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Socio Bruban

III

La préparation des cours

les enseignants conservent une marge de manœuvre importante dans l’application de programmes
mais ils sont pourtant dans une tension entre les finalités en termes de valeurs ( c à dire le sens
civique, critique et donc d’un autre côté les dimensions techniques d’un enseignements qui sont lier
à l’apprentissage → l’évaluation des savoirs par rapport à des référentiels ).
Dans une tentative de réduction des écarts entre leur conception du métier ( classiquement la
transmission du goûtt du savoir ) et les attentes des élèves ou des familles, dans lesquelles ils
négocient leur position et le contenue de leurs enseignements. Dans ce bricolage au quotidien, ils
sont parfois amené à restreindre leur ambition sur les contenu au profit de la forme ( c à dire trouver
le support ) dans l’objectif de motiver l’élève.
Donc on a une contradiction potentielle entre le motivation qui doit aboutir à l’engagement des
élèves et qui suppose un transfert des support qui potentiellement altère le contenu des
enseignements.
Sous l’effet conjugué des conditions d’enseignement mais aussi du type d’établissement mais aussi
des caractéristique des élèves, les enseignants tentent de trouver un compromis entre une fonction
pédagogique et une fonction de transmission de savoir.
Ca suppose aussi un travail renouvelé sur le gestion de la classe dans laquelle on a deux fonction
centrale → animer la classe et gérer l’ordre. Cette gestion de classe c’est l’activité principale des
enseignants. Ces deux fonctions sont interdépendantes ; pour la première il faut conduire les élèves
à échanger, à s’écouter, à être actif et impliquer donc cette modalité participe d’une nécessité
nouvelle de construction de la motivation et elle contribue par ailleurs à garantir l’ordre pendant le
cours . Ce faisant , elle installe l’enseignant dans une fonction d’animation qui permet le dialogue ,
tout en contrôlant les éventuels débordement et cette tâche est souvent vécue comme éprouvante
car elle n’est jamais durablement assurée.

L’évaluation et l’orientation

La dimension évaluative de la fonction enseignante comprend à la fois la notation et l’orientation.


Les enseignants jugent la notation majoritairement démotivante car elle est chronophage et puis car
elle est ennuyeuse et répétitive. Cette appréciation négative est accentué dans un contexte
contemporain où les élèves ne lui attribue pas de sens et les élèves la considère comme une
sanction, ils ne voient pas la dimension formatrice. Au delà de cette appréciation différentes
élèves/enseignants , les devoirs sont reconnues par les enseignants dans une fonction de motivation
au travail des élèves.
Conseil de classe → les enseignants déplorent l’absence d’échange et de débat de fond sur l’action
de l’équipe éducative et sur sont efficacité . C’est également le fonctionnement sommaire et jugé
bureaucratique des procédure qui sont critiquer. Les enseignants leurs reproche d’être réductrice
( passe/ redouble/ réorienter ) et ils leurs reproche aussi l’absence de poids réel des enseignants dans
la prise de décision finale. Ils pensent que leur expertise sur les capacités objectives des élèves à
poursuivre en l’absence d’une réel motivation et trop peu souvent prise en compte.

S’il est dit que la collaboration entre les professionnels de l’établissement fait parti des
nouvelles tâches de l’enseignant c’est que le constat est fait qu’elle ne sont pas fréquente dans les
établissements scolaire. C’est la classe et la position qui occupe l’enseignant qui demeure centrale.
Par ex : en direction des chef d’établissement les collaboration sont principalement administrative et
minore souvent l’animation de projet pédagogique et dans ce sens les enseignants déplorent la faible
reconnaissance de leur travail pédagogique et le manque d’appuis de leur direction.
S’il est possible de parler de collaboration avec les cpe c’est souvent pour leur déléguer le sale
boulot : l’autorité et la sanction. Souvent lest collaborations avec les autres pro ne se mettent pas en
place ou ne fonctionnent pas en raison de conflits portant sur l’absence de communication sur la
situation de l’élève et ce au nom du secret professionnel. Les collaboration existe cependant et elles
sont liée et à des affinités entre personnes, par ex des lien amicaux qui sont souvent informels et
extérieur à l’activité pro , c’est aussi car on a de bonnes relations avec tel ou tel enseignant que l’on
va construire ou suivre un projet ensemble .

2 – Nouvelles compétences attendues et élargissement du cadre de référence

De nouvelles compétences sont attendu des chez l’enseignant, elles relèvent d’un élargissement du
cadre de référence donc l’action pédagogique ne se limite plus à la classe mais elle s’inscrit alors
dans un cycle c’est-à-dire d’en une dimension temporairement transversale des apprentissage et leur
évaluation.
Donc l’exercice pro implique la construction de projet pédagogique . Elle sous-entend aussi de
s’investir dans des partenariats éducative. Donc ces dimensions requièrent des savoirs faire
nouveaux de type organisationnel et relationnel.
Cette nouvelle culture éducative vise à reconstruire une relation éducative entre l’enseignant et
l’élève dans un contexte de disparition d’un consensus sur les missions de l’école et sur les valeurs
éducatives. Cette nouvelle culture pro s’impose lorsque les enseignants sont confrontés à des
problème accrus d’indiscipline chronique et de violence ou plus simplement lorsqu’il s’agit de «
faire tenir la classe » et plus largement donc la « situation scolaire » ( adéquation de l’école avec les
évolution de la société ) .
C’est sous l’effet de l’adaptation aux nouvelles conditions locales que les métiers enseignants
changent. Les personnels des établissement scolaire doivent inventer des conditions pédagogique et
organisationnelle pour d’une part prendre en charge les différences scolaire des élèves et d’autre
part pour prendre en considération les cultures et les stratégies familiales locales ou juvéniles ( des
jeunes ) ou encore d’un autre niveau ; les politiques de la ville .

L’évolution du métier de l’enseignant ne se résume pas à une crise mais elle porte sur deux
tendance , l’élargissement d’une part et la rationalisation des tâches .
Lorsqu’on dit que les enseignant sont des pro on reconnaît qu’ils occupent un créneau spécialisé
dans la division sociale et technique du travail du fait qu’il mobilise des techniques pour mener à
bien leur métier . Ces ressources sont d’abords des savoirs , ce sont aussi des savoirs faire . Ces
ressources se construisent généralement dans des pratiques qui sont menées dans des situations
concrètes (bricolage au quotidien) , et les se formalisent ensuite par l’action de praticien experts
dans leur domaine ce qui permet ou autorise leur usage dans d’autres contextes. C’est l’ex en
France où on assiste à un fort développement des savoirs et des ressources professionnelles. C’est
l’introduction par ex des didactique des disciplines , le développement aussi d’outils technique →
des outils d’évaluation et d’apprentissage

IV – L’évolution de la formation des enseignants

Création des IUFM → volonté politique de professionnaliser les enseignant du primaire et du


secondaire.
Cette professionnalisation est fondé sur une transformation des la formation dans une mise en
relation avec les savoirs universitaire.
2008 → il faut avoir un master pour être professeur des écoles. Passage d’un modèle basé sur la
transmission des savoirs à un modèle de formation par l’alternance donc modèle qui articule des
mises en situation sur le terrain et des reprises réflexives en formation.
Les critiques relèvent pour bcp de la difficultés à articuler des savoirs formaliser avec des savoirs
agis qui supposent donc une collaboration étroite entre des formateurs institutionnel et des
formateur de terrain.
Dans les faits les enseignants mettent en place des échanges entre paires et ce à la marge de la
proposition de l’institution, donc en cela et par ce mode de formation quasi clandestine les
enseignants optent JSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSSPPPPPPPP PTN DMERDE

On peut dire que les nouveaux enseignants ont dans une relation plus professionnelle et plus
pragmatique du métier que leur prédécesseur .
On constate un désintérêt croissant pour ce métier en Fr mais au-delà, les enseignants français
quittent moins l’enseignement. Cette situation s’explique notamment en raison du statut de
fonctionnaire qui leur garantit une activité durable et une protection dans un contexte social fragile .
Il expriment pourtant un rapport difficile avec leur métier, une souffrance au travail qui s’explique
par 3 motifs principaux :
→ le sentiment de ne pas accomplir ou de ne pas être en mesure de s’acquitter convenablement de
leurs tâches
→ le sentiment d’être soumis au regard et à un contrôle accrus des parents
→ le sentiment d’être abandonnés par leur institution

Les changements et les évolution sont ressentis par les enseignants comme des négations de leur
expertises .
Un manque d’unité collective du groupe enseignant restreint les possibilité d’institutionnaliser de
nouvelles règles du métier . Il y a une monter en puissance et connaissance des enseignant mais
d’un autre côté il trouve que leur niveau d’expertise n’est pas reconnu à leur juste valeur.

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