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- Approche linguistique :
1- Analyse conversationnelles
2- La linguistique de l’énonciation
3- La pragmatique linguistique
4- L’analyse du discours
-Emergence nées aux USA ANNÉE 60 dans le domaine de la sociologie, puis dans d’autres disciplines
● L’approche ethno :
1- ethnométhodologie :
Émerge en 1960 aux USA père fondateur HAROLD GARFINKEL lequel a apporté du nouveau
dans la sociologie l’ordre social et le produit ‘’d’une construction incessante et interactif, lisible
dans les procédures mise en par le partenaires sociaux dans leurs activités quotidiennes ‘’
Objectif : ressortir ‘’les routines’’ (régularité, rituels) ethno méthode qui régissent les activités sociales
Apport : l’interaction verbale étant une activité sociale par excellence. L’ethnométhodologie intéresse
particulièrement en les considérants comme ‘’une activité extraordinaire’’ dans la mesure où elle ne
repose pas sur un modèle prédéfinis : ‘’l’activité la plus routinière , anodine , familière qui soit n’est
jamais ‘’donnée’’ à l’avance , n’est jamais tenu pour une copie conforme ni une reproduction
mécanique d’un modèle plus ou moins formalisé auquel il suffirait de rétablir de se référer pour
établir le sens de ce qui adviennent et être en mesure de reproduire le cours , elle et toujours une
production réalisée à nouveau frais, dans des singulière , étayée par une connaissance
ordinaire des structure sociales.)
De même pour les autres activités sociales. L’ethno méthodologie analyse les interactions en tenant de
dégager les normes qui les régissent, les mécanismes de leurs fonctionnements. Elle a contribué à
établir les caractéristiques de l’interaction.
CARACTÉRISTIQUES :
1- INDEXICALITÉ: le sens de toute chose est attaché à son contexte (identité des
interactants, espaces, temps …) exemple : déictiques spatio-temporel (ça prend sens dans le
contexte) ‘’ici’’ ‘’cela désigne l’incomplétude naturelle des mots, qui ne prennent leurs sens
complets que dans leurs contexte de production, que s’ils sont ‘’indexé’’ à une situation
d’échange linguistique ‘’ coulon ,1987 ; 27 ‘’
Compétence culturel : Contre cette conception de la langue dell hymes oppose la compétence
‘’d’une personne réel existants dans un monde social’’ dell hymes 1974/1984 :26
Objectif : ‘’un de nos objectifs est de décrire les unités d’interaction naturel qui s’élabore à partir
de ces données depuis les plus petites – tel que la mimique fugace par lequel un individu exprime
sa position vis-à-vis de ce qui se passe – jusqu’aux plus monstrueuse tel ces conférences
interactionnelle de plusieurs semaine qui sont à la limite de ce qu’on peut encore nommée la
manifestation sociale’’ (Goffman 1967/1974 ;7)
L’apport : il réside dans l’étude des rituels dans les interactions quotidiennes
2ème apport : gestion de la relation interpersonnelle (relation de proximité horizontale (tu - vous
plus on est proche plus on parle d’une façon)
‘’Les travaux de Goffman sont une source multiple et inépuisable, ne serait-ce que parce qu’ils
sont à l’origine des outils théorique utilisé de façon quasi systématique pour aborder la relation
interpersonnelle dans le champ interactionniste’’ (traverso 1996 ; 1-2)
● Approche linguistique :
La linguistique interactionniste n’est pas née elle apparaît plutôt en France comme
le point d’aboutissement d’une évolution de la discipline que l’on peut très grossièrement
résumer ainsi.
Intérêt porté à des unités de plus en plus large qui a conduit à la constitution de l’analyse du
discours et des grammaires textuelles ; intégration progressive des théories pragmatique au
champ de la linguistique sous leurs formes essentielles : ‘’ linguistique de l’énonciation et
théorie des actes de langage’’ (Orecchioni 1990 : 9)
1- Analyse conversationnel : USA / 1970 SACKS Schegloff :
Écoute des enregistrements des personnes suicidaires.
Objet d’étude: ‘’ Elle a pour objet l’observation et la description de dialogue oraux spontanés
dans leur contexte naturel d’occurrence’’ (Bange 1992 : 16)
La méthodologie: inductive
L’Analyse conversationnelle est une approche empirique (données réelles) en ce sens qu’elle a
le souci constant de ne travailler que sur des données verbales réelles. Ces méthodes sont
essentiellement inductives : recherche de patron (norme) récurant sur des enregistrements en
aussi grand nombre que possible.
Objectif: Mettre à jour (relevé) l’organisation et le fonctionnement (les règles) des interactions
L’Apport : elle a fourni des outils nécessaires pour comprendre l’organisation et la structure de
l’interaction (alternance des tours de parole).
‘’Leurs recherches s’appliquent à isoler les stratégies d’ouverture et de clôture des
conversations celles qui permettent de constituer des relations sémantiques entre les
énoncés, signaler les apartés et les séquences les didascalies. Celles enfin qui permettent de
contrôler et d’orienter le cour d’interaction’’ (Gumperz 1989 :61)
Leurs travaux ils ont proposées un modèle d’interaction postulat de base : toute conversation
repose sur une hiérarchie formelle d’unités appartenant à des rangs (classement) structurel
différent.
Critique : l’approche est trop formelle (elle s’intéresse qu’à la forme et non pas le fond)
Son objectif est flou
Elle ne s’occupe pas de stratégie interactionnelle et de relation interpersonnelle.
2- La linguistique de l’énonciation :
3- linguistique pragmatique :
Les années 60,fondateurs austine , searle overs quand dire c'est faire
Le principe selon Austin: la parole est une forme d'action et non seulement un moyen de décrire
et de représenter le réel.
résultats de l'analyse : austin a travaillé sur les verbes performatif , par les verbes performatif on
accompli 3 actes :
la critique : parfois pas de correspondance entre l’acte locutoire et perlocutoire ( IL FAIT FROID ).
seral :années 80 après s'être limité aux verbes performative la pragmatique s'étend à toute
l'énonciation “ toute énonciation constitue un acte (promettre , suggéré, affirmé, interroger …) qui
vise a modifié une situation “ . mangonneau 1998.40
l'apport : la taxinomie compose de 5 types d’actes de langage : Cette typologie, dont nous nous
inspirerons dans l’analyse de notre corpus, composée de cinq types d'actes de langage, chacun se
subdivisant à son tour en plusieurs sous-actes :
● Les assertifs ou les représentatifs, dont « le but ou le propos [..] est d'engager la responsabilité
du locuteur (à des degrés divers) sur l'existence d'un état de choses, sur la vérité de la
proposition exprimée » (Searle, 1982 [1979] : 52).
● Les directifs, qui « constituent des tentatives [..] de la part du locuteur de faire quelque chose
par l'auditeur » (Ibid : 53).
● Les expressifs, qui visent à « exprimer l'état psychologique spécifié dans le contenu
propositionnel » (Ibid : 54).
● Les promissifs, « dont le but est d'obliger le locuteur (ici aussi, à des degrés variables) à
adopter une certaine conduite future » (Ibid ).
● Les déclaratifs, dont « l'accomplissement réussi […] provoque la mise en correspondance du
contenu propositionnel avec la réalité » (Ibid : 57)
la théorie des actes de langage [….] reste pour l'instant confinée dans une perspective
fondamentalement monologale : on nous décrit des faits isolé, en tant qu'ils sont certes porteurs
d'une valeur potentielle d'acte, mais cette virtualité agissante n'est rapportée qu'à la visée
intentionnelle du locuteur, (Kerbrat-Orecchioni, 1986 : 16)
C'est, entre autres, à Gumperz, à Moeschler et à Kerbrat-Orecchioni que revient le mérite d'appliquer
la théorie des actes de langage dans une perspective interactionnelle :ne s’agit plus d'agir, mais
d'interagir.
1) au niveau du contenu et des formes , c'est -à -dire analyse interne , analyse linguistique
proprement dite ( relation entre les unités constitutives , cohérence sémantique pragmatiques
ou la conversation apparaît comme organisation hiérarchisée (structurée ) et non une suite
aléatoire de parole ).
-
2) niveau des relations c'est à dire analyse externe relation entre les interlocuteur , par le billet de
ce qui est dit et du non verbale -vers une psycho-socio-linguistique de la communication apte à
préciser le rapport de force entre les enjeu de la prise de parole ( séduire , se faire connaître
…..) gambier 1988 14-15
on peut résumer l’apport de toutes ces disciplines dans les pointes suivants :
-la communication est une constitution collective qui ne sort de l'influence mutuelle des participants
(ethnographie) . réponse , réactions,maintenir l'attention du récepteur capteur EX : régulateurs , dire
accord n’est pas là, le hochement de tête, gestuel….
-méthodologie d’analyse :
2- un matériel authentique: situation réelle enregistré ou filmé ( il faut que ca soit spontané)
3- démarche empirico( situation réel dans un espace réel ) inductive( du particulier au generale ) :
4- L'analyse du discours
En cela,A.D.I fait valoir un des postulats de base qui fonde l'analyse du discours, à savoir
l'interdépendance entre l'énoncé et ses conditions de production (situation de communication et
contexte d’énonciation), À ce propos, Maingueneau note que :
l'intérêt qui gouverne l'analyse de discours, ce serait d'appréhender le discours comme intrication d'un
texte et d'un lieu social, c'est-à-dire que son objet n’est ni l'organisation textuelle ni la situation de
communication, mais ce qui les noue à travers un dispositif d'énonciation spécifique. Ce dispositif
relève à la fois du verbal et de l'institutionnel :
penser les lieux indépendamment des paroles qu'ils autorisent, ou penser les paroles
indépendamment des lieux dont elles sont partie prenante, ce serait rester en deçà des exigences qui
fondent l'analyse de discours. (Maingueneau, 2005 : 66)
objet et concept de A. D. i :
1 dialogues oraux spontané et naturels : elle tant de déceler les règles qui régissent les interaction
verbales et les régularités discursive et rituels qui caractérise chaque genre de discours dialogale
“ l'objectif des analyses d' interaction et de déchiffrer les pratiques invisible qui guide ( toute en leur
laissent une large marge d’improvitasionelle le comportement de ceux qui se trouve engagé dont un
processus communicatif . et de dégager toute les règles qui fondent le déroulement de divers type
d’interaction verbales” orecchioni 1990 157
définition de l’interactions :
-le modèle télégraphique et le modèle d’orchestre : 1er modèle et celui de saussure ( model generale
) ; transmission d’un concepte ( un message ) d’un point A à un point B “ plus exactement il relie deux
parcours internes qui ont pour particularité d'être l’exacte inverse l’un de l'autre : à l'encodage d’un
concept on a une image acoustique chez l’un correspond chez l'autre le décodage de cette image
acoustique en ce même concept . torgmant 1986 82 .
schéma de jakobson