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1 erbataillon de

tirailleurs somalis

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1er bataillon de tirailleurs
somalis

Insigne régimentaire du 1er bataillon de


tirailleurs somalis.

Création 1916
Dissolution 1946
Pays France
Branche Armée de terre
Type Troupes coloniales
Rôle Infanterie
Garnison Djibouti (Djibouti)
Ancienne 1er bataillon de tirailleurs
dénomination somalis
Couleurs Rouge et bleu
Inscriptions VERDUN DOUAUMONT
sur l’emblème 1916
LA MALMAISON 1917
L'AISNE 1917 - 1918
LA MARNE 1918
NOYON 1918
Anniversaire Bazeilles
Guerres Première Guerre mondiale
Seconde Guerre mondiale
Fourragères Aux couleurs du ruban de
la Croix de guerre 1914-
1918
Décorations Croix de guerre 1914-1918
deux palmes
une étoile d'argent
Croix de guerre 1939-1945
une palme
une étoile d'argent
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bataillon_de_tirailleurs_somalis&action=edit&section=
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Le 1er bataillon de tirailleurs somalis,


constitué en 1916 à partir de recrues de
la Côte française des Somalis, était une
unité appartenant à l'Armée de terre
française. Le 1er bataillon de tirailleurs
somalis était composé de volontaires
recrutés à Madagascar et Djibouti.

Il s'illustra pendant la Première Guerre


mondiale, notamment lors de la reprise
du fort de Douaumont en octobre 1916
avec le régiment d'infanterie coloniale du
Maroc. Recréé pendant la Seconde
Guerre mondiale, il participe en
particulier aux combats de la pointe de
Grave en avril 1945.

Création et différentes
dénominations
22 février 1915 : création d'une
compagnie de tirailleurs
somalis [réf. nécessaire]
Première Guerre mondiale

11 mai 1916 : formation du 6e bataillon


de marche somali[1]
10 juin 1916 : devient le 1er bataillon de
tirailleurs somalis[1]

Entre-deux-guerres

1919 : dissolution du bataillon, moins


une compagnie[2], intégrée au 1er
régiment mixte malgache[3]
1932 : dissolution de la compagnie[3]
1933 : recréation de la compagnie, à
Djibouti, avec des volontaires et des
anciens combattants [réf. nécessaire]
8 octobre 1935 : création du Régiment
de tirailleurs sénégalais de la Côte
française des Somalis, qui intègre la
compagnie [réf. nécessaire]

Toutes ces unités ont conservé


successivement à Djibouti le patrimoine
de tradition du 1er bataillon de tirailleurs
somalis, symbolisé par le fanion tricolore
de l'unité.

Seconde Guerre mondiale

décembre 1942 : la Côte française des


Somalis rallie la France libre et fournit
à nouveau un bataillon de tirailleurs
somalis pour participer aux combats
pour la libération de la France.
1er janvier 1943 : le Détachement des
Forces Françaises Libres de la Côte
française des Somalis prend le nom de
Bataillon somali de souveraineté.
16 mai 1944 : le bataillon de
souveraineté met sur pied un bataillon
de marche somali.
26 août 1944 : le bataillon de marche
somali se voit confier à Djibouti, la
garde du fanion tricolore du
1er bataillon de tirailleurs somalis de
Première Guerre mondiale. Le bataillon
de marche somali est regroupé avec
les bataillons de marche no 14 et no 15
pour former le Régiment d'Afrique
équatoriale française et Somalie
25 juin 1946: le bataillon somali est
dissous

Historique des combats

Première Guerre mondiale

Les Somalis perçoivent leurs


fournitures au camp de Fréjus, mi-
1916.

Le bataillon des Somalis est formé à


Majunga (Madagascar), le 11 mai 1916 à
partir de recrues de la Côte française des
Somalis. Il est rassemblé à Fréjus, le
10 juin 1916.
En octobre 1916 le bataillon est rattaché
au RICM et forme son 3e bataillon. Il fait
son entrée en guerre en participant à
l’assaut sur le fort de Douaumont, le
24 octobre 1916. Après ce fait d'armes
qui a un retentissement important, le
drapeau du RICM est décoré de la croix
de la Légion d’honneur et les 2e et
4e compagnies du bataillon somali
reçoivent également la croix de guerre
avec palme (citation à l'ordre de l'armée).

En décembre 1916, il fut complété par


l'adjonction d'une compagnie de
mitrailleuses et d'un peloton de canons
de 37 mm.
En mai 1917, le bataillon participe à la
Bataille du Chemin des Dames au cours
de laquelle il est cité à l’ordre de la
division. Le 23 octobre 1917, il remporte
au sein du RICM la victoire de la
Malmaison et obtient la première citation
à l’ordre de l’armée du bataillon entier.

En mai et juin 1918, il prend part à la


3e bataille de l’Aisne et en juillet à la
2e bataille de la Marne. En août et
septembre 1918, le bataillon somali
combat sur le front de l’Oise et en
octobre 1918 il obtient sa deuxième
citation à l’ordre de l’armée ainsi que le
droit au port de la fourragère aux
couleurs du ruban de la croix de guerre.
Sur 2 434 tirailleurs recrutés en Côte des
Somalis, 2088 sont venus combattre en
Europe. Leurs pertes sont estimées à
517 tués et Modèle:Nob à
1 200 blessés[1].

Le 1er janvier 1919, à la suite des


démobilisations, l'effectif est de

Somalis: 526
Comoriens: 209 (une compagnie à
part)[4]
Yémenites: 70
Abyssins: 30
Total: 835[4]
Seconde Guerre mondiale

Au cours de la Seconde Guerre mondiale,


le bataillon de marche somali est
réorganisé et équipé en Afrique du Nord.
Il rejoint la France au début de l'année
1945 et forme avec deux autres
bataillons (BM no 14 et 15) le régiment de
marche d’Afrique équatoriale française et
Somalie.

Le régiment est intégré au sein du


Détachement d’armée de l’Atlantique
(DAA), commandé par le général de
Larminat, chargé de réduire la poche de
Royan. Il est engagé dans la libération de
Royan et de la pointe de Grave, avant de
libérer Soulac en avril 1945.

Au cours de ces combats les pertes du


bataillon somali s'élèvent à 41 tués (5
Européens et 36 tirailleurs) et 106
blessés (10 Européens et 96 tirailleurs)
soit 147 hommes sur un effectif de 860.

Le 22 avril 1945, le général de Gaulle


décerne une citation à l’ordre de l’armée
au bataillon somali et décore le fanion du
bataillon à Soulac.

Le bataillon somali est dissous le


25 juin 1946.
De 1945 à nos jours

En 1959, le 5e régiment interarmes


d'outre-mer (RIAOM) hérite du patrimoine
de tradition du bataillon somali, en plus
de celui du 5e régiment d'infanterie
coloniale[5]. Sur son drapeau, cinq
inscriptions de batailles, deux
décorations et la ceinture rouge des
troupes somalis rappellent aujourd’hui la
mémoire des tirailleurs somalis qui se
sont distingués dans l'Armée française.

Chefs de bataillon
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mai 1916 : chef de bataillon Fortin
14 juillet 1916 : capitaine Depui
21 novembre 1916 et jusqu'à la fin de
la Première Guerre mondiale : chef de
bataillon Bouet
1944-1945 : chef de bataillon
Bentzmann

Inscriptions sur son drapeau


Son drapeau porte les
inscriptions[6]:

VERDUN DOUAUMONT 1916


LA MALMAISON 1917
L'AISNE 1917 - 1918
LA MARNE 1918
NOYON 1918

Décorations
Au cours de la Première Guerre mondiale,
le 1er bataillon de tirailleurs somalis a
obtenu trois citations, dont deux à l’ordre
de l’armée :

Croix de guerre 1914-1918 avec deux


palmes et une étoile d’argent

Il a droit au port de la fourragère aux


couleurs du ruban de la croix de guerre
1914-1918 qui récompense les unités
citées aux moins deux fois à l'ordre de
l'armée[7].
Au niveau des citations individuelles on
dénombre au cours de la Première
Guerre mondiale[8] :

9 croix de la Légion d’honneur (dont


une d'officier de la Légion d'honneur)
aux officiers du bataillon
35 médailles militaires (9 aux
Européens et 26 aux Somalis)
1 180 citations à l’ordre :
31 à l’ordre de l’armée (17 aux
Européens et 14 aux Somalis).
51 citations à l’ordre du corps
d’armée (41 aux Européens, 10
aux Somalis)
109 à l’ordre de la division (92 aux
Européens, 17 aux Somalis)
206 à l’ordre de la brigade (132
aux Européens, 74 aux Somalis)
783 à l’ordre du régiment (148 aux
Européens, 635 aux Somalis).

Au cours de la Seconde Guerre mondiale,


le 1er bataillon de tirailleurs somalis a
obtenu une citation à l’ordre de l’armée et
une citation à l’ordre de la division au
sein du Régiment de marche d’Afrique
équatoriale française et somalie auquel il
appartenait.
Citations militaires

Première Guerre mondiale

Citations à l'ordre de l'armée

« Le 24 octobre 1916, renforcé


du 43e bataillon sénégalais et
de deux compagnies de
Somalis, le [RICM] enlevé d’un
admirable élan les premières
tranchées allemandes ; a
progressé ensuite sous
l’énergique commandement du
colonel Régnier, brisant
successivement la résistance de
l’ennemi sur une profondeur de
deux kilomètres. A inscrit une
page glorieuse à son histoire en
s’emparant d’un élan
irrésistible du fort de
Douaumont, et conservant sa
conquête malgré les contre-
attaques répétées de l’ennemi. »
— Citation à l'ordre de
l'armée attribuée au
Régiment d'infanterie
coloniale du Maroc (RICM),
ainsi qu'au 43e bataillon de
tirailleurs sénégalais et aux
2e et 4e compagnies du
bataillon de somalis après
la prise du Fort de
Douaumont en octobre
1916

« Sous le commandement du
chef de bataillon Bouet a
participé le 23 octobre 1917
aux attaques des bataillons du
régiment d’infanterie coloniale
du Maroc, entre lesquels il était
réparti, a rivalisé d’ardeur
avec eux et triomphé dans les
mêmes luttes glorieuses. »

— 1re citation à l'ordre de


l'armée attribuée au 1er
bataillon de tirailleurs
somalis pour sa brillante
attitude lors de la prise des
carrières de Bohéry et du
plateau de la Malmaison (ht
tp://chtimiste.com/batailles
1418/combats/la%20malm
aison1917.htm) [archive],
Ordre général no 529 du 15
novembre 1917

« Bataillon indigène à l’esprit


guerrier, sous l’énergique
commandement du chef de
bataillon Bouet, s’est fait
remarquer dans maints
combats, par son entrain, sa
bravoure et son esprit de
sacrifice. Du 30 au 4 juin, a
lutté sans répit, au prix de
pertes nombreuses, sur une
position très difficile et a réussi
à arrêter l’ennemi. Récemment
a fait preuve de belles qualités
manœuvrières et d’une ardeur
extrême, dans la poursuite de
l’ennemi. »
— 2e citation à l'ordre de
l'armée attribuée au 1er
bataillon de tirailleurs
somalis au cours de la
Bataille de l'Aisne (1918),
Ordre no 11027 D du 28
octobre 1918
Citations à l’ordre de la division

« Sous l’impulsion de son chef,


le commandant Bouet, lors de
l’offensive du 5 mai, a fait
preuve d’un courage et d’un
entrain remarquables,
nettoyant des abris
formidablement organisés sans
se laisser arrêter par la vive
résistance des Allemands et
coopérant ainsi de la façon la
plus efficace au succès de la
division. »
— Citation à l’ordre de la
division attribuée au 1er
bataillon de tirailleurs
somalis lors de la Bataille
du Chemin des Dames,
Ordre général no 176 du 8
mai 1917
Citations à l’ordre du régiment

« Mise à la disposition du
RICM, la 2e compagnie du 1er
bataillon de tirailleurs somalis,
commandée par le lieutenant
Baumgartner, a participé aux
attaques des 18 et
19 juillet 1918, devant
Longpont, et s’y est
vaillamment comportée,
subissant sans faiblir des
pertes sévères. »
— Citation à l’ordre du
régiment attribuée à la 2e
compagnie du bataillon
somali pour sa conduite
lors des attaques devant
Longpont en juillet 1918,
Ordre du régiment no 11 du
21 janvier 1919

Seconde Guerre mondiale

Citations à l'ordre de l'Armée


« Bataillon qui, sous le
commandement calme et
énergique du chef de bataillon
Bentzmann a, par sa valeur, sa
bravoure et son opiniâtreté,
réussi le 15 avril 1945, le
franchissement de vive force,
sous le feu violent et ajusté de
l’ennemi, de la ligne d’eau du
Gua, large de plus de 400
mètres. Par son habile
manœuvre a fait tomber les
éléments de défense ennemis
du Pont du Gua. Dans la
journée du 18 avril a bousculé
l’ennemi sur les fortes
positions d’un fossé antichars
et, d’un seul élan, a enlevé le
village du Vieux Soulac, ainsi
que l’ensemble très fortement
bétonné et vigoureusement
défendu des ouvrages
constituant le poste de
commandement de la
forteresse ennemie de la Pointe
de Grave. Au cours de ces deux
journées de combat, a fait 300
prisonniers. »
— Citation à l'ordre de
l'Armée attribuée au
bataillon de marche somali
du Régiment de marche
d’Afrique équatoriale
française et somalie pour
avoir réussi le
franchissement de la ligne
d’eau du Gua au cours des
combats de la Pointe de
Grave, Décision no 1058 du
20 août 1945
Citations à l'ordre de la Division

« A mené pendant 7 jours dans


la pointe de Grave du 14 au
20 avril, un combat
exceptionnellement dur contre
un ennemi enragé à se
défendre, allant jusqu'à se faire
sauter sur place plutôt que de
se rendre, très fortement armé
et appuyé sur des ouvrages
cuirassés à toute épreuve,
couvert par un terrain
d’inondation dont les passes
étroites étaient littéralement
bourrées de mines. A tué 947
Allemands, pris 100 ouvrages
bétonnés et 90 pièces de canon,
fait 3 300 prisonniers. Fait
d’armes qui mérite de prendre
rang dans les annales de cette
guerre. »
— Citation à l'ordre dela
division attribuée au
Régiment de marche
d’Afrique équatoriale
française et somalie après
les combats pour la
libération de la Pointe de
Grave, Ordre général no 102
du 25 avril 1945

Monuments et plaques
commémoratives

Le monument de Cuts, réédifié en


2014.

Cuts (Oise) (1961)


« Ce monument, s’il est
modeste, est hautement
significatif. Le passant qui
traversera ce carrefour aura
l’œil attiré par l’Ancre de
Marine. S’approchant, il lira
que par deux fois des hommes
différents de nous par la race et
la religion, mais tout proches
par le cœur sont venus de
l’extrémité de la Mer Rouge,
des sables semi-désertiques,
pour donner leur sang en
défendant un idéal de
civilisation humain et libéral.
Ici est inscrit un titre de
noblesse qui honore
grandement les Somalis, et
aussi la France qui fut digne
d’inspirer de tels dévouements.
Que ce monument soit le
témoin d’un attachement
réciproque et durable entre nos
deux peuples »
— Discours du général
Edgard de Larminat,
président de l’Association
des Français libres, lors de
l'inauguration du
monument à Cuts (Oise) en
1961 et dédié aux
combattants Somalis
morts pour la France à
« Douaumont 1916 -
Chemin des Dames 1917 -
La Malmaison 1917 - Mont
de Choisy 1918 - Longpont
1918 -Pointe de Grave
1945 »

Notes et références
1. Champeaux 1997.
2. Jolly 2013, p. 251.
3. Jolly 2013, p. 59.
4. Jolly 2013, p. 168.
5. Jolly 2013, p. 222.
6. Décision
no 12350/SGA/DPMA/SHD/DAT du
14 septembre 2007 relative aux
inscriptions de noms de batailles sur
les drapeaux et étendards des corps
de troupe de l'armée de terre, du
service de santé des armées et du
service des essences des armées,
Bulletin officiel des armées, no 27, 9
novembre 2007
7. De manière non réglementaire, le
fanion tricolore du bataillon portera
sur sa croix de guerre une 3e palme,
pour rappeler la part du succès qui
revient au bataillon dans la
reconquête du fort de Douaumont.
En fait seules les 2e et
4e compagnies somalies sont citées
à l’ordre de l’armée et non le bataillon
somali
8. Bouet 1931, p. 67.

Bibliographie

Hyppolite Bouet, Historique du bataillon


de tirailleurs somalis pendant la guerre,
Rochefort-sur-mer, 1931 (lire en ligne
(https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k
6227178q) [archive]).
Antoine Champeaux, « Les traditions
du 1er Bataillon Somalis de
Douaumont à Djibouti », dans Les
troupes coloniales durant la Grande
guerre, Paris, Economica, 1997, 23-
51 p. (lire en ligne (http://www.institut-
strategie.fr/TC_3.htm) [archive]).
Laurent Jolly, Le tirailleur somali : le
métier des armes instrumentalisé
(début XXe siècle - fin des années 60)
(thèse d'histoire sous la direction de
Christian Thibon), Université de Pau et
des Pays de l’Adour, 2013 (lire en ligne
(http://www.theses.fr/2013PAUU100
9) [archive]), p. 365.
Laurent Jolly, Tirailleurs de la Côte des
Somalis. Des mercenaires au service de
la France ?, Les Indes savantes, 2019,
324 p.

Articles connexes

Troupes coloniales
Liste des unités de tirailleurs
sénégalais
5e régiment interarmes d'outre-mer
Régiments des colonies
Bataillon de marche
Régiment de marche
Youssouf Aptidon Darar

Liens externes

« 1er bataillon de tirailleurs somalis :


L’itinéraire de la gloire (https://www.def
ense.gouv.fr/terre/actu-terre/1er-batail
lon-de-tirailleurs-somalis-l-itineraire-de-
la-gloire) [archive] », sur
defense.gouv.fr, 17 août 2018
Le bataillon de marche Somali 1944-
1945 (http://www.france-libre.net/tem
oignages-documents/temoignages/ba
taillon-marche-somali.php?3aec685da
a5c376aaa5a33ed1835c6fe=e7a1110
41c76f24274fe1e4d7aea2fa
4) [archive], Extrait de la Revue de la
France Libre, no 47, avril 1952.
La Poche de Royan, avril 1945 (http://w
ww.cheminsdememoire.gouv.fr/page/
affichepage.php?idLang=fr&idPage=26
79) [archive]
Opération "Vénérable" : la libération de
la "poche" de la Pointe de Grave (http://
www.cheminsdememoire.gouv.fr/pag
e/affichepage.php?idLang=fr&idPage=
2825) [archive]

Portail de l’Armée française


Portail de Djibouti
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