Dyslipidémie et athérosclérose Au-delà de 80 ans, la réalisation systématique Si TG>3.
4 => dosage de Apo B100 : 0,55-1,25
d’un bilan lipidique de dépistage n’est pas justifiée. g/L pour la femme et 0,55-1,35 g/L pour Les lipoprotéines : 07 l’homme - le chylomicron est le + volumineux , Obésité : excès de TG et non pas de Ch LPa : LDL + Apo A et Apo B (athérogène et considérée comme exogène Dans les cas où les TG > 3,5g/l, le dosage est thrombogène) - LDL => B100 seule impératif) le calcul ne suffit pas - On dose systématiquement le taux de la Lp(a) - HDL => ApoA Valeurs Nle : chez les personnes présentant une Le RCp LDL ou RCP B/E : est ubiquitaire foie + CT < 2 g/l ; LDLc < 1,60 g/l ; TG < 1,5 g/l ; HDLc hypercholestérolémie familiale. +=> lie avec Apo B > 0,40 g/l (quel que soit le sexe ). - son taux est génétiquement déterminé Rcp VLDL ou Rcp E => Apo E Analyse du sérum : - LDLc vrai] ou [LDLc sensible aux statines) = Rcp ABC-A1 : TM ATP dépendant => HDL Sa limpidité ne peut être associée à une [LDLc mesuré] – [C - Lp(a)]. Rcp SR-BI => l’ ApoA1 =>HDL hypertriglycéridémie (hyper TG) sauf en cas - LPa ↑=> pseudo R° au statines (malgré qu’elle Le Rcp Scavenger R sur les macrophage => LDL d’Hyperglycérolémie : sérum clair + fausse n’agit pas sur la LPa) oxydé Hyper-TG (déficit de la glycérol kinase : une TAR Action des statines : régulent la HMG CoA Lipase pancréatique dégrade le lipides en ou liée à l’X ). réductase, ils l’inhibent provoquant ainsi une Chylomicron et VLDL => LPL( de la paroi Vx) => Sérum clair : Normal ou hypercholestérolémie diminution de la synthèse endogène AG + Glycérol =< vers le T. adipeux pure type IIa. (principale) du cholestérol. Régulé par : (L’Apo C-II est un cofacteur Le sparamètres spécifique à doser sont : Formule de Friedwald activateur de LPL. CIII agit comme inhibiteur • L'Apo A1 est la principale apolipoprotéine des LDLc = cholesterol total (CT) – (HDLc + VLDLc) La lipase hépatique fait la mm chose dans le lipoprotéines de densité élevée (HDL) qui sont VLDLc = TG/5 si TG en g/l (ou TG/2,2 TG en foie antiathérogènes. mmol/l). VLDL : 20% CH / 60% de TG • L'Apo B est contenue dans les lipoprotéines - HDLc = chléstérol TOT- cholésterol non HDL Le Ch est amphiphile (si estérifié=> apolaire) de basse densité (LDL) et de très basse densité Le cholestérol total et le HDLc sont dosés Le LDL c est le 1er fac athérogène (VLDL) qui sont athérogènes n’est valable que si le taux des TG est < à 3,5 Un bilan lipidique de base : • Lp(a) Contient une particule LDL dans sa g/l. o Aspect du sérum structure (présence d’Apo B) : elle est Si Tg ≥3.5 : dosage de LDL et calcul de o Taux de triglycérides (TG des VLDL) athérogène ; Elle a une forte analogie cholestérol non HDL : o Taux de cholestérol total (CT) (LDL, HDL et structurale avec le plasminogène : elle est Cholestérol non-HDL = LDLc + 0,30g/l. même VLDL). thrombogène - Le cholestérol non HDL correspond bel et bien - Le dosage de l'Apo A1 permet de confirmer à la somme : LDL, Chylomicrons, IDL et Lp(a). En cas de “normalité” , ne pas refaire avant 3 à des valeurs basses de l’HDLc0. les meilleurs marqueurs des particules 5ans Chez l’homme : 1,10 – 2,00 g/L ; chez la athérogènes : LDLc , Apo B , C-non HDL femme : 1,2 – 2,2 g/L. la relation : TG ↑ => le taux de HDLc ↓à cause Si HDL < 1.30 => dosage des ApoA1 de CETP / les gens avec hyper Tg => HDL bas On a remarqué que les gens avec des taux élevés de gros LDL ont moins de risque par rapport aux gens qui accumulent des petites LDL.(psq les ptt ne sont pas eliminé) Chez les DT : TG↑, LDL faussement bas Le pronostic est favorable si : Chol T/ HDLc < 5 pour les hommes et < 4,5 pour les femmes ; LDLc / HDLc < 3,5 pour les hommes et < 3,2 pour les femmes ; Apo B / Apo A < 1 (on ne trouve pas un taux de Apo B > taux d’Apo A) Indication de lipidogramme : - En cas de présence de lipoprotéines anormales (type LpX, Lpa) : - En cas de dyslipidémie mixte : type IIb (↑ concomitante de CT et de TG) ou type III (↑ des IDL ) -En cas d’hypertriglycéridémies (chylomicrons et/ou VLDL) Il permet une analyse qualitative et pseudoquantitative des lipoprotéines. l’Hypercholestérolémie familiale HF : - génétique AD , mut de LDLR (90%), APOB (5%) et PCSK9 (1%)(prot de dégradation du LDLR) /La mutation de l’Apo B est la moins sévère - Maladie héréditaire la plus fréquente au monde : 14 et 34 millions / mais méconnue - clinique : exanthèmes tendineux, des arcs cornéens avant 45 ans. - il existe 2 formes :hétérozygote heFH ( + Fq) et l’homozygote hoFH - sérum clair , un pic de beta lipoprotéine - c un type II selon Freidrikson La maladie de Tangier 03 stades de formation de la plaque o Le LDL enrichi en TG subit l’action de la - TAR , déficience du gène d’ABCA1 , quasi - strie lipoprotéine lipase et rentre dans le foie, absence de HDL et d’Apo A1=> dépôt tissulaire - plaque o la lipase hépatique va agir sur les TG qu’il du Ch => amygdale orange - complication renferme aussi, le transformant ainsi en sd-LDL Déficience en Apo A1 QCM : (petites et denses LDL), et on aura une - délétion complète du cluster génétique HF évoquer devant : LDL > 1 .90 H / LDL > 1.60 dégradation rapide de l’Apo A1 qui va être ApoA1/Apo C3/Apo A4 Enf / le risque de IDM précoce est 20* éliminée par le rein. - HDL tres bas , risque coronarien ↑ les chylomicrons sont plutôt les plus pauvres en D’où la relation : TG ↑ => le taux de LDLc ↓ : Déficience en LCAT et maladie des yeux de protéines et les plus riches lipides Comment savoir alors que le taux LDLc est poissons HLP IIB => est mixte mais le HDL n’est pas ↑ / faussement bas ? - déficit de l'estérification du cholestérol HLP III => IDL Méthode n° 1 : plasmatique un taux de TG élevée va augmenter l’activité de Dosage ApoB : : on sait que chaque lipoprotéine - HDL plasmatique effondré la CETP, et donc le taux de sdLDL va augmenter, possède ses propres Apo. Les LDL et les sd-LDL - d'opacités cornéennes on aura dans ce cas un taux de LDLc faussement possèdent tous des Apo B ; - hypertriglycéridémie bas Le sujet avec LDLc faussement bas et donc sd- - une anémie hémolytique normochrome Les récepteurs des LDL modifiées (Scavenger R) LDL élevé présente une ApoB plus élevée (voir - une protéinurie sont des récepteurs éboueurs exprimés à la image) Déficience en CETP surface des macrophages : ils ont une faible Méthode n°2 : on aura recours au calcul du - TAR , HDL plasmatique ↑, affinité pour les LDL natives mais une forte cholestérol-non-HDL, ceci serait beaucoup plus Athérosclérose affinité pour les LDL modifiées sans élevé chez un patient présentant un taux LDL une « association de remaniements de l'intima rétrocontrôle négatif. faussement bas/ normal (tout simplement parce des artères de gros et moyens calibres La Lp-PLA2 (Lipoprotéine associée à la qu’on dose ici tout le cholestérol excepté celui de consistant en une accumulation focalisée de phospholipase A2) libère des médiateurs pro- HDL). lipides, glucides complexes, de sang et de inflammatoires par hydrolyse de Dans l’HF : les mutations du gène LDLR sont dépôts calcaires, avec remaniements de la phospholipides présents sur les (LDL). Elle est fatales, tandis que la mutation de l’Apo B est la média ». produite essentiellement par les monocytes moins sévère physiopath : macrophages et par les lymphocytes T. Elle est CT = CL-non-HDL + HDL agression chronique => les LP transportent les exprimée dans le centre nécrotique des plaques lipide de réparation d’athérosclérose les LDL ^plasmatique ↑↑=> oxydation => non Relation LDLc- TG: plus capté par le foie => reconnue par les o Une réaction impliquant la CETP va enrichir le macrophage => cl spumeuse qui n’obéit pas au LDL en TG, et les VLDL en CE. Rétrocontrôle – Augmentation de Apo B100 et Ch non HDL => ↑de Sd LDL 1. Conditions du prélèvement : La validité du bilan lipidique dépend de quelques règles : Sérum +++ : prélever sur un tube sec : les anticoagulants sous-estiment le dosage des lipides ( le CT++ jusqu’à 20% ) ; Jeûne de 12 h : pas pour tous les paramètres A distance d’une grossesse, 3 mois après accouchement ; 2 à 3 mois après un processus infectieux, chirurgical, sauf en cas d’IDM (nouvelle recommandation). Certains médicaments peuvent modifier les concentrations sériques des lipides : anticonvulsivants, oestro-progestatifs et hypolipémiants Des taux ↑ en Vit C (agent réducteur) et en BRB entraînent une sous-estimation de la concentration en CT : compétition avec le substrat chromogénique lors de la réaction de peroxydation. Exploration biochimique du LCR Des concentrations importantes en Hb LCR nle : éléments <5 (monocyte ,LT) , eleveé chez le nné, GR absent entraînent une surestimation de la Prot : tres faible, 0.20-0.45/ varie selon l’age, meme composition que le plasma concentration en CT par interférence Gluc : 60% du gluc sanguin , hypo = hypoglycémie ou infection bact colorimétrique. Ion : cl ↑117 , (↓en cas de méningite purulente) , H , vit, médiateurs chimique , lactate(0.25-1.5) La prise chronique de l’alcool influence surtout La Pr du LCR : 90-180mmH2O / Volume : 120-150 sur GGT gamma glutamyl transpeptidase Le PH n’est pas plus alcalin que la plasma Les VLDL : TG endogène, / Apo B100 et Apo Dans la méningite purulente : liquide trouble , elémt PNN++↑, gluc ↓, prot ↑, CL peut être Nle ou ↓ C ,dans certain situation elles peuvent etre lactate 3-10* la norme athérogène Dans la méningite à liquide clair : TBK soit virale /prot ↑, elemt LT, gluc lactate :Nle ou ↓ ,CL nle Le risque athérogène peut etre apprécier par le La TBK donne une méningite à liquide clair rapport : Apo B / Apo A La glycorachie ↓ dans l’H méningé Normalement, le liquide céphalo-rachidien est légèrement alcalin, pH 7,35 -7,40, en cas d’une méningite bactérienne ; le pH diminue à 7,0-7,1. La protéinorachie est définie comme la L'ANALYSE DU LCR: néoplasiques. o Hypertension concentration en protéines dans le liquide Analyse cytologique: recherche de cellules, en Hypoglyémies endocrânienne céphalo-rachidien. Elle ne doit pas être particulier globules blancs ; Ménigites purulentes Méningites confondue avec l'albuminorachie qui est la Analyse bactériologique: mise en culture pour tuberuleuses concentration de la seule albumine. identifier un éventuel germe en cause et Tumeurs méningées L'électrophorèse du LCR : réaliser un antibiogramme. Syndrome de pré-albumines : 6%, Analyse biochimique: dosage du glucose, des Rye(hépato- albumines : 58,5%, protéines, des ions chlorures ; des lactates encephalpathie aigue alpha-1-globuline 4,5%, Analyse macroscopique: étude de l'aspect et la Hémorragie sous arachnoidienne béta-1-globuline : 10%. couleur Méningite rhumatoide gammaglobulines : 9,5%. De nombreuses maladies inflammatoires ou La glycorachie est ↑ en cas de HIC infectieuses du système nerveux central sont Les liquides sanglants ou jaunes (appelés Le LCR Sa perméabilité est faible dans le sens responsables d’une synthèse intrathécale xanthochromiques) dans les trois tubes sang → LCR. / Sa perméabilité est grande dans d’immunoglobulines (Ig). Ex SEP évoquent plutôt une hémorragie méningée, le sens LCR → sang. - L’index d’IgG permet de mettre en évidence sans toutefois éliminer systématiquement une Synthèse dans le plexus choroide et résorption une synthèse intrathécale d’IgG: méningite. La coloration jaune s’explique par la villosité arachnoidienne de Paccioni Index de Delpech et Lichtblau : (IgG/Albumine transformation de l’hémoglobine en pigments Le LCR subit une circulation passive du lieu de LCR )/(IgG/Albumine sérum) N<0,65 hématogènes ( tels que la bilirubine) au cours sa production à son lieu d’élimination avec un d’une hémorragie méningée clair trouble débit de 20 cm3 /h. l pourrait être transsudatif en cas de les méningites virales, méningite bactérienne Il est renouvelé 3 fois par jour. compression mécanique ou d'un AVC. tuberculeuses, méningée Le LCR passe dans les sinus duraux et dans les néoplasiques, inflammatoire Physiologiquement d’aspect limpide veines Spinales et à un moindre degré dans la mycosiques amicrobie lymphe, le long des nerfs. leptospires et Exploration du métabolisme glucidique La composition du LCR est proche de celle du méningites décapitées Le métabolisme glucidique comporte 2 phases : plasma avec : Hypoglycorachie Hyperglyorachie - Phase absorptive = glycolyse + - pH plus acide (7,32) ➜ PaCO2 plus élevée ; Diminue glycogénogénèse. - Moins de : glucose, protéines, k+ ; indépendamment de la o Diabète sucré - Phase post absorptive = glycogénolyse + - Plus de : Cl- ; glycémie au cours des o Encéphalite néoglucogenèse. - Même concentration en Ca2+ ; méningites épidémique Index glucidique : 50-70 - Principal tampon : HCO3-. bactériennes et o Méningites - Glycémie à jeun = entre 0,7 et 1,1g/l. mycosiques, et dans séreuses et l’infiltration du LCR par urémiques des cellules L’insuline agit sur la phase absorptive/ glucagon test statistique test dynamique= en milieu H surveillance en post absorptive glycémie à jeun : hépariné, épreuve hyperglycémiante : HGPO , HbA1c :EDTA , gly des 6-8S , VN : 4- régulation métabolique - enz :HK HGPIV , test au glucagon(Explore la 6-7 absorptive post A jeun - colorimétrique :GOP/POD capacité de libération du glucose fructosamine : Alb (lysine), 200- Glycolyse. Glycogénolyse Lipolyse. glycémie post prandiale : 2h hépatique (glycogénolyse) + section 265µmol/l ou 2.8 à 3.9µmol/g de Lipogenèse. (hépatique + Cétogenèse. apres , VN=<1.40 résiduelle d’insuline après protéine./ 2-3S Glycogénèse. musculaire). Protéolyse glycosurie : semi-quantitatif , l’hyperglycémie.) Microalbiminurie (pour les Cplx+ Insuline +++ Néoglucogenèse musculaire. réagit au GOD / quantitatif epreuve hypoglycémiante : test à +) :néphropathie DT, hépatique. Adrénaline +++ GOD/POD , Glycémie insuline(0.1UI/Kg) , test au microangiopathies , VN :30-300 Lipolyse. >10mmol/l → glucosurie tolbutamine (sulfamide) => insuline ↑ Glucagon +++ apparait => hypogly (Explore la fonction Oses+ prot plasmatiques → régulation nerveuse dosage de l’insuline : EDTA, endocrine du pancréas.) fructosamines ELISA sandwitch , 10-20mUI/L insulinome : hypo importante Oses + hémoglobine → sympa para S dosage du peptide C : de la absence d’hypo => DT1 ID hémoglobine glyquée. Hyperglycémiant. Hypoglycémiant. pro-insuline , reflète l’insuline - c une liaison non enzymatique Active le glucagon. Inhibe le glucagon. endogène Inhibe l’insuline. Active l’insuline. dosage de glucagon :EDTA , régulation hormonale par IC 80-120 pg/ml hypo hyper insuline HT, CTC, glucagon , adrénaline - HT et CTC agit à long terme en modifiant l’ADN - es autres à court terme en changeant la voie La glycémie capiliare prend en compte l’Hte ( Hte ↑=> gly ↓) métabolique par l’AMPc Lecture des BU : Lecture faussée par vitamine C, dakin, eau de javel…. TEST au glucagon : o Absence d’hyperglycémie => épuisement des réserves hépatiques de l’insuline ou déficit enzymatique dans la voie métabolique. o Retour à la normale retardé => diabète. o ↑ anormale de la sécrétion d’insuline => insulinome Exploré les hyper par l’insuline / les hypo par le glucagon Glycogénoses ou endocrinopathie => hypo glycémie par insuline prolongée =hypersensibilité des tissu diabète, déficit en récepteurs d'insuline et hypersécrétions des hormones hyperglycémiantes=> insulinoR° l’HbA1c ↑ avec l’Age Troubles du métabolisme glucidique o 0.92 – 1.25 g/l => DG. o >1.26 g/l => DT. Dgt : Epreuve de charge au fructose (30g /m²) et on l’insuline et le peptide C => utile pour - Glycémie à 2 heures (après le début des dose fructose et glucose / ou l’activité de la F L-P l’exploration des hypo Gly spontanée repas) ; < 1,20 g/L. aldolase sur biopsie de foie peptide C =< l’activité résiduelle du pancréas - HbA1 c < 6,5%. Résultats : fructosémie Nle : 0,15 à 0,20 g/l DT1 Hypoglycémie : Si intolérance : > 0.2-1 g/l + hypo Gly pro insuline => intoxication au sulfamides, Glycogénose : adénome à pro-insuline -déficit enz dans le métabolisme de glycogène DT est une hyperglycémie chronique o Glycogénose de type 1 (maladie de Von gierke). DT1 : o Glycogénose de type 3b (Forbes/Cori). Elle peut etre par QCMs : - Au moins l’un des auto-anticorps est présent : - déficit enzymatique Hypogly : o Anticorps anti-ilots (ICA). - défauts de substrats - déficit en G6P o Anticorps anti-GAD. - hyperinsulinisme - intolérence au fructose o Anticorps anti-insuline. - déficits endocriniens - hyperinsulinisme o Anticorps anti- IA2. - autres : toxique , IHC - insuffisance hypophysaire Tm o Anti ZnT8. Galactosémie DG : dépistage au T1, > 0.92 / ou > 1.53 apres A l’état normal : la fixation de l’insuline sur son - TAR, rare, HGPO récepteur induit une translocation des GLUT4 -Galactosémie classique : déficit en GALT : La gly est majoré par l’alcool et le froid vers la membrane → capture du glucose (- Cataracte. - Retard mental. – Cirrhose) La glycogénose I : Von Gierk : hypo gly sévère , - dans le pré DT => les Cl devient + R° - Déficit en galactokinase : cataracte. acidose à TA normale , hyper Tg hyper Ch , Dans le DT1 => Histoire de MAI Bio : L’identification du GAL urinaire par hyper Uricémie / déficit en G6P (no G6PD) Ch17 Dans le DT2 =< Histoire de diabète familiale chromatographie. - clinique : Le début survient généralement dès DT2 : Dgt : Dosage du GAL 1-P érythrocytaire par la les premières semaines de vie avec la Insulino-R° => hyperinsulinisme + intolérence galactokinase. - Mesure de l’activité GALT. découverte d'une hépatomégalie ++ au gluc => ↓le l’activité des Cl β = DT2 apparait Intolérance héréditaire au fructose : La tolérance au jeûne est très limitée Diabète IIair : - déficit en fructose 1-P aldolase Convulsions dues à l'hypoglycémie - pancréas exocrine - peut etre mortelle L'hyperlactacidémie, responsable d'une acidose - trisomie 21 -Après la diversification → vomissements + métabolique sévère et d’une hyperuricémie - cirrhose, hémochromatose , hépatite C hypoglycémie sévère (goutte) Diabète mono-génique : - jamais de diarrhée et, il ne se développe ni Faciès poupin, dû au dépôt de graisses dans le Mody: le plus fréquent, dû à la mutation de 6 troubles oculaires ni retard mental tissu sous-cutané gènes./ DT néonat contrairement à la galactosémie. Les complications rénales débutent par une DG Bio : hypo gly PP / fructosurie (par liqueur de protéinurie → l'insuffisance rénale. - Glycémie à jeun : < 0,95 g/L [Normal] Fihling) Glycogénose Type I : déficit en glucose 6P et non pas Glycogène 6P Attention La fructosamine est un composé qui se forme lorsque le glucose se combine avec l’albumine Fructosamine => 1-3semaine / HbA1c => 2-3 mois Indications cliniques de dosage de la fructosamine - Surveiller la glycémie moyenne au cours des 1-3 dernières semaines ; - Évaluer la réponse à l'insulinothérapie ; - L'établissement ou la modification d'un plan de soins du diabète en observant leur efficacité; - Diabète gestationnel DIAGNOSTIC BIOCHIMIQUE DE DIABETE - Glycémie à jeun ≥ 7,0 mmol/L = aucun apport Confirmation Dgt de la galactosémie : Dans la maladie de Wilson pas de glycosurie calorique depuis au moins 8 heures à 2 reprises o Épreuve de charge en Galactose : abandonnée Les glycogénose Type I et III qui s’accompagne de - Ou Taux d’HbA1c ≥ 6,5 % (chez les adultes) car mal tolérée hypoglycémie mesuré à l’aide d’un test normalisé et validé, o Dosage du Gal 1-P érythrocytaire par la Sd métabolique : en l’absence de facteurs compromettant la galactokinase ; fiabilité du taux d’HbA1c o Mesure de l’activité GALT. - Ou Glycémie 2 heures après l’ingestion de 75 g Les méthodes de référence dans le dosage de de glucose ≥ 11,1 mmol/L (HGPO) ; HbA1c : les méthodes de référence sont : les - Ou Glycémie aléatoire ≥ 11,1 mmol/L (2g/l). techniques chromatographiques, Conversion : g/l x 5.55 = mmol/l immunologique et l'électrophorèse Galactosémie : - EP capillaire est performante en matière de - classique : TAR , déficit en GALT galactose 1- détection des fractions anormales d’Hb. phosphate uridyl transférase=> Ch 09 - chez l’insuffisant rénale => surestimation - IIair : déficit en galactokinase et non pas - Les résultats d’HbA1c doivent être exprimés soit glucokinase Attention en unités IFCC (mmol/mol) soit en unités NGSP Clinique : dérivées (pourcentage d’Hb totale et non pas de Refus de biberons, vomissement, perte de prot sérique ) par un calcul utilisant l’équation poids ; directrice IFCC-NGSP Un ictère, une hépatomégalie ; sur estimation s/ estimation La cataracte n'est habituellement pas L’hypertriglycéridémie ; Vit C et E ; présente à la naissance mais se développe L’insuffisance Maladie hépatique petit à petit sur une période de quelques rénale/hyperuricémie chronique ; (Hb carbamylée) ; Hémodialyse ; semaines à quelques mois (accumulation Déficit en fer, vit B12, B9 Hémolyse ; du galactitol) ; Splénectomie ; Transfusion sanguine ; Un retard mental (difficile à détecter et ne Abus d’opiacés, d’alcool Présence d’HbS et C ; devient réellement évident qu'après 6 à 12 ou d’acide acétylsalicique Splénomégalie ; Le peptide C :c la production endogène de mois d'évolution) Hyperbilirubinémie ; Médicaments : dapsone, l’insuline , il l y équimolaire, on peut le doser Sensibilité aux infections bactériennes Présence d’hémoglobine antiviraux, interféron, dans le sérum ou dans les urines, c de la pro- (principalement du type Escherichia Coli), fœtale (Hbf) ; fer, EPO... ; insuline, DID est fortement abaissé Ethnie (Africain/Africain- Grossesse. Note : Quand la dégradation sous l'influence de causes principales de la mortalité.. Américain). la phosphorylase atteint un point de branchement (liaison 1- 6), une enzyme particulière est nécessaire qui s'appelle Le glucagon : l'enzyme débranchante. - par les Cl alpha, agit sur les Cl hépatocytes et L'enzyme débranchante permet la libération de les adipocytes, n’a pas de Rcp musculaire , glucose libre, non phosphorylé. Une fois que favorise l’activation de la phosphorylase l'enzyme débranchante a accompli son rôle, la Glycogénose de pompe : phosphorylase active peut à nouveau agir pour - déficit en Maltase acid, atteinte musculaire ++, dégrader les chaînes de glycogène. Dgt par l’activité alpha glucosidase au niv des En l'absence d'enzyme débranchante, le leucocytes et fibroblaste glycogène a une forme particulière, avec des Selon l'âge de début de la maladie de Pompe, on branches courtes, appelées dextrine limite distingue trois formes: - ca se voit dans les glycogénose => La forme infantile est la plus fréquente et la plus Le dépistage du DG peut se faire en post Partum grave. pr le dosage du HbA1c Elle débute avant 3 mois et se manifeste Si premier desage de glycémie revenant hyper => par une hypotonie ; * refaire un 2ème dosage On peut noter une pseudo hypertrophie * demander une HbA1c musculaire ; L’INTOLERANCE AU GLUCOSE est définie comme L'atteinte des muscles respiratoires se - Une glycémie à jeun entre 1.10 et 1,26 g/L ; traduit par une insuffisance respiratoire ; - Une glycémie élevée après une HPO : entre Le cœur est rapidement défaillant avec 1,40 et 2 g/L ; cardiomégalie ; - Une HbA1c entre 5.7 et 6.4%. => Maladie de Pompe à début tardif ; HbA1c : correspond à la fixation de glucose sur la => La forme adulte de la maladie : valine N-terminale de la chaine B de Hb/ sans survient au-delà de 20 ans sans atteinte intervention enzymatique cardiaque, - l’intensité de la glycosilation est corrélée au Faiblesse musculaire lentement évolutive. taux de glycémie La glycogénose de type V : maladie de Mc On demande HGPO devant une intolérence au Ardele, déficit en Myophosphorylase, attinet gluc , et devant la présence de FDR diabétique musculiare ++, rhabdomyolyse + myoglobine ↑ La glycogénose de type III est due au mauvais => IRA , CPK ↑ fonctionnement de l'enzyme débranchante Les CPK sont ↑ dans : glycogénose type II, III, V dans les muscles, dans le foie ou dans ces deux Glycogénose type IX : déficit en phospho kinase tissus à la fois Exploration du remodelage osseux métabolisme hyper hypo Ca Calcémie : 88-104 mg/l soit 2,20 – 2,60 mmol/l. Calcémie > 2,63 mmol/l < 2,25 mmol/l Calcium ionisé: 47,2 – 52 mg/l soit 1,18 – 1,30 Ca2+> 1,40 mmol/l. - Signes d’hyperexcitabilité = crise de mmol/l etio : tétanie = signe de Trousseau avec le CA2+ est 50% de la Calcémie tot - Excès d’apports calciques (iatrogène). paresthésies et convulsions. - Acidose : ↑ proportion Ca ionisé /Ca Total (inverse - Insuffisance rénale chronique - Hypervitaminose D -par défaut d’absorption digestive pour alcalose) - Syndrome BURNETT( exes de lait ) => néphrocalcinose + IRC -par défaut de réabsorption rénale, - Hyperprotidémie : ↑ calcémie total mais ↓ part de - néo : Kc ostéophiles+ MM paranéo par sécrétion d’un peptide exemple l’IRC. Ca ionisé. PTH-like -déficit en vitamine D +++++ - Hyperphosphorémie : ↓ Ca ionisé et ↑ proportion - non néo : d’hyperPTH primitive, Immobilisations prolongées , TRT → hypoparathyroïdie primitive Ca complexé. par lithium . idiopathique ou chirurgicale . CaC=CaM+0.025* (40- albuminémie) - Granulomatoses : sarcoïdose++(↑calcitrol) → pseudo hypoparathyroïdiene Sachant que : - Iatrogène : diurétique thiazidique . Par résistance à la PTH. la calcémie : en mmol/L - Maladie de Paget . la protidémie : en g/l - Insuffisance surrénalienne aigue. On aurait divisé par 40 ( ou x0.025) si on souhaitait - Phéochromocytome . avoir un résultat en mmol/l - Hypercalcémie familiale bénigne . Ph 0,8 -1,45mmol/l > 1,45 mmol/l Pas de Sg clinique < 0,80 mmol /l. -Insuffisance rénale -SNC : tremblements, irritabilité, ….. -Maladies endocriniennes -Musculaire : Faiblesse -Hypoparathyroïdie -Cardiaque : ↓ du contractilité myocardique . -hypervitaminpse D -Respiratoire : ↓ de la contractilité du diaphragme - pseudo hypoparathyroïdie. -Os : ↑ de la résorption osseuse
-Hyperparathyroïdie . -Diabète phosphoré . -Avitaminose D. -
Perfusion de glucose. -Ostéomalacie. Mg 0,75 à 0,90 mmol/l -l’insuffisance rénale avec DFG< 30 ml/mn. < 0,6 mmol/L. -les surcharges iatrogènes (antiacides). : Diabète, Alcoolisme, Stress Syndrome de Laron : résistance des tissus-cibles à la GH (GH augmenté) Les corticoïdes diminuent l'absorption intestinale du calcium et la réabsorption Dgt biochimique de GHD : rénale avec comme effet hypocalcémie et hyperparathyroïdisme secondaire - dosage d’IGF1 - Trou osmolaire = Osmolarité mesurée - Osmolarité calculée - utilisation des tests de stimulation combinée (2 agents pharmaco ) - Osmolarité plasmatique = (Na + K)*2 + Urée + Glycémie ( pas de HCO3-) - utilisation du test de tolérence de l’insuline en 1re intension( non utilisée L'hypercalcémie tout comme l'hypokaliémie sont responsables d'un diabète chez l’enfant > 5ans) insipide néphrogénique par inhibition de la sécrétion d’ADHsur le tubule Marqueur de la formation osseuse : rénale - PAL osseuse spécifique Les diurétiques thiazidiques augmentent la réabsorption rénale de calcium =< - ostéocalcine CI dans l’hyperCa - P1CP / P1NP Les phases du cycle du remodelage osseux : en plus Le diagnostic biologique des états de carence et de surcharge en vitamine D de la phase de quiescence on a : repose sur le dosage dans le plasma ou le sérum de 25(OH)D 3 et de 1. Phase d’activation 25(OH)D 2 . Le dosage de la vitamine D 2 (ergocalciférol) et de la vitamine - A la surface de la matrice osseuse, recrutement des D 3 (cholécalciférol) dans le sérum est d'un intérêt limité; il ne permet pas précurseurs mononucléés des ostéoclastes. d'évaluer les réserves car leur hydroxylation est très rapide 2. Phase de résorption De même, la production de 1,25(OH) 2 D 2 et 1,25(OH) 2 D 3 étant étroitement -Adhérence des ostéoclastes qui creusent un trou = contrôlée, leur dosage dans le sérum ne renseigne pas sur l'état de carence lacunes de Howship ou de surcharge en vitamine D. Dosage de la vit D se fait par chimiluminescence -Relargage des ions H+ -Digestion de la matrice collagénique (cathepsine K et les métalloprotéases). 3. Phase d’inversion -Remplacement des ostéoclastes par des Cellules mononucléées type macrophages. Noter que la disparition des ostéoclastes est un signal de reformation osseuse. 4. Phase de reconstruction (néo formation osseuse) -Recrutement des ostéoblastes dans la lacune, qu’ils comblent en apposant une nouvelle matrice organique, qui sera ensuite minéralisée. le Calcium osseux représente 99% du calcium total, sous forme de cristaux - Initialise la formation de cristaux d’hydroxyapatite et inhibe la minéralisation d’hydroxyapatite (≈ 1000gr). après l’atteinte d’un seuil de saturation en sel. - Ca osseux échangeable : 4gr (100mmoles), (réserve de calcium pour le maintien - Permet la liaison entre la matrice organique (fibres de collagène) et la matrice de l’homéostasie calcique). inorganique (cristaux d’hydroxyapatites) de l’os. - Ca du tissu osseux profond non échangeable. - Passe dans circulation sanguine. - A une grande spécificité ostéoblastique L’acidose peut donner une hyper Ca - La liaison calcium-albumine dépend du pH. Lors d'une acidose par exemple (pH diminué), il y a une altération de la liaison calcium-albumine ce qui va engendrer La PTH rp : une augmentation de la fraction ionisée(compétition entre les H+ et les Ca2+ au - PTH-rP is composed of 141 amino acids and shows significant homology with niveau de la fixation à l’albumine) PTH in the first 13 amino acids (extrémité N-terminale) - Its actions include binding to and activating the PTH receptor, thus simulating Pour la résorption = Vit D + PTH + RANKL + MCF + PGE2 + IL1,6,1 the PTH biological effects on bone, kidney, and intestine. Similar to PTH, PTH-rP formation = Calcitonine + sexuelles + OPG + BMP + TGF- β + IGF + IL4,10,13 increases bone resorption by stimulating osteoclasts and promotes renal tubular le calcium ionisé est PLASMATIQUE reabsorption of calcium. The net effect is elevated serum calcium concentration. la vit D est résorptive à dose élevée - La principale différence entre la PTH et la PTHrP est que la PTH a une action La phase organique de la matrice extracellulaire du tissu osseux est composé de : endocrine : véhiculée par le sang elle agit à distance de son lieu de sécrétion alors *Collagène type 1 (90% de la matrice organique) organisé en fibre de collagène que la PTHrP agit localement, elle a une action paracrine participant aux propriétés mécaniques de l’os. - Increased PTH-rP is seen in squamous cell carcinomas of the lung, esophagus, Le Collagène est caractérisé surtout par la présence de résidus cervix, and skin, as well as in other malignancies (e.g., islet cell carcinomas, T-cell hydroxyproline. Il synthétisé par les ostéoblastes sous forme de and B-cell lymphomas, multiple myeloma). procollagène qui après clivage libère un propeptide N-terminal (PINP) et - PTH-rP is measured by immunometric assay. The reference interval for PTH-rP un propeptide C-terminal (PICP). is method dependent. In normal individuals, PTH-rP levels range from La rigidité et les propriétés mécaniques du collagène sont assurées par undetectable to around 2 pmol/L. des ponts intercollagènes formant des liaisons croisées (=cross links). GH n’a pas d’action phosphaturiante/ les CTC sii Les enzymes ostéoclastiques dégradent les ponts intercollagènes, ce qui L’absorption intestinale du Ph : entraine la libération de produits de dégradation : (biomarqueurs) - se fait d’une part par un processus d’absorption passif non saturable et - sous forme libre (40%): Pyridinoline (PYP) et Desoxypyridinoline (DPD). d’autre part par un processus actif saturable. - sous forme liées (60%): Télopeptide N-ter du collagène I (NTX) et Télopeptide C- Le processus passif est le plus utilisé dans les conditions physiologiques, ter du collagène I (CTX). c’est un gradient de concentration entre la lumière intestinale et le *Protéines non collagéniques (PNC) (10%): ostéocalcine – ostéonectine, liquide interstitiel. fibronectine, servent à l’induction de la minéralisation. Le processus actif est un cotransport Na+ /Pi (via le cotransporteur Ostéocalcine: NPT2b exprimé au niveau de la membrane apicale des entérocytes) qui est stimulé par la 1-25(OH)2 vitamine D La PTH a un effet indirect sur l’absorptoon du Ph Dosage de l’alb urinaire : urines des 24h ou spot matinale, (pas de censervation on dose au labo le phosphore inorganique (Pi) = phosphate des urines) , en dehors des infection , il est recommendé de faire 03 dosage 80 à 90 % sont réabsorbés et seulement 10 à 20 % sont excrétés ; - la Hémochromatose : Hypersidérémie => Hyperferritinémie avec CSF élevé et réabsorption a lieu essentiellement au niveau du tube contourné proximal (pour 85 % contre 15 % environ au niveau des tubules plus TIBC basse distaux). Hypo Ca : Sd néphrotique , hypo PTH, hypo Mg 2+ sévère, IRC Hyper Ca : + NEM1, leucémie aigue Dans l’hypo PTH Iair :hyper Ph, hypo Ca, hypo Ca urie, concentration faible en vit D active pour diagnostiquer la maladie de Wilson on dose : céruléoplasmine + du cuivre Hypert PTH Iair =< rétention du Ph > 0.9 sanguin + cuivre urinaire. La calcitonine est une H polypeptidique , hypo Ca ,sécrété par les Cl C , tres -la maladie de Wilson est une maladie autosomale récessive en rapport avec elevée dans le CMT , inhibe l’action des ostéoclaste une mutation dans le transporteur ATPasique du cuivre ATP7B ; PTH favorise la réabsorption de Ca2+ ionisé / ↓la réabsorption du Ph , elle -Biologiquement on aura : l’effondrement de céruléoplasmine ; baisse de la permet une 2ème OH de la vit D3, cuprémie ; augmentation de la cupriurie PTH est une H polypeptidique , 84 Aa , libération IIair à la stimulationdu CaSR / -Mécanisme : diminution de l’incorporation du cuivre dans l’Apo agit sur un Rcp qui présente une similitude avec le Rcp de la calcitonine et la céruléoplasmine → diminution de la céruléoplasmine sérique → sécrétine accumulation du cuivre, surtout dans le foie, la cornée, les reins et la peau Hypoprotidémie : ↓ calcémie total mais ↑ part de Ca ionisé ( Il faut savoir que c'est la cuprémie totale qui est diminuée (par diminution (Inversement pour l’hyperprotidémie) du taux du Cu liée à la céruléoplasmine ) tandis que la fraction libre du Cu Jamais de calcémie sur EDTA , Le tube EDTA contient du potassium et un dans le sérum est augmentée ) chélateur de calcium (qui peut baisser la calcémie) - l’anneau de Keiser Fleicher n’est pas pathognomonique Dysprotéinémie ↓ du pic α1g sur EPP => evoque en premier une baisse de α1AT Sd néphrotique : ALb et α1g et Ca ↓, α2g ↑, hyper lipidémie α1AT : C'est la protéine la plus importante quantitativement parmi les Famille des α1g : antitrypsine, antichymotrypsine, orosomucoide, transcortine globulines α1. Marqueurs de la dénutrition : préalb , alb , RBP, transferrine (mechi - C’est une glycoprotéine positive de la réaction inflammatoire l’haptoglobine ni CRP) - Elle présente une action anti-protéasique => Un déficit est associé à des pathologies : (cofacteur de la LPL) qui, normalement, assure - Pulmonaires chez l’adulte : emphysème ; leur épuration
- Hépatiques chez l’enfant : cirrhose. Hypocalcémie : par diminution de la fraction du
calcium liée aux protéines. => Une augmentation se voit lors de la phase aiguë de la réaction Généralement, toutes les fractions diminuent inflammatoire. (même la ferritine migrant en β) à l’exception => Elle présente un grand polymorphisme génétique. Les α1 AT ont une du bloc α2 qui augmente ; variation interindividuelle même s’ils ont tous le même rôle. Le chapeau mexicain est la conséquence de => Plusieurs gènes sont impliqués dans sa biosynthèse : il existe 23 allèles l’augmentation de synthèse par le foie de différents soit 23 génotypes différents. l’alpha 2 macroglobuline. Cette synthèse a pour but de lutter contre la baisse de la pression SYNDROME NÉPHROTIQUE: oncotique.
L’installation progressive ou explosive d`un LES GAMMAPATHIES
syndrome œdémateux ; Elles forment un groupe hétérogène de Protéinurie abondante ; pathologies caractérisées par la présence d’un nombre accru d’Ig dans le sang ; Les œdèmes : mous, blancs, prennent le godet, prédominent dans les territoires déclives. Elles sont polyclonales ou monoclonales selon la distribution relative de la zone g à Biologie : l’électrophorèse. Hypoprotidémie associée à une Parmi les gammapathies monoclonales: Myélome hypoalbuminémie <30g/dl multiple = maladie de Kahler: C’est une Electrophorèse des protéines sériques : prolifération maligne des plasmocytes. o Elévation de α 2 globulines, des beta o Sur le plan biologique : globulines et du fibrinogène Accélération de la vitesse de o Diminution des gammaglobulines sédimentation > 100 mm /1ere H ; L`hyperlipidémie est fréquente : augmentation Protéines totales > 80 g/L voire de la synthèse des LDL (VLDL transformés par 100 à 120 g/L la lipase hépatique en LDL) migrant en α2 aussi. Électrophorèse sérique : pic Ceci est due à une fuite de l’orosomucoïde monoclonal Immunofixation et/ou immunoélectrophorèse : augmentation des Ig G +++ ou des IgA. Très rarement IgD ou IgE. o Le tableau clinique est dominé par les douleurs osseuses et l'altération de l'état général o Sur le plan radiologique: Lacune osseuse ou géode dite à l'emporte pièce: Zone d'ostéolyse arrondie, à contours nets, sans condensation périphérique ni réaction périostée. Multiples et disséminées sur la totalité du squelette (crâne / côtes). o Groupe des albumines | Albumine
o Les α1 globulines: C’est un groupe hétérogène et on y trouve
α 1 antitrypsine ; Orosomucoïde ; AF1 (α 1 foetoprotéine) ; Antichymotrypsine ; α 1 lipoprotéine ; Transcortine, TBG (thyroxin binding globulin). o Les α2 globulines L’haptoglobine : L’α2 Macroglobuline Céruléoplasmine o Les β globulines : β1 globulines Transferrine | sidérophiline Ferritine CRP β2 globulines : C3 et C4 du complément Fibrinogène o Les gammaglobulines ÉLECTROPHORÈSE DES PROTÉINES SÉRIQUES: Séparation des protéines sériques sous l’action d’un champ électrique en tampon alcalin Migration de la cathode vers l’anode (+) Vitesse de migration selon la taille des particules, la force ionique et la porosité du support. Les fractions de protéines distribuées de l'anode vers la cathode en o Groupe des albumines | PA et RBP: Il est le plus anodique à
l'électrophorèse (migre le plus vite)
La pré-albumine (PA) La RBP o L'albuminémie chez L'IGF1 est un peptide de 7 500 Da , L'albumine: C'est la protéine majeure du plasma l'homme est 5% supérieure synthétisé par Foie (+++), sous le contrôle de : 55-60 % des protéines totale : à celle chez la femme. la GH , il a une homologie structurale avec la proinsuline. C'est une holoprotéine. PM 69 kDa ; Variations physiologiques : -La sécrétion d'IGF1 peut être modifiée par : Sa structure est uni peptidique et o Nouveau-né : 30 g/l ; - une insuffisance hépatique, globulaire ; - une insuffisance rénale, o Grossesse : diminution d'environ Son pH isométrique est bas : pHi = 4,7 25% par hémodilution et - la dénutrition, ce qui explique qu'elle migre stabilisation à la limite inférieure - le diabète sucré rapidement à l'électrophorèse ; de la normale ; Dans le plasma on dose la Vit D tot (D2+D3)par chimiluminescence Sa synthèse est active (10 à 12 g/j), o Sujet âgé après 60 ans: l'angiotensine II est un principalement au niveau du foie ; diminution à 30-35 g/l. octapeptide actif ( l'angiotensine Sa 1/2 vie biologique est de 15 à 19 Variations pathologiques : I est un decapeptide inactif ) jours. - apres conversion de l’Ang I o Représentées uniquement Rôle : par les hypoalbuminémies - stimule le syst orthosympathique , et stimule Maintien de la pression oncotique dont les mécanismes sont o la sécrétion de l’ADH , et la sécrétion des (Po) du plasma ; génétiques ou acquises. Les hyperlabuminémies minéraloCTC par le cortex surrénalien o L'albumine est un transporteur non spécifique : n’existent pas. Les concentrations sériques de la TSH et de la La transferrine est, avec l'albumine et la Bilirubine (protecteur de préalbumine, l'une des trois protéines T4L présentent une relation inverse log- la sérumalbumine) ; négatives de la réaction inflammatoire. Sa linéaire= exponentielle , de sorte que des Acides gras non diminution est due à un hypercatabolisme estérifiés (5% des acides protéique au profit de la synthèse des protéines modifications légères de la T4L entraînent une gras) positives (CRP, haptoglobine, orosomucoïde). Hormones ; réponse plus large (amplificatrice) de la TSH Glucose ; Endocrinopathies sérique. Médicaments ; Cause de l’insuffisance de H : insuffisance de Calcium. production, émission retardée baisse des -Les variations individuelles étroites des valeurs Valeur normale : transporteurs, occlusion des Rcp par des Ac des dosages thyroïdiens (observées dans des o L'albumine sériques 40-45 Les H à Rcp membranaire : GH, prolactine, FSH, g/l ; études chez des jumeaux) suggèrent que adrénaline chaque individu a un niveau propre de T4L génétiquement prédéterminé. - Il s’ensuit que dans les stades débutants d’un corticotrope) ou sd de cushing ectopique IGF1 => comme l’insuline => hypo G dysfonctionnement thyroïdien, les anomalies (sécrétion paraneoplasique)... GH => hyper G de la TSH sérique précéderont l’apparition ACTH ⬇si sd de cushing ACTH-indépendant :
d'une T4L anormale, en raison de la réponse tumeurs surrénalienne (bénigne/maligne),
exponentielle de la TSH à des modifications, hyperplasie micronodulaire bilatérale des Acide urique même subtiles de la T4L, alors que cette surrénales L'hyperuricémie peut être en rapport avec des dernière reste encore dans les normes de - Le cortisol a 8h n'a aucun intérêt pour le mutations génétiques qui altèrent le référence d’une population diagnostic d'un hypercorticisme endogène, car fonctionnement de certaines enzymes on cite : La TSH est + informative que la T4 il y a chevauchement des chiffres normaux et - Fructose 1-P aldolase (intolérance héréditaire Hypothyroidie néonat : ictère nné tardive, hernie élevés. au fructose) ombilicale, cri caractéristique Rappel sur le diagnostic biochimique de - G6-phosphatase ( glycogénose de type 1 ) Les HT qui traverse la Barrière materno- l’Acromégalie : - Hypoxanthine phosphoribosyl transférase fœtale :LT4, Ac Anti TSH, Ac anti TPO (la TSH et L’HGPO constitue le test biochimique « gold (HPRT) : DEFICIT la T3 ne passe pas ) standard ». - La phosphoribosyl-pyrophosphate synthétase Sd de cusching : perte du cycle nyctéméral de Elle consiste à administrer 75 g de glucose oral (PRPP synthétase) : HYPERACTIVITE CTC , Dgt exclue devant une cortisolémie à 8H < chez le patient à jeun, à 9h. 50 apres un test d’inhibition 1-2j Le glucose et la GH sériques sont dosés aux - le test au Synachtene est réalisé en cas de temps T0, 30, 60, 90, 120 et 150 mn après le suspicion d'une insuffisance surrénalienne. début de l’épreuve. - il ne faut pas confondre maladie et sd de Chez les sujets sains, les taux sériques de GH Cushing baissent jusqu’à devenir indétectables le dosage de l'ACTH est utile dans le diagnostic (classiquement < 0,2 ng/ml). étiologique : Chez l’acromégale, la GH sérique est mesurable; ACTH ⬆si sd de cushing ACTH-dépendant : dans 30% des cas, la GH est paradoxalement maladie de cushing (adénome hypophysaire augmentée. - en cas de déficit => test à insuline Sont souvent Acide => vaux mieux alcaliniser les urines en cas de présence de cristaux d’AU L’allopurinol rduit le risque d’hyperurécémie Au cours de l’acces goutteux l’AU peut etre Nle L’insuline + la réabsorption proximale => ↓l’élimination hyper U Iair II air Sd de Lesch Nyhan hémopathies, IRA, psoriasis, (liée au sexe , éthylisme, toxémie gravidique , recessif ) HTA, DU thiazidique , ACD , acidose goutte primitive lactique idiopathique hypo AU - Dans les urines : l'A.U est non ionisé. grossesse, déficit en Xanthine oxydase , défaut en Glut9 Est un puissant antiO2 - Dans le sang : l'A.U est sous forme estérifiée d'un sel, appelé urate, dont le cation peut être le sodium ou Dans le plasma la forme libre est ++/ peut etre l'ammonium liée à l’Alb et β2g L'urate est 18 fois plus soluble que l ‘acide urique dans un milieu aqueux Urucolyse intestinale ne se fait pas chez l’homme Clearence de 8.7+/- 2.5 Il est 100% filtré par le glomérule Source de l'A.U : - catabolisme des purines :: adénine, guanine, hypoxanthine et xanthine Transporteurs au niv du rein : - produit terminal du métabolisme de l'azote (comme l'urée et sécrétion réabsorption l'ammoniaque). MPR4, galactine 9, URAT1 , Glut 9 , OAT - La voie des pentoses phosphate et le catabolisme du fructose peuvent donner de l'acide urique ABCG2, NPT1 et NPT2 Hyperuricémies est souvent assocée à : Il est actuellement bien admis que l'hypertriglycéridémie est L’acideurique est le produit terminal de Damp athérogène et que 30 à 40% des sujets hypertriglycéridémiques ont une hyperuricémie. L' Hyperuricémie peut être due à : Le mécanisme associant ces deux métabolismes n'est pas clair, cependant le risque cardiovasculaire au cours La consommation excessive de purines de leur association est très fort alimentaires : Urate monosodique => organisme - Anchois, Sardine, Thon en boite… Acide urique => urines - Bœuf, dinde, poulet, les abats… - Lentilles, pois chiches, haricots... L’allopurinol agit en inhibant la xanthine oxydase - Thé, cacao, chocolat, bière. Le syndrome de Lesch-Nyhan (SLN) est la forme la consommation excessive d'aliments riches en la plus sévère du déficit en hypoxanthine- fructose : guanine phosphoribosyl-transférase (HGPRT), - Dattes, figues sèches, raisins secs, pommes, miel, une maladie héréditaire du métabolisme des sodas. purines, et il associe une surproduction en L’uricolyse a lieu essentiellement au niveau acide urique (SAU) à des troubles neurologiques => Equation de la MDRD (Modification du intestinal. Elle est active sur l’acide urique et comportementaux régime dans une maladie rénale :pds- / race déversé dans l’intestin par voie passive, par Les normes : + , la + utilisée , meilleur si DFG <60 l’intermédiaire des sécrétions digestives homme : 50 - 60 mg/l (salivaires, biliaires, pancréatiques et femme : 40 - 52 mg/l intestinales). enfant : 35 -40 mg/l Dans des conditions normales, les bactéries 'urate est 18fois plus solubles que l'acide urique intestinales, pourvues d’uricases, dégradent en milieu aqueux totalement l’acide urique en allantoïne, et même au-delà, en dioxyde de carbone et en Bilan rénale ammoniac, éliminés ensuite dans les selles ou A une Fct endocrine (calcitriol, EPO, rénine) =>Pour l’enfant il faut utiliser la formule de consommés pour leur propre métabolisme. Analyse d’aspect , couleur , odeur Schwartz : Le rôle des bactéries est prouvé par la réduction Phénylcétinurie :odeur de souris considérable de l’uricolyse à la suite d’ingestion Leucinose : odeur de moisi d’antibiotiques. 1. Dosage de l’urée :voie d’elimination de Hypourécémie type 2 est due à :mut SLC2A9 l’azote , produit dans le foie , eliminer par La maladie de VON GIERKE est due à un déficit l’intestin aussi, en dehors de IRA , urée ↑ de la glucose 6 phosphatase : dans la DSH et ingestion de viande /urée ↓ - Le glucose 6p qui n’a pas pu rejoindre le glucose dans l’IHC , est alors métabolisé en acide lactique. 2. Dosage de la créat : creatine ( de l’arginine - Le glucose 6p accumulé peut se transformer aussi et glycine)créatinine ( produit endogène , 4. Ionogramme urinaire et sanguin en ribose5p, qui rejoint le PRPP, catabolisé en acide musculaire, per Créatine phosphatase , 5. Protéinurie urique en passant l’IMP et l’hypoxanthine. Une marquer de la filtration glomérulaire ) baisse de la sécrétion urinaire de l’acide urique 3. Calcule du DFG , estimation de la clearance consécutive à l’accumulation des lactates et des Clairance créatinine (ml/min) =U.V/P corps cétoniques contribue également à augmenter l’uricémie. VN : 120 ± 20 ml/min/1.73 m2. C une produit de dégradation de l’ATP - les formules : L’age avancée est un FDR => Équation de Cockroft-Gault (C-G) Les produits laitiers n’ont pas de influence La probénécide agit en ↓la rébsorpton rénale de l’AU si < 1 => IRF Urée plasmatique/ Créatinine plasmatique : tres ↑=> IRF / Par contre in n’est pas très élevée dans l’IRC Nouveaux marqueurs de l’insuffisance rénale permettant un diagnostic plus précoce, plus sensible et plus spécifique. C’est le cas de : • La cystatine C . • La NGAL . • L’IL 18 . • La kidney injury molecule-1 (Kim 1). • La N-acétyl-D-glucosaminidase .NADG
Insuffisance rénale chronique :> 3mois
Urée , créat ↑, DFG↓ < 60 - dans IRC on retrouve : rein de petite taille, anémie normocytaire normochrome, hyperPh, hypoCa++, augmentation de la PAL
La formule de Cockrofft ne prend pas en compte
la race Il existe 3 principaux stimulateurs de la rénine : l’hyperkaliémie ; l’hyponatrémie ; Insuffisance rénale aigue : l’hypovolémie IRF : urée ++, par hypovolémie souvent la rénine est une enzyme sécrétée par une zone IRO : du rein située près des glomérules et nommée - intrinsèque : glomérulaire, Vx, tubulaire 85% , interstitielle appareil juxtaglomérulaire. - post rénale : LR , HBP - La rénine n'a pas d'effets physiologiques directs, Le sodium urinaire : très ↓ dans l’IRA fct / peu ↓dans l’atteinte chronique mais elle fait partie de ce qu'on appelle le système Fraction excrétée du sodium FEN RAA dont le rôle est majeur dans le contrôle de la pression artérielle : elle permet la formation de Surface corporelle du sujet -----> Clairance mesurée ascendante de l’anse de Henlé, elle a un rôle anti- l'angiotensine I, elle-même transformée à son tour, du sujet infectieux grâce à l'enzyme de conversion, en angiotensine II, Si sa surface corporelle était de 1,73m2 ------> - L’uromoduline est synthétisée dans des cellules une protéine qui a pour effet principal la Clairance corrigée du sujet épithéliales tubulaires épaisses à membres vasoconstriction, ce qui élève la pression artérielle. l'équation MDRD n’exige pas une correction du ascendants (TAL) L'angiotensine II active la sécrétion de l'aldostérone DFG retrouvé, elle le calcule directement pour - Des mutations dans le gène UMOD causent des par les glandes surrénales ; cette hormone, en une surface corporelle de référence de 1,73 m2 maladies rénales permettant à l'organisme de retenir du chlorure de Chez les patients avec un DFG < 60 - ne passe jamais la barrière vue son PM (en etat sodium et de l'eau, provoque une augmentation du ml/min/1,73m2, MDRD est plus performante et physio ou patho) volume sanguin circulant et, par ce biais, de la précise que Cockcroft et Gault Alcaptonurie : accumulation de l’ac pression artérielle L’urée est synthétisé à partir de l’ammoniac , homogentisique dans le sang et les urines, cet role du rein : néoglucogenèse , erythropoèse, CO2 et aspartate acide provient du catabolisme de secrétion des Fc de croissance , synthèse des Le TCP est le siège du catabolisme de ++ prot de l’aa‘’tyrosine’’ PE2 faible PM Seuil de détéction de la protéinurie par BU : 150- La bilirubine retrouvée dans l’urine est de la La rabsorption du Na au niv du TCP se fait 200 /Faussement positives en cas de bilirubine conjuguée hydrosoluble librement leucocyturie, urines alcalines, hématies, La production de la créatinine est l'appareil juxta-glomérulaire est constitué de : médicaments (chlorhexidine), BU immergée proportionnelle à la masse musculaire, d’où la Artériole glomérulaire afférente trop longtemps), sperme, pus. difficulté de fixer des valeurs normales./ son Macula densa : Différenciation pariétale du TCD => Faussement négatives en cas de chaînes légères sécrétion n’est ps influencer par l’alimentation Lacis cellulo-conjonctif : sépare l’artériole et urines diluées. Les med donnant une IRA pré rénale : glomérulaire afférente de la macula densa Evaluation par : Urines des 24h / ou les Spot - AINS , IEC , ARAII Les néphrons corticaux sont + nombreux que les (dosage de prot/ alb par rapport à la créat) La sévérité de l’IRC est estimer par l’estimation juxta médullaire c’est le rapport P/C «protéines/créatinine » ou A/C du débit de filtration glomérulaire « albumine/créatinine » qui doit être réalisée à Chez les sujets agé => on utilise la MDRD Protéinurie partir d’un échantillon urinaire pouvant être Le dosage de la créat : basé sur la R° de jaffé ou La valeur limite habituellement reconnue est de prélevé à tout moment de la journée (celui du la créat réagit avec l’acide picrique donnant une 150 mg/24 heures (l’albumine ne dépasse pas matin est préférable). C’est le Spot, coloration orange en milieu alcalin à 520nm les 30 mg parmi ces 150 mg) Et calculé le rapport : Prot / créat =< suivie des Conditions à respecter pour une bonne Faite de prot avec PM > 69000 Da, proteinurie modérée / Alb / Crat =< néphropathies réalisation de la clairance : glomérule laisse passer 5g de protéine --puis DT et HTA - Le sujet doit boire deux litres d’eau, au minimum, 99% sont réabsorbées par les tubules - La confirmation d’une microalbuminurie nécessite durant la récolte des urines des 24 heures ; 500 mg/24 h chez l’enfant (+ elevée que l’adult) 2 tests positifs sur 3. - Bien récolter et chiffrer la diurèse des 24 heures ; Les prot qui peuvent passé : => elle peut etre soit : - Le prélèvement sanguin doit se faire le même jour AlbumineHaptoglobine- Orosomucoide transitoire fièvre , DSH, exercices, où le prélèvement urinaire est ramené au Transferrine- α1 microglobuline -ß2 IC, convulsion laboratoire ; microglobuline permanante chaines légères, LR, Tm , - Calculer la surface corporelle du sujet à partir de - Tamm-Horsfall. : uromoduline : Cette protéine atteinte glomérulo- son poids et sa taille. n’est pas filtré, elle est sécrétée par la branche tubulaire orthostatique sujet jeune, age < 30ans La protéinurie physiologique n’est pas favorisée - on dose au labo la BT , et BC <2g/j, bénigne , touche par la pression oncotique de la capsule de - sur prélèvement sur tube sec ou hépariné 3-5% , réversible , Bowen - son disage oriente vers l’intensité de l’ictère n’apparait pas en L’origine : - subi ctère 15-20 / ictère >20/ bilirubine à 180 décubitus - Si le glomérule laisse passer des à 200 mg/l La microalb : ne veux pas dire atteinte rénale protéines : protéinurie La Blr est photosensible - d’albumine plus de 30 g/24h => Alarme de glomérulaire ; ↑de la BNC défaut de ↑ de la BC Microangiopathies conjugaison QCM : - Si le tubule ne réabsorbe pas les hémolyse ++ BNC ↑BC↓ hépatique PU < 150 mg/24h et prot / créat <0.2 protéines : protéinurie tubulaire ; BC et BNC ↑ stercobiline obstruction TCP : prot de bas PM urobiline ↑ ↓ des VB Les Ig M ne traverse en aucun cas - Si les deux coexistent : protéinurie stercobiline La recherche de la protéinurie orthostatique se mixte. ↑ fait de la manière suivante : Les BU sont imprégné d’un chromogène - Les premières urines du matin sont éliminées ; dans un milieu acide Lait maternelle et novobiocine inhibe l’ UDPGT - Recueillir les urines durant toute la journée (16 Risue de l’ictère nucléaire par la BC = B libre heures), en demandant au patient d'avoir une Exploration biochimique de la La PAL est principalement d’origine Osseuse 60% activité normale. La collecte se poursuivra en fonction hépatique o ↑ chez l’enfant et la femme enceinte à cause de recueillant les urines juste avant le couché (premier Le bilan hépatique repose Sur l’étude des : (la croissance et le placenta) échantillon). Au matin recueil des urines de la nuit • Syndrome de cytolyse. o ↑franche de PAL => rétention++ (deuxième échantillon). • Syndrome de cholestase. o ↑ modérée => Kc , Cirrhose, hépatite - Si la protéinurie est normale => la nuit / et ↑ f la • Syndrome d’insuffisance hépatocellulaire. o Situé au niv des villosité canaliculaire journée => c une PPO • Syndrome d’induction hépatique o Sont des enz qui catalyse la libération d’un - elle est réversible Cytolyse : LDH , OCT , et transames phosphate inorganique à partir d’ester - ALAT = TGP(P héPatique) / ASAT =TGO phosphate en milieu alcalin - TGP/TGO > 1 : toutes les hépatites sauf γGT ↑ isolément => alcoolisme chronique, Sd l’hépatites alcoolique. d’induction hépatique (med ++) - IDM , EP => ↑de TGO o elle est ubiquitaire Le dosage ne se fait pas seulement sur des o tres ↑ dans : hépatite méd , cholestase , méta - LDH : 5 isoenz : Urines de 24H , il peut etre fait sur un Spot - LDH ↗↗↗ dans les hépatites , les ictères hépatique La protéinurie ne veut pas dire forcément hémolytiques, les métastases hépatiques. les Sd d’IHC : atteinte rénale intoxications aiguës graves et IDM . - hypo Alb => tardive La protéine de Tamm-Horsfall est très grosse, ne - LDH1 => 4H => heart - hypo fac de coagulation => précoce traverse pas la barrière. Elle n’est pas filtrée - LDH => 4M => muscle strié et foie - ↓ de l’urée mais sécrétée plutôt par la branche large - OCT : Ornithine carbamoyl transférase : Très - ↑ de l’ammoniac ascendante de l’anse de Henlé. spécifique du foie mais difficile à doser. - hypo gly et hypo Ch par déficit en LCAT Cholestase : PAL , Blr , Sels biliaire, - TP↓, Facteur V ↓ 5’nucléotidase , γGT, leucine aminopeptidase - Des signes de cholestase : PAL et γGT ↑ . - Des signes de cytolyse : Transaminases ↑. - peut s’accompagner de fièvre : c'est le cas du - ↑ précoce de la Blr Sd d’induction hépatique : ↑de la synthèse par paludisme par exemple - au stade terminale : EPP montre une soudure le syst microsomale : Alcool, rifa , - selles de coloration Nle , pas de prurit β-γ phénobarbitale, amiodarone - il peut etre chronique Marqueurs tumoraux - ↗↗ isolé de GGT Lors d'un infarctus du myocarde, l'augmentation - sans aucun signe de cholestase ou de cytolyse, du taux de LDH débute à la 10e heure, atteint Fonction de détoxification et transformation des son maximum de la 48e heure à la 72e heure, le xénobiotiques : retour à la normale s'effectuant en 15 jours. - produits + polaire et + soluble LDH : 5 types d’isoenzymes separes par =>Test d’épuration plasmatique: clearence de électrophorèse : BSP et l’ICG => les deux sont anormaux dans la -LDH-1 (4H) - principalement dans le coeur. cholestase -LDH-2 (3H1M) - principalement dans le systeme =>Test de détoxication : Épreuve de L’acide reticulo-endothelial. Hippurique (AH), Tests de la glucuronoconjugaison -LDH-3 (2H2M) - principalement dans les poumons =>Tests de la fibrose hépatique : -LDH-4 (1H3M) - principalement dans les reins -Fibrotest : α2 Macroglobuline , bilirubine -LDH-5 (4M) - principalement dans le foie et les totale, haptoglobine, Apo A1, GGT. muscles stries -Actitest = fibrotest + ALAT Le syndrome fonctionnel kupfferien ou Causes de l’hyperbilirubinémie : syndrome mésenchymateux ou bien syndrome Bilirubine non-conjuguée (indirecte) inflammatoire o Augmentation de la production de bilirubine: • Il est du à une activation du système - Hémolyse macrophagique (essentiellement) avec production - Erythropoïèse inefficace: destruction des de cytokines. précurseur eryth dans la MO • Et d’autre part une hypergammaglobulinémie o Défaut de conjugaison: - Immaturité hépatique, polyclonale repérée sur l’électrophorèse des - Anomalies génétiques (maladie de Gilbert, Crigler protéines (IgM, IgG, IgA). Najjer) Bilirubine conjuguée (directe) L’œuf ne contient pas de purines - Anomalies hépatocellulaires: cirrhose, hépatite, Sd d’IHC : hypo (Alb , Ch, gly , Orosomucoide) néoplasie mais ↑ de l’ammoniac - Obstruction mécanique des voies biliaires Cholestase post hépatique : urobiline est ↓ • Extra hépatique: Lithiase, atrésie biliaire, Cirrhose , hépatite, occlusion des VB => ictère à néoplasme Blr mixte • Intra hépatique: Cirrhose L’ictère hémolytique : La cirrhose : - c'est un ictère à bilirubine libre (indirecte) - prot plasmatique sont ↓ au stade avancé ACE GP, superfamilles des Ig , ADK CR , PM↑ M : CCR, Kc de sein , ovaire, poumon , CMT B : TBk , fumeurs, MICI, hépatopathies AFP GP , homologue à l’Alb , production Nle : hépatocytes fœtaux, sac vitellin, tractus digestif et le rein ↑ dans : CHC , Tm testiculaire, Kc du pancréas et bronchique hCG α+β = non covalente α comme :Lh , FSH , TSH ↑ dans : Kc testiculaire,maladies trophoblastique, Kc mammaire, Pulmonaire , gastro intestinale PSA protéase (kalikréine) peut etre produite par le sein et les Gld salivaire/ app précoce dans le Kc de prostate PSA libre / PSA tot < 25% => malin CA125 GP , PM ↑, Kc de l’ovaire ↑M : poumon, endomètre, sein,foie, pancréas ↑B : pleurésie, péritonite, pancréatite, cirrhose, IC congestive CA15-3 PM le + Gd , GP mucineuse , Kc du sein CA19-9 GP , Kc du pancréas, CCR , et Kc gastrique NSE isoenz de l’enolase , trouve ↑ dans les neurones et le cerveau, ↑ : Kc pulmonaire à ptt Cl , neuroblastome, Tm neuroendocrines β2mg faible Pm , CMH 1 , ↑M : lymphomes, MM, LMC, ↑B :MAI , IRC , rejet de greffe Critères de light :