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PHYSIOLOGIE RESPIRATOIRE

A propos de la ventilation :
a. L’espace mort alvéolaire est un espace ventilé mais non perfusé.
b. La ventilation totale est égale à la ventilation alvéolaire.
c. En situation normale, le rapport ventilation/perfusion est inférieur à 0,8.
d. L’espace mort physiologique est égale à l’espace mort anatomique.
Au sujet du mécanisme de production du débit aérien à l’expiration :
a. A l’expiration, la pression alvéolaire devient inférieure à la pression atmosphérique.
b. La pression transpulmonaire augmente.
c. La pression intrapleurale retourne à la valeur pré-inspiratoire.
d. La rétraction de la paroi thoracique vers l’intérieur est la conséquence de l’arrêt de
contraction des muscles inspiratoires.
Propriétés résistives du système respiratoire
a. Les voies aériennes extra-thoraciques (nez) possèdent 50% des résistances.
b. Grosses bronches possèdent 10% des résistances
c. Les petites bronches (G7 à G23) possèdent 40% des résistances
d. Les résistances des voies aériennes inférieures (VAI) s’exercent surtout à l’expiration.
Transport des gaz :
a. L’O2 existe à 97% sous la forme dissoute dans le plasma.
b. L’affinité de l’hémoglobine (Hb) pour le CO>affinité Hb pour O2 > affinité Hb pour CO2
c. Si le pH diminue, l’affinité de l’hémoglobine pour l’O2 augmente
d. En cas d’anémie, la saturation de l’hémoglobine en oxygène diminue.
Les centres respiratoires :
a. Le centre pneumotaxique ne joue aucun rôle dans le contrôle nerveux de la respiration.
b. Le groupe respiratoire dorsal ne comporte que des neurones inspiratoires.
c. L’expiration calme correspond à une stimulation des neurones expiratoires.
d. Le centre apneustique jouerait un rôle dans la stimulation du centre bulbaire.
A propos de l’organisation de l’appareil respiratoire :
a. La respiration externe se définit comme un mouvement des gaz entre l’environnement et
les cellules de l’organisme
b. La zone de conduction désigne les voies aériennes alvéolisées.
c. La portion respiratoire s’étend des bronchioles respiratoires jusqu’aux alvéole
d. les voies aériennes supérieures comportent la bouche, la cavité nasale, le pharynx et le
larynx.
A propos du surfactant :
a. Il est sécrété par les pneumocytes de type I.
b. Il est davantage concentré dans les plus petites alvéoles par rapport au plus grandes.
c. Le surfactant diminue la tension superficielle au niveau de la surface air-liquide alvéolaire
d. Selon la loi de Laplace, plus le rayon de l’alvéole est petit et plus la tension superficielle
sera faible.
La paroi bronchique :
a. Possède du muscle lisse.
b. Sa muqueuse est ciliée.
c. Les glandes séro-muqueuses se raréfient vers les conduits alvéolaires.
d. Le cartilage est de plus en plus présent vers les conduits alvéolaires.
A propos des alvéoles :
a. La surface alvéolaire est tapissée de cils et de mucus.
b. Les alvéoles sont très peu vascularisés.
c. La grande surface des alvéoles et leur fine épaisseur assurent les échanges gazeux.
d. Aucune proposition n’est juste.
A propos de la plèvre :
a. Elle possède deux feuillets.
b. Le feuillet viscéral adhère à la cage thoracique.
c. En position debout, sous l’effet de la gravité, la pression intrapleurale (Pip) au sommet des
poumons est supérieure à la Pip à la base des poumons.
d. La pression intrapleurale négative sert à maintenir les bronchioles bien ouvertes.
Les gaz alvéolaires :
a. La pression alvéolaire de CO2 (PACO2) = pression artérielle en CO2 (PaCO2) = 40 mmHg.
b. En ventilation normale, la PAO2 = 45 mmHg.
c. L’humidification de l’air inspiré augmente la pression partielle de l’oxygène inspiré.
d. En Hypoventilation la PAO2 diminue par rapport à la normale et la PACO2 augmente.

A propos du cycle respiratoire :


a. La ventilation totale est le rapport de la fréquence respiratoire par le volume courant.
b. Par convention, les débits inspiratoires sont négatifs et les débits expiratoires sont positifs.
c. La durée du cycle respiratoire est de l’ordre de 4 à 5 s chez le nouveau né au repos.
d. Le cycle respiratoire peut être aussi représenté sous forme d’un pneumotachogramme :
graphe débit-temps.
A propos des muscles respiratoires :
a. Le muscle diaphragme assure les 2/3 du travail inspiratoire.
b. En respiration calme, l’expiration est due, à 30%, à l’élasticité propre du thorax et de
l'abdomen.
c. Le contrôle nerveux du diaphragme est assuré par les nerfs phréniques.
d. En respiration forcée, l’expiration est un processus passif.
A propos de la production du débit aérien respiratoire :
a. A l’expiration, la pression alvéolaire devient inférieure à la pression atmosphérique.
b. La pression transpulmonaire représente la différence entre la pression alvéolaire et la
pression intrapleurale.
c. Selon la loi d’écoulement des masses, l’air se déplace d’une zone de haute pression vers une
zone de basse pression.
d. Au repos, à la CRF, la pression atmosphérique est supérieure à la pression alvéolaire.
Distribution de la perfusion et de la ventilation alvéolaire :
a. La ventilation augmente en allant de la base vers le sommet des poumons.
b. Pour un rapport VA/Q < 0,8, le sang capillaire est hypoxémique.
c. La perfusion augmente en allant de la base vers le sommet des poumons.
d. Le rapport Ventilation alvéolaire/Perfusion (VA/Q) augmente en allant de la base
vers le sommet des poumons.
A propos de la compliance et résistance du système respiratoire :
a. Le rayon des voies aériennes est le premier facteur des résistances de ce système.
b. Dans le contrôle nerveux de la bronchomotricité, la voie efférente motrice
cholinergique est à l’origine d’une bronchodilatation.
c. En position debout, la compliance pulmonaire est plus importante à la base par
rapport au sommet des poumons.
d. Les résistances chutent fortement au nu niveau des bronchioles terminales.
Transport des gaz :
a. L’O2 existe, à 97%, sous la forme dissoute dans le plasma.
b. L’affinité de l’hémoglobine (Hb) pour le CO>affinité Hb pour O 2 > affinité Hb pour
CO2. c. Si le pH diminue, l’affinité de l’hémoglobine pour l’O2 augmente
d. En cas d’anémie, la saturation de l’hémoglobine en oxygène diminue.
Les centres respiratoires :
a. Le centre pneumotaxique module l’activité des centres bulbaires.
b. Le groupe respiratoire ventral comporte des neurones inspiratoires et expiratoires.
c. L’expiration calme correspond à une stimulation des neurones expiratoires.
d. Le centre apneustique est localisé dans la protubérance.
Les chémorécepteurs :
a. Les chémorécepteurs centraux réagissent à une augmentation de [H+] dans le
liquide céphalorachidien (LCR).
b. L’augmentation de la PaCO2 diminue la ventilation.
c. Les chémorécepteurs aortiques informent les centres respiratoires via les fibres du
nerf vague (X).
d. La décharge des chémorécepteurs périphériques augmente pour une PaO2
inférieure à 60 mmHg.

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