Vous êtes sur la page 1sur 30

1 redivision française

libre
principale force française armée lors de la
seconde guerre mondiale
1re division française libre

Insigne de la 1re DFL en tissu,


cousu sur la manche de l'uniforme

Création été 1940


Dissolution 15 août 1945
Pays France libre
Allégeance France libre
Branche Infanterie
Équipement français puis britannique puis
américain
Guerres Seconde Guerre mondiale
Batailles Dakar
Gabon
Érythrée
Syrie
Bir Hakeim
El Alamein
Tunisie
Italie
Provence
Vosges
Alsace
Authion
Commandant Unité dissoute
Commandant Raoul Magrin-Vernerey
historique Paul Legentilhomme
Marie-Pierre Kœnig
Edgard de Larminat
Diego Brosset
Pierre Garbay
modifier (https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=1re_division_fra
n%C3%A7aise_libre&action=edit&section=0)

La 1re division française libre (1re DFL) fut la


principale unité des Forces françaises libres
(FFL) pendant la Seconde Guerre mondiale. Unité
composée d'Européens et de soldats des
colonies, citée quatre fois à l'ordre de l'armée
entre 1942 et 1945, elle est, avec la 3e division
d'infanterie algérienne (3e DIA), la division
française la plus décorée de la Seconde Guerre
mondiale.

Dénominations successives
1940 : Corps expéditionnaire français libre ;
1941 : Brigade française libre d’Orient ;
mai 1941 : 1re division légère française libre ;
20 août 1941 : Dissolution après la campagne
de Syrie ;
24 septembre 1941 : regroupement des unités
françaises libres du Moyen-Orient en 1re et
2e divisions légères françaises libres, chacune
avec deux brigades ;
décembre 1941 : la 1re DLFL, remaniée en
1re brigade française libre indépendante ou
First Free French Brigade Group pour s'adapter
à l'organisation militaire britannique, part pour
le Western Desert ;
1942 : regroupement des deux brigades
françaises libres indépendantes du Moyen-
Orient ou Forces françaises du Western Desert,
après le départ de la 2e brigade française libre
indépendante du Levant en avril ;
février 1943 : recréée sous le nom de 1re DFL,
division à trois brigades (1re, 2e et 4e BFL) ;
Après la réunification des deux armées
françaises, le 1er août 1943, elle est
officiellement renommée 1re division
motorisée d'infanterie en vue de son
intégration au Corps expéditionnaire français
en Italie
à partir du 1er mai 1944, la division est
dénommée 1re division de marche d'infanterie
(DMI). Les gaullistes continuent de l'appeler
"1re DFL"
15 août 1945 : dissolution de la 1re DMI

Chefs de corps
1941 : colonel Magrin-Verneret dit Monclar :
15 avril 1941 - 21 août 1941 : général
Legentilhomme ;
Janvier 1943 - 16 mai 1943 : général de
Larminat ;
1943 : général Kœnig ;
1er août 1943 : général Brosset ;
20 novembre 1944 : général Garbay.

Seconde Guerre mondiale

1940

La 1re DFL fut officiellement formée le


1er février 1943 et dissoute le 15 août 1945, mais,
pour ses vétérans, l'histoire de cette division
d'infanterie commence dès l'été 1940.

À Londres, le 30 juin 1940, parmi les troupes


ayant combattu en Norvège, 900 hommes de la
13e demi-brigade de légion étrangère,
commandée par le lieutenant-colonel Raoul
Magrin-Vernerey, et 60 chasseurs alpins font le
choix de reprendre le combat. Des éléments
d'une compagnie de chars de combat, des
sapeurs, des artilleurs et des marins font de
même ; ils constitueront le 1er régiment de
fusiliers marins.

Au Moyen-Orient, 350 rebelles d'un bataillon


cantonné à Chypre, emmené par le capitaine
Jean Lorotte de Banes[1] passent en Égypte
britannique[2]. Avec 120 hommes du capitaine
Raphaël Folliot[3], qui ont quitté le Liban français
le 27 juin[4], ils constituent le 1er bataillon
d'infanterie de marine.

Ils sont rejoints par des légionnaires du


6e régiment étranger d'infanterie, des marins de
l'escadre française d'Alexandrie et d'une partie
d'un escadron de spahis marocains à cheval du
1er régiment de Spahis, commandé par le
capitaine Paul Jourdier[5] qui formera le
1er régiment de marche de spahis marocains.
En Afrique, une partie de la 31e batterie du
6e régiment d'artillerie de marine, stationnée à
Bobo-Dioulasso, commandée par le capitaine
Jean-Claude Laurent-Champrosay[6] passe de la
Haute-Volta en Côte-de-l'Or[7], puis au Cameroun
pour former le 1er régiment d'artillerie coloniale.

Sous le nom de Corps expéditionnaire français


libre, les troupes formées à Londres débarquent
à Freetown, en Sierra Leone, et participent du 23
au 25 septembre 1940 à la tentative de
débarquement à Dakar, avant d'être dirigées en
octobre 1940 à Douala, au Cameroun, rattaché à
la France libre. En novembre 1940, elles
participent à la Campagne du Gabon, avant de
rejoindre par voie maritime Durban en Afrique du
Sud.
1941

Charles de Gaulle remettant les croix


de la Libération aux nouveaux
Compagnons, à Qastina en Palestine
mandataire, le 26 mai 1941.

Devenue brigade française libre d'Orient et


commandée par le colonel Magrin-Vernerey dit
Monclar, elle quitte Durban et débarque à
Souakim pour prendre part à la campagne en
Érythrée. La brigade est renforcée par le bataillon
du Pacifique et par des troupes de l'Afrique
française libre qui parties de Brazzaville sont
passées à Bangui, Fort Lamy avant de rejoindre
Khartoum et Souakim. La brigade est victorieuse
à Kub Kub le 23 février 1941, puis lors de la
bataille de Keren le 26 février et à Massaoua le
8 avril 1941.
C'est sous le nom de première division légère
française libre et sous le commandement du
général Legentilhomme qu'elle entre en Syrie en
juin 1941. Les troupes sont acheminées en
Palestine, à Quastina d'où elles partent
combattre les forces françaises restées fidèles
au régime de Vichy, alors que les Anglais lancent
contre Rommel l'opération Brevity. La brigade
entre victorieuse dans Damas le 21 juin 1941
puis continue son avancée sur Homs, Abou-
Kamal et Alep avant de rejoindre Beyrouth et le
Caire où elle est dissoute.

Elle renaît sous la forme de deux brigades


françaises libres combattantes[8] :

La 1re brigade française libre indépendante


avec à sa tête le général Koenig
La 2e brigade française libre indépendante
avec à sa tête le général Cazaud
Une 3e brigade française libre indépendante
qui restera au Liban français et en Syrie jusqu'à
la fin de la guerre pour assurer la protection de
ces pays.

1942

Un canon antichar Ordnance QF 2


pounder servi par des Français Libres
en 1942.

Les deux brigades et la Free French Flying


Column forment le Corps français du Western
Desert au sein de la 8e armée britannique[8]. La
1re BFL s'illustre à Bir Hakeim du 26 mai au
11 juin 1942, puis à la seconde bataille d'El
Alamein en octobre-novembre 1942, ainsi que la
2e brigade qui y joue un rôle plus
modeste [réf. nécessaire].
1943

Mémorial à Takrouna

Ces deux brigades sont réunies le


1er février 1943 dans la 1re DFL commandée par
le général de Larminat. Renforcé par la
4e brigade venue de Djibouti, la 1re DFL participe
à la fin de la campagne de Tunisie[8] à Takrouna
en mai 1943.

En juin 1943, de nombreux déserteurs affluent de


l'armée d'Afrique pour s'engager dans ses rangs.
Elle est alors renvoyée dans le désert de Libye
pendant deux mois et demi, à la demande du
général Giraud. La 2e DFL du général Leclerc
subira le même sort.
Après la réunification des deux armées
françaises, le 1er août 1943, elle est
officiellement renommée 1re division motorisée
d'infanterie en vue de son intégration au Corps
expéditionnaire français en Italie[9], puis
1re division de marche d'infanterie à partir du
1er mai 1944[10]. Toutefois, pour ceux qui la
composent, et dans la plupart des ouvrages qui
lui sont consacrés, elle continue à porter le nom
de 1re DFL.

1944

Commandée par le général Diego Brosset, elle


est intégrée au Corps expéditionnaire français et
participe à la campagne d'Italie à partir d'avril
1944.

Avec l'Armée B, elle débarque en Provence le


15 août 1944 et participe à la libération de
Toulon puis remonte le Rhône après avoir envoyé
quelques escadrons en reconnaissance jusqu'à
Montpellier[11]. Lyon est atteint le 3 septembre.

À l'automne 1944, les FFI intégrés lors de


l'amalgame à la 1re armée remplacent les 6 000
noirs de la division[12] lors de ce qui fut appelé à
l'époque le blanchiment[13].

1945

La division remonte ensuite jusqu'aux Vosges où


le général Diego Brosset est tué
accidentellement le 20 novembre 1944. Le
général Pierre Garbay, qui lui succède, emmène
sa division dans la campagne d'Alsace où elle
joue, au début de janvier 1945, un rôle primordial
dans la défense de Strasbourg, avant de
participer à la libération de Colmar. En
mars 1945, elle quitte la garde du Rhin pour le
front des Alpes, où elle s'empare du Massif de
l'Authion (Alpes du Sud), s'empare de Tende et de
La Brigue et passe en Italie. Alors qu'elle marche
sur Turin, elle est stoppée par la reddition de
l'armée allemande d'Italie le 2 mai 1945.

Hommages
Quarante-huit cimetières, abritant ses plus de
3 600 morts, jalonnent son itinéraire. Huit de ses
unités ont été faites Compagnons de la
Libération. Quatre de ses morts représentent les
combattants en uniforme reposent au Mémorial
de la France combattante au Mont Valérien, sous
cette épitaphe : « Nous sommes ici pour
témoigner devant l'Histoire que de 1939 à 1945
ses fils ont lutté pour que la France vive libre »:

Caveau no 4 : Maboulkede (1921-1944) –


Soldat au 24e bataillon de marche (BM 24).
Tué à l'ennemi le 22 août 1944 à La Garde.
Caveau no 8 : Georges Brière (1922-1944) –
Matelot au 1er régiment de fusiliers marins.
Tué à l'ennemi le 25 novembre 1944 à
Giromagny, Territoire de Belfort.
Caveau no 15 : Marius Duport (1919-1944) –
Sous-lieutenant au 22e bataillon nord-africain
(22e BMNA). Tué à l'ennemi pendant la
campagne d’Italie, le 14 mai 1944 à San
Clemente, Italie.
Caveau no 16 : Antonin Mourgues (1919-1942)
– Caporal-chef au Bataillon d'Infanterie de
Marine et du Pacifique (BIMP). Tué à l'ennemi
le 1er novembre 1942 à El Mreir, Égypte, au
cours de la Seconde bataille d’El Alamein.

Des voies dans plusieurs villes de France ont été


nommées en hommage à la Division comme le
boulevard de la Première-Division-française-libre
à Cannes.
Pertes
Les pertes totales de la division durant la
Seconde Guerre mondiale s'élèvent à 3 619 tués,
dont 1 126 "Indigènes coloniaux" (31%), avec
2 400 tués (67 %) durant la période d'avril 1944 à
mai 1945[14] :

Pertes des Pertes des Pertes % de Nb de tués


Année
Européens coloniaux totales l’année par mois

dont dont dont


Total Total Total
Officiers Officiers Officiers

1940 8 0 0 0 8 0 0,19 1,3

1941 200 12 94 0 294 12 8,07 24,5

1942 375 28 195 1 570 29 15,7 47,5

1943 137 15 134 1 271 16 7,48 22,6

1944 1 038 97 631 2 1 669 99 46,1 139

1945 735 35 72 1 807 36 22,5 161

Total 2 493 187 1 126 5 3 619 192 100

Composition
Les listes ci-dessous donnent les noms des
unités ayant appartenu à la 1re DFL en 1944.
Unités de combat

Infanterie

1re brigade

1er bataillon de la 13e demi-brigade de Légion


étrangère[15] (DBLE)[16]
2e bataillon de la 13e demi-brigade de Légion
étrangère[15] (DBLE)[16]
22e bataillon de marche nord-africain (22e
BMNA)[16]

2e brigade

Article détaillé : 2e brigade française libre.

Bataillon de marche no 4[16]


Bataillon de marche no 5[16]
Bataillon de marche no 11[16], constitué en
Syrie en 1941 du dédoublement du BM 1
4e brigade

Article détaillé : 4e brigade française libre.

Bataillon de marche no 21, constitué après le


ralliement de Djibouti[16]
Bataillon de marche no 24 (même origine que
le BM 21)[16]
Bataillon d'infanterie de marine et du
Pacifique[15] (BIMP), issu du regroupement du
1er bataillon d'infanterie de marine et du
bataillon du Pacifique no 1 après la bataille de
Bir Hakeim

Autres armes

1er régiment de fusiliers marins[15], comme


unité de reconnaissance[16]
21e groupe antillais de DCA, constitué à partir
du bataillon de marche antillais no 1
1er régiment d'artillerie des forces françaises
libres (RAFFL)[15]
1er régiment de marche de spahis
marocains[15] (affecté à la colonne Leclerc
durant la campagne de Tunisie puis dans la 2e
DB)
Compagnie de Quartier général no 50 (et 51,
52) [réf. nécessaire]
101e compagnie auto (et 102e, 103e,
105e[réf. souhaitée])[17]
1er bataillon de transmissions[18]
9e compagnie de réparation divisionnaire[19] (et
ateliers lourds 1, 2 et 3) [réf. nécessaire]
1er détachement de circulation routière[18]
Prévôté [réf. nécessaire]
Groupe d'exploitation divisionnaire
(intendance)[20]
Ambulance Hadfield-Spears[18]
Ambulance chirurgicale légère[18]
Autres unités ayant fait partie de la division avant
1944

Bataillon de marche no 1[8]. Avec la DFL, il


participe aux campagnes du Gabon, d'Érythrée
et de Syrie [réf. nécessaire]. Il a ensuite participé
aux campagnes du Fezzan et de Tunisie avec
la colonne Leclerc avant qu'hommes et
officiers soient répartis entre diverses unités
en 1943
Bataillon de marche n° 2[15], rattaché à la
3e brigade française indépendante du colonel
de Tournadre, en Syrie, en juillet 1942, puis
envoyé à Madagascar et en AEF
Bataillon de marche no 3[8], dissous en 1942
Bataillon de marche n° 22[8], venu de Djibouti
en 1943
1er bataillon d'infanterie de marine[8], fusionné
avec le BP 1 dans le BIMP
Bataillon du Pacifique no 1[8], fusionné avec le
1er BIM dans le BIMP
1re compagnie autonome de chars de
combat[8], devenue 501e RCC[15] dans la 2e DB
2e régiment d'artillerie coloniale[8]

Autres unités ayant fait partie de la division


après 1944

11e régiment de cuirassiers, comme régiment


d'infanterie après septembre 1944[16]

Décorations
La division a été citée 4 fois à l'ordre de l'armée
(26 juin 1942 après la bataille de Bir Hakeim ;
27 janvier 1945 pour l'Italie et les Vosges ;
16 mars 1945, pour ses combats en Alsace ;
7 juillet 1945, pour la campagne de l'Authion) et
ses principaux régiments ont obtenu la
fourragère récompensant au moins deux
citations à l'ordre de l'armée[21].

Fourragère avec olive aux couleurs du ruban de


la Médaille militaire et de la Croix de guerre
1939-1945 (4-5 citations à l'ordre de l'armée)
13e demi-brigade de Légion étrangère
Bataillon d'infanterie de marine et du
Pacifique
1er régiment de fusiliers marins
Fourragère avec olive aux couleurs du ruban de
la croix de guerre 1939-1945 (2-3 citations à
l'ordre de l'Armée)
Bataillons de marche no 2
Bataillons de marche no 5

Notes et références
1. Jean Lorotte de Banes, Un Français Libre
parmi 51 897 (http://www.francaislibres.net/li
ste/fiche.php?index=46031) [archive]
2. Ralliement des troupes françaises de Chypre
(http://www.francaislibres.net/pages/sujet.p
hp?id=francelibre&su=100&np=100
8) [archive]
3. Raphaël Folliot (http://www.ordredelaliberatio
n.fr/fr_compagnon/353.html) [archive]
4. Départ de Syrie de la Compagnie Folliot (htt
p://www.francaislibres.net/pages/sujet.php?i
d=francelibre&su=100&np=331&surl=capitain
e%20Folliot) [archive]
5. Paul Jourdier (http://www.ordredelaliberatio
n.fr/fr_compagnon/509.html) [archive]
6. Jean-Claude Laurent-Champrosay (http://ww
w.ordredelaliberation.fr/fr_compagnon/561.h
tml) [archive]
7. de nos jours, respectivement, le Burkina
Fasoet le Ghana
8. Summer et Vauvillier 1998, p. 5.
9. Note de service de l'état-major général
guerre, 1er bureau, no 1682 EMGG/ I (0), Alger,
24 août 1943 : « Les Divisions entrant dans la
composition du Corps Expéditionnaire
Français seront désormais numérotées
conformément au tableau suivant :
2e division Leclerc - 2e Division Blindée - 2e
D.B.
1re Division Brosset - 1re Division Motorisée
d'Infanterie - 1re DMI »
10. Décision no 55/DN/3.S du 27 avril 1944 de
l'état-major de la Défense nationale,
3e section : « Appellation de la 1re DMI
La 1re Division Motorisée d'Infanterie prend, à
dater du 1-5-44, le nom : 1re Division de
Marche d'Infanterie ».
11. Yves Gras, La 1re DFL, p. 334.
12. Gilles Aubagnac, Le retrait des troupes noires
de la 1re Armée, dans la Revue historique des
armées no 2, 1993, pages 34 à 46
13. La guerre en Provence, 1944-1945 : une
bataille méconnue par Paul Gaujac, page 161
14. Jean-François Muracciole, Les Français
libres : L'autre Résistance, Tallandier, 2009
15. Compagnon de la Libération
16. Summer et Vauvillier 1998, p. 19.
17. Le Marec 1994, p. 49.
18. Le Marec 1994, p. 50.
19. Le Marec 1994, p. 52.
20. Le Marec 1994, p. 51.
21. Les fourragères (http://www.france-phaleristi
que.com/fourrag.htm) [archive] sur le site de
france-phaleristique.com
Voir aussi

Bibliographie

Jean de Lattre de Tassigny, Histoire de la


première armée française, éd. Plon, 1949
Annuaire de la 1re DFL, Collectif, 1972
Jean-Noël Vincent, Marcel Spivak et Armand
Léoni, Les forces françaises dans la lutte contre
l'Axe en Afrique: Les Forces françaises libres en
Afrique, 1940-1943, Ministère de la défense,
Etat-major de l'Armée de terre, Service
historique, 1983 (ISBN 978-2-86323-017-6, lire
en ligne (https://books.google.fr/books?id=Vsj
zMcb7xH8C) [archive]).
Yves Gras, La 1re DFL, Presses de la Cité, 1983
(ISBN 978-2-258-01282-0).
(en) Ian Summer et François Vauvillier, The
French Army, 1939-45 (2), Osprey Military,
coll. « Men-at-arms » (no 318), 1998
(ISBN 1-85532-666-3, 978-1-85532-666-8 et
1-85532-707-4,
OCLC
49674512 (https://worldcat.org/fr/title/49674512)
, présentation en ligne (https://ospreypublishin
g.com/the-french-army-1939-45-2-3636
0) [archive]).
Bernard Le Marec, Les Français libres et leurs
emblèmes, Lavauzelle, 1994
(ISBN 978-2-7025-0367-6, lire en ligne (https://
books.google.fr/books/about/Les_Fran%C3%A
7ais_libres_et_leurs_embl%C3%A8mes.html?id
=ROl9AAAAIAAJ) [archive]).
Guy Crissinn, L’Épopée de la 1ère Division
Française Libre par ceux qui en étaient, Amicale
de la 1re DFL, 2010.
Articles connexes

Forces françaises libres (FFL)


France libre
Corps expéditionnaire français 1943-44
1re armée (France 1944-1945)
Bataillon de marche
Régiment de marche

Liens externes

« Le site de l'Amicale de la 1re DFL (http://www.


1dfl.jimdo.com) [archive] »
« Pages sur la 1re DFL dans
www.francaislibres.net (http://www.francaislib
res.net/pages/sommaire.php?id=francelibr
e) [archive] »
« Site sur la bibliographie de la 1re DFL (http://1
dfl.francaislibres.net/index.html) [archive] »
Guillaume Piketty, « Français libres à l’épreuve
de la Libération », Revue historique des armées,
no 245,‎2006, p. 27-35 (lire en ligne (http://rha.r
evues.org/index5442.html) [archive])

Portail de l’Armée française


Portail de la Seconde Guerre mondiale
Portail de la Légion étrangère
Portail de la Résistance française

Ce document provient de
« https://fr.wikipedia.org/w/index.php?
title=1re_division_française_libre&oldid=207871171 ».

La dernière modification de cette page a été faite le 15


septembre 2023 à 18:44. •
Le contenu est disponible sous licence CC BY-SA 4.0 sauf
mention contraire.

Vous aimerez peut-être aussi