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La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la
rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.
établissement construit vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un
sanctuaire construit d'un seul tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le
courant du IIIe siècle, ne semble pas avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire.
La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la
rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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II - a -Abandonné à la fin du IVe siècle
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
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aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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IV - a - 5 - le site archéologique a été profondément
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant
d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en tant que villa est
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
29
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
30
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
50
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
51
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
159
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
195
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
200
Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
311
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
347
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
358
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
359
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle
l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des siècles qui suivent, avant la
construction d'un hameau au cours du Moyen Âge. Construit au pied des côtes de Clermont-
Ferrand, le site archéologique a été profondément enfoui, ce qui a permis sa très bonne
conservation. Vierge de toute occupation protohistorique, le vallon de Trémonteix est
aménagé dès le Haut-Empire. À un premier établissement interprété comme une villa romaine
succède un second établissement construit vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété,
et doté d'un sanctuaire construit d'un seul tenant. La reconstruction de ce site archéologique,
dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas avoir entrainé de réorganisation majeure du
sanctuaire. La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du
fait de la rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.
dont il est séparé par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre
l'espace cultuel et la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui
a fait l'objet d'un aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de
l'érosion que pour mettre en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace
cultuel, plusieurs aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux
temples sont des structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus
grand que le fanum sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois
connus que pour leur partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet
d'aménagement et donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été
identifiée, la présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans
le péribole et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
430
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
441
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
453
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Les deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.
Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.
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