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La Philosophie

de l’Inconscient Ck)

I. — VUE D'ENSEMBLE

de Hartmann lui-
On sait que tel est le nom donné p ar Ed.
importe de bien
ne à son système philosophique (1). Il aine maniere,
D le sens de cette appellation: D'une cert
e DENOS CEE qui nie l'esprit
surt RUE S appliquer à tout
c’est alors au matérialisme
ue à 1 origine des choses, et it Jà une
équivo Re par excellence. Mais il Y aura
pa-
récrié contre
reille que : en tout cas, Hartmann se fût
plus, on peut
Pa mou du vocable de ser choix: BIEN
c’est précisément Pour mieux
ETES s'il y est arrêté,
érialisme lui-même. Et il
a nu sa cause d'avec celle du mat
é sous la forme que lui
À ne institué de celui-Ci, considér u-
darwiniste, une critique vigo
revêtir le mécanisme
retenir (2). Non pas qu'à ses
net
Se, dont il y a beaucoup à (3) soit à rejeter; au COD”
Veux la théorie de la descendance
cette doct rine. On voudrait
exposé € n règle de t de vue spéculatif, pour en
(*

se | ne s'agit pas ici d’unidée général e, au poin


une de la philo-
dsgeent en donner essentielles, à la lumière des principes
Sophie. ensuite les thèses
€ traditionnelle et thomiste. est exposée : Philosophie
grand ouvrage où elle 7° édit. alle-
des Dan est aussi le titre du en français (sur la
édit. Berlin,1869, traduit 2 vol., Paris, Germer-Bail-
Mandé ewussten, 1°
D. NoLEN (Phuosophie de L'Inconscient, dans les pages qui suivent.
) par citée
lièra
>, 1877). C'est cette traduction qui Sera eine rit ische Darstellunf
(2 1rrthum im parwinisrus, en français par
der) pans Wanrheit und Berlin, 1879; traduit théo-
E ÿanischen Entwicketungstneorie, y a de vrai et de faux dans cette
ce 4 u'il
Te, DEROULT (Le Darwinisme,]). — Voir aussi Infra, D. 292.
[9° édit. est une chose,
(3) U © Alcan, 1909 que le darwinisme
superfiu de rappeler sformisme) une autre. Pris en lui-
et at serait presque tran
rie de la sélection natu-
le
descendance (ou
ême héorie de. 1a sa maîtresse pièce, la théo
Ylle) ! le darwinisme (avecparticulière d'entendre et d'expliquer la descendance
Commune qu’une façon
: 10
Les BRE 1909
Questions Ecclésiastiques. — OCTO

nn
290
HILOSOPHIE DE + L'INCI
LA P )NSCIENT
204
MPa

à
L'INCONSCIENT
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2 LA PHILOSOPHIE DE
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à des finss ieSupépri érieu Consci ent e - TE er fois intelli-
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Ce ne seraitL'éve êtres de Afus qui constitue de lui-même ni de
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s e t d’y d’aasdappt er : i e con sci enc e
z,, paD: r exemple, unique re se comme tel, le
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n a 7 ,
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ré admirable,
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qu
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comme
Sp -p ui ss an t
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arrivée, der : il .fait Ë de la prose, Sans Je savolr (8):
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aussi La
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“len t, e (D:
n c u r r u té
) ch. tvrammenma mé (?1), ni d'un dé-
A ne iemétaplet siq$ ue d’où ù dédérlrivé
C o D. 159 ne
nse lent U. sq.),, no ré
peut ni èt
lade qui- sonséquence dernière
pe y def lo Ea coen
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A toriuteue remala
die es urtant dér en
n'en sa
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nonlel à ré gi t,
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tuit par un que celu ir pour jui).
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(4): Less A Allem ands app à la sui
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-même;
faits De neue comme ils (8) i S Ha 1, de vr ai t ne 5 voit
Hiéotonie (de *£%05; fin) de éffpl icientes, pa usivement, fi nales. 3 € t 151 et c, , Vol rtmann, semble-t-i
infra, $ VI Fe C
T ue
de notre
ion par Jes causes ee
T les tetex xtes cités le raine 93).
(5) Of. Z (deDarwinisde eur ilex y ica atde faux, etc.,
P-
c i s da ns
me ce qu'
Le ilosophie de !'Inconscient; t pi et de
Ven, Où 00 et très pré ussielgu
e 18
(5 bis)s) Ph Sq. , pa ss im ra sé succinct 6 sd: (paris po
st I, p. 130 un ex
t , M: Am de Marger
aîtrerouvera .
Ar-
po ie, P:

203
DE L'INCONSCIENT
2)2 - . OPHIE
HILOS DE} L1
. N CIENT
NCONS LA PHILOSOPHIE
urquoi
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qui j préci dde suffit largement
1: à notre butut, qui ; est de
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crité À ne |:lre ‘
on pourrai t se demander po
u par les Cêtte «4:d m4: que; ces
lignes, effet, que
quer les principa
vel aux arguments u r q u o i ne pa s admettre, en
D Re loute Roi |? P o ciente) est une
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Et quand :# a serait ? Hartmann pourtant
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de matérialisme È n opposition
II.
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à se reporl er plus: ha
» il ùest nécessaire de
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e de considérables,
nê celui à |’ ense dans l& nature,
m a n n e
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pris 10 “HSE
système. de son système I y 4 des fin s
e vérité
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ou plut ûtBE unTE
des rapports ee la pensée avec We
Où ES :
OU : ur 1e pr am
fond : en ta le , en
Ée] ositio n tout matérialisme
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cérébrale. ces fins, jl
6eChec AD jui ?
t e explique
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enfi Car une pensée
en ne à ue M
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me w ttre
11),
une in telligence» n'y suffit
nie es de 4 analyse,
Une scienc dernière elle-même (Schopenhauer)
e e énnatr ee
ce, la volonté est incon-
Soi, d’où #
PR n
qui de proi ae
me, cette p ensée ordonnatrice

qu'à
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AP. el, Seulement,
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ie uë d'elle-même
Dyee succès .… Il gr NT:
en réalités ce [ a de je elle ne prend € onseienceSe partageant pour
le £ : matérialiisme
pu is se q e de en pré-
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ignora n c e ou « à

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e s T es t L e impossible
fonctions ». Tant que
l’on n€ * sl il est sputile de tour”
da ns f a econnaît où tes mo
d’une part,
admettre
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d’autr e ac ti vi té
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science, le pr ti on éq uiva 6 celle de 18 10 ke “Utour 7 ats rigoureusementcette onstataii
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de en Le dépend
vilé de l'esprit i o n L dont
f o n t
qu'une rsqu'on de Ce a De FU Sen Etant, le matérialisme, assurer il triomphe;
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tivi e pr im it iv e el con a t: anne compte de la finalité :
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tout d'abord,
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e et conume acci-
CAC bpe
:
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pensé
2 la Jiaiscson de lapeupensée
1
(conscie
avec (
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plus (consciente)
SOIb assuietti
que d’une ma ni èr e
nisme. RDe NAd’un
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Au vrai, 1 il FEES abord pour matièr
Regarrdons-y
.
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près. elle a tout d'
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atement
re de ce fait général
ue hypothèse
sénéral, une autre que de son ja Rs se
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ns at io ns les images; immédi
ou
après
la eur ‘lion
conscience et
entre
et l’inconscienes" iées, Fo
is qu e c'est seulement
PRE Le et pu essor
originelle et essentielle qu'déà celle-ci même
pa Ci.d'uneEt pro Ge RO LS ) ê >01®
Soir st organes,
br an le qu 'e ll e peut prendre Son
la révr: e premier
,

truire, , nou: NOUS n'avons qu à partir propre


;
VOS où elle retrouve
‘ :
£
discutée

affnmatiosSuPs re de s id ée s, :
Hartmann à savoir que pre 4 son supérieu
ar

: ci-dessous, la conscience | e 'idée lent


savoir indépendance. la
pose l’idée* (122). Supposonssons en effet et maintenant su qu 1 NE nu
éc is io n, ce n’est pas tant
ntet dit et en toute sée tout COur { qui : a de la sorie
às son tour soit en no pr
dans une dépendance mens
Densée Co
l'entente (directe, s’il s’agit de de 9 enta’ que la per nt de
recte de CET e fonc tionneme
DourÀ conditi :ionie\nt(i(i mmédkAiaïite
2 32
ion ne Es nte
ou médiate)
le
a TEP la po-
[i. e. par dé He représentation sensibl® n i s m e fo is , la ra is on © n est dans
elle-même | ce ecte
l’idé par la dite ou re yrésen”6 O g a
Entialité 25 el, en
core un e
de n0 $ facultés
de
de l'idée proprement pen 0 M ion orig in el le
me}, S'il s’agit: I: +
tatio n intellectuelle) de la Cons” Ÿ l'indéterminat ence: c’esàt qu'une intelligence
na la dépendance » Ja pensée na ît re lors CON
;
On la Conséqu ù
ÿ

ee rapport à eat? . expliqué )n vo it au ss i dè s


trop clair i serai€ se ra it
À
e
qu r elle-mêm
210
À sera, C’est PQ
ut

acte pa
plus favort ' en -
ganisalion “Clente
le-même. : és une in
et qui n’est pas
do
ee coup. k « qu'pail r el ê nécessit
Gi
nc l’autr tout
aintenant, el de oses, pas
«

pi fai
M

A c'est, Pour ne
e

Bu Hnde St pas Dveui


IU pie! T e n e fa il le , m
De ig des ch
au matériali
érialisme, qu'on 4 ‘ eul® en acte à l’
origine dans le cer-
observer , Que celle de ae hercher el demeurer
: A
Hartmann entané{ li ment ailleurs Fons pecasion
que cette RTS DR
a censéede fair (4 ed momprése Lu

ce que nous aul


fait où se trouve de Hart-
TSRpON dire . Organisme sente discussion,
e hotre
Ne l:
étape. deuxiè me argument
Done) PEN
ne d’un e l'idée.
ne oir, Dour ainsi nié D Don par la critique de 1 sencer et Œe
d’autres points pi
» EMprunté aux "apports hypothèses
Au (Cf. argun Rae R A #4
: d’une
unité Aireme
dit encore, entre Îles deux
part,
classique Venons nt de
activité : pa ec.
morallibre
non
; d’autre J'une à l’autre, celle (13)
OR et du Notre d opposer propres considérationspégélienne;
A7
ique dans jantes) Les
» Qui décidera ? à
ar sa à
du fai spiritualisme
Te €
ste
À .
ee El , l'encontre de
de ains ces au : Ree grands
ho ,
Us : s
aits pris ensera
e
e ons : faire valoir
NU
fair
nee
Echappant ainsi ] ansù all
de
va Voir, celle
{
rte |
s: Mau
trouve aussi: satisfaire
matérialisme
à l’autre donnée
en
iypothèse ohlè cal
in Un
S laque comme on
Ares
le bi
‘e
ne f du problèm® un P eu ent donné s absorber.
È r en entendre, 2 il e faut que pousser
plus loin1 iotre analyse dantê
de
ET IDÉE
Pour quoi,i d e fa : 5 CONSCIENCE
it, la pensée est-elle en nous dépen ten” II. —

leit-motiv allio
l’orgeganisation
Ï ?? ( Cela tient, en définitiye , au
talité ineus au f onds de F: pce”
Un
a lité inévitable ] ppent par nature nos pu 155 0
qu’en ve610:
autre motif prédominant,
gel ce.
créées et
fini indé
;
ti
s, avec l’indéterminianoautrion
/

m poe i
tentc à Ps û
.1 bhi
de | ’[nconscient,
et par
tive qui en réésulte et, dès lors
q u i ; , p e, la
n RPRE troite avec pégélianisn *
He io!
dans ns notre| COM it:rJe Que . sa parenté j'idée comme
d’un e détermi
Re minati on objective, qui, ; .
{
conscience suppose
présente, se tro uve être à l’origi du sel si (1 3)
la
autres, redisons-le:
rigine l’excitation Sa
ns préjudice des
(12) Au sen S génér al d e « re eprD ésentation » { Vorst
[4] 'stellu 11 14).
°97
EN T
HIE DE L'INCONSCI
296 L' d LA PHILOSOP
LA PHILOS DE ? LINCONSCI!
per abli,
e du 2° fût ét
-OSOPHIE ù

qu’à l’i ‘He. Et ce serai que Je contrair


tandis la SOIR ASE
ssaire,
nécessai
es lis qu’à L’inverse
l’idée ne suppose pas à de €
Pour ne
qu'à l'inverse Tout
ne

conscience (14)
» :
no uy ea u point de vue.
200 e r donc à ce te ?
inconscienès
L’affirmati qu e. Avant d’avoir
ME
d' ab or d, c un e id ée
rait puyer cette hypoth e,

7 4 A éq ui vo consoiéie bi en ce que poseur
d'une A logiquemer neetedl ue. . Lo u dE ap
idée, rien de plus
e 0O Mm en se r, On ne
“ appele
pe ut
r ; ne
nt di te . En premier lieu,
ce là ; mn € nt a Lu
F propre me une
Re OA it l'expérience d' é-
à Serait contre ie toire qu'on eùt € fa
tion ; ne é ie
re: ds d'antériorit Idée ou r “ ad
(l'exp c’est-à-dire
nexion nécessai 4 sd inconsciente,
a pas de sa ein à mr iénce De eùt conscience
naturel des PHtes Nan mème) qu'on
e-
Mais si la D
ee présupposée ni ec
De la conscience
en te . Au ss i bien, est-ce seul
non jointe ä l'idéb, si lune incons ci 'on à P ê
celle-ci, pri AAC3 jours où
plus paute lent MT ch ls 01 acun sait, qu
nss sa pe ecti
perrffec faits sur lesque dans
comme
d
, prise
> du mo
mo inss dadan
in pp
tion la ts
e de nl k orNAle s
dansS son ple i In dév eloppement , en ve lo men thès e :
ne cette hypo terprètent jout aussi bien Nous
celle- là C0
»
'
Un élém ent intéqr rc E tte question, ce n’est aspa l' antè
ASce se fonde s’ in
rer Aie k s “a ô pa reil cas ch er auire chose ?
riorité de ee So
3S
PEN qui tr e ch er
du sion classis
;
à la € oi do nc
ée pa r ra pp or t
(15). Pourqu tout au long la discus
résadre cac id
sr 16/0 1e pouvo " endrait
peut tte antériorité de l’idée ne fait e reprendre ent elle vi
rien à l'a ffa ire ‘ar ce
iorité FU [Le sur ne pe lecteu r vo it co mm
jet, mais le :
Di isonss afmifamie
ire.
ux. . C’es est some: S Encaq vi su à sa pl ac e naturelle.
ne di sons pass
qu estion,ren
mi: SAS
m e ic i comme re ma rq ue r; pous
; la 101 pi
poser Et uille bien le repré
pposeve l’idéeC maisals dVec M Re ve thèse d'une
qu
Nu po
ee de dicorensci: enlace. C Ce ienc e su
gré par exemple,
qu e j' hy
nous n'avons
pas
idée la #2. n°
faiet a“nsDé :le 1quo
à tr io ab ie r di ct oi re :
£
;
o est pa s
rt to
etut d’au Séntat est contra hypothèse
d se ;effet de pa
Soin Moi
ne que cette
térileoritpréen de ]:
où su ff it
ne l’
He quanon ou ce lle de an ÿ] nous
a Consci en ce
CL w'il ue le r jusque-là, et purement gratuite
moins n'est-ce Ù én 0
ue à fait dans le de e et onéreuse
A qu’on le Fa PT | 207 4 M
part et d’jo
de part aut re, pour que Dir qu e de . notre pensée “
Clusion fi ût Jégigititime. P k l ne s’ag it ic i re ; su bj ec ie ;
égitin ac qu ’i pa rt ic ul iè è
que la conclusion
fût , finie, ée apsolue)né; cesr
x E pas Je il res secondaire en S0 i l' Id
va suffirait pas pü t di re : l’idée ne “ VA . JUNT

tout cas la Pensée fat


ale t l’idée ntau!
À

en pumaine
1
re d e
Conscience à tit t
4°,"

e e dans
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Qu AG e pe <
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Lncienceon ensut
os er qu e no tr ns ée
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jle,E
da ns le
ma isprem f T SCaR
il ie s E
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n pû t Fa se LA nê
ireme à supp la conscience, pourrai : or9 t En somme; C es
bi en
Ra e
êm tit re,
audrait qu’o L
nt) $ nt liée à x
suppose la A
ussl $ uen
d
à
e s fl ogiq , etc.)
"Ha .
de ni à titre
". een)
n
AA nn équence Pt
re us à titre de cons
(15 ce so
une conscien
M IE oro0 Ne mt à-dire, soit pa r 5 d'entre eux, par de
$o 5) (ok
a ii sin
intégrant. Car,
même
dim (ot. pour lesquelques-ut
va

e 1° sans aucune 8 e qi cours classi ques).


Et il en
ces com
revalbrCh
us
c' es t Vass ez rsieon
ssez a al Many très
Exppann grand
périen
nombre de 8 exgie de v'Inconseien
t
337 sq), 97
dans
o ’
Resté, pour que la co nc lu no lo
le 2° puisse être
sa Phénomé p.
€ bro lation dans (mémoire; e dentiel:
reconnaissance e
Qui Rieuse < dede laraisonnements (éle
£ COM
porés,
£ mité a à des P
Simpy. CSt pour produir
®
ication eme scient
(14) Cf A leSON oran DER mouvement pris Nat le, du lécessaire » (np: 339)
Qui tiendrait ; où encorë partie * L'INCO"
er nn de 10 : « Le pas une D in00 psSurent
et des douleurs, (C2 nr de 18 ? ne
de ce Fa DA mais la fous nce n’est je
inter
aectuer plaisirs
car le même pourrait ëtre manièr® volitifs inconscients
RE
sciente. La sonscience nee) ntenu conçu d’une $ nsi? fi? se S et
l'idée : elle
cont
end ni à dul'idée AE ni de la forme ni “€
da 10 Noueus/SHb iité). si 1e MO
est donc pas Le OU Se qu'1détjaét ajouterions v olontiers,
ne peut 6tr 6e qu’un ARR
DR nte en tantajoute S: «© S » SOUVEr aine.
etc LES DURS een rangère ranscendance
ÉÉPINEN
T 209
LA PHILO
USSOI 'HIE : DE , I 'INCO,NS SCIEN
L'INLU € IEN\!

298 LA PHILO-OSOPHIE : DE DE L'IN e et rel


n'es
par ma conscience fini
L'INCONSCIEN Qui
Vérité pas saisie
live; in es re nu
revenir à àà la cor ‘once ; Aneté
neee : — ce qu'0B
o ne l'empêche pas enco
: hé gé li en ne nn
par
a r se exc
exc
doiellenc
ell Fale ne RCE ' /
ption
pasLe de d'’aill eur
rie s que
; Hartma précisé fl
ne conditi
n'oublME ie S nne
RS
ne täc he
e nt “lierr Hegel et Schopenh auer
Hecc au pr o
(17): al
el RU
de
ure ee EAU r à dire que ce fondement lesrésirap-
; orde 4 r de fro 4
ab
h je .
on d Vous m exprime
pee êtres
On
a fait r emarÀ quer I, la{ supériorité de cel
dont cette vérité
3
ett e conceplio T AR t des
(toute ne
s
> qu'elle res
te à d’aut nrr CEh., ê res itelligibles : ne qu'on ne voit pas commen
ent d
res égardsds)
it ) su Soumis à Le : fon-
de Spi noz a,
. Tout” d'abor
L aut T4b4 ne sans fin pourraient bien
RU à l'I eredée ntr ce e a autres -on, elle
on A el vérité
ra
avez pris Soin VO
éter abilité
US-
porte » Sni SE LA
nOz:a en
>pInoz seigne caractia SuuDsbsta
à
tance“1
mé une
e, ou tr e qu e vo us
ive de
parar làlà est misja
en e 4h
vive lumièr e le î ne"de nous avdecede que cette phénoménalité object
ou :i ne vive
PSSEenue
ess
tre€ : 1 ctère

Idée ne Jui a istence en
ntielle, dans son ex
acte
; nel
nt ration l'ê de
Inent' intelligible un” pas plus esse
»: deJe dasubsmatrtiatèrun ari10
Nr
J Soi
outre tout cela,
d ;
diffère-
di ff èr e-
t-t- i
il be1 au co up 4 A subjecti
subjective —
Ja matière Se
versel sa
thhiique
de l’Et phénoménalité
[ue
el l'a
à énalité
plus près ST) à à sa Ssitua-
changerait rien
a
KE ainsiSi
être
totéliciCienne ?
:n L ce sens,A
H ere amet
ARE beaucoup 1] Te] lig L
)jdireectià ve , ce la obiectiv
ne si lon
#s U a pour elle,
«
du ùspiriI r o il n’v de doute e J Ve ux ss it é qu 'i l Y
ven, tendue
£
dire à la néce
qu
jte LE
Cas
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tout
: rien que le Hi QA Que ce
en
de
idéalism n’est pas pour
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, d' être actu é
e Sa possibilit
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ce
vé ri té À
u encore
et
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idéaliste
6,
ù 8
1 niFrne :
été
14 4dû Co ne est d> se ement as si gn ab le d
encore
Vérité eul foémndent.
is me)
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panl à
ou de
14

etHUE :
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E“
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pourquoi par-
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té,
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l'appeler idéeC'esout védorinc


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En redeux ième he ar enfin :
té lé ol og i en sci , D
1 s'agit de
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d'honneur; ; le panthéisn “ 16]
d'intelligible ?
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i da ns ns ssi ne 3788 to ut co ur t, que de
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le tele > saché ant même plus
Il suit
sui d’aborord dee làA que l’être absolu LM" pa En 4 Ë possibilit
solu est aussi
ble absolu. Mais qu’ intelligil 1 EE
17 tes!
Cor connu
'autr
y léces + termes, si d’être
als qu'est-ce > qu'un gible qui là VÉe
actuel] ement ente ? Qu'est-ce qu’ nt) Le ne représente pour dans
qu’un tigibile A
ndu
énteltigibile Re 1e « Rene ?» comme O1 disait
Qu'est-ce ement 5 f Omination extrinsèque
A
? Mais just
pas er
pr f
même
di re
enps
o n intellectum o à DA S de À Mo réalité pouPO .
101
ligi bl e ve ut pe ut êtn
re entendu » : s’il ne ail rien ajouter à Sa ceperdan#
bbrime ne peut
© qui pe de Y à
pas act CU pas la nécessité
qu'il conscience n général:
uelleme nf , “ble Cela ; actuel] lement connue par une
RE)
plus qu’
ssib “aE yrèà
n'est
Ce
“É donc doit Drouy
Et SU donepoco
Ai
être ent
endu, mais nse? ol
reconnaitre 1 a nal s ne l’eslsuprpasé). { qui tre ? op Fe CA
perfection } de l’ê l'être ? Je cond: Con à Ru simplement que apecelte -MC
me
ement entendue, doit cs
, “ vérité (abso
e qu
|
€. En d’a encore»
termes
Le
autres
(17) Cf. P . JANE
NET, Les (a auses
14 i
final es, ] ). . €
971 . TF Supra, D: l à

1
201
300 DE L'INCONSGIENT
7
LA PHILOSOPHIE DE L'INCONSCIENI LA PHILOSOPHIE
rétique
nhm tes | (18) ». — Quel-
À
ee objectTS
êtr ive
à
(= non consciente) pour nous 1 n'êi
MsIUe un 4. arit inconsciente. ete
de ut Le
lue )6
soi RE e Sy. 72 SE AU
ins requis qu'elle Observations à ce sujet.
E oh
| es
St pa:
lle soit subjjec tive
echiv e (—
(= coconscnsiente
cient ] Qu
pour , elle-même.
Que l’o
t n co bris nsid
DR E
Este
èr r'e do nc la pe nsée finie ou la pensée ab$® Pnensnat :
iSpirati on artistique parait Sans doute défier l’ana-
ra ARR d'en
bonne part. On a bien essayé
ine
qu e de l’i dée par re pport àk la consciéls lyse, EU mO
noins pour une
, l'antériorité lo gi idée par ra rédui la réflexion
n’a pas le sens à-er
t-im
es>pr re ni
di”, le mystère (19); le rôle du calcul ou ! de
luipeuat c'ex
ibuesi, s'
train ire mais
. L
plique Dasas f l’eV Ha rio ritHa é,£ ma
rt Le nn
si l’o n t de MéSt anec: n ne croit d'habitude (20); à où
Strecaussi plus grand qu'o
y xté N 4
Ë il, à tout
conscience à l’idé ence essep réfractaire, semble-t-il,
quid proprium,
tielle et So conséquemment l’inconsci
adicale idédee, celle-ci. Et ainsi tombe l’un des prinel
Rose um ultérieure ; et
UE cette difficulté se Sr
Sent nu :
, é ere
philosophe à l'appui de son principe
pas, si lon peut dire. pes
ameux ( ne à chaque rapports de
ur
paux aT£
guments de ce
de des Jar et queen
l’Inconscient. Peut à tem il peut aussi ; SE
|
Mas, outre qu
ne le d cs génie,
« U est trouvé », comme on dit, il ue
pas (21).
DR de règles poumse Ja. Il û y un
IV. — CONSCIENCE ET INSPIRATION l'écettas et il n’y a pas fort bien remarqué DU er a
e, te comme on a FA ï
ns one
sur la première idée
il mourût | »,
1414 Sn},
Hart Ja, sur l'Alteluia du Messie Ts
pe pastorale, de ««€ mots In e
On parle neaus! poète où ]or at ur
autres al " 10- Son du urPrintemps.
s sublimes qui éton
nt le :
l'inspiration Do volontiers et entre », de to i :
Le Pen plus que tout autre pie i-mè-
PA
Out S
« Cet ac ce nt qui l e trouble Ju
nous offrirail nes ù premier, sai si par
de l’activité M se et relatif, e point »-
D on de À de l Absolu ro qu'il ne se connaissait V'In-
Pme der : réalisation du beau dérivent de Fe v'Inconscient, t. 1, D: 921 sd: $ nominans
gpré de
const Plulosophie de
artiste
la DrOAUEUE ce ”
science pär lé ie dont le, résultat se traduit dans 18 ire ne
Gr” ® p., Ch. V : L' Inconscient dans260 SU ç édit).
lo gi e, p.
ngue patienAr
au
EL ER, ps yc ho ie est vs
Ha Cac ER ele et 1 invention du beau (idée Der El (20) ra Y+ & E. RAceBIsens et à Sa manière, « le gén e Ait, n'a été plu
s ori-
à ut Ussi, en qui suit, dans R. PEYRE, His ravaillaite Quel
que
ou J'anti
ie poinr de départ de tou! LoD of gin. 00s lire ce s
i qu' ol n Di en
e, quo e do
ultérieur de la ne SiD mais, à chaque moment; on CeetAu orPo
; « Nu l pei ntr
igusinsialnité se montre dans
ja ma ni èr €
jours travaux 5. “A
Ab dot Re DS pat.
ands peintres 1
es des ditgr Félibien, r
pé0°
ou moins. Le processu* 1 pour nt
il fat ra les œuvr à
nn té, À Tue16 qu'
Scient, ‘qui est de Soi plus
assujetti, Mais
est bien
re me
quelque © PS,
me les antiques rime
ce travail, échappe ocié LS
LUI voyait parmi
re de l6g su
au ve e de tout att arque ntentait d'en faiplu s'en MD choses
lument
e la conscience. En lui sont 297 00 &es Ativem il se coqu' s be au et
il voyait Me e c'est en observant
pourtäné, ne Fe te dans port Ce observe tt
souvent qu
disant h les cop Li
des éléments Tan ue Vient 0TIt se fatiguant à
esthétique exact aque cas particulier, nous présenté prie plutôt qu'en da ns les ru
habile, ha it
les” lieu
nl fût ; mêmes lorsqu'il marc et s'il en C
ün ne Fe/complete devrait Da onne qu'il voyait ;
li OPdin. des pers des notes Sur UPoù d
ïl en faisait eff
de la beauté. Si Er CORIAURES condition? {raM nsf0
pr <be la: il M e r e
aussi les be aux ets de jignes lui al rs Arrivé té
sc en général $ ape tt re ait jour. Je e il éta El plus gr
rs es heures du que lle voi Con
faire le me ct sx
di ve
eul-Marville,
par LU p. 60. »
mer. et réduire ainsi
Vi gn le 74 Po p.
te Ete
nn ai t un rang considérab cei te pô ù

pas | risEn RE Es lait de tee qui


Lui do
n'a i rien négl ë
discursive, n’est-ce répo nd it : « Je j'a d'e
I1 me
ImConsCient, nous n'avons k F due dans 1e Pia d'e L- 1 ODger an « en Y pensant toujours me
arte
cree pe fameux iques ETSÈ
Mem okion à
à quelque dans la production artist
sentiellement étranger à pas affairé @* tr
mi
notre propre pensée 2... DE Réf, Voie 1e br01oblèSC:me parallèle d es ra
pports QU
I nommait l’a F Ode, __© Cf. JANET, Les Causes finales, D: 530.
pperception de la beauté des accords .
302 LA ILOS(
P HILO: )PHIE DE L'IN { ‘ON
ONS
. INCONSCIENT
303
\ PHILOSOPHIE
.
DE L'INCONSCIENT
finas
»
:
Il n’esest donc€
Ï

n qu'il Sn'ydt aitu ne forme de 14


pas
|
inaleité MAN
241
à le Qu'il soit
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C'est ce que nous
cien du‘ CE but’ et TL »
te in dr e, ? encol » e » un coup,
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n'Da plus cons RS l'atemploie À pa s


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. ‘ re s là n’e st
s moye ne aussi,
du choix de is encore un copaups que, de n'être accom
+
PSCIENCE

qu'il y si I
S:

luestion, auet | ne 1 ma
PO :
16:
ss ent e , de ns uj ou rs
qui ja il li E pa rl
ainsi parler, deer la s
Pagnée d' ne voit to ]

OUice
i ion créaRtr | amne Son
|

ss
7C

spontanéiie cul et d'aucune peine, cel a cond


> à
,

imaginatit il 1°

ivre un cal
exe I sa it ce prquim'il veut exprimer, *’inconscience de
toute la À e” s’inognorerer elle-mème par ]
t ji e. l’ex qu a
Sal pats decomSAVO! il arrive à
men e rice àà
S’ig r
u r Ma is So M oosdat
tion es et n' es t que z de SAVen sià une in ;
telligent
e d e
plus haut f es 01Tee saÿ ns être A M au Ci
à

ar ti st an ta ge assujettie ti e au C ant /
qu e le s L uj et urait L pas :
c o m m e
elhulmainais ns,créene. Sa
ge
davanta
ses
C e qu’e, lle crée, le
mate
es .AVOI ABSOLU
de 58 | ni
ET
a questi«on FINIES
le
que À
am 4 CONSCIENCES
et n’est
y à d’in on
si ce qu'il l’
si ce
scie nt en
l'li inspiration
3 teir
> Savo ll expéri
e que nous
ns
dan 15”
s S AUX
des arguments.
êmes, représente RE essaire 68 el
DE XperIme Ma:
MAIS voici
, peut-être, 1 ,
argument _ûtr
possible que l/ \psolu, en dehors
)e
ne
ém en t OICI
él Hartmann « il est im
l
Mais il
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d droite un
: Yeux
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CC
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‘4.
universella e gé ni en soi. Ma s 1 “ait bi
dans les indi
vidus, POS-
pl us gr . N E n e mè me
À I y C°a une côSté grdean “ vrreaissemblance d’un RE
lu i-
Done distincte qu'il a de »: Pareille
e le

t du il par: JE & Ql a soi une conseie nce


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re,de c’ ineXx-
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posée; et pour
Suppositio. s difficultés
du gé inèscoeïnciopde aît bien dans de
,

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pe nce la pl
issancASe He Hi
utes ses 5 # Science : orsqu'il s’agit cien ce
ds-
in dividuelle et sujet
de Sa pu avec la cons
s _ ye
ie de tous se ; ns. C e s rait le ca s de ré lincte.. É L'Absolu lue résid e dans
le
_. AUS se À FPCES CéleJoe“ telle conscience abso et Paul,
cite l'adapter à notre présent
pourPlat on d MEN la tante ru
cons cien ces individuelles (Pierre il
AAStrophe de
2 RR ans le A àr Ru deux incom} pré pensible;
JU, devient
l, NOUS pers
uader
îh quoins ! pala r ré :), leur distinetion { identique
siLa facilement que, da €n Ve
ent créa ment, sisi l l’on admet que NR
Éne s “. ue da © tout autrement, es est incol —scient.. M DAUS L'RYPOS
euLr:UE bar
des chosses, la n'appartient É pa (£ ANT à tal t ÿ COnse
:
in d i v i d u e l l
u, conte
ence du e 45 : Ü Ne à j'Absol
en tant que tel, el scienceister une conscience
que heTéateuexr,cellnini ne
génie,
ce gé ne
? que n° ni pens la c o n
se sait se ttribue l puisse ex
l'auet e
guste et sainte : ? pe ns e, sans avoir PEsait ni ne e
pole on4 n »
êmea pas qu'i
voueit (qmui
r me de ce
tte CON”
ce 1» f o
{ e esintelligen u € { Ja
es s SA Mivi dulueelle, et que le conten
| {out entier
tr er e de : Jfauut es
d’ au ë e ap so rb
En o t S term pu is se al lé gu »
e

soient pas dévorés et comm


n qu’o
Ca
}

nce ne
la€ cn

puissa eu
:Da ar sou
que la conscience
Je.

son in
M
est e e à raison
ner
autrement dit
c .

ncRe ioù pi
«

ation? ;
à

HeA t re d
cie nce fodu but où # re absolue
A

be ‘indivi pas anéantie (22) »:


1

in s co ns
a au mo i “ ref e u ne soit doué de lesconscience»
] N

C’est, làà un faitt in il


nsiû er oJ universel étaitimpossi
À

ausISS1 effo rt. contes et co AD uê le conscienr .

ai ,
.

di testable principe
«

: Ca n° cience le
‘ Car q enfin, > ceCe n’est pas,s, dès lors, incons 1 Ê ne ee
E] N
œ

M 205 rendrait
universelle de
6t e nte É S part: RAI
et totale: qu el dr oi t ce tt e S o U R particulière eë conseiene Or FA
de
au but | ui-même ? Mais FoUr
e
mn. ? plfruse pts le Culières. Consciences
j'une de autre.
A ste le ou traire
ju
plsu
ee,e pa on sont exclusives
D é s i af, | se absolue
sarenestet, puisplus
et
sant : t Su bl im Jui doit C
l
partioulière® Erg0:
Hi Sp son
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Peut et de
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qu ’i l "u (65)2) b
ce il doit FH
Sd:
Le À. II, D: 921
Ju il fait, plus
Rio SOPhi de V'Inconscient,
phie
305
DE L'INCONSCIENT
LA PHILOSOPHIE
Ne -
i par lever la contra

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CONS

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… HILOSO

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prix de laquelle il
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peu seulemen
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et l'imparfait,
l’in-
Ja souveraine
+ se so ne n
A Fa Jui fini et le AE ère, les introduire dans
Parce qu’il
nt su bs ta nt ie l Fendi que À(CfRE. sup); de Lêt hu néprceéfssaire toutes les misères et tous -
berfectionns
soi con e à < re lative. On à beau
dis
supposer une onscience de ni co mm e absolu parallèl ntingente et re co e
la le individus fini
ait à GÈ Ë er « UHé A L existence
ll e et ab so lue, en tant qu’ell
bac rcoImme fin is, re vi en dr
par de Fe esp
rit a substance un iv er se ses
ma gi qu e d’ 1 it pe rs on ne l ; N es sence », d'avec
possession rte 4 un espr . d a n s pure té de SO tion
et comme une so ill urs qui I, dans la « qu'atteindraient seuls la Jimita
ste en soi
d'1e
, DR AEsolE nSétait(23—) ».horsVoicdei Modes ot SOph én om èn es , lu qui
la ch
mettraitLM TENTEos e - be in 1
l'imperf RSR
e
que c'est ce t abso
ujours parest|-il
es rf. ectiï on le: torelatif,
son dévelop-
et
Dieu, dont la DE cessité de
la pensée et
ns sa con”
devi
lui-môme né cet in- a
forme DFa la da
Le
V16

ci ée à la co ns ci en ce , ne peut de qui devient j'imparfait,


(26).
asso «
c'est ce parfait même qui est contradictoire
Science distincte nni quidu, 41
e:
mondcon
fini, É ne
se sé padurant
mond e. Ge lu et c'est cela
: fini —
qu’a ut,antcherqu' il e,2H cr dehors g'insister Sur
cet
ire ch e su "escen propos tout de
tra immanent un Dieu (26
'éal )n er Sans même le plus radical, bst bien {
sera sans doute obligé €
pas hors de mettre Spinoza.
En Of te a rissi0NS
ne
ité, 1e mple
en OR FRTUE anthéisme, pieu et les choses:
so
lame on qui nous ® quel que différence
°
entre
ral dans la D , ?€
le
profonde judodaitïsme
1e, à, éc r lème moèr s rapprocher naturaliste, qui
existions, r comme aa exp d
religion Dre, De lb os {L e pr ob
de ma ni e à le
o 1
et comme en D
v. L tre,
ti
et le e i d un ées, la concep
>
t. onsnde rs l'au
. christianisme fl
Ce i l' e orvedinairement distinguhors de laquelle
Un-Tout (24)
TE
soin: Ch
a
ne de s RA de l'ètie en de
ment le be rendre que L' la totalité
l'infini la
P T Pat
à à doit comp dus qu'ê parc
- ce ‘Ption s
qui fait deest tout, Dieu est tout ;
da ne nt de s in di vi ri
P- ranseat
peut A
dans le cœur : Dieu sa ologique,
tout parce qu'il convertibles
Tai c sut parfaitement OÙ
PAL BALE t® f£
absolue
deviennent tant que puissance e Dieu en
méme chose es dl existence
rapport de t Ke pessubsCO
cit i
tant qu’ il est jou 1 leux
est-il
pre Le
que Dieu, en a; tout à fait la
ne De ux da ns le Vase es t Sp in oz ne ;
aux phénomènes D a'ec tape n'
t que tot: pas, mê
me pour en tant quÊla totalit
gtèbrè aistinetion
sn ie s à ses actes; l'être, tout, alle moins connaît
ur ee Ke d'au re”
e ni mu
araitte de monde aë
d'eux par un nau bles . tout le ones niereli-
di st in cte de la ra Ge DERCIUMPRE naturata. Et c'est là, pourPEU eu qu'u
pour Pe.d'accènt
AS etre et de natura fi
termes, LL DRE même activité peu myPEDétueNE » 6€équivoque que àà lala faveur de +
r ü
'une seule et facile de trouve par en Feô ‘cas
en même temps et qu engeraaer le conflit de deux conscitr
vient assez utaR enjre,rels
ki e,CiSme s'e mêle, il de structive , de mi er terme
Ft Ux à AE ta physique po ur ta nt de saire es
auto dyérr et référencé tous ;
par
ces, l'activité de so de L'Un-Tout; nf
pe n aumé
ss i A E sinon
auss qu'on soit P ressé,
Dour ;
raison», $ C s0ne-
ui ouv
e pi© lité, et0
du et celle lonté im sersononene ù dae t”À
x" Dntiment
0 Fe de la droite
à
qu e 1 in di vi us des exigences risel, qu'on E app
€ jue princix pe u ive de , porte ort
à im tation
qu’autant incor De out, corémmpaend voà travers # en tant que
Car ui êr
n tan t epEte ernité, d' in fi ni tu
Con era res de
‘Le

pin d’ét
nécessité, ant Je MN
intelligence aspects de l'A
e 1] AS de
ee se m ®
KAGIESTeNts EL 'imperfection, auplutôt
1té
à 18 totaliimp licite :
S
la diversité di” tot”
tic des Sn s particulières, où pas \ un aveu
NA 4 ence
ps 5 | RoUs re)
a-t-il
et des bi . N'y simplement grort PIUS
et comme un
personnalités n° à radient Fe
deux notions, p
).s
(25or S te pa00° Dour
trad Canton 1e des nd amentale
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,
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Mais
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déabierSE ele j'éta,
ne Non
) évolue enen naD o sons-le,

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in ci pe -dérm®il que c'es, de méme rdre de
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25) C'est pue de l'Inconscient t. II, D. 228. à S rqét) in fi nt pr cr to u
au on‘Yestèmestou: ÿ tecoR le
inci a pe
mpris depET qu'on pa s
ausi
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om que Volonté Hartmann :son, principe univer®
ë 1d
nta
devr ai t
réuni
consciente (Er Panne
la Int QUte
Dar OR eMNROnScIent
=5 NO
Le
e et d’une
EV rat des Grecs)
ntelligence isme , un e A
(25) P hilosophivie : CH
EE DEP
, 4. I, D. : 2985
de d.
TA P PHILOSOPHIE
L x DE L'INCONSCIENT 307
306 LA PHILOS. DE ; L'L'INCONSCIEN’
-OSOPHIE 4 séément aussi : pour résultat de réduire à néant
Ne NT

l’
quesS o Ont prépréci
cis
En d’autres termes, de Hartni
nes, l'ar gument peut. Ses Il es : n élève contre la personnalité
torquer trai ee vrai Da qu3e > H artmank Ù
tre l'atributionà trait, en sorte A mu n mo ins « cireulaire », indé-
solu de co ns
ï. MENU objectio tion panthéistique (28).
e

la conscience à à L'Ab
en

Pendante

ts conclué tout
simplement
A Atlas + le panthé
isme, la Me
Tr: . cette foi s, de la‘ concep
1e or
I <
Portons-nous
à sur ce nouveau terrain.
avec lui
ous ans

ne r lui même reste ho E AU


Dans tance ARR
»

de Le d une subs s li
l’attribution e ; à univer
ilia®
c a conscience
à l’absolu
; est inconc
avec le fait desS consciences particulières s ENCE ET LIMITATION DANS L'ABSOLU
Uno. ARAG TESS donc il faut
refus® VI. — CONSConCI
ice à l’Absolu - &'®
ES RAR dirons, nous : donc drir
.
mo in
.
cetie hypothèse qui e en ce ne fe ra it
.
qu 'a
prédicat de la consci
.
con >
donc il faut rejeter la
« ] \1n: A à
)ré +
E 4
du sujet et
Re tar")Et qu'oACTEl
Ho SAR Di eu. £ .
ception d’une +
C:Lar IE x "3
1 conscience
S
repose sur la séparation
bin l'intelligence
ute limite de
ns,Runous.npoeele
A
L qu'à raisonner de la sor
nous por de Rtt Or. on doit écarter to
unie EEE NC
L'on veut en faire
un ns
e de l’Absolu
dre LR crpiiene
À véritable état de la
en se” fait (29)
rail oublier
preuves par lesquelles
la théodicée cl? Lac no us co nn ai ss on s de longue date.
sique établit la per i que nous ail ion que est pas
DFR divine, et auss Elle A une object chez les panthéistes. Elle n’en
tout simplementnom2 HS
# résoudre une diff icul té élevée con È
Plus nue rigueur
notre thèse au cela. voir
Ste
istence des tenc
articulièr
ce? ) Non ureuse pour t qu i ne paraît guère de
ôt à mo È l'ex e A AE fixer un po in Oui ou RO!
res, Où plut ne pas DS que cette exis
part icul ière s té que ASUS Ta SupP difficul
2 Soufr “HS vi pour peu qu'on ÿ réfléchisse.
nnaître que de ne
tion
il
pré ie Vaut-i]nattrene aps parlant, se co
soudre. En
c'est-à-dire M di , c’est la ré rfection;
SVM et universelle, divine c'est la qu es ti on
sément dans la sup
r est une pe
e pas ? Pose
E osition ce ces t preuves CBS
onque nan "01 ef AN pa rl an t, la conscience
e l'existence: Fa
n
à-dire encore d urie Supp étre « solument ha ut e fo rm e
plus » est la t Le
+ dire C
10
Ment ne vo
ce ra it -i l de stitué ? Commen
l'Absolu en nnaîtraient-elles {© à
le créationis à nc © celui
ES le àfinicôtéapparait, DA un
à côté
souvert ds ; pour
moment ladonné ain$l nt
S aie
l'Infini, 2e et par
iles RAP
l’Absolu hé Usolu,
causalité ge
ol
fi ni es co CO é
l'Infini ne pas
qui, encore
une f S %
un devient 1e
7 a est0 HN in te ll ig en ce infinie
NES qu’il À mystères que l' Chétive
êmes, tandis
le fini.
voulons bien
le-même (30) po?urtais ME
n’ deyient il y Ée
a-t-il pas de — COEt adiction, comme
le moins jen
OUtes
sr
une dans lui-même. Art
con
se co nn aî tr e el
entendre : _Panthéisme. choses !sans imparfaite :, P
OH et dépendante, je
OR DEN CE°

en non seulement cette mais


re s'agit-il
Cré:«LS
DEEE Be;
ln
tr ‘ès bien que

don
choses 1 eme ‘Alureue humaine,
s’ TE
ais Îe me
nana
>2S qui explication )0sséq
disant : moi, |!de personne et m’élève
nelle AS Ce faire
nets ualisme et e répugnent) en
: quoi DCR toute-puiss
éclate la dites,
4 p
ère a moi-même
apparaître
duction de sta PURsubstances
pr au
à ph
ie divine, c.-à-d.
fonde ma noblesse
Stinctif qui
que nous
modes d'u eu de se horner métériente
oprement
ne préexistne dont
man ièr re sans
éRAlAen eDnprende L'analyse
va Das
ja
est celle qui prénare que la parfaite ou paÿ
exo mer
CON
notr et qui lesurfaitLa aussi
cer tout TRRDese tout son (98 en soi
e objection Sa discussion
d'énesnamee H; ar ) At prendre cett
(cf. cau gt hors àà
Sup ann sis
1 m
la dans
1 cause créatrice
bref, }
des : 1 l'enca dre
tienne critid
es
On Ge peJe neReUe influe présente et même.
étude 119 sq)...
| Morel, p. 70 et n
notre
de Dieu ten - (9 r L conceptio eenee
telHBUS
istence
1 Rue de l'évéhiUont
avecanalc
Cas D ETOLUHON amiverseue
cê 1ence de
ù Phüosonnh:
cette
! 217te7.ST Gotte YU (de pe l'Inon
‘0Mpatible
* incompa
SUppo£'tion d'un nest Imconset
nn
en t, t: MPde l', me« nt son objet,
t. 1e De
Soit. + Do ne il n'yn° pas À nt absolu de qu0 _" O1 Sur
Dreêm sophie de L'Inconscient,
eue-meme et voit
a ‘ jui-mêmMe
il far 4 abon 4 pas de cc absolu d quoique ca soit » 7 qu ne) n e voir
se voit pas
ü
ps en de RSR EE Ce Ton et pour 5
devait conc] POELE la
Re
ence, en
de l'évolution
tant que
voilà dns 1” dt voit toutes choses, à pesoin
tout et touj ure. Que go De
e, cherche à appliquer È Miroioir de la conscience insividuelle
unen s.Ce Drinei c'es F
ne dise PA% 7 qu,
ne dise naAS
s & ncipe,
nom, purs est son affaire :: mais
mais qu'elle n’y à d€ réel
q
ce\ qui 2 St son
one uit fassse
ss pas dire, qu’il £
stone te explication é
309
DE L'INCONSCIENT
308 LA I HILOSOPHIF e è CONSt
N° ENT LA PHILOSOPHIE
à
13
à un mt rang | 10TSS pair air parmi les autres cré: tures visibles:
LE RE
AUSSi
LS par SO, pourquoi Sa supr
consci
ie
nsc on) ème perfection lui :
»s créa tot être
absol u, celui qui qui esest par Soi et DA qui ; sont tour par excellence qui s'appelle
hs de lui , par < DO RS AU SS
Qui ne relève quele de lui-même dans une SOUr Pour soi, Où rphisme, indigne de la ma-
cel À p

. |’ On parle d anthropomo £a
les choses
S;.C EIUI
c

e,
à

NE le véritable anthropomorphism
A

e indépendance et d e qui dépenden


À _

autres 4 le à voi là,


É

Abs n
endentt AT tous les PES luB;
de
“ CluiL qui? i
6; jesté vnil i

que notre
a

tres dans une ne abso : lue sujét i celui-làà s’échapperait à


A ass à it
sujett l’A
:
: lu
? bso àY une loi qui ne régit
poin t p
® s0iJE ni 10N,
d e ce chef
finie, celui qui lui interdit
è
sera it s Conscei ‘

pour soi ! Qui supportera cette


nes . 0 NESES
ef rel:
même
soi ni " ence
re
pensée ? Et
qu’ donc r ! Qui l’être absolu el de se No Bref, l'anthropomorphisme, ici,
qu’o n nous dise ne pourquoi HE Gonsiste . re lui-même. science à l'Absolu,
l’ R@Sjs @à
premi
D sera it celui
qui se
qui ne s
c He conn aît point, et le relatif RERel DR ; ARE as à attribuer ë
la consci
le dérivé celui quoi l'être qui
pré se connaitcelui? pour qui être qui ne se COL
naît pas prévaudrait sur se connaît et en seraib Le a
préc i d celui qui Ce€ Qui avi est vrai donc,; et ce qui résulte de nos explications
Pour ainsi dire, its empêché de conn se connaître? pour Qui
” Drécédent vrai où l'Infini
que J’Absolu
donc peut empê cher aîtr e et
es, c'est que la conscience
Le né être absolu de se +
comme la
DOC HRE lui à de > lui Iu1-mêû .
imiste à fait une conselence
x

la conscience, que le pess


mac
act tout
ne de 1ômeCS n'est pas Jimitation :
nabie dUUS on Nôtre u
à la relativité el à la
t-il néant sur Je s la SR solue et infinie
l’emporterail’Abs 1 ni est ab
de la conviction ?;
# insensé,mieu
vaut-il x que re Fe de l’ 'A bsoli et de l'Infi debnonuss que là-des-
naisse (31) ; : l'Absolu ne
se 0 Comme RIE pas diffic
ile
Hartmann
Gé‘ LÉ que de se connaître È SUS tout le
ne SE
ac co rd et qu'il échappe à
d'
ent, et COM-
monde es t
en fait nous s-mêME
ES
Mais
ne ‘nous connaissonsqu’enou
n nous dis”
tout Je Le
w parler dans,
ce sens. Seulem alement;
nous ne pren ons cl science de nous-mêmes me 6n at qui précède ég
d’autre limitant : « 10 re après tout ce c- contradi
tinguant
nu “ donc en nous ny vient | L'AGXAIS me
prix d’une énmèorme
moi ne se pose — Justt”
mOi ». pliq -m êm e qu 'a u temps que
nn un non-qui s'ex ue» at 1 ui ste à tirer au jour,
On, qu’il no
€n
ce n’es t là M Re en un sens, us re :
rt:
!
PU ÉRE comme celui de instance de sa pa
irterons une nouvelle
Nous , À
fond, de notre pensée par
S éCar

a dép end anc e


rapport à l’organism que par n0°
né nous connaissUSE ant ; rmin. ati®atiol
et n’agissant ddà L l’ori
;que Sous Ja déte
CE
ne gine con”
?

> :
il n’esexiSee ét gine que nous ne prenions
t pasc éton VI INCONSCIENCE ET
eUPRACONSCIENGE
un objedet, notr e nant avec une
RC"
CONSCIENCE,
science dans son contraste
Re que r ;
existence Re : 1 tés \
jimit Lai : à n0 tre aute
u
ur d'at-
Dre merveill part, autre part, Sisi nous sommes
Ÿ ons un instant la parole
A1SSone
p r é o c c upé jusqu'à Ce Jjo
sphè re de Sà
ce n°’ aremmel” ta nt
est pas gran d
ille non plus, app sme s’est
« Os

nous nous Connaissio du moi oil


rie ne théi e da ns la
et que l’idée nce propr respecta-
une conscie ux raisons également
comme tels
At if.
qui €la rela® n e t parce
pour
ce
nous
po de celle d’un non-moi spéc iale ClVinité a p p u y a i t sur deconséquen
Mais s ’
conscrive. est là qu’une
condition es; k Ë ol tirait des
la ee Qblui “es il en qu'un songé
tive de
ce
PHON E
La
UON TES S précisément : (a SCiente avait pas encore
. "7,
ne
n’est pas une conditi Ja co" de être possible..
nle et absolue Car nf, En DANS r®
oh univ erse issait à Jajui-p£1
Ce i.qui pou rai
eir infin
surt fr ém
Science en Soi,
redi re out s’il s’ag it de l'êtr ier lieu l’
h o m m e
n'est PUS,
il faut le nous voudrion s bien savo A Die prenmscient n'existe pas, Îl
empêcher Das "et
par soi, Drodnis co té aveugle à
qui est par soi, et intelligent le, pa
me
JS
qu'u ne ”
)Ma; n fortuite, accidentel
:
naine fre glévatign aiso s
(ai) Cf. B vat ion ee musee n
Guillaunme OSS rch,e etEléTr
[BeUET ai n,
, 12).
,
‘ ;
n
OS
PHILOS (OPHIE DE ; L' INC
LINCONSCIE
NT
LA
' 311
E L'INCONSCIENT
,
sans ARE elle la détruira sans rais LA PHILOSOPHIE DE
produite lieu
nd Fa h

recherches anté-
Dieu, l'être su Pa di
Fr æ inc ons cience. Mais nos nce
prêtant toutes 64 veus honorer
à la PARA me. rieures
PE RS que l'a cti vité de cette intellige
lastiques; et lon ARPTAURS possibles
Hi inconsciente Du _qu'aveugle; qu'elle
est, au
oc ‘ ar moi ns
considérée comme Ho
de le dépouiller
Clair COntraire, une vuc véritable, même une éntuition clatrv nte.
ee oya
conscience et la rene haute de toutes, à AT Me
ne se voit pas elle-m; ême
lement son
et voit seu
ik ÿ H soin,
distin cte de sa personni œi :
t toutes choses, à be
le:J et cet œil, qui voi
Objet | cet
At
e de l'inconscient é deux
monde: et
Er Si l’on entend Jet, le
ir de la
craintes doivent RTS " natur V'H a ci
DPOur se vo:
me, d'être ré fléchi dans le miro
He La doctrine dé Conscience à lui-mê (35). Nous savons
que cette clair-
effet. 1 el un théisme et e à na IA US US faillible
ten}, enl'idéal de tree milieu entre Voyanc inconsciente esl in
forme la pe ns ée
yens et les fins Sont
de
(32) oui dans La ne uns
a2rfec Se » l'anéantir re
Saisis EU de ses fins; que les mo
mio durée; e
Us
nue à FREE GR te qi a en un seul instan
t, en dehors de tout
fleur de Le ni de et DEL us 5 les donnees
ro des em br as se à la fois toutes ini-
ed ns (36): Elle est énf
de vu e
cette fleur de nécessaires à on ss ei
pur résultat Fiiues d'où ut io n de ses de
Cl nous Men M ë l'exéc rche défectueusé; toujours bornée
à
et des forces aveuglesso l + ie £ ma
en imposent qu’à Rsa “ FOR ER la dont el le
faiblesse ; et Un Doint ts, malgré les échasses
entre la final dans | ses mouvemen ; r celle-
Ca
FREU ait Usage à la ré fl ex io n discursiveon sensible,
pree F h qui ati
iv nism nie 2 re
est prop ce de la perc epti
ent gie
col analo toute finaliPR
té da ain, et lees méca C1 est A ij» ouqursi dans la dépendan pOur
solum OS
ir à LOIR ir at io ns de l' In co r iscient. Nous est
1etla finalté nenaturelle,nature:mc is sé Vons MR des insp inconsciente;
qui
heNous
diaire in te ll ig en ce
Un intelligence
ri eu re ( she cette ce , co mm e
Su pé jouté conscien ux objections
en en elle la
ts SUpracons Je Par
nt les de
là s’évanouisse de “lÜn-Touts Cet
ion ie
incon
ee-MêmMeE qui te agi
, scien eligence intuiti Précédente
contre l'inconseience une intel-
être Hi son inconseience;
continue ou de na nou FD o effet, malgré re à Ja
sage; supérieuda
LION G ligence so uv ér ai ne me nt ns la
avons
S préprécédemme
5 Ars nous 20H nisciente et réalise Ses
fin s
reconnu LE d
décritede et ARE LES NSCience.
Et cette intelligence donc plus
réel Créat: s ommes
phénomène à du monde ; nous ture 137). Refuser” la
Ne
4 Mn Ron (00):
an du mou° o et l'histoire
"aliee
À Impuissance
ance à nous faire une idée e a na le
cet i des forces de | ditions, ce n'est pas
de connai naissance propre Le à cette nous condam Onscie10nenC acà cide°
ntel
àde laconnaissance
intelligence Co
définir par op Fe connaitit p ce (38)À
DiÀ eu dans de telles
notre manière d'autre
+

(34) Re avec attri


aba :
J41Sse
, fonde
(la conscience à ne lui prêter
, @t par suite œ .
ou paralogi
sme assez naïf
énec-
gratuite,

>U
uel
(85 a
affirmat
ion
j « œil» spirit D1GE0®
matériel et
Suy ) Pour quoi ? Ou de 1'
(32) Ce qu’
à at Une
trompeus e entr
e l'œil possipilit
é
l’élémen es sr anéantit bo nes î lalogiej
in:
contre

nie Classique AR iviste omn jscience;
Lion).
e à l'argument posit eeriée divin ec r-
QUE : ti on clai
vii ent deJa
/ à (36 :
rinteliæ : an ÉUUR ntui
la saÀ Cr De AA 937 : - « Tous les attributs de
PE
(3%) Equivoc fe
nn d'aentend i qu’il convient nt
ques Si par
re disHacur mae,
rtsiv end iciS'il ceveut dire que aè esse en
dire tout :
ne la RnalRR CEG RSE Voyars J'ubiquité) ite c'est-à-dire
tnt pas ss an ce Éiitiè tte pe e te et in lue, l'omniprésenchsl'Un-Tont, ete.
4
st
)solue n'ent RARE
aire de la mémoire CL G@n de ue inconscience:
uitioion propreme
évis Oui, si conscience proprement
la print se dern supraconscience
une
unique et immo
qu'elle embras
t MOIS LQUARNE objet, re Use, être anal = n'est que Non; sLLCIes PE
; nie de In COIte
on que
présent, tort au correspod’ndunan ainsins dir
e « St qui
à Pr ét+ jà
se e voit pas conscience.
absolue.
sq: érannysiane 0
encore infra. À 11, p. 215
mean,on eteisa n bieJan eue de Faite nede il s'agit $ Ci(38) Sion
se los 0Phie. de L'Inconscient, FKOLEN: philo

É' ét
ét il d'ou
te LUIOE que a Pusté Ce ent, en pnéisine). ! a
5
An ÿ et le Dieu du sun)
au fond, Ia Se ux objections } > — et même : L'Inconscient édivion Ya
ère, op Ditre no figurait point dans 165 première du traducteur
TEEN
€ de DR introduction
Inconseient. *
2 OSOPHIE
LA PHILOS( DE , L'L'INCONSCII ‘
DE L'INCONSCIENT
313
:
Fe LA PHILOSOPHIE

d’abord, il paraï conf sai ver dans


Tout Hartmann qu une confusion qu'il faut rele
;
É ee bien que ce
Mais
at
c'es
to
deux choses te somme, que CEA one
au pied de la lettre. Hart-
d’ailleurs mon
e
En et as a une COR BEG NES
raison
e av ant tout de a mann finit
sciente ». ME A dire que cette intelligence
« incon-
lue ? notre n TS IV E, AV EC Ses He o ss
embr asse toutes choses d’un rgard
unique en
Cas, son ALES
IS CU °ù te DR
cc es si f (3 9) . Tous les n AEphys os 0 durée, peut être définie une
intelligence
d su 3 le enfin il semble
traditionnels lui E on les ma
ins sur ce
hs Mass
nte. Qu’entend-il par là ? Car
EM d il S’agira dk bie n qu’o n se trouve ici
trouve ici.en présence de deux interprétations
Lane
conscience. Car ASE ba quan tant
est-ce que tout cela M
E L me. différentes e ne Es est, exclusives. J1 faudrait pour
à la conscience ne: pe La conscience est ne Li PiÉe
fai te
Vous fois.
e . ? 4 3 GE ie ; Jonne
urs mental en S du tout, est
co
autre. « Notre SA n’est pas conscient
faire une idée A Pour tout “ ne en-
n a nd alors pourquoi faire
p e du mode nodeus E DN pro trer dhétes , bon inconscient, et c
ig en ce e ave
ce tt e in te ll
Ha rt ma nn , M
la con sci enc e dan s Sa définition, mêm
Pr Un préfixe ent supracon-
Par opposition manière «de DE LE F: “s mes.
un cor rec tif , pourquoi l'appeler
us
SCient ? Le A l'affaire,
sCience) » — A
dé F rl rec tif ne font jei rien à
discursive)
et ( € réilflemfaiolln ait dire. Et Es ce a js où plutôt DIS et le cor
mais juste dans
le Sens
et saine bea uco up,
bonne
et saine SL y fon t
Opposé & à ils car on ne voit pas trop ce que
cela peut
bonne PT là 000
sinon ‘éminemment CON:
S d'au- aussi, c'en est DÉnbee fe
clusion que vous E SR cie nt,
A ai .€ t par suite à ne lui Scient, plus r dire , sup rac ons
ol ogie —;
tre attribut que and mA
a scient — c’est pr esque une taul
e de l’ in co ns cinenceou ».un De eeni
io Conscient , que con ailleurs nous
amène au
4 une cond it qui d’
discours mentenal de ne $ + SeCondq k par excellenc
e — ce
conscience, do iv e te ni r po ur in de l’alternative.
qu'o n
“ne B) Ou RE légitime de l’appe-
intelligence qui n’: nl y à une raison
e
agit que sous la form nn effe t, il précisément l’ab-
par exemple et
tuition (40) ?
er ser a
Re : ce notre pen”
Sene Su
Sou s la for me duquel 27 fait
cons discours, X dire
è
(39) Phi tlosopht e de l
e peu
nl Sée
réa lis e et ent re en activité — je VEU cor
se
e scie
s alors
à
à d
ARE EU à RL4 DeLUS 10e
Au £
En NE ti 11 d rune
Que er ra signifie. Mai
tromper, pas sup
fond, son Sens
di
at e inconse Te hésiter. a : :
même que
à t cela
s conserve, au
ne RL insté LES
dans $& , elle se montre à ce a cê Sen mai
de Fe
rest e,
nr
ré ndivisible L POAUPn
de notre apparitic »n les idées
non seulem entae au plus ajoutera-t-
0b VieRt , Pour
Son toutes

dire, et naturel. Tout


dééroule ES la Ds is-
successi con&i
(Remarq:querréflexion
Se
et sépar mn dans
ainsi
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L'ha
)
[co g ‘essivement
PR DR
bileté AOC
discours), ;
e a

( exclusion du
cours ae
C me la forme RéntiettsLC a e Fe re Î Me2, l “plis”,
inst D
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st La conscie nce É
nsée

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même
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AntA Le à RASED
USED
LANGE l'erreur, Popuis és
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LS Conseien pour cette
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HAS ARE ne sûr, ne pRpAa

sa outes coup
les données
ance s'étend sur
connaît re ét les
s que nous concevons jui
D fait, je le! ète, elle S
es embrasasse toujours
j et dans£ un seul L moment. . Ri Rien CD moi { es telle qu'en plutôt
PH” !
de cett e réflexiXIOn cons
les un es
nscientee qui i va chercher laborieus
aprè 25 les < aut res,s
vusement dans la M
Fou

tromp e 8
e que la nôtre,
anif este te; : qu’il y a, au vrai, entre les
deux peaucoup
: Et si com plète elles
ÈS
les données S des S problèmes, s,
S etet
$
se
S t si fente”
itite.
e. Et voilà
n chez lut de c ;
sur scien 107
Din ment
(« Rie neo rerLa rérte ] soil Un
a proprement
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[= one A MaisrSur e 1e n'y fait AR ni froid pn! sc ue: qu’une surtout, de
similitu ce dra dire suPRACON-
e
, Lien ente ee st teFEnc analogie ue voudra
nécessair
ement discursive,sive, n‘ eut être consci , que
que La con
“Core, si même m cou)
COUP
ême SIBD
Lors ion SÙ $ Cent , Ma; Sinon
prend du cette
é
étre disc re
Vecuant plus dès
milieu pOur nt
OU OUT ÈITE feCe 4 ne ana éhez
cessive ue ta phone)”, serait a cette de
rénerion sels
ais alors aussi INCONSCIe sa voir
dénérat ten lt L'ap | d'aitieurs plus ConTonne :
méme, et Hart ion en sera PO se y'aet
prail
6 aut que dès le début, : VOUS ne “pers
parlez
d'argumentation
Où tendancieus pelle ges, Autre signification
Catior é L t » ins coit
inconsclent ?
rnême instan et PR C'est ain di-
toutes: les É
les fins fitfires
| insinuante
plus
LOURONIE
prochaines NAN les plus éloigne +elle 1 mê Dites « lorsqu ils
nu ous:
Tele es
re AUS à $ même. comme des Jexandrins peauté, nl
sont 1 présentes
facon, are de telle 0° :
5 d'agir ges |
Plus fois que
honté, ni
ete
COR D) laLE scient.… sans Sa; ent celte essenec ni
que Dieu n'est pas
ae
uite eeàr
Correcti suite
Abe€ Ction qu’impose
te RURSE
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1e lui préêter d'autre celui de L'éntultto
DE L'INCONSCIENT
314 LA PHILOSOPHIE 345
NCONSCIENT
Le LA PHILOSOPHIE DE L'I
même être, etc , Fa quel-

nn, on s'en
qu'il est

Le malheur est que Hartma


sans parce
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à
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ru quaut fi
doute,
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que chose (41).(#1). 1A St


de
véritablement l'air
à tout cela
2C1a
supérieur k
conde nn RARE
> formule expli le ne : oe à l'heure, ait
Vouloir les see de
négar
/ première,
explique la sorti « procédé de
thèse impossible.
dr tout dans une syn
)
tion sert e qu'à faire entier effet ab Hans A
» sortir son plein et 1e erreur Prer consciente,
» ne nce
trans ne c es cette intellige
« procédé de
a
xt ch
F a t i-
e, comme une intell
t
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D, et ce serait
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RAA dt je transcendance
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à Ia con sci enc
&ence supracoi ue
ces àLla LL e
> de prendre négatives tout 4 les deux objec-
No US ces expressions point Jà s’évanouissent Par
de J'Un-Tout » où
absolument au même Mai ENS
revenons tions
lhettre MR
à force DOUTE insi par”
Da de L’Ahsol pie contre l’inconsciencepas définir cette intel-
a est inconscient,
d'être conscient; c'
ler, , d’êtr
Fe que ligence Le OR vous ne pouvez intelli-
nt; c'est tellement de la conscience
e tel le que vou s l’entendez, une
ce n’en est plus nofre con ne ton formidable
(fntlée ae : que ce n'est plus liée au dis” igence
nsc ien te. Par là s’énonce la plus de
science, objection aco contre l’inconscience
n puisse élever
accidentellement
que l’o
©
imparfalte,
TE
après ,
en dire autant
.

cours mental ; à « ,
,

faift » Et l’on.. pourrait


‘ €

tout, de la volor
,

de l'intelligence
: et de l'intelligence,
’ D
Ê

car (B
directement en nous
. d

particulier,"
\ )
1 3 \C

qu'affecte
C

est elle
conscience seule le caractèreù
diseursl"
Ce
aneaussi. par ricochet) C0:
VIII. — CONCLUSION
pourquoi p par consé supraintellié®
Ety: Vr a$s
par conséquent, ,
supravolonté (42) ? UT | e n ligne par Ha
rt-
Il faut d one, entre Incon* ci
et | e ence ; AR,R s ar gu me nt s MI S
deux mots, choisir En
ésumé, au cun de a vieille obje
c-
tout court Ha cas je ma ntien” 2
. Se \ thès PISE
ne absolue — auquel LACOS Se
Ma
un sa ibi-
dE prétendue im poss les
rs 1° à établir
pas réussit à la
n’a
science re plus de raison d'être que supit
rte
ion A
empruntée
pas AT lité du panthéistes, caduque;
blictri, comme 1 it dit Malebr:
alebranche, ou suprafitsipe Ahbs
in n Absolu personnel, la laisse par ntropartistique et du .

. o
.
quoi De pirati
comme eüt dit Scho fait de l'ins
.

ou supra-n’importe Cons: la
de ‘hopenhauer, cê
érat
| i o n s ti ré es du
g a n i s m e 1€ r v i e n enntt pas pas à
nne
relative — auquel cas esuprac r a

onseiel
y
l'o p
ce la pensée à
Pere Ta * I

DEP
antériorié

me Se | o

ie T A ]e
ee s Mn a s en fi n P
& précisémen” est p a
son bien- mais, pour désigner olide; ce n’ urrait rien
l'idée us s la conscience qui y po
et
Summum de. la L
PRE la conscience parfaite care
la 00%
au it ce m i n é e de pl us prés elle ni à
a Dao CRE PAT uisqu e, ex a Ë
re que jee qe
SCiente
solue, car c’est celacel: que veut dire 101 inconscie” il
5 Même US p vi ve j u m i è
car us
dans Une polses, d'une pensée as
relative .I1 faut choisi
1oisir entre les deux, disions-nous:
r e
eut
t
.

e t
é

Saute auUx yeu de ces deux acceptions s’entredétrui® hécossit é m h r


run à l ’ o r igine ntdes elcle-même, c’est-à-dire p
re ce ne peut ET é
Se Den1e actuelleme nt dit ; î
Le
C’est l’une où l’autre, Lun . u t r e m e
conscie n t ire
. e ntie
o u t e p ersonnel et éléologie de d'IneonsCie
e; s T
Prin
preuves de la Me
— ; eue”
Tel que que
i achève pe p st
(41) l' desS choses finies et créées
nous
s l'entendons 0
en matière RS«
:
choses fintes et s £Fo £ HT Ê ) ment
ci ne D on la vo it qu ra
et créées que:nous lu | par i-cett raison qu uêé ntre elle,RnetGOIOI ES e du
Liv
t man
(43) Harart Sen adé quate. ee1’
ALEEnte Aaës
: et < d'A bso
e Fi genco es : S ceR co tout perd
: MA
adm RG
ne sans anisode : a t
incompréhensible elligence ; v S
vo telliee gt
CREER ne "
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abs de
n supracon
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x Es ne ns. Que cet te
SE É A
telle qu qe
t nous me
re ente », don
von s nou s faire d'idée Conscie ta « pensée ”
pee
pou sii gée
note pré 1e sa con
s dirons ; He È
A faire Géoln en Ce :
aussi ecte — Cf. É mais nou
; ès la M te ll ig t DAS
ra iver) tes
LE
, dont nou s ne CP
; n'est, au
conscience pas noUÊ ouf
SOA h plus. Et l'intelligence
PRE
ne Ce5 $c e ae CP7,{e n e s L
d'ê plu s que
e ae ce cas che je C Ut q € l’on arler € in
scienc revi est pas{ empeche
Nes
es la con
1Ë ChGOre p dans 10!
cure infelligence
SAT Ar
jee conscience RE do — On voit ‘ à quoii revient, en somme» to! € Drimé
Tire usire, juo ers (
$ na l'Inconscient e dans l'univ
316 LA PHILOSOPHIE DE L'INCONSCIENT

“ pour Soi » (consciente, « subjective »), ‘ce est plus intel-


ligence qu'il faut dire à son Sujet, mais tout au plus àtelli-
gible. Et encore nous sommes-nous rendu compte que, abs-
traction faite d’une.intelligence qui le conçoive actuellement,
et d’une intelligence éternelle, puisque les possibilités qu'il
enveloppe sont Supérieures au temps, et d'une intelligenc
infinie, puisque ces possibilités vont elles-mêmes à l'infini,
et Surtout d’une intelligence consciente, puisqu'elle est iden-
tique à l’intelligible qu’elle doit penser actuellement et
qu'elle ne peut donc penser de la sorte qu’en se pensant elle-
même — et encore nous sommes-nous rendu compte qu'au-
tement cet intelligible n’a plus de fondement assignable
quê
les faits mêmes dont il règle lés rapports nécessaires et uni-
versels. Mais, outre que les faits sont manifestement au-des”
sous de cette tâche, outre que ce ne sont pas les faits
qui
peuvent, en ce sens supérieur, expliquer les lois, mais, à
l'inverse, les lois, les faits, faire reposer sur eux directement
la réalité de l’intelligible, ce n'est ni plus ni moins que les
ériger en véritable absolu eux-mêmes, et, qui plus est, EUX
seuls, et, qu'on y prenne garde aussi, en tant que tels, en
tant que faits, en tant que faits de la matière et de la nature.
Mais alors nous en revenons tout Simplement à mettre au
point de départ de l’évolution la chose, cette chose, ce Ding
que Hegel et Hantmann après lui prétendent précisément
éliminer de ce lang Suprême comme un caput mortuum vide
de tout contenu, pour lui substituer l’Idée : c’est une chose;
dis-je, qu’on installe au centre du système, ce ne peut
plus
être qu’une chose, une chose qui se développe fatalement,
Suivant une nécessité aveugle, à moins que
ce ne soit au gré
d'un absurde hasard, produisant ses effets par voie de pure
causalité efficiente, sans but, sans finalité quelconque:
C'est-à-dire que Hartmann se trouve logé, en dernière ana-
_lyse, aux mômes enseignes que le mécanisme matérialiste,
avec lequel il le prenait de si haut (Cf. critique du Darwi-
RO RTE + OR

nisme), et qu’enfin il reste vrai, Pour en revenir à la fina-


lité, que, ou bien cette finalité est en elle-même une finalité
consciente, où bien il n’y a pas de finalité du tout.
H. DEHOVE.

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