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Ensemble pour changer les choses

La violence, on en fait notre affaire

 Constat : À la suite de plusieurs cas d’intimidation, les jeunes se sont sentis interpellés et veulent
contrer cet acte répréhensible.

 Action : Ils proposent de former une équipe pour combattre l’intimidation. Aussi décident-ils de
prendre contact avec Madame la directrice de l’école pour lui soumettre leur idée. Avec son aide
ainsi que celle de l’enseignant, le projet prend forme. Les jeunes discutent de la problématique et
voient ensemble les moyens à mettre en œuvre pour s’y attaquer. Ainsi, ils envisagent diverses
activités et formations dans les classes, et pendant les récréations. Le problème touche l’ensemble
des élèves de l’école, les membres du personnel et les parents. Ensemble, les élèves planifient les
actions à mener et forment des équipes en fonction des besoins de chacun. Ils décident des activités
à faire en classe (témoignages, information, questionnaires, vidéos, etc.). En équipe, ils trouvent un
nom, conçoivent un logo, déterminent un slogan et choisissent le design. Le tout est présenté à
l’ensemble des élèves. Pour promouvoir dans les différents groupes-classes les activités planifiées, ils
créent d’autres équipes.

 De façon volontaire, les élèves ont choisi leur engagement :

 Conceptualisation et design des affiches;

Création du club « Anti violence » et la charte graphique

 Choix des slogans;

 Contrôle de la qualité;

 Travail sur ordinateur et reprographie;

À deux pour combattre l’intimidation

 Constat : Puisque plusieurs gestes d'intimidation ou de violence se manifestent à l’école, les élèves
de la 1ère année se sentent interpellés.

 Projet : Ils ont décidé de fabriquer des signes distinctifs pour mettre leur cause en valeur ( Bracelet
anti violence)

 Action : Ils ont effectué un sondage afin de connaître les objets qu’il faudrait fabriquer pour
contrer la violence. Des équipes de travail ont été formées pour organiser et animer la discussion.
Pour ce qui est des objets d’identification de la cause, un seul a été retenu, soit le bracelet
antiviolence.

 Au début de la semaine, l’enseignant réserve du temps pour la prise des décisions et pour le
partage des responsabilités concernant la procédure relative à l’utilisation du dit bracelet ( vert,
orange, rouge).
 Les élèves arrivent à un consensus quant à la couleur et au concept du bracelet. Ainsi, en portant
le bracelet, chacun s'engage à ne poser aucun geste d'intimidation et à ne pas se laisser intimider. À
la fin de la semaine, un moment d'échange est réservé pour le bilan de l’activité.

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