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Avant-propos

Tous les étudiants de niveau L2 économie réalise une lecture à la recherche. Ils doivent
choisir un thème qui correspond à sa recherche, ces thème doit parler de cours à l’année
d’étude. Le but de prendre ce thème à examiner à partir des plusieurs ouvrages en précisant
sa propre idée, ensuite commenter un tableau récapitulatif à propos de ce thème.

Dans ce livre nous proposons un thème et nous devrons l’expliquer. Nous devrons prendre
plusieurs livres qui concernent notre thème suivi de notre explication.
REMERCIEMENTS

Notre groupe remercie en première lieu Dieu pour son soutien et d’avoir mis en ordre notre
programme. Merci à tous les enseignants qui ont enrichis notre connaissance à fin de pouvoir
finir les détails de ce livre. Notre groupe tient également à remercier l’administration qui nous
a fourni les informations nécessaires. Donc un grand remerciement pour :

Monsieur Mamy RAVELOMANANA Président de l’Université d’Antananarivo

Monsieur Seth RAVOKATRA Doyen de la faculté EGS

Monsieur Fanomezantso Andriamahefazafy RAMAROMANANA responsable de la mention


Economie

Monsieur Pierret RAVELOJAONA pour sa grande disponibilité lors des encadrements

Tous les enseignants dans le département économie

Tous les personnes administration et technique

Toutes nos familles et amis proches

Tous les étudiants membres du groupe 107 qui ont fournis leurs recherches

Tous les étudiants qui ont aidés dans la conception de cet ouvrage
Sommaire

Introduction

Chapitre I : Concept théorique de la loi de Finances

Section 1 : Cadre législatif de la loi de Finances

Section 2 : Tableau d’équilibre général

Chapitre II : Les principes budgétaires nécessaire à la formation des lois de Finances

Section 1 : Les principes classiques

Section 2 : Les principes modernes

Conclusion
Introduction
L’objectif de chaque pays est le développement. Or celui-ci est atteint lorsque les
besoins de leur population sont satisfaits. Pour pouvoir arriver à ce dernier l’Etat de chaque
pays élabore un budget en prévoyant les recettes et les dépenses d’une période donnée. La
réalisation est autorisée par la loi de Finances qui fixe les voies et les moyens d’encaisser les
recettes et de les dépenser. La bonne gérance et la bonne présentation du budget de l’Etat est
réalisé lorsque les recettes et les dépenses sont en équilibre. L’assurance de la bonne gestion
budgétaire est assurée par le comptable public. Pour se faire alors les lois de Finances sont
établies et exécutées en conformité avec les principes du droit budgétaire classiques et
modernes et régit par la loi organique n° 2004-007 du 26 juillet 2004 sur les lois de finances
qui détermine la mise en œuvre d’une budgétisation orientée vers les résultats ; un
engagement sur des objectifs et un renforcement de la responsabilisation des gestionnaires.
Alors une question se pose comment les principes budgétaires se comportent-ils sur
l’élaboration du budget de l’Etat ? Pour mieux concerner le sujet voyons d’abord le concept
théorique de la loi de finance sur son cadre législatif et son tableau d’équilibre général et puis
les principes budgétaires classiques et modernes liées à son élaboration.

 
Partie I : Concept théorique de la loi de Finances

Le terme « loi de Finances » renvoient alors au budget de l’Etat et recouvrent


plusieurs types de lois à objet financier :

- La loi de Finances de l’année

-La loi de Finances Rectificative

- La loi de règlement

Section 1 : Cadre législatif de la loi de Finances

Depuis 2004, Madagascar a adopté la Loi Organique relative aux Lois de Finances
(LOLF) qui est une codification juridique du budget de programme pour combler les lacunes
du budget des moyens de l’ordonnance de 1959 pratiqués avant 2004 comme texte juridique
qui fixe le cadre des lois de Finances. Ce nouveau texte de base est alors utilisé comme
instrument d’orientation et de promotion des activités financières et économiques dans la
formation de la loi de Finances pour arriver à une politique budgétaire de développement
durable et rapide.

La LOLF a profondément réorganisé la présentation des lois de Finances de l’ordonnance de


1959 (avec la logique de répartir les crédits entre les différents ministères sans aucunes
logiques de résultat). La première loi de Finance qui a été rédigée sur le fondement de la
LOLF à Madagascar était la loi de Finances initiale de 2006. Elle est très important de noter
c’est que depuis la LOLF on est passé d’un budget de moyen à un budget de programme ou
plus précisément de résultat, c’est-à-dire que les crédits budgétaires sont répartis entre des
missions et au sein d’une mission les crédits sont répartis entre des programmes. L’article 7
de la LOLF même défini ces deux termes. Une mission est donc consacrée à une politique
publique bien précise. Les crédits sont donc depuis la LOLF répartis selon une logique de
politique publique. Seul le gouvernement peut créer dans la loi de Finances des missions.

L’objectif de cette réforme c’est de renforcer la performance de l’action publique, c’est


d’inciter les dirigeants à mener des politiques publiques efficaces qui ont des résultats. Il faut
savoir que les programmes de chaque mission se voient conférer plusieurs indicateurs de
performances permettant au gouvernement de prévoir les résultats qui doivent être atteints par
le programme (Projets Annuels de Performances).
Section 2 : Tableau d’équilibre général

Les lois de Finances sont encadrées par la LOLF, qui en détermine le contenu, la présentation
et en régit l’examen et le vote. Les projets de loi de Finances sont préparés par le
gouvernement. Selon l’article 1 de la LOLF : « Les lois de Finances déterminent, pour un
exercice, la nature, le montant et l’affectation des ressources et des charges de l’Etat, ainsi que
l’équilibre budgétaire et financier qui en résulte ». La première partie du projet de la LF porte
sur la partie recettes du budget ; elle fixe également les plafonds des dépenses de l’Etat, le
plafond d’autorisation des emplois rémunérés par l’Etat et arrête les données générales de
l’équilibre budgétaire. La seconde fixe, pour chaque mission du budget général, pour chaque
budget annexe et compte spécial, le montant des crédits. Elle arrête, par ministère et par
budget annexe, le plafond des autorisations d’emplois. Pour régner la bonne gouvernance
alors l’équilibre budgétaire est nécessaire, toute recette déterminée doit être dépensée pour
toute dépense déterminée.

Voyons par exemple le tableau d’équilibre général de la loi de Finances de Madagascar pour
2019 :
sss

Source : loi de finance initiale pour 2019 de Madagascar


Le budget de l’Etat est constitué par les comptes qui décrivent pour une année civile toutes les
recettes et les dépenses permanentes de l’Etat. Alors le budget général de l’Etat est un
document établi par le gouvernement et voté par le parlement qui définit les dépenses et les
recettes de l’Etat.

1) Les différents types de budget de l’Etat

Il comprend trois composants : le budget général, les budgets annexes et les comptes
spéciaux. Les budgets annexes et les comptes spéciaux composent des exceptions aux
principes de non-affectation de budget c’est-à-dire à l’interdiction d’affecter une recette à une
dépense. Ils retracent ainsi certaines ressources et certaines charges du budget. Ils sont
rattachés avec le budget général de l’Etat dans la loi des finances. Donc, ils constituent dans le
principe d’unité.

2) Signification des trois composants

-Le budget général de l’Etat : compose une opération de Fonctionnement et opération


d’investissement. Alors que, le budget général de l’Etat est un document établi par le
gouvernement et voté par le Parlement qui définit les dépenses et les recettes de l’Etat.

- Les budgets annexes : l’article 18 de la LOLF énonce que les budgets annexes peuvent
retracer dans les conditions prévus par la loi de finance. Alors que les budgets annexes sont
créés par la loi de finance de l’année. Ils sont au nombre de quatre : les Journaux officiels, les
Monnaies et médailles, l’Aviation civile, l’Ordre de la Légion d’honneur et de la Libération.

-Les comptes spéciaux du trésor : L’ordonnance de 1959 définis six catégories des comptes ;
les comptes d’affectations spéciale, les comptes de commerce, les comptes d’opérations avec
les gouvernements étrangers, les comptes d’opérations monétaires, les comptes de prêts et les
comptes d’avances. La LOLF (article 19) ne met pas en place le quatre catégories de comptes
spéciaux. Ils ne peuvent être ouverts par une loi de finance et ils ne peuvent pas être créés par
voie règlementaire.

Les catégories des comptes spéciaux sont les suivantes ;

- les comptes d’affectation spéciale

- les comptes de commerce

- les comptes d’opération financière

- les comptes de concours financiers


Mais le budget de l’Etat ne peut être réduire à cet ensemble de comptes.

Commentaires du tableau

Le cadre I retrace le budget général de l’Etat. Il illustre les opérations de fonctionnement et


d’investissement. Alors le budget général de l’Etat malgaches aurait un déficit environ de
(1 079 382 2296)
Par contre le cadre II montre le montant du budget annexe c’est-à-dire que le montant des re-
cettes et les dépenses sont égaux donc il n’y a pas de solde.
Partie II : Les principes budgétaires

L’élaboration du budget de l’Etat suit précisément des principes de droit budgétaires


pour bien assurer la bonne gérance financée. Il y a les principes régissant l’autorisation et
ceux qui concernent plus spécifiquement la présentation.

Section 1 : Les principes classiques

A) Le principe de l’annualité

1) Énoncé

Le principe d’annualité signifie que le budget de l’Etat doit être voté chaque année (annualité
de vote budgétaire et de l’autorisation de perception d’impôts) et par une année civile. Ainsi,
Le budget de l’Etat doit être exécuté dans l’année par le gouvernement. Les crédits ouverts
une année ne peuvent être utilisés que pour les dépenses de cette année-là. Le budget ne
contient que des crédits se rapportant à une année budgétaire déterminée.

2) Les dérogations du principe :

- Pour les budgets inférieurs à un an

 LES LFR

Comme les LFR sont prises en cours d’année pour modifier les dispositions initiales de la loi
de Finances initiale.

 Le douzième provisoire

Lorsque le parlement n’arrive pas à voter la loi de Finances, on recourrait au douzième


provisoire c’est-à-dire on reconduisait le budget antérieur à raison d’un douzième pour chaque
mois de retard.

- Pour les budgets supérieurs à un an

 Autorisation de Programme

Suite au passage du budget de moyen au budget de programme, le cadre annuel peut être
dépassé du fait du caractère pluriannuel du programme ainsi si le crédit de paiement respecte
belle et bien le principe de l’annualité mais l’autorisation d’engagement peut aller au-delà
d’une année. Une autorisation de programme est valable sans limitation de durée jusqu’à ce
qu’il soit possédé à son annulation. Elle concerne l’ensemble d’une opération qui peut être
divisé en plusieurs tranches fonctionnelles.

 Reports de crédit sont des opérations par lesquelles les crédits non consommés
accordés à un ministère pour une année peuvent venir s’ajouter à la dotation
correspondante du budget de l’année suivante.

B) Le principe de l’unité

1) Énoncé

Il désigne l’obligation pour l’ensemble des recettes et des dépenses de l’Etat de figurer
dans un document unique intitulé budget général. Elles doivent être présentées de façons
détaillée et aussi de même nature afin de pouvoir être additionnées. Le principe de l’unité
permet d’avoir une vue en ensemble immédiate de la situation financière de l’Etat. Ce
principe permet de connaitre le volume des dépenses publiques, l’équilibre et le rôle de l’Etat.
Il évite donc l’existence d’un compte hors budget et l’unicité du document permet de
contrôler plus facilement l’exécution du budget par rapport à la prévision initiale.

2) Dérogations

- Les budgets annexes : Ils répondent à trois exigences, critère organique (services de
l’Etat non dotés de la personnalité morale), critère fonctionnel (activité de production de biens
ou prestation de services), et critère financier (paiement d’une redevance en contrepartie). Les
budgets annexes sont séparés du budget général de l’Etat, mais leur création et leurs crédits
sont votés en loi de Finances.

- Les comptes particuliers du Trésor : un compte particulier du trésor a pour objet de


retracer des recettes affectées, conformément aux dispositions de LOLF, au financement des
dépenses qui se rapportent à des opérations déterminées et l’emploi donné à ces recettes. Il
existe six catégories de comptes particuliers tels que les comptes d’affectation spéciale, les
comptes d’avances, les comptes d’adhésion aux organismes internationaux, les comptes
d’avances, les comptes de prêts, les comptes d’opérations monétaires et les comptes de
dépenses sur dotations.

C) Le Principe de l’universalité

1) Énoncé
Il désigne le rassemblement en une seule masse l’ensemble des recettes publiques sur
laquelle doit s’imputer l’ensemble des dépenses publiques. Ce principe ressemble un peu au
principe de l’unité selon laquelle les dépenses et les recettes doivent figurer dans un seul
document mais il implique deux exigences :

- La règle de non affectation qui signifie qu’une recette déterminée ne peut être utilisée
que pour financer une dépense déterminée.

- La règle de non compensation qui veut dire que qu’il est fait recette du montant
intégral des produits sans compensation entre dépenses et recettes (règle du produit brut).

2- Les dérogations de ce principe :

Sont de même que celles du principe de l’unité mais en rajoutant la fiscalité affectée qui est
la taxe sur une dépense ou un investissement bien déterminée.

D) Le principe de spécialité

1) Énoncé

Il concerne les dépenses autorisées par le budget : celle-ci sont spécialisées, selon une
nomenclature budgétaire, ce qui signifie que l’exécutif doit utiliser les crédits ouverts, de
manière en principe limitative, selon leur destination telle qu’elle résulte du budget voté par le

Parlement. L’application de ce principe consiste à détailler l’autorisation budgétaire afin que


chaque crédit ait une destination indiquée par la LF et qu’il serait impossible pour le
gouvernement de la modifier. Le principe de spécialité consiste aussi à éviter les
modifications des dotations en cours d’année c’est-à-dire à éviter qu’en cours d’année les
dotations prévues pour un chapitre en soient attribué à un autre chapitre. Ce principe
s’accorde spécifiquement avec le budget de programme de la LOLF.
2) Les dérogations :

- Transferts de crédits qui peuvent modifier la répartition des crédits entre programme
de ministères distincts dans la mesure où l’emploi des crédits ainsi transférés pour un objet
déterminé correspond à des actions du programme d’origine.

- Virements de crédits peuvent modifier la répartition des crédits entre programme


d’un même ministère.

- Les Fonds spéciaux ou secrets : Il s’agit des fonds utilisés librement en dehors de
toute spécialisation de crédits. Les actions financées par ces fonds sont toutefois des actions
secrètes liées à la sécurité extérieure et intérieure de l’Etat.

- Les crédits globaux : Il s’agit des crédits pour des dépenses accidentelles ou
imprévisibles. Et ils sont répartis en tant que besoin au cours de l’exercice.

E) Le principe de l’équilibre

Le principe d’équilibre budgétaire renvoie à la nécessité d’équilibrer les comptes de


manière à éviter la présence de déficit dans le budget de l’Etat (Recettes=Dépenses). Il n’est
pas vraiment une règle technique traditionnelle comme le principe d’annualité ou d’unité, car
il est très rarement respecté, comme le montre la situation des finances publiques actuelles.
Section 2 : Principes modernes

Les principes modernes parlent du principe classique qui s’est expliqué en confrontant la
démocratie et le parlementarisme, dans la nécessite des principes modernes se découle
l’approfondissement de la démocratie alors que la LOLF (Loi Organiques sur la Loi de
Finances) n’a plus d’idée, alors il y a que dans le principe de sincérité, lisibilité et
transparence qu’on peut compter.
A) LE PRINCIPE DE SINCERITE
1) Généralité

La clarté continue alors qu’ils sont envoyés d’émergence, elle vient d’augmenter aux
lois non financières, la clarté est la condition et la conséquence de la sincérité. Cet impératif
participe d’un système qui tend à augmenter la dépense de la politique. Pour le FMI, cette
carte n’accepte si leur acteur aux rôles et responsables précis accès au public, procédure de
présentation, examen contradictoire. Dans la composante de la haute juridiction la sincérité à
deux dimensions, la sincérité du périmètre budgétaire et la sincérité des évaluations. Le
fondement de la conception textuelle, les lois de finances présentent l’ensemble des
ressources, leur sincérité s’appui pour des informations disponibles leur composante.
2) Les composantes
La bonne foi : ceci admet un budget sincère mais faux.
La cohérence : Il s’agit d’un rapport de calcul.

A) LE PRINCIPE DE LISIBILITE

1) Généralité
Le principe de lisibilité est maintenu par la LOLF sur le moment et dans le temps. La
lisibilité du moment comprend la finalité et les modalités. Dans la finalité, l’objectif est
d’avoir la compréhension, d’être compris par tous. Le budget indique une meilleure décision
entre les activités. Il permet de mieux voir leur contribution à ses actions, de mieux
comprendre l’emploi de l’impôt. La lisibilité englobe tous ce qui devrait être connus. C’est un
principe transversal.
2) Buts
Dans la modalité, la LOLF met une architecture initiale crée par une démonstration
facile à savoir, à travers les missions, les programmes, les actions.
Les missions sont créées pour montrer le politique de règle ministérielle, qui
comprend la partie d’élection et le plan d’application de leur droit.

Les programmes sont un élément de la mission. C’est la division ou partage des


crédits, les objectifs des programmes est déterminer pour chaque operateur d’objectif de
parvenir au but stratégiques nationaux qui sont consulté par les ministres. Ces objectifs
opérationnels doivent être à propos de la situation existant contrôlable. Les actions sont des
renseignements qui explique et qui fait comprendre le parlement sur l’emploi prévisionnel des
crédits des programmes.

Concernant l’architecture finale, le montage final réclame des parties complémentaires. Le


Budget Opérationnel de Programme (BOP) qui répond au changement sur un territoire
déterminé. On peut dire que le Budget Opérationnel de Programme a la même information et
particularité que le programme.
Le Document de Politique Transversale (DPT) démontre une politique interministérielle sur
beaucoup de programme. Les Operateurs des Politiques sont des institutions qui comble 4
conditions : avoir un caractère moral, assurer une activité non marchande, être suivi par l’Etat,
faire ou crée une politique budgétaire.

Dans la lisibilité dans le temps, pour mieux comprendre l’action budgétaire le LOLF a 2
facilités de contrôle : le suivi des dispositions fixes qui analyse les conséquences des élections
parlementaires et le suivi des dispositions normales dont aucune analyse n’est fait si la
présentation budgétaire n’est pas stable et ferme.

A) LE PRINCIPE DE TRANSPARENCE
1) Généralité :
La transparence augmente l’information, la connaissance, c’est le fait d’acquérir, de savoir
pour avoir une bonne décision. Ce fait est composé d’une volonté à travers la documentation
et l’information.
2) la documentation :
On peut distinguer 3 traits :
- Une documentation stratégique dont le gouvernement doit faire et démontrer une analyse
sur la réalité de la nation. Il composera une analyse financière pour l’année en cours et les
deux années suivantes.
- Une documentation continue concernant l’information du parlement sur l’exécution du
budget de l’année N-1 et N.
- Une documentation finalisée qui concerne l’analyse de la reproduction ou d’augmentation
d’annexes spécialisés par le parlement.

3) Les informations :
On distingue les informations spontanées et les informations sollicitées.

Les informations spontanées dont les informations provenant du gouvernement prennent une
forme de liaison, afin de connaitre les informations sur le fait de dépasser les crédits
évaluatifs. D’analyser et d’apporter des suggestions en cas de décret d’avance, de montrer les
décrets au journal. Les informations de la cour des comptes qui apporte un compte sur les
résultats de l’exécution de l’exercice, de faire un compte sur tous les plans de loi sur les
mouvements de crédit. .

Dans les informations sollicitées, les commissions des finances mettent en œuvre des
missions d’analyse pour avoir des informations. De faire un suivi sur l’exécution de la loi de
finance. Les commissions des finances au droit de demander une réalisation des enquêtes. La
LOLF pourrait apporter un principe supplémentaire et le parlement définit détermine un
montant et une enveloppe
Conclusion

Pour conclure, cette analyse on met l’explication de l’étape à suivre avant l’exécution de la loi
de finances. La loi des finances qui retracent les ressources et les charges de l’Etat à une
année civile. Les lois de finances sont encadrées par la LOLF depuis l’année 2004.
L’élaboration du budget de l’Etat suit précisément les principes budgétaires pour plus
précisément la bonne gérance des budgets de l’Etat.

Dans cette mémoire nous avons vus dans la première partie le concept théorique de la loi de
finances : cadre législatif de la loi de finance et le tableau d’équilibre général. Dans le second
lieu nous avons étudié les principes budgétaires nécessaires à la formation des lois de
finances en se référant à deux sous-sections : les principes classiques et les principes
modernes.
Bibliographie :

- Loi de Finances initiale pour 2019 de Madagascar, Ministère de l’économie et des


Finances à Madagascar

- LOLF n°2004-007 du 26 juillet 2004 sur les lois de Finances

- Barilari (André), Bouvier (Michel), La LOLF et la nouvelle gouvernance financière de


l’Etat, LGDJ.Lextenso, 2010 (3e édition)

- Miora RAVELOTSALAMA, Principes Budgétaires

- Frank Mordacq, Finances publiques (2018)


Table des matières
Avant-propos......................................................................................................................................... I
REMERCIEMENTS............................................................................................................................ II
Sommaire............................................................................................................................................. III
Introduction.......................................................................................................................................... 1
Partie I : Concept théorique de la loi de Finances......................................................................... 2
Section 1 : Cadre législatif de la loi de Finances......................................................................... 2
Section 2 : Tableau d’équilibre général...................................................................................... 3
1)Les différents types de budget de l’Etat............................................................................... 5
2) Signification des trois composants...................................................................................... 5
Partie II : Les principes budgétaires............................................................................................... 6
Section 1 : Les principes classiques............................................................................................. 6
A) Le principe de l’annualité................................................................................................... 6
1) Énoncé............................................................................................................................... 6
2) Les dérogations du principe :.......................................................................................... 6
B) Le principe de l’unité.......................................................................................................... 7
1) Énoncé............................................................................................................................... 7
2) Dérogations....................................................................................................................... 7
C) Le Principe de l’universalité............................................................................................... 8
1) Énoncé............................................................................................................................... 8
2-Les dérogations de ce principe :....................................................................................... 8
D) Le principe de spécialité..................................................................................................... 8
1) Énoncé............................................................................................................................... 8
2) Les dérogations :............................................................................................................... 9
E) Le principe de l’équilibre.................................................................................................... 9
Section 2 : Principes modernes.................................................................................................. 10
A)LE PRINCIPE DE SINCERITE....................................................................................... 10
1)Généralité......................................................................................................................... 10
2)Les composantes.............................................................................................................. 10
B)LE PRINCIPE DE LISIBILITE........................................................................................ 10
1)Généralité......................................................................................................................... 10
2)Buts................................................................................................................................... 10
C)LE PRINCIPE DE TRANSPARENCE............................................................................ 11
1)Généralité :...................................................................................................................... 11
2) la documentation :......................................................................................................... 11
3) Les informations :........................................................................................................... 12
Conclusion........................................................................................................................................... 13
Bibliographie :..................................................................................................................................... IV
Table des matières................................................................................................................................ V

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