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UNIVERSITE DE MBUJIMAYI

Fondation Cardinal Joseph Albert MALULA


FACULTE DES SCIENCES APPLIQUEES
Département de génie civil
B.P 225

TRAVAIL PRATIQUE

LES APPAREILS D’APPUIS UTILISES DANS LA


CONSTRUCTION DES PONTS

Présenté par : MUKENDI MUDIMBI

Promotion : Grade I

Année Académique 2022-2023


1

LISTE DES FIGURES


Figure 1 : Appui à balancier à contact linéaire ........................................................................................... 5

Figure 2 : Appuis à balancier à rotule axiale ............................................................................................... 5

Figure 3 : Appuis à balancier à calotte sphérique ....................................................................................... 6

Figure 4 : Appuis à rouleaux ........................................................................................................................ 7

Figure 5 : Articulations de Mesnager ........................................................................................................... 7

Figure 6 : Articulations de Considere .......................................................................................................... 8

Figure 7 : Articulations de Freyssinet .......................................................................................................... 8

Figure 8 : Appuis à pot ............................................................................................................................... 10

Figure 9 : Type A ........................................................................................................................................ 11

Figure 10 : Type B ...................................................................................................................................... 11

Figure 11: Type C ....................................................................................................................................... 11

Figure 12 : Type D...................................................................................................................................... 12

Figure 13 Type E ........................................................................................................................................ 12

Figure 14 : Type F ...................................................................................................................................... 12


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TABLE DES MATIERE


1 HISTOIRE ............................................................................................................................................... 3

2 CLASSIFICATION .................................................................................................................................... 4

2.1 LES APPUIS MÉTALLIQUES ............................................................................................................ 4

2.1.1 Appareil d’appui à balancier ................................................................................................. 4

2.1.2 Appuis à rouleaux.................................................................................................................. 6

2.2 LES APPUIS EN BÉTON ................................................................................................................... 7

2.2.1 Les articulations Mesnager ................................................................................................... 7

2.2.2 Les articulations Considere ................................................................................................... 7

2.2.3 Les articulations Freyssinet ................................................................................................... 8

2.2.4 Les articulations Caquot ........................................................................................................ 8

2.2.5 Les articulations doubles....................................................................................................... 9

2.3 LES APPUIS À POT.......................................................................................................................... 9

2.3.1 Généralités ............................................................................................................................ 9

2.3.2 Typologie ............................................................................................................................. 10

2.4 APPAREIL D’APPUIS EN CAOUTCHOUC FRETE ............................................................................ 10

2.4.1 Les premiers appareils ........................................................................................................ 10

2.4.2 Typologie des appareils actuels .......................................................................................... 11


3

INTRODUCTION
Un appareil d'appui de pont est un élément de l’ouvrage placé entre le tablier et les appuis, dont
le rôle est de transmettre les actions verticales dues à la charge permanente et aux charges
d'exploitation, routières ou ferroviaires, et de permettre des mouvements de rotation ou de
translation.

Les premiers appareils d'appui étaient métalliques, puis des articulations béton ont été utilisées
dans les petits ponts en béton armé. Mais à partir des années 1950 l'utilisation des appuis en
élastomère va être dominante. Aujourd'hui les appareils d'appui en élastomère fretté et les
appareils d'appui à pot représentent plus de 90 % des appareils d'appui utilisés sur les ponts en
France.

L'appareil d'appui en élastomère fretté est adapté pour des réactions d'appui limitées à 12 MN,
calculées à l'état limite ultime (ELU). Cette valeur correspond à des dimensions en plan de
l'ordre de 700 x 700 mm. Au-delà de 20 MN, les appareils d'appui à pot sont préférables car ils
limitent l'encombrement du dispositif. Entre ces deux valeurs il est possible de conserver des
appuis en élastomère, soit en augmentant les dimensions jusqu'à 900 x 900 mm pour les grands
ouvrages, soit en accolant deux appareils d'appui plus petits.

1 HISTOIRE[1]
Dans les ponts en maçonnerie, les charges se transmettent au sol par l’intermédiaire des voûtes.
Mais avec les ponts métalliques qui font leur apparition au début du XIXème siècle, un tablier
supporte la charge et la transmet au sol par l’intermédiaire d’appuis (piles ou culées). L’acier
pouvant se dilater ou se contracter sous l’effet de la température, le tablier ne peut pas s’appuyer
sur les piles sans qu’un dispositif puisse absorber ces dilatations. On considère alors que au-delà
de 15 mètres de portée, les poutres du tablier doivent reposer sur des plaques de glissements ou
bien des appareils de dilatation à rouleaux. Les dispositifs de dilatation sont des chariots
s’appuyant sur des rouleaux en fonte ou en acier dont les formules de calcul sont formellement
définies par Koechling en 1900.

Les ouvrages en ciment, puis en ciment armé, naissent après l’invention du ciment artificiel par
Louis Vicat en 1840. Mais ce n’est qu’à partir de 1892, lorsque François Hennebique imagine et
fait breveter la première disposition correcte des armatures d'une poutre en béton armé, sous le
nom de poutre à étrier, que les ponts en béton armé vont prendre leur essor. Dès les premiers
ponts apparaît ici aussi la nécessité de mettre en place des appareils d’appuis fixes ou mobiles, en
acier ou en béton armé.

Les premiers appareils d’appuis en béton sont les articulations Mesnager introduites en 1907,
mais ils sont très rapidement supplantés par les articulations Freyssinet formées par une section
4

rétrécie de béton traversée par des armatures passives de type goujons. De nouvelles articulations,
dites de type Caquot, apparaissent en 1928.

L’utilisation du caoutchouc fretté, matériau dénommé également élastomère, au début des années
1950 constitue une évolution majeure. D’abord constitués de simple couches de caoutchouc et de
grillages, l’adhérence par vulcanisation apparaît en 1956. Plus tard dans les années 1990 sont
utilisés des appuis en élastomère enrobé.

Les appareils à pot constitués d’une embase métallique en forme de pot cylindrique dans laquelle
est enserré un coussin en caoutchouc apparaissent au début des années 1960. Une plaque de
glissement, généralement en PTFE (polytétrafluoroéthylène), peut être insérée dans la partie
supérieure pour permettre les glissements.

2 CLASSIFICATION[2]
D'après le critère de déplacement on distingue :

• Appareil d’appuis fixe : il ne permet que la rotation du tablier en ce point.

• Appareil d’appuis mobile : il permet la rotation et la translation en même temps.


D'après les matériaux de fabrication, on distingue:

• Les appareils d’appuis métalliques.

• Les articulations en béton fretté.

• Les appareils d’appuis en néoprène fretté.

• Les appareils d’appuis à pot.

• Les appareils d’appuis sphériques.

2.1 LES APPUIS MÉTALLIQUES[3]

2.1.1 Appareil d’appui à balancier


Ce type d’appareil d’appui comprend plusieurs pièces dont une présente une surface courbe,
cylindrique ou sphérique, nommée balancier, sur laquelle peut rouler un autre élément plan ou
courbe.

a. A contact linéaire
5

Ils sont composés d'une surface cylindre roulant sur une surface plane et permettent la rotation
dans une direction et assurent la fonction d'appui fixe. Le guidage est assuré par des goujons ou
des dents. Ces appareils sont encore fabriqués en France.

Figure 1 : Appui à balancier à contact linéaire

b. A rotule axiale

Utilisés seuls, ils jouent le rôle d'appareil d'appui fixe. En général, ils comportent un guidage qui
empêche un cheminement de l'axe. On les rencontre conjugués avec un plan de glissement
constitué de rouleaux multiples pour assurer en plus la fonction de déplacement longitudinal.

Figure 2 : Appuis à balancier à rotule axiale

c. A contact ponctuel

Il s’agit de petits appareils d’appui composés d'une surface sphérique convexe sur laquelle se
déplace sans glisser, une surface plane ou une surface sphérique concave à grand rayon. Ils
permettent les rotations dans toutes les directions, tout en jouant le rôle d'appui fixe.

d. A calotte sphérique

Les calottes sphériques sont une variante des appareils précédents. La surface de contact est
sphérique, les balanciers supérieurs et inférieurs ayant le même rayon. Il existe des calottes
cylindriques variantes des balanciers à rotule axiale. Elles sont aussi appelées genouillères.
6

Il existe des appareils plus récents dont les survaces de frotteemnt sont composées de plaques de
PTFE (polytétrafluoroéthylène).

Figure 3 : Appuis à balancier à calotte sphérique

2.1.2 Appuis à rouleaux


Ils assurent à la fois le déplacement longitudinal et la rotation d'axe transversal dû à la flexion du
tablier. Il existe plusieurs types de dispositifs : rouleau simple, rouleau simple tronqué (ou galet),
rouleau à côtés aplatis (ou pendule), rouleaux multiples.

Les bielles permettent une double articulation. Elles sont donc généralement utilisées à la
jonction de deux éléments dont les mouvements sont indépendants. On peut en trouver sur les
ponts suspendus, les cantilevers, etc...

De par leur conception, les désordres éventuels sont à rechercher au niveau des surfaces de
contact (axes, etc.), ovalisation par usure, jeu anormal, blocage par corrosion, déplacement. En
cas de translation importante les bielles entraînent des dénivellations entre les éléments.

Appareil d’appuis métallique à rouleau simple

Appareil d’appui à bielle


7

Figure 4 : Appuis à rouleaux

2.2 LES APPUIS EN BÉTON [3]


Nous pouvons citer :

2.2.1 Les articulations Mesnager


Augustin Mesnager, ingénieur des ponts et chaussées français, invente ce type d’articulation en
1907. Elles se composent de barres d'acier se croisant en X dans une section rétrécie de béton
ménagée entre les pièces à articuler. Les barres sont disposées alternativement dans l'une ou
l'autre direction et sont concourantes sur une même droite : l'axe de l'articulation. La résistance
est demandée exclusivement aux barres croisées, à l'exclusion du noyau de béton de la section
rétrécie, qui n'a qu'un rôle de protection des armatures.

Le fonctionnement de l'articulation entraîne une fissuration du noyau et les aciers sont donc mal
protégés de la corrosion. On trouve donc peu d'articulation Mesnager sur les ouvrages en service.

Figure 5 : Articulations de Mesnager

2.2.2 Les articulations Considere


Inventées par l’ingénieur des ponts et chaussées Armand Considère au début de 20ème siècle, ce
sont des articulations provisoires qui se composent d'un élément de béton fretté réduit à un noyau.
8

La présence d'armatures en attente permettait ensuite d'enrober l'articulation et de reconstituer la


section du poteau. De ce fait, elles sont difficilement identifiables même si elles existent encore
sur certains ouvrages en service et cela peut expliquer certains désordres sur les poteaux.

Figure 6 : Articulations de Considere

2.2.3 Les articulations Freyssinet


Les articulations Freyssinet ou à sections rétrécies de béton ont très rapidement remplacé les
articulations Considère. Elles équipent de nombreux ouvrages et selon l'intensité des efforts
horizontaux, elles possèdent ou ne possèdent pas d'aciers traversants (goujons). Le
dimensionnement se trouve dans les règlements de calculs depuis 1964. Il est rarement constaté
de désordres sur ces appareils d'appui.

Figure 7 : Articulations de Freyssinet

2.2.4 Les articulations Caquot


Les articulations Caquot (ou Considere-Caquot) sont introduites vers 1928. Il s’agit
d’articulations à roulement de cylindre ou de sphère sur un plan ou un cylindre dite articulation
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roulante. Elles remplissent le rôle d'appareil d'appui fixe. Si les efforts horizontaux sont
importants, des aciers traversent perpendiculairement la ligne de contact.

2.2.5 Les articulations doubles


Les articulations Caquot ou Freyssinet sont parfois dédoublées pour ajouter une capacité de
translation à leur capacité normale de rotation.

L'articulation double Caquot permet des déplacements de plusieurs centimètres alors que
l'articulation double Freyssinet n'autorise que de faibles déplacements. Toute opération de
réparation doit veiller à conserver la stabilité de l'ouvrage

2.3 LES APPUIS À POT[4]

2.3.1 Généralités
Un appareil d'appui est constitué d'une embase métallique en forme de pot cylindrique de faible
hauteur, dans laquelle est enserré un coussin en caoutchouc avec un joint périphérique pour
assurer l'étanchéité.

Les pots sont en général usinés dans une plaque de forte épaisseur formant un ensemble
monolithique. Le piston (ou couvercle) emboîté avec un très faible jeu dans le pot s'appuie sur le
coussin et va transmettre les charges avec possibilité de rotation. Le coussin, emprisonné entre le
piston et le pot, se comporte théoriquement comme un fluide.

La majorité de ces coussins sont en caoutchouc naturel, certains plus anciens sont en
polychloroprène. Les joints périphériques sont le plus souvent en laiton ou en acier inoxydable.

Dans cette configuration, la fonction de l'appareil se limite à un rôle d'appui fixe. Pour permettre
la fonction de déplacement, on engrave dans la partie supérieure du piston un disque de PTFE
(polytétrafluoroéthylène), sur lequel va glisser une plaque en acier dont la surface de contact
avec le PTFE alvéolé ou non et graissé est en général en acier inoxydable. Cette plaque d'acier
est fixée sur son support par collage, vissage ou soudage.

Les appareils peuvent être munis d’un dispositif de guidage qui autorise le glissement dans toutes
les directions (appareil multidirectionnel) ou dans une seule direction (appareil unidirectionnel).

Ils peuvent être ancrés soit par simple frottement avec la structure, ou par une boulonnerie et des
pattes de scellement. Ces ancrages devraient être disposés de manière à permettre en principe le
démontage de l'appareil.
10

2.3.2 Typologie
Les appareils se différencient essentiellement par leur type de guidage qui peut être central ou
latéral

Le guidage central peut être obtenu par une clavette centrale fixée au piston par boulons à
serrage ou par soudage, ou bien par usinage de la paque de glissement et engravure dans le piston.

Le guidage latéral peut être obtenu par des plaques latérales boulonnées, soudées ou usinées dans
la masse.

Figure 8 : Appuis à pot

2.4 APPAREIL D’APPUIS EN CAOUTCHOUC FRETE [5]

2.4.1 Les premiers appareils


Au début des années 1950, des grillages en fils tréfilés et étamés à mailles de 4 mm sont disposés
entre des plaques de caoutchouc de 5 mm d’épaisseur. Sous l’effet de la pression les fils du
grillage s’impriment dans le caoutchouc. Les éléments empilés sont solidarisés par des attaches
métalliques fixées sur les bords.

Avec les appareils LARGO-PILE, le grillage est remplacé par des tôles ayant subi un premier
traitement, mais les vrais premiers appareils d'appui en caoutchouc fretté adhérisé par
vulcanisation apparaissent en France en 1956 et en 1957 aux États-Unis.

Il s’agit dans un premier temps de plaques de caoutchouc comportant un feuillet adhérisées à


deux tôles minces. Pour constituer un appareil d'appui permettant une déformation en
cisaillement et une rotation plus importantes, les mono-feuillets ont été collés les uns sur les
autres, puis alternés avec des tôles.
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On distingue alors les appareils non enrobés, les semi-enrobés et les enrobés. Les frettes étaient
en acier ordinaire ou en acier inoxydable. Les appareils d'appui unitaires étaient découpés dans
une plaque mère d'environ 1 m2.

2.4.2 Typologie des appareils actuels


La norme européenne EN 1337-3 définit six types d'appareils d'appui.

Type A : appareil d’appui à une seule frette enrobée

Figure 9 : Type A

Type B : appareil d’appui comportant au moins deux frettes (ici cinq) et entièrement enrobé

Figure 10 : Type B

Type C : appareil d’appui comportant des plaques métalliques extérieures

Figure 11: Type C

Type D : appareil d’appui glissant comportant en surface une feuille de PTFE


(polytétrafluoroéthylène)
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Figure 12 : Type D

Type E : appareil d’appui glissant comportant en surface une plaque métallique en contact avec
la feuille de PTFE

Figure 13 Type E

Type F : Appareil d’appui non fretté et en bande.

Figure 14 : Type F

a. Parties constitutives

Un appareil d'appui en élastomère fretté est un « bloc d'élastomère vulcanisé (…) renforcé
intérieurement par une ou plusieurs frettes en acier, collées chimiquement (adhérisation) pendant
la vulcanisation. (…). L'élastomère est un matériau macromoléculaire qui reprend
approximativement sa forme et ses dimensions initiales après avoir subi une importante
déformation sous l'effet d'une faible variation de contrainte ».

• Le caoutchouc

Le caoutchouc entrant dans la composition des appareils d'appui peut être soit naturel et d'origine
végétale, le latex, un polymère de l'isoprène, soit synthétique et, le composé le plus souvent
utilisé étant un polymère du chloroprène (polychloroprène ou CR pour "Chloroprène Rubber"
dans la norme). Il existe plusieurs formules qui, sur le marché, portent des noms de marques :
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Néoprène ® (Du Pont de Nemours), Butachlor® (Ugine), etc. Mais l’usage a retenu la marque
néoprène comme étant un nom usuel.

• Les frettes en acier

Les frettes sont des plaques en acier S 235 ou d’un acier présentant un allongement minimal à la
rupture équivalent. Leur épaisseur ne pourra, en aucun cas, être inférieure à 2 mm.

• Les éléments de glissement

Plusieurs dispositions existent. En France ces éléments de glissement comportent une plaque de
PTFE alvéolée collée sur le dessus de l'appareil d'appui en élastomère, soit sur l'enrobage
extérieur en élastomère (appareil de type D selon NF EN 1337-3), soit sur une tôle extérieure en
acier (appareil de type E selon NF EN 1337-3). Une tôle en acier inoxydable poli liée à une
platine supérieure en acier S235 glisse sur la plaque de PTFE.

• Dispositifs anti-cheminement

Lorsque l’on veut éviter les déplacements, on met en place des dispositifs anticheminements
constitués de butées ou taquets d’arrêt, qui ne doievnt par ailleurs pas gêner les déformations :
compression, distorsion et rotation. Notamment, les butées doivent venir en contact avec une
plaque (ou frette extérieure) dont l'épaisseur sera au moins égale à la hauteur de la butée
(appareils d'appui de type C de la norme NF EN 1337-3). En aucun cas, la butée ne doit se faire
sur le feuillet en élastomère.
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CONCLUSION

L’appareil d’appui joue un rôle important dans les ponts. Malgré ses dimensions relativement
faibles, il commande les systèmes de liaison et transmet la totalité des charges du tablier vers les
appuis. Il est donc important pour tout ingénieur en génie civil d'avoir une metrise totale sur le
composition, le fonctionnement et l'utilisation des appareils d'appuis.
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BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE
[1] ww.techno-science.net

[2] SETRA (2007), “Guide technique”, République Française, Ministère d'écologie, du développement et
de l'aménagement durables,

[3] YUMPU (1993) , “Instruction technique pour la surveillance et l’entretien des ouvrages d’art :
Deuxieme partie, Fascicule 13”, Ministère d'écologie, du développement et de l'aménagement durables,
République de France.

[4] STRRES (2010), “Entretien et Réparation des équipements d'ouvrages”, 4. Michel FRAGNET, les
différents types d’appareils d’appui des ponts, les évolutions prévisibles,

[5] ARROUDJ Nour El Houda (Juin 2015) “Etude sur les appareils d’appui en élastomère fretté”,
Mémoire de Master en Génie Civil, ENP Algérie 3.
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ANNEXES
Representation graphique des appareils d’appuis selon la norme européenne EN1337.1

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