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The Big Lebowski

Joel et Ethan Coen, 1998

Ce que j’ai aimé : J’ai trouvé l’absurdité du film très amusant. Les rêves, les
personnages et l’intrigue étaient tous étranges et ceux-ci ont rendu le film encore plus
intéressant. Le personnage principale, the Dude m’a beaucoup plu car je connaissais d’autres
œuvres de l’acteur, Jeff Bridges et le revoir dans un rôle si éloigné de ce qu’il faisait
d’habitude était fascinant.
Ce que je n’ai pas aimé : J’ai eu l’impression que la fin était un peu rapide, sans vrai
dénouement. Je trouve qu’il manquait une sorte d’épilogue qui aurait du ramener tout
l’histoire ensemble. Je n’ai aussi pas beaucoup aimé le fait qu’on a pas eu d’explication sur le
« narrateur mystérieux » à la fin. Était-il Dieu ? Était-il la voix des créateurs ?
Ce qui m’a touché : La mort du troisième ami à la fin m’a fait du mal car c’était
étrangement le personnage à qui j’étais le plus accroché. Le fait de le voir mourir pour un
simple cause m’a troublé.
Citation préférée : « That rug really tied the room together »
Œuvre à comparer: «Toc Toc », Vicente Villanueva, 2017
Le film « Toc Toc » de Villanueva raconte l’histoire de six personnes qui viennent des
milieux très différentes mais qui ont un point commun : des troubles obsessionnels
compulsifs (TOC). Le film se déroule dans une pièce, dans laquelle les six personnages
attendent leur médecin traitant, et ils commencent à se parler. LE point commun entre ce film
et The Big Lebowski et l’absurdité et l’étrangeté des deux films. En effet, les longues
moment de silences et des personnages excentriques sont le centre du film dans les deux cas.
En revanche, les deux films se différencient entièrement en fonction de leur scénario car les
intrigues ne sont pas du tout similaires. Les deux films se rapprochent donc grâce à leur
exécutions.

Une Chambre à soi


Virginia Woolf
Ce que j’ai aimé : L’utilisation parfaite de l’ironie et de la logique pour
dénoncer une société patriarcale m’a beaucoup plu. J’aime beaucoup le
format de l’essai. Le fait que Virginia Woolf s’adresse à ses lecteurs et
notamment aux femmes directement est très captivant et donne l’envie de
lire la suite. Le sujet de l’essai est bien évidemment très intéressent mais
ce qui m’a vraiment beaucoup attiré dans ce livre c’est le façon de traiter un
sujet si important avec une démarche prenant et intriguant.

Ce que je n’ai pas aimé : Même si la démarche est très intéressante, je trouve
que lire l’œuvre de Virginia Woolf demande beaucoup de concentration. En
effet, il faut suivre toutes les phrases pour ne pas se perdre dans la logique,
ce qui rend la lecture assez difficile. De plus, j’ai lu ce livre en anglais
avant de le relire en français et j’ai remarqué pendant ma deuxième lecture
qu’il y avait beaucoup de fautes ou d’impertinences de traduction. Il y a des
bouts de phrases, ou parfois même des arguments entiers qui manquent, ce
qui devient très perturbant au cours du temps.
Chapitre 3 – Analyses : Dans le chapitre trois, l’autrice cherche à identifier
les raisons pour lesquelles l’ère élisabéthaine n’a donné lieu à aucune
femme écrivaine. Enfin d’une longue démarche, elle reconnait deux raisons
principales : les conditions de vie des femmes qui leur empêche d’écrire, et
le manque des droits des femmes qui leur empêche d’être publiées ou
connues. Pour expliquer ses propos, elle utilise plusieurs exemples comme
la sœur imaginaire du Shakespeare. Elle emploi aussi de nombreux figures de
style comme l’énumération ou l’anaphore qui amplifient l’importance de ses
explication ou la gravité de ses exemples. Elle donne comme argument les
mariages forcés, le manque d’espace privé des femmes ou encore la vision de
la société. Ainsi, Virginia Woolf dénonce les injustices dans la littérature
en fonction du sexe.

Œuvre à comparer : Manifeste des 313, 1971

L’œuvre de Virginia Woolf peut être comparé au Manifeste des 313, une
longue déclaration qui lutte pour le droit à l’abortion des femmes, signée
pas 313 femmes célèbres qui avouent avoir déjà eu une abortion. En effet, les
deux œuvres défendent les droits des femmes qui leur sont privées par la
société. Dans les deux cas, le lecteur peut observer une démarche logique
avec plusieurs exemples et arguments logiques ainsi que des cas personnels.
Même si ces deux œuvres dénoncent des droits entièrement différent et sont
séparés d’une cinquantaine d’années, ils ont tous les deux le même objectif :
donner aux femmes les droits qu’elles méritent.

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