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Définition du voyage

Corpus

Document 1 : affiche du secours populaire  à propos de ceux qui ne partent pas en vacances

Document 2 : article internet  cet article parle du fait qu’il existe des familles qui ne partent pas en
vacances

Document 3 : Intervention  ce document parle de ce que représente les vacances, mais aussi de
qui sont ceux qui ne partent pas.

Thème : Les vacances et les inégalités sociales

Problématique : En quoi les vacances constituent-elles un privilège ?

I les vacances, du bonheur

II mais des freins mais un bonheur réservé à certains

Type de plan : thématique

Oui ou non  dialectique (est-ce-que ?)

En quoi  thématique (raison 1, raison2, raison 3)

Analyse  analytique (définition, danger)


Les vacances se sont démocratisées au fil du temps, elles permettent de s’échapper de la routine de
la vie quotidienne, de s’évader, elles sont donc importantes. Cependant, il y a encore de nombreuses
personnes qui ne partent pas en vacances. C’est ce dont nous allons parler à travers les documents.
Le premier étant une affiche en faveur du secours populaire français de 2006 évoquant ceux qui ne
partent pas, ensuite nous avons un article internet de Géraldine Dao intitulé « Les vacances sont un
puissant marqueur social » de 2018 ayant pour sujet les familles qui ne vont pas en vacances, et le
dernier document est une intervention évoquant ce que représentent les vacances et ceux qui ne
partent pas, datant de 2016 de Pierre Périer appelé « L’approche sociologique du départ en
vacances : entre symbolique et réalités. »
Nous nous demanderons en quoi les vacances constituent un privilège ? Tout d’abord, nous
aborderons les inégalités, ensuite les freins au départ, et pour finir ce qu’elles nous apportent.

Dans un premier temps nous verrons les inégalités face aux vacances en parlant du nombre
de personnes qui ne partent pas, ce qui est nécessaire pour partir, et à quoi sont-elles associées.
Avec l’affiche du secours populaire nous lisons qu’un enfant sur trois ne part pas en vacances, que
40% des Français ne partent pas en vacances selon Géraldine Dao l’autrice nous apporte également
que ces 40% sont pour les personnes ayant des revenues inférieures à 1200€ contre 86% pour des
revenus de 3000 € et plus. Les vacances représentent un véritable marqueur social selon
« L’approche sociologique du départ en vacances », puisque c’est une forme d’exclusion pour ceux
qui ne partent pas à travers un écart social.
Nous apprenons qu’afin de partir en vacances l’article de presse stipule qu’il est nécessaire d’avoir un
savoir-faire et on nous parle de question de culture avec l’intervention puisqu’elles
Voyage séance 2 – Pourquoi voyager ?

 Pour des raisons professionnelles,


 Pour étudier (ex : ERASMUS),
 Pour changer d’horizon,
 Pour voir de nouveau paysage et la nature, (S. Tesson dans les forêts de Sibérie)
 Pour faire des rencontres,
 Grands explorateurs (C. Colombe) découvrir de nouvelles terres, commerce et
culture,
 Pour aller voir sa famille

1 – Aspect historique
Homme préhistorique : nomades (voyage beaucoup pour survivre)
L’homme a toujours voyagé, cela fait partie de son mode de vie primitif

Grands explorateurs :
13eme Siècle : Marco polo
15eme Siècle : C. Colombe Amérique du sud
V de Gama : Inde
16eme Siècle : J. Cartier Canada

Pourquoi voyagent-ils ?
 Enrichir leurs connaissances / progrès
 Rechercher de l’argent, cupidité (or)
 Apporter la civilisation à des peuples « sauvage » : religion, culture, savoirs.
 Aspect missionnaire : annoncer l’évangile (voir le film : « mission »)

Voyage « éducatif »

 Compagnonnage : faire le tour de France des « maîtres ». Moyen-Age à nos jours.


 « Grand Tour » (né au 16eme jusqu’au 18eme S) : tour de l’Europe. L’aristocratie
européenne voyageait dans les grandes villes d’Europe pour découvrir le patrimoine
culture et architectural

Pèlerinage
Moyen-âge : st Jacques de Compostelle / mont st Michel : aller sur un lieu saint, approfondir sa vie
intérieure.

Regard sur les peuples que l’on découvre


« Les mythes du bon sauvage » Rousseau, « l’homme est bon, c’est la société qui le corrompt »
Avoir un regard critique sur notre propre civilisation (Montaigne, Montesquieu)

2- Le voyage pour prendre du recul


Idée : Le voyage permet de prendre du recul par rapport à nos meurs, nos valeurs grâce à un regard
décentré.
Ex : Montaigne Les Essais
Dans ce texte, Montaigne critique avec virulence la manière de voyager de ses contemporains
(Renaissance, 16e)
Deux critiques : l’ethnocentrisme (le fait de mettre sa culture au centre et de la considérer comme
supérieur aux autres. Les autres sont vus comme des « sauvages »). Le fait de voyager sans s’ouvrir à
la culture du pays, enfermé dans notre propre culture.

-Au 18e les philosophes dans le but de critiquer les mœurs et la société européenne utilisent le regard
étranger.
Par exemple, Montesquieu dans les Lettres persanes, fait parler des Persans qui constatent
l’étrangeté des mœurs parisiennes. De manière indirect Montesquieu critique la politique, la
monarchie, la religion.

3. Le voyage est un idéal, un appel à la liberté


S. Tesson, Dans les forêts de Sibérie.

Séance 4 : Les revers du voyage

1. Question : le tourisme de masse est-il du voyage ?

-Définition du voyage.

 Déplacement d’un point à un autre  oui


 Découvrir d’autres cultures  oui
 Changer son regard grâce à la rencontre de l’autre  ?
 Education, découverte culturelle  ?
 Le voyage permet de se découvrir soi-même (Ulysse)  non

2. Méfaits écologiques du tourisme de masse

 Politique aérienne / transports


 Dénature le paysage (construction des infrastructures touristiques notamment en Espagne
sur la côte)
 Dénature de la culture locale

3. Texte de C. Levi Strauss

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