cuve métallique, emballage carton,
ques incompatibles en fonction de la nature du danger que revêt
fûts de 200L, pots, sacs,…).
le produit.
• Quantité stockée.

Page 77 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
4 Les mesures de protection collective et mesures
de protection individuelle
Les installations et appareils de protection collective
(extracteur d’air, hotte aspirante, ventilation mécanique
FRQWU{OpHGRLYHQWrWUHUpJXOLqUHPHQWYpUL¿pVHWPDLQWH-
nus en parfait état de fonctionnement (cf. chapitre 4.1.).
Des équipements de protection individuelle (E.P.I.) adap-
tés aux risques encourus sont mis à la disposition des
agents susceptibles d’être exposés à l’action des subs-
tances ou des préparations chimiques dangereuses.
L’autorité territoriale est tenue d’assurer l’entretien de
ces équipements et des vêtements de travail (cf. chapitre
4.2.).
Les mesures d’hygiène
L’autorité territoriale est tenue de prévoir des mesures
d’hygiène appropriées :
• doter le personnel de vêtements réservés à un usage
professionnel,
• installer des armoires permettant de séparer les vê-
tements professionnels des vêtements personnels,
• installer des douches en cas de projection de produit
sur le corps de l’agent et le cas échéant, pour ne
pas risquer de se contaminer et de contaminer l’en-
vironnement,
• LQVWDOOHU GHV ODYDERV D¿Q GH SHUPHWWUH GH VH ODYHU
régulièrement les mains,
• interdire de manger, fumer ou boire dans les zones
de travail concernées.
Le contrôle des valeurs limites d’exposition
L’autorité territoriale procède de façon régulière et lors
de tout changement des procédés de travail susceptibles
d’avoir un effet sur l’exposition, aux mesures de concen-
tration des éléments chimiques pouvant présenter un ris-
que pour la santé et la sécurité des agents.
Tout dépassement des valeurs limites établies par décret
doit sans délai faire l’objet d’un nouveau contrôle. Si le
GpSDVVHPHQWHVWFRQ¿UPpOHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQHW
de protection propres à remédier à la situation doivent être
mises en œuvre.
Dans le cas d’un dépassement d’une valeur limite indica-
tive, ce dépassement est pris en compte pour apprécier
la nécessité de procéder à une nouvelle évaluation des
risques d’exposition.
Les accès aux locaux de travail, systèmes d’alar-
me et exercices de sécurité
GHFHWWH¿FKHHVWWUDQVPLVDXPpGHFLQGHPpGHFLQHSUR-
fessionnelle et préventive et mis à la disposition de l’ACFI
et du CTP/CHS le cas échéant.
Le suivi médical des agents exposés
Les agents ne sont affectés à des travaux les exposant à
des produits chimiques dangereux que s’ils ont fait l’objet
d’un examen préalable par le médecin de médecine pro-
fessionnelle et préventive.
/D¿FKHGHYLVLWHPpGLFDOHDWWHVWHTXHOHVDJHQWVQHSUp-
VHQWHQW SDV GH FRQWUHLQGLFDWLRQ j FHV WUDYDX[ /D ¿FKH
précise la date de l’étude du poste de travail et celle de
la dernière mise à jour. Elle est renouvelée au moins une
fois par an.
/¶DJHQW HVW LQIRUPp GX FRQWHQX GH FHWWH ¿FKH TX¶LO SHXW
contester, tout comme l’autorité territoriale. Si une valeur
limite biologique est dépassée et que le médecin de mé-
decine professionnelle et préventive estime que ce dépas-
sement résulte de l’exposition professionnelle, l’autorité
territoriale en est informée, sous une forme non nomina-
WLYHD¿QTXHFHOOHFLSURFqGHjXQHUppYDOXDWLRQGHVULV-
ques et à une révision des moyens de prévention.
L’autorité territoriale est tenue de faire examiner par le
médecin de médecine professionnelle et préventive tout
agent qui se déclare incommodé par les travaux qu’il exé-
cute.
Conservation du dossier médical : celui-ci doit être
FRQVHUYpSHQGDQWDXPRLQVDQVDSUqVOD¿QGHODSp-
riode d’exposition ;
Attestation d’exposition : une attestation d’exposition
aux produits chimiques dangereux doit être remise à
l’agent à son départ de la collectivité, quel qu’en soit le
motif ;
Valeurs limites biologiques : des valeurs limites biologi-
ques peuvent être établies réglementairement pour cer-
tains produits chimiques.
Les règles particulières de prévention des risques Can-
cérogène, Mutagène ou toxique pour la Reproduction
(CMR)
Est considérée comme élément cancérogène toute subs-
tance ou toute préparation pour laquelle l’étiquetage com-
porte une mention indiquant explicitement son caractère
cancérogène ainsi que toute substance, toute préparation
RXWRXWSURFpGpGp¿QLFRPPHWHOSDUDUUrWp
Les principales substances concernées sont :
Les CMR (Cancérogènes, Mutagènes ou toxiques pour la
Les accès aux locaux où sont stockés et utilisés des
produits chimiques sont limités aux seuls agents dont la
mission l’exige. Les locaux de travail où sont utilisés les
produits chimiques dangereux font l’objet d’une signalisa-
tion appropriée. Des systèmes d’alarme et systèmes de
communication doivent être installés.
L’autorité territoriale doit veiller à ce que les informations
relatives aux mesures d’urgence se rapportant à des pro-
duits chimiques dangereux soient disponibles, notamment
pour les services d’intervention compétents, internes ou
externes. Cette information doit comprendre :
• Une mention des dangers de l’activité, des précau-
WLRQVHWGHVSURFpGXUHVSHUWLQHQWHVD¿QTXHOHVVHU-
vices d’intervention puissent préparer leurs propres
procédures.
• Toute information disponible concernant les dangers
susceptibles de se présenter lors d’un accident.
• Les règles d’évacuation et les installations de pre-
mier secours.
/D¿FKHG¶H[SRVLWLRQHWOLVWHGHVDJHQWVH[SRVpV
L’autorité territoriale doit tenir à jour une liste actualisée
des personnels exposés aux produits chimiques dange-
reux pour la santé, y compris ceux qui sont classés CMR
(cf. chapitre 6.4).
Chaque agent exposé est informé de l’existence de cette
¿FKHHWDDFFqVDX[LQIRUPDWLRQVOHFRQFHUQDQW/HGRXEOH
Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
5HSURGXFWLRQHQYHUWXGHODFODVVL¿FDWLRQHXURSpHQQH
L’amiante, le benzène, le chlorure de vinyle monomère, le
plomb et les poussières de bois.
L’évaluation de l’exposition des agents
L’autorité territoriale est tenue, pour toute activité suscep-
tible de présenter un risque d’exposition à des produits
CMR, d’évaluer la nature, le degré et la durée de l’expo-
VLWLRQ GHV DJHQWV D¿Q GH SRXYRLU DSSUpFLHU WRXW ULVTXH
FRQFHUQDQW OHXU VpFXULWp RX OHXU VDQWp HW GH Gp¿QLU OHV
mesures de prévention à prendre.
Cette appréciation doit être renouvelée régulièrement, no-
tamment pour prendre en compte l’évolution des connais-
sances sur les produits utilisés et lors de tout changement
des conditions pouvant affecter l’exposition des agents
CMR.
/RUVGHO¶DSSUpFLDWLRQWRXWHVOHVH[SRVLWLRQVVLJQL¿FDWLYHV
en particulier celles provenant d’une absorption percuta-
née ou transcutanée, doivent être prises en compte.
'HVYDOHXUVOLPLWHVG¶H[SRVLWLRQSURIHVVLRQQHOOHVRQWGp¿-
nies comme la limite de la moyenne pondérée en fonction
du temps de la concentration d’un produit CMR dans l’air
de la zone de respiration d’un agent, au cours d’une pé-
riode de référence déterminée.
.............Page 78
 Les mesures préventives
Mesures générales
L’autorité territoriale est tenue de réduire l’utilisation d’un produit
CMR sur le lieu de travail lorsqu’elle est susceptible de conduire
à une exposition, notamment en le remplaçant, dans la mesure où
cela est techniquement possible, par une substance, une prépara-
tion ou un procédé qui, dans ses conditions d’emploi, n’est pas ou
est moins dangereux pour la santé ou la sécurité des agents.
Si le remplacement du produit CMR par une substance, une pré-
paration ou un procédé sans danger ou moins dangereux pour la
sécurité ou la santé n’est pas réalisable, l’autorité territoriale prend
les dispositions nécessaires pour que la production et l’utilisation
du produit CMR ait lieu dans un système clos.
Si l’application d’un système clos n’est pas réalisable, l’autorité
territoriale fait en sorte que le niveau d’exposition des agents soit
réduit à un niveau aussi bas qu’il est techniquement possible.
Dans tous les cas d’utilisation d’un produit CMR, l’autorité territo-
riale applique les mesures suivantes :
• Limitation des quantités d’un produit CMR sur le lieu de travail.
• Limitation du nombre d’agents exposés ou susceptibles de l’être.
• Mise au point de processus de travail et de mesures techniques
permettant d’éviter ou de minimiser le dégagement de produits
CMR.
• Évacuation des produits CMR (captage à la source, ventilation
du local,...).
• Utilisation de méthodes appropriées de mesure des produits
cancérogènes, en particulier pour la détection précoce des ex-
positions anormales résultant d’un événement imprévisible ou
d’un accident.
• Application de procédures et de méthodes de travail appro-
priées.
• Mesures de protection collectives ou, lorsque l’exposition ne
peut être évitée par d’autres moyens, mesures de protection
individuelle.
• Mesures d’hygiène, notamment de nettoyage régulier des sols,
murs et autres surfaces.
• Information des agents.
• Délimitation des zones à risques et utilisation de signaux adé-
quats d’avertissement et de sécurité, y compris les signaux «
défense de fumer » dans les zones où les agents sont exposés
ou susceptibles d’être exposés à des produits CMR.
• Mise en place de dispositifs pour les cas d’urgence suscep-
tibles d’entraîner des expositions anormalement élevées, en
SDUWLFXOLHUORUVG¶pYHQWXHOOHVUXSWXUHVGXFRQ¿QHPHQWGHVV\V-
tèmes clos.
• Utilisation de moyens permettant le stockage, la manipulation
et le transport sans risque des produits CMR, notamment par
l’emploi de récipients hermétiques étiquetés de manière claire,
nette et visible.
• Collecte, stockage et évacuation sûrs des déchets.
Contrôle du respect des valeurs limites
'HVFRQWU{OHVWHFKQLTXHVGHVWLQpVjYpUL¿HUOHUHVSHFWGHVYDOHXUV
limites doivent être effectués au moins une fois par an par un orga-
nisme agréé, ces prélèvements étant réalisés aux postes de travail
HQVLWXDWLRQVLJQL¿FDWLYHGHO¶H[SRVLWLRQKDELWXHOOH
La stratégie de prélèvement est établie par l’autorité territoriale,
après avis de l’organisme agréé, du médecin de médecine pro-
fessionnelle et préventive et du CTP/CHS. Tout dépassement des
valeurs limites doit entraîner sans délai un nouveau contrôle. Si le
GpSDVVHPHQWHVWFRQ¿UPpOHWUDYDLOGRLWrWUHDUUrWpDX[SRVWHVGH
travail concernés, jusqu’à la mise en œuvre des mesures propres
à remédier à la situation.
De nouveaux contrôles doivent aussi être effectués en cas de mo-
GL¿FDWLRQGHVSURFpGpVGHWUDYDLO
Les résultats de ces contrôles doivent être communiqués au mé-
decin du service de médecine professionnelle et préventive et au
CTP/CHS.
Formations et information des agents
L’autorité territoriale organise, en liaison avec le CTP/CHS et le
médecin de médecine professionnelle et préventive la formation à
la sécurité et l’information des agents susceptibles d’être exposés
à l’action de produits CMR.
Page 79 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
Protection des femmes enceintes
Il est interdit d’affecter ou de maintenir des femmes enceintes ou al-
laitantes à des postes les exposant à des produits avérés toxiques
pour la reproduction.
Surveillance médicale renforcée
Un agent ne peut être affecté à des travaux l’exposant à un produit
CMR que s’il a fait l’objet d’un examen préalable par le médecin
GHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHHWVLOD¿FKHPpGLFDOH
établie atteste qu’il ne présente pas de contre-indication médicale
à ces travaux.
&HWWH¿FKHHVWUHQRXYHOpHWRXVOHVVL[PRLVDSUqVH[DPHQSDUOH
médecin de médecine professionnelle et préventive.
S’il s’avère que l’agent présente une anomalie ou est atteint d’une
maladie professionnelle susceptible de résulter d’une exposition
à des produits CMR, tout le personnel ayant subi une exposition
analogue sur le même lieu de travail doit faire l’objet d’un examen
médical, assorti éventuellement d’examens complémentaires.
Pour chaque agent exposé à un produit CMR, le dossier médical
prévu, précise la nature du travail effectué, la durée des périodes
d’exposition, notamment celle des expositions accidentelles et les
résultats de tous les examens médicaux auxquels l’intéressé a été
soumis dans la collectivité.
Pour chaque agent affecté ou ayant travaillé à un poste l’exposant
à un produit CMR, le dossier médical est conservé pendant 40 ans
après la cessation de l’exposition.
Si l’agent change de collectivité, l’extrait du dossier médical relatif
aux risques professionnels est transmis au médecin de médecine
professionnelle et préventive de la nouvelle collectivité à la deman-
de de l’agent.
Après le départ à la retraite de l’agent, son dossier médical est
conservé par le service de médecine professionnelle et préventive
de la dernière collectivité fréquentée.
Les obligations de la collectivité utilisatrice de
produits chimiques en matière de protection de
l’environnement
Généralités
L’utilisation de produits chimiques (liquide, gaz, solide, pâte, pou-
dre) présente par nature des risques de nuisances et de pollutions
pour les milieux environnants : air, eau, sol. Par ces vecteurs, les
produits chimiques peuvent affecter à des degrés divers les milieux
naturels (animaux, végétaux), ainsi que les populations vivant à
plus ou moins longue distance des installations.
L’action de ces polluants sur ces milieux peut être plus ou moins
importante selon les quantités rejetées, les concentrations, le de-
gré de toxicité des produits et la sensibilité des milieux récepteurs.
Les bonnes pratiques professionnelles d’utilisation des produits
chimiques, découlant de l’application des règles d’hygiène et de
sécurité permettent indirectement de limiter les nuisances sur
O¶HQYLURQQHPHQW7RXWHIRLVFHOOHVFLQHVRQWSDVVXI¿VDQWHVHWQH
UpSRQGHQWSDVDX[UqJOHVWUqVVSpFL¿TXHVGp¿QLHVGDQVOHVUpJOH-
mentations de protection de l’environnement qui sont fort nombreu-
VHVHWFRGL¿pHVSRXUSDUWLHGDQVOH&RGHGHO¶HQYLURQQHPHQW
Exemples de sources de nuisances et de pollutions
par des produits chimiques
Pollution de l’air
Diffusion des polluants par :
• Activité de peinture dans une cabine (rejets par les exutoires)
• Epandage de produits phytosanitaires.
• Activités de peinture du bâtiment et de voirie.
• Brûlage de déchets,….
Pollution de l’eau et des sols
Diffusion des polluants liquides par rejets intentionnels et acciden-
tels dans les réseaux d’eaux pluviales et usées, par :
• Déversements intentionnels ou accidentels sur le sol, par fui-
tes de cuves, réseaux et stockages de produits chimiques, par
vaporisation et épandage de produits phytosanitaires,…
• Vidange de moteurs et de circuits de refroidissement des vé-
hicules.
• Utilisation de produits désherbants, fongicides,…
• Rinçage de cuves ayant contenu des produits chimiques.
• Stockage de produits chimiques (liquides, solides, pâtes, pou-
dres).
• Rinçage et nettoyage des outils de peinture,….
 3LVWHV GH VROXWLRQV SRXU UpGXLUH OHV 3URFpGXUH
QXLVDQFHVHWOHVSROOXWLRQV
3ROOXWLRQGHO¶DLU
‡
(Q UpVXPp OD SUpYHQWLRQ GHV ULVTXHV OLpV j O¶HPSORL GH
'LVSRVHU GHV )'6 GH FKDTXH SURGXLW XWLOLVp HW VXL
YUH OHV SUHVFULSWLRQV VXU O¶pFRWR[LFRORJLH OHV UqJOHV
GHWUDQVSRUWGHVWRFNDJHG¶pWLTXHWDJHHWGHJHVWLRQ
GHVGpFKHWV
‡ 5DWLRQDOLVHUOHQRPEUHHWO¶XWLOLVDWLRQGHVSURGXLWV
‡ (TXLSHUVDFDELQHGHSHLQWXUHGH¿OWUHVDGDSWpVDX[
SURGXLWVGDQJHUHX[UHSRVHVXUOHVDFWLRQVVXLYDQWHV
‡
‡
5pDOLVHUXQUHFHQVHPHQWGHVSURGXLWVXWLOLVpV
(IIHFWXHUXQWULGHFHVSURGXLWVHWpOLPLQHUOHVVWRFNV
TXLQHVHURQWMDPDLVXWLOLVpVHQIDLVDQWDSSHOjGHV
¿OLqUHVVSpFLDOLVpHV
‡ 2EWHQLUOHV)'6DXSUqVGHVIRXUQLVVHXUV
‡ 7UDQVPHWWUHGHVFRSLHVGHV)'6DXPpGHFLQGHPp
GHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH
‡ ,QVWUXLUHXQWDEOHDXGHJHVWLRQGHSURGXLWVFIFKDSL
SROOXDQWVUHMHWpV
‡ 5HPSODFHUOHVSURGXLWVSROOXDQWVSDUGHVVXEVWDQFHV
PRLQVQRFLYHVSRXUO¶HQYLURQQHPHQW
‡ 8WLOLVHUGHVSURGXLWVFRQIRUPpPHQWDX[SUHVFULSWLRQV
WHFKQLTXHVHWGHVpFXULWpWHOOHVTXHGp¿QLHVSDUOH
IDEULFDQW
‡ ,QWHUGLFWLRQGHVEU€ODJHV©VDXYDJHVª
‡ )DLUHUpDOLVHUOHVWUDYDX[GHSHLQWXUHSDUXQSUHVWD
WDLUHH[WpULHXUGLVSRVDQWGHFDELQHVFRQIRUPHV
‡ &RQ¿HU VHV GpFKHWV GH SURGXLWV FKLPLTXHV j GHV
HQWUHSULVHV VSpFLDOLVpHV HW DJUppHV XWLOLVDWLRQ GX
WUHSRXUFKDTXHSURGXLWjO¶DLGHGHOD)'6
‡ 5pDOLVHUXQH]RQHGHVWRFNDJHGHVSURGXLWVHQUHV
SHFWDQWOHVUqJOHVHWOHVLQWHUIpUHQFHVLQWHUSURGXLWV
‡ 0HWWUHjGLVSRVLWLRQGHVDJHQWVGHVSURWHFWLRQVFRO
OHFWLYHVHWLQGLYLGXHOOHVDGDSWpHVDX[ULVTXHVHQFRX
UXV
‡ )RUPHU HW LQIRUPHU OHV DJHQWV j OD PDQLSXODWLRQ HW
DX[ ULVTXHV OLpV j O¶XWLOLVDWLRQ GH FHV SURGXLWV DLQVL
TXHOHVPR\HQVGHV¶HQSUpPXQLU
%6'' 5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ 3RXUOHV,QVWDOODWLRQV&ODVVpHVSRXUOD3URWHFWLRQGH ‡ $UWLFOHV////
O¶(QYLURQQHPHQW,&3(UHVSHFWHUOHVFRQGLWLRQVUp
JOHPHQWDLUHVG¶pOLPLQDWLRQGHVGpFKHWVJD]HX[VSp
FL¿pHVGDQVO¶DUUrWpSUpIHFWRUDOG¶H[SORLWDWLRQ
‡ )RUPHU OHV DJHQWV j XQH ERQQH XWLOLVDWLRQ GHV SUR
GXLWVHWXQHERQQHJHVWLRQGHVGpFKHWV
3ROOXWLRQGHO¶HDXHWGHVVROV
‡ 'LVSRVHUGHV)'6GHFKDTXHSURGXLWXWLOLVpHWVXLYUH
OHV SUHVFULSWLRQV VXU O¶pFRWR[LFRORJLH OHV UqJOHV GH
WUDQVSRUWV GH VWRFNDJH G¶pWLTXHWDJH HW GH JHVWLRQ
GHVGpFKHWV
‡ 5DWLRQDOLVHUOHQRPEUHHWO¶XWLOLVDWLRQGHVSURGXLWV
‡ 7kFKHV PHWWDQW HQ °XYUH GHV SURGXLWV FKLPLTXHV
UpDOLVpHVVHORQGHVSURFpGXUHVGHWUDYDLOpFULWHVHW
SUpFLVHV
‡ 0LVHHQ°XYUHG¶XQHJHVWLRQULJRXUHXVHGHVGpFKHWV
555j5
5j55HW
555GXFRGHGX
WUDYDLO
‡ 'pFUHW Qƒ  GX HU IpYULHU  pWD
EOLVVDQWOHVUqJOHVSDUWLFXOLqUHVGHSUpYHQWLRQ
GHVULVTXHVFDQFpURJqQHPXWDJqQHVHWWR[L
TXHVSRXUODUHSURGXFWLRQ
‡ 'pFUHWQƒGXGpFHPEUH
UHODWLIjODSUpYHQWLRQGXULVTXHFKLPLTXH
‡ $UUrWpGXMDQYLHU
‡ /RLQƒGXMXLOOHWUHODWLYHDX[
LQVWDOODWLRQV FODVVpHV SRXU OD SURWHFWLRQ GH
O¶HQYLURQQHPHQW
WULVpOHFWLIVWRFNDJH
‡ 8WLOLVDWLRQ GH UpFHSWDFOHV DGDSWpV j FKDTXH IDPLOOH
GHGpFKHWV
‡ ,QWHUGLFWLRQGHUHMHWVGDQVOHVUpVHDX[GHWRXWGpFKHW
OLTXLGHVXVFHSWLEOHGHFUpHUXQHSROOXWLRQRXGHSHU 0RGqOH GH WDEOHDX GH
WXUEHUOHVVWDWLRQVG¶pSXUDWLRQ
‡ ,QWHUGLFWLRQGHUHMHWVGDQVOHVHDX[VXSHU¿FLHOOHVRX JHVWLRQGHSURGXLWVGDQJHUHX[
VRXWHUUDLQHV GH WRXW GpFKHW OLTXLGH VXVFHSWLEOH GH 9RLUSDJHVXLYDQWH
FUpHUXQHSROOXWLRQ
‡ ,QWHUGLFWLRQG¶HQIRXLVVHPHQWV©VDXYDJHVª
‡ 0LVH HQ °XYUH GH GpVKXLOHXUGpERXUEHXU HQ VRUWLH
GHVUpVHDX[G¶HDX[SOXYLDOHVHWXVpHVVXVFHSWLEOHV
G¶rWUHSROOXpV
$QQH[HV
‡ $QQH[H,OLVWHGHVSLFWRJUDPPHVGHVpFXULWpHWGH
‡ 3URWHFWLRQGHVVWRFNDJHVGHGpFKHWVOLTXLGHVSDUOHV OHXUGp¿QLWLRQ
EDFVGHUpWHQWLRQ ‡ $QQH[H,,OHVSKUDVHVGHULVTXHVSKUDVHV5HWOHV
‡ 0LVHHQ°XYUHGHNLWGHPDWpULHOVHWGHSURGXLWVDE FRQVHLOVGHSUXGHQFHSKUDVHV6
VRUEDQWVHQFDVGHIXLWHV ‡ $QQH[H,,,H[HPSOHGH%RUGHUHDXGH6XLYLGH'p
‡ 9pUL¿FDWLRQV SpULRGLTXHV GHV FXYHV HW GHV UpVHDX[ FKHWV'DQJHUHX[%6''
FRQWHQDQWGHVSURGXLWVFKLPLTXHV ‡ $QQH[H,9H[HPSOHGHORFDOGHVWRFNDJHGHVSUR
‡ 5HVSHFW GHV SUHVFULSWLRQV GHV DUUrWpV SUpIHFWRUDX[ GXLWVGDQJHUHX[
G¶H[SORLWDWLRQSRXUOHV,&3( ‡ $QQH[H 9  WDEOHDX G¶LQFRPSDWLELOLWp GHV SURGXLWV
‡ 7UDLWHPHQW GHV GpFKHWV GH SURGXLWV FKLPLTXHV SDU FKLPLTXHV
GHV HQWUHSULVHV VSpFLDOLVpHV HW DJUppHV XWLOLVDWLRQ
GX%6''
‡ (OLPLQDWLRQUDSLGHGHVGpFKHWVpYLWHUOHVVWRFNDJHV
GHORQJXHGXUpH
‡ $PpQDJHPHQW GH ]RQHV GH VWRFNDJH GHV GpFKHWV
SURWpJpHV GHV LQWHPSpULHV GHV GLVSHUVLRQV HW GHV
LQWUXVLRQV
‡ )RUPDWLRQ GHV DJHQWV j XQH ERQQH XWLOLVDWLRQ GHV
SURGXLWVHWXQHERQQHJHVWLRQGHVGpFKHWV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
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7DEOHDXGHJHVWLRQGHSURGXLWV 1ƒ

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3ULQFLSDOHVPHVXUHVGHSURWHFWLRQGHO¶HQYLURQQHPHQWSUp 0HVXUHVGHSURWHFWLRQDFWXHOOHPHQWPLVHVHQ°XYUHSRXUOD
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3RVVHVVLRQGHODGRFXPHQWDWLRQWHFKQLTXH 28, 121

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/LHXSUpFLVGHVWRFNDJHGXGpFKHW

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0RGHGHWUDLWHPHQW

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5 'DQJHUG¶H[SORVLRQHQFRQWDFWRXVDQVFRQWDFWDYHFO¶DLU 5 ,UULWDQWSRXUODSHDX

5 3HXWSURYRTXHUXQLQFHQGLH 5 'DQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHV

5 )DYRULVHO¶LQÀDPPDWLRQGHVPDWLqUHVFRPEXVWLEOHV 5 (IIHWFDQFpURJqQHVXVSHFWpSUHXYHVLQVXI¿VDQWHVPRGL¿FDWLRQqPH$73

5 3HXWH[SORVHUHQPpODQJHDYHFGHVPDWLqUHVFRPEXVWLEOHV 5 5LVTXHGHOpVLRQVRFXODLUHVJUDYHV

5 ,QÀDPPDEOH 5 3HXWHQWUDvQHUXQHVHQVLELOLVDWLRQSDULQKDODWLRQ

5 )DFLOHPHQWLQÀDPPDEOH 5 3HXWHQWUDvQHUXQHVHQVLELOLVDWLRQSDUFRQWDFWDYHFODSHDX

5 ([WUrPHPHQWLQÀDPPDEOH 5 5LVTXHG¶H[SORVLRQVLFKDXIIpHQDPELDQFHFRQ¿QpH

5 *D]OLTXp¿pH[WUrPHPHQWLQÀDPPDEOH 5 3HXWFDXVHUOHFDQFHU

5 5pDJLWYLROHPPHQWDXFRQWDFWGHO¶HDX 5 3HXWFDXVHUGHVDOWpUDWLRQVJpQpWLTXHVKpUpGLWDLUHV

5 $XFRQWDFWGHO¶HDXGpJDJHGHVJD]H[WUrPHPHQWLQÀDPPDEOHV 5 3HXWFDXVHUGHVPDOIRUPDWLRQVFRQJpQLWDOHV

5 3HXWH[SORVHUHQPpODQJHDYHFGHVVXEVWDQFHVFRPEXUDQWHV 5 5LVTXHG¶HIIHWVJUDYHVSRXUODVDQWpHQFDVG¶H[SRVLWLRQSURORQJpH

5 6SRQWDQpPHQWLQÀDPPDEOHjO¶DLU 5 3HXWFDXVHUOHFDQFHUSDULQKDODWLRQ

5 /RUV GH O¶XWLOLVDWLRQ IRUPDWLRQ SRVVLEOH GH PpODQJH YDSHXUDLU LQÀDP 5 7UqVWR[LTXHSRXUOHVRUJDQLVPHVDTXDWLTXHV
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5 3HXWIRUPHUGHVSHUR[\GHVH[SORVLIV 5 7R[LTXHSRXUOHVRUJDQLVPHVDTXDWLTXHV

5 1RFLISDULQKDODWLRQ 5 1RFLISRXUOHVRUJDQLVPHVDTXDWLTXHV

5 1RFLISDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 3HXWHQWUDvQHUGHVHIIHWVQpIDVWHVjORQJWHUPHSRXUO¶HQYLURQQHPHQWDTXDWLTXH

5 1RFLIHQFDVG¶LQJHVWLRQ 5 7R[LTXHSRXUODÀRUH

5 7R[LTXHSDULQKDODWLRQ 5 7R[LTXHSRXUODIDXQH

5 7R[LTXHSDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 7R[LTXHSRXUOHVRUJDQLVPHVGXVRO

5 7R[LTXHHQFDVG¶LQJHVWLRQ 5 7R[LTXHSRXUOHVDEHLOOHV

5 7UqVWR[LTXHSDULQKDODWLRQ 5 3HXWHQWUDvQHUGHVHIIHWVQpIDVWHVjORQJWHUPHSRXUO¶HQYLURQQHPHQW

5 7UqVWR[LTXHSDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 'DQJHUHX[SRXUODFRXFKHG¶R]RQH

5 7UqVWR[LTXHHQFDVG¶LQJHVWLRQ 5 3HXWDOWpUHUODIHUWLOLWp

5 $XFRQWDFWGHO¶HDXGpJDJHGHVJD]WR[LTXHV 5 5LVTXHVSHQGDQWODJURVVHVVHG¶HIIHWVQpIDVWHVSRXUO¶HQIDQW

5 3HXUGHYHQLUIDFLOHPHQWLQÀDPPDEOHSHQGDQWO¶XWLOLVDWLRQ 5 5LVTXHSRVVLEOHG¶DOWpUDWLRQGHODIHUWLOLWp

5 $XFRQWDFWG¶XQDFLGHGpJDJHXQJD]WR[LTXH 5 5LVTXHSRVVLEOHSHQGDQWODJURVVHVVHG¶HIIHWVQpIDVWHVSRXUO¶HQIDQW

5 $XFRQWDFWG¶XQDFLGHGpJDJHXQJD]WUqVWR[LTXH 5 5LVTXHSRVVLEOHSRXUOHVEpEpVQRXUULVDXODLWPDWHUQHO

  5 1RFLISHXWSURYRTXHUXQHDWWHLQWHGHVSRXPRQVHQFDVG¶LQJHVWLRQ

  5 /¶H[SRVLWLRQUpSpWpHSHXWSURYRTXHUGHVVqFKHPHQWRXJHUoXUHVGHODSHDX

  5 /¶LQKDODWLRQGHYDSHXUVSHXWSURYRTXHUVRPQROHQFHHWYHUWLJHV

  5 3RVVLELOLWpG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVPRGL¿FDWLRQqPH$73

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6 &RQVHUYHUKRUVGHODSRUWpHGHVHQIDQWV 6 (YLWHUO¶DFFXPXODWLRQGHVFKDUJHVpOHFWURVWDWLTXHV
6 &RQVHUYHUGDQVXQHQGURLWIUDLV 6 1H VH GpEDUUDVVHU GH FH SURGXLW HW GH VRQ UpFLSLHQW TX¶HQ SUHQDQW WRXWHV SUpFDXWLRQV
G¶XVDJH
6 &RQVHUYHUjO¶pFDUWGHWRXWORFDOG¶KDELWDWLRQ 6 3RUWHUXQYrWHPHQWGHSURWHFWLRQDSSURSULp
6 &RQVHUYHUVRXVOLTXLGHDSSURSULpjVSpFL¿HUSDUOHIDEUL 6 3RUWHUGHVJDQWVDSSURSULpV
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6 &RQVHUYHUVRXVJD]LQHUWHjVSpFL¿HUSDUOHIDEULFDQW 6 (QFDVGHYHQWLODWLRQLQVXI¿VDQWHSRUWHUXQDSSDUHLOUHVSLUDWRLUHDSSURSULp
6 &RQVHUYHUOHUpFLSLHQWELHQIHUPp 6 3RUWHUXQDSSDUHLOGHSURWHFWLRQGHV\HX[GXYLVDJH
6 &RQVHUYHUOHUpFLSLHQWjO¶DEULGHO¶KXPLGLWp 6 3RXUQHWWR\HUOHVRORXOHVREMHWVVRXLOOpVSDUFHSURGXLWXWLOLVHUjSUpFLVHUSDUOHIDEUL
FDQW
6 &RQVHUYHUOHUpFLSLHQWGDQVXQHQGURLWELHQYHQWLOp 6 (QFDVG¶LQFHQGLHHWRXG¶H[SORVLRQQHSDVUHVSLUHUOHVIXPpHV
6 1HSDVIHUPHUKHUPpWLTXHPHQWOHUpFLSLHQW 6 3HQGDQWOHVIXPLJDWLRQVSXOYpULVDWLRQVSRUWHUXQDSSDUHLOUHVSLUDWRLUHDSSURSULpWHUPHV
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6 &RQVHUYHUjO¶pFDUWGHVDOLPHQWVHWERLVVRQV\FRPSULVFHX[ 6 (QFDVG¶LQFHQGLHXWLOLVHUPR\HQVG¶H[WLQFWLRQjSUpFLVHUSDUOHIDEULFDQW6LO¶HDXDXJ
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6 &RQVHUYHUjO¶pFDUWGHVPDWLqUHVLQFRPSDWLEOHVjLQGLTXHU 6 (Q FDV G¶DFFLGHQW RX GH PDODLVH FRQVXOWHU LPPpGLDWHPHQW XQ PpGHFLQ VL SRVVLEOH OXL
SDUOHIDEULFDQW PRQWUHUO¶pWLTXHWWH
6 &RQVHUYHUjO¶pFDUWGHODFKDOHXU 6 (Q FDV G¶LQJHVWLRQ FRQVXOWHU LPPpGLDWHPHQW XQ PpGHFLQ HW OXL PRQWUHU O¶HPEDOODJH RX
O¶pWLTXHWWH
6 &RQVHUYHUjO¶pFDUWGHWRXWHÀDPPHRXVRXUFHG¶pWLQFHOOHV 6 &RQVHUYHUjXQHWHPSpUDWXUHQHGpSDVVDQWSDVƒ&jSUpFLVHUSDUOHIDEULFDQW
1HSDVIXPHU
6 7HQLUjO¶pFDUWGHVPDWLqUHVFRPEXVWLEOHV 6 0DLQWHQLUKXPLGHDYHFPR\HQDSSURSULpjSUpFLVHUSDUOHIDEULFDQW
6 0DQLSXOHUHWRXYULUOHUpFLSLHQWDYHFSUXGHQFH 6 &RQVHUYHUXQLTXHPHQWGDQVOHUpFLSLHQWG¶RULJLQH
6  6 1HSDVPpODQJHUDYHFjVSpFL¿HUSDUOHIDEULFDQW
6 1HSDVPDQJHUHWQHSDVERLUHSHQGDQWO¶XWLOLVDWLRQ 6 8WLOLVHUVHXOHPHQWGDQVGHV]RQHVELHQYHQWLOpHV
6 1HSDVIXPHUSHQGDQWO¶XWLOLVDWLRQ 6 1HSDVXWLOLVHUVXUGHJUDQGHVVXUIDFHVGDQVOHVORFDX[KDELWpV
6 1HSDVUHVSLUHUOHVSRXVVLqUHV 6 (YLWHUO¶H[SRVLWLRQVHSURFXUHUGHVLQVWUXFWLRQVVSpFLDOHVDYDQWO¶XWLOLVDWLRQ
6 1HSDVUHVSLUHUOHVJD]YDSHXUVIXPpHVDpURVROVWHUPHV 6 (OLPLQHUFHSURGXLWHWVRQUpFLSLHQWGDQVXQFHQWUHGHFROOHFWHGHGpFKHWVGDQJHUHX[RX
DSSURSULpVjLQGLTXHUSDUOHIDEULFDQW VSpFLDX[
6 (YLWHUOHFRQWDFWDYHFODSHDX 6 8WLOLVHUXQUpFLSLHQWDSSURSULpSRXUpYLWHUWRXWHFRQWDPLQDWLRQGXPLOLHXDPELDQW
6 (YLWHUOHFRQWDFWDYHFOHV\HX[ 6 &RQVXOWHUOHIDEULFDQWIRXUQLVVHXUSRXUGHVLQIRUPDWLRQVUHODWLYHVjODUpFXSpUDWLRQDX
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6 (Q FDV GH FRQWDFW DYHF OHV \HX[ ODYHU LPPpGLDWHPHQW HW 6 (OLPLQHUOHSURGXLWHWOHUpFLSLHQWFRPPHXQGpFKHWGDQJHUHX[
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6 (QOHYHULPPpGLDWHPHQWWRXWYrWHPHQWVRXLOOpRXpFODERXVVp 6 (YLWHUOHUHMHWGDQVO¶HQYLURQQHPHQW&RQVXOWHUOHVLQVWUXFWLRQVVSpFLDOHVOD¿FKHGHGRQ
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6 $SUqVFRQWDFWDYHFODSHDXVHODYHULPPpGLDWHPHQWHWDERQ 6 (QFDVG¶LQJHVWLRQQHSDVIDLUHYRPLUFRQVXOWHULPPpGLDWHPHQWXQPpGHFLQHWOXLPRQWUHU
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6 1HSDVMHWHUOHVUpVLGXVjO¶pJRXW 6 (QFDVG¶DFFLGHQWSDULQKDODWLRQWUDQVSRUWHUODYLFWLPHKRUVGHOD]RQHFRQWDPLQpHHWOD
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  6 (Q FDV G¶LQJHVWLRQ ULQFHU OD ERXFKH DYHF GH O¶HDX VHXOHPHQW VL OD SHUVRQQH HVW FRQV
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5 $XFRQWDFWGHO¶HDXGpJDJHGHVJD]WR[LTXHVHWH[WUr 5 7R[LTXH  GDQJHU G¶HIIHWV LUUpYHUVLEOHV WUqV JUDYHV SDU FRQWDFW DYHF OD SHDX HW
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5 1RFLISDULQKDODWLRQHWSDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 7R[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQJHVWLRQ
5 1RFLISDULQKDODWLRQHWSDULQJHVWLRQ 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQ
5 1RFLISDULQKDODWLRQSDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDULQ 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQHWSDUFRQ
JHVWLRQ WDFWDYHFODSHDX
5 1RFLISDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDULQJHVWLRQ 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQSDUFRQWDFW
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5 7R[LTXHSDULQKDODWLRQHWSDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQHWSDULQ
JHVWLRQ
5 7R[LTXHSDULQKDODWLRQSDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDU 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDUFRQWDFWDYHFODSHDX
LQJHVWLRQ
5 7R[LTXHSDULQKDODWLRQHWSDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDUFRQWDFWDYHFODSHDX
HWSDULQJHVWLRQ
5 7R[LTXHSDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDULQJHVWLRQ 5 7UqVWR[LTXHGDQJHUG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQJHVWLRQ

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 5 7UqVWR[LTXHSDULQKDODWLRQHWSDUFRQWDFWDYHFODSHDX 5 1RFLISRVVLELOLWpG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQ

5 7UqV WR[LTXH SDU LQKDODWLRQ SDU FRQWDFW DYHF OD SHDX 5 1RFLISRVVLELOLWpG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQHWSDUFRQWDFW
HWSDULQJHVWLRQ DYHFODSHDX

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5 7UqVWR[LTXHSDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDULQJHVWLRQ 5 1RFLISRVVLELOLWpG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQKDODWLRQHWSDULQJHV

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5 ,UULWDQWSRXUOHV\HX[OHVYRLHVUHVSLUDWRLUHVHWODSHDX 5 1RFLI  SRVVLELOLWp G¶HIIHWV LUUpYHUVLEOHV WUqV JUDYHV SDU FRQWDFW DYHF OD SHDX
HWSDULQJHVWLRQ

5 ,UULWDQWSRXUOHV\HX[HWODSHDX 5 1RFLISRVVLELOLWpG¶HIIHWVLUUpYHUVLEOHVWUqVJUDYHVSDULQJHVWLRQ

5 ,UULWDQWSRXUOHVYRLHVUHVSLUDWRLUHVHWODSHDX 5 3HXWHQWUDvQHUXQHVHQVLELOLVDWLRQSDULQKDODWLRQHWSDUFRQWDFWDYHFODSHDX

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5 7R[LTXH  GDQJHU G¶HIIHWV LUUpYHUVLEOHV WUqV JUDYHV SDU 5 1RFLIULVTXHG¶HIIHWVJUDYHVSRXUODVDQWpHQFDVG¶H[SRVLWLRQSURORQJpHSDU
LQKDODWLRQSDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDULQJHVWLRQ LQKDODWLRQSDUFRQWDFWDYHFODSHDXHWSDULQJHVWLRQ

5 7R[LTXH  GDQJHU G¶HIIHWV LUUpYHUVLEOHV WUqV JUDYHV SDU  

LQKDODWLRQHWSDULQJHVWLRQ

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6 &RQVHUYHU XQLTXHPHQW OH UpFLSLHQW G¶RULJLQH GDQV XQ 6 3RUWHUXQYrWHPHQWGHSURWHFWLRQGHVJDQWVDSSURSULpVHWXQDSSDUHLOGHSUR
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6 &RQVHUYHUOHUpFLSLHQWELHQIHUPpHWjO¶DEULGHO¶KXPL 6 3RUWHU GHV JDQWV DSSURSULpV HW XQ DSSDUHLO GH SURWHFWLRQ GHV \HX[  GX YL
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6 &RQVHUYHUOHUpFLSLHQWELHQIHUPpHWjXQHWHPSpUDWXUH
QHGpSDVVDQWSDVƒ&jSUpFLVHUSDUOHIDEULFDQW
  

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"ORDEREAUN—
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UXEULTXH JOINDREANNEXE RXL CADRESÜÜREMPLIR
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1ƒ6,5(7  _B_B_B__B_B_B__B_B_B__B_B_B_B__B_
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$GUHVVH  0pO 
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7pO )D[ 
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1ƒ6,5(1  _B_B_B__B_B_B__B_B_B_ /LPLWHGHYDOLGLWp 
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$GUHVVH  7pO )D[ 
0pO 
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1ƒ6,5(1  _B_B_B__B_B_B__B_B_B_ /LPLWHGHYDOLGLWp 
120  0RGHGHWUDQVSRUW 
$GUHVVH  $ATEDEPRISEENCHARGE 

7pO )D[  6LJQDWXUH

0pO 
3HUVRQQHjFRQWDFWHU  7UDQVSRUWPXOWLPRGDO#ADRESETÜREMPLIR
$»#,!2!4)/.'».»2!,%$%,»-%44%52$5"/2$%2%!5
$£CLARATIONG£N£RALEDEL£METTEURDUBORDEREAU  6LJQDWXUHHWFDFKHW 
-HVRXVVLJQpFHUWLILHTXHOHVUHQVHLJQHPHQWVSRUWpVGDQVOHVFDGUHV
FLGHVVXVVRQWH[DFWVHWpWDEOLVGHERQQHIRL
120 'DWH  
Ã2%-0,)20!2,).34!,,!4)/.$%$%34).!4)/.
%XP£DITIONREÀUEÜLINSTALLATIONDEDESTINATION 2£ALISATIONDELOP£RATION 
1ƒ6,5(7  _B_B_B__B_B_B__B_B_B__B_B_B_B__B_ &RGH'5 
120 
$GUHVVH  'HVFULSWLRQ 

3HUVRQQHjFRQWDFWHU 
4XDQWLWpUpHOOHSUpVHQWpH WRQQHV -HVRXVVLJQpFHUWLILHTXHO¶RSpUDWLRQFLGHVVXVDpWpHIIHFWXpH
'DWHGHSUpVHQWDWLRQ  120 
/RWDFFHSWp RXLQRQ 'DWH   6LJQDWXUHHWFDFKHW 
0RWLIGHUHIXV 

6LJQDWDLUH 6LJQDWXUHHWFDFKHW 
'DWH  
$ESTINATIONULT£RIEUREPR£VUE DANSLECASDgUNETRANSFORMATIONOUDgUNTRAITEMENTABOUTISSANTÜDESD£CHETSDONTLAPROVENANCERESTE
IDENTIFIABLELENOUVEAUBORDEREAUSERAACCOMPAGN£DELgANNEXEDUFORMULAIRE#%2&!N—
 
7UDLWHPHQWSUpYXFRGH'5
1ƒ6,5(7  _B_B_B__B_B_B__B_B_B_ _B_B_B_B__B_ 3HUVRQQHjFRQWDFWHU 
120  7pO )D[ 
$GUHVVH  0pO 
,ORIGINALDUBORDEREAUSUITLED£CHET

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 'pFUHWQƒGXPDL
)RUPXODLUH&(5)$Qƒ  $UUrWpGXMXLOOHW

"ORDEREAUDESUIVIDESD£CHETSSUITE 3DJHQƒ

.—DUBORDEREAUDERATTACHEMENT 
Ã2%-0,)2%.#!3$%.42%0/3!'%02/6)3/)2%/5$%2%#/.$)4/..%-%.4
 2£CEPTION DANS LINSTALLATION DENTREPOSAGE OU DE  )NSTALLATIONDEDESTINATIONPR£VUE
RECONDITIONNEMENT 1ƒ6,5(7  _B_B_B__B_B_B__B_B_B__B_B_B_B__B_
1ƒ6,5(7  _B_B_B__B_B_B__B_B_B__B_B_B_B__B_ 120 
120  $GUHVVH 
$GUHVVH 
7pO )D[ 
4XDQWLWpSUpVHQWpH UpHOOHHVWLPpHWRQQHV 0pO 
3HUVRQQHjFRQWDFWHU 
'DWHGHSUpVHQWDWLRQ 
/RWDFFHSWp RXLQRQ 1ƒGH&$3OHFDVpFKpDQW 
0RWLIGHUHIXV  2SpUDWLRQG¶pOLPLQDWLRQYDORULVDWLRQSUpYXHFRGH'5 

'DWH   6LJQDWXUHHWFDFKHW  &DGUHUHPSOLSDU 

ePHWWHXUGXERUGHUHDXFIFDGUH

,QVWDOODWLRQG¶HQWUHSRVDJHRXGHUHFRQGLWLRQQHPHQWFIFDGUH
-ENTIONSAUTITREDESRáGLEMENTS!$22)$!$.2)-$' OHFDVpFKpDQW 
jUHPSOLUHQFDVGHUHFRQGLWLRQQHPHQWXQLTXHPHQW

#ONDITIONNEMENTEHQQHFLWHUQH*59I€WDXWUHSUpFLVHU1RPEUHGHFROLV 

jUHPSOLUHQFDVGHUHFRQGLWLRQQHPHQWXQLTXHPHQW
 1UANTIT£R£ELLE ESTIM£E WRQQHV
jUHPSOLUHQFDVGHUHFRQGLWLRQQHPHQWXQLTXHPHQW
 #OLLECTEUR TRANSPORTEUR APRáS ENTREPOSAGE OU
RECONDITIONNEMENT 5pFpSLVVpQƒ'pSDUWHPHQW 
1ƒ6,5(1  _B_B_B__B_B_B__B_B_B_ /LPLWHGHYDOLGLWp 
120 
$GUHVVH  0RGHGHWUDQVSRUW
$ATEDELAPRISEENCHARGE 
7pO 
)D[  6LJQDWXUH 
0pO 
3HUVRQQHjFRQWDFWHU 
7UDQVSRUWPXOWLPRGDO#ADRESETÜREMPLIR

$£CLARATIONDELEXPLOITANTDUSITEDENTREPOSAGEOUDERECONDITIONNEMENT 
-HVRXVVLJQpFHUWLILHTXHOHVUHQVHLJQHPHQWVSRUWpVFLGHVVXVVRQWH[DFWVHWpWDEOLVGHERQQHIRL

120  'DWH   6LJQDWXUHHWFDFKHW 

Ã2%-0,)2%.#!3$%42!.30/24-5,4)-/$!,
#OLLECTEUR TRANSPORTEURN— 5pFpSLVVp 1ƒ 'pSDUWHPHQW 
1ƒ6,5(1  _B_B_B__B_B_B__B_B_B_ /LPLWHGHYDOLGLWp 
120  0RGHGHWUDQVSRUW 
$GUHVVH  $ATEDEPRISEENCHARGE 

7pO  )D[  6LJQDWXUH

0pO 
3HUVRQQHjFRQWDFWHU
#OLLECTEUR TRANSPORTEURN— 5pFpSLVVp 1ƒ 'pSDUWHPHQW 
1ƒ6,5(1  _B_B_B__B_B_B__B_B_B_ /LPLWHGHYDOLGLWp 
120  0RGHGHWUDQVSRUW 
$GUHVVH  $ATEDEPRISEENCHARGE  
6LJQDWXUH
7pO )D[ 
0pO 
3HUVRQQHjFRQWDFWHU 
#EFEUILLETNESTÜJOINDREQUELORSQUUNEDESCASESESTREMPLIE

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 5
SOMMAIRE

Les formations

Introduction
...............................................................................................................................................p. 93

5.1 Les formations liées à l’exposition professionnelle

5.1.1 Méthodologie
Quelles sont les formations liées à l’exposition professionnelle ? ...........................p. 94
Quand dispense-t-on ces formations ?....................................................................p. 94
Procédure ................................................................................................................p. 95
Références juridiques ..............................................................................................p. 95

5.1.2 Modèles de documents.

0RGqOHGH©¿FKHDFFXHLOªSRXUOHVQRXYHDX[HPEDXFKpV ...................................p. 96
Modèle d’attestation de suivi de formation ..............................................................p. 97
0RGqOHGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV .........................................................p. 98

5.2 Les formations liées aux missions en matière d’hygiène et

de sécurité au travail

5.2.1 Méthodologie
Quelles sont les formations liées aux missions en matière d’hygiène et
de sécurité au travail ?.............................................................................................p. 99
Procédure ................................................................................................................p. 99
Références juridiques ..............................................................................................p. 99

  0RGqOHVGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQVGHVDFWHXUVGHODSUpYHQWLRQ
0RGqOHGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV$&02 .............................................p.100
0RGqOHGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQVGHVDXWUHV
acteurs de la prévention ..........................................................................................p. 101

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 92

5 Introduction
L’autorité territoriale est tenue d’organiser une for-
mation pratique et appropriée en matière de sécurité
DXEpQp¿FHGHVDJHQWVTX¶HOOHHPEDXFKHGHFHX[
TXL FKDQJHQW GH SRVWH GH WUDYDLO RX GH WHFKQLTXH
GHVWUDYDLOOHXUVOLpVSDUXQFRQWUDWGHWUDYDLOWHPSR-
UDLUHjODGHPDQGHGXPpGHFLQGHPpGHFLQHSUR-
IHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHHWGHFHX[TXLUHSUHQQHQW
OHXUDFWLYLWpDSUqVXQDUUrWGHWUDYDLO&HWWHIRUPD-
WLRQGRLWrWUHUpSpWpHSpULRGLTXHPHQW
Quelles sont les obligations de l’autorité
territoriale en matière de formation à la
sécurité au travail ?
L’autorité territoriale doit :
• Gp¿QLUOHVDFWLRQVGHIRUPDWLRQ
• RUJDQLVHUFHWWHIRUPDWLRQ
• MXVWL¿HUGHODPLVHHQ°XYUHHWGHODUpDOLVDWLRQ
GHFHWWHIRUPDWLRQ
Qui assure ces formations ?
Deux possibilités s’offrent à l’autorité territoriale en
fonction des personnes ressources dont elle dispo-
VHGDQVODFROOHFWLYLWp
/HVIRUPDWLRQVV¶HIIHFWXHQWHQLQWHUQH
7RXWHVOHVIRUPDWLRQVHQK\JLqQHHWVpFXULWpGXWUD-
YDLOVDXIO¶KDELOLWDWLRQpOHFWULTXHVRXVWHQVLRQSHX-
YHQWrWUHUpDOLVpHVHQLQWHUQH
Toutefois il faudra pour cela faire appel à des agents
FRPSpWHQWVGDQVOHGRPDLQHDERUGp8QSURJUDPPH
GHIRUPDWLRQGHYUDrWUHIRUPDOLVpHWLOHVWFRQVHLOOp
de conserver les supports qui pourront être diffusés
ORUVGHODIRUPDWLRQ
/HVIRUPDWLRQVV¶HIIHFWXHQWHQH[WHUQH
,O H[LVWH GHV RUJDQLVPHV VSpFLDOLVpV TXL SRXUURQW
PHWWUHjGLVSRVLWLRQGHVIRUPDWHXUVFRPSpWHQWV
'H SOXV FHUWDLQHV IRUPDWLRQV &$&(6 KDELOLWDWLRQ
pOHFWULTXHKRUVWHQVLRQ«FRPSRUWHQWXQSURJUDP-
/DGp¿QLWLRQGXSURJUDPPH PHpWDEOLSDUOD&DLVVH1DWLRQDOHG¶$VVXUDQFH0D-
ODGLH&1$0RXOHVGLIIpUHQWHV&DLVVHV5pJLRQDOHV
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGp¿QLWOHVDFWLRQVGHIRUPDWLRQ
G¶$VVXUDQFH 0DODGLH &5$0 6XU OD EDVH GH FHV
en fonction des risques auxquels les agents sont
SURJUDPPHVFHVRUJDQLVPHVRQWKDELOLWpGHVVRFLp-
H[SRVpV FI FKDSLWUH  RX GHV PLVVLRQV TX¶LOV
WpVSRXUUpDOLVHUFHVIRUPDWLRQV
HIIHFWXHQWFIFKDSLWUH
3RXU OD IRUPDWLRQ KDELOLWDWLRQ pOHFWULTXH VRXV WHQ-
/HPpGHFLQGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQ- VLRQ O¶pWDEOLVVHPHQW GH IRUPDWLRQ GRLW REOLJDWRLUH-
WLYHHVWDVVRFLpjODGp¿QLWLRQGHVDFWLRQVGHIRUPD- PHQWDYRLUUHoXXQDJUpPHQWGX0LQLVWUHHQFKDUJH
WLRQHQSDUWLFXOLHUHQFHTXLFRQFHUQHODIRUPDWLRQ GXWUDYDLO
des salariés qui reprennent leur activité après un
DUUrWGHWUDYDLOG¶XQHGXUpHG¶DXPRLQVMRXUV
&RPPHQW MXVWL¿HU GH O¶H[pFXWLRQ GH FHV
/HVHUYLFHSUpYHQWLRQV¶LOH[LVWHHVWpJDOHPHQWDV-
formations ?
VRFLpjODGp¿QLWLRQGHVDFWLRQVGHIRUPDWLRQ
• 'DQVOHFDVGHODUpDOLVDWLRQGHIRUPDWLRQVRX
Le CTP/CHS coopère à la préparation des actions
G¶LQIRUPDWLRQVSDUODFROOHFWLYLWpHOOHPrPH
GHIRUPDWLRQ
,O FRQYLHQW G¶pWDEOLU XQH ¿FKH VLJQpH SDU OHV
GHX[ SDUWLHV DJHQW DXWRULWp WHUULWRULDOH DW-
/DPLVHHQ°XYUHGXSURJUDPPH WHVWDQW OD UpDOLVDWLRQ GH OD IRUPDWLRQ ,O V¶DJLW
Les textes laissent à l’autorité territoriale l’organisa- de garder une trace de la réalisation effective
WLRQ OD Gp¿QLWLRQ OHV SURJUDPPHV HW OH FKRL[ GHV GH OD IRUPDWLRQ GDWH GXUpH REMHW FRQWHQX
RUJDQLVPHVFKDUJpVG¶HIIHFWXHUFHVIRUPDWLRQVjOD
VpFXULWpGXWUDYDLOHQIRQFWLRQGHO¶RUJDQLVDWLRQGHOD
FROOHFWLYLWpGHVVWUXFWXUHVGHVULVTXHVVSpFL¿TXHV
GHO¶RUJDQLVDWLRQGHODVpFXULWpHWGHODSUpYHQWLRQ
$XVVLFHVIRUPDWLRQVSHXYHQWrWUHPLVHVHQ°XYUH
par :
• O¶HQFDGUHPHQWHQFHTXLFRQFHUQHOHVULVTXHV
JpQpUDX[ OHV FRQGLWLRQV G¶H[SORLWDWLRQ OHV
FRQGLWLRQV GH FLUFXODWLRQ O¶RUJDQLVDWLRQ GH OD
SUpYHQWLRQO¶RUJDQLVDWLRQGHVVHFRXUVHWF
• O¶HQFDGUHPHQWGHSUR[LPLWpRXXQDJHQWTXDOL¿p
HWH[SpULPHQWpHQFHTXLFRQFHUQHOHVULVTXHV
VSpFL¿TXHVO¶H[pFXWLRQGXWUDYDLOODFRQGXLWHj
WHQLUHQFDVG¶DFFLGHQWVSpFL¿TXHDX[ULVTXHV
Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
QRPEUHGHSHUVRQQHVQRPGHVSHUVRQQHV
 FI FKDSLWUH  &H GRFXPHQW TXL V¶LQVFULW
GDQVXQHGpPDUFKHJOREDOHGHSUpYHQWLRQGHV
ULVTXHVSURIHVVLRQQHOVMXVWL¿HGHODUpDOLVDWLRQ
GHODIRUPDWLRQ
• 'DQV OH FDV GH O¶LQWHUYHQWLRQ G¶XQ RUJDQLVPH
extérieur :
&HOXLFL HVW j PrPH GH IRXUQLU OHV GRFXPHQWV
TXL FRQYLHQQHQW  VXSSRUWV GH FRXUV DWWHVWD-
WLRQVGHIRUPDWLRQV
&HUWDLQHV IRUPDWLRQV GRQQHQW OLHX j OD GpOL-
YUDQFH G¶XQ GLSO{PH GH FDSDFLWp DWWHVWDQW GH
ODIRUPDWLRQ
.............Page 93
5 5.1 - Les formations
5.1.1 Méthodologie
Quelles sont les formations liées à l’expo-
sition professionnelle ?
Il s’agit des formations qui ont pour objet d’instruire les
agents des précautions à prendre pour assurer leur pro-
pre sécurité, celle de leur(s) collègue(s) de travail et, le
cas échéant, celle des usagers de service.
Elles sont normalement dispensées sur les lieux de tra-
vail, et portent en particulier sur :
Les conditions de circulation sur les lieux de
travail
La formation a pour objet d’informer l’agent :
• des règles de circulation des véhicules et engins de
toute nature sur les lieux de travail et dans l’établis-
sement,
• des chemins d’accès aux lieux dans lesquels il sera
appelé à travailler et aux locaux sociaux (vestiaire,
toilettes,...),
• des issues et dégagements de secours à utiliser en
cas de sinistre,
• des instructions d’évacuation si la nature des activités
H[HUFpHVOHMXVWL¿HH[SORVLRQGpJDJHPHQWDFFLGHQ-
tation de l’agent à son emploi.
Elle n’a pas pour but de former des secouristes, mais de
donner au salarié les instructions nécessaires pour qu’il
puisse, lorsqu’il est témoin d’un accident, dans le cadre
des mesures arrêtées par l’autorité territoriale, prendre les
dispositions concourant à la sauvegarde de la victime et
assurer sa propre intégrité physique (cf. chapitre 7.1.).
La formation renforcée des travailleurs
précaires
Les salariés, sous contrat à durée déterminée, et les rem-
plaçants sont les plus touchés par les accidents du travail.
C’est pourquoi le législateur a prévu des mesures particu-
lières de sécurité les concernant. Il est interdit d’affecter
ces salariés à des travaux dits dangereux (cf. arrêté du 27
MXLQPRGL¿p¿[DQWODOLVWHGHVWUDYDX[SRXUOHVTXHOV
il ne peut être fait appel à des salariés sous contrat de
travail à durée déterminée ou à des salariés des entrepri-
ses de travail temporaire). De plus ces salariés reçoivent
une formation à la sécurité renforcée ainsi qu’un accueil et
une information adaptés dés lors qu’ils sont affectés à des
travaux présentant un risque particulier pour leur santé et
leur sécurité.
WHOGHJD]RXOLTXLGHVLQÀDPPDEOHVRXWR[LTXHV
Quand dispense-t-on ces formations ?
Cette formation est dispensée dans l’établissement,
lors de l’embauche ou chaque fois que nécessaire. Pour les agents de droit public :
• lors de l’entrée en fonction des agents,
• lorsque, par suite d’un changement de fonctions, de
Les conditions d’exécution du travail techniques, de matériel ou d’une transformation des
locaux, les agents se trouvent exposés à des risques
La formation a pour objet d’enseigner à l’agent :
nouveaux,
• les comportements et les gestes les plus sûrs à ob-
server aux différents postes de travail, en ayant re-
• en cas d’accident de service grave ou de maladie
professionnelle ou à caractère professionnel grave
cours, si possible, à des démonstrations,
ayant entraîné mort d’homme, ou paraissant devoir
• de préciser les conditions d’utilisation des équipe-
entraîner une incapacité permanente, ou ayant révé-
ments de travail, des équipements de protection
lé l’existence d’un danger grave, même si les consé-
individuelle et des substances et préparations dan-
quences ont pu en être évitées,
gereuses,
• de lui expliquer les modes opératoires retenus s’ils
• en cas d’accident de service ou de maladie profes-
sionnelle ou à caractère professionnel présentant un
ont une incidence sur sa sécurité ou celle des autres
caractère répété à un même poste de travail, ou à
agents,
des postes de travail similaires, ou dans une même
• de lui montrer le fonctionnement des dispositifs de
fonction, ou des fonctions similaires,
protection et de secours et de lui expliquer les motifs
de leur emploi,
• à la demande du service de médecine profession-
nelle et préventive, une formation à l’hygiène et à la
• GH OXL GRQQHU XQH IRUPDWLRQ VSpFL¿TXH UHODWLYH DX[
VpFXULWpSHXWrWUHpJDOHPHQWRUJDQLVpHDXSUR¿WGHV
prescriptions à respecter, aux conditions d’exécution
agents qui reprennent leur activité après un arrêt de
des travaux, aux matériels et outillages à utiliser.
travail consécutif à un accident de service ou à une
maladie professionnelle.
Cette formation doit s’intégrer dans la formation ou
dans les instructions professionnelles que reçoit
Pour les employés de droit privé :
l’agent ; elle est dispensée sur les lieux du travail ou,
à défaut, dans des conditions équivalentes.
• lors de leur entrée en fonction,
• lors de leur changement de poste ou de techniques,
• lors de leur reprise d’activité après un arrêt d’au
Les dispositions à prendre en cas d’accident ou moins 21 jours,
de sinistre sur les lieux de travail, ainsi que les • lors de l’embauche de travailleurs temporaires sous
responsabilités encourues
contrat à durée déterminée,
La formation à la sécurité a également pour objet de pré-
• lors de l’intervention de salariés d’entreprises exté-
parer l’agent sur la conduite à tenir lorsqu’une personne
rieures (cf. chapitre 8).
est victime d’un accident ou d’une intoxication sur les lieux
du travail.
Cette formation est dispensée dans le mois qui suit l’affec-

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 94

 3URFpGXUH
‡ UHFHQVHUOHVEHVRLQVHQIRUPDWLRQGHODFROOHFWLYLWpRX
GH O¶pWDEOLVVHPHQW FH UHFHQVHPHQW SHXW rWUH PLV HQ
YDOHXU SDU O¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV  FI
FKDSLWUH
‡ LGHQWL¿HUOHVSHUVRQQHVUHVVRXUFHVHQLQWHUQHRXH[WHU
QHjODFROOHFWLYLWpSRXYDQWGLVSHQVHUFHVIRUPDWLRQV
‡ pWDEOLUHWPHWWUHHQ°XYUHXQSODQGHIRUPDWLRQ
‡ DUFKLYHUOHVDWWHVWDWLRQVGHVXLYLGHVIRUPDWLRQV

5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ /RL Qƒ SRUWDQW GURLWV HW REOLJDWLRQV GHV IRQF
WLRQQDLUHV
‡ 'pFUHWQƒGXMXLQPRGL¿pUHODWLIjO¶K\
JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLODLQVLTX¶jODPpGHFLQH
SURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHGDQVODIRQFWLRQSXEOL
TXHWHUULWRULDOH
‡ /LYUH,,7LWUH,,,GXFRGHGXWUDYDLOGDQVVRQHQVHPEOH
DYHFSOXVSDUWLFXOLqUHPHQWOH&KDSLWUH,6HFWLRQUH
ODWLIjODIRUPDWLRQVpFXULWp
'HQRPEUHX[WH[WHVRI¿FLHOVFRQFHUQHQWODIRUPDWLRQjOD
VpFXULWp9RXVWURXYHUH]XQHOLVWHGDQVOHGRFXPHQW,156
('

0RGqOHVGHGRFXPHQWV
‡ 0RGqOHGH©¿FKHDFFXHLOªSRXUOHVQRXYHDX[HPEDX
FKpV
‡ 0RGqOHG¶DWWHVWDWLRQGHVXLYLGHIRUPDWLRQ
‡ 0RGqOHGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
Modèle
5
Fiche d’accueil
Je soussigné(e)........................................................................................................, né(e) le .................................................

employé(e) par..........................................................................................................................................................................

en tant que................................................................................................................................................................................

à partir du............................................FHUWL¿HDYRLUUHoXXQHIRUPDWLRQHQK\JLqQHHWVpFXULWpOH.........................................

à.............................................................................dispensée par.............................................................................................

Les thèmes suivants ont été abordés

Description de la collectivité ® Les différents sites
® L’organisation de la collectivité et du personnel
® Les différentes activités
® /HIRQFWLRQQHPHQWHWOHVUqJOHVGHYLHFRPPXQHGDQVODFROOHFWLYLWp

'LVSRVLWLRQV REOLJDWRLUHV HQ PDWLqUH G¶K\JLqQH HW GH ® /HUqJOHPHQWLQWpULHXUGHVpFXULWpV¶LOH[LVWH

sécurité ® Les accidents de service, de trajet, les maladies professionnelles, la déclaration

L’organisation de la sécurité ® /H&RPLWp7HFKQLTXH3DULWDLUHO¶$&02O¶$JHQW&KDUJpGHOD0LVVLRQG¶,QVSHFWLRQ

® Le programme de prévention issu de l’autoévaluation
® Le programme de formation : Le registre sécurité et son utilisation

/HVpTXLSHPHQWVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOH(3, ® /¶XWLOLWpGHV(3,

® /¶REOLJDWLRQHQFHTXLFRQFHUQHOHSRUWGHV(3,
® /DSUpVHQWDWLRQO¶XWLOLVDWLRQHWO¶HQWUHWLHQGHV(3,

Les conduites à tenir ® /DFRQGXLWHjWHQLUORUVTX¶XQHSHUVRQQHHVWYLFWLPHG¶XQDFFLGHQWRXG¶XQHLQWR[LFDWLRQ

® Nom des secouristes.
® /DSUpVHQFHGHVPR\HQVGHVHFRXUVWURXVVHGHVHFRXUVH[WLQFWHXUV
® La conduite à tenir en cas d’incendie ou d’alerte.
® Les instructions en cas de sinistre.
® Le signalement d’un risque d’accident à son responsable dans les plus brefs délais (droit de
retrait, registre de sécurité)

Les risques dans la collectivité et les causes d’acci- ® /HVFRQGLWLRQVG¶H[pFXWLRQGXWUDYDLO

dents en fonction des différentes activités (un livret ® /HV ULVTXHV JpQpUDX[ FLUFXODWLRQ GHV HQJLQV HW GHV YpKLFXOHV VLJQDOLVDWLRQ LQFHQGLH pOHFWUL-
accueil sécurité pourra servir de support) cité,...)

® /HVULVTXHVVSpFL¿TXHVSDUWLFXOLHUVXQHSUpVHQWDWLRQGHVGLIIpUHQWVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLODX
FRXUVG¶XQHYLVLWHVXUVLWHPHWWUDHQpYLGHQFHOHVULVTXHVVXUFKDTXHSRVWHGHWUDYDLOOHVSURFp-
dures et les modes opératoires en fonction de ces risques.
® Le fonctionnement des dispositifs de protection et de secours et les motifs de leur emploi

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 96

0RGqOH

$WWHVWDWLRQGHIRUPDWLRQ
-H VRXVVLJQpH FHUWL¿H DYRLU UHoX XQH IRUPDWLRQ D\DQW

SRXUWKqPH



OHj

GLVSHQVpHSDU 

/HVWKqPHVVXLYDQWVRQWpWpDERUGpV
7KqPHV &RQWHQXV

/HVGRFXPHQWVVXLYDQWVRQWpWpUHPLV
'RFXPHQWV 2EVHUYDWLRQV

)DLWjOH

/¶DJHQWIRUPp    /HVXSpULHXUKLpUDUFKLTXH    /¶DXWRULWpWHUULURULDOH

  

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 ,QWLWXOpGHVIRUPDWLRQV

1RPGHO¶DJHQW
0RGqOH

   

'DWH 5HQRXYHOOHPHQW 'DWH 5HQRXYHOOHPHQW 'DWH 5HQRXYHOOHPHQW 'DWH 5HQRXYHOOHPHQW

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
7DEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV

3DJH

 /HVIRUPDWLRQVOLpHVDX[PLVVLRQVHQ
PDWLqUHG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpGXWUDYDLO

0pWKRGRORJLH
4XHOOHVVRQWOHVIRUPDWLRQVOLpHVDX[PLV
VLRQVHQPDWLqUHG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWp
DXWUDYDLO"
/HVIRUPDWLRQVOLpHVDX[PLVVLRQVHQPDWLqUHG¶K\JLqQHHW
GHVpFXULWpDXWUDYDLOFRQFHUQHQWOHVDJHQWVTXLH[HUFHQW
OHVIRQFWLRQVVXLYDQWHV ‡
$&02$JHQW&KDUJpGHOD0LVHHQ¯XYUHGHO¶K\JLqQH
HW6pFXULWp
/¶$&02UHoRLWXQHIRUPDWLRQSUpDODEOHjVDSULVHGHIRQF
WLRQG¶XQHGXUpHGHMRXUV/DGXUpHGHODIRUPDWLRQFRQ
WLQXHHVWGHMRXUVO¶DQQpHVXLYDQWVDSULVHGHIRQFWLRQHW
G¶XQHMRXUQpHOHVDQQpHVVXLYDQWHV
8QPRGqOHGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV$&02
HVWSURSRVpDXFKDSLWUH
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ 'pFUHW Qƒ GX  MXLQ  PRGL¿p
UHODWLIjO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLO
DLQVL TX¶j OD PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW
SUpYHQWLYHGDQVODIRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWR
ULDOH
$UUrWp GX  PDL  UHODWLI j OD IRUPDWLRQ
SUpDODEOHjODSULVHGHIRQFWLRQHWjODIRU
PDWLRQ FRQWLQXH GHV DJHQWV FKDUJpV GH OD
PLVHHQ°XYUHGHVUqJOHVG¶K\JLqQHHWGH
VpFXULWp GDQV OD IRQFWLRQ SXEOLTXH WHUULWR
ULDOH

$&),$JHQW&KDUJpGHV)RQFWLRQVG¶,QVSHFWLRQ
/D UqJOHPHQWDWLRQ SUpYRLW TX¶XQH IRUPDWLRQ HQ PDWLqUH
G¶K\JLqQH HW GH VpFXULWp VRLW DVVXUpH DX[ $&), SUpDOD
EOHPHQW jOHXU SULVH GHIRQFWLRQ/HVPRGDOLWpV GHFHWWH
IRUPDWLRQ VHURQW Gp¿QLHV SDU DUUrWp FRQMRLQW GX PLQLVWUH
FKDUJp GX WUDYDLO HW GX PLQLVWUH FKDUJp GHV FROOHFWLYLWpV 0RGqOHV GH WDEOHDX GH
WHUULWRULDOHV&HWDUUrWpQ¶HVWSDVVRUWLjODGDWHGHSXEOLFD
WLRQGXSUpVHQWGRFXPHQW
JHVWLRQ GHV IRUPDWLRQV GHV
DFWHXUVGHODSUpYHQWLRQ
&73&+6&RPLWp7HFKQLTXH3DULWDLUH&RPLWp+\JLqQH ‡ 0RGqOHGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV$&02
HW6pFXULWp
/H OpJLVODWHXU GHPDQGH TXH OHV PHPEUHV UHSUpVHQWDQWV ‡ 0RGqOH GH WDEOHDX GH JHVWLRQ GHV IRUPDWLRQV GHV
GXSHUVRQQHOVLpJHDQWDX&73&+6EpQp¿FLHQWDXPLQL DXWUHVDFWHXUVGHODSUpYHQWLRQ
PXPGHMRXUVGHIRUPDWLRQDXFRXUVGHOHXUPDQGDW

6HFRXULVPHDJHQWFKDUJpGHVSUHPLHUVVHFRXUV
/D UqJOHPHQWDWLRQ SUpYRLW TXH GDQV FKDTXH VHUYLFH R
VRQW H[pFXWpV GHV WUDYDX[ GDQJHUHX[ XQ RX SOXVLHXUV
DJHQWV UHoRLYHQW REOLJDWRLUHPHQW O¶LQVWUXFWLRQ QpFHVVDLUH
SRXUGRQQHUOHVSUHPLHUVVHFRXUVHQFDVG¶XUJHQFH

$JHQWVHWHQFDGUHPHQW
/D PLVH HQ SODFH G¶XQH SROLWLTXH GH SUpYHQWLRQ GHV ULV
TXHVSURIHVVLRQQHOVSDVVHSDUO¶LQIRUPDWLRQGHO¶HQVHPEOH
GHODFKDvQHKLpUDUFKLTXH(OOHGRLWpJDOHPHQWrWUHLQIRU
PpH GHV PLVVLRQV FRQ¿pHV j FKDFXQ GDQV OH FDGUH GH
FHWWHSROLWLTXH

3URFpGXUH
‡ UHFHQVHU OHV EHVRLQV HQ IRUPDWLRQ GH OD FROOHFWLYLWp
RXGHO¶pWDEOLVVHPHQW
‡ LGHQWL¿HU OHV SHUVRQQHV UHVVRXUFHV HQ LQWHUQH RX
H[WHUQHjODFROOHFWLYLWpSRXYDQWGLVSHQVHUFHWWHIRU
PDWLRQ
‡ pWDEOLU HW PHWWUH HQ °XYUH XQ SODQ GH IRUPDWLRQ j
O¶DLGHGHVPRGqOHVGHWDEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPD
WLRQVFIFKDSLWUH
‡ IRUPDOLVHU HW DUFKLYHU OHV DWWHVWDWLRQV GH VXLYL GHV
IRUPDWLRQV FI PRGqOH G¶DWWHVWDWLRQ GH VXLYL GH IRU
PDWLRQDXFKDSLWUH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 )RUPDWLRQGHEDVH )RUPDWLRQFRQWLQXH )RUPDWLRQFRQWLQXH
MRXUV MRXU
1RPGHV$&02
0RGqOH

MRXUV
'DWHV )RUPDWHXU 'DWHV 7KqPHV )RUPDWHXU 'DWH 7KqPHV )RUPDWHXU

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
7DEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV$&02

3DJH

 ,QWLWXOpGHVIRUPDWLRQV

1RPGHO¶DJHQW
0RGqOH

   

'DWH 5HQRXYHOOHPHQW 'DWH 5HQRXYHOOHPHQW 'DWH 5HQRXYHOOHPHQW 'DWH 5HQRXYHOOHPHQW

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
GHVDFWHXUVGHODSUpYHQWLRQ
7DEOHDXGHJHVWLRQGHVIRUPDWLRQV

3DJH

 6
SOMMAIRE

Les autres écrits de la prévention

6.1 Les notes, consignes et règlements
6.1.1 Méthodologie.
Quels sont les notes de service, consignes et règlements ?................................... p. 103
Qui peut consulter ces notes, consignes et règlements ?....................................... p. 103
Qui rédige ces documents ?.................................................................................... p. 103
Comment assurer la diffusion de ces documents ?................................................. p. 103
Procédure ............................................................................................................... p. 104
Références juridiques.............................................................................................. p. 104
6.1.2 Annexes.
Annexe I : exemples de sujets pouvant donner lieu à des notes
de service ou consignes.......................................................................................... p. 105
Annexe II : exemple de procédure d’évacuation..................................................... p. 106
Annexe III : exemple de règlement intérieur de sécurité......................................... p. 107-109

 /D¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLO
6.2.1 Méthodologie.
  4X¶HVWFHTX¶XQH¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLO"S
  4XLUpGLJHHWPHWHQSODFHOD¿FKHGHSRVWH"S
Qui peut la consulter ?............................................................................................. p. 110

  0RGqOHGH¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLOS

 /HVFRPSWHVUHQGXVGHYLVLWHVOLpHVjO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLO
Méthodologie
Qui procède aux visites d’inspection liées aux règles d’hygiène
et de sécurité du travail ?........................................................................................ p. 113
Quels sont les sujets traités lors de ces visites ?.................................................... p. 113
Que faire des comptes rendus de visites ?..............................................................p. 113

 /D¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ
6.4.1 Méthodologie
  4X¶HVWFHTXHOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ"S
  4XLUpGLJHOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ"S
  4XDQGGRLWRQUpGLJHUXQH¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ"S
  3DUTXLOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQSHXWHOOHrWUHFRQVXOWpH"S
  4XHFRQWLHQWOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ"S
Références juridiques.............................................................................................. p. 114
  0RGqOHVGH¿FKHVLQGLYLGXHOOHVG¶H[SRVLWLRQ
Fiche individuelle d’exposition aux produits chimiques, préparations
dangereuses et agents cancérogènes, mutagènes ou toxiques pour
la reproduction......................................................................................................... p. 115
Fiche individuelle d’exposition à l’amiante............................................................... p. 116
Fiche individuelle d’exposition au bruit.................................................................... p. 117

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 102
 /HVQRWHVFRQVLJQHVHWUqJOHPHQWV
0pWKRGRORJLH
/DQRPLQDWLRQG¶XQFHUWDLQQRPEUHG¶DFWHXUVQHVXI¿WSDV
jEkWLUXQHVWUXFWXUHGHSUpYHQWLRQGDQVXQHFROOHFWLYLWp
7RXVOHVDJHQWVGRLYHQWrWUHLPSOLTXpV3RXUFHODODPLVH
HQSODFHGHUqJOHVFRPPXQHVHVWLQGLVSHQVDEOH
)DFHjXQHYRORQWpGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHRXIDFHjGHV
/HVQRWHVHWFRQVLJQHVGRLYHQWrWUHFODLUHVSUpFLVHVVDQV
pTXLYRTXHGHIDoRQjrWUHFRPSULVHVHWDSSOLTXpHVSDU
WRXV6LQpFHVVDLUHHOOHVGHYURQWrWUHWUDGXLWHV
/HUqJOHPHQWLQWpULHXU
/¶pWDEOLVVHPHQW G¶XQ UqJOHPHQW LQWpULHXU HVW REOLJDWRLUH
GDQV OHV FROOHFWLYLWpV RX OHV pWDEOLVVHPHQWV R VRQW HP
SOR\pVKDELWXHOOHPHQWDXPRLQVVDODULpVGHGURLWSULYp
SUDWLTXHVQRQFRQIRUPHVjODUpJOHPHQWDWLRQODPLVHHQ &$(&(&&(6DSSUHQWLV
SODFHGHQRWHVFRQVLJQHVRXUqJOHPHQWVSHXWV¶DYpUHUXWL
OH3RXUTXHFHVPHVXUHVVRLHQWHI¿FDFHVHOOHVGRLYHQW /H FRQWHQX HW OHV PRGDOLWpV G¶DSSOLFDWLRQ G¶XQ WHO UqJOH
PHQWVRQW¿[pVSDUOHVDUWLFOHV/j/GX
‡ rWUH FRKpUHQWHV DYHF O¶HQVHPEOH GHV PHVVDJHV
FRGHGXWUDYDLO
WUDQVPLVDX[DJHQWVDLQVLTX¶DYHFOHVSUDWLTXHVGHV
pOXVHWGHO¶HQFDGUHPHQW 0rPH VL FH GRFXPHQW Q¶HVW SDV REOLJDWRLUH  SRXU OHV
‡ V¶DSSOLTXHUjWRXVTXHOTXHVRLWOHJUDGHODIRQFWLRQ DJHQWVGHGURLWSXEOLFLOHVWWRXWHIRLVFRQVHLOOpFDULOSHU
RXOHVWDWXW PHWGHUDSSHOHUOHVGURLWVHWREOLJDWLRQVGHVDJHQWVHWGH
GpWHUPLQHU OHV FRQGLWLRQV G¶H[pFXWLRQ GX WUDYDLO GDQV OD
‡ HOOHVGRLYHQWrWUHFRQoXHVGDQVO¶LQWpUrWGHWRXV
FROOHFWLYLWp
‡ HOOHV GRLYHQW rWUH SUpVHQWpHV HW YpFXHV SDU OHV
DJHQWV FRPPH XQ RXWLO SHUPHWWDQW G¶DPpOLRUHU O¶HQ
YLURQQHPHQWGHWUDYDLO
'HVRXWLOVGHFRPPXQLFDWLRQGRLYHQWrWUHGpYHORSSpVD¿Q
GHIDLUHFRPSUHQGUHTXHOHFRPSRUWHPHQWGHWRXWXQFKD 4XLSHXWFRQVXOWHUFHVQRWHVFRQVLJQHV
FXQDXQLPSDFWVXUOHVFRQGLWLRQVGHWUDYDLODLQVLTXHVXU HWUqJOHPHQWV"
O¶LPDJHGHPDUTXHGHOHXUFROOHFWLYLWp
/HVQRWHVGHVHUYLFHVFRQVLJQHVHWUqJOHPHQWVSHXYHQW
8QH SULVH GH ULVTXH LQFRQVLGpUpH ORUV GH OD UpDOLVDWLRQ rWUH
G¶XQH WkFKH ORUV GH WUDMHWV« TXL HQWUDvQHUDLW XQ DUUrW ‡ JpQpUDOHVHWDSSOLFDEOHVjO¶HQVHPEOHGHO¶pWDEOLVVH
SDU DFFLGHQW GH WUDYDLO VH UpSHUFXWH QRQ VHXOHPHQW VXU PHQWjXQHSDUWLHRXXQVHFWHXUGHO¶pWDEOLVVHPHQW
OD SURSUH VDQWp GH O¶DJHQW PDLV DXVVL VXU OHV FRQGLWLRQV
GHWUDYDLOGHVHVFROOqJXHVLQGXLWHVSDUODGpVRUJDQLVDWLRQ
‡ SDUWLFXOLqUHV j XQH DFWLYLWp XQH LQVWDOODWLRQ RX XQ
pTXLSHPHQWGHWUDYDLOjXQSURGXLWRXXQPDWpULHOj
GHVVHUYLFHV
XQSRVWHGHWUDYDLO
$¿Q GH GRQQHU GH OD YDOHXU j O¶HQVHPEOH GHV UqJOHV RX
$LQVLHQIRQFWLRQGHVRQFKDPSG¶DSSOLFDWLRQOHVFRQVL
FRQVLJQHV GpMj H[LVWDQWHV HOOHV GRLYHQW rWUH pFULWHV
JQHVHWUqJOHPHQWVFRQFHUQHURQWWRXWRXSDUWLHGHVDJHQWV
/¶pFULW HVW REMHFWLI LO Q¶HVW SDV VRXPLV j LQWHUSUpWDWLRQ HW
GHODFROOHFWLYLWpRXGHO¶pWDEOLVVHPHQW
LOQ¶HVWSDVGpIRUPpSDUOHWHPSVLOSHUPHWpJDOHPHQWGH
JDUGHUXQHWUDFHGHVLQIRUPDWLRQVTXLRQWpWpWUDQVPLVHV
DX[DJHQWV
&HVGRFXPHQWVSRXUURQWVHUYLUGHEDVHSRXUO¶DFFXHLOGHV
QRXYHDX[ HPEDXFKpV HW OD IRUPDWLRQ REOLJDWRLUH HQ PD 4XLUpGLJHFHVGRFXPHQWV"
WLqUHG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpFIFKDSLWUH
4XHOV VRQW OHV QRWHV GH VHUYLFH FRQVL
JQHVHWUqJOHPHQWV"
/HVQRWHVGHVHUYLFHHWFRQVLJQHV FXPHQWV
/HVSULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQWUDQVFULWVHQGURLW
IUDQoDLVSDUOD/RLQƒGXGpFHPEUHSUp
FLVHQWTXHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGRLWGRQQHUOHVLQVWUXFWLRQV
DX[WUDYDLOOHXUV
/HVQRWHVGHVHUYLFHHWFRQVLJQHVRQWSRXUEXW
‡ G¶LQIRUPHUOHVWUDYDLOOHXUV
‡ GHUDSSHOHUO¶H[LVWHQFHGHULVTXHVSRXUODVpFXULWpHW
OD VDQWp TXL Q¶RQW SX rWUH pOLPLQpV SDU XQH PHVXUH
WHFKQLTXHRXRUJDQLVDWLRQQHOOH
‡ GH GRQQHU OHV LQVWUXFWLRQV DSSURSULpHV VXU OH FRP
SRUWHPHQW j DYRLU SRXU SUpYHQLU OHV ULVTXHV SURIHV
VLRQQHOVHWDVVXUHUVDSURSUHVpFXULWpDLQVLTXHFHOOH
GHVDXWUHV
5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
/HGLUHFWHXUGHVVHUYLFHVOHVHFUpWDLUHGHPDLULHO¶HQFD
GUHPHQWRXO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHHOOHPrPHHVWHQFKDUJH
GHODUpGDFWLRQGHFHVGRFXPHQWV
,OVVRQWWUDQVPLVDX&73&+6DLQVLTX¶jO¶$&),SRXUDYLV
DYDQWOHXUDSSOLFDWLRQ
/H VHUYLFH GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH
SRXUUDpJDOHPHQWrWUHFRQVXOWpVXUOHFRQWHQXGHFHVGR
&RPPHQWDVVXUHUODGLIIXVLRQGHFHVGR
FXPHQWV"
/HPRGHGHGLIIXVLRQSHXWrWUHPXOWLSOH
‡ /RUVGHODSULVHGHIRQFWLRQG¶XQDJHQW
‡ 3DUDI¿FKDJHGDQVWRXWRXSDUWLHGHVVHUYLFHV
‡ 3DUODUHPLVHG¶XQH[HPSODLUHDX[DJHQWVFRQFHUQpV
‡ $FFRPSDJQp G¶XQH UpXQLRQ G¶LQIRUPDWLRQ RX UpXQLRQ
GHVHUYLFH
‡ HWF
3DJH
 3URFpGXUH
‡ 5HFHQVHUOHV©QRQUHVSHFWVªGHODUpJOHPHQWDWLRQHQPDWLqUH
G¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpDXWUDYDLOFHWWHPLVHHQYDOHXUGHFHV
FDUHQFHVSHXWV¶HIIHFWXHUHQPHQDQWjELHQODGpPDUFKHG¶pYD 5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
OXDWLRQGHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVFIFKDSLWUH ‡ $UWLFOHV/j/GXFRGHGXWUDYDLO
‡ 5pGDFWLRQGHQRWHVFRQVLJQHVRXUqJOHPHQWVHQ\DVVRFLDQWOH ‡ 'pFUHWQƒGXMXLQPRGL¿pUHODWLIjO¶K\JLqQH
SOXVJUDQGQRPEUHG¶DFWHXUVFRQFHUQpV HW j OD VpFXULWp DLQVL TX¶j OD PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW
‡ 3UpVHQWDWLRQ HW GLIIXVLRQ GH FHV GRFXPHQWV DX[ DJHQWV FRQ SUpYHQWLYHGDQVODIRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOH
FHUQpV
‡ &RQWU{OH GH O¶DSSOLFDWLRQ HIIHFWLYH GH FHV QRWHV FRQVLJQHV HW
UqJOHPHQWV

$QQH[HV
‡ $QQH[H,H[HPSOHVGHVXMHWVSRXYDQWGRQQHUOLHXjGHVQR
WHVGHVHUYLFHRXFRQVLJQHV

‡ $QQH[H,,H[HPSOHGHSURFpGXUHG¶pYDFXDWLRQ

‡ $QQH[H,,,H[HPSOHGHUqJOHPHQWLQWpULHXUGHVpFXULWp

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
$QQH[H,

([HPSOHVGHVXMHWVSRXYDQWGRQQHUOLHXj
GHVQRWHVGHVHUYLFHRXFRQVLJQHV
/¶DFFXHLOGHVQRXYHDX[DUULYDQWV /DSURFpGXUHjVXLYUHHQFDVG¶DFFLGHQW
FIFKDSLWUH FIFKDSLWUH
‡ 4XLSUpSDUHO¶DFFXHLOFRPPDQGHGHO¶pTXLSHPHQWQp ‡ 4XLHVWFRQWDFWpHQSULRULWpOHVSRPSLHUVOH6$08"
FHVVDLUHUDVVHPEOHPHQWGHVGRFXPHQWVQpFHVVDLUHVj ‡ 4XLLQIRUPHO¶HQFDGUHPHQWODIDPLOOH"3DUTXHOPR\HQ"
O¶DFFXHLO¿FKHGHSRVWHOLYUHWG¶DFFXHLOVpFXULWp«"
‡ 4XL V¶RFFXSH GH OD GpFODUDWLRQ G¶DFFLGHQW " 'DQV TXHO
‡ 4XHOOHHVWODSHUVRQQHTXLVHUDFKDUJpHGHO¶DFFXHLOVp GpODL"
FXULWp"(WHQFDVG¶DEVHQFH"
‡ 4XHOGRFXPHQWGRLWrWUHUHPSOLDYHFOHVGRQQpHVGHO¶DF
‡ $TXHOPRPHQWHVWUHPLVO¶pTXLSHPHQWGHWUDYDLOPDWp FLGHQW"3DUTXL"
ULHO(3,"
‡ $ TXL HW FRPPHQW WUDQVPHWWUH FHV LQIRUPDWLRQV SRXU
O¶DQDO\VHGHO¶DFFLGHQWRXGHODPDODGLH"
/HVUHODWLRQVDYHFOHVHUYLFHGHPpGHFLQH
SURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH /HVFRQVLJQHVGHVpFXULWpLQFHQGLH
‡ 4XLGpFLGHGHVUHQGH]YRXVHWFRPPHQWVRQWLOVJpUpV"
‡ 4XHOOHV VRQW OHV FRQWUDLQWHV VSpFL¿TXHV OLpHV DX[ KR 4XHOVVRQWOHVPR\HQVG¶DOHUWHHWGHVHFRXUVHQFDVG¶LQFHQ
UDLUHV RX DX WUDYDLO GH FHUWDLQV DJHQWV SHUVRQQHO GHV GLH"
FDQWLQHVDJHQWVjWHPSVQRQFRPSOHW«" ‡ 4XHOVVRQWOHVPR\HQVPDWpULHOVG¶DOHUWHGXEkWLPHQW
‡ 4XHOVDJHQWVGRLYHQWEpQp¿FLHUG¶XQVXLYLPpGLFDOVSp DODUPHVRQRUHOXPLQHXVHERvWLHUVGpFOHQFKHXUV«
FL¿TXH"FIFKDSLWUH ‡ 4XHOOHVVRQWOHVSHUVRQQHVjFRQWDFWHUVHFRXUVSRP
‡ &RPPHQWJqUHWRQOHVYLVLWHVGHUHSULVHDSUqVXQDUUrW SLHUVSROLFH«VHFRXULVWHVLQWHUQHVjODFROOHFWLYLWpRX
GHORQJXHGXUpHRXDXWUH"FIFKDSLWUH DXEkWLPHQWFRQFHUQpVXSpULHXUKLpUDUFKLTXH«
‡ &RPPHQW OH PpGHFLQ SUHQGLO FRQQDLVVDQFH GHV DFFL
GHQWVGHWUDYDLO"GDQVTXHOGpODL"FIFKDSLWUH 4XHOVVRQWOHVPR\HQVGHOXWWHFRQWUHO¶LQFHQGLHH[WLQFWHXUV
URELQHWVLQFHQGLHDUPpVFRORQQHVVqFKHVVSULQNOHUV«"

/D JHVWLRQ GHV IRUPDWLRQV HW GHV

2VRQWORFDOLVpVOHVRUJDQHVGHFRXSXUHGHVpQHUJLHVHDX
UHF\FODJHV pOHFWULFLWpJD]SURGXLWVGDQJHUHX[«"
FIFKDSLWUH
‡ 6RXVTXHOOHIRUPHOHVXLYLGHFHVIRUPDWLRQVVHIDLWLO" 4XHOOHHVWO¶RUJDQLVDWLRQGHVVHFRXUVGDQVOHVEkWLPHQWVGH
‡ 4XLV¶RFFXSHGXVXLYLGHFHWWHOLVWH" ODFROOHFWLYLWp"FIFKDSLWUH
‡ &RPPHQWHVWJpUpHODPLVHjMRXUGpSDUWG¶XQDJHQW ‡ 4XHOOHHVWODSURFpGXUHG¶DOHUWHGHVVHFRXUV"
DJHQWHQDUUrWGHWUDYDLOGHORQJXHGXUpH" ‡ 4XHOOH HVW OD SURFpGXUH G¶pYDFXDWLRQ G¶XQ EkWLPHQW
‡ 4XLHWFRPPHQWOHVDJHQWVVRQWLOVSUpYHQXVGHO¶DUULYpH TXDQG pYDFXHU OH ORFDO FRPPHQW pYDFXHU HW TXHOOHV
jWHUPHGHOHXUIRUPDWLRQ" VRQWOHVSHUVRQQHVUHVSRQVDEOHVGHO¶pYDFXDWLRQ"FI
‡ 4XL V¶RFFXSH GH O¶LQVFULSWLRQ DX[ IRUPDWLRQV HW DX[ DQQH[H ,,, GX FKDSLWUH   H[HPSOH GH SURFpGXUH
VpDQFHVGHUHF\FODJH" G¶pYDFXDWLRQ

/HV FRQGLWLRQV G¶LQWHUYHQWLRQ GHV HQWUH

SULVHVH[WpULHXUHV
FIFKDSLWUH
‡ 'DQV TXHOV FDV OD UpGDFWLRQ FRQMRLQWH G¶XQ GRFXPHQW
pFULWHVWREOLJDWRLUH"
‡ $TXHOPRPHQWUpDOLVHUODYLVLWHSUpDODEOHGHVOLHX["TXL
HVWFKDUJpGHFHWWHYLVLWH"4XLVHUDVRQVXSSOpDQWHQ
FDVG¶DEVHQFH"

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 
([HPSOHGHSURFpGXUHG¶pYDFXDWLRQ
/RUVTXHYRXVHQWHQGH]OHPHVVDJHG¶$ODUPH*pQpUDOHGXEkWLPHQWYRXVGHYH]
‡ &HVVHULPPpGLDWHPHQWWRXWHVDFWLYLWpVHQFRXUV
‡ (WHLQGUHWRXVOHVDSSDUHLOVpOHFWULTXHVVRXVWHQVLRQVXUYRWUHOLHXGHWUDYDLOHWVL
SRVVLEOHVXUOHFKHPLQGHVLVVXHVGHVHFRXUV
‡ )HUPHUWRXWHVOHVSRUWHVHWOHVIHQrWUHV
‡ (YDFXHUOHVOLHX[©VDQVSDQLTXHUªHQIHUPDQWOHVSRUWHVHWIHQrWUHVGHUULqUHYRXV
8WLOLVHUOHFKHPLQOHSOXVFRXUWSRXUDWWHLQGUHOHVLVVXHVGHVHFRXUV
‡ /RUVTXHYRXVTXLWWH]XQORFDODVVXUH]YRXVTX¶LOQHUHVWHSOXVSHUVRQQHjO¶LQWpULHXU
‡ (YDFXHUWRXMRXUVSDUOHVHVFDOLHUVHWMDPDLVSDUOHVDVFHQVHXUV(QFDVG¶LQFHQGLH
OHV DVFHQVHXUV VRQW VRXYHQW GpFRQQHFWpV SDU OH 6\VWqPH GH 6pFXULWp ,QFHQGLH
66,6LFHQ¶HVWSDVOHFDVO¶LQFHQGLHSRXUUDLWSURYRTXHUXQHFRXSXUHGHFRX
UDQWGDQVWRXVOHVFDVYRXVUHVWHULH]EORTXpGDQVO¶DVFHQVHXUGDQVXQEkWL
PHQWHQÀDPPH
‡ 1HMDPDLVIDLUHGHPLWRXURQYRXVFURLUDLWpYDFXpDORUVTXHFHQ¶HVWSDVOHFDV
‡ 5HVSHFWHU j OD OHWWUH OHV LQVWUXFWLRQV TXH YRXV GRQQH O¶pTXLSH G¶pYDFXDWLRQ HW OD
'LUHFWLRQGXEkWLPHQW
‡ 5HMRLQGUHOHSRLQWGHUDOOLHPHQW

6LYRXVrWHVEORTXpGDQVXQHSLqFHSDUFHTX¶LO\DOHIHXGDQVOHFRXORLURXO¶HVFDOLHU
*DUGHUODSRUWHIHUPpHO¶DUURVHUVRXYHQWHWERXFKHUWRXWHVOHVIHQWHVDYHFGHVERXU
UHOHWVGHFKLIIRQVPRXLOOpV
6HPRQWUHUjODIHQrWUH

6LYRXVrWHVGDQVXQORFDOHQYDKLSDUODIXPpH
6HEDLVVHUO¶DLUIUDLVHVWSUqVGXVRO

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
$QQH[H,,,

([HPSOHGHUqJOHPHQWLQWpULHXU
GHVpFXULWp
2EMHWHWFKDPSG¶DSSOLFDWLRQ $UWLFOH
7RXW DFFLGHQW SRXUUD IDLUH O¶REMHW G¶XQH DQDO\VH GHVWLQpH j
UHFKHUFKHUOHVFDXVHVLQLWLDOHV&HWWHDQDO\VHSHUPHWWUDGH
$UWLFOH SUHQGUHGHVPHVXUHVSUpYHQWLYHVG¶RUGUHPDWpULHORXRUJD
/HSUpVHQWUqJOHPHQWLQWpULHXUDSRXUREMHWGHSUpFLVHUVXU QLVDWLRQQHO
FHUWDLQV SRLQWV O¶DSSOLFDWLRQ GH OD UpJOHPHQWDWLRQ K\JLqQH
HW VpFXULWp GDQV OD FROOHFWLYLWp FRQIRUPpPHQW DX FRGH GX
WUDYDLO 8VDJHGHVORFDX[HWGXPDWpULHOGHODFRO
,OV¶DSSOLTXHjWRXVOHVDJHQWVGHODFROOHFWLYLWpGH OHFWLYLWp

PrPHRFFDVLRQQHOVTXHOOHTXHVRLWODGDWHGHUHFUXWHPHQW $UWLFOH
DLQVLTX¶DX[HQWUHSULVHVLQWHUYHQDQWHVSRXUODFROOHFWLYLWp /HVORFDX[GRLYHQWrWUHPDLQWHQXVHQpWDWFRQVWDQWGHSUR
/HUqJOHPHQWVHUDUHPLVjFKDTXHDJHQWQRXYHOOHPHQWHP SUHWp VHORQ OHV SUDWLTXHV HW OD SpULRGLFLWp Gp¿QLHV SDU O¶HQ
EDXFKpRXFKDQJHDQWGHSRVWH FDGUHPHQW
/H 0DLUH RX 3UpVLGHQW RX WRXWH SHUVRQQH D\DQW DXWRULWp
KLpUDUFKLHHQFDGUHPHQWFKHIGHVHUYLFHRXSHUVRQQHVGp $UWLFOH
VLJQpHVFRPPHWHOOHHVWWHQXHWFKDUJpGHVRQDSSOLFDWLRQ 7RXWDJHQWHVWWHQXGHFRQVHUYHUHQERQpWDWWRXWOHPDWpULHO
TXLOXLHVWFRQ¿pHQYXHGHO¶H[pFXWLRQGHVRQWUDYDLO,OQH
GRLWSDVXWLOLVHUFHPDWpULHOjG¶DXWUHV¿QVHWQRWDPPHQWj
GHV¿QVSHUVRQQHOOHV
$UWLFOH 3RVVLELOLWpGHGp¿QLUHWRXG¶RUJDQLVHUGHVUqJOHVGHSUrWGH
$SUqV HQ DYRLU LQIRUPp VRQ VXSpULHXU KLpUDUFKLTXH WRXW
DJHQWD\DQWXQPRWLIUDLVRQQDEOHGHSHQVHUTX¶XQHVLWXDWLRQ
GHWUDYDLOSUpVHQWHXQGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQWSRXUVDYLH
RXVDVDQWpSHXWVHUHWLUHUGHVRQSRVWH,OGRLWFHSHQGDQW
V¶DVVXUHUTXHFHUHWUDLWQHFUpHSDVSRXUDXWUXLXQHQRXYHOOH
VLWXDWLRQGHGDQJHU&HWDYLVGRLWrWUHFRQVLJQpGDQVOHUH
JLVWUHGHVGDQJHUVJUDYHVHWLPPLQHQWV
$XFXQHVDQFWLRQQLUHWHQXHGHUpPXQpUDWLRQQHSHXWrWUHHI
IHFWXpHjO¶HQFRQWUHG¶XQDJHQWTXLXWLOLVHVRQGURLWGHUHWUDLW
HQD\DQWXQPRWLIUDLVRQQDEOH/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHQHSHXW
GHPDQGHUjO¶DJHQWGHUHSUHQGUHVRQDFWLYLWpGDQVXQHVLWXD
WLRQGHWUDYDLOSUpVHQWDQWXQGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQW
6LXQPHPEUHGX&RPLWp7HFKQLTXH3DULWDLUHFRQVWDWHSDU
O¶LQWHUPpGLDLUHG¶XQDJHQWTXLV¶HVWUHWLUpG¶XQHVLWXDWLRQGH
WUDYDLOTX¶LOH[LVWHXQHFDXVHGHGDQJHUJUDYHHWLPPLQHQWLO
HQDYLVHLPPpGLDWHPHQWO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
$UWLFOH
7RXWDFFLGHQWPrPHEpQLQVXUYHQXDXFRXUVGXWUDYDLOGRLW
LPPpGLDWHPHQW rWUH SRUWp j OD FRQQDLVVDQFH GX VXSpULHXU
PDWpULHOGDQVODFROOHFWLYLWp
$UWLFOH
7RXWDJHQWD\DQWFRQVWDWpXQHGpIDLOODQFHRXXQHDQRPDOLH
GDQV OHV LQVWDOODWLRQV OH IRQFWLRQQHPHQW GHV PDFKLQHV HW
GDQVOHVV\VWqPHVGHSURWHFWLRQHVWWHQXG¶HQLQIRUPHUSDU
pFULWVRQVXSpULHXUKLpUDUFKLTXH&HVREVHUYDWLRQVUHODWLYHV
DX[TXHVWLRQVG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpGHYURQWrWUHSRUWpHV
VXUOHUHJLVWUHG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWp
$UWLFOH
/HVUHJLVWUHVG¶REVHUYDWLRQVG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpPLVHQ
SODFHGDQVWRXVOHVVHUYLFHVGRLYHQWrWUHWHQXVjMRXUSDU
O¶$JHQW&KDUJpGHOD0LVHHQ2HXYUHGHVUqJOHVG¶K\JLqQHHW
GHVpFXULWp&HW\SHGHUHJLVWUHHVWXQRXWLOGHFRPPXQLFD
WLRQTXLSHUPHWjFKDTXHDJHQWRXXVDJHUGXVHUYLFHGHIDLUH
SDUWOLEUHPHQWGHVHVSUpRFFXSDWLRQVHQPDWLqUHG¶K\JLqQHHW
GHVpFXULWpGXWUDYDLO,OHVWGLVSRQLEOHj«««««««««
««««««««
$UWLFOH
KLpUDUFKLTXHGX0DLUHRXGX3UpVLGHQWDLQVLTXHGX3Up
/HV DJHQWV VRQW WHQXV G¶XWLOLVHU OHV PR\HQV GH SURWHFWLRQ
VLGHQW GX &73&+6 FRPSpWHQW HW GX &HQWUH GH *HVWLRQ
FROOHFWLIV JDUGHFRUSV FDUWHUV GH SURWHFWLRQ V\VWqPH GH
SDU O¶LQWHUPpGLDLUH GH OD ¿FKH GH GpFODUDWLRQ G¶DFFLGHQW GX
YHQWLODWLRQ HW LQGLYLGXHOV FKDXVVXUHV JDQWV OXQHWWHV
WUDYDLO
YrWHPHQWV SURWHFWLRQV UHVSLUDWRLUHV RX DXGLWLYHV« PLV j

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 OHXUGLVSRVLWLRQHWDGDSWpVDX[ULVTXHVD¿QGHSUpYHQLUOHXU /HUHFRXUVjO¶DOFRRWHVWHVWUpDOLVpFRQIRUPpPHQWjXQHSUR
VDQWp HW G¶DVVXUHU OHXU VpFXULWp FRQIRUPpPHQW j OD UpJOH FpGXUHGp¿QLHSDUODFROOHFWLYLWp
PHQWDWLRQ

$UWLFOH
$UWLFOH
7RXWDJHQWHQpWDWDSSDUHQWHWVXSSRVpG¶LYUHVVHVHUDUHWLUp
(QFDV GH UpVHUYH FRQ¿UPpH SDU OH PpGHFLQ GH PpGHFLQH
GHODVLWXDWLRQGHWUDYDLOSDUOH0DLUHRX3UpVLGHQWRXWRXWH
SURIHVVLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH OLpH j XQH UpHOOH JrQH SRXU
SHUVRQQHD\DQWDXWRULWp,OGHYUDWRXWHIRLVUHVWHUjGLVSRVL
VXSSRUWHUO¶pTXLSHPHQWGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOHFKDXVVX
WLRQGDQVOHVORFDX[GHWUDYDLO
UHVFDVTXHVDQWLEUXLW«G¶DXWUHVPRGqOHVGRLYHQWrWUHHV
VD\pV$GpIDXWGHSURWHFWLRQDGDSWpHRXG¶DXWUHVVROXWLRQV
pTXLYDOHQWHV O¶DJHQW VHUD UHWLUp GH OD VLWXDWLRQ GH WUDYDLO j
ULVTXHRXO¶RUJDQLVDWLRQGXWUDYDLOPRGL¿pH
$UWLFOH
,OHVWLQWHUGLWG¶LQWURGXLUHGHGLVWULEXHURXGHFRQVRPPHUGH
OD GURJXH RX GHV VXEVWDQFHV LOOLFLWHV SV\FKR VWLPXODQWHV
$UWLFOH
/HVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLOHWPR\HQVGHSURWHFWLRQGRLYHQW
rWUHFRUUHFWHPHQWUDQJpVHWHQWUHWHQXVSDUOHVXWLOLVDWHXUV
FRQIRUPpPHQWjODQRWLFHGXIDEULFDQW,OVGRLYHQWrWUHYpUL
¿pVDYDQWXWLOLVDWLRQ
$UWLFOH
/HV DJHQWV VRQW WHQXV GH UHVSHFWHU OHV FRQVLJQHV VSpFL¿
TXHVpWDEOLHVSDUO¶HPSOR\HXUSURFpGXUHVQRWHVG¶LQIRUPD
KDOOXFLQRJqQHV«GDQVOHVORFDX[GHWUDYDLO
$UWLFOH
/¶LQWURGXFWLRQODGLVWULEXWLRQHWODFRQVRPPDWLRQGHERLVVRQV
DOFRROLVpHVVRQWLQWHUGLWHVVXUOHOLHXGHWUDYDLO
6HXOHODGpWHQWLRQGHYLQGHELqUHGHFLGUHGHSRLUpHWG¶K\
GURPHOHQTXDQWLWpPRGpUpHVHUDWROpUpHHQSUpYLVLRQG¶XQH
FRQVRPPDWLRQ DX PRPHQW GHV UHSDV RX GH FLUFRQVWDQFHV
WLRQFRQVLJQHVGHVpFXULWp H[FHSWLRQQHOOHVDYHFO¶DFFRUGGX0DLUHRXGX3UpVLGHQW
'HVUqJOHVSHXYHQWrWUHpWDEOLHVHQLQWHUQHSRXUUpJOHPHQ
$UWLFOH WHUO¶RUJDQLVDWLRQGHVSRWVH[HPSOH
&KDTXHpTXLSHPHQWGHWUDYDLOHWPR\HQGHSURWHFWLRQGRLW /HVDSpULWLIVHWDXWUHVPRPHQWVIHVWLIVQHGHYURQWrWUHTX¶H[
rWUHXWLOLVpFRQIRUPpPHQWjVRQREMHW FHSWLRQQHOVHWDXWRULVpVSDUOHUHVSRQVDEOHGHVHUYLFHV¶LOV
VRQW DFFRPSDJQpV GH ERLVVRQV DOFRROLVpHV LO GHYUD rWUH
SURSRVp DX SHUVRQQHO HQ TXDQWLWp DX PRLQV pTXLYDOHQWH
$UWLFOH
GHVERLVVRQVQRQDOFRROLVpHVHDX[MXVGHIUXLW«
,OHVWLQWHUGLWGHPDQLSXOHUOHVPDWpULHOVGHVHFRXUVH[WLQF
WHXUV URELQHWV G¶LQFHQGLH DUPpV EUDQFDUGV« HQ GHKRUV
GHOHXUXWLOLVDWLRQQRUPDOHRXG¶HQUHQGUHO¶DFFqVGLI¿FLOH
$UWLFOH
,OHVWLQWHUGLWGHFRQVRPPHUGHO¶DOFRROGXUDQWOHVKHXUHVGH
$UWLFOH VHUYLFH
,OHVWLQWHUGLWGHQHXWUDOLVHUWRXWGLVSRVLWLIGHVpFXULWp

$UWLFOH
,OHVWLQWHUGLWGHIXPHUGDQVWRXVOHVOLHX[IHUPpVHWFRXYHUWV
DFFXHLOODQW GX SXEOLF RX TXL FRQVWLWXHQW OHV OLHX[ GH WUDYDLO
+\JLqQHHWVDQWp DLQVLTXHGDQVOHVORFDX[SRUWDQWDI¿FKDJH

$UWLFOH $UWLFOH
,OHVWLQWHUGLW GH SpQpWUHU RX GH GHPHXUHU GDQV O¶pWDEOLVVH
(QDSSOLFDWLRQGHVGLVSRVLWLRQVOpJDOHVHQYLJXHXUOHSHUVRQ
PHQWRXjVRQSRVWHGHWUDYDLOHQpWDWG¶pEULpWpRXVRXVO¶HP
QHOHVWWHQXGHVHVRXPHWWUHDX[YLVLWHVPpGLFDOHVREOLJDWRL
SULVHGHVXEVWDQFHVLOOLFLWHV&HWWHLQWHUGLFWLRQHVWIRUPXOpH
UHVYLVLWHPpGLFDOHG¶HPEDXFKHYLVLWHPpGLFDOHDQQXHOOHHW
SDUOH0DLUHRXOH3UpVLGHQWSDUO¶LQWHUPpGLDLUHRXQRQG¶XQ
GHUHSULVH
VXSpULHXUKLpUDUFKLTXH/HUHFRXUVjO¶DOFRRWHVWHVWSRVVLEOH
SRXUIDLUHFHVVHUXQHVLWXDWLRQGHWUDYDLOGDQJHUHXVHGDQVOH
FDGUHGHVDFWLYLWpVVXLYDQWHV $UWLFOH
‡ &RQGXLWHGHYpKLFXOHVRXG¶HQJLQV
7RXW DJHQW H[SRVp j GHV ULVTXHV VSpFL¿TXHV HVW WHQX GH
‡ 0DQLSXODWLRQGHPDFKLQHVGDQJHUHXVHV
VH VRXPHWWUH DX[ REOLJDWLRQV GH YDFFLQDWLRQV SUpYXHV SDU
‡ 0DQLSXODWLRQGHVXEVWDQFHVRXSURGXLWVGDQJHUHX[
ODORL
‡ HWF
&HWWHOLVWHSHXWrWUHFRPSOpWpHSDUO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHSRXU
FHTXLFRQFHUQHOHVSRVWHVMXJpVjULVTXHVjFRQGLWLRQTXH $UWLFOH
OH&73GRQQHVRQDFFRUG 'HV GRXFKHV VRQW PLVHV j GLVSRVLWLRQ GHV DJHQWV /HV

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
agents effectuant des travaux salissants doivent utiliser les prévention des risques professionnels. Il peut être consulté
installations sanitaires prévues à cet effet. sur toutes les questions relatives à ce sujet.

Article 25
Les armoires individuelles verrouillées, mises à disposition Article 32
du personnel, pour y déposer vêtements et objets personnels 7RXWHPRGL¿FDWLRQGHFHUqJOHPHQWIHUDO¶REMHWG¶XQHLQIRU-
ne doivent être utilisées que pour cet usage. Il est interdit d’y mation au CTP/CHS compétent.
déposer des substances et préparations dangereuses. Elles
doivent être maintenues propres par leurs détenteurs.

Validation en CTP/CHS le : ……………............……………

Article 26 Ce règlement entre en vigueur le :
……………………………
Aucun agent ne doit subir les agissements répétés de har-
cèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégra-
dation des conditions de travail susceptible de porter attein- Nom du (ou des ACMO) de la collectivité ou de
te à ses droits et sa dignité, d’altérer sa santé physique ou l’établissement)
mentale ou de compromettre son avenir professionnel.
……………………....................................................………..

Article 27
Est également passible de sanctions disciplinaires tout abus
d’autorité à caractère sexuel dans le travail.
……………………....................................................………..
……………………....................................................………..
……………………....................................................……..…

Application
Le Maire (ou le Président)

Article 28
Pour une meilleure information, le présent document sera
mis en circulation dans tous les services de la collectivité et
GHYUDrWUHDI¿FKpjXQHSODFHFRQYHQDEOHDLVpPHQWDFFHV-
sible dans les lieux de travail.
Une copie de ce règlement sera adressée au Président du
CTP/CHS compétent.

Article 29
'DQV O¶H[pFXWLRQ GHV WkFKHV TXL OXL VRQW FRQ¿pHV O¶DJHQW
est tenu de respecter les instructions données par son su-
périeur hiérarchique. Chaque agent doit avoir pris connais-
VDQFHGHVFRQVLJQHVDI¿FKpHVHWGHVUqJOHVG¶K\JLqQHHWGH
sécurité du présent règlement.

Article 30
Le non respect des consignes et des dispositions prévues
par ce règlement pourra donner lieu, le cas échéant, à des
sanctions disciplinaires prévues par le statut ou à défaut la
réglementation.
De plus, le refus d’un agent de se soumettre à ces prescrip-
tions peut entraîner des sanctions disciplinaires et implique
une responsabilité morale et professionnelle des agents qui
exonère partiellement celle de l’autorité territoriale en cas
d’accident.

Article 31
L’Agent Chargé de la Mise en Oeuvre des règles d’hygiène
et de sécurité est un interlocuteur privilégié en matière de

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 109
 /D¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLO

0pWKRGRORJLH 0RGqOHGH¿FKHGHSRVWH
GHWUDYDLO
4X¶HVW FH TX¶XQH ¿FKH GH SRVWH GH
WUDYDLO" 9RLUSDJHVXLYDQWH
8QH¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLOHVWXQGRFXPHQWFODLUFRQ
FLVpFULWHQODQJDJHVLPSOHHWFRPSUpKHQVLEOHTXLSHUPHW
jO¶HQFDGUHPHQWHWjO¶DJHQWGHGp¿QLUOHVPLVVLRQVOLpHV
jXQSRVWHGHWUDYDLOHWOHVSULQFLSDOHVGLVSRVLWLRQVQpFHV
VDLUHVjPHWWUHHQRHXYUHSRXUOHVPHQHUjELHQ
$LQVLXQH¿FKHGHSRVWHSRXUUDFRQWHQLUOHVLQIRUPDWLRQV
VXLYDQWHV
‡ GHVFULSWLRQGXSRVWHGHWUDYDLO
‡ GHVFULSWLRQGHO¶HQYLURQQHPHQWGHWUDYDLO
‡ GHVFULSWLRQ GHV H[LJHQFHV OLpHV DX SRVWH GH WUDYDLO
FRQVLJQHV GH VpFXULWp REOLJDWLRQV HW LQWHUGLFWLRQV
SURWHFWLRQVFROOHFWLYHV
‡ GHVFULSWLRQGHVFRPSpWHQFHVQpFHVVDLUHVSRXUH[HU
FHUFHWUDYDLO
‡ GHVFULSWLRQGHVFRQGLWLRQVGHWUDYDLOKRUDLUHVUHOD
WLRQV SHUPLV QpFHVVDLUHV pTXLSHPHQWV GH SURWHF
WLRQLQGLYLGXHOV
‡ GHVFULSWLRQGHVIRUPDWLRQVQpFHVVDLUHVjVXLYUHSRXU
H[HUFHUFHWUDYDLOHWF
&HV¿FKHVVRQWQpFHVVDLUHVORUVG¶XQUHFUXWHPHQWGHSHU
VRQQHO D¿Q GH ELHQ Gp¿QLU OHV DWWHQWHV YLVjYLV GX IXWXU
HPEDXFKp

4XL UpGLJH HW PHW HQ SODFH OD ¿FKH

GHSRVWH"
/D¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLOSHXWrWUHpODERUpHHWPLVHHQ
SODFHSDUODKLpUDUFKLHHQFROODERUDWLRQDYHFOHVDJHQWV$
ODVXLWHGHODUpDOLVDWLRQGH¿FKHVSRXUFKDTXHSRVWHGH
WUDYDLO GH OD FROOHFWLYLWp LO HVWQpFHVVDLUH GH FRQVXOWHU OH
&73&+6SRXUDYLV

4XLSHXWODFRQVXOWHU"
/D¿FKHGHSRVWHGHWUDYDLOGRLWrWUHGHSUpIpUHQFHPLVH
jGLVSRVLWLRQGHVDJHQWVFRQFHUQpVGXSHUVRQQHOG¶HQFD
GUHPHQWHWGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
/H PpGHFLQ GX VHUYLFH GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW
SUpYHQWLYHO¶$&02OHVPHPEUHVGX&73&+6HWO¶$&),
SHXYHQWDYRLUDFFqVjFHVGRFXPHQWV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

)LFKHGHSRVWHGHWUDYDLO
)RQFWLRQ

'LUHFWLRQ 'DWHGHFUpDWLRQ

6HUYLFH 'DWHGHPRGL¿FDWLRQ

'HVFULSWLIGXSRVWHGHWUDYDLO
'p¿QLWLRQGXSRVWH 0LVVLRQVGXSRVWH

2EMHFWLIVGXSRVWH $FWLYLWpVGXSRVWH

(QYLURQQHPHQWGXSRVWHGHWUDYDLO
/RFDOLVDWLRQGXSRVWH 0R\HQVXWLOLVpVPDWpULHOVHWRUJDQLVDWLRQQHOV

3URGXLWV±VXEVWDQFHVHWPDWpULDX[XWLOLVpV (QYLURQQHPHQWVRFLDO SDUWHQDLUHVHWUHODWLRQVSURIHVVLRQQHOOHVLQWHU

QHVH[WHUQHVSXEOLFV«

([LJHQFHVGHWUDYDLOOLpHVDXSRVWHGHWUDYDLO
&RQVLJQHVGHVpFXULWpOLpHVDXSRVWHGHWUDYDLO ,QWHUGLFWLRQVDXSRVWHGHWUDYDLO
'HFRQVRPPHUGHO¶DOFRRORXGHVSURGXLWVVWXSp¿DQWV

2EOLJDWLRQVGXSRVWHGHWUDYDLO 3URWHFWLRQVFROOHFWLYHVOLpHVDXSRVWHGHWUDYDLO

&RPSpWHQFHVOLpHVDXSRVWHGHWUDYDLO
'LSO{PHV RX IRUPDWLRQV SURIHVVLRQQHOV FRQVHLOOpV ([LJHQFHVSURIHVVLRQQHOOHVRXFRQWUDLQWHVSRXUH[HUFHUVXU
SRXUFHSRVWHGHWUDYDLO FHSRVWHGHWUDYDLOH[VWDWLRQGHERXWSURORQJpH«

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /HVFRPSWHVUHQGXVGHYLVLWHVOLpHVj
O¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLO

0pWKRGRORJLH
/D PLVH HQ °XYUH G¶XQH GpPDUFKH SpUHQQH GH SUpYHQ
WLRQ GHV ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV QpFHVVLWH O¶LQWHUYHQWLRQ
G¶RUJDQLVPHV GRQQDQW OLHX j GHV UDSSRUWV GH YLVLWH RX
G¶LQVSHFWLRQ
4XLSURFqGHDX[YLVLWHVG¶LQVSHFWLRQOLpHVDX[
UqJOHVG¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpGXWUDYDLO"
/HVYLVLWHVOLpHVjO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLOSHX
YHQWUHOHYHU
4XHIDLUHGHVFRPSWHVUHQGXVGHYLVLWHV"
&KDTXH YLVLWH GH O¶XQ GH FHV DFWHXUV GRQQH OLHX j XQ
FRPSWHUHQGXGHYLVLWHRXUDSSRUWG¶LQVSHFWLRQIDLVDQWXQ
pWDWGHVOLHX[jXQLQVWDQW7GHODFROOHFWLYLWpSDUUDSSRUWj
ODUpJOHPHQWDWLRQ
,OHVWQpFHVVDLUHG¶DUFKLYHUHWGHWHQLUFRPSWHGHVUHPDU
TXHVIDLWHVSRXUOHVIXWXUHVYLVLWHV/HQRQUHVSHFWGHFHV
UHPDUTXHVSRXUUDLWrWUHUHSURFKpjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH

GHVHUYLFHVSXEOLFV
‡ &5$0&DLVVH5pJLRQDOHG¶$VVXUDQFH0DODGLH
‡ $&),$JHQW&KDUJpGHV)RQFWLRQVG¶,QVSHFWLR
‡ 0pGHFLQGXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHW
SUpYHQWLYH
‡ ,QVSHFWHXUGXWUDYDLO

GHVHUYLFHVSULYpV
‡ (QWUHSULVHVH[WpULHXUHVDJUppHVSRXUFHUWDLQVW\SHV
GHFRQWU{OHVSpULRGLTXHVGHVORFDX[HWpTXLSHPHQWV
GHWUDYDLO

4XHOVVRQWOHVVXMHWVWUDLWpVORUVGHFHVYLVLWHV"
&KDTXHDFWHXUUHOqYHG¶XQRXGHVS{OHVGHFRPSpWHQFHVSUpFLVSDUH[HPSOH

2UJDQLVPH 3{OHVGHFRPSpWHQFHV

$&), &RQWU{OHGHO¶DSSOLFDWLRQGHVUqJOHVG¶K\JLqQHHWVpFXULWpDXWUDYDLO

,QVSHFWHXUGXWUDYDLO &RQWU{OHGXUHVSHFWGXFRGHGXWUDYDLOVXUGHPDQGHRXHQFDVG¶DFFLGHQWJUDYHHWRXUpSpWLWLI

&RQWU{OHGH
‡ O¶DpUDWLRQHWGHO¶DVVDLQLVVHPHQWGHVORFDX[
‡ O¶DPLDQWHEHQ]qQH
‡ EUXLW
‡ FKORUXUHGHYLQ\OH
‡ O¶pFODLUDJH
(QWUHSULVHV H[WpULHXUHV
‡ O¶LQVWDOODWLRQpOHFWULTXHGHJD]
DJUpHV
‡ PDFKLQHHWDSSDUHLOGHOHYDJH
‡ SORPE
‡ SRXVVLqUHVGHERLV
‡ UD\RQQHPHQWVLRQLVDQWV
‡ VLOLFH
‡ HWF

&RQVHLOGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHVXU
‡ O¶DPpOLRUDWLRQGHVFRQGLWLRQVGHYLHHWGHWUDYDLOGDQVOHVVHUYLFHV
‡ O¶K\JLqQHJpQpUDOHGHVORFDX[GHVHUYLFH
0pGHFLQ GH VHUYLFH GH
‡ O¶DGDSWDWLRQGHVSRVWHVGHVWHFKQLTXHVHWGHVU\WKPHVGHWUDYDLOjODSK\VLRORJLHKXPDLQH
PpGHFLQH SURIHVVLRQ
‡ OD SURWHFWLRQ GHV DJHQWV FRQWUH O¶HQVHPEOH GHV QXLVDQFHV HW OHV ULVTXHV G¶DFFLGHQWV GH VHUYLFH RX GH PDODGLH
QHOOHHWSUpYHQWLYH
SURIHVVLRQQHOOHRXjFDUDFWqUHSURIHVVLRQQHO
‡ O¶K\JLqQHGDQVOHVUHVWDXUDQWVDGPLQLVWUDWLIV
‡ O¶LQIRUPDWLRQVDQLWDLUH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /D¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQ

0pWKRGRORJLH ‡ 1LYHDXG¶H[SRVLWLRQV¶LOHVWFRQQX
([SRVLWLRQjXQQLYHDXVRQRUHTXRWLGLHQVXSpULHXURX
pJDOHjG%$
4X¶HVWFHTXHOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SR
VLWLRQ"
/D¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQHVWXQGRFXPHQWSHUPHW
WDQWG¶LGHQWL¿HUSUpFLVpPHQWOHVDJHQWVVXVFHSWLEOHVG¶rWUH
H[SRVpV j GHV ULVTXHV SDUWLFXOLHUV SURGXLWV FKLPLTXHV

‡ 3RVWHVGHWUDYDLORFFXSpV
‡ 'DWHV GHV UpVXOWDWV GH PHVXUDJH GX QLYHDX
G¶H[SRVLWLRQVRQRUHTXRWLGLHQHWV¶LO\DOLHXGX
QLYHDXGHSUHVVLRQDFRXVWLTXHGHFUrWH
‡ 0RGqOHV GHV SURWHFWHXUV LQGLYLGXHOV IRXUQLV HW
O¶DWWpQXDWLRQGXEUXLWTX¶LOVDSSRUWHQW
GDQJHUHX[DPLDQWHEUXLWGDQVOHFDGUHGHOHXUVDFWLYLWpV
SURIHVVLRQQHOOHV
4XL UpGLJH OD ¿FKH LQGLYLGXHOOH G¶H[SRVL
WLRQ"
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGRLWUpGLJHUHWDVVXUHUOHVXLYLGHFH
GRFXPHQW
4XDQG GRLWRQ UpGLJHU XQH ¿FKH LQGLYL
GXHOOHG¶H[SRVLWLRQ"
&HGRFXPHQWGRLWrWUHUpGLJpGqVORUVTX¶XQDJHQWHVWH[
SRVpjXQSURGXLWGDQJHUHX[jGHO¶DPLDQWHRXjXQEUXLW
‡ 'DWHVHWUpVXOWDWVGHVH[DPHQVPpGLFDX[SUD
WLTXpV
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ $UWLFOHV 5 5 HW 5
GXFRGHGXWUDYDLO
‡ $UWLFOH  GX GpFUHW Qƒ GX  IpYULHU 
PRGL¿pUHODWLIjODSURWHFWLRQGHVWUDYDLOOHXUVFRQ
WUH OHV ULVTXHV OLpV j O¶LQKDODWLRQ GHV SRXVVLqUHV
G¶DPLDQWH
TXRWLGLHQVXSpULHXURXpJDOjG%$

3DU TXL OD ¿FKH LQGLYLGXHOOH G¶H[SRVLWLRQ

SHXWHOOHrWUHFRQVXOWpH"
/HVDJHQWVFRQFHUQpVRQWDFFqVDX[LQIRUPDWLRQVGHV¿
FKHVTXLOHVFRQFHUQHQW 0RGqOHVGH¿FKHV
/H PpGHFLQ GX VHUYLFH GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW LQGLYLGXHOOHVG¶H[SRVLWLRQ
SUpYHQWLYH GRLW rWUH OH GHVWLQDWDLUH G¶XQH FRSLH GHV ¿
FKHV
/HVPHPEUHVGX&73&+6RQWDFFqVDX[LQIRUPDWLRQVUH
FHQVpHVSDUSRVWHGHWUDYDLOSRXUOHVH[SRVLWLRQVDX[SUR ‡ )LFKH LQGLYLGXHOOH G¶H[SRVLWLRQ DX[ SURGXLWV FKLPL
GXLWVGDQJHUHX[HWDX[UpVXOWDWVGHVPHVXUHVG¶H[SRVLWLRQ TXHVSUpSDUDWLRQVGDQJHUHXVHVHWDJHQWVFDQFpUR
HW GHV UpVXOWDWV QRQ QRPLQDWLIV GHV H[DPHQV PpGLFDX[ JqQHVPXWDJqQHVRXWR[LTXHVSRXUODUHSURGXWLRQ
SRXU OH SHUVRQQHO H[SRVp j XQ QLYHDX VRQRUH TXRWLGLHQ ‡ )LFKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQjO¶DPLDQWH
VXSpULHXURXpJDOjG%$ ‡ )LFKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQDXEUXLW

4XHFRQWLHQWOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SR
VLWLRQ"
(QIRQFWLRQGXULVTXHOD¿FKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQGRLW
FRQWHQLUOHVLQIRUPDWLRQVVXLYDQWHV
([SRVLWLRQ j GHV DJHQWV FKLPLTXHV GDQJHUHX[ WUqV
WR[LTXHV WR[LTXHV QRFLIV FRUURVLIV LUULWDQWV VHQVLEL
OLVDQWVDLQVLTX¶DX[DJHQWVFDQFpURJqQHVPXWDJqQHV
HWWR[LTXHVSRXUODUHSURGXFWLRQ
‡ /DQDWXUHGXWUDYDLOHIIHFWXp
‡ /HVFDUDFWpULVWLTXHVGHVSURGXLWV
‡ /HVSpULRGHVG¶H[SRVLWLRQ
‡ /HVDXWUHVULVTXHVRXQXLVDQFHVG¶RULJLQHFKL
PLTXH SK\VLTXH RX ELRORJLTXH GX SRVWH GH
WUDYDLO
‡ /HVGDWHVHWUpVXOWDWVGHVFRQWU{OHVGHO¶H[SRVL
WLRQLQGLYLGXHOOHDXSRVWHGHWUDYDLO
‡ /DGXUpHHWO¶LPSRUWDQFHGHVH[SRVLWLRQVDFFL
GHQWHOOHV
([SRVLWLRQjGHO¶DPLDQWH
‡ 1DWXUHHWGXUpHGHVWUDYDX[HIIHFWXpV
‡ 3URFpGXUHVGHWUDYDLO
‡ (TXLSHPHQWVGHSURWHFWLRQXWLOLVpV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 &ROOHFWLYLWpQRPHWDGUHVVH $JHQW 'RQQpHVVXUOD¿FKH

1RPHWSUpQRP )LFKHPLVHjMRXUOH
0RGqOH

'DWHGHQDLVVDQFH ,QIRUPDWLRQGXVDODULpOH

'DWHGHO¶DIIHFWDWLRQ &RSLHDXPpGHFLQGXWUDYDLOOH

3RVWH 1RP IRQFWLRQ  HW VLJQDWXUH GH O¶DJHQW D\DQW

pWDEOLOD¿FKH
*UDGH

7kFKHV 3URGXLWV (WLTXHWDJH3KUDVHVGHULVTXHV 'XUpH GH &RQWU{OHVUpDOLVpV 3URWHFWLRQXWLOLVpHV

O¶H[SRVLWLRQ
)RUPH 1RP 4XDQWLWp )) ( 2 & ;L ;Q 77 &05 'DWH 5pVXOWDW &ROOHFWL ,QGLYL
YHV GXHOOHV

([SRVLWLRQVDFFLGHQWHOOHV $XWUHVULTXHVRXQXLVDQFHVOLpVDXSRVWHGHWUDYDLO

'DWHV &LUFRQVWDQFHVHWFDUDFWpULVWLTXHVGHO¶H[SRVLWLRQDFFLGHQWHOOH
RXWR[LTXHVSRXUODUHSURGXFWLRQ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
)LFKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQDX[SURGXLWVFKLPLTXHV
SUpSDUDWLRQVGDQJHUHXVHVHWDJHQWVFDQFpURJqQHVPXWDJqQHV

3DJH

 &ROOHFWLYLWpQRPHWDGUHVVH $JHQW 'RQQpHVVXUOD¿FKH

1RPHWSUpQRP )LFKHPLVHjMRXUOH
0RGqOH

'DWHGHQDLVVDQFH ,QIRUPDWLRQGXVDODULpOH

'DWHGHO¶DIIHFWDWLRQ &RSLHDXPpGHFLQGXWUDYDLOOH

3RVWH 1RPIRQFWLRQHWVLJQDWXUHGHO¶DJHQWD\DQWpWDEOLOD¿FKH

*UDGH

'DWHOLHXHWQDWXUHGHO¶LQWHUYDQWLRQ 'XUpHGXWUDYDLO 3URFpGXUHVGHWUDYDLO 1LYHDXG¶H[SRVLWLRQV¶LOHVWFRQQX (TXLSHQHQWV GH SURWHFWLRQ XWL

OLVpV

([SRVLWLRQVDFFLGHQWHOOHV $XWUHVULTXHVRXQXLVDQFHVOLpVDXSRVWHGHWUDYDLO

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0RGqOH

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1LYHDX GH SUHVVLRQ DFFRXVWLTXH GH (TXLSHQHQWVGHSURWHFWLRQXWLOLVpV

7kFKHV3RVWHVGHWUDYDLO 'DWHGXPHVXUDJH 1LYHDXG¶H[SRVLWLRQVRQRUHTXRWLGLHQ
FUrWHVLQpFHVVDLUH 7\SH $WWpQXDWLRQ

([DPHQVPpGLFDX[ $XWUHVULTXHVRXQXLVDQFHVOLpVDXSRVWHGHWUDYDLO

'DWHV 5pVXOWDWV
)LFKHLQGLYLGXHOOHG¶H[SRVLWLRQDXEUXLW

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
3DJH

 7
SOMMAIRE

Les accidents et les maladies

professionnelles

7.1 L’organisation des secours

7.1.1 Méthodologie
Qu’est ce que l’organisation des secours dans une collectivité ? ...........................p. 119
Qui doit mettre en place une telle organisation ? ....................................................p. 119
Comment la mettre en place ? ................................................................................p. 119
Références juridiques..............................................................................................p. 120
7.1.2 Modèles de documents
Conduite à tenir en cas d’accident ou de malaise...................................................p. 121
Liste des moyens de secours locaux ......................................................................p. 122
Exemple de contenu d’une trousse de secours ......................................................p. 123

7.2 Le traitement administratif des accidents de travail et des maladies

professionnelles
7.2.1. Méthodologie
Accident de travail, accident de trajet et maladie
SURIHVVLRQQHOOHGp¿QLWLRQ.......................................................................................p. 124
Pourquoi doit-on déclarer les accidents de travail et les
maladies professionnelles ? ....................................................................................p. 124
Qui doit déclarer les accidents de travail et les maladies
professionnelles, quand et comment ?....................................................................p. 125
Références juridiques..............................................................................................p. 128
7.2.2. Modèles de documents.
Modèle de déclaration d’accident de travail pour
les agents relevant du régime général ....................................................................p. 129
Modèle de déclaration de maladie professionnelle
pour les agents de régime général..........................................................................p. 130

7.3 L’analyse des accidents du travail

7.3.1. Méthodologie
Pourquoi analyser un accident de travail ? .............................................................p. 131
Qui procède à l’analyse des accidents de travail ? .................................................p. 131
Pourquoi est-il intéressant d’avoir des statistiques sur les accidents
de travail et les maladies professionnelles ?...........................................................p. 131
  0RGqOHGH¿FKHG¶DQDO\VHG¶DFFLGHQW
................................................................................................................................p. 132-133

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 118
 /¶RUJDQLVDWLRQGHVVHFRXUV

0pWKRGRORJLH 4XLSHXWrWUHVHFRXULVWH"
7RXWHSHUVRQQHLQWpUHVVpHSHXWGHYHQLUVHFRXULVWH
([FHSWLRQ IDLWH GH FHUWDLQHV SURIHVVLRQV LQ¿UPLqUH RX
4X¶HVWFHTXHO¶RUJDQLVDWLRQGHVVHFRXUV
GDQVXQHFROOHFWLYLWp"
/¶RUJDQLVDWLRQGHVVHFRXUVDX[DJHQWVYLFWLPHVG¶XQDFFL
GHQWGXWUDYDLOGDQVXQHFROOHFWLYLWpRXXQpWDEOLVVHPHQW
VHGp¿QLWVXLYDQWTXDWUHD[HV
‡ /DIRUPDWLRQHWO¶LQIRUPDWLRQGXSHUVRQQHOGHODFRO
OHFWLYLWpHQPDWLqUHGHSUHPLHUVVHFRXUV
‡ /DPLVHHQSODFHGHFRQVLJQHVG¶DVVLVWDQFHHQFDV
G¶DFFLGHQWRXGHPDODLVH
‡ /DPLVHHQSODFHGHPDWpULHOVGHSUHPLHUVVHFRXUV DX[LOLDLUHVGHSXpULFXOWXUHpGXFDWHXUV«
‡ /D PLVH HQ SODFH G¶XQ WUDLWHPHQW DGPLQLVWUDWLI GHV
DFFLGHQWV HW LQFLGHQWV RX GHV PDODGLHV SURIHVVLRQ
QHOOHV
4XLGRLWPHWWUHHQSODFHXQHWHOOHRUJDQL
PDvWUH QDJHXU« OHV VHFRXULVWHV VRQW GHV YRORQWDLUHV
/HXUGpVLJQDWLRQQHSHXWVHIDLUHTX¶DYHFOHXUDFFRUG
,GHQWL¿FDWLRQGHVUHVVRXUFHV
,O H[LVWH GDQV QRPEUHXVHV GH QRV FROOHFWLYLWpV GHV SHU
VRQQHVUHVVRXUFHVTXLRQWGHVIRUPDWLRQVGHEDVHGHVH
FRXULVWH  SXpULFXOWULFHV LQ¿UPLqUHV DX[LOLDLUHV GH VRLQV
,OH[LVWHGHSOXVSDUIRLVGHVSURIHVVLRQQHOVGXVHFRXULVPH
VDSHXUVSRPSLHUVPDvWUHVQDJHXUVVDXYHWHXUV«HWGHV
DPDWHXUV HQWUDvQpV  VDSHXUV SRPSLHUV YRORQWDLUHV VH
FRXULVWHVGHODSURWHFWLRQFLYLOH«
8QUHFHQVHPHQWUHPLVjMRXUFKDTXHDQQpHHVWQpFHVVDL
UHHWGRLWGpERXFKHUVXUXQELODQGHVEHVRLQVHQIRUPDWLRQ
VDWLRQ" FIFKDSLWUH
,OLQFRPEHjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHG¶RUJDQLVHUOHVVHFRXUV
DX[DJHQWVYLFWLPHVG¶XQDFFLGHQWGXWUDYDLOGDQVVDFRO
OHFWLYLWp/HFDVpFKpDQWLOSRXUUDGHPDQGHUO¶DLGHG¶RUJD
QLVPHVH[WpULHXUVFRPSpWHQWVSRPSLHUV6$08«
5pDOLVDWLRQGHIRUPDWLRQVDGDSWpHV
&RPPHQWODPHWWUHHQSODFH" /HVGLIIpUHQWVGLSO{PHV$)36$WWHVWDWLRQ
2UJDQLVHUOHVVHFRXUVQpFHVVLWHGHODSDUWGHVDJHQWVGHV GH)RUPDWLRQDX[3UHPLHUV6HFRXUVRX667
FRPSpWHQFHV SDUWLFXOLqUHV SRXU LQWHUYHQLU HW SHUPHWWUH j
ODYLFWLPHG¶DWWHQGUHOHVVHFRXUVVSpFLDOLVpV
/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGHYUDGRQFYHLOOHUjODPLVHHQSODFH
GH FHV FRPSpWHQFHV SDU XQH pYDOXDWLRQ GHV EHVRLQV
O¶LGHQWL¿FDWLRQ GHV UHVVRXUFHV HW OD UpDOLVDWLRQ GH IRUPD
WLRQVDGDSWpHV
/DGpVLJQDWLRQGHVVHFRXULVWHV
(YDOXDWLRQGHVEHVRLQV
'DQVODIRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOHORJLTXHVFURLVpHV
SHXYHQWrWUHPLVHVHQ°XYUH /DIRUPDWLRQ667HVWGRQFODSOXVSHUIRUPDQWHPDLVXQH
‡ 8QH ORJLTXH © ULVTXHV SURIHVVLRQQHOV ª FRUUHVSRQ
GDQW j O¶REOLJDWLRQ UpJOHPHQWDLUH SUpYXH SDU O¶DUWLFOH
GXGpFUHWQƒGXMXLQLOV¶DJLWGH
SDUWLUG¶XQHpYDOXDWLRQGHVULVTXHVPrPHVRPPDL
6DXYHWHXU6HFRXULVWHGX7UDYDLO
/¶$)36 VDQFWLRQQH XQ QLYHDX EDVLTXH HW JpQpUDOLVWH
$XFXQUHF\FODJHQ¶HVWSUpYX
/H667HQFDGUpSDUOHVUHFRPPDQGDWLRQVGHOD&1$076
FRPSRUWH HQ SOXV XQ PRGXOH VXU OHV ULVTXHV SURIHVVLRQ
QHOV HW VXERUGRQQH OD SRVVHVVLRQ GH FH WLWUH j XQ UHF\
FODJHDQQXHO
/DUpJOHPHQWDWLRQIRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOHQHSUpYRLW
SDVGHSULYLOpJLHUO¶XQHRXO¶DXWUH3RXUOHVVHUYLFHVjULV
TXHVSDUWLFXOLHUVOHPRGXOHULVTXHVSURIHVVLRQQHOVHVWLP
SRUWDQWGHPrPHOHUHF\FODJHDQQXHOHVWVRXKDLWDEOH
LQWHUYHQWLRQ G¶XQH KHXUH RX GHX[ GX PpGHFLQ GH PpGH
FLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHVXUOHVULVTXHVVSpFL¿
TXHVHQSOXVGHODIRUPDWLRQDX[SUHPLHUVVHFRXUVSHXW
FRPEOHUO¶pFDUW'¶DXWUHSDUWOHVPRQLWHXUV$)36SHXYHQW
UH PDLV VXUWRXW GX PRGH GH IRQFWLRQQHPHQW GHV
pTXLSHVGHWUDYDLO
‡ 8QHORJLTXHJpRJUDSKLTXHSHUPHWWUDSDUOHUHFHQVH
PHQWGHWRXVOHVVLWHVRWUDYDLOOHQWKDELWXHOOHPHQWHW
GHIDoRQSHUPDQHQWHSOXVG¶XQDJHQWGHSRLQWHUOHV
EHVRLQVSDUpWDEOLVVHPHQW
([HPSOHPrPHVLODPpGLDWKqTXHQHFRPSRUWH
TXHDJHQWVHQWDQWTX¶pWDEOLVVHPHQWLVROpXQH
ERQQH RUJDQLVDWLRQ GHV VHFRXUV GHYUD SUpYRLU
XQVHFRXULVWHSUpVHQWVXUVLWH
‡ 8QHORJLTXHWRXUQpHYHUVOHSXEOLFWLHQGUDFRPSWHGH
O¶HIIHFWLIG¶XVDJHUVUHoXVHWGHODTXDOLWpGHFHVXVD
WUqVELHQSURSRVHUGHVUHF\FODJHV
$QRWHUGHSXLV OHVDJHQWVSRVVpGDQWO¶$)36GH
SXLVPRLQVGHDQVSHXYHQWREWHQLUOHFHUWL¿FDW667HQ
YDOLGDQWGHVPRGXOHVFRPSOpPHQWDLUHV
'HVSLVWHVSRXUIRUPHU
/HVRUJDQLVPHVFRPSpWHQWVSRXUGpOLYUHUO¶$)36VRQW
‡ /DFURL[URXJH
‡ /DSURWHFWLRQFLYLOH
‡ /HVSRPSLHUV
‡ $XWUHV RUJDQLVPHV H[WpULHXUV KDELOLWpV j GpOLYUHU
O¶$)36
JHUVO¶kJHHQSDUWLFXOLHURXOHKDQGLFDS
([HPSOH  XQH UpVLGHQFH GH SHUVRQQHV kJpHV
FRPSRUWDQWGDQVVRQHIIHFWLIXQHJDUGLHQQHHWGHX[
DJHQWV G¶HQWUHWLHQ GRLW FRPSRUWHU DX PRLQV XQ VH
FRXULVWH
/D OLVWH GHV RUJDQLVPHV FRPSpWHQWV SRXU GpOLYUHU OH GL
SO{PH667HVWGLVSRQLEOHVXUOHVLWH,QWHUQHWGHOD&5$0
GHFKDTXHUpJLRQ
'LVSRVHU G¶XQ PRQLWHXU GH VHFRXULVPH HQ LQWHUQH SHXW
V¶DYpUHULQWpUHVVDQWSRXUGHVFROOHFWLYLWpVLPSRUWDQWHV
/H &1)37 SHXW pJDOHPHQW DLGHU GDQV OD GpPDUFKH GH
IRUPDWLRQ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /DPLVHHQSODFHGHFRQVLJQHVG¶DVVLVWDQFH 2GRLWRQGLVSRVHUXQWHOPDWpULHO"
/HPDWpULHOGHSUHPLHUVVHFRXUVGRLWrWUHWHQXjGLVSRVLWLRQGDQV
4XHVRQWOHVFRQVLJQHVG¶DVVLVWDQFH" XQHQGURLWSURSUHDXSOXVSURFKHGHVOLHX[pYHQWXHOVGHEOHVVXUHV
/HVSUpVHQWHVFRQVLJQHVGpFULYHQWODFRQGXLWHjWHQLUHQFDVG¶DF ,OHVWGRQFQpFHVVDLUHG¶HQpTXLSHUOHVYpKLFXOHV
FLGHQWRXGHPDODLVHFIFKDSLWUH
&HV FRQVLJQHV V¶DSSOLTXHQW DX[ DJHQWV GH OD FROOHFWLYLWp QRQVH
FRXULVWHV
/HVDJHQWVIRUPpVDX[SUHPLHUVVHFRXUVRQWUHoXVGHVFRQVLJQHV
SURSUHVHWSHXYHQWPHWWUHHQ°XYUHGHVPDQ°XYUHVGHSURWHFWLRQ
GHVHFRXUVHWG¶DOHUWHDGDSWpV
3RXUFRPSOpWHUODFRQVLJQHG¶DVVLVWDQFHLOHVWQpFHVVDLUHGHUHQ 5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
VHLJQHUXQHOLVWHGHVPR\HQVGHVHFRXUVORFDX[SUpVHQWVGDQVOD ‡ $UWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLO
FROOHFWLYLWpRXjSUR[LPLWpFIFKDSLWUH ‡ $UWLFOHGXGpFUHWQƒGXMXLQPRGL¿pUHODWLI
$VXLWHGHODUpGDFWLRQGHFHVGRFXPHQWVLOV¶DYqUHQpFHVVDLUHGH jO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGXWUDYDLODLQVLTX¶jODPpGHFLQH
GHPDQGHUXQDYLVDXPpGHFLQGXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQ SURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHGDQVODIRQFWLRQSXEOLTXHWHU
QHOOHHWSUpYHQWLYHDLQVLTX¶DX&73&+6 ULWRULDOH

&RPPHQWOHVUpGLJHU"
8QPRGqOHGHFRQVLJQHG¶DVVLVWDQFHHWGHOLVWHGHVPR\HQVGHVH
FRXUVORFDX[VRQWSURSRVpVGDQVOHFKDSLWUH,OHVWFHSHQGDQW
LQGLVSHQVDEOH GH O¶DGDSWHU HQ IRQFWLRQ GH OD FRQ¿JXUDWLRQ HW GHV
EHVRLQVGHODFROOHFWLYLWpOLHX[PpWLHUV
,O HVW QpFHVVDLUH GH VH UHQVHLJQHU DXSUqV GHV VWUXFWXUHV GH VH
FRXUVG¶XUJHQFHSRXUVLWXHUTXHOVVHURQWOHVLQWHUORFXWHXUVOHVSOXV
FRPSpWHQWVPpGHFLQUpJXODWHXUGX6$08OHVFHQWUHVGHVH
FRXUVGHVDSHXUVSRPSLHUV±OHFHQWUHDQWLSRLVRQ«

&RPPHQWHQDVVXUHUODGLIIXVLRQHWO¶DI¿FKDJH"
'qVODPLVHHQSODFHGHVFRQVLJQHVHWGRFXPHQWVSUpFLWpVLOIDXWHQ
LQIRUPHUWRXWOHSHUVRQQHOVHFRXULVWHVHWQRQVHFRXULVWHVSDUO¶LQ
WHUPpGLDLUHGHIRUPDWLRQVHQLQWHUQHRXGHUpXQLRQVGHVHUYLFHV
&HWWHLQIRUPDWLRQGHYUDDXVVLrWUHLQFOXVHGDQVODIRUPDWLRQLQLWLDOH
jO¶K\JLqQHHWjODVpFXULWpGHVDJHQWVQRXYHOOHPHQWHPEDXFKpVRX
D\DQWMXVWL¿pG¶XQHORQJXHDEVHQFHGDQVODFROOHFWLYLWpFIFKDSLWUH

/DUpDFWXDOLVDWLRQGHFHVFRQVLJQHVGRLWVHIDLUHSpULRGLTXHPHQW
DXWDQWGHIRLVTXHQpFHVVDLUH,OSHXWrWUHRUJDQLVpGHVH[HUFLFHV 0RGqOHVGHGRFXPHQWV
GHVLPXODWLRQG¶DFFLGHQW
/¶DI¿FKDJHGHVFRQVLJQHVG¶DVVLVWDQFHHWGHVOLVWHVGHVHFRXULVWHV
‡ &RQGXLWHjWHQLUHQFDVG¶DFFLGHQWRXGHPDODLVH
HWG¶DPEXODQFHVSULYpHVSHXYHQWrWUHHQYLVDJpHVSUqVGHVDUPRL
UHVjSKDUPDFLHRXWURXVVHVGHSUHPLHUVVHFRXUV ‡ /LVWHGHVPR\HQVGHVHFRXUVORFDX[
/D PLVH HQ SODFH GH PDWpULHO GH SUHPLHUV VHFRXUV HVW j DGDSWHU ‡ ([HPSOHGHFRQWHQXG¶XQHWURXVVHGHVHFRXUV
VHORQODWDLOOHGHODFROOHFWLYLWpHWVHORQOHVDFWLYLWpVHIIHFWXpHV

4XHOHVWOHPDWpULHOGHSUHPLHUVVHFRXUV"
9RLFLXQHOLVWHQRQH[KDXVWLYHGHPDWpULHOGHSUHPLHUVVHFRXUVDW
WHQWLRQKRUPLVODWURXVVHGHSUHPLHUVVHFRXUVOHPDWpULHOGRLWrWUH
XWLOLVpSDUGHVDJHQWVD\DQWUHoXXQHIRUPDWLRQDGpTXDWH
‡ DUPRLUHRXWURXVVHGHSUHPLHUVVHFRXUVYRLUOLVWHGXPDWpULHO
LQFOXVGDQVFHWWHWURXVVHDXFKDSLWUH
‡ DWWHOOHVG¶LPPRELOLVDWLRQ
‡ FROOLHUFHUYLFDO
‡ FLYLqUHRXEUDQFDUG
‡ Gp¿EULOODWHXUVHPLDXWRPDWLTXH
‡ 

4XHGRLWFRQWHQLUXQHDUPRLUHjSKDUPDFLHRXXQH
WURXVVHGHSUHPLHUVVHFRXUV"
$XFXQHUpJOHPHQWDWLRQQHGp¿QLWOHFRQWHQXG¶XQHDUPRLUHjSKDU
PDFLHRXG¶XQHWURXVVHGHSUHPLHUVVHFRXUV/DVHXOHUpJOHPHQ
WDWLRQDSSOLFDEOHHQFHGRPDLQHHVWO¶DUWLFOH5GXFRGHGX
WUDYDLO©OHVOLHX[GHWUDYDLOVRQWpTXLSpVG¶XQPDWpULHOGHSUHPLHUV
VHFRXUVDGDSWpjODQDWXUHGHVULVTXHVHWIDFLOHPHQWDFFHVVLEOHª
&LMRLQWGDQVOHFKDSLWUHXQPRGqOHGHFRQWHQXGHWURXVVHGH
VHFRXUVjDGDSWHUHQIRQFWLRQGHVULVTXHVHQFRXUXVSDUOHSHUVRQ
QHOWUDYDLOODQWjSUR[LPLWp3RXUFRPSOpWHUFHWWHWURXVVHGHVHFRXUV
LOHVWQpFHVVDLUHGHVHUDSSURFKHUGXPpGHFLQGXWUDYDLO

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
0RGqOH

&RQGXLWHjWHQLUHQFDVG¶DFFLGHQWRXGHPDODLVH

3URWpJHU
$YDQWWRXWHLQWHUYHQWLRQHWD¿QG¶pYLWHUWRXW©VXUDFFLGHQWªLOIDXWpFDUWHUWRXWHVRXUFHGHGDQJHU3RXUFHODLOFRQYLHQWGH
VHSURWpJHUSURWpJHUODYLFWLPHDLQVLTXHOHVSHUVRQQHVDX[DOHQWRXUV

([HPSOHHQFDVG¶DFFLGHQWGHODFLUFXODWLRQEDOLVHUOD]RQHFRQFHUQpH

$OHUWHU
6HFRXUVLQWHUQHV 6HFRXUVH[WHUQHV
6HFRXULVWH
6DXYHWHXU6HFRXULVWHGX7UDYDLO
3RPSLHUV 
6$08 
3ROLFH 
1ƒG¶DSSHOHXURSpHQ
VHUYLFHVLQWHUFRQQHFWpV 
/HPHVVDJHG¶DOHUWHGRLWUHQVHLJQHUVXU
‡ OHOLHXGHO¶DFFLGHQW
‡ OHVFLUFRQVWDQFHVGHO¶DFFLGHQW
‡ OHQRPEUHHWO¶pWDWGHVYLFWLPHV
‡ OHVVRLQVUpDOLVpVOHFDVpFKpDQW

1HSDVUDFFURFKHUHQSUHPLHU
(QYR\HUXQHSHUVRQQHSRXUJXLGHUOHVVHFRXUV

6HFRXULU
/HVJHVWHVGHSUHPLHUVHFRXUVGRLYHQWrWUHSUDWLTXpVSDUXQVHFRXULVWH'DQVWRXVOHVFDVTXHOTXHVSULQFLSHVVLPSOHVVRQW
jFRQQDvWUHGHWRXV
‡ 1HMDPDLVGpSODFHUODYLFWLPHVDXIVLF¶HVWSRXUODVRXVWUDLUHjXQGDQJHULPPpGLDWRXVLOHVVHFRXUV6$08GRQQHQW
GHVFRQVLJQHVSDUWLFXOLqUHV
‡ /DWURXVVHGHVHFRXUVVHWURXYDQWGDQVOHVYpKLFXOHVHWOHVEkWLPHQWVSHUPHWGHUpDOLVHUOHVSUHPLHUVVRLQV
‡ (QFDVGHEOHVVXUHSURWpJHUODSODLHDYHFXQWLVVXSURSUH
‡ (QFDVGHIUDFWXUHQHSDVGpSODFHUODYLFWLPH
‡ (QFDVGHEU€OXUHDUURVHUDXPRLQVPLQSRXUUHIURLGLU
‡ 5pFRQIRUWHUODYLFWLPHHQDWWHQGDQWOHVVHFRXUV
'DQVWRXVOHVFDVDYHUWLUXQUHVSRQVDEOH
0rPHHQFDVG¶DFFLGHQWEpQLQSDVG¶XUJHQFHYLWDOHXQUHVSRQVDEOHGRLWrWUHSUpYHQXF¶HVWOXLTXLGpFLGHUDGHODFRQGXLWH
jWHQLU(QFDVGHGRXWHLOHVWUHFRPPDQGpGHSUHQGUHXQDYLVPpGLFDODXSUqVGX6$08
/HVLJQDOHPHQWGHWRXWW\SHG¶DFFLGHQWHVWG¶DXWDQWSOXVLPSRUWDQWTX¶LOUHQVHLJQHOHUHVSRQVDEOHVXUGHVULVTXHVRXGHV
G\VIRQFWLRQQHPHQWVTXLGRLYHQWrWUHWUDLWpVD¿QG¶pYLWHUTX¶XQDFFLGHQWSOXVJUDYHQHVHSURGXLVH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

/LVWHGHVPR\HQVGHVHFRXUVORFDX[
&ROOHFWLYLWpeWDEOLVVHPHQW 

6HUYLFH6RXVVHUYLFH

/LVWHGHVVHFRXULVWHVSRWHQWLHOOHPHQWSUpVHQWVVXUOHVLWH
1RPSUpQRP /RFDOLVDWLRQWpOpSKRQH

/LVWHGHVDPEXODQFHVjFRQWDFWHUOHFDVpFKpDQW
$PEXODQFH 7pOpSKRQH

&RQVLJQHVDXWUDQVSRUWHXU
‡ 3DLHPHQWVXUIDFWXUHjHQYR\HUDXVLqJHGHODFROOHFWLYLWpDYHFXQ5,%
‡ 0HQWLRQQHUODGDWHHWO¶KHXUHGXWUDQVSRUWDLQVLTXHO¶LGHQWLWpGHODSHUVRQQHWUDQVSRUWpH

/LVWHGHVPpGHFLQVJpQpUDOLVWHVOHVSOXVSURFKHVHWGHVPpGHFLQVGHPpGHFLQHSUR
IHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH
1RPSUpQRP 7pOpSKRQH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

7URXVVHGHVHFRXUV3UHPLqUHVXUJHQFHV
3DUUpIpUHQFHjO¶DUWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLO
©/HVOLHX[GHWUDYDLOGRLYHQWrWUHpTXLSpVG¶XQPDWpULHOGHSUHPLHUVVHFRXUVDGDSWpjODQDWXUHGHVULVTXHVHWIDFLOHPHQWDFFHVVLEOHª

&HVWURXVVHVGRLYHQWrWUHFRPSOpWpHVHQIRQFWLRQGHVULVTXHVHQFRXUXVSDUOH
SHUVRQQHOWUDYDLOODQWDSUR[LPLWp
SDUOH]HQjYRWUHPpGHFLQGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH

&RQWHQX
0DWpULHO 8VDJH 4XDQWLWp
3DQVHPHQWVGpFRXSpV SHWLWHVSODLHV ERvWH
3DQVHPHQWVQRQGpFRXSpV SHWLWHVSODLHV ERvWH
6SDUDGUDS URXOHDX
&RPSUHVVHVVWpULOHV SRXUQHWWR\HUOHVSODLHV 
'pVLQIHFWDQWQRQFRORUpXQLGRVHV SRXUGpVLQIHFWHUOHVSODLHV 
6pUXPSK\VLRORJLTXHXQLGRVH EU€OXUHVRXFRUSVpWUDQJHUVRFXODLUHV 
&LVHDX[ERXWDUURQGL GpFRXSHGHSDQVHPHQWV SDLUH
3LQFHjpFKDUGH DEODWLRQGHFRUSVpWUDQJHUV 
*DQWVMHWDEOHV FRQWDFWDYHFGXVDQJ SDLUHV
&RXYHUWXUHGHVXUYLH FRXYULUODYLFWLPH 

3RVLWLRQQHPHQW
/HVWURXVVHVGHSUHPLHUVVHFRXUVGRLYHQWrWUHSRVLWLRQQpHVDXSOXVSURFKHGHVOLHX[pYHQWXHOVGHEOHVVXUHVGDQVXQHQ
GURLWSURSUH
3HQVH]jHQPXQLUOHVYpKLFXOHVHWHQJLQV

9pUL¿FDWLRQ
8QHYpUL¿FDWLRQDQQXHOOHGHO¶HQVHPEOHGHVWURXVVHVSHUPHWWUDGHV¶DVVXUHUGHODERQQHFRQVHUYDWLRQGHOHXUFRQWHQXHW
GHVGDWHVGHSpUHPSWLRQGHVSURGXLWV

1XPpURVG¶XUJHQFH
0pGHFLQOHSOXVSURFKH 3RUWDEOH 6$08 3RPSLHUV
1ƒG¶DSSHOHXURSpHQ
1RP



7pOpSKRQH
  


5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /HWUDLWHPHQWDGPLQLVWUDWLIGHVDFFLGHQWVGH
WUDYDLOHWGHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV

0pWKRGRORJLH
$FFLGHQW GH WUDYDLO DFFLGHQW GH WUDMHW HW SURIHVVLRQQHOOHVHVWXQHREOLJDWLRQTXLSHUPHW
PDODGLHSURIHVVLRQQHOOHGp¿QLWLRQ
5pJLPHJpQpUDO
©(VW FRQVLGpUp FRPPH
DFFLGHQW GX WUDYDLO
TXHOOHTX¶HQVRLWODFDX
VH O¶DFFLGHQW VXUYHQX
SDU OH IDLW RX j O¶RFFD
VLRQGXWUDYDLOª
3RXU VLPSOL¿HU OD FRPSUpKHQVLRQ RQ SDUOHUD WRXMRXUV
G¶DFFLGHQWGHWUDYDLOGDQVODVXLWHGXGRFXPHQW
‡ /DSULVHHQFKDUJHPpGLFDOHHW¿QDQFLqUHGHO¶DJHQW
5pJLPHVSpFLDO
'DQV OD IRQFWLRQ SXEOLTXH RQ SDUOH
G¶DFFLGHQW GH VHUYLFH SOXW{W TXH G¶DF
FLGHQW GH WUDYDLO /¶DFFLGHQW GH VHUYLFH
HVWXQIDLWSUpFLVRXXQpYqQHPHQWIRU
WXLW SURYRTXDQW XQH OpVLRQ FRUSRUHOOH
TXL GRLW V¶rWUH SURGXLW  VXU OH OLHX GH
WUDYDLOVXUOHWHPSVGHWUDYDLOjO¶RFFD
VLRQGHO¶H[HUFLFHGHVIRQFWLRQV/DSUp
VRPSWLRQG¶LPSXWDELOLWpDXVHUYLFHVHUD
UHFRQQXHVLOHIRQFWLRQQDLUHDSSRUWHOD
SUHXYHTX¶LODpWpYLFWLPHG¶XQDFFLGHQW
GHVHUYLFHUpSRQGDQWDX[WURLVFULWqUHV
SUpFpGHQWV HW TXH OHV VpTXHOOHV TX¶LO
SUpVHQWH VRQW OD FRQVpTXHQFH GLUHFWH
HWFHUWDLQHGHFHWDFFLGHQW&HWWHUHOD
WLRQ GLUHFWH HW FHUWDLQH HQWUH O¶H[HUFLFH
GHV IRQFWLRQV HW OHV OpVLRQV GRLW rWUH
pWDEOLHPpGLFDOHPHQW
3RXUTXRLGRLWRQGpFODUHUOHVDFFLGHQWVGH
WUDYDLOHWOHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV"
/D GpFODUDWLRQ GHV DFFLGHQWV GH WUDYDLO HW GHV PDODGLHV
YLFWLPHGHO¶DFFLGHQWRXGHODPDODGLHVXUWRXWHQFDV
G¶DJJUDYDWLRQ
‡ /HFRQWU{OHHWODPLVHHQ°XYUHGHPR\HQVGHSUp
YHQWLRQ SDU OD FROOHFWLYLWp SRXU pYLWHU OD VXUYHQDQFH
G¶XQQRXYHODFFLGHQWRXPDODGLH
3RLQWGHYXHGHODSULVHHQFKDUJH
/¶DFFLGHQWGHVHUYLFHHVWSULVHQFKDUJHSDUODFROOHFWLYLWp
GqVORUVTXHO¶LPSXWDELOLWpDXVHUYLFHHVWpWDEOLH
/HVVRLQVPpGLFDX[HWSKDUPDFHXWLTXHVSUHVFULWVGXIDLW
GHODOpVLRQVWULFWHPHQWOLpHjO¶DFFLGHQWVRQWHQWLqUHPHQW
SULVHQFKDUJHSDUODFROOHFWLYLWpTXLMRXHOHU{OHG¶DVVXUHXU
VRFLDO'HPrPHOHWUDLWHPHQWHVWLQWpJUDOHPHQWPDLQWHQX
SHQGDQW WRXWH OD SpULRGH G¶DUUrW GH WUDYDLO VXLYDQW O¶DFFL
GHQW
/DFRPPLVVLRQGHUpIRUPHGRLWrWUHVDLVLHREOLJDWRLUHPHQW
SRXU GpWHUPLQHU VL XQ DFFLGHQW HVW LPSXWDEOH DX VHUYLFH
ORUVTXH O¶DJHQW HVW SODFp HQ DUUrW SRXU XQH GXUpH GH 
/¶DFFLGHQWGHWUDMHW
©(VW pJDOHPHQW FRQVLGpUp FRPPH DFFLGHQW GH WUDYDLO
O¶DFFLGHQW VXUYHQX jXQDJHQWSHQGDQW OHWUDMHWG¶DOOHU HW
GHUHWRXUOHSOXVGLUHFWHQWUH
‡ /DUpVLGHQFHSULQFLSDOH>@HWOHOLHXGHWUDYDLO
‡ /HOLHXGHWUDYDLOHWOHOLHXRO¶DJHQWSUHQGKDELWXHO
OHPHQWVHVUHSDV
,OHVWSULVHQFKDUJHjFRQGLWLRQTXHOHSDUFRXUVQ¶DLWSDV
pWpLQWHUURPSXRXGpWRXUQpSRXUXQPRWLIGLFWpSDUO¶LQWpUrW
SHUVRQQHO HW pWUDQJHU DX[ QpFHVVLWpV HVVHQWLHOOHV GH OD
YLHFRXUDQWHRXLQGpSHQGDQWGXVHUYLFH
/¶DFFLGHQW GH WUDMHW HVW SULV HQ FKDUJH FRPPH O¶DFFLGHQW
GHWUDYDLO
/DPDODGLHSURIHVVLRQQHOOH
8QH PDODGLH HVW ©SURIHVVLRQQHOOHª VL HOOH HVW OD FRQVp
MRXUVRXSOXVHQGHojODVDLVLQHHVWIDFXOWDWLYH6LO¶LP
SXWDELOLWpHVWUHFRQQXHXQHVDLVLQHSpULRGLTXHGHODFRP
PLVVLRQGHUpIRUPHHVWHIIHFWXpHD¿QTX¶HOOHVHSURQRQFH
VXU OD SURORQJDWLRQ GH O¶DUUrW OD UHSULVH GH O¶DFWLYLWp OD
PLVHHQUHWUDLWHG¶RI¿FH
3DUFRQWUHVLO¶LPSXWDELOLWpDXVHUYLFHQ¶HVWSDVUHFRQQXH
O¶DUUrWGHWUDYDLOHVWWUDQVIRUPpHQFRQJpGHPDODGLHRU
GLQDLUH /H UHPERXUVHPHQW GHV IUDLV PpGLFDX[ HVW DORUV
VXSSRUWp SDU OH UpJLPH JpQpUDO GH OD VpFXULWp VRFLDOH HW
OHFDVpFKpDQWSDUODPXWXHOOHGHO¶DJHQW(QFHTXLFRQ
FHUQHODUpPXQpUDWLRQODFROOHFWLYLWpYHUVHOHSOHLQWUDLWH
PHQWSHQGDQWOHVSUHPLHUVPRLVHWOHGHPLWUDLWHPHQW
SHQGDQWOHVQHXIPRLVVXLYDQW
3RXUOHVDJHQWV
8QHGpFODUDWLRQELHQIDLWHHWGDQVOHVGpODLVLPSDUWLVGRLW
SHUPHWWUHG¶RXYULUGHVGURLWVSRXUOHVDJHQWVTXLSHXYHQW
OpJLWLPHPHQW\SUpWHQGUH&HVGURLWVVRQWRXYHUWVDXSUqV
GHV &3$0 &DLVVH 3ULPDLUH G¶$VVXUDQFH 0DODGLH SRXU
TXHQFHGLUHFWHGHO¶H[SRVLWLRQG¶XQWUDYDLOOHXUjXQULVTXH
OHV DJHQWV UHOHYDQW GX UpJLPH JpQpUDO RX DXSUqV GH OD
SK\VLTXHFKLPLTXHELRORJLTXHRXVLHOOHUpVXOWHGHVFRQ
FROOHFWLYLWp SRXU OHV DJHQWV UHOHYDQW GX UpJLPH VSpFLDO
GLWLRQV GDQV OHVTXHOOHV LO H[HUFH VRQ DFWLYLWp SURIHVVLRQ
&15$&/
QHOOH
,O HVW LPSRUWDQW GH GpFODUHU WRXW DFFLGHQW TXHO TX¶LO VRLW
/DGLI¿FXOWpHVWGHPHWWUHHQpYLGHQFHOHOLHQPpGLFDOGL
PrPH VL D SULRUL OD EOHVVXUH QH SDUDvW SDV JUDYH &HOD
UHFWHWFHUWDLQHQWUHOHIDLWPDWpULHOODFDXVHHWOHGRP
SHUPHW HQ FDV G¶DJJUDYDWLRQ XQH SULVH HQ FKDUJH XOWp
PDJH FRUSRUHO HIIHW OpVLRQ 7RXWH DIIHFWLRQ TXL UpSRQG
ULHXUHSDUOHUpJLPHGRQWUHOqYHO¶DJHQW
DX[FRQGLWLRQVPpGLFDOHVSURIHVVLRQQHOOHVHWDGPLQLVWUD
WLYHVPHQWLRQQpHVGDQVOHVWDEOHDX[YLVpVjO¶DUWLFOH/ 'H SOXV HQ FDV GH VpTXHOOHV HQWUDvQDQW XQH ,33 ,Q
 GX FRGH GH OD VpFXULWp VRFLDOH HVW V\VWpPDWLTXHPHQW
© SUpVXPpH ª G¶RULJLQH SURIHVVLRQQHOOH VDQV TX¶LO VRLW
QpFHVVDLUH G¶HQ pWDEOLU OD SUHXYH 7RXWHIRLV WRXWH DXWUH
PDODGLH FRQWUDFWpH HQ VHUYLFH PDLV QH UpSRQGDQW SDV
FRPSOqWHPHQW DX[ FULWqUHV RX QH ¿JXUDQW SDV GDQV FHV
WDEOHDX[SHXWrWUHUHFRQQXHLPSXWDEOHDXVHUYLFHV¶LOHVW
pWDEOLTX¶HOOHHVWGLUHFWHPHQWFDXVpHSDUOHWUDYDLOKDELWXHO
GHODYLFWLPH
FDSDFLWp 3HUPDQHQWH 3DUWLHOOH O¶DJHQW SHXW SUpWHQGUH j
XQH LQGHPQLVDWLRQ ¿QDQFLqUH VL O¶DFFLGHQW D pWp UHFRQQX
FRPPHDFFLGHQWGHWUDYDLO
3RXUOHVFROOHFWLYLWpV
(OOHV GRLYHQW rWUH YLJLODQWHV TXDQW DX[ GpODLV GH GpFOD
UDWLRQ GH O¶DFFLGHQW GH WUDYDLO LPSRVpV SDU OHV GLIIpUHQWV

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 RUJDQLVPHVTXLDXUDLHQWjLQWHUYHQLU&3$0SRXUOHUpJLPHJpQpUDO
DVVXUHXUVGHODFROOHFWLYLWpSRXUOHUpJLPHVSpFLDO
8QHSURFpGXUHHI¿FDFHHWUDSLGHSHXWSHUPHWWUHGHSUpVHUYHUGHV
GURLWVRXGHFRQWHVWHUGHVGHPDQGHVLOOpJLWLPHV

3RLQWGHYXHSUpYHQWLRQ
/HVDFWHXUVGHODSUpYHQWLRQGHODFROOHFWLYLWpGRLYHQWrWUHPLVDX
FRXUDQWGHO¶DFFLGHQWRXGHODPDODGLHSURIHVVLRQQHOOHSRXUSRX
YRLUHQJDJHUXQHSURFpGXUHG¶DQDO\VHD¿QGHPHWWUHHQ°XYUHOHV
PHVXUHVGHSUpYHQWLRQDGpTXDWHVFIFKDSLWUH
$LQVL OH &73&+6 HW OH PpGHFLQ GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW
SUpYHQWLYHGRLYHQWDYRLUFRQQDLVVDQFHGHWRXWDFFLGHQWD\DQWOLHX
GDQVODFROOHFWLYLWp6HORQOHGLVSRVLWLILQWHUQHO¶$&02GHYUDpJD
OHPHQWGDQVXQVRXFLGHSUpYHQWLRQrWUHLQIRUPpGHVDFFLGHQWVHW
rWUHDVVRFLpjODGpPDUFKHG¶DQDO\VH

4XLGRLWGpFODUHUOHVDFFLGHQWVGHWUDYDLOHWOHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHVTXDQGHWFRPPHQW"

/HVDFFLGHQWVGHWUDYDLO
5pJLPHJpQpUDOGHOD6pFXULWp6RFLDOH$JHQWVUHOHYDQWGHO¶,QVWLWXWLRQGH5HWUDLWH&RPSOpPHQWDLUHGHV$JHQWV1RQ7LWXODL
UHVGHO¶(WDWHWGHV&ROOHFWLYLWpVSXEOLTXHV,5&$17(&

$FFLGHQW

/¶DJHQWLQIRUPHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
GDQVOHVPHLOOHXUVGpODLV
WUDQVPLVVLRQGXFHUWL¿FDWPpGLFDOLQLWLDO

/¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGpFODUH 'pFODUDWLRQ
O¶DFFLGHQWjOD&3$0GDQV
OHVKHXUHV ‡ DX&73&+6

,PSULPpGX&HQWUH ‡ DXVHUYLFHGHPpGHFLQH
G¶(QUHJLVWUHPHQWHWGH5pYLVLRQ SURIHVVLRQQHOOHHW
GHV)RUPXODLUHV$GPLQLVWUDWLIV SUpYHQWLYH
&(5)$Qƒ

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 /HVDFFLGHQWVGHVHUYLFH
5pJLPHVSpFLDO$JHQWVGHOD&DLVVH1DWLRQDOHGH5HWUDLWHGHV$JHQWVGHV&ROOHFWLYLWpV/RFDOHV&15$&/

$FFLGHQW

/¶DJHQWLQIRUPHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGDQVOHVPHLOOHXUV
GpODLVWUDQVPLVVLRQGXFHUWL¿FDWPpGLFDOLQLWLDO

3DVG¶DUUrWRXDUUrW
$UUrW!jMRXUV
jMRXUV

/¶DXWRULWpWHUULWRULDOH /¶DXWRULWpWHUULWRULDOHDXQ
UHFRQQDvWO¶LPSXWDELOLWp GRXWHVXUO¶LPSXWDELOLWp
DXVHUYLFH DXVHUYLFH
*HVWLRQDGPLQLVWUDWLYHGH

6DLVLQHGHOD 6DLVLQHGHOD
FRPPLVVLRQGH FRPPLVVLRQGHUpIRUPH
UpIRUPH
O¶DJHQW

'pFLVLRQGHO¶DXWRULWp 'pFLVLRQGHO¶DXWRULWp
WHUULWRULDOH WHUULWRULDOH
*HVWLRQSUpYHQWLYHGH

'pFODUDWLRQ 'pFODUDWLRQ 'pFODUDWLRQ

‡ DX&73&+6 ‡ DX&73&+6 ‡ DX&73&+6
O¶DFFLGHQW

‡ DXVHUYLFH ‡ DXVHUYLFH ‡ DXVHUYLFH

GHPpGHFLQH GHPpGHFLQH GHPpGHFLQH
SURIHVVLRQQHOOH SURIHVVLRQQHOOHHW SURIHVVLRQQHOOHHW
HWSUpYHQWLYH SUpYHQWLYH SUpYHQWLYH
*HVWLRQ¿QDQFLqUH
GHODFROOHFWLYLWp

'pFODUDWLRQ j O¶DV 'pFODUDWLRQ j O¶DVVX 'pFODUDWLRQjO¶DVVXUHXU

VXUHXUGHODFROOHF UHXU GH OD FROOHFWLYLWp GHODFROOHFWLYLWpYRLUOH
WLYLWp YRLU OH FRQ YRLUOHFRQWUDWSRXUOH FRQWUDWSRXUOHGpODL
WUDWSRXUOHGpODL GpODL
6HORQ OHV SURFpGXUHV GHV GHX[ UpJLPHV SUpFpGHPPHQW
GpFULWHVLOFRQYLHQWGHGpFODUHUO¶DFFLGHQWjGLIIpUHQWVRU
JDQLVPHVGRQWOHVEHVRLQVQHVRQWSDVWRXMRXUVVLPLODLUHV
$LQVLODFROOHFWLYLWpGRLWXWLOLVHUGLIIpUHQWVGRFXPHQWVSRXU
GpFODUHUXQDFFLGHQWGHWUDYDLO
'pFODUDWLRQjOD&3$0
&¶HVWOHFDVSRXUOHVDJHQWVGpSHQGDQWGXUpJLPHJpQp
UDODJHQWVQRQWLWXODLUHVRXWLWXODLUHVWUDYDLOODQWPRLQVGH
‡ /HFHUWL¿FDWPpGLFDOLQLWLDOPHQWLRQQDQWOHVEOHVVXUHV
HWODGXUpHGHO¶LQFDSDFLWpSUpYLVLEOH
‡ /¶pWDWUpFDSLWXODWLIGHVGLIIpUHQWVDUUrWVVHUDSSRUWDQW
jO¶DFFLGHQW
‡ /HUDSSRUWKLpUDUFKLTXHGHODFROOHFWLYLWp,OFRPSRUWH
GHVGRQQpHVD\DQWWUDLWjO¶LGHQWL¿FDWLRQGHODFROOHF
WLYLWpHWGHO¶DJHQW,OGRLWLQGLTXHUGHPDQLqUHSUpFLVH
OHV IRQFWLRQV GH O¶DJHQW VHV KRUDLUHV GH WUDYDLO OH
MRXUHWO¶KHXUHGHO¶DFFLGHQW«,OUHODWHpJDOHPHQWOHV
KVHPDLQH
FLUFRQVWDQFHVH[DFWHVHWGpWDLOOpHVGHO¶DFFLGHQW
,O FRQYLHQW G¶XWLOLVHU OHV LPSULPpV GH GpFODUDWLRQ IRXUQLV
‡ /DGpFODUDWLRQGHWpPRLQVHWOHUDSSRUWGHSROLFHRX
SDUOHV&3$0FILPSULPp&(5)$QƒDXFKDSLWUH
GHJHQGDUPHULHV¶LO\DOLHX
 1pDQPRLQV ULHQ Q¶HPSrFKH GH IRXUQLU G¶DXWUHV
pOpPHQWVTXLSHXYHQWSHUPHWWUHG¶H[SOLFLWHUO¶DFFLGHQW ‡ (QFDVG¶DFFLGHQWGHWUDMHWXQSODQSUpFLVDQWOHWUDMHW
HPSUXQWp
'pFODUDWLRQjODFRPPLVVLRQGHUpIRUPH &HUWDLQVGpSDUWHPHQWVRQWPLVHQSODFHGHVGRFXPHQWV
/HGRVVLHUVRXPLVjODFRPPLVVLRQGHUpIRUPHGRLWFRP W\SHV VXUWRXW j O¶DWWHQWLRQ GHV SHWLWHV FROOHFWLYLWpV D¿Q
SUHQGUHOHVpOpPHQWVVXLYDQWV G¶XQLIRUPLVHUOHVSURFpGXUHVHWGHVLPSOL¿HUOHWUDYDLOGHV
‡ /D GpFODUDWLRQ GHV FLUFRQVWDQFHV SUpFLVHV HW Gp FRPPLVVLRQVGHUpIRUPHV/HVFHQWUHVGHJHVWLRQQRWDP
WDLOOpHVGHO¶DFFLGHQWpWDEOLHSDUO¶DJHQW PHQW TXL FHQWUDOLVHQW VRXYHQW OHV LQIRUPDWLRQV SRXU OH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 &73&+6RXODPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHSURSRVHQW
VRXYHQWGHVLPSULPpVUHJURXSDQWWRXWHVFHVLQIRUPDWLRQVXWLOLVD
EOHVSDUOHVFRPPLVVLRQVGHUpIRUPH
&KDTXHFROOHFWLYLWpDWRXWHOLEHUWpG¶XWLOLVHURXQRQFHVGRFXPHQWV
V¶LOV VRQW SURSRVpV 'DQV OH FDV FRQWUDLUH RX VL OD FROOHFWLYLWp QH
GpVLUHSDVXWLOLVHUOHVGRFXPHQWVPLVHQSODFHDXQLYHDXGpSDUWH
PHQWDOLOHVWSRVVLEOH SXLVVHQWVHUYLUpJDOHPHQWSRXUODGpFODUDWLRQjFHVRUJDQLVPHV
‡ 6RLW VL OD FROOHFWLYLWp HVW DVVXUpH G¶XWLOLVHU O¶LPSULPp IRXUQL
SDUO¶DVVXUHXUjFRQGLWLRQTXHOHVpOpPHQWVSUpFLWpV\VRLHQW
PHQWLRQQpV
‡ 6RLWG¶pWDEOLUXQLPSULPpVSpFL¿TXHjODFROOHFWLYLWpUHSUHQDQW
WRXVFHVpOpPHQWV
'pFODUDWLRQDX&RPLWp7HFKQLTXH3DULWDLUHjOD0pGHFLQH3UR
IHVVLRQQHOOHHW3UpYHQWLYHDX6HUYLFHGH3UpYHQWLRQ«
,O Q¶\ D SDV GH FRQWHQX W\SH SRXU OD GpFODUDWLRQ j FHV LQVWDQFHV
/jHQFRUHFKDTXHFROOHFWLYLWpGRLWGp¿QLUOHVSLqFHVjWUDQVPHWWUH
,O DSSDUDvW MXGLFLHX[ D¿Q GH QH SDV PXOWLSOLHU OHV GRFXPHQWV TXH
OHVpOpPHQWVFRQVWLWXWLIVGXGRVVLHUSRXUODFRPPLVVLRQGHUpIRUPH
$WWHQWLRQOHV©SHWLWHVªFROOHFWLYLWpVQHGLVSRVDQWQLG¶XQ&73&+6
SURSUHQLG¶XQVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYH
QLG¶XQVHUYLFHGHSUpYHQWLRQHQLQWHUQHRQWWRXWLQWpUrWjVXLYUHOD
SURFpGXUHPLVHHQSODFHSDUOHVFHQWUHVGHJHVWLRQGHOHXUGpSDU
WHPHQW

/HV SOXV ©JUDQGHVª FROOHFWLYLWpV TXL GLVSRVHQW GH OHXU SURSUHV 'pFODUDWLRQjO¶DVVXUHXUFIFKDSLWUH
VWUXFWXUHV &73&+6 PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUpYHQWLYH 'DQVOHFDVGXUpJLPHVSpFLDO&15$&/ODFROOHFWLYLWpDODSRVVL
VHUYLFHSUpYHQWLRQ«RSWHQWVRXYHQWSRXUODGHUQLqUHVROXWLRQHW ELOLWp GHVRXVFULUH XQFRQWUDWG¶DVVXUDQFH SRXUOHULVTXH DFFLGHQW
FUpHQWGHVLPSULPpVVSpFL¿TXHVTXLSHUPHWWHQWHQLQWHUQHODJHV GHWUDYDLO/DSOXSDUWGHVDVVXUHXUVRQWOHXUSURSUHLPSULPpGHGp
WLRQ SUpYHQWLYH GH O¶DFFLGHQW HW OD WUDQVPLVVLRQ GHV GRQQpHV j OD FODUDWLRQ6LFHQ¶HVWSDVOHFDVYRXVSRXYH]XWLOLVHUOHVpOpPHQWV
FRPPLVVLRQGHUpIRUPHVLEHVRLQ FRQVWLWXWLIVGXGRVVLHUUHPLVjODFRPPLVVLRQGHUpIRUPH

/HVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV
5pJLPHJpQpUDOGHODVpFXULWpVRFLDOH$JHQWV,5&$17(&

0DODGLH

/¶DJHQWLQIRUPHVRQHPSOR\HXU 3DUXQFHUWL¿FDWPpGLFDOLQLWLDOGHVRQPpGHFLQWUDLWDQW

/¶DJHQWFRQVWLWXHXQGRVVLHUGHGpFODUDWLRQ ,OFRPSOqWHODGpFODUDWLRQ&(5)$Qƒ/¶HPSOR\HXU
UHPSOLW O¶DWWHVWDWLRQ GH VDODLUH HW UpGLJH XQH DWWHVWDWLRQ
G¶H[SRVLWLRQ

(OOHVWDWXHDYHFO¶DLGHGXPpGHFLQFRQVHLOVXUOHFDUDFWqUH
7UDQVPLVVLRQGXGRVVLHUjOD&3$0GDQVOHV SURIHVVLRQQHOGHODPDODGLH
MRXUVjFRPSWHUGHODFHVVDWLRQGHWUDYDLO (OOH GRQQH XQ DYLV VXU OH FDUDFWqUH SURIHVVLRQQHO GH OD
HWVDLVLQHGHODFRPPLVVLRQGHUpIRUPH PDODGLH

'pFLVLRQGHOD&3$0

/HVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV
5pJLPHVSpFLDO$JHQWV&15$&/

0DODGLH

/¶DJHQWLQIRUPHVRQHPSOR\HXU 3DUXQFHUWL¿FDWPpGLFDOGHVRQPpGHFLQWUDLWDQW

,OIDLWXQHGHPDQGHGHUHFRQQDLVVDQFHHQPDODGLHSURIHV
/¶DJHQWFRQVWLWXHXQGRVVLHUGHGpFODUDWLRQ VLRQQHOOHDXSUqVGXPpGHFLQGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOH
HWSUpYHQWLYHHQFRPSOpPHQWGXFHUWL¿FDWGHGpFODUDWLRQGH
VRQPpGHFLQWUDLWDQW

7UDQVPLVVLRQ GX GRVVLHU j OD FRPPLVVLRQ GH (OOH YD GRQQHU XQ DYLV VXU OH FDUDFWqUH SURIHVVLRQQHO GH
UpIRUPH ODPDODGLH

'pFLVLRQGHO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 'DQV OH FDV GX UpJLPH JpQpUDO GH OD VpFXULWp VRFLDOH LO
H[LVWHXQLPSULPpGHGpFODUDWLRQVSpFL¿TXHjUHPSOLUSDU
O¶DJHQW FI FKDSLWUH  /¶DXWRULWp WHUULWRULDOH GRLW HOOH
DXVVLIRXUQLUXQFHUWDLQQRPEUHGHSLqFHVDWWHVWDWLRQGH
0RGqOHVGHGRFXPHQWV
‡ 0RGqOHGHGpFODUDWLRQG¶DFFLGHQWGHWUDYDLOSRXUOHV
VDODLUHDWWHVWDWLRQG¶H[SRVLWLRQ DJHQWV GX UpJLPH JpQpUDO  LPSULPp &(5)$ Qƒ
'DQV OH FDV GX UpJLPH VSpFLDO OH GRVVLHU VRXPLV j OD 
FRPPLVVLRQGpSDUWHPHQWDOHGHUpIRUPHQ¶DSDVGHIRUPH ‡ 0RGqOH GH GpFODUDWLRQ GH PDODGLH SURIHVVLRQQHOOH
SUpGp¿QLH,OSHXWrWUHFRQVWUXLWGHODPrPHPDQLqUHTXH SRXUOHVDJHQWVGXUpJLPHJpQpUDOLPSULPp&(5)$
FHOXLUpDOLVpSRXUO¶DFFLGHQWGHWUDYDLO Qƒ
‡ /DGpFODUDWLRQGHVFLUFRQVWDQFHVGHO¶H[SRVLWLRQ
‡ /HFHUWL¿FDWPpGLFDOLQLWLDO
‡ /¶pWDWUpFDSLWXODWLIGHVGLIIpUHQWVDUUrWVVHUDSSRUWDQW
jODPDODGLHSURIHVVLRQQHOOH
‡ /H UDSSRUW KLpUDUFKLTXH FRPSRUWDQW OD GHPDQGH GH
UHFRQQDLVVDQFH ,O V¶DJLW G¶XQH OHWWUH GH O¶DJHQW GH
PDQGDQW OD UHFRQQDLVVDQFH GH O¶LPSXWDELOLWp GH OD
PDODGLHDXVHUYLFH
/¶DJHQWSHXWVHIDLUHDLGHUSDUVDFROOHFWLYLWpHWSDUOHPp
GHFLQGXVHUYLFHGHPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQ
WLYHSRXUFRQVWLWXHUOHGRVVLHU
'DQV FHUWDLQV FDV OD PDODGLH HVW FRQWUDFWpH HQ VHUYLFH
PDLVQ¶DSDVWRXWHVOHVFDUDFWpULVWLTXHVSRXUDSSDUWHQLUj
XQWDEOHDX'DQVFHFDVO¶DJHQWGHYUDGpPRQWUHUOHFD
UDFWqUH SURIHVVLRQQHO HQ FRQVWLWXDQW XQ GRVVLHU PpGLFDO
OHSOXVFRPSOHWSRVVLEOHDYLVGHVVSpFLDOLVWHVHWFRPSWH
UHQGX GHV H[DPHQV FRPSOpPHQWDLUHV DYLV GX PpGHFLQ
GXWUDYDLOHWF
'HPDQLqUHJpQpUDOHLOHVWUHFRPPDQGpGHIRXUQLUWRXWH
SLqFHSRXYDQWDSSX\HUODGHPDQGHGHUHFRQQDLVVDQFHHW
IDFLOLWHUO¶DQDO\VHGHVLQVWDQFHVFRPSpWHQWHVSRXUUHFRQ
QDvWUHOHFDUDFWqUHSURIHVVLRQQHOG¶XQHSDWKRORJLH

5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ $UWLFOHGHODORLQƒGXMDQYLHUSRU
WDQWGLVSRVLWLRQVVWDWXWDLUHVUHODWLYHVjODIRQFWLRQ
SXEOLTXHWHUULWRULDOH
‡ 'pFUHWQƒGXMXLOOHWPRGL¿pUHODWLI
jO¶RUJDQLVDWLRQGHVFRPLWpVPpGLFDX[DX[FRQ
GLWLRQVG¶DSWLWXGHSK\VLTXHHWDXUpJLPHGHVFRQ
JpVGHPDODGLHGHVIRQFWLRQQDLUHVWHUULWRULDX[
‡ 'pFUHW Qƒ GX  MXLQ  PRGL¿p UHODWLI
j O¶K\JLqQH HW j OD VpFXULWp GX WUDYDLO DLQVL TX¶j
ODPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHGDQVOD
IRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOH
‡ $UUrWpGXDR€WUHODWLIjODFRPPLVVLRQGH
UpIRUPHGHVDJHQWVGHODIRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWR
ULDOHHWGHODIRQFWLRQSXEOLTXHKRVSLWDOLqUH
‡ $UWLFOHV / HW  GX FRGH GH OD VpFXULWp
VRFLDOH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

0RGqOHGHGpFODUDWLRQG¶DFFLGHQWGHWUDYDLOSRXUOHV
DJHQWVGXUpJLPHJpQpUDOLPSULPp&(5)$Qƒ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

0RGqOHGHGpFODUDWLRQGHPDODGLHSURIHVVLRQQHOOHSRXU
OHVDJHQWVGXUpJLPHJpQpUDOLPSULPp&(5)$Qƒ

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /¶DQDO\VHGHVDFFLGHQWVGXWUDYDLO

0pWKRGRORJLH
3RXUTXRL DQDO\VHU XQ DFFLGHQW GH
WUDYDLO"
/¶DFFLGHQWHWODPDODGLHUpVXOWDQWGHO¶DFWLYLWpSURIHVVLRQ
QHOOH VRQW GHV pYpQHPHQWV QRQ VRXKDLWpV /HXU DQDO\VH
SHUPHWWUDG¶pYLWHUTX¶LOVVXUYLHQQHQWjQRXYHDX
3RXU FHOD LO FRQYLHQW GH PHWWUH HQ pYLGHQFH OHV FDXVHV
GH FHV DFFLGHQWV GX WUDYDLO RX GH FHV PDODGLHV SURIHV
VLRQQHOOHVHWG¶H[SOLTXHUOHVG\VIRQFWLRQQHPHQWVTXLRQW
FRQWULEXpjOHVSURYRTXHU
(QVXLWHLOIDXGUDSUpYRLUOHVDFWLRQVFRUUHFWLYHVHWOHVPH
VXUHVGHSUpYHQWLRQjPHWWUHHQSODFHSRXUTXHO¶DFFLGHQW
HWODPDODGLHQHVHUHSURGXLVHQWSOXV
,OQHV¶DJLWSDVGHUHFKHUFKHUOHVUHVSRQVDEOHVPDLV
OHVFDXVHVGHO¶DFFLGHQWRXGHODPDODGLHGDQVXQEXW
FRUUHFWLIHWSUpYHQWLI
,OH[LVWHGLIIpUHQWHVPpWKRGHVSRXUDQDO\VHUXQDFFLGHQW
GHWUDYDLO/HVSOXVFRXUDPPHQWXWLOLVpHVVRQWODPpWKRGH
UpYpODWHXUV G¶XQH VLWXDWLRQ j ULVTXHV SRWHQWLHOOHPHQW
JpQpUDWULFHG¶XQDFFLGHQWUpHO
/HSULQFLSHGHVPpWKRGHVXWLOLVpHVSRXUO¶DQDO\VHGHVDF
FLGHQWVHVWWRXWjIDLWWUDQVSRVDEOHjO¶pWXGHGHVFDXVHV
SRXUOHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV
3RXUTXRL HVWLO LQWpUHVVDQW G¶DYRLU GHV
VWDWLVWLTXHVVXUOHVDFFLGHQWVGHWUDYDLOHW
OHVPDODGLHVSURIHVVLRQQHOOHV"
/H UHFXHLO GH GRQQpHV VXU OHV DFFLGHQWV HW O¶DQDO\VH GH
VWDWLVWLTXHVUHYrWSOXVLHXUVLQWpUrWV
‡ $YRLUXQHLGpHSUpFLVHGHO¶pWDWGHVDQWpGHODFROOHF
WLYLWpHWGHO¶pYROXWLRQGHFHOXLFL
‡ 6DYRLU HW FRPSUHQGUH R VH VLWXHQW OHV SUREOqPHV
SRXUFLEOHUOHVDFWLRQVjPHWWUHHQ°XYUH
‡ 6XLYUH O¶LPSDFW GHV PHVXUHV GH SUpYHQWLRQ HW GRQF
UpDMXVWHUFHVDFWLRQVVLO¶LPSDFWQ¶HVWSDVVXI¿VDQW
,OH[LVWHDXMRXUG¶KXLGHQRPEUHX[ORJLFLHOVTXLWUDLWHQWOHV
GRQQpHV UHODWLYHV DX[ DFFLGHQWV HW DX[ PDODGLHV HW TXL
GHO¶DUEUHGHVFDXVHVFIEURFKXUH,156('HWODPp SHUPHWWHQW G¶DVVXUHU OH VXLYL GHV DFWLRQV GH SUpYHQWLRQ
WKRGHGHV00DLQG¶°XYUH0LOLHX0DWLqUH0pWKRGHHW %LHQHQWHQGXLOHVWSRVVLEOHGHGpYHORSSHUHQLQWHUQHGHV
0R\HQFIFKDSLWUH DSSOLFDWLRQV SURSUHV SHUPHWWDQW SDU H[HPSOH GH PHWWUH
(OOHVSHUPHWWHQWGHYLVXDOLVHUSDUpWDSHOHGpURXOHPHQWGH HQpYLGHQFH
O¶DFFLGHQWHWGHORFDOLVHUSUpFLVpPHQWOHVIDLWVVXUOHVTXHOV ‡ /H QRPEUH G¶DFFLGHQWV RX GH PDODGLHV SDU VHU
XQHDFWLRQFRUUHFWLYHSHXWrWUHHQYLVDJpH YLFH
‡ /HQRPEUHG¶DFFLGHQWVDYHFDUUrW
4XLSURFqGHjO¶DQDO\VHGHVDFFLGHQWVGH ‡ /HQRPEUHGHMRXUVG¶DUUrW
WUDYDLO" ‡ /HW\SHGHOpVLRQHWOHXUORFDOLVDWLRQ
,OUHYLHQWjFKDTXHFROOHFWLYLWpGHGp¿QLUVRQPRGHG¶DF
‡ /HW\SHGHSHUVRQQHOWRXFKpVH[HkJHDQFLHQQHWp
WLRQ DLQVL TXH OD SURFpGXUH j VXLYUH VXLWH j XQ DFFLGHQW
TXDOL¿FDWLRQ«
GDQV VD FROOHFWLYLWp 'DQV WRXV OHV FDV LO HVW LPSRUWDQW
GHUpÀpFKLUjFHVTXHVWLRQVTXLYDPHQHUO¶HQTXrWHR
TXDQGHWFRPPHQW"
3DUH[HPSOH
0RGqOHGH¿FKHG¶DQDO\VH
48," OHVPHPEUHVGX&73&+6OHPpGHFLQ
GH PpGHFLQH SURIHVVLRQQHOOH HW SUp
G¶DFFLGHQW
YHQWLYHOHFRQVHLOOHUHQSUpYHQWLRQOH 9RLUSDJHVVXLYDQWHV
UHVSRQVDEOHVpFXULWpO¶$&02«
2Ô" 6XUOHOLHXGHO¶DFFLGHQW
48$1'" /HSOXVW{WSRVVLEOHDSUqVODVXUYHQXH
GHO¶DFFLGHQW
&200(17" 3DU LQWHUYLHZ GH OD YLFWLPH GHV Wp
PRLQVGHVFRpTXLSLHUVGHVUHVSRQVD
EOHVUHFXHLODSSURIRQGLGHVGRQQpHV
SHUPHWWDQW GH GpFULUH OH GpURXOHPHQW
GH O¶DFFLGHQW HQ WHUPHV FRQFUHWV HW
REMHFWLIV  PLVH HQ pYLGHQFH GHV IDLWV
UHWHQXV FRPPH D\DQW SDUWLFLSpV j OD
SURGXFWLRQ GH O¶DFFLGHQW  UpDOLVDWLRQ
GH O¶DQDO\VH HW PLVH HQ pYLGHQFH GHV
DFWLRQVjPHWWUHHQSODFH
,OHVWLPSpUDWLIGHYpUL¿HUTXHOHVDFWLRQVFRUUHFWLYHVPLVHV
HQ SODFH DSUqV O¶DQDO\VH VRLHQW HIIHFWLYHPHQW UpDOLVpHV
&HVXLYLSHXWrWUHUpSDUWLHQWUHOHVGLIIpUHQWVDFWHXUVVHORQ
OHXUVFRPSpWHQFHV
,OHVWWRXWDXVVLLPSRUWDQWG¶DQDO\VHUHWGHSUHQGUHHQFRQ
VLGpUDWLRQOHVSUHVTXHDFFLGHQWV&HVGHUQLHUVQHSURYR
TXDQWDXFXQHLQFLGHQFHSK\VLTXHHIIHFWLYHSHXYHQWrWUH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
0RGqOH

,QFLGHQW

)LFKHG¶DQDO\VHG¶DFFLGHQW $FFLGHQWPDWpULHO

$FFLGHQWFRUSRUHO

,QIRUPDWLRQVUHODWLYHV $QDO\VHGHVFRQGLWLRQVQpFHVVDLUHVjOD
VXUYHQXHGXSUREOqPH
1RPSUpQRP
([LVWHW¶LOXQRXSOXVLHXUVIDLWVDXVHLQGHFHVUXEULTXHVjO¶RULJLQHGX
ÆJH SUREOqPH"
6HUYLFH
0DLQG¶RHXYUH

3UpFLVH]OHVTXHOV
3URIHVVLRQ

$QFLHQQHWpDXSRVWH

+RUDLUHVKDELWXHOV 0DLQG¶RHXYUH‰
RXL‰
QRQ

<DWLOHXGHVFRQVpTXHQFHVFRUSRUHOOHV"‰
RXL‰
QRQ 6LRXL

3UpFLVH] 

 (VWFHVXI¿VDQW"‰
RXL‰
QRQ
$UUrWGHWUDYDLO‰
RXL‰
QRQ1RPEUHGHMRXUV

'DWH+HXUH-RXU‰
/‰
0‰
0‰
-‰
9‰
6‰
' 0DQLqUH‰
RXL‰
QRQ

‰
,QWpULHXU‰
([WpULHXU 6LRXL
/LHXSUpFLV 
,QÀXHQFHGH
7UDYDLOHQ (VWFHVXI¿VDQW"‰
RXL‰
QRQ
‰
$pUDWLRQ‰
&OLPDW‰
/XPLQRVLWp‰
3RXVVLqUH‰
9LEUDWLRQ
0LOLHX

‰
$XWUH

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(TXLSH‰
6HXO ‰
,VROp‰
&RDFWLYLWp
0LOLHX‰
RXL‰
QRQ
4XHYRLWRQG¶DQRUPDOVXUOHVOLHX["
6LRXL


&RQVpTXHQFHVVXUO¶HQYLURQQHPHQWOHVEkWLPHQWVHWLQVWDOODWLRQV
(VWFHVXI¿VDQW"‰
RXL‰
QRQ


4XHYRXODLWIDLUHO¶RSpUDWHXURXOHEOHVVp"

0pWKRGH‰
RXL‰
QRQ

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4XHIDLVDLWLOSUpFLVpPHQW"
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3RXUTXRLIDLVDLWLOFHOD" (VWFHVXI¿VDQW"‰
RXL‰
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&RQVpTXHQFHVPDWpULHOOHV
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QRQ

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(VWFHVXI¿VDQW"‰
RXL‰
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4XHV¶HVWLOSDVVp"
 qUHSHUVRQQHLQIRUPpHRXWpPRLQ
3RXUTXRL" 1RPSUpQRP ‰
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 ‰
qUHSHUVRQQHLQIRUPpH

4XHOpOpPHQWPDWpULHOXWLOLVDLWLO" 1RPSUpQRP ‰
7pPRLQ

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  ‰
qUHSHUVRQQHLQIRUPpH

'HTXHOOHPDQLqUHV¶\SUHQDLWLO" 1RPSUpQRP ‰
7pPRLQ

  ‰
qUHSHUVRQQHLQIRUPpH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 Causes Notez les mesures conservatrices prises immédiatement

Causes Faites des préconisations DSUqVDQDO\VHHWUpÀH[LRQ

Ecrit par..................................................................................................... Le.................................................. Visa

Autorité territoriale U Nom, prénom................................................................................................................................................

Responsable hiérarchique U Nom, prénom................................................................................................................................................

Transmis à Conseiller en prévention U Nom, prénom................................................................................................................................................

CTP/CHS U Nom, prénom................................................................................................................................................

Autre destinataire U Nom, prénom................................................................................................................................................

Mise en oeuvre
Décision motivée du responsable hiérarchique
Responsable Date

Les signatures
Opérateur Témoin CTP/CHS Responsable hiérarchique

Page 133 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
 8
SOMMAIRE

L’intervention des entreprises

extérieures
Introduction
.............................................................................................................................................. p. 136

8.1. Le plan de prévention

8.1.1 Méthodologie
Qu’est-ce que le plan de prévention destiné aux entreprises extérieures ?............ p. 137
Qui rédige ce plan de prévention ?.......................................................................... p. 137
Quand doit-on rédiger ce plan de prévention ?........................................................p. 137
Quelles responsabilités le décret n°92-158 du 20 février 1992 engage-t’il ?...........p. 137
Qui peut consulter ce plan de prévention ?............................................................. p. 137
Que contient ce plan de prévention ?...................................................................... p. 137
Références juridiques.............................................................................................. p. 137

8.1.2 Annexes
Annexe I : exemples de situations de travail occasionnant
des interférences d’activités.....................................................................................p. 138-139
  $QQH[H,,DUUrWpGXPDUV¿[DQWHQDSSOLFDWLRQGHO¶DUWLFOH5
  GXFRGHGXWUDYDLOODOLVWHGHVWUDYDX[GDQJHUHX[SRXUOHVTXHOVLOHVWpWDEOL
un plan de prévention.............................................................................................. p. 140
  $QQH[H,,,DUUrWpGXMXLOOHW¿[DQWODOLVWHGHVWUDYDX[QpFHVVLWDQW
une surveillance médicale spéciale......................................................................... p. 141

8.1.3 Modèle de plan de prévention

................................................................................................................................ p. 142-144

8.2. Le protocole de sécurité pour les opérations de

chargement / déchargement

8.2.1 Méthodologie
Qu’est ce que le protocole de sécurité pour les opérations de
chargement / déchargement ?................................................................................. p. 145
Qui rédige le protocole de sécurité ?....................................................................... p. 145
Quand doit-on rédiger le protocole de sécurité ?.................................................... p. 145
Quelles en sont les dérogations ?........................................................................... p. 145
Qui peut consulter ce protocole de sécurité ?......................................................... p. 145
Que contient ce protocole de sécurité ?.................................................................. p. 145
Références juridiques.............................................................................................. p. 145

8.2.2 Modèle de protocole de sécurité pour les opérations de

chargement / déchargement............................................................................... p. 146-147

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 134
 8.3 La coordination SPS (Sécurité et Protection de la Santé)
8.3.1 Méthodologie
Qu’est ce que le contrat de coordination SPS ?..................................................... p. 148
Quand doit-on établir un contrat de coordination SPS ?......................................... p. 148
Quels sont les différents contrats de coordination SPS ?....................................... p. 148
Quels sont les acteurs liés aux contrats SPS ?....................................................... p. 148
Quels sont les documents liés aux contrats SPS ?................................................. p. 149
Références juridiques............................................................................................. p. 150

8.3.2 Annexes
Annexe I : contenu de la déclaration préalable........................................................p. 151
Annexe II : contenu du PPSPS................................................................................ p. 152

8.4. Le permis de feu

8.4.1 Méthodologie
Qu’est ce que le permis de feu ?............................................................................. p. 153
Qui rédige le permis de feu ?.................................................................................. p. 153
Quand doit-on rédiger un permis de feu ?............................................................... p. 153
Qui peut consulter le permis de feu ?..................................................................... p. 153
Que contient le permis de feu ?.............................................................................. p. 153
Références juridiques.............................................................................................. p. 153

8.4.2 Modèle de permis de feu

................................................................................................................................. p. 154

Page 135 ......... Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007
 ,QWURGXFWLRQ

6LGHQRPEUHX[WUDYDX[VRQWUpDOLVpVSDUOHVDJHQWVGHV &HV SUHVFULSWLRQV FRQFHUQHQW O¶DXWRULWp WHUULWRULDOH HW

FROOHFWLYLWpVWHUULWRULDOHVFHUWDLQVWUDYDX[GHPDLQWHQDQFH OHV FKHIV GH O¶RX GHVHQWUHSULVHV H[WpULHXUHV
RXQHXIVOHVRQWSDUGHVHQWUHSULVHVH[WpULHXUHV LQWHUYHQDQWHVGDQVODFROOHFWLYLWpWHUULWRULDOHRXO¶pWDEOLV
/HXULQWHUYHQWLRQGDQVXQHFROOHFWLYLWpWHUULWRULDOHRXGDQV VHPHQWSXEOLF
XQ pWDEOLVVHPHQW SXEOLF JpQpUDQW VRLW XQH LQWHUIpUHQFH /H VFKpPD VXLYDQW VHUYLUD j Gp¿QLU TXHOOHV GLVSRVLWLRQV
GHVDFWLYLWpVVRLWXQHFRDFWLYLWpHVWVRXPLVHjGHVSUHV OHVGHX[SDUWLHVGRLYHQWSUHQGUH
FULSWLRQVSDUWLFXOLqUHVHQPDWLqUHG¶K\JLqQHHWVpFXULWp
‡ SODQGHSUpYHQWLRQ
‡ SURWRFROHGHVpFXULWp
‡ FRRUGLQDWLRQ636
‡ SHUPLVGHIHX

,QWHUYHQWLRQG¶XQHRXSOXVLHXUVHQWUHSULVHVH[WpULHXUHVGDQVXQHFROOHFWLYLWp

WHUULWRULDOHRXXQpWDEOLVVHPHQWSXEOLF

7RXWHLQWHUYHQWLRQKRUVFRRUGLQDWLRQ636 &KDQWLHU©FORVHWLQGpSHQGDQWª

3ODQGHSUpYHQWLRQ &RRUGLQDWLRQVSV
'pFUHWQƒGXIpYULHU /RLQƒGXGpFHPEUH
FIFKDSLWUH FIFKDSLWUH
/H©SODQGHSUpYHQWLRQªGRLWREOLJDWRLUHPHQWrWUHpWDEOL
SDU pFULW GqV ORUV TXH O¶HQWUHSULVH H[WpULHXUH LQWHUYLHQW
SOXVGHKHXUHVSDUDQGDQVODFROOHFWLYLWpRXO¶pWD
EOLVVHPHQWRXVLHOOHHIIHFWXHGHVWUDYDX[GLWV©GDQJH ‡ &KDQWLHU FORV HW LQGpSHQGDQW VXU OHTXHO LQWHUYLHQ
UHX[ªDXVHQVGHO¶DUUrWpGXPDUVFIFKDSLWUH QHQWHQPrPHWHPSVDXPRLQVHQWUHSULVHV
DQQH[H,, ‡ &KDQWLHUFORVHWLQGpSHQGDQWRVHWURXYHQWjXQ
««««««««««««« PRPHQWTXHOFRQTXHDXPRLQVVDODULpVHWGRQW
3URWRFROHGHVpFXULWHSRXUOHVRSpUDWLRQV ODGXUpHHVWVXSpULHXUHjMRXUV
GHFKDUJHPHQWGpFKDUJHPHQW ‡ &KDQWLHUFORVHWLQGpSHQGDQWSRXUOHTXHOOHYROXPH
FIFKDSLWUH SUpYX GHV WUDYDX[ HVW VXSpULHXU j  KRPPHV
MRXUVQRPEUHG¶RXYULHUVPXOWLSOLpSDUOHQRPEUHGH
6L O¶HQWUHSULVH H[WpULHXUH HIIHFWXH GHV RSpUDWLRQV GH MRXUVGXFKDQWLHU
FKDUJHPHQW HWRX GpFKDUJHPHQW OH ©SURWRFROH GH Vp
FXULWpªDUUrWpGXDYULOUHPSODFHDORUVOH©SODQ
GHSUpYHQWLRQª

3HUPLVGHIHX
FIFKDSLWUH
/RUVTX¶XQHHQWUHSULVHH[WpULHXUHHIIHFWXHGHVWUDYDX[SDUSRLQWVFKDXGVVRXGDJHGpFRXSDJHDXFKDOXPHDXPHXODJH«XQSHU
PLVGHIHXGRLWrWUHpWDEOLHQWUHOHVGHX[SDUWLHVHWDQQH[pDXSODQGHSUpYHQWLRQRXFRPPXQLTXpDXFRRUGRQQDWHXU636

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 /HSODQGHSUpYHQWLRQ
0pWKRGRORJLH
4X¶HVWFHTXHOHSODQGHSUpYHQWLRQGHV
WLQpDX[HQWUHSULVHVH[WpULHXUHV"
&¶HVWXQGRFXPHQWGDQVOHTXHOVRQWQRWL¿pHVOHVPHVXUHV
&HVLQIRUPDWLRQVFRQFHUQHQWQRWDPPHQW
3RXUODFROOHFWLYLWpRXO¶pWDEOLVVHPHQWG¶DFFXHLO
‡ OHVFRQVLJQHVHWUqJOHVGHVpFXULWpjUHVSHFWHUGDQV
ODFROOHFWLYLWpRXO¶pWDEOLVVHPHQW
‡ O¶DQDO\VHGHVULVTXHVSRXYDQWUpVXOWHUGHO¶LQWHUIpUHQ
FHHQWUHOHVDFWLYLWpVOHVLQVWDOODWLRQVHWOHVPDWpULHOV
GHFRRUGLQDWLRQJpQpUDOHVSULVHVSRXUSUpYHQLUOHVULVTXHV
OLpVjO¶LQWHUIpUHQFHHQWUHOHVDFWLYLWpVG¶XQHHQWUHSULVHH[
WpULHXUH HW FHOOHV GH OD FROOHFWLYLWp RX GH O¶pWDEOLVVHPHQW
G¶DFFXHLO
4XLUpGLJHFHSODQGHSUpYHQWLRQ"
FIDQQH[H,GXFKDSLWUH
‡ ODOLVWHGHVORFDX[HWPDWpULHOVPLVjGLVSRVLWLRQGH
O¶HQWUHSULVHH[WpULHXUH
‡ ODOLVWHGHVGRFXPHQWVUHPLVHWFRPPHQWpVjO¶HQWUH
SULVHH[WpULHXUHOLYUHWG¶DFFXHLOUqJOHPHQWLQWpULHXU
SODQGXVLWHOLPLWHVGXVHFWHXUG¶LQWHUYHQWLRQSURFp
GXUHG¶pYDFXDWLRQ
,O LQFRPEH j O¶DXWRULWp WHUULWRULDOH GH OD FROOHFWLYLWp RX GH
O¶pWDEOLVVHPHQW HQ VD TXDOLWp GH PDvWUH G¶RXYUDJH GH
‡ ODOLVWHGHVFRQVLJQHVJpQpUDOHVGHFKDQWLHUSURWHF
WLRQVFROOHFWLYHV(3,
UHPSOLUFHGRFXPHQWHQFRQFHUWDWLRQDYHFOHFKHIGHO¶HQ
WUHSULVHH[WpULHXUH
‡ ODOLVWHGHVREOLJDWLRQVSUpDODEOHVDXGpPDUUDJHGHV
WUDYDX[SHUPLVGHIHXFRXSXUHGHVUpVHDX[XWLOLVD
/¶pWDEOLVVHPHQW G¶XQ SODQ GH SUpYHQWLRQ QpFHVVLWH REOL
JDWRLUHPHQWTX¶XQHLQVSHFWLRQSUpDODEOHV¶HIIHFWXHHQWUH
O¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGHODFROOHFWLYLWpRXGHO¶pWDEOLVVHPHQW
XWLOLVDWHXUHWOHFKHIGHO¶HQWUHSULVHH[WpULHXUH
/HV&73&+6RX&+6&7DXURQWODSRVVLELOLWpV¶LOVO¶HVWL
PHQWQpFHVVDLUHG¶DVVLVWHUjFHWWHLQVSHFWLRQ
4XDQGGRLWRQUpGLJHUFHSODQGHSUpYHQ
WLRQ"
WLRQGHSURGXLWVGDQJHUHX[
3RXUO¶HQWUHSULVHH[WpULHXUH
‡ /DGDWHG¶DUULYpHODGXUpHSUpYLVLEOHGHVWUDYDX[OH
QRPEUHSUpYLVLEOHGHVDODULpVDIIHFWpVOHQRPHWUp
IpUHQFHVGHVVRXVWUDLWDQWV
‡ /¶DQDO\VH GHV ULVTXHV SRXYDQW UpVXOWHU GH O¶LQWHU
IpUHQFH HQWUH OHV DFWLYLWpV OHV LQVWDOODWLRQV HW OHV
PDWpULHOV OHV PRGHV RSpUDWRLUHV GH O¶HQWUHSULVH HW
OHVFDUDFWpULVWLTXHVGXVLWHFIDQQH[H,GXFKDSLWUH
&HSODQGHSUpYHQWLRQHVWREOLJDWRLUHPHQWpWDEOLSDUpFULW 
SRXU WRXV OHV WUDYDX[ ¿JXUDQW VXU OD OLVWH GHV © WUDYDX[
GDQJHUHX[ªDXVHQVGHO¶DUUrWpGXPDUVFIDQ
QH[H,,GXFKDSLWUH 5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
,O HVW pJDOHPHQW REOLJDWRLUH GqV ORUV TXH OD GXUpH GHV ‡ $UWLFOHGXGpFUHWQƒGXMXLQPR
RSpUDWLRQV j HIIHFWXHU SDU O¶HQWUHSULVH H[WpULHXUH HVW VX GL¿p UHODWLI j O¶K\JLqQH HW j OD VpFXULWp DLQVL TX¶j
SpULHXUHRXpJDOHjKHXUHVSDUDQTXHOHVWUDYDX[ ODPpGHFLQHSURIHVVLRQQHOOHHWSUpYHQWLYHGDQVOD
VRLHQWFRQWLQXVRXGLVFRQWLQXVVXUXQHDQQpH
4XHOOHV UHVSRQVDELOLWpV OH GpFUHW Qƒ
GXIpYULHUHQJDJHWLO"
/H PDvWUH G¶RXYUDJH HVW UHVSRQVDEOH GH OD FRRUGLQDWLRQ
JpQpUDOH GH OD VpFXULWp GHV WUDYDX[ HW GHV PHVXUHV GH
SUpYHQWLRQSULVHVSDUFKDFXQHGHVSDUWLHV
2UGDQVOHVFROOHFWLYLWpVWHUULWRULDOHVO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
HVWOHPDvWUHGHO¶RXYUDJHODUHVSRQVDELOLWpGHODFRRUGL
QDWLRQGHVpFXULWpLQFRPEHGRQFjO¶DXWRULWpWHUULWRULDOH
'H SOXV OH FKHI G¶HQWUHSULVH H[WpULHXUH HVW UHVSRQVDEOH
GHO¶DSSOLFDWLRQGHVPHVXUHVGHSUpYHQWLRQQpFHVVDLUHVj
ODSURWHFWLRQGHVRQSHUVRQQHO
IRQFWLRQSXEOLTXHWHUULWRULDOH
‡ 'pFUHWQƒGXIpYULHULQWpJUpDX[
DUWLFOHV 5 j 5 GX FRGH GX WUDYDLO
UHODWLI DX[ SUHVFULSWLRQV SDUWLFXOLqUHV G¶K\JLqQH
HW GH VpFXULWp DSSOLFDEOHV DX[ WUDYDX[ HIIHFWXpV
GDQV XQ pWDEOLVVHPHQW SDU XQH HQWUHSULVH H[Wp
ULHXUH
$QQH[HV
‡ $QQH[H ,  H[HPSOHV GH VLWXDWLRQV GH WUDYDLO RFFD
VLRQQDQW GHV LQWHUIpUHQFHV G¶DFWLYLWpV OLVWH QRQ H[
KDXVWLYH
‡ $QQH[H,,DUUrWpGXPDUV¿[DQWHQDSSOL
4XLSHXWFRQVXOWHUFHSODQGHSUpYHQWLRQ" FDWLRQGHO¶DUWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLOODOLVWH
8QH IRLV OH SODQ GH SUpYHQWLRQ UpGLJp OHV GHX[ SDUWLHV GHVWUDYDX[GDQJHUHX[SRXUOHVTXHOVLOHVWpWDEOLXQ
GHYURQWLQIRUPHUOHXUVDJHQWVGHVGLVSRVLWLRQVjSUHQGUH SODQGHSUpYHQWLRQ-2GXPDUV
SRXUODUpDOLVDWLRQGHO¶RSpUDWLRQ
‡ $QQH[H ,,,  DUUrWp GX  MXLOOHW  ¿[DQW OD OLVWH
(QVXLWHOHSODQGHSUpYHQWLRQGRLWUHVWHUjGLVSRVLWLRQGH GHV WUDYDX[ QpFHVVLWDQW XQH VXUYHLOODQFH PpGLFDOH
O¶DXWRULWpWHUULWRULDOHGXFKHIGHO¶HQWUHSULVHH[WpULHXUHGH VSpFLDOH-2GXMXLOOHW
O¶LQVSHFWLRQGXWUDYDLOGHVDJHQWVGHV&5$0GXPpGHFLQ
GXWUDYDLOHWGHO¶$&),
,OSHXWpJDOHPHQWrWUHUHPLVVXUGHPDQGHDX[PHPEUHV
GHVFRPLWpVFRPSpWHQWV&73&+6RX&+6&7
0RGqOH GH SODQ GH
SUpYHQWLRQ
4XHFRQWLHQWFHSODQGHSUpYHQWLRQ"
/HSODQGHSUpYHQWLRQFRPSUHQGWRXWHVOHVLQGLFDWLRQVHW 9RLUSDJHVVXLYDQWHV
LQIRUPDWLRQVXWLOHVHQPDWLqUHGHSUpYHQWLRQSRXUO¶LQWHU
YHQWLRQG¶XQHHQWUHSULVHH[WpULHXUHGDQVODFROOHFWLYLWpRX
O¶pWDEOLVVHPHQWFRQFHUQp

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
$QQH[H,

([HPSOHVGHVLWXDWLRQVGHWUDYDLO
RFFDVLRQQDQWGHVLQWHUIpUHQFHVG¶DFWLYLWpV
OLVWHQRQH[KDXVWLYH

5LVTXHVG¶LQWHUIpUHQFHV 0HVXUHVGHSUpYHQWLRQSRXYDQWrWUH
2EVHUYDWLRQV
OLpVjODFRDFWLYLWp HQYLVDJpHV
‡ ,QIRUPHUOHSHUVRQQHOGHVULVTXHVG¶LQWHUIpUHQFH
‡ ‡ 'HPDQGH G¶DXWRULVDWLRQ SUpDODEOH DXSUqV GHV
%DOLVHUOD]RQHUpVHUYpHjO¶HQWUHSULVHH[WpULHXUH
VHUYLFHVFRPSpWHQWVVLWUDYDX[VXUODYRLHSX
‡ 6LJQDOHUOHVORFDX[jULVTXHVSpFL¿TXH
&LUFXODWLRQ'pSODFHPHQW EOLTXH
‡ 6LJQDOHUOHVGpQLYHOODWLRQV5DQJHUHWQHWWR\HUOHVOLHX[HQFRP
‡ 9HLOOHUDXSRUWGHV(3,QpFHVVDLUHVVLLQWHUYHQ
EUpV
WLRQVXUODYRLHSXEOLTXH
‡ )RXUQLUXQSODQGXVLWH
‡ 6LJQDOHUOD]RQHG¶LQWHUYHQWLRQ
‡ ,QWHUGLUHO¶DFFqVjOD]RQHG¶pYROXWLRQGHVHQJLQV ‡ 'HPDQGH G¶DXWRULVDWLRQ SUpDODEOH DXSUqV GHV
‡ 3ODQL¿HUODFLUFXODWLRQGHVHQJLQVORUVGHVSODJHVKRUDLUHVFUHX VHUYLFHV FRPSpWHQWV VL WUDYDX[ VXU OD YRLH SX
&LUFXODWLRQG¶HQJLQV VHV EOLTXH
8WLOLVDWLRQGHPDWpULHOVHPSLp
WDQWVXUOHVRO
‡ 1RWL¿HUOHVLQVWUXFWLRQVGHFKDQWLHUDX[FRQGXFWHXUV5HV ‡ /HFRQGXFWHXUGRLWrWUHWLWXODLUHG¶XQHDXWRULVD
SHFWHUOHSODQGHFLUFXODWLRQpWDEOL WLRQGHFRQGXLWH
‡ 6\VWpPDWLVHUOHJXLGDJHGHO¶DYDQWORUVGHVPDQ°XYUHV
‡ %DOLVHUOD]RQHGHWHOOHIDoRQTX¶HOOHVRLWYLVLEOHGHMRXUFRPPH
GHQXLW
‡ 9pUL¿HUODFRQIRUPLWpGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO /H GpPRQWDJH GHV VWUXFWXUHV V¶HIIHFWXH WRXMRXUV
‡ ,QWHUGLUHO¶DFFqVjOD]RQH GDQVO¶RUGUHLQYHUVHGXPRQWDJH
‡ 3ODFHUGHV¿OHWVGHSURWHFWLRQORUVTXHFHX[FLVXUSORPEHQWXQH
YRLHGHFLUFXODWLRQ

‡ 9HLOOHUDX[RSpUDWLRQVGHPDQXWHQWLRQVOHYDJHpODJDJHORUV

0DQXWHQWLRQPpFDQLVpH TXHFHOOHVFLV¶HIIHFWXHQWjSUR[LPLWpGHOLJQHVpOHFWULTXHV
‡ 5HVSHFWHUOHVSpULPqWUHVGHVpFXULWpDXWRXUGHO¶HQJLQ

8WLOLVDWLRQGHPDFKLQHVRXWLOVHW ‡ 9HLOOHUjODFRQIRUPLWpGHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLO
‡ 3RUWHU OHV (3, DGDSWpV pFUDQV GH SURWHFWLRQ OXQHWWHV JDQWV
G¶RXWLOODJHVSRUWDWLIV YrWHPHQWVHWF

7UDYDX[JpQpUDQWGHVQXLVDQFHV ‡ 3RUWHUOHV(3,DGDSWpV /HVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLOGRLYHQWpPHWWUHXQQL

‡ &RPPXQLTXHUDXSUqVGHVDXWUHVWUDYDLOOHXUVSRXUTX¶LOVVHSUR YHDXGHSUHVVLRQDFRXVWLTXHOHSOXVEDVSRVVLEOH
VRQRUHV WqJHQWpJDOHPHQW WHFKQLTXHPHQW

(PSORLGHSURGXLWVFKLPLTXHV
‡ )RXUQLUOHV¿FKHVGHGRQQpHVGHVpFXULWp
‡ ,QWHUGLUHGHIXPHUORUVGHVPDQLSXODWLRQV
‡ /HVVWRFNHUVHORQOHVGLVSRVLWLRQVUpJOHPHQWDLUHV
‡ (WXGLHUOHVSRVVLELOLWpVG¶DpUDWLRQHWGHYHQWLODWLRQ
‡ 3RUWHUOHV(3,DGDSWpV

)DLEOHKDXWHXUjP
‡ (WXGLHUODSRVVLELOLWpGHWUDYDLOOHUGHSXLVOHVRO ‡ &RQIRUPLWp DX[ QRUPHV (1  HW (1 
‡ %DOLVDJHGHOD]RQHG¶LQWHUYHQWLRQ HVFDEHDXSODWHIRUPHLQGLYLGXHOOHLQWpJUDQWXQ
‡ 8WLOLVHUXQPR\HQG¶pOpYDWLRQDGDSWpPDUFKHSLHGHVFDEHDX JDUGHFRUSV
0R\HQQHKDXWHXUMXVTX¶jP
‡ %DOLVDJHGHOD]RQHG¶LQWHUYHQWLRQ ‡ /HFRQGXFWHXUGRLWrWUHWLWXODLUHG¶XQHDXWRULVD
7UDYDX[HQKDXWHXU ‡ 8WLOLVHU XQ PR\HQ G¶pOpYDWLRQ DGDSWp HVFDEHDX SODWHIRUPH WLRQGHFRQGXLWHQDFHOOH
LQGLYLGXHOOHLQWpJUDQWXQJDUGHFRUSV
*UDQGHKDXWHXUSOXVGHP ‡ 9HLOOHUDX[YpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHV
‡ %DOLVDJHGHOD]RQHG¶LQWHUYHQWLRQ
‡ &KRLVLU HW PHWWUH HQ °XYUH GHV pTXLSHPHQWV DGDSWpV pFKD ‡ 9HLOOHUDXSRUWGHV(3,jOHXUYpUL¿FDWLRQHWjOD
IRUPDWLRQGHVLQWHUYHQDQWV
IDXGDJHQDFHOOH
‡ 3RUWHUOHV(3,KDUQDLVGHVpFXULWpFDVTXH
‡ $FFpGHUHQWRLWXUHSDUGHVPR\HQVDGDSWpVpFKHOOHjFULQROLQH
pFKDIDXGDJH
‡ 5HFHQVHUOHVPDWpULDX[IUDJLOHV
‡ 'UHVVHUXQSODQGHFLUFXODWLRQVXUOHWRLW
7UDYDX[HQWRLWXUH ‡ 0HWWUH HQ °XYUH GHV SURWHFWLRQV HQ SULYLOpJLDQW OHV PHVXUHV
FROOHFWLYHVJDUGHFRUSV¿OHWOLJQHGHYLH«DX[PHVXUHVLQ
GLYLGXHOOHV
‡ 3RUWHUOHV(3,KDUQDLVGHVpFXULWpV\VWqPHG¶DUUrWDQWLFKXWH
‡ 9HLOOHUDX[YpUL¿FDWLRQVSpULRGLTXHV
‡ %DOLVHUOD]RQHGHWHOOHIDoRQTX¶HOOHVRLWYLVLEOHGHMRXUFRPPH
GHQXLW
‡ 9LVXDOLVHUVXUSODQHWUpFXSpUHUVXUVLWHOHVUpVHDX[GLYHUVHDX
7UDYDX[HQWUDQFKpHHQIRVVH
JD]pOHFWULFLWp
‡ $VVXUHUODVWDELOLWpGHODWUDQFKpH
‡ 3RUWHUOHV(3,

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 5LVTXHVG¶LQWHUIpUHQFHV 0HVXUHVGHSUpYHQWLRQSRXYDQWrWUH
2EVHUYDWLRQV
OLpVjODFRDFWLYLWp HQYLVDJpHV
‡ 6¶DVVXUHUGHODVWDELOLWpGHODJDOHULH 8QHVHFRQGHSHUVRQQHGRLWREOLJDWRLUHPHQWUHVWHU
7UDYDX[VRXWHUUDLQV
,QWHUYHQWLRQjSUR[LPLWpGHV
UpVHDX[pOHFWULTXHV
,QWHUYHQWLRQGHUDFFRUGHPHQWj
XQHDUPRLUHpOHFWULTXH
$PELDQFHVSK\VLTXHVpFODL
UDJHIURLGFKDOHXUSRXVVLqUHV
‡ 6¶DVVXUHUTXHO¶DWPRVSKqUHQ¶\HVWSDVYLFLpHJD]
‡ 6¶DVVXUHUGHODVWDELOLWpGHODWUDQFKpH3RUWHUOHV(3, HQVXUIDFH
‡ &RQVLJQHUO¶LQVWDOODWLRQ
‡ 5HVSHFWHUOHVGLVWDQFHVUpJOHPHQWDLUHVGHVpFXULWp ‡ $WWHVWDWLRQGHPLVHKRUVWHQVLRQGHO¶LQVWDOODWLRQ
jGHPDQGHUDXSUqVGHO¶H[SORLWDQW
jYROWVÎP
‡ 9HLOOHUjO¶KDELOLWDWLRQGHVLQWHUYHQDQWV
!RX YROWVÎP
‡ 9pUL¿HUODFRPSDWLELOLWpHQWUHOHVSXLVVDQFHVGHPDQGpHVHWOHV /D SHUVRQQH UpDOLVDQW FHV RSpUDWLRQV HVW REOLJD
SXLVVDQFHVGLVSRQLEOHV
WRLUHPHQWWLWXODLUHGXQLYHDXG¶KDELOLWDWLRQ©pOHFWUL
‡ 9pUL¿HUODFRPSDWLELOLWpGHVUDFFRUGHPHQWV
‡ ,QVWDOOHUGHVGLVMRQFWHXUVGLIIpUHQWLHOV FLHQEDVVHWHQVLRQª
‡ 0HWWUHHQ°XYUHGHVPR\HQVGHSURWHFWLRQFROOHFWLYHHWRXGHV
PR\HQV GH SURWHFWLRQ LQGLYLGXHOOH YrWHPHQWV DGDSWpV PDV
EUXLW TXHVjSRXVVLqUHVSURWHFWLRQVDXGLWLYHV

‡ (WDEOLUXQHpYDOXDWLRQGHVULVTXHV
2SpUDWHXU
'XUpHHWOLHX ‡ /DSHUVRQQHGRLWrWUHIRUPpHDX[WHFKQLTXHVGH
5HFHQVHPHQW GHV PDWpULDX[ FRPEXVWLEOHV RX LQÀDP VRXGDJH
6RXGDJH0HXODJH PDEOHVjSUR[LPLWp
0R\HQGHOXWWHLQFHQGLHjSUR[LPLWp ‡ /¶pYDOXDWLRQ GHV ULVTXHV SHXW rWUH IRUPDOLVpH
‡ 5DSSHOHUO¶LQWHUGLFWLRQGHIXPHU GDQVXQHSURFpGXUHGHSHUPLVGHIHX
‡ 3RUWHUOHV(3,DGDSWpVpFUDQGHSURWHFWLRQOXQHWWHVPDVTXH
GHVRXGHXUWDEOLHUGHFXLUJDQWV

‡ %DOLVHUOD]RQHG¶LQWHUYHQWLRQHWHQLQWHUGLUHO¶DFFqV
‡ 5HFXHLOOLUOHVLQIRUPDWLRQVVXUODSUpVHQFHSRWHQWLHOOHG¶DPLDQWH
HWVXUODQDWXUHGXPDWpULDX
‡ (WDEOLU XQ PRGH RSpUDWRLUH YLVDQW j OLPLWHU OD GLVSHUVLRQ GHV
¿EUHV ‡ 7HQLUOHVUpVXOWDWVGHO¶pYDOXDWLRQGHVULVTXHVj
,VRODWLRQGHOD]RQHGHWUDYDLORXWLOVGHWUDYDLOjEDVVH GLVSRVLWLRQ
7UDYDX[H[SRVDQWjO¶DPLDQWH YLWHVVH
+XPLGL¿FDWLRQGXPDWpULDX ‡ )RXUQLU OH 'RVVLHU 7HFKQLTXH $PLDQWH FRQIRU
&DSWDWLRQGHVSRXVVLqUHV PpPHQWjODUpJOHPHQWDWLRQ
‡ 0HWWUHHQ°XYUHGHVPR\HQVGHSURWHFWLRQLQGLYLGXHOOHFRPEL
QDLVRQDSSDUHLOUHVSLUDWRLUHj¿OWUH3
‡ (YDFXHUOHVGpFKHWVVHORQODUpJOHPHQWDWLRQHQYLJXHXU¿OLqUH
GHWUDLWHPHQWVSpFL¿TXH

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
$QQH[H,,

$UUrWpGXPDUV¿[DQWHQDSSOLFDWLRQGHO¶DUWLFOH
5GX&RGHGXWUDYDLOODOLVWHGHVWUDYDX[GDQJHUHX[
SRXUOHVTXHOVLOHVWpWDEOLXQSODQGHSUpYHQWLRQ
-2GXPDUV

‡ 7UDYDX[H[SRVDQWjGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWV
‡ 7UDYDX[ H[SRVDQW j GHV VXEVWDQFHV HW GHV SUpSDUDWLRQV H[SORVLYHV FRPEXUDQWHV H[WUrPHPHQW LQÀDPPDEOHV WUqV
WR[LTXHVWR[LTXHVQRFLYHVFDQFpURJqQHVPXWDJqQHVWR[LTXHVYLVjYLVGHODUHSURGXFWLRQDXVHQVGHVDUWLFOHV5
GXFRGHGXWUDYDLO
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWjGHVDJHQWVELRORJLTXHVSDWKRJqQHV
‡ 7UDYDX[HIIHFWXpVVXUXQHLQVWDOODWLRQFODVVpHIDLVDQWO¶REMHWG¶XQSODQG¶RSpUDWLRQLQWHUQHHQDSSOLFDWLRQGHO¶DUWLFOH
GXGpFUHWQƒGXGpFHPEUHPRGL¿p
‡ 7UDYDX[GHPDLQWHQDQFHVXUOHVpTXLSHPHQWVGHWUDYDLODXWUHVTXHOHVDSSDUHLOVHWDFFHVVRLUHVGHOHYDJHTXLGRLYHQW
IDLUH O¶REMHW GHV YpUL¿FDWLRQV SpULRGLTXHV SUpYXHV j O¶DUWLFOH 5  GX FRGH GX WUDYDLO DLQVL TXH OHV pTXLSHPHQWV
VXLYDQWV
YpKLFXOHVjEHQQHEDVFXODQWHRXFDELQHEDVFXODQWH
PDFKLQHjF\OLQGUH
PDFKLQHSUpVHQWDQWOHVULVTXHVGp¿QLVDXqPHHWqPHDOLQpDVGHO¶DUWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLO
‡ 7UDYDX[GHWUDQVIRUPDWLRQDXVHQVGHODQRUPH1)3VXUOHVDVFHQVHXUVPRQWHFKDUJHHVFDOLHUVPpFDQLTXHV
WURWWRLUVURXODQWVHWLQVWDOODWLRQVGHSDUFDJHDXWRPDWLTXHGHYRLWXUHV
‡ 7UDYDX[GHPDLQWHQDQFHVXUOHVLQVWDOODWLRQVjWUqVKDXWHRXWUqVEDVVHWHPSpUDWXUH
‡ 7UDYDX[FRPSRUWDQWOHUHFRXUVjGHVSRQWVURXODQWVRXGHVJUXHVRXWUDQVVWRFNHXUV
‡ 7UDYDX[FRPSRUWDQWOHUHFRXUVDX[WUHXLOVHWDSSDUHLOVDVVLPLOpVPXVjODPDLQLQVWDOOpVWHPSRUDLUHPHQWDXGHVVXV
G¶XQH]RQHGHWUDYDLORXGHFLUFXODWLRQ
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWDXFRQWDFWDYHFGHVSLqFHVQXHVVRXVWHQVLRQVXSpULHXUHjOD7%7
‡ 7UDYDX[QpFHVVLWDQWO¶XWLOLVDWLRQG¶pTXLSHPHQWVGHWUDYDLODX[TXHOVHVWDSSOLFDEOHO¶DUWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLO
‡ 7UDYDX[GXEkWLPHQWHWWUDYDX[H[SRVDQWOHVWUDYDLOOHXUVjGHVULVTXHVGHFKXWHGHKDXWHXUGHSOXVGHPqWUHVDXVHQV
GHO¶DUWLFOHGXGpFUHWQƒGXMDQYLHU
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWjXQQLYHDXG¶H[SRVLWLRQVRQRUHTXRWLGLHQQHVXSpULHXUHjG%RXjXQQLYHDXGHSUHVVLRQDFRXV
WLTXHGHFUrWHVXSpULHXUHjG%$
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWjULVTXHGHQR\DGH
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWjULVTXHG¶HQVHYHOLVVHPHQW
‡ 7UDYDX[GHPRQWDJHGpPRQWDJHG¶pOpPHQWVSUpIDEULTXpVORXUGVYLVpVjO¶DUWLFOHGXGpFUHWQƒGXMDQYLHU

‡ 7UDYDX[GHGpPROLWLRQ
‡ 7UDYDX[GDQVRXVXUGHVFXYHVHWDFFXPXODWHXUVGHPDWLqUHRXHQDWPRVSKqUHFRQ¿QpH
‡ 7UDYDX[HQPLOLHXK\SHUEDUH
‡ 7UDYDX[QpFHVVLWDQWO¶XWLOLVDWLRQG¶XQDSSDUHLOjODVHUVXSpULHXUHjODFODVVH$VHORQODQRUPH1)
‡ 7UDYDX[GHVRXGDJHR[\DFpWK\OpQLTXHH[LJHDQWOHUHFRXUVjXQSHUPLVGHIHX
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWjO¶LQKDODWLRQGHVSRXVVLqUHVG¶DPLDQWH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
$QQH[H,,,

$UUrWpGXMXLOOHW¿[DQWODOLVWHGHVWUDYDX[
QpFHVVLWDQWXQHVXUYHLOODQFHPpGLFDOHVSpFLDOH
-2GXMXLOOHW

/HV WUDYDX[ FRPSRUWDQW OD SUpSDUDWLRQ ‡ 7UDYDX[ H[SRVDQW DX[ SRXVVLqUHV GH VLOLFH G¶DPLDQWH HW
DUGRLVHjO¶H[FOXVLRQGHVPLQHVPLQLqUHVHWFDUULqUHV
O¶HPSORL OD PDQLSXODWLRQ RX O¶H[SRVLWLRQ
‡ 7UDYDX[GHSRO\PpULVDWLRQGXFKORUXUHGHYLQ\OH
DX[DJHQWVVXLYDQWV ‡ 7UDYDX[H[SRVDQWDXFDGPLXPHWFRPSRVpV
‡ )OXRUHWVHVFRPSRVpV
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWDX[SRXVVLqUHVGHIHU
‡ &KORUH
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWDX[VXEVWDQFHVKRUPRQDOHV
‡ %URPH
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWDX[SRXVVLqUHVGHPpWDX[GXUVWDQWDOH
‡ ,RGH
WLWDQHWXQJVWqQHHWYDQDGLXP
‡ 3KRVSKRUHHWFRPSRVpVQRWDPPHQWOHVHVWHUVSKRVSKRUL
‡ 7UDYDX[H[SRVDQWDX[SRXVVLqUHVGHERLV
TXHVS\URSKRVSKRULTXHVWULRSKRVSKRULTXHVDLQVLTXHOHV
‡ 7UDYDX[HQpTXLSHVDOWHUQDQFHVHIIHFWXpHVGHQXLWHQWRXW
DXWUHVFRPSRVpVRUJDQLTXHVGXSKRVSKRUH
RXHQSDUWLH
‡ $UVHQLFHWVHVFRPSRVpV
‡ 7UDYDX[G¶RSpUDWHXUVXUVWDQGDUGWpOpSKRQLTXHVXUPDFKL
‡ 2[\FKORUXUHGHFDUERQH
QHV PpFDQRJUDSKLTXHV VXU SHUIRUDWULFHV VXU WHUPLQDO j
‡ $FLGHFKURPLTXHFKURPDWHVELFKURPDWHVDOFDOLQVjO¶H[
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ODVDQWpGHWRXWHVOHVSHUVRQQHVTXLLQWHUYLHQQHQWVXUXQ
FKDQWLHUGHEkWLPHQWRXGHJpQLHFLYLOHQPHWWDQWHQ°X
YUHOHVSULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQ
4XDQGGRLWRQpWDEOLUXQFRQWUDWGHFRRU
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3RXUFHODOHPDvWUHG¶RXYUDJHGRLWQRPPHUXQFRRUGRQ
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&HOXLFLGRLWrWUHFKRLVLHQIRQFWLRQGHVHVFRPSpWHQFHVHW
GHO¶RXYUDJHjUpDOLVHUGqVODFRQFHSWLRQGHFHWRXYUDJH
/HFRRUGRQQDWHXU636HWOHPDvWUHG¶RXYUDJHVRQWOLpVSDU
XQ FRQWUDW TXL Gp¿QLW OD PLVVLRQ GX FRRUGRQQDWHXU DLQVL
TXHOHVPR\HQVGRQWLOGLVSRVH
6DQWpGDQVOHVFDVVXLYDQWV
‡ SRXUOHVFKDQWLHUVVXUOHVTXHOVLO\DDXPRLQVHQ
WUHSULVHV 1%3RXUOHVRSpUDWLRQVHQWUHSULVHVSDUOHVFRPPXQHVRX
RX JURXSHPHQW GH FRPPXQHV GH PRLQV GH  KDELWDQWV
‡ SRXU OHV FKDQWLHUV R O¶RQ GpQRPEUH j XQ PRPHQW OHPDvWUHG¶°XYUHSHXWVHYRLUFRQ¿HUVXUGpOpJDWLRQGX
TXHOFRQTXH DX PRLQV  VDODULpV HW GRQW OD GXUpH PDvWUHG¶RXYUDJHO¶DSSOLFDWLRQGHVREOLJDWLRQVUHODWLYHVj
HVWVXSpULHXUHjMRXUV ODFRRUGLQDWLRQ

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/HVFRQWUDWVGHFRRUGLQDWLRQ636VHUpSDUWLVVHQWHQQLYHDX[HQIRQFWLRQGHO¶LPSRUWDQFHGXFKDQWLHU

'HJUpVGH
&DWpJRULHVGHFKDQWLHUV 2EOLJDWLRQVVSpFL¿TXHV
&RRUGLQDWLRQ
'pVLJQDWLRQG¶XQFRRUGRQQDWHXUQLYHDX
&KDQWLHUGHFDWpJRULH ‡ 7HQLUXQUHJLVWUHMRXUQDO(WDEOLUXQ',82'RVVLHU
‡ 9ROXPHGHWUDYDX[VXSpULHXUj G¶,QWHUYHQWLRQ8OWpULHXUHjO¶2XYUDJH
KRPPHVMRXUVHW ‡ )DLUHXQHGpFODUDWLRQSUpDODEOH
&RRUGLQDWLRQGH ‰3OXVGHHQWUHSULVHVHQWUDYDX[GH ‡ 3UpYRLU XQ 33636 3ODQ 3DUWLFXOLHU GH 6pFXULWp HW
QLYHDX EkWLPHQW 3URWHFWLRQGHOD6DQWp
28 ‡ 5pGLJHUXQ3*&6363ODQ*pQpUDOGH&RRUGLQDWLRQ
‰ 3OXVGHHQWUHSULVHVHQWUDYDX[SX 636
EOLFV ‡ &UpHUXQ&,66&7&ROOqJH,QWHUHQWUHSULVHVGH6pFX
ULWpGH6DQWpHWGHV&RQGLWLRQVGH7UDYDLO
&KDQWLHU GH FDWpJRULH  DYHF RX VDQV ULVTXHV 'pVLJQDWLRQG¶XQFRRUGRQQDWHXUQLYHDXRX
SDUWLFXOLHUV ‡ 7HQLUXQUHJLVWUHMRXUQDO
&RRUGLQDWLRQGH ‡ 3OXVGHWUDYDLOOHXUVjXQPRPHQWTXHOFRQTXH ‡ (WDEOLUXQH',82
QLYHDX HWGXUpHGHVWUDYDX[VXSpULHXUHjMRXUV ‡ )DLUHXQHGpFODUDWLRQSUpDODEOH
‡ 9ROXPHGHVWUDYDX[VXSpULHXUjKRPPHV ‡ 3UpYRLUXQ33636
MRXUV ‡ 5pGLJHUXQ3*&636
'pVLJQDWLRQG¶XQFRRUGRQQDWHXUQLYHDXRX
&KDQWLHUGHFDWpJRULH ‡ 7HQLUXQUHJLVWUHMRXUQDO
‡ 3OXVGHHQWUHSULVHVDYHFULVTXHVSDUWLFXOLHUV ‡ (WDEOLUXQ',82
&RRUGLQDWLRQGH VHORQO¶DUUrWpGXIpYULHU ‡ (WDEOLU XQ 3*6& 3ODQ *pQpUDO 6LPSOL¿p GH &RRU
QLYHDX GLQDWLRQ
&KDQWLHUGHFDWpJRULH 'pVLJQDWLRQG¶XQFRRUGRQQDWHXUQLYHDXRX
‡ 3OXV GH  HQWUHSULVHV VDQV ULVTXHV SDUWLFX ‡ 7HQLUXQUHJLVWUHMRXUQDO
OLHUV ‡ (WDEOLUXQ',82

4XHOVVRQWOHVDFWHXUVOLpVDX[FRQWUDWV636" TXL D HQ FKDUJH HQWUH DXWUHV pOpPHQWV GH VD PLVVLRQ
GH FRQVWLWXHU OH ',82 'RVVLHU ,QWHUYHQWLRQ 8OWpULHXUH j
/HPDvWUHG¶RXYUDJH
$XVHQVGXGURLWDGPLQLVWUDWLILOUHFRXYUHGHX[FRQFHSWV
©OHPDvWUHGHO¶RXYUDJHªHWFHOXLGH©UHVSRQVDEOHGHPDU
FKpª$LQVLO¶DXWRULWpWHUULWRULDOHVHUDLGHQWL¿pHFRPPHOH
PDvWUHG¶RXYUDJH
,OQRPPHGqVODFRQFHSWLRQXQFRRUGRQQDWHXUVpFXULWp
HQIRQFWLRQGHVFULWqUHVGp¿QLVGDQVOHWDEOHDXFLGHVVXV
O¶2XYUDJH
&H GRVVLHU UHVWH QpDQPRLQV VRXV OD UHVSRQVDELOLWp GX
PDvWUHG¶RXYUDJH
/HFRRUGRQQDWHXU
3HUVRQQHGpVLJQpHSDUOHPDvWUHG¶RXYUDJHSRXUDVVXUHU
ODFRRUGLQDWLRQHQPDWLqUHGHVpFXULWpHWGHSURWHFWLRQGH

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
 ODVDQWpGHVWUDYDLOOHXUVVXUXQFKDQWLHUGHEkWLPHQWVRXGHJpQLH (OOHGRLWREOLJDWRLUHPHQWrWUHDI¿FKpHVXUOHFKDQWLHUFIDQQH[H,
FLYLO GXFKDSLWUH
(QSKDVHGHFRQFHSWLRQOHFRRUGRQQDWHXUHVWGpVLJQpGqVOHGp
/HUHJLVWUHMRXUQDO
EXWGHODSKDVHG¶pODERUDWLRQGHO¶$36$YDQW3URMHW6RPPDLUHGH
,OUHTXLHUWWRXWHVOHVLQIRUPDWLRQVFRQFHUQDQWODVpFXULWpHWO¶K\JLqQH
PDvWULVH G¶°XYUH ,O pODERUH OH 3*& 3ODQ *pQpUDO GH &RRUGLQD
GXFKDQWLHU,OHVWWHQXSDUOHFRRUGRQQDWHXU636HQSKDVHGHFRQ
WLRQRXYUHOHUHJLVWUHMRXUQDOHWpODERUHFRQMRLQWHPHQWDXPDvWUH
FHSWLRQHWGHUpDOLVDWLRQ
G¶°XYUHOH',82
2Q\WURXYHDLQVL
(Q SKDVH GH UpDOLVDWLRQ LO V¶DVVXUH XQH RUJDQLVDWLRQ HQ PDWLqUH
‡ /HVFRPSWHVUHQGXVGHVLQVSHFWLRQVFRPPXQHV
G¶K\JLqQHHWGHVpFXULWpORUVGHO¶LQWHUYHQWLRQGHVGLIIpUHQWHVHQWUH
‡ /HV REVHUYDWLRQV RX QRWL¿FDWLRQV MXJpHV QpFHVVDLUHV j IDLUH
SULVHVVXUXQFKDQWLHU
DXPDvWUHG¶RXYUDJHPDvWUHG¶°XYUHRXjWRXVDXWUHVLQWHUYH
$O¶LVVXHGXFKDQWLHULOWUDQVPHWOH',82DXPDvWUHG¶RXYUDJHSDU
QDQWVVXUOHFKDQWLHUjIDLUHYLVHUGDQVFKDTXHFDVDYHFOHXUV
SURFqVYHUEDO
UpSRQVHVpYHQWXHOOHV
(QSKDVHG¶H[SORLWDWLRQOHFRRUGRQQDWHXUPLVVLRQQpSRXUGHVRSp
‡ /HVQRPVHWDGUHVVHVGHVHQWUHSUHQHXUVFRQWUDFWDQWVFRFRQ
UDWLRQVVXUFHWRXYUDJHUHoRLWXQH[HPSODLUHGX',82TX¶LOPHWj
WUDFWDQWVHWVRXVWUDLWDQWVOHVGDWHVGHOHXUVLQWHUYHQWLRQV
MRXU
OHV HIIHFWLIV SUpYLVLEOHV GHV WUDYDLOOHXUV  OHV GXUpHV GHV WUD
/HFRRUGRQQDWHXUSHUVRQQHSK\VLTXHQHSHXWrWUHFKDUJpG¶DXWUH
YDX[
IRQFWLRQGDQVOHFDGUHG¶XQHPrPHRSpUDWLRQGRQWOHPRQWDQWGp
SDVVH¼ /H3*&636
5pGLJpSDUOHFRRUGRQQDWHXU636OH3*&636LQGLTXHHQSOXVGHV
/HPDvWUHG¶°XYUH
UHQVHLJQHPHQWV G¶RUGUH DGPLQLVWUDWLI OHV GLVSRVLWLRQV SULVHV RX j
3HUVRQQHFKDUJpHSDUOHPDvWUHG¶RXYUDJHGHODFRQFHSWLRQHWGX
SUHQGUHVXUODSUpYHQWLRQGHVULVTXHVGXVjO¶LQWHUYHQWLRQGHSOX
FRQWU{OH JpQpUDO GH O¶H[pFXWLRQ GH O¶RXYUDJH DUFKLWHFWH EXUHDX
VLHXUVHQWUHSULVHV/HFRQWHQXGHFHGRFXPHQWHVWpQXPpUpGDQV
G¶pWXGHVWHFKQLTXH«
O¶DUWLFOH5GXFRGHGXWUDYDLO
,O GRLW LQWpJUHU GDQV VD PLVVLRQ HW HQ FROODERUDWLRQ DYHF OH FRRU
,OSHXWLQFOXUHDSUqVOHVDYRLUKDUPRQLVpVOHVSODQVGHSUpYHQWLRQ
GRQQDWHXUOHVSULQFLSHVJpQpUDX[GHSUpYHQWLRQWDQWORUVGXGp
URXOHPHQW GHV WUDYDX[ TXH ORUV GHV LQWHUYHQWLRQV XOWpULHXUHV VXU
O¶RXYUDJH
/HVHQWUHSULVHVH[WpULHXUHV
/HVHQWUHSULVHVMXULGLTXHPHQWLQGpSHQGDQWHVGHO¶HQWLWpXWLOLVDWULFH
DPHQpHVjIDLUHWUDYDLOOHUSRQFWXHOOHPHQWRXHQSHUPDQHQFHOHXUV
SHUVRQQHOVGDQVOHVORFDX[GHO¶HQWUHSULVHXWLOLVDWULFHSHXYHQWSUR
SRVHU GHV DPpQDJHPHQWV DPpOLRUDQW OHV FRQGLWLRQV GH VpFXULWp
ORUVGHODUpDOLVDWLRQGXFKDQWLHUPDLVDXVVLORUVGHVLQWHUYHQWLRQV
XOWpULHXUHV
(OOHVGRLYHQWIRXUQLUDXFRRUGRQQDWHXUOHVSODQVQRWLFHVGHFDOFXOV
OHV PRGHV RSpUDWRLUHV SRXU LQWHUYHQLU VXU O¶RXYUDJH HW OH 33636
GHVHQWUHSULVHVLQWHUYHQDQWHVFIFKDSLWUH
/H33636LOGRLWrWUHUpGLJpSDUOHVFKHIVG¶HQWUHSULVHVHWRXDXWR
ULWpV WHUULWRULDOHV GHV FROOHFWLYLWpV RX pWDEOLVVHPHQWV LQWHUYHQDQWV
VXUOHFKDQWLHUHWUHPLVDXFRRUGRQQDWHXUGXFKDQWLHUTXLV¶HQVHU
YLUDSRXUpODERUHUVRQ3*&636
/H33636HVWDXVVLXQPR\HQSRXUO¶HQWUHSULVHODFROOHFWLYLWpRX
O¶pWDEOLVVHPHQWLQWHUYHQDQWVXUXQFKDQWLHUGHWUDQVPHWWUHGHVLQ
IRUPDWLRQVjVHVRXYULHUVFRQFHUQDQW
‡ /¶RUJDQLVDWLRQGXFKDQWLHU
‡ /HVLQVWDOODWLRQVVDQLWDLUHVGLVSRQLEOHV
‡ /HWUDYDLOjH[pFXWHU
‡ /HVULVTXHVSRVVLEOHVSRXUOHVRXYULHUVGDQVODUpDOLVDWLRQGH
&HVpOpPHQWVVHURQWLQWpJUpVDX',82
/HVLQWHUYHQDQWVXOWpULHXUV
‡ /¶H[SORLWDQWRXOHPDvWUHG¶RXYUDJHWUDQVPHWOH',82DX[LQWHU
YHQDQWVD¿QTX¶LOVSUpSDUHQWOHXUVLQWHUYHQWLRQVHWSURSRVHQW
OHFDVpFKpDQWGHVDPpQDJHPHQWVDXPDvWUHG¶RXYUDJHRXj
O¶H[SORLWDQWSRXUSULVHHQFRPSWHGDQVOH',82
‡ /H 0DLUH3UpVLGHQW PDvWUH G¶RXYUDJH RX H[SORLWDQW GH O¶pWD
EOLVVHPHQWHVWGpSRVLWDLUHG¶XQH[HPSODLUHGX',82,OO¶XWLOLVH
SRXU SUpSDUHU HW RUJDQLVHU OHV LQWHUYHQWLRQV GH VHV DJHQWV
RXGHVDJHQWVG¶HQWUHSULVHVH[WpULHXUHVVXUO¶RXYUDJH,OGRLW
VXVFLWHUOHVVXJJHVWLRQVG¶DPpOLRUDWLRQGHVLQWHUYHQWLRQVGHOD
SDUWGHVHQWUHSULVHVFRQFHUQpHV
OHXUWUDYDLO
‡ /HVULVTXHVSRVVLEOHVTXHOHWUDYDLOGHO¶HQWUHSULVHSHXWSURYR
TXHUVXUOHVRXYULHUVGHVDXWUHVHQWUHSULVHV
‡ /HVULVTXHVSRVVLEOHVTXHOHVWUDYDX[GHVDXWUHVHQWUHSULVHV
SHXYHQWJpQpUHUVXUOHVRXYULHUVGHVRQHQWUHSULVH
‡ /HVSUpFDXWLRQVjSUHQGUHSRXUpYLWHUFHVULVTXHV
/H 33636 GRLW rWUH GLIIXVp DX FRRUGRQQDWHXU 636 D¿Q TX¶LO Yp
UL¿H V¶LO UpSRQG ELHQ DX[ SUREOqPHV UHQFRQWUpV VXU OH FKDQWLHU ,O
HQWLHQGUDFRPSWHHQFRQFHUWDWLRQDYHFOHPDvWUHG¶°XYUHGDQV
O¶RUJDQLVDWLRQGHODFRDFWLYLWpGXFKDQWLHU
&H SODQ GRLW DXVVL rWUH GLIIXVp j O¶pTXLSH TXL GRLW UpDOLVHU OHV WUD
YDX[/HVRXYULHUVVRQWOHVSULQFLSDX[FRQFHUQpV,OVGRLYHQWDYRLU
XQH[HPSODLUHVXUOHFKDQWLHUHWWRXVOHVRXYULHUVGRLYHQWHQDYRLU
‡ /H&,667&ROOqJH,QWHUHQWUHSULVHVGH6pFXULWpGH6DQWpHW SULVFRQQDLVVDQFHFIDQQH[H,,GXFKDSLWUH
GHV&RQGLWLRQVGH7UDYDLOLOHVWSUpVLGpSDUOHFRRUGRQQDWHXU
636,OFRPSUHQG
9/HPDvWUHG¶°XYUHGpVLJQpSDUOHPDvWUHG¶RXYUDJH
/H',82
'RFXPHQWFRQVWLWXpGqVODSKDVHGHFRQFHSWLRQSDUOHFRRUGRQQD
9/HVFKHIVG¶HQWUHSULVHVRXDXWRULWpVWHUULWRULDOHV
WHXUHWVRXVODUHVSRQVDELOLWpGXPDvWUHG¶RXYUDJH
9'HVRUJDQLVPHVRI¿FLHOV&5$0233%73
,OUDVVHPEOHVRXVIRUPHGHERUGHUHDXWRXVOHVGRFXPHQWVWHOVTXH
9 8Q VDODULp SDU HQWUHSULVH GpVLJQp SDU OH &73&+6
OHV SODQV HW QRWHV WHFKQLTXHV GH QDWXUH j IDFLOLWHU O¶LQWHUYHQWLRQ
RX&+6&7SRXUOHVHQWUHSULVHVSULYpHV
/HVHQWUHSULVHVHPSOR\DQWPRLQVGHVDODULpVSHQGDQWDXPRLQV
VHPDLQHVHWQ¶HIIHFWXDQWSDVGHWUDYDX[jULVTXHVSDUWLFXOLHUVDX
XOWpULHXUH VXU O¶RXYUDJH 4XDQG LO V¶DJLW G¶XQ OLHX GH WUDYDLO LO GRLW
FRQWHQLUOHGRVVLHUGHPDLQWHQDQFHGHVOLHX[GHWUDYDLO
/H',82GRLWrWUHUHPLVSDUOHFRRUGRQQDWHXUDXPDvWUHG¶RXYUDJH
VHQVGHO¶DUUrWpGHO¶DUUrWpGXIpYULHUQHVRQWSDVWHQXHV
ORUVGHODUpFHSWLRQGHO¶RXYUDJH5pGLJpSDUOHFRRUGRQQDWHXUGqV
GHVLpJHUDX&,66&7
ODFRQFHSWLRQLOSHXWrWUHpYHQWXHOOHPHQWFRPSOpWpSDUODVXLWH
/H&,66&7VHUpXQLWDXPRLQVWRXVOHVPRLVSRXUGp¿QLUHWYp
/H',82HVWMRLQWDX[DFWHVQRWDULpVjFKDTXHPXWDWLRQGHO¶RXYUD
UL¿HUO¶DSSOLFDWLRQGHVUqJOHVTXLDVVXUHQWOHUHVSHFWGHODVpFXULWp
JH,OHVWXWLOHDX[FRQFHSWHXUVTXLDXURQWjPRGL¿HUO¶RXYUDJH
HW GH OD SURWHFWLRQ GH OD VDQWp GXUDQW OD SKDVH GH UpDOLVDWLRQ GH
O¶RXYUDJH ,OHVWLQGLVSHQVDEOHjO¶H[SORLWDQWFDULODQWLFLSHOHVULVTXHVIXWXUV
HQ Gp¿QLVVDQW OHV FRQVLJQHV G¶LQWHUYHQWLRQ HQ VpFXULWp ORUV GH OD
PDLQWHQDQFHGHVRXYUDJHV
4XHOVVRQWOHVGRFXPHQWVOLpVDX[FRQWUDWV636"
/DGpFODUDWLRQSUpDODEOH
/HPDvWUHG¶RXYUDJHpWDEOLWFHWWHGpFODUDWLRQSUpDODEOHHWODIDLWSDU
YHQLUDX[DXWRULWpVWHUULWRULDOHVHWRUJDQLVPHVFRPSpWHQWVLQVSHF
WLRQGXWUDYDLO&73&+6&+6&7
/DGpFODUDWLRQSUpDODEOHGRLWrWUHHQYR\pHDXPRLQVMRXUVDYDQW
OHGpEXWGHVWUDYDX[

3DJH 5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU
 $LQVLOH',82GRLWFRPSRUWHU
‡ /HV GRFXPHQWV SODQV HW QRWHV WHFKQLTXHV GH
QDWXUHjIDFLOLWHUOHVLQWHUYHQWLRQVXOWpULHXUHVVXU
O¶RXYUDJH
‡ /H GRVVLHU GH PDLQWHQDQFH ORUVTX¶LO V¶DJLW GH
OLHX[ GH WUDYDLO TXL GpFULW O¶LQWHUYHQWLRQ OHV PR
5pIpUHQFHVMXULGLTXHV
‡ /RLQƒGXGpFHPEUHUHODWLYH
DXGpYHORSSHPHQWGHODSUpYHQWLRQGHVDF
FLGHQWVGXWUDYDLO
‡ /RLQƒGXGpFHPEUHPRGL
GHVRSpUDWRLUHVSUpFLVHOHVDFFqVOHVPR\HQVj ¿DQWOHFRGHGXWUDYDLOHWOHFRGHGHODVDQWp
GLVSRVLWLRQHWOHVFRQGLWLRQVG¶LQWHUYHQWLRQ SXEOLTXH HQ YXH GH IDYRULVHU OD SUpYHQWLRQ
‡ /HQLYHDXG¶pFODLUHPHQWGHVORFDX[HWGHV GHVULVTXHVSURIHVVLRQQHOVHWSRUWDQWWUDQV
LQIRUPDWLRQVFRQFHUQDQWO¶HQWUHWLHQGXPD SRVLWLRQGHGLUHFWLYHVHXURSpHQQHVUHODWLYHV
WpULHOG¶pFODLUDJH jODVDQWpHWjODVpFXULWpGXWUDYDLO-2Qƒ
‡ /HV GLVSRVLWLRQV SULVHV SRXU OD YHQWLOD
WLRQ HW O¶DVVDLQLVVHPHQW GHV ORFDX[ HW OHV
LQIRUPDWLRQV SHUPHWWDQW G¶HQWUHWHQLU FHV
LQVWDOODWLRQV G¶HQ FRQWU{OHU O¶HI¿FDFLWp HW
G¶pWDEOLUOHVFRQVLJQHVG¶XWLOLVDWLRQ
‡ /D GHVFULSWLRQ HW OHV FDUDFWpULVWLTXHV GH
O¶LQVWDOODWLRQ pOHFWULTXH HW OHV pOpPHQWV
SHUPHWWDQW GH SURFpGHU j VD YpUL¿FDWLRQ
LQLWLDOH
‡ /HV FDUDFWpULVWLTXHV GHV LQVWDOODWLRQV GH
GpVHQIXPDJH HW OHV LQIRUPDWLRQV SHUPHW
WDQWOHXUFRQWU{OHSpULRGLTXHHWOHXUPDLQ
WHQDQFH
‡ /HVFDUDFWpULVWLTXHVSULQFLSDOHVGHVSRUWHV
HWSRUWDLOVDXWRPDWLTXHVRXVHPLDXWRPDWL
TXHVDLQVLTXHOHVLQIRUPDWLRQVSHUPHWWDQW
GHOHVHQWUHWHQLUHWGHYpUL¿HUOHXUIRQFWLRQ
QHPHQW
/HVGLVSRVLWLRQVSULVHVSRXU WpHWGHVFRQGLWLRQVGHWUDYDLOHWPRGL¿DQWOH
GXMDQYLHU
‡ /RLQƒGXGpFHPEUHPRGL
¿DQWOHVGLVSRVLWLRQVGXFRGHGXWUDYDLODS
SOLFDEOHVDX[RSpUDWLRQVGHEkWLPHQWHWGH
JpQLHFLYLOHQYXHG¶DVVXUHUODVpFXULWpHWGH
SURWpJHUODVDQWpGHVWUDYDLOOHXUVHWSRUWDQW
WUDQVSRVLWLRQGHODGLUHFWLYHGX&RQVHLOGHV
FRPPXQDXWpV HXURSpHQQHV Qƒ HQ
GDWHGXMXLQ
‡ 'pFUHW Qƒ  GX  GpFHPEUH 
UHODWLIjO¶LQWpJUDWLRQGHODVpFXULWpHWjO¶RU
JDQLVDWLRQGHODFRRUGLQDWLRQHQPDWLqUHGH
VpFXULWpHWGHSURWHFWLRQGHODVDQWpORUVGHV
RSpUDWLRQVGHEkWLPHQWRXGHJpQLHFLYLOHW
PRGL¿DQWOHFRGHGXWUDYDLO
‡ 'pFUHW Qƒ  GX  PDL  UHODWLI DX
FROOqJHLQWHUHQWUHSULVHVGHVpFXULWpGHVDQ
‡ /HQHWWR\DJHGHVVXUIDFHVYLWUpHVHQpOp FRGHGXWUDYDLO-2QƒGXPDL
YDWLRQHWHQWRLWXUH ‡ 'pFUHWQƒGXMDQYLHUUHODWLI
‡ /¶DFFqVHQFRXYHUWXUHPR\HQVG¶DUULPD jODFRRUGLQDWLRQHQPDWLqUHGHVpFXULWpHW
JHPLVHHQSODFHUDSLGHGHJDUGHFRUSV GH SURWHFWLRQ GH OD VDQWp ORUV GHV RSpUD
RXGH¿OHWVGHSURWHFWLRQ WLRQV GH EkWLPHQW RX GH JpQLH FLYLO HW PR
‡ /¶HQWUHWLHQ GHV IDoDGHV PR\HQV G¶DUUL GL¿DQW OH FRGH GX WUDYDLO -2 Qƒ  GX 
PDJH HW VWDELOLWp GHV pFKDIDXGDJHV HW MDQYLHU
GHVQDFHOOHV
‡ /HV WUDYDX[ G¶LQWpULHXU UDYDOHPHQW GH
KDOOV GH JUDQGH KDXWHXU DFFqV DX[ JDL
QHVWHFKQLTXHVDFFqVDX[FDELQHVG¶DV
FHQVHXUV
‡ /HVLQGLFDWLRQVUHODWLYHVDX[ORFDX[WHFK
QLTXHV HW VDQLWDLUHV PLV j OD GLVSRVLWLRQ
GXSHUVRQQHOFKDUJpGHVWUDYDX[G¶HQWUH
WLHQORUVTXHFHVORFDX[H[LVWHQW
‡ /HV SURFqV YHUEDX[ GH WUDQVPLVVLRQ GX ',82
G¶XQFRRUGRQQDWHXUjXQDXWUH
$QQH[HV
5HPDUTXHV
/HPDvWUHG¶RXYUDJHTXLQ¶DSDVGpVLJQpGHFRRUGRQ ‡ $QQH[H,FRQWHQXGHODGpFODUDWLRQSUpDODEOH
QDWHXU 636 RX TXL Q¶D SDV FRQVWLWXp GH ',82 SHXW
rWUHSXQLG¶XQHDPHQGHGH¼
‡ $QQH[H,,FRQWHQXGX33636

5HJLVWUH8QLTXH6DQWpHW6pFXULWpDX7UDYDLO‹(GLWLRQIpYULHU 3DJH
Annexe I
8
Contenu de la déclaration préalable
(arrêté du 7 mars 1995)

Nom(s) et adresse(s) du (des) coordonnateur(s) de sécurité et de santé

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

Nom(s) et adresse(s) du (des) titulaire(s) du (des) marché(s) ou contrat(s) déjà désigné(s)

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

...................................................................................................................................................................................................

Nombre d’entreprises présumées appelées à intervenir sur le chantier............................................................................

Remarque importante
Conformément aux dispositions du 1° de l’article R. 238-22 du Code du Travail, le coordonnateur porte ou
complète et tient à jour, dans le plan général de coordination en matière de sécurité et de protection de la
santé, les informations requises précédemment lorsqu’il n’a pas été possible de les renseigner complète-
ment à la date d’envoi de la déclaration préalable aux autorités compétentes visées à l’article R. 238-2 du
Code du Travail.

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 151
$QQH[H,,

&RQWHQXGX33636
,QGLTXHUOHQRPHWO¶DGUHVVHGXFKDQWLHU 'HVFULSWLRQVRPPDLUHGHVWUDYDX[
([HPSOHG¶XQORWGHSHLQWXUH
‡ 3RQoDJHGHVVXSSRUWV
,QGLTXHUOHQRPHWO¶DGUHVVHGHO¶HQWUHSULVH ‡ 3HLQWXUHHWUHYrWHPHQWVPXUDX[VXURXYUDJHVLQWpULHXUV
DYHFVHVFRRUGRQQpHVGHWpOpSKRQHHWGHWpOpFRSLH ‡ 3HLQWXUHDFU\OLTXHSRXUOHVPXUVHWSODIRQGV
‡ 7HLQWHHWYHUQLVVXUOHVERLVHULHVGHVRXEDVVHPHQW
‡ 3HLQWXUH JO\FpURSKWDOLTXH SRXU OHV VDOOHV GH EDLQV HW OHV JDUGHFRUSV
PpWDOOLTXHV
'HVFULSWLRQGHO¶RXYUDJH
3UpFLVHUHQTXHOTXHVPRWVHQTXRLFRQVLVWHO¶RSpUDWLRQH[FRQVWUXFWLRQG¶XQ
LPPHXEOHGHORJHPHQWV5G¶XQHVXUIDFHG¶HQYLURQPðDXVROKDXWHXU
VRXVSODIRQG P
3URGXLWVGDQJHUHX[
H[YHUQLVHWODTXHJO\FpURSKWDOLTXHDSSOLTXpVSDUSURMHFWLRQ

,QWHUYHQDQWVH[WpULHXUV   0RGHV RSpUDWRLUHV HW PHVXUHV GH

1RWHUOHVFRRUGRQQpHVGHVSULQFLSDX[LQWHUYHQDQWVPDvWUHG¶RXYUDJHPDvWUH
G¶°XYUHFRRUGRQQDWHXUVpFXULWpRUJDQLVPHGHSUpYHQWLRQ
SUpYHQWLRQ
5LVTXHVSRXU 0HVXUHVGHSUpYHQWLRQ
6RXVWUDLWDQFH OHSHUVRQQHOGH
,QGLTXHU VL YRXV SUpYR\H] GH VRXVWUDLWHU GHV WUDYDX[ OHVTXHOV HW j TXHOOH O¶HQWUHSULVH
HQWUHSULVH &KXWHVGHSHUVRQQHVGDQVORFDX[ 3ODWHIRUPH,QGLYLGXHOOHGH7UDYDLO
&KXWHV GH SHUVRQQHV GDQV HVFD (FKDIDXGDJH
OLHU
3pULRGHG¶H[pFXWLRQ
H[PDLMXLQ ,QKDODWLRQ GH SRXVVLqUHV ORUV GHV 3RUWGHPDVTXHMHWDEOHGHW\SH3
RSpUDWLRQVGHSRQoDJH
,QWR[LFDWLRQ 3RUWGHPDVTXHjFDUWRXFKHVSRXU
(IIHFWLI OHVWUDYDX[GHSHLQWXUHHWGHYHUQLV
H[RXYULHUVHQPR\HQQH7HPSVSUpYXK SDUSURMHFWLRQ
0LVHHQSODFHG¶XQH[WUDFWHXUGDQV
OHVORFDX[
+RUDLUHVGHWUDYDLO 3URMHFWLRQVORUVGHWUDYDX[GHSRQ 3RUWGHOXQHWWHVGHSURWHFWLRQ
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Modèle
8
Permis de feu
Document à établir, à signer avant et après la réalisation de travaux par «Points Chauds».
Exemplaire original : conservé par la collectivité ou l’établissement utilisateur.
'RXEOHVUHPLVDXUHSUpVHQWDQWGHO¶HQWUHSULVHH[pFXWDQWHTXLUHQGXQH[HPSODLUHjODFROOHFWLYLWpRXjO¶pWDEOLVVHPHQWXWLOLVDWHXUGqVOD¿QGHVWUDYDX[

Établi le :……………..………… à :……….....................................................................................................................……………….. heure :…...................

Adresse : ………………………………….....………………………………….…………………………...................................................………………………….

Début des opérations (Date et heure) :…………..............................................……..Fin des opérations (Date et heure) :……...……………………..……….

Collectivité ou établissement : …………………………..............................................……..Représentée par :…………………………………........................

Entreprise exécutante : ………………………………......………………..….…………………Représentée par :……..………………………………..................

Lieu d’intervention : ………………….............................................……………………….......……………………………………………………………………….

Installation ou équipement traité : ……………………….....……………………………………Emplacement : …………………………………………………….

Nature des opérations

UDécoupage au chalumeau UDécoupage électrique USoudage au chalumeau USoudage électrique U$XWUHVWUDYDX[DYHFÀDPPHQXH
UMeulage
U Autres :…………………………………..........................................................................................................................................................................………

Dispositions à prendre préalablement aux travaux

UÉtablir, si nécessaire (cf. décret n°92-158 du 20.02.92), un plan de prévention

UeORLJQHUOHVPDWLqUHVFRPEXVWLEOHVRXLQÀDPPDEOHVjDXPRLQVPGHOD]RQHGHWUDYDLO
U3URWpJHUOD]RQHGHWUDYDLODXPR\HQGHEkFKHVLJQLIXJpHVGHPDWpULDX[LQFRPEXVWLEOHVHWQRQSURSDJDWHXUVGHODFKDOHXU
U'HPDQGHUOHFHUWL¿FDWGHGpJD]DJHGXYROXPHjWUDLWHU
U)DLUHYHQWLOHUOD]RQHGHWUDYDLO
U6¶DVVXUHUGHO¶DEVHQFHGHFRQWDFWHQWUHGHVSDUWLHVPpWDOOLTXHVHWGHVVXEVWDQFHVFRPEXVWLEOHVGHODSUR[LPLWpGHFRQGXLWHVGHÀXLGHVLQÀDPPDEOHV
UDésigner un surveillant pour la durée des travaux
U3ODFHUjSUR[LPLWpGXOLHXGHWUDYDLODXPRLQVXQH[WLQFWHXUjHDXSXOYpULVpHDYHFDGGLWLIRXHQH[WpULHXUXQH[WLQFWHXUjSRXGUHSRO\YDOHQWH

Dispositions à prendre pendant l’exécution des travaux

UPorter les équipements de protection individuelle adaptés (lunettes, gants, tablier,...)
UN’utiliser que du matériel en bon état d’entretien
U6XUYHLOOHUOHVSRLQWVGHFKXWHGHVSDUWLFXOHVLQFDQGHVFHQWHVDWWHQWLRQDX[LQWHUVWLFHV¿VVXUHVJDLQHVWHFKQLTXHVSOXYLDOHV
U6XUYHLOOHUOHVSDUWLHVPpWDOOLTXHVFKDXIIpHV\FRPSULVGHUULqUHOHVFORLVRQVSURFKHVGHOD]RQHGHWUDYDLOFRQGXFWLRQ

Dispositions à prendre après les travaux

U,QVSHFWHUVRLJQHXVHPHQWOHVHPSODFHPHQWVGHWUDYDLOHWOHVORFDX[FRQWLJXVGqVOD¿QGHVWUDYDX[
U,QIRUPHUOHVUHSUpVHQWDQWVGHO¶HQWUHSULVHXWLOLVDWULFHGqVOD¿QGHVRSpUDWLRQV
U0DLQWHQLUXQHVXUYHLOODQFHULJRXUHXVHSHQGDQWGHX[KHXUHVDXPRLQVDSUqVOD¿QGHVLQWHUYHQWLRQV

En cas de feu ou accident, téléphoner ou faire téléphoner au :..............................................................................................

Début des travaux Fin des travaux

Date :...................................……......… Heure :.................................……… Date :...................................……......… Heure :.................................………

Nom de l’intervenant : .............................................…..............................…

Nom de l’intervenant : .............................................…..............................…
Signature
Signature

Nom du représentant de la collectivité Nom du représentant de la collectivité

..........................................…..........................................................…........... ..........................................…..........................................................…...........
ou établissement utilisateur ou établissement utilisateur

..........................................…..........................................................…........... ..........................................…..........................................................…...........

Signature Signature

Registre Unique Santé et Sécurité au Travail© - Edition février 2007 .............Page 154