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I - Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand

La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la
rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.

I - a -établissement construit vers le début du IIIe siècle

I - a - 1 - établissement construit vers le début

établissement construit vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un
sanctuaire construit d'un seul tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le
courant du IIIe siècle, ne semble pas avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire.

La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la
rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.

II - Le sanctuaire occupe la partie

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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II - a -Abandonné à la fin du IVe siècle

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

II - a - 1 - Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

II - b -Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand

II - b - 1 - Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

III - Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

III - a -Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

III - a - 1 - le site archéologique a été profondément

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

IV - le site archéologique a été profondément

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

IV - a -le site archéologique a été profondément

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de

IV - a - 1 - le site archéologique a été profondément

réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases d'occupation du site


est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment céramique, permettant
d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en tant que villa est
pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de
quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs

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aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

IV - a - 2 - le site archéologique a été profondément

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

IV - a - 3 - le site archéologique a été profondément

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

IV - a - 4 - le site archéologique a été profondément

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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IV - a - 5 - le site archéologique a été profondément

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

IV - a - 6 - le site archéologique a été profondément

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant

IV - a - 7 - le site archéologique a été profondément

d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en tant que villa est

pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de


quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

V - le site archéologique a été profondément

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul

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tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

V - a -le site archéologique a été profondément

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
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d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
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vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
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l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
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vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
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vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

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donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur

363
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle

l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des siècles qui suivent, avant la
construction d'un hameau au cours du Moyen Âge. Construit au pied des côtes de Clermont-
Ferrand, le site archéologique a été profondément enfoui, ce qui a permis sa très bonne
conservation. Vierge de toute occupation protohistorique, le vallon de Trémonteix est
aménagé dès le Haut-Empire. À un premier établissement interprété comme une villa romaine
succède un second établissement construit vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété,
et doté d'un sanctuaire construit d'un seul tenant. La reconstruction de ce site archéologique,
dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas avoir entrainé de réorganisation majeure du
sanctuaire. La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du
fait de la rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.

Le sanctuaire occupe la partie

septentrionale du reste du site archéologique

dont il est séparé par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre
l'espace cultuel et la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui
a fait l'objet d'un aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de
l'érosion que pour mettre en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace
cultuel, plusieurs aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux
temples sont des structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus
grand que le fanum sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois
connus que pour leur partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet
d'aménagement et donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été
identifiée, la présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans
le péribole et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de

Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément enfoui, ce qui a permis sa très


bonne conservation. Vierge de toute occupation protohistorique, le vallon de Trémonteix est
aménagé dès le Haut-Empire. À un premier établissement interprété comme une villa romaine
succède un second établissement construit vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété,
et doté d'un sanctuaire construit d'un seul tenant. La reconstruction de ce site archéologique,
dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas avoir entrainé de réorganisation majeure du
sanctuaire. La datation des différentes phases d'occupation du site est toutefois complexe du
fait de la rareté du mobilier, notamment céramique, permettant d'affiner la chronologie de son
occupation. L'interprétation du site en tant que villa est pareillement sujette à discussions du
fait de l'absence de structure agricole, à l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas
assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et

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la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment

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céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation

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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
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protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre

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en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en

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tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier

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établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

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Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum

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sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

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Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas

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avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble
pas avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Les deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

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Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément
enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la
présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Construit au pied des côtes de Clermont-Ferrand, le site archéologique a été profondément


enfoui, ce qui a permis sa très bonne conservation. Vierge de toute occupation
protohistorique, le vallon de Trémonteix est aménagé dès le Haut-Empire. À un premier
établissement interprété comme une villa romaine succède un second établissement construit
vers le début du IIIe siècle, pareillement interprété, et doté d'un sanctuaire construit d'un seul
tenant. La reconstruction de ce site archéologique, dans le courant du IIIe siècle, ne semble pas
avoir entrainé de réorganisation majeure du sanctuaire. La datation des différentes phases
d'occupation du site est toutefois complexe du fait de la rareté du mobilier, notamment
céramique, permettant d'affiner la chronologie de son occupation. L'interprétation du site en
tant que villa est pareillement sujette à discussions du fait de l'absence de structure agricole, à
l'exception de quatre cuves dont la fonction n'est pas assurée.

Le sanctuaire occupe la partie septentrionale du reste du site archéologique dont il est séparé
par un mur de clôture équipé d'une tour-porche assurant la transition entre l'espace cultuel et
la cour de l'établissement. Le sanctuaire est implanté au bas d'une pente qui a fait l'objet d'un
aménagement sous la forme de terrasses, tant pour protéger le site de l'érosion que pour mettre
en valeur les deux temples. Au sein du péribole qui délimite l'espace cultuel, plusieurs
aménagements ont été observés dont une fontaine et un nymphée. Le deux temples sont des
structures à plan carré, le fanum nord étant d'un gabarit légèrement plus grand que le fanum
sud (13 m de côté contre 9,35 m de côté). Tous deux ne sont toutefois connus que pour leur
partie orientale, le reste de leur emprise n'étant pas incluse dans le projet d'aménagement et
donc dans les limites de la fouille archéologique. Si aucune divinité n'a été identifiée, la

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présence d'un bassin dans la cella du temple sud, les aménagements trouvés dans le péribole
et divers mobiliers indiquent qu'il s'agit probablement d'un sanctuaire des eaux.

Abandonné à la fin du IVe siècle, l'emplacement du site est partiellement réoccupé lors des
siècles qui suivent, avant la construction d'un hameau au cours du Moyen Âge.

Nom Prénoms Age


Yao Jean 22
Kouadio Marius 24

471

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