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Chapitre 5-3 La régulation des activités

ovariennes. L’ovaire sécrète deux hormones stéroïdiens (l’estradiol


et la progestérone) varient au cours du cycle menstruel on a aussi la LH et
FSH.
L’ovaire à une activité endocrine produit deux hormones stéroïdes on a l’estradiol et la
progestérone. Au cours du cycle menstruel chez les mammifères sur tout chez les femmes le
taux sanguins de ces hormones varie et qu’ils exercent des effets sur un certain nombre
d’organes cible comme sur la muqueuse utérine= qui a une activité cyclique des hormones
ovarienne.

1. Rythme circhoral de GnRH et de LH


L’activité rythmique du complexe hypothalamo-adénohypophysaires et la sécrétion d'hormones
gonadotrope par l’adénohypophysaire elle réagit par un triple rythme dont 3 rythme superposés. On
a le rythme circhoral des pulses de GnRH (est une neurohormone produite par l’hypothalamus et qui
est au point de départ de l’axe gonadotrope). A la fin de la phase folliculaire et dans la période de
près ovulatoire on a au moment du pic de l’ovulation une augmentation du fréquence et amplitude
des pulses du GnRH et du LH. La sécrétion d’hormones gonadotrope sont favorisés par une pulsatile
de GnRH à fréquence élevée avant le pic de l’ovulation, puis la sécrétion de FSH est favorisée par une
pulsatile de GnRH à plus basse fréquence.

Les pulses de gonadotropines (GnT) juste avant l’ovulation le taux de LH on a une sécrétion pulsatile
plus ou moins constant et varie en fonction des jours du cycle menstruel mais au moment de
l’ovulation 14eme jour on a une augmentation beaucoup plus important de fréquence et amplitude
des pulses de LH puis au moment de la phase lutéale à partir du 21eme jours la fréquence des pulses
diminue.

La coïncidence des pulses de GnRH et de GnT, on a chaque pulse de GnRH va déclencher un pulse
d’hormones gonadotrope car il y a des variations de pulsatilité général entre GnRH et ceux de LH et
quand l’amplitude des pulse de GnRH devient très élevé à la fin du folliculaire on a aussi la sécrétion
de LH qui augmente au moment du pic ovulatoire de LH.

2. Évolution des taux sanguins de FSH et de LH au cours du cycle


menstruel et œstrien
Le rythme au cours du cycle menstruel et oestrien des hormones gonadotropes sur la variation du
taux sanguins la sécrétion de LH et FSH au cours de ce cycle. On a deux mode de sécrétion différents,
le modèle sécrétion tonique/ basale des gonadotropines pendant la plus grande partie du cycle la
sécrétion de LH et FSH est moins important avec des variations légère des taux sanguins de ces
hormones et plus précisément FSH augmente progressivement à partir de la fin de la phase lutéale
jusqu'au milieu de la phase folliculaire et ensuite dans la deuxième semaine, dans la deuxième
partie de la phase folliculaire on a au contraire une diminution de la sécrétion de FSH. Le
deuxième mode de secrétions des hormones de gonadotrope c’est la sécrétion phasique des
gonadotropines juste avant l’ovulation en J13 du cycle menstruel on a une sécrétion de FSH et
de LH qui augmente brusquement, donc on a de pics de gonadotropine très important de LH
qui va déclencher l’ovulation c’est une décharge ovulant car il est responsable du processus
d’ovulation.
La sécrétion maintenu basse pendant le cycle et du pic a un moment donné va se retrouver dans le
cycle oestrien de la ratte d’où on une montée d’œstrogène pendant la matinée du prooestrus
(période postérieure à l’oestrus et à l’ovulation, correspondant à la phase Folliculaire ovarienne / la
désagrégation du corps jaune) ce qui est lié à la maturation finale de plusieurs follicules et puis suite
au pic d’œstradiol/estradiol (hormone produit par les ovaires qui est responsable du développement
des organes sexuels et des caractères sexuels féminin et sur la régulation des du cycle menstruel,
aide au maintien de la grossesse) à mi au parcours du prooestrus, ont une sécrétion phasique
d’hormone gonadotrope qui a lieu à la fin du processus d’où on un pic de LH et FSH qui déclenche le
phénomène d’ovulation.

3. Influence de la photopériode sur l’axe gonadotrope


Les rythmes saisonniers, on a aussi les rythmes annuels de reproduction des mammifères
sauvages mâle et femelle sont adaptés à la gestation afin que naissance et lieu au moment où
le climat et favorable pour la survie des descendant.
On a des animaux ou la gestation est à court durée comme les rongeures donc ces animaux
vont s’accouplés au printemps et les animaux à longue durée de gestations comme les Brebis
vont s’accouplée à l’automne donc la photopériode va permettre à l’animal de déterminer la
saison de se reproduire quand la photopériode diminue (jours courts) et pour les Hamster
vont se reproduire quand la photopériode augmente (jours longs) qui va stimuler l’axe
gonadotrope donc l’activé pour la reproduction, il va avoir une forte teneur en FSH et LH.
La lumière joue un rôle sur l’activation des hormones gonadotrope grâce aux glande pinéale
et aux glandes épiphyse dont les voix nerveuses, la transmission de la lumière est faite par les
cellule ganglionnaires de la rétine par le noyau suprachiasmatique (NSC). La glande pinéale par
les neurones sympathiques post-ganglionnaire qui délivre de la noradrénaline sur la glande
pinéale va répondre en sécrétant de la mélatonine qui est une hormone qui est sécrétée
uniquement pendant la nuit et la mélatonine reste une sorte d’informateur quasi universelle
pour l'ensemble des êtres vivants du rythme de nuit et jour c'est en quelque sorte un relais
entre la photopériode à et ensuite des contrôles endocrine dans l'organisme. C’est une
hormone qui n'est pas stocké dans des vésicules avant sa libération et donc il y a une relation
directe entre les taux de cette hormone dans la libérer est la durée du clairement quotidien. La
mélatonine est la reproduction qui va contrôler les neurones qui eux-mêmes sont des neurones
activateurs des neurones à GnRH et donc indirectement la mélatonine va influencer le quasi
total de l’axe gonadotrope on peut dire globalement que la mélatonine est un modulateur de la
sécrétion de GnRH.

4. Initiation et croissance folliculaire basale

La régulation de la folliculogenèse. On a des follicules qui quittent la réserve et démarrent


leur croissance le nombre de de follicule diminue avec l’âge à partir de l’initiation
(développement des follicules primordiaux pendant la vie INTRA-UTERINE et jusqu’à la naissance) de
la croissance folliculaire, à la sortie de réserve jusqu’à l’ovulation dure environ 60 jours’ qui
est diviser en deux grandes phase qui est la phase de croissance folliculaire basale qui dure
environ 7 semaines, on a les follicules primordiaux jusqu’au stade follicules près-antral, on
a l’ovocyte primaire et la phase folliculogenèse terminale d’où on a le commencement du
cycle ovarien qui dure environ 14 jours environ deux semaines. La FSH hormone n’est pas
impliqué dans l’initiation de la croissance folliculaire n’est pas impliqué mais elle est sous le
contrôle de deux facteurs locaux tels que SCF (Stem Cell Factor) ou LKF (Ligand de Kit
facteurs) synthétisée par les cellules de granulosa qui jouent un rôle important dans le
démarrage de la croissance des follicules sortant de la réserve. On a aussi le facteur TGF
alpha sécrétée par les cellules de la granulosa en début de croissance stimulé la prolifération.
La sortie de la réserve et du démarrage de la croissance est indépendant des hormones
notamment de la FSH mais il est sous le contrôle de deux autres facteurs locaux intra-
folliculaire.
5. Recrutement, sélection et dominance folliculaire

Les follicules en fin de croissance (follicule tertiaire) qui ont un antrum sont dépendant des
hormones gonadotropes, comme ils ont acquis les récepteurs membranaires aux hormones
gonadotrope. La croissance des follicules qui sont susceptibles d’aller jusqu’à l’ovulation va se
dérouler de façons synchrone et coordonnée. La croissance démarre dès que le corps jaune du cycle
précédent à régressé. Le recrutement tous les follicules tertiaires qui sont dépendants des
hormones gonadotropes d’où on a une augmentation progressive des taux de FSH d’une cohorte de
follicule recrutés et seront sélectionnés, mais une seule sera sélectionné pour l’ovulation. Les autres
seront dégénérés (atrésies des follicules).

6. Rôle de FSH dans la folliculogenèse terminale


La FSH constitue le signal endocrine impliqué dans le recrutement de la folliculogenèse qui coïncide
avec l’apparition dans les cellules de la granulosa d’une activité aromatase (Production
d’oestrogènes) donc les cellules de la granulosa vont pouvoir convertir les androgènes produit par les
cellules de la thèque interne en œstrogène / estradiol au moment de recrutement.

7. Rôle de LH dans la folliculogenèse terminale


Sur la thèque interne on a expression des récepteurs à la LH on a production d’androgène
(androstènedione) précurseurs des œstrogènes (estradiol) a pour conséquence de pallier la baisse de
la FSH avec le recrutement d’autres follicules et le développement des autres follicules qui subissent
l’atrésie (Uniquement chez un follicule pré-ovulatoire, les autres follicules tertiaires auront
dégénéré) le pic de LH provoque la libération de l’ovule (ovocyte) près à être féconder.
8. OMI, pic de LH et méiose ovocytaire

9. MPF et CSF dans l’ovocyte lors de l’ovulation


Le rôle de facteur intra-ovocytaires de l’activité MPF de l’ovocyte sous l’influence de l’interruption de
la transmission du signal émis est qui va par voie indirecte activé la MPF cyclique donc la thèque en
prophase I va passer progressivement en prométaphase I puis en métaphase I. Le complexe MPF est
un réflexe hétérodimère qui est composée de deux protéines Cdk-1 (la kinase dépendant cycline) et
Cycline B qui va être dégradé pendant la fin de la méiose. Augmentation de la MPF II qui va être
bloquer jusqu'à fécondation si possible puis reprendra le cycle par l’ovocyte au CSF.

10. Rôle du pic de LH sur la maturation cytoplasmique de l’ovocyte


L’ovocyte II bloqué en métaphase II depuis la vie fœtale subit une croissance importante formé de
granules corticaux sur la thèque qui sous l’influence de la pic LH qui va permettre à l’ovocyte de finir
sa maturation cytoplasmique. Par la sécrétion de LH des cellules du cumulus d’où le follicule de De
graff qui relâchera l’ovocyte près à être fécondé par un spermatozoïde. Le pic va permettre aux
cellules de granulosa de produire l’activation du plasminogène pour la protection de celle-ci.

11. Rôle du pic de LH sur le follicule mûr


12. Facteurs lutéotropes permettent la formation et le maintien
du corps jaune (vascularisé).

13. Hormones lutéotropes chez la ratte intervient deux hormones de


LH et le Prolactine (prolonge la durée de vie du corps jaune de
pseudogestation si ligature de LH) qui va maintenir le corps
jaune.

14. Facteurs lutéolytiques chez la brebis


Les facteurs qui induisent la régression du corps jaune cycliques si absence de fécondation au cours
de la phase lutéale. Le corps jaune va subir un processus de Lutéolyse qui y a lieu à la fin de la phase
lutéale et cette régression du corps cyclique se manifeste par deux phénomènes, la perte de la
capacité à synthétiser de la progestérone par les cellules lutéales et par la disparition des cellules
constitutives du corps jaune avec un processus d’apoptose des cellules lutéale dans le mécanisme qui
assurent la régression du corps jaune, mais l’ionisation est différente selon les espèces.

Le cycle estrienne de la Brebis au cours de la courte de la phase folliculaire, il y a une augmentation


d’œstrogène suivi de près par le pic de FSH et de la LH avec un pic de prolactine suite à un pic qui va
démarrer une phase lutéale qui durant 14 jours d’où on aura la formation et le maintien du corps
jaune cyclique qui se traduit par une augmentation de la teneur en progestérone et à la fin de la
phase lutéale on va avoir une chute de progestérone par suite de la régression du corps jaune
cyclique.

15. Facteurs lutéolytiques chez les Primates


Processus de lutéolytiques chez la femme avec une hystérectomie (ablation de l’utérus) alors
pendant la phase lutéale cet ablation n’a pas d’effet sur la durée de vie sur le corps jaune cyclique.
On aura une phase lutéale qui aura toujours la même durée de 14 jours. Donc on peut dire que
l’utérus ne commande pas la lutéolyse. Si on injecte la prostaglandine alpha dans la circulation
générale on a pas d’effet mais si on l’injecte directement à forte dose dans le corps jaune alors on a
une lutéolyse, on raccourcit la phase lutéale. Donc cette prostaglandine alpha est un facteur
lutéolytique à actions locales, ce facteur agi de façon paracrine ou autocrine sur les cellules lutéales
donc à une autorégulation de la durée de vie du corps jaune cyclique chez les primates.
L’accumulation d’estradiol dans le tissu lutéal est également importante du processus lutéolytique.
Le corps jaune produit l’estradiol (si on l’injecte dans le corps jaune sa raccourcit aussi la phase
lutéale, donc l’estradiol à un effet paracrine à l’intérieur du corps jaune) et la progestérone.

Pour conclure, c’est les cellules lutéales du corps jaune cyclique qui produisent de l’œstrogène
déclenché localement la production par les cellules lutéales de la prostaglandine (PGF2alpha) qui lui-
même exerce la lutéolyse à l’intérieur de l’ovaire.

Le rôle de l’ocytocine dans le corps jaune, cette quantité reste faible ce qui suggère une action par
voie paracrine ou autocrine (par voie locale) dans l’ovaire. Ainsi l’injection d’ocytocine dans le corps
jaune est suivi d’un effet lutéolystique et elle induit un raccourcissement de la phase lutéale.

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