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MethodeDEssai LCPC ME18
MethodeDEssai LCPC ME18
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Dans l'attente d'une normalisation dans le cadre de l'AFNOR, cette Méthode d'essai LPC
reprend le texte du Mode Opératoire G.3 approuvé le 3 juillet 7963 par le Directeur du
Laboratoire Central des Ponts et Chaussées.
Février 1987
SOMMAIRE
Pages
CHAPITRE 1 . - GÉNÉRALITÉS .. . . . . . . . . .. . . . . .. . . . . . . . . . . .. . . . . . .. ... . . . . . . .. . . . . .. . .. . . .. . . ... 3
CHAPITRE 2. - APPAREILLAGE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
-
2.1 Appareillage spécifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
- .
2.2 Appareillage d'usage courant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
CHAPITRE 6. - OBSERVATIONS . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . .. 13
ANNEXE B. - COMMENTAIRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
B.3 - RÉFÉRENCESBIBLIOGRAPHIQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 31
La sédimentométrie est un essai qui complitte l'analyse granulomktrique par tamisage des
sols. Elle s'applique aux éléments de diamètre inférieur a 0,100 mm (module AFNOR 21).
Les grains de diamètre différent sédimentent dans un milieu liquide au repos à vitesses diffé-
rentes. La relation entre diamètre des grains et vitesse de sédimentation est donnée par la loi de
Stokes. Comme cette relation a été établie pour des grains sphériques, on n'obtiendra - en l'appliquant
aux éléments d'un sol - que des diamètres équivalents ».
((
CHAPITRE 2
APPAREILLAGE
-6-
CHAPITRE 3
10 L'échantillon de sol est taniisé par voie humide au tamis de 0,100 mm de côté de niaille
( f i g . 5). Recueillir dans uri bac l'eau de lavage contenant les éléments inférieurs à 0,100 min. Laisser
décanter, puis siphonner au maximum l'eau devenue claire, sans exitrainer de fines. Porter ensuite le
bac dans une étuve de dessiccation pour éliminer l'eau par évaporation.
Une fois le matériau sec, le recueillir soigneusement et le désagréger ail pilon de caoutchouc
dans le mortier. Homogénéiser l'ensemble avant de prélever la quantité nécessaire pour réaliser
l'essai, c'est-à-dire 80 g de matériau sec pour une éprouvette de 2 litres.
20 Mettre à imbiber les 80 g de matériau sec dans un des récipients de l'agitateur mécanique.
Cette imbibition préalable doit être faite au moins 12 a 15 heures avant la dispersion a l'agitateur
mécanique en utilisant environ 500 cm3 d'eau distillée additionnée de la quantité de d~floculantpres-
crite., soit :
60 cm3 d'une solution à 5 % d'héxamétaphosphate de sodium.
La solution A 5 :L d'héxamétaphosphate préparée a partir du produit commercial cristallisé
a une validité maximum de un mois. Il est recommandé de noter la date de préparation de la solution
et de la jeter une fois ce délai écoulé.
30 L'agitation mécanique qui a pour but de séparer convenahlcrnent les grains doit être
faite pendant 3 minutes a 10 000 - 12 000 tr/mn (fig. 6).
L'eau déminéralisée qui servira au cours de l'essai devra avoir séjournée siiffisamment long-
temps dans la salle pour être à la température ambiante.
4 O Verser la suspension dispersée dans l'éprouvette de 2 litres et rincer soigneusement le
FIG. 8 bis.
FIG. 7. - Agitation nianuelle.
Les lectures sont faites à : 30 secondes, 1, 2, 5, 10, 20, 40, 80, 240 minutes (et éventuellement
à 1 440 minutes, soit après 24 heures), ces temps étant tous comptés, à partir du début de l'e~sai.
Les 3 lectures à 30 secondes, 1 e-t 2 minutes se font sans retirer le densimètre de la suspension.
Ce n'est qii'aprks les lectures à 2 minutes que la température de la suspension est relevée aii 1/10 de
degré près.
Pour les autres lectures, plonger le densimètre 1.5 i 20 secondes avant la lecture. Noter la
température après chaque lecture.
CHAPITRE 5
Les diamètres équivaler~ts,lorsque le poids spécifique y, exact des grains n'a pas été déter-
miné avant l'essai, sont calculés pour la valeur y, = 2,65 glcrn3 et figurent sur la feuille de travail.
On trouvera en annexe B les méthodes pour calculer le diamètre équivalent D e t le pour-
centage p exacts lorsque y, est connu.
Lorsque la concentration de la suspension n'est pas celle recommandée dans le présent mode
opératoire (elle peut varier sans raisons graves d'erreurs entre 30 et IO0 g polir 2 litres d'eau) on
emploiera la formule suivante pour le calciil des pourcentages :
Pour se raniener aux pourcentages de l'échantillon coinplcl: (fraction supkrieure à 0,l mi11
éliminée par tamisage), il suffit de multiplier les pourcentages p obtenus dans la sédimentométrie
par le pourcentage de la fraction inférieure a 0,100 mm (voir exemple de la feuille de travail en annexe).
CHAPITRE 6
OBSERVATIONS
ÉTALONNAGE D'UN
Symboles utilisés.
FIG. 10. - Courbe des lutines R' dans l'eau pure en fonction de la température.
A l'aide des résultats 011 trace ensuite la courbe R' -cp (t) (voir exemple f i g . 10). Il est rappelé
que R doit 6tre exprimé en nombre de divisions du densimètre, avec le signe+ s'il est supérieur a
1 000 et le signe - s'il est inférieur. On obtient ainsi les corrections Ct à apporter à la lecture R, par
exemple pour 25 OC on relève une lecture de 0,9985 soit - 1,5. 11 faut donc ajouter a la lecture+l,5
pour se ramener dans les conditions de départ.
A.2 - C O R R E C T I O N D U E A U MÉNISQUE.
Les densimètres sont généralement gradués pour être lus la base du ruénisquc c p c . l'eau
forme autour de la tige. Avec les suspensions opaques des essais de sédimentornétrie, ceci n'est plus
possible e t les lectures doivent être prises au sommet du ménisque, ce qui impose la correction due A
la hauteur de celui-ci. L'importance de cette correction est plus grande qiie celle due a la température.
Cette correction est obtenue en plaçant le densimètre, dont la tige aura été préalablement
parfaitement nettoyée pour permettre le développement correct du ménisque, dans l'eau déminé-
ralisée (eau distillée). La différence des lectures R et R' faites respectivement au sornniet et à la base
dii ménisque donnera la correction Cm.Cette correction est à ajouter h la lecture R.
A.3 - C O R R E C T l O N D U E A U DÉFLOCULANT.
L'addition d'un défloculant modifie la lecture faite dans l'eau déminéralisée. L'importance
de la corr ction à apporter à la lecture R peut être déterminée de la maniére suivante :
- remplir une éprouvette de 2 000 c m q ' e a u déminéralisée et faire la lecture au sommet
du niénisque. Ajouter la quantité de défloculant prévue au mode opératoire, bien brasser le liquide
polir répartir le défloculant, puis refaire la lecture du densimétre au sommet du ménisque. La diffé-
rence des deux lectures représente la correction C d à apporter à la lecture R.
La lecture correcte finale est donc :
F IG. 11. - Echelle des conections tenant compte de la température du ménisque et du difloculant.
- 16-
Pour les essais courants, au coiirs desqiiels on adopte un poids spécifique des grains de
2,65 g/cm" il est utile de dresser une échelle tenant compte à la fois des trois corrections. Pour cela
on ajoutera aux corrections dues A la température la hauteur du ménisquc et on retranchera la correc-
tion due au défloculant.
Etabli à partir dela fig. 10, on trouvera ci-contre un exemple d'une telle échelle de correction
( f i g . 11) pour une hauteur de ménisque égale à+0,4 et une correction de -- 0,s due B la présence
d'hexamétaphosphate.
Remarqrie. -- Il est avantageux de rechercher les corrections Ct et C d siniultanément en
établissant la courbe K = y (f) pour le mélange eau déminéralisée plus défloculant.
I,e tableau ci-dessus joint à l'abaque fig. 15 permet de calculer rapidement les diamètres
équivalents.
ANNEXE B
COMMENTAIRES
- METRIE.
B.!. CONSIDERATIONS THÉORIQUES S O M M A I R E S S U R L'ESSAI D E SEDIMENTO-
La sédimentométrie est basée sur le fait que, dans un milieu liquide au repos, la vitesse de
décantation des grains fins e t très fins ( < à 100 p) est fonction de leur dimension.
Pour un grain de dimensions données, la vitesse de chute croît d'abord rapidement sous
l'effet de la pesanteur pour se stabiliser à une valeur constante au moment où la résistance opposée
par le liquide à la chute du grain est égale à son poids.
D'après Stokes cette résistance opposée par un liquide de viscosité à une sphère dc dia-
mètre D lorsqu'elle tombe à une vitesse O est :
forme sous laquelle la loi de Stokes est plus particulièrement connue avec :
v = vitesse de chute de la particule en cmls.
D = diamètre de la particule en cm.
y, = poids spécifique de la particule en glcm3.
y, = poids spécifique du liquide en g/cm3.
g = accélération de la pesanteur en unité C.G.S. (cni/sa).
-q = viscosité du liquide en poises.
Cette loi qui introduit donc une notion de « dian~étrebquivalent r pour les particules de sols
(puisque établie pour des sphères, forme sous laquelle les éléments très fins se présentent rarement,
car ils sont en effet presque toujours lamellaires) ne s'applique par ailleurs qu'A une siispension d e
grains dans l'eau, (le faible concentration.
Eii iii.gligeant lc voluiiic tle la tige iiiiiriergcc e l cri supposant un gradient de densité cons-
t a n t de part et d'autre du centre de poussée du densimèlre, ce dernier indique la densité de la
suspension au niveaii de ce centre de poussée, soit à une profondeur H, sous le niveau du liquide
(ooir Manuel di1 Laboratoire Houlier de RI. P ELTIER, page 87 édition 1959). Cette profondeur H,
augiliente au fur et h niesure que le iizatériau en suspension sbdimente.
A partir de la densité h la profondeur H, variable, on peut alors calculer le pourcentage
d'éléments infkrieurs à la dimension D laquelle dépend de la profondeur Hl au moment de la mesure ;
cette diniension I) est donnée par la loi de Stokes à partir de la vitesse, donc du temps qu'aura mis
ilne particiile pour parcourir la distance I-I,
-
8.1.1 Calculs de pourcentage d'éléments inférieurs à D, contenus dans l a suspension essayée.
b) Calcul dc W,.
pxw 1
Les grains solides occupent un volume - x - par unité de volume, donc r'eau corres-
100 v y8
pondailte occupe un volume de :
1- P IV
100 v y,
Le poids de cette eau sera alors :
On a donc : 8, = r y, = T.V,+TV, = -
100 V ys
d'ou
en posant y,, = 1
R
etr = 1 + - donc R le nombre de divisions entrela division 1000 etla division d'affleu-
1000'
rement.
L'expression du pourcentage p des éléments de dianiètre équivalent inférieur h LI est :
E n pratique (voir annexe A, étalonnage d'un densimètre) il faut toujours faire intervenir
dans cette formule la lecture corrigée.
RI =R +(Ct) +Cm-Ca
soit :
on obtient
Par contre, la viscositi' de la susycnsion se niodifie sensil-)lcnieiitet les trois premières lec-
tures effectuées avec le densimètre maintenu dans l'éprouvette deviennent un peu plus incertaines
encore. D'autres sources d'erreurs sont exposées pliis loin.
concentration Concentrat;on
corrigée
I D =,/ g (y.
,Oq
- 1) f HT i
H , en centimètres,
t en minutes,
D en millimètres.
On pourra être ailiené à calculer les diamètres équivalents lorsqu'on utilise au cours d'un
essai un matériau de poids spécifique très nettement différent de 2,65 g/cm3 ou, si pour une raison
particulière, on désire connaître les diamètres exacts. Si cela devait se produire fréquemment, on aura
intérêt :
- soit d'établir des tableaux chiffrés donnant en fonction des lectures et des poids spécifiques
les diamètres équivalents exacts.
- soit d'établir des nomograinmes donnant le diamètre équivalent en fonction de la tem-
pérature, du poids spécifique, de la lecture de densité et du temps.
Les tableaux chiffrés peuvent être établis à partir de la relation :
-
vitesse
Cquivalcnt$
cm/$ temps
poids mm
-- 25 -
1,e riomogramme de la fig. 16 par contre, est ktabli à partir de la relation :
30 q Hr
= (y. - 1) i
Pour établir ce nomogramme on pose :
30 u, H,
D = d z avec A = eto =-
Y (YS - 1) t
On construit les échelles fonctionnelles de log Hr en fonction de R et de log t en fonction de
t ; on en déduit l'échelle fonctionnelle de log v en fonction de v.
30
On construit les échelles fonctionnelles de log en fonction de y. et de log u, en
Y (y. - 1)
fonction de la température T O C, d'où on déduit l'échelle fonctionnelle de log A x
Enfin l'échelle fonctionnelle de D se déduit des échelles fonctionnelles de log A x et
de log v.
Remarqne. - Pour construire une échelle fonctionnelle, on porte sur un papier semi-loga-
rithmique en abscisse les valeurs du poids spécifique par exemple et en ordonnées (échelle logarith-
mique) la valeur de log -- 30 '
correspondant aux différentes valeurs de YS.
9 (Y. - 1)
On trace la courbe reliant tous les points. On projette cette courbe sur l'axe des ordonnées
et on obtient l'échelle fonctionnelle, dans l'exemple cité, de
30
log ---- en fonction de y,.
9 (Y.- 1)
La figure 16 donne un exemple d'un tel nomogramme, il suffit de porter en regard de H r les
différentes lectures R déduites de l'étalonnage du densimètre pour pouvoir l'utiliser.
On a vu dans le mode opératoire qu'il n'est pas demandé de calculer à chaque essai les dia-
mètres éqiiivalents exacts. On commet certes une erreur en procédant de cette nianière, mais le tableau
ci-après et le graphique montrent que cette erreur n'est gas gênante pour le tracé de la courbe gra-
nulométrique.
L'erreur augmente évidemment sensiblement lorsque la température en cours d'essai varie
de plusieurs points (variations du facteur F, voir abaque). C'est pourquoi il est demandé dans le mode
opératoire de placer les éprouvettes de sédimentométrie dans un bain d'eau pour amortir les varia-
tions de températures lorsque cette dernière est susceptible de se modifier de plus de 2 O C en cours
d'essai.
-
B.2 PRINCIPALES C A U S E S D'ERREURS D E L ' A N A L Y S E GRANULOMETRIQUE PAR
SÉDIMENTOMÉTRIE.
influencent la précision de la sédimentométrie. On se propose de les passer en revue ici, sans vouloir
indiquer pour chacun d'eux l'ordre de grandeur de l'erreur qu'il introduit.
lo Validité de la loi de Stokes.
La loi de Stokes ne s'applique qu'aux éléments fins :
(1) pour lesquels la vitesse de sédimentation est suffisamment faible pour que les carrés de
la vitesse puissent être négligés.
b) poiir lesquels la vitesse de sédimentation n'est fonction que des lois de l'écoulement vis-
queux, c'est-A-dire que les grains ne développent pas de turbulences dans le liquide.
Pour des particules supérieures a 0,l mm le carré des vitesses prend beaucoup d'importance
e t devient, A partir de 0,3 mm, prépondérant. On peut montrer que la loi de Stokes est vraie lorsque
u. y D
le nombre de Reynolds est inférieur a 0,2.
y \\
DOSSIER: DATE :
ECHANTILLON: OPERATEUR:
LABORATOIRE CENTRAL S.6 ET S.7 - ANALYSE GRANULOM~TRIQUE
DOSSIER : - - - - - - -
DES PONTS ET CHAUSSÉES
Section des Sols
et des Pierres Paris l e : - - - - - - - - -
A.S.T.M. s· ]" 1" 1/2" 1/4" n°10 18 40 70 200
100
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DOSSIER: DATE:
ECHANTILLON: OPERATEUR:
DEFLOCULANT:
30 Des erreurs assez importantes proviennent de la difficulté d'effectuer les premières
mesures alors que la suspension est encore troublée par l'agitation initiale.
40 L'ktalonnage d'un densiniètre est fait pour une éprouvette donnée. Pour pouvoir utiliser
le densimètre dans d'autres éprouvettes, il faut que ces dernières aient absolument les mêmes dimen-
sions que celles de l'éprouvette d'étalonnage. La tolérance sur la section de l'éprouvette ne peut pas
dépasser 1 %. On contrôlera la régularité de la section en mesurant les hauteurs qu'occupent des
volumes connus d'eau. Donc si hl est la hauteur occupée par 2 litres d'eau et si h, est la hauteur
h1
qu'occupent 200 cm3 par exemple, il ne faut pas que h, diffère de - de plus de 1 O.;/
1O
50 Une température non homogène sur toute la hauteur de la suspension entraîne des mou-
vements de convection perturbant l'essai. D'où la nécessité de placer l'éprouvette dans un bain d'eau
si la température de la suspension est susceptible de varier de plus de 2 OC en cours d'essai.
60 L'hypothèse selon laquelle le densimètre plongé dans une suspension subit l'influence
d'un gradient de densité constant de part et d'autre de son centre de poussée n'est pratiquenient
jamais réalisée ; donc le densimètre n'indique pas la densité de la suspension à ce niveau. On peut
constater ceci en se reportant au tableau ci-contre donnant le diamètre des particules en fonction
du temps e t de la densité lue, puisque pour une lecture O à 1 440 minutes (soit 2-1 heures) on aurait
encore des grains de 1,7 Q de diamètre au niveau du centre de poussée.
Mais, malgré toutes ces imperfections, le densimètre donne des résultats suffisamment pré-
cis, comparés à d'autres mktliodes nécessitant un appareillage beaucoup plus complexe, pour que son
emploi s'impose dans les laboratoires routiers qui ne cherchent pas une très grande précision dans le
tracé de la courbe granulométrique.