Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
A la lumière des supports académiques et de la revue littéraire, nous dirons que le mot « Tiers
Monde » est un terme qui a été utilisé fréquemment vers la seconde moitié du vingtième
siècle pour désigner de façon vague un ensemble imprécis d’Etats dans le monde et certains
des problèmes communs auxquels ils étaient confrontés (Tomlinson, 2003).
Par ailleurs, de plus en plus, le mot est utilisé pour faire référence aux pays en développement
et les pays en voie de développement. Selon Bryant & White (2019), ces pays sont
généralement économiquement sous-développés. Les caractéristiques d'un pays du tiers
monde sont la pauvreté, l'économie agricole, les maladies, les taux élevés de natalité et de
mortalité infantile, la surpopulation, les infrastructures médiocres, les gouvernements
instables, les soins de santé médiocres, les problèmes environnementaux, les personnes non
éduquées, la famine et la mort. Ces caractéristiques sont les premières choses qui viennent à
l'esprit de quelqu'un à propos d'un pays du tiers monde. La plupart des pays du tiers monde
sont situés en Afrique, en Amérique latine et en Asie.
Au fil du temps, l’aide humanitaire, qui était principalement dirigée par le CICR (le
mouvement du CICR), a connu une grande transformation car elle est devenue l’occupation
d’un large éventail d’acteurs divers. L’aide humanitaire sont de nos jours variées et de
nombreux types contraste avec l’approche typique du CICR et de MSF plutôt axé sur les
secours. L’approche moderne réunit plusieurs acteurs de différentes expertises et moyens de
façon concertée pour rendre l’intervention plus efficace.
Bryant, C., & White, L. G. (2019). Managing development in the Third World. Routledge.
Hilhorst, D. Humanitarisme classique et humanitarisme de résilience: donner un sens à deux
marques d’action humanitaire. Int J Humanitarian Action 3, 15 (2018).
https://doi.org/10.1186/s41018-018-0043-6
Tomlinson, B. R. (2003). What was the Third World? Journal of Contemporary History, 38(2), 307–
321. https://doi.org/10.1177/0022009403038002135