Vous êtes sur la page 1sur 8

Introduction

Quel que soit le projet que vous allez entreprendre, sa réussite découlera à la base
d’un bon produit.

Vous pouvez mettre toutes les chances de vos côtés, élaborez la meilleure stratégie de
communication qui peut exister.

Toutefois, si vous n’avez pas le produit qu’il faut, vous êtes comme une proie de vos
concurrences .Au premier produit de substitution venu, vous aurez du mal à faire face à
la menace que cela représente.

Comment concevoir le
bon produit ?

Avant la conception de votre produit ou service, il est tout d’abord nécessaire de vous
poser ces trois questions simples :

Il s’agit de la cible visée. On ne s’adresse pas aux enfants


comme aux adultes ou comme aux personnes âgées et vis
versa. La visualisation de la cible est un bon élément de
départ pour cerner les besoins des personnes qui sont
susceptibles d’acheter votre solution

Une fois que vous identifiez les personnes que vous voulez
satisfaire, intéressez-vous maintenant au quoi
QUOI ? proposer .C’est l’étape dans laquelle vous allez dessinez une
image du produit idéal. Cela est alimenté par le fruit de votre
imagination et des séances de pensée pour arriver à décrire
les caractéristiques du produit en question

Renvoie donc à la manière dont le produit sera conçu. Il


peut s’agit de vous-même par les moyens que vous
COMMENT ? disposez à cet effet ou de déléguer la tâche à un prestataire
.Tout dépend de vos ambitions
Après ces questions, pensez aux points suivants, très importantes !

Commencez par :

 Définir la mission de votre produit


On a toujours rappelé que l’être humain est sur terre pour une mission, le produit
aussi devrait suivre cette logique. Vous construisez le produit est-ce pour sauver le
monde entier, est-ce pour aider la classe défavorisée ou moyenne et dans quelle visée ?
L’objectif ici est de faire ressortir l’impact que vous désirez créer à travers l’utilisation
de votre produit.

 Le pouvoir de construire son produit avec la clientèle visée


Le bon produit le devient après plusieurs versions .Le risque en entrepreneuriat se
résume à ce niveau, si l’on s’enferme pour développer son produit jusqu’à sa phase
finale, on peut se rendre compte qu’il ne répond pas à un problème ou qu’il n’existe pas
de marché. Par conséquent ; c’est la faillite évidement.

La leçon est de lancer le concept assez tôt pour avoir des retours clients pour
l’améliorer .EXEMPLE : Drop box est une startup américaine fondée en 2008 par
DREW HOUSTEN, son histoire a commencée par le fait que son fondateur a à plusieurs
reprises laissées sa clé USB à la maison dans une logique d’oubli. Il décide alors de
créer une plateforme de stockage des données en ligne auxquelles on peut avoir accès à
tout moment avec la connexion internet. Au départ, l’idée n’est pas forcément bien
perçue par la cible qui pourrait être intéressée. Il décide de construire le concept lui-
même et réaliser une démonstration sous forme de vidéo qu’il a publiée pour viser les
communautés qui utilisent plus les outils technologiques. En une seule nuit, le nombre
d’inscrit à la liste qui est intéressé par le prototype (produit en état de création) est
passé de 5000à 75000 personnes. Le produit qui n’est pas encore lancé a déjà conquis
tout un marché en quelques jours.

-Commencé le concept du produit est le meilleur moyen de construire un


business à long terme avec peu de moyens.

 Se baser sur les problèmes qui touchent le quotidien des clients


Trouver un produit qui soigne efficacement le palu, que les gens consomment
d’une façon habituelle n’est pas la même chose que de faire des chaises pour des
gens à la plage . Il y’a des produits mêmes s’il y’a une crise, ils seront consommés
(alimentation ; savon ; produits de santé…) par contre, construire un produit
que les gens achètent quand ils sont en forme est plus difficile à vendre puisqu’il
faut engager un budget conséquent en marketing et les techniques de vente en
générale

 Faire son produit pour soi-même


Il y’a un proverbe africain qui dit « Si vous n’aimez pas vous servir avec un certain plat,
n’essayez pas de vouloir servir les autres avec celui-ci » et c’est évident. Si vous
construisez un produit que vous même vous n’avez pas envie de consommer, d’utiliser, il
s’agit d’un concept que vous avez raté dès le départ.
-Pour construire un bon produit, vous devez être capable de le vendre
aux membres de votre famille sans hésitation parce que vous êtes
convaincus de sa qualité et le bien fait que cela pourra avoir sur eux.
Dans le cas contraire, vos arguments ne seront pas assez solides pour
convaincre les autres de ceux à quoi votre solution est capable
d’apporter dans leur existence

 -Rendre le produit simple d’utilisation


La complexité n’a jamais dominé la simplicité. Un produit difficilement utilisé aura
forcément du mal à s’imposer sur le marché.

A retenir ; vous devez chercher à concevoir un bon produit avant de chercher à bien
le concevoir.si le concept à la base est une solution qui vient résoudre un problème qui
compte pour le monde, vous avez un bon produit et l’étape qui va suivre sera de
chercher à bien le construire ce qui est facile à faire puisque le utilisateurs potentiels
vous aidera à décrire ce qu’il y’a à améliorer.

Ce qui est plus difficile reste à trouver le problème qui compte mais avec des
moments d’imagination et d’observation des faits vous pouvez rapidement passer la
barre et arriver à détecter un concept qui vous apportera de la valeur à long terme

Il est important d’avoir d’abord un produit innovant :

1-Etude de marché : le contexte dans lequel le produit va être vendu

2-Identifier les besoins du marché : basé sur la réalité

3-Partir d’une idée originale : « Brainstorming » basé sur la génération des mots liés à
une idée centrale, ces idées créatives peuvent être créées pour nous aider à concevoir
des idées nouvelles et fraiches pour le produit

4-Déterminer des avantages concurrentiels : le produit doit posséder des attributs qui
le rendent unique sur le marché

5- Evaluer les publics potentiels : les études de marché permettent d’obtenir des
informations sur le comportement du consommateur

6-Segmentation du marché : pour attirer plus facilement et plus rapidement des clients
potentiels
7-Identifier la concurrence : (les entreprises qui développent des produits qui couvrent
ou satisfont les mêmes besoins sur le marché) les concurrences doivent être surveilles
en permanence, en analysant leur évolution et en assurant un suivi afin de déterminer
qu’ils sont les activités qu’ils exercent, la zone géographique qu’Is couvrent et les
avantages différentiels qui les ont positionnés sur le marché

8-Faire un DOFA : méthode d’étude qui permet de spécifier la situation concurrentielle


d’un produit. Une analyse interne contient (les forces et les faiblesses) et une analyse
externe est composée de (opportunités et menace). C’est ce qu’on appelle SWOT

9-Suivi la règle de 4P : Produit ; plaza (la distribution) ; promotion (la


communication) ; prix

10-Peaufiner l’idée : toutes les erreurs commises dans la planification ou l’exécution des
stratégies doivent être examiné et corriger (contrôle de qualité)

11-Lancer le produit

Pourquoi chercher à comprendre son client ?

C’est très simple

Allez-vous cherchez à vendre de la viande à un client végétarien ?

Bien sûr que non, ça n’a aucun sens

Le fait de chercher à savoir ce qu’ils recherchent (vos clients) vous permettra de


proposer à chaque fois ce qui les intéresse.

Comprendre vos clients vous permettra d’optimiser un maximum vos arguments de


vents en vous focalisant que sur ce qui les importe vraiment.

En bref si vous voulez savoir comment comprendre son clt il faut avoir une
connaissance claire de votre niche cela vous permet de connaître les principales
motivations de vos clts et comprendre ce qu’ils recherchent, savoir pourquoi ils sont là.
N’hésitez pas à regarder ce que fond cos concurrents et prendre le meilleur de chacun.
Ensuite, afin d’approfondir vos recherches, il est conseillé de vous mettre dans la peau
de votre clt type

La vente est un ensemble d’échanges entre deux individus afin de


parvenir à une transaction .Ces échanges sont le reflet de chacun des interlocuteurs, de
son état d’âme du moment à sa manière de communiquer.

Chaque vendeur doit comprendre le mode de fonctionnement de la personne en face de


lui afin de définir l’approche commerciale adéquate (le discours, le comportement et la
posture à adopter) et d’appréhender le bon déroulé de sa vente .Il est important d’avoir
toujours en tête la typologie de son client .On ne le répétera jamais assez :
la préparation fait tout dans la vente

1-Le client roi : c’est le clt le plus connu des professionnels du commerce, il est souvent
persuadé d’être votre meilleur clt , c’est le clt le moins facile à gérer.

2-Le client anxieux : c’est le client qui a peur de faire une erreur qui lui coûtera cher et
pour lui, chaque situation présente un danger, il n’a pas de confiance

3-Le client râleur : c’est un lient démotivé, bougon et nostalgique d’un temps révolu,
radoter sur des histoires anciennes. Il connaît tous, a déjà tout vu, tout fait, tout
entendu. Vous lui apprendre quelque chose ? A ca jamais ! Il n’aime pas les vendeurs
et ne passe par eux « que parce qu’il est obligé et qu’il ne peut pas faire autrement »

4-Le client indécis : c’est un client qui ne sait pas ce qu’il veut, il hésite, il recherche la
meilleur solution sans savoir vraiment de quoi il a besoin

5-Le client compréhensif/convivial : parle avec souplesse et emploi des termes positifs,
il est empathique .Avec lui les petits écarts sont tolérables et le rationnel que vous
entretenez est important ; il s’agit sûrement du type de client le plus clément que vous
aurez

6-Le client méfiant : c’est un interlocuteur qui peut vous tourner le dos sans explication,
il peut vous demander des documents, des preuves, à tout moment

7-Le client autoritaire : est habitué à donner des ordres, il souhaite que ses
interlocuteurs obéissent comme des salariés

8-Le client agressif : il n’hésitera pas à vous menacer de contacter la direction si il y a


un problème ;il parle fort mais n’écoute pas ; énonce des critiques ;voir des menaces
pour auto-satisfaire son impatience

9-Le client pressé : il est impatient, veut une réponse rapide et se montre peu souple

10-Le client négociateur

11-Le client frimeur : il adore les dernières innovations et gadgets à la mode, il est
souvent compétitif et cherche à avoir mieux que les autres

Vous aimerez peut-être aussi