Reportage 1 

: Influenceurs, quand ils font de la pub sans en avoir l’air

Le couples de trentenaire peut passer la nuit dans la suite la plus luxueuse de l’hôtel. La
chambre pour une nuit coute 714 euros mais pour c’est gratuit. Chloé filme les lieux et se
met en scène dans des vidéos qu’elle poste sur un réseau social ou elle est très connue. Si
l’hôtel fait ça, c’est que grâce à elle ils se font de la publicité.

Une influenceuse est quelqu’un qui influence des milliers de personnes à travers les réseaux
sociaux. 2 adolescentes que l’on voit dans le reportage passe beaucoup de temps à suivre
des influenceuses. Parfois elles vont même jusqu’à acheter les produits qu’elles voient chez
les influenceuses, elles disent que c’est comme du lèche vitrine.

En France ils sont des milliers, spécialisé dans de nombreux domaines ; mode, cuisine,
voyages... Un réseau social qui est un phénomène Instagram créer il y a moins de 10 ans.
Instagram compte 1 milliard d’utilisateurs dans le monde et 17 millions en France.

Comment devient-on influenceuse professionnelle ?

Chloé alors qu’elle était étudiante elle était très passionné par la mode. Elle lisait des blogs
et s’est elle-même lancés. Elle a commencé en postant de photos qui faisait très amateur.
Très vite des marques ont voulu profiter de son influence et lui ont proposer de faire de la
publicité. Cela signifie faire du placement de produits. Elle peut aussi faire ça grâce à des
jeux concours. Sur son compte, près de 1 post sur 10 est une publicité avec une marque.
Elles en ont fait son métier et à même créer une société. 2 à 3 fois par semaines elle reçoit
des produits gratuitement. Elle demande aux marques de leur envoyer leurs produits avant
de s’engager. Après avoir décidé de s’engager c’est elle qui décide de tout. Les photos des
influenceuses sont souvent des mises en scène. Pour les marques les influenceuses valent
de l’or. A tel point que des entreprises se spécialises dans ce secteur.

A Paris une société créer il y a 4 ans par Agathe Nicole. Dénicher les influenceurs et jouer les
intermédiaires pour les marques c’est ce que cette société fait. Ça a beaucoup plus d’impact
que n’importe quelle pub sur un site classique. Avec ces influenceurs on peut toucher très
efficacement des consommateurs qui s’identifient à ses personnalités. Ils regardent le profil
et la communauté des influenceurs avant de les choisir pour faire une pub. Cette société
donne le signal qu’elle s’adresse à toute la catégorie d’âge.

Dans la loi il est dit que toute forme de publicité doit être clairement identifié, les
internautes doivent savoir que c’est un partenariat et que c‘est rémunéré. Pourtant on
découvre que beaucoup d’influenceur font de la publicité sans l’indiquer à leur abonné.
Comment tout cela est-il possible ? Tout simplement parce qu’il existerait très peu de
contrôle et tout reposerai sur les plaintes d’internautes ce que nous explique le directeur
général de l’autorité de régulation professionnelle de la publicité. Une impuissance qui a
d’autres conséquences.

Avenir santé : une association qui milite pour la santé des jeunes et qui fait de la prévention
sur l’addiction a l’alcool. Elles s’appuient sur des volontaires en services civique ; des jeunes
qui vont sur le terrain mais qui scrute également internet. Parfois ils tombent sur des images
d’influenceurs qui mettent en avant l’alcool dans des ambiances festive. Il est interdit par la
loi de représenter l’alcool dans un contexte festive, si on le fait la phrase : « L’abus d’alcool
est dangereux pour la santé. A consommer avec modération. Ces publicités s’adressent à un
publique vulnérable, de jeunes et très jeunes personnes.

Comment réagissent les deux ados à cette pub de bière fait par une influenceuse ?
Elle ne trouve pas que ça ressemble à une pub parce qu’il la trouve naturelle. Elles disent
aussi qu’il y a aucune information de pub. Selon elles ça incite les jeunes à acheter de
l’alcool, d’autant plus que beaucoup de jeunes suivent ses influenceurs.

Thomas Poulet est un influenceur qui prend souvent des photos avec des bouteilles de
liqueur, whisky etc. après l’avoir interrogé Thomas dis ne pas être au courant de cette loi
sinon il l’aurait bien sur fais. Il participe à l’agence d’Agathe. Elle a également été interrogé,
elle dit que la loi n’est pas très claire pour les marques. Il parait donc plus facile de ne pas
respecter les règles sur les réseaux sociaux, mais la loi s’applique partout.

Reportage 2 : Achats sur internet

La première personne que l’on voit se nomme Naima, elle est rapidement devenue accro
aux achats sur internet, elle passe une commande par semaine sois 200 euros par mois.
L’inconvénient est qu’elle a dû se fier aux photos sur le site. Avec le e-commerce elle
n’attend pas les soldes. Il y a : les promos mi-saison, les ventes privées, les pré-soldes et les
soldes et les outlet.

Le e-commerce à d’étranges stratégies comme par exemple, d’augmenter les taux de

remises pour augmenter la promo, et d’augmenter les prix barrés. Pour pousser les clients à
l’achat il faut constamment afficher des prix casser.

Cette société
de plante a aussi un site en ligne et utilise très souvent des réductions. Il adapte les prix
pour être au niveau des concurrent ou même moins chère.

Le site monedel fait un carton avec près d’un million de visiteurs par mois. Elle mise elle
aussi sur des prix cassés. Pour être compétitif sans perdre d’argent le commerçant doit sans
cesse négocier avec ses fournisseurs.

Adrien part pour la Belgique pour trouver de la marchandise. Sa force est acheter de gros
volume car le site vend partout en France. Il se trouve dans une grande serre 40 000m2 de
l’autre cote de la frontière. Il espère y trouver plusieurs plantes qui marche très fort a cette
période de l’année. Le printemps est la haute saison pour David. Le grossiste à commander
trop de lavande et la plante est périssable. Ses agrumes n’ont pas de fruits et c’est donc
moins vendeur. Le grossiste est donc ouvert à la négociation. Le principal l’évier de
négociation d’Adrien est le volume.

Une semaine plus tard la commande d’Adrien arrive de Belgique. Des camions comme celui
s’il en a 4 par semaine. Ils ont trouvé un prix qui leur convient, ça leur permet de continuer
de commerciez ensemble et de pas dégrader sa marque. La jardinerie en ligne n’a que 30
salarier et un seul centre logistique pour expédiez dans toute la France. Leur chiffre
d’affaires est en constante augmentation.

Sur le web, les produits les plus vendus sont les vêtements. Un marché de 5 milliards d’euro
qui cesse d’augmenter. David, directeur commerciale pour un site français. Il a rendez-vous
dans le showroom de son fournisseur. David veut savoir si i y a des invendus. Pour déstocker
en fin de saison ce fournisseur brade les produits qui lui reste sur les bras. Le site pourra
proposer la collection de l’année précédente avec des promotions. En échange le site
s’engage à acheter la prochaine collection au prix fort et vendre sans réduction. C’est le
principe du déstockage. Devenu le modèle économique de ses commerçants. Pendant les
ventes flash le produit sera vendu 2x moins chère, le PDG ne gagnera rien mais il espère
autre chose. C’est un produit d’appel que tout le monde connait et en faisant des remises
très forte on sait que beaucoup de monde va venir. Ils font donc ça pour attirer les gens car
ils viendront pour ça mais achèterons peut-être d’autre choses. La vente flash est annoncé
par 3 millions de mail et les réseaux sociaux.

Stéphane vient faire les bilans des ventes. Il se trouve à l’entrepôt qui est en pleins travail.
L’essentiel de l’activité a été automatisé pour augmenter la productivité, gagner du temps,
et de l’argent.

Est-ce que le legging jaune et gris a permis de faire plus de vente par client ?
Il se vend rapidement, dans une des commande la cliente a acheté 2 paires de chaussures
en plus, la stratégie d’appel semble payer.

Les prix cassé sont devenus l’arme fatale pour nous faire passer à la caisse. En février
dernier plusieurs site ont fait la une des journaux accuser de pratiquer des fausses
promotions. Une enquête de plusieurs mois a permis d’identifier de faux prix barrés pour
faire croire aux clients qu’ils font une bonne affaire. L’une des techniques et d’augmenter
les prix de base à l’approche des soldes. Ces pratiques constituent un délit pénal.

Fabio est un blogueur expert des bonnes affaires sur le net. Pour faire profiter les autres de
ses bonnes affaires il fait des vidéos sur YouTube. Depuis quelque mois Fabio s’est mis à
chercher les meilleurs prix sur commande à votre place sur un site collaboratif. Quand il
trouve une bonne offre il poste, si elle est choisie il gagnera des points qui serons ensuite
converti en espèce ou bons d’achats.

Mano Mano est un site de mise en relations entre fournisseurs et artisans. Le chef de
chantier a découvert le site et s’en passe plus. Il a fait 10 000 euros d’économie sur un
chantier a 120 000. Il trouve un choix infini de produits. Le site est un intermédiaire, ce
qu’on appelle une market place. Mano Mano accueille 15 nouvel recru par mois qui engage
personnellement. L’histoire à commencer avec 2 collègues passionné de bricolage. Ils ont
abandonné leur job dans la finance et mettent chacun 20 000 euros dans la boite. Ils ont 110
employés. Leur objectif est de ringardiser les magasins du bricolage en imposant le modèle
de la market place. La Start up ne possèdent aucun stock ce qui limite les frais de
fonctionnement. Pour gagner de l’argent elle prélève 12 à 20% de commission sur chaque
vente. Jérôme vendait du matériel de bricolage dans 22 magasins, désormais il vend dans
tout le pays. La raison de son succès ; proposer des prix très attractif en se débarrassant des
invendus de ses boutiques. Il rachète des produits en grand volume et recherche le prix de
ses concurrents, ensuite il revend les produits pour quelques euros de plus et rajoute un
prix barré qu’il a trouvé sur le site de ses concurrents et qui n’est donc pas le tien. Ils ont un
nouveau service qui permet de trouver des bricoleurs. A la capeb ils voient ça comme de la
concurrence déloyale. Lorsque le secrétaire général découvre le salaire il n’en revient pas
car il aurait travaillé pour rien. Certaine mission est plus complexe et tous les super Mano
n'ont pas de diplôme reconnue.