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de l’Inconscient Ck)
I. — VUE D'ENSEMBLE
de Hartmann lui-
On sait que tel est le nom donné p ar Ed.
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c’est alors au matérialisme
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plus, on peut
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c’est précisément Pour mieux
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darwiniste, une critique vigo
revêtir le mécanisme
retenir (2). Non pas qu'à ses
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Veux la théorie de la descendance
cette doct rine. On voudrait
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L'INCONSCIENT
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DE L'INCONSCIENT
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n RPRE troite avec pégélianisn *
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dans ns notre| COM it:rJe Que . sa parenté j'idée comme
d’un e détermi
Re minati on objective, qui, ; .
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conscience suppose
présente, se tro uve être à l’origi du sel si (1 3)
la
autres, redisons-le:
rigine l’excitation Sa
ns préjudice des
(12) Au sen S génér al d e « re eprD ésentation » { Vorst
[4] 'stellu 11 14).
°97
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296 L' d LA PHILOSOP
LA PHILOS DE ? LINCONSCI!
per abli,
e du 2° fût ét
-OSOPHIE ù
conscience (14)
» :
no uy ea u point de vue.
200 e r donc à ce te ?
inconscienès
L’affirmati qu e. Avant d’avoir
ME
d' ab or d, c un e id ée
rait puyer cette hypoth e,
—
7 4 A éq ui vo consoiéie bi en ce que poseur
d'une A logiquemer neetedl ue. . Lo u dE ap
idée, rien de plus
e 0O Mm en se r, On ne
“ appele
pe ut
r ; ne
nt di te . En premier lieu,
ce là ; mn € nt a Lu
F propre me une
Re OA it l'expérience d' é-
à Serait contre ie toire qu'on eùt € fa
tion ; ne é ie
re: ds d'antériorit Idée ou r “ ad
(l'exp c’est-à-dire
nexion nécessai 4 sd inconsciente,
a pas de sa ein à mr iénce De eùt conscience
naturel des PHtes Nan mème) qu'on
e-
Mais si la D
ee présupposée ni ec
De la conscience
en te . Au ss i bien, est-ce seul
non jointe ä l'idéb, si lune incons ci 'on à P ê
celle-ci, pri AAC3 jours où
plus paute lent MT ch ls 01 acun sait, qu
nss sa pe ecti
perrffec faits sur lesque dans
comme
d
, prise
> du mo
mo inss dadan
in pp
tion la ts
e de nl k orNAle s
dansS son ple i In dév eloppement , en ve lo men thès e :
ne cette hypo terprètent jout aussi bien Nous
celle- là C0
»
'
Un élém ent intéqr rc E tte question, ce n’est aspa l' antè
ASce se fonde s’ in
rer Aie k s “a ô pa reil cas ch er auire chose ?
riorité de ee So
3S
PEN qui tr e ch er
du sion classis
;
à la € oi do nc
ée pa r ra pp or t
(15). Pourqu tout au long la discus
résadre cac id
sr 16/0 1e pouvo " endrait
peut tte antériorité de l’idée ne fait e reprendre ent elle vi
rien à l'a ffa ire ‘ar ce
iorité FU [Le sur ne pe lecteu r vo it co mm
jet, mais le :
Di isonss afmifamie
ire.
ux. . C’es est some: S Encaq vi su à sa pl ac e naturelle.
ne di sons pass
qu estion,ren
mi: SAS
m e ic i comme re ma rq ue r; pous
; la 101 pi
poser Et uille bien le repré
pposeve l’idéeC maisals dVec M Re ve thèse d'une
qu
Nu po
ee de dicorensci: enlace. C Ce ienc e su
gré par exemple,
qu e j' hy
nous n'avons
pas
idée la #2. n°
faiet a“nsDé :le 1quo
à tr io ab ie r di ct oi re :
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etut d’au Séntat est contra hypothèse
d se ;effet de pa
Soin Moi
ne que cette
térileoritpréen de ]:
où su ff it
ne l’
He quanon ou ce lle de an ÿ] nous
a Consci en ce
CL w'il ue le r jusque-là, et purement gratuite
moins n'est-ce Ù én 0
ue à fait dans le de e et onéreuse
A qu’on le Fa PT | 207 4 M
part et d’jo
de part aut re, pour que Dir qu e de . notre pensée “
Clusion fi ût Jégigititime. P k l ne s’ag it ic i re ; su bj ec ie ;
égitin ac qu ’i pa rt ic ul iè è
que la conclusion
fût , finie, ée apsolue)né; cesr
x E pas Je il res secondaire en S0 i l' Id
va suffirait pas pü t di re : l’idée ne “ VA . JUNT
en pumaine
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ireme à supp la conscience, pourrai : or9 t En somme; C es
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re entendu » : s’il ne ail rien ajouter à Sa ceperdan#
bbrime ne peut
© qui pe de Y à
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qu'il conscience n général:
uelleme nf , “ble Cela ; actuel] lement connue par une
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plus qu’
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reconnaitre 1 a nal s ne l’eslsuprpasé). { qui tre ? op Fe CA
perfection } de l’ê l'être ? Je cond: Con à Ru simplement que apecelte -MC
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autres
(17) Cf. P . JANE
NET, Les (a auses
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971 . TF Supra, D: l à
1
201
300 DE L'INCONSGIENT
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èr r'e do nc la pe nsée finie ou la pensée ab$® Pnensnat :
iSpirati on artistique parait Sans doute défier l’ana-
ra ARR d'en
bonne part. On a bien essayé
ine
qu e de l’i dée par re pport àk la consciéls lyse, EU mO
noins pour une
, l'antériorité lo gi idée par ra rédui la réflexion
n’a pas le sens à-er
t-im
es>pr re ni
di”, le mystère (19); le rôle du calcul ou ! de
luipeuat c'ex
ibuesi, s'
train ire mais
. L
plique Dasas f l’eV Ha rio ritHa é,£ ma
rt Le nn
si l’o n t de MéSt anec: n ne croit d'habitude (20); à où
Strecaussi plus grand qu'o
y xté N 4
Ë il, à tout
conscience à l’idé ence essep réfractaire, semble-t-il,
quid proprium,
tielle et So conséquemment l’inconsci
adicale idédee, celle-ci. Et ainsi tombe l’un des prinel
Rose um ultérieure ; et
UE cette difficulté se Sr
Sent nu :
, é ere
philosophe à l'appui de son principe
pas, si lon peut dire. pes
ameux ( ne à chaque rapports de
ur
paux aT£
guments de ce
de des Jar et queen
l’Inconscient. Peut à tem il peut aussi ; SE
|
Mas, outre qu
ne le d cs génie,
« U est trouvé », comme on dit, il ue
pas (21).
DR de règles poumse Ja. Il û y un
IV. — CONSCIENCE ET INSPIRATION l'écettas et il n’y a pas fort bien remarqué DU er a
e, te comme on a FA ï
ns one
sur la première idée
il mourût | »,
1414 Sn},
Hart Ja, sur l'Alteluia du Messie Ts
pe pastorale, de ««€ mots In e
On parle neaus! poète où ]or at ur
autres al " 10- Son du urPrintemps.
s sublimes qui éton
nt le :
l'inspiration Do volontiers et entre », de to i :
Le Pen plus que tout autre pie i-mè-
PA
Out S
« Cet ac ce nt qui l e trouble Ju
nous offrirail nes ù premier, sai si par
de l’activité M se et relatif, e point »-
D on de À de l Absolu ro qu'il ne se connaissait V'In-
Pme der : réalisation du beau dérivent de Fe v'Inconscient, t. 1, D: 921 sd: $ nominans
gpré de
const Plulosophie de
artiste
la DrOAUEUE ce ”
science pär lé ie dont le, résultat se traduit dans 18 ire ne
Gr” ® p., Ch. V : L' Inconscient dans260 SU ç édit).
lo gi e, p.
ngue patienAr
au
EL ER, ps yc ho ie est vs
Ha Cac ER ele et 1 invention du beau (idée Der El (20) ra Y+ & E. RAceBIsens et à Sa manière, « le gén e Ait, n'a été plu
s ori-
à ut Ussi, en qui suit, dans R. PEYRE, His ravaillaite Quel
que
ou J'anti
ie poinr de départ de tou! LoD of gin. 00s lire ce s
i qu' ol n Di en
e, quo e do
ultérieur de la ne SiD mais, à chaque moment; on CeetAu orPo
; « Nu l pei ntr
igusinsialnité se montre dans
ja ma ni èr €
jours travaux 5. “A
Ab dot Re DS pat.
ands peintres 1
es des ditgr Félibien, r
pé0°
ou moins. Le processu* 1 pour nt
il fat ra les œuvr à
nn té, À Tue16 qu'
Scient, ‘qui est de Soi plus
assujetti, Mais
est bien
re me
quelque © PS,
me les antiques rime
ce travail, échappe ocié LS
LUI voyait parmi
re de l6g su
au ve e de tout att arque ntentait d'en faiplu s'en MD choses
lument
e la conscience. En lui sont 297 00 &es Ativem il se coqu' s be au et
il voyait Me e c'est en observant
pourtäné, ne Fe te dans port Ce observe tt
souvent qu
disant h les cop Li
des éléments Tan ue Vient 0TIt se fatiguant à
esthétique exact aque cas particulier, nous présenté prie plutôt qu'en da ns les ru
habile, ha it
les” lieu
nl fût ; mêmes lorsqu'il marc et s'il en C
ün ne Fe/complete devrait Da onne qu'il voyait ;
li OPdin. des pers des notes Sur UPoù d
ïl en faisait eff
de la beauté. Si Er CORIAURES condition? {raM nsf0
pr <be la: il M e r e
aussi les be aux ets de jignes lui al rs Arrivé té
sc en général $ ape tt re ait jour. Je e il éta El plus gr
rs es heures du que lle voi Con
faire le me ct sx
di ve
eul-Marville,
par LU p. 60. »
mer. et réduire ainsi
Vi gn le 74 Po p.
te Ete
nn ai t un rang considérab cei te pô ù
inée L ndre
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Soustrai!
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ss ent e , de ns uj ou rs
qui ja il li E pa rl
ainsi parler, deer la s
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imaginatit il 1°
‘
ivre un cal
exe I sa it ce prquim'il veut exprimer, *’inconscience de
toute la À e” s’inognorerer elle-mème par ]
t ji e. l’ex qu a
Sal pats decomSAVO! il arrive à
men e rice àà
S’ig r
u r Ma is So M oosdat
tion es et n' es t que z de SAVen sià une in ;
telligent
e d e
plus haut f es 01Tee saÿ ns être A M au Ci
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ar ti st an ta ge assujettie ti e au C ant /
qu e le s L uj et urait L pas :
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Ju il fait, plus
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305
DE L'INCONSCIENT
LA PHILOSOPHIE
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i par lever la contra
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et l'imparfait,
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Ja souveraine
+ se so ne n
A Fa Jui fini et le AE ère, les introduire dans
Parce qu’il
nt su bs ta nt ie l Fendi que À(CfRE. sup); de Lêt hu néprceéfssaire toutes les misères et tous -
berfectionns
soi con e à < re lative. On à beau
dis
supposer une onscience de ni co mm e absolu parallèl ntingente et re co e
la le individus fini
ait à GÈ Ë er « UHé A L existence
ll e et ab so lue, en tant qu’ell
bac rcoImme fin is, re vi en dr
par de Fe esp
rit a substance un iv er se ses
ma gi qu e d’ 1 it pe rs on ne l ; N es sence », d'avec
possession rte 4 un espr . d a n s pure té de SO tion
et comme une so ill urs qui I, dans la « qu'atteindraient seuls la Jimita
ste en soi
d'1e
, DR AEsolE nSétait(23—) ».horsVoicdei Modes ot SOph én om èn es , lu qui
la ch
mettraitLM TENTEos e - be in 1
l'imperf RSR
e
que c'est ce t abso
ujours parest|-il
es rf. ectiï on le: torelatif,
son dévelop-
et
Dieu, dont la DE cessité de
la pensée et
ns sa con”
devi
lui-môme né cet in- a
forme DFa la da
Le
V16
ME ANtE
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r
An
co mm en ce paSH
EN
naturée» c'
est- à-dire
P. sp
g
fection
l’
quesS o Ont prépréci
cis
En d’autres termes, de Hartni
nes, l'ar gument peut. Ses Il es : n élève contre la personnalité
torquer trai ee vrai Da qu3e > H artmank Ù
tre l'atributionà trait, en sorte A mu n mo ins « cireulaire », indé-
solu de co ns
ï. MENU objectio tion panthéistique (28).
e
la conscience à à L'Ab
en
Pendante
‘
ts conclué tout
simplement
A Atlas + le panthé
isme, la Me
Tr: . cette foi s, de la‘ concep
1e or
I <
Portons-nous
à sur ce nouveau terrain.
avec lui
ous ans
de Le d une subs s li
l’attribution e ; à univer
ilia®
c a conscience
à l’absolu
; est inconc
avec le fait desS consciences particulières s ENCE ET LIMITATION DANS L'ABSOLU
Uno. ARAG TESS donc il faut
refus® VI. — CONSConCI
ice à l’Absolu - &'®
ES RAR dirons, nous : donc drir
.
mo in
.
cetie hypothèse qui e en ce ne fe ra it
.
qu 'a
prédicat de la consci
.
con >
donc il faut rejeter la
« ] \1n: A à
)ré +
E 4
du sujet et
Re tar")Et qu'oACTEl
Ho SAR Di eu. £ .
ception d’une +
C:Lar IE x "3
1 conscience
S
repose sur la séparation
bin l'intelligence
ute limite de
ns,Runous.npoeele
A
L qu'à raisonner de la sor
nous por de Rtt Or. on doit écarter to
unie EEE NC
L'on veut en faire
un ns
e de l’Absolu
dre LR crpiiene
À véritable état de la
en se” fait (29)
rail oublier
preuves par lesquelles
la théodicée cl? Lac no us co nn ai ss on s de longue date.
sique établit la per i que nous ail ion que est pas
DFR divine, et auss Elle A une object chez les panthéistes. Elle n’en
tout simplementnom2 HS
# résoudre une diff icul té élevée con È
Plus nue rigueur
notre thèse au cela. voir
Ste
istence des tenc
articulièr
ce? ) Non ureuse pour t qu i ne paraît guère de
ôt à mo È l'ex e A AE fixer un po in Oui ou RO!
res, Où plut ne pas DS que cette exis
part icul ière s té que ASUS Ta SupP difficul
2 Soufr “HS vi pour peu qu'on ÿ réfléchisse.
nnaître que de ne
tion
il
pré ie Vaut-i]nattrene aps parlant, se co
soudre. En
c'est-à-dire M di , c’est la ré rfection;
SVM et universelle, divine c'est la qu es ti on
sément dans la sup
r est une pe
e pas ? Pose
E osition ce ces t preuves CBS
onque nan "01 ef AN pa rl an t, la conscience
e l'existence: Fa
n
à-dire encore d urie Supp étre « solument ha ut e fo rm e
plus » est la t Le
+ dire C
10
Ment ne vo
ce ra it -i l de stitué ? Commen
l'Absolu en nnaîtraient-elles {© à
le créationis à nc © celui
ES le àfinicôtéapparait, DA un
à côté
souvert ds ; pour
moment ladonné ain$l nt
S aie
l'Infini, 2e et par
iles RAP
l’Absolu hé Usolu,
causalité ge
ol
fi ni es co CO é
l'Infini ne pas
qui, encore
une f S %
un devient 1e
7 a est0 HN in te ll ig en ce infinie
NES qu’il À mystères que l' Chétive
êmes, tandis
le fini.
voulons bien
le-même (30) po?urtais ME
n’ deyient il y Ée
a-t-il pas de — COEt adiction, comme
le moins jen
OUtes
sr
une dans lui-même. Art
con
se co nn aî tr e el
entendre : _Panthéisme. choses !sans imparfaite :, P
OH et dépendante, je
OR DEN CE°
don
choses 1 eme ‘Alureue humaine,
s’ TE
ais Îe me
nana
>2S qui explication )0sséq
disant : moi, |!de personne et m’élève
nelle AS Ce faire
nets ualisme et e répugnent) en
: quoi DCR toute-puiss
éclate la dites,
4 p
ère a moi-même
apparaître
duction de sta PURsubstances
pr au
à ph
ie divine, c.-à-d.
fonde ma noblesse
Stinctif qui
que nous
modes d'u eu de se horner métériente
oprement
ne préexistne dont
man ièr re sans
éRAlAen eDnprende L'analyse
va Das
ja
est celle qui prénare que la parfaite ou paÿ
exo mer
CON
notr et qui lesurfaitLa aussi
cer tout TRRDese tout son (98 en soi
e objection Sa discussion
d'énesnamee H; ar ) At prendre cett
(cf. cau gt hors àà
Sup ann sis
1 m
la dans
1 cause créatrice
bref, }
des : 1 l'enca dre
tienne critid
es
On Ge peJe neReUe influe présente et même.
étude 119 sq)...
| Morel, p. 70 et n
notre
de Dieu ten - (9 r L conceptio eenee
telHBUS
istence
1 Rue de l'évéhiUont
avecanalc
Cas D ETOLUHON amiverseue
cê 1ence de
ù Phüosonnh:
cette
! 217te7.ST Gotte YU (de pe l'Inon
‘0Mpatible
* incompa
SUppo£'tion d'un nest Imconset
nn
en t, t: MPde l', me« nt son objet,
t. 1e De
Soit. + Do ne il n'yn° pas À nt absolu de qu0 _" O1 Sur
Dreêm sophie de L'Inconscient,
eue-meme et voit
a ‘ jui-mêmMe
il far 4 abon 4 pas de cc absolu d quoique ca soit » 7 qu ne) n e voir
se voit pas
ü
ps en de RSR EE Ce Ton et pour 5
devait conc] POELE la
Re
ence, en
de l'évolution
tant que
voilà dns 1” dt voit toutes choses, à pesoin
tout et touj ure. Que go De
e, cherche à appliquer È Miroioir de la conscience insividuelle
unen s.Ce Drinei c'es F
ne dise PA% 7 qu,
ne dise naAS
s & ncipe,
nom, purs est son affaire :: mais
mais qu'elle n’y à d€ réel
q
ce\ qui 2 St son
one uit fassse
ss pas dire, qu’il £
stone te explication é
309
DE L'INCONSCIENT
308 LA I HILOSOPHIF e è CONSt
N° ENT LA PHILOSOPHIE
à
13
à un mt rang | 10TSS pair air parmi les autres cré: tures visibles:
LE RE
AUSSi
LS par SO, pourquoi Sa supr
consci
ie
nsc on) ème perfection lui :
»s créa tot être
absol u, celui qui qui esest par Soi et DA qui ; sont tour par excellence qui s'appelle
hs de lui , par < DO RS AU SS
Qui ne relève quele de lui-même dans une SOUr Pour soi, Où rphisme, indigne de la ma-
cel À p
. |’ On parle d anthropomo £a
les choses
S;.C EIUI
c
e,
à
NE le véritable anthropomorphism
A
Abs n
endentt AT tous les PES luB;
de
“ CluiL qui? i
6; jesté vnil i
que notre
a
> :
il n’esexiSee ét gine que nous ne prenions
t pasc éton VI INCONSCIENCE ET
eUPRACONSCIENGE
un objedet, notr e nant avec une
RC"
CONSCIENCE,
science dans son contraste
Re que r ;
existence Re : 1 tés \
jimit Lai : à n0 tre aute
u
ur d'at-
Dre merveill part, autre part, Sisi nous sommes
Ÿ ons un instant la parole
A1SSone
p r é o c c upé jusqu'à Ce Jjo
sphè re de Sà
ce n°’ aremmel” ta nt
est pas gran d
ille non plus, app sme s’est
« Os
recherches anté-
Dieu, l'être su Pa di
Fr æ inc ons cience. Mais nos nce
prêtant toutes 64 veus honorer
à la PARA me. rieures
PE RS que l'a cti vité de cette intellige
lastiques; et lon ARPTAURS possibles
Hi inconsciente Du _qu'aveugle; qu'elle
est, au
oc ‘ ar moi ns
considérée comme Ho
de le dépouiller
Clair COntraire, une vuc véritable, même une éntuition clatrv nte.
ee oya
conscience et la rene haute de toutes, à AT Me
ne se voit pas elle-m; ême
lement son
et voit seu
ik ÿ H soin,
distin cte de sa personni œi :
t toutes choses, à be
le:J et cet œil, qui voi
Objet | cet
At
e de l'inconscient é deux
monde: et
Er Si l’on entend Jet, le
ir de la
craintes doivent RTS " natur V'H a ci
DPOur se vo:
me, d'être ré fléchi dans le miro
He La doctrine dé Conscience à lui-mê (35). Nous savons
que cette clair-
effet. 1 el un théisme et e à na IA US US faillible
ten}, enl'idéal de tree milieu entre Voyanc inconsciente esl in
forme la pe ns ée
yens et les fins Sont
de
(32) oui dans La ne uns
a2rfec Se » l'anéantir re
Saisis EU de ses fins; que les mo
mio durée; e
Us
nue à FREE GR te qi a en un seul instan
t, en dehors de tout
fleur de Le ni de et DEL us 5 les donnees
ro des em br as se à la fois toutes ini-
ed ns (36): Elle est énf
de vu e
cette fleur de nécessaires à on ss ei
pur résultat Fiiues d'où ut io n de ses de
Cl nous Men M ë l'exéc rche défectueusé; toujours bornée
à
et des forces aveuglesso l + ie £ ma
en imposent qu’à Rsa “ FOR ER la dont el le
faiblesse ; et Un Doint ts, malgré les échasses
entre la final dans | ses mouvemen ; r celle-
Ca
FREU ait Usage à la ré fl ex io n discursiveon sensible,
pree F h qui ati
iv nism nie 2 re
est prop ce de la perc epti
ent gie
col analo toute finaliPR
té da ain, et lees méca C1 est A ij» ouqursi dans la dépendan pOur
solum OS
ir à LOIR ir at io ns de l' In co r iscient. Nous est
1etla finalté nenaturelle,nature:mc is sé Vons MR des insp inconsciente;
qui
heNous
diaire in te ll ig en ce
Un intelligence
ri eu re ( she cette ce , co mm e
Su pé jouté conscien ux objections
en en elle la
ts SUpracons Je Par
nt les de
là s’évanouisse de “lÜn-Touts Cet
ion ie
incon
ee-MêmMeE qui te agi
, scien eligence intuiti Précédente
contre l'inconseience une intel-
être Hi son inconseience;
continue ou de na nou FD o effet, malgré re à Ja
sage; supérieuda
LION G ligence so uv ér ai ne me nt ns la
avons
S préprécédemme
5 Ars nous 20H nisciente et réalise Ses
fin s
reconnu LE d
décritede et ARE LES NSCience.
Et cette intelligence donc plus
réel Créat: s ommes
phénomène à du monde ; nous ture 137). Refuser” la
Ne
4 Mn Ron (00):
an du mou° o et l'histoire
"aliee
À Impuissance
ance à nous faire une idée e a na le
cet i des forces de | ditions, ce n'est pas
de connai naissance propre Le à cette nous condam Onscie10nenC acà cide°
ntel
àde laconnaissance
intelligence Co
définir par op Fe connaitit p ce (38)À
DiÀ eu dans de telles
notre manière d'autre
+
( exclusion du
cours ae
C me la forme RéntiettsLC a e Fe re Î Me2, l “plis”,
inst D
1
st La conscie nce É
nsée
fai
de ch ances s ene
même
à J'ABgolN nest DOS IL
ASE tout c
raison
cha
AntA Le à RASED
USED
LANGE l'erreur, Popuis és
pas ea
Us
LS Conseien pour cette
voue
HAS ARE ne sûr, ne pRpAa
€
sa outes coup
les données
ance s'étend sur
connaît re ét les
s que nous concevons jui
D fait, je le! ète, elle S
es embrasasse toujours
j et dans£ un seul L moment. . Ri Rien CD moi { es telle qu'en plutôt
PH” !
de cett e réflexiXIOn cons
les un es
nscientee qui i va chercher laborieus
aprè 25 les < aut res,s
vusement dans la M
Fou
tromp e 8
e que la nôtre,
anif este te; : qu’il y a, au vrai, entre les
deux peaucoup
: Et si com plète elles
ÈS
les données S des S problèmes, s,
S etet
$
se
S t si fente”
itite.
e. Et voilà
n chez lut de c ;
sur scien 107
Din ment
(« Rie neo rerLa rérte ] soil Un
a proprement
méme
[= one A MaisrSur e 1e n'y fait AR ni froid pn! sc ue: qu’une surtout, de
similitu ce dra dire suPRACON-
e
, Lien ente ee st teFEnc analogie ue voudra
nécessair
ement discursive,sive, n‘ eut être consci , que
que La con
“Core, si même m cou)
COUP
ême SIBD
Lors ion SÙ $ Cent , Ma; Sinon
prend du cette
é
étre disc re
Vecuant plus dès
milieu pOur nt
OU OUT ÈITE feCe 4 ne ana éhez
cessive ue ta phone)”, serait a cette de
rénerion sels
ais alors aussi INCONSCIe sa voir
dénérat ten lt L'ap | d'aitieurs plus ConTonne :
méme, et Hart ion en sera PO se y'aet
prail
6 aut que dès le début, : VOUS ne “pers
parlez
d'argumentation
Où tendancieus pelle ges, Autre signification
Catior é L t » ins coit
inconsclent ?
rnême instan et PR C'est ain di-
toutes: les É
les fins fitfires
| insinuante
plus
LOURONIE
prochaines NAN les plus éloigne +elle 1 mê Dites « lorsqu ils
nu ous:
Tele es
re AUS à $ même. comme des Jexandrins peauté, nl
sont 1 présentes
facon, are de telle 0° :
5 d'agir ges |
Plus fois que
honté, ni
ete
COR D) laLE scient.… sans Sa; ent celte essenec ni
que Dieu n'est pas
ae
uite eeàr
Correcti suite
Abe€ Ction qu’impose
te RURSE
Ü
1e lui préêter d'autre celui de L'éntultto
DE L'INCONSCIENT
314 LA PHILOSOPHIE 345
NCONSCIENT
Le LA PHILOSOPHIE DE L'I
même être, etc , Fa quel-
nn, on s'en
qu'il est
cours mental ; à « ,
,
tout, de la volor
,
de l'intelligence
: et de l'intelligence,
’ D
Ê
car (B
directement en nous
. d
particulier,"
\ )
1 3 \C
qu'affecte
C
est elle
conscience seule le caractèreù
diseursl"
Ce
aneaussi. par ricochet) C0:
VIII. — CONCLUSION
pourquoi p par consé supraintellié®
Ety: Vr a$s
par conséquent, ,
supravolonté (42) ? UT | e n ligne par Ha
rt-
Il faut d one, entre Incon* ci
et | e ence ; AR,R s ar gu me nt s MI S
deux mots, choisir En
ésumé, au cun de a vieille obje
c-
tout court Ha cas je ma ntien” 2
. Se \ thès PISE
ne absolue — auquel LACOS Se
Ma
un sa ibi-
dE prétendue im poss les
rs 1° à établir
pas réussit à la
n’a
science re plus de raison d'être que supit
rte
ion A
empruntée
pas AT lité du panthéistes, caduque;
blictri, comme 1 it dit Malebr:
alebranche, ou suprafitsipe Ahbs
in n Absolu personnel, la laisse par ntropartistique et du .
. o
.
quoi De pirati
comme eüt dit Scho fait de l'ins
.
ou supra-n’importe Cons: la
de ‘hopenhauer, cê
érat
| i o n s ti ré es du
g a n i s m e 1€ r v i e n enntt pas pas à
nne
relative — auquel cas esuprac r a
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onseiel
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l'o p
ce la pensée à
Pere Ta * I
DEP
antériorié
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& précisémen” est p a
son bien- mais, pour désigner olide; ce n’ urrait rien
l'idée us s la conscience qui y po
et
Summum de. la L
PRE la conscience parfaite care
la 00%
au it ce m i n é e de pl us prés elle ni à
a Dao CRE PAT uisqu e, ex a Ë
re que jee qe
SCiente
solue, car c’est celacel: que veut dire 101 inconscie” il
5 Même US p vi ve j u m i è
car us
dans Une polses, d'une pensée as
relative .I1 faut choisi
1oisir entre les deux, disions-nous:
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eut
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