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Dérivés AA
(arginine ; ornithine ; lysine ; putrescine ; cystéine, sérine ,
tryptophane, acide glutamique; hisLdine; phenylalanine ;
tyrosine)
Def : Assemblage des AA par des liaison pepLque dans un ordre donné.
STRUCTURE COVALENTE primaire - structure primaire,
• Représente l’ordre d’enchaînement des acides aminés
• La chaine pep&dique avec éventuellement les liaisons covalente qui peuvent s’établir entre les chaîne dans le cas de
molécules pluripep&diques.
• La liaison pep&dique, forte, est responsable.
• Présente des atomes adjacents dans un même plan d'où le fait qu'elle soit coplanaire.
• Possède un caractère de double liaison par&elle par résonance entre deux formes. Ceci lui confére une rigidité
presque complète.
• Les rota&ons sont absentes et il existe donc deux conforma&ons possibles pour la liaison : cis ou trans.
C'est la conforma&on trans qui est observée car favorisée énergé&quement.
o Les mouvements de rota&on restent possibles entre le carbone α et N (Phi)et entre le carbone α et le C (Psi).
❖ Feuillet beta :
• Juxtaposi&on de brins beta Les
brins peuvent être parallèles ou
an&-parallèles (+stable).
o chaîne de conforma&on très
é&rée Forme é&rée
• AA favorisant la forma&on de
feuillets : GLY,VAL,ILE
• Les chaînes sont présentées en
"feuillet plissé" (à prendre au
premier sens topographique),
succession de "toits".
• Les liaisons pep&diques
par&cipent à ce]e ré&cula&on et il
existe de très nombreuses liaisons
hydrogènes entre les brins.
• Après les hélices α, ils dominent dans les structures secondaires des protéine
• Sont très souvent présents dans les feuillets β : Gly, Val, Ile (3 acides aminés apolaires).
✓Coude Beta :
• court (2-4 AA). Peuvent lié des feuillets et des hélices ensemble (feuillet-
coude-feuillet / feuilletcoude-hélice, hélice-coude-hélice)
o Les coudes lient deux brins β an¶lléles.
o Plus ils sont courts, moins nombreuses sont les conforma&ons spa&ales
possibles.
o Pour les stabilisés, il peut y avoir un pont hydrogène entre le premier et
le quatrième acide aminé.
• Les acides aminés bons formateurs de coudes sont Gly et Pro.
• Ces microfibrilles s'associent pour former les grosses fibres des &ssus de
collagène.
• Un être humain de 70kg con&ent environ 12 à 14 kg de protéines dont 6
à 7 kg de collagène.
• Les différents types de collagène sont classés en fonc&on de la nature
des chaînes pep&diques qui forment la triple hélice du procollagène.
o six types différents de chaîne al qui ont une structure primaire
différente. Ces chaînes sont appelées : al(I), al(II), al(III), al(IV), al(V),
al(VI).
o Le collagène de la peau, des os et des tendons, ainsi que le Lssu
cicatriciel, con&ent des hélices triples faites de deux chaînes a 1(1)
et d'une chaîne a2(I).
o Le collagène du carLlage et du corps vitré con&ent trois chaînes a
1(11).
o Les autres collagènes sont cons&tuées par trois chaînes de al(III),
trois chaînes de al(IV) et trois chaînes de a2(IV).
o Certaines autres variétés de collagène sont formées par trois chaînes
de al(III), trois chaînes de al(IV) et trois chaînes de a2(IV).
o On rencontre aussi des
combinaisons de chaînes
al(V), a2(V) et a3(V).
Structures super-secondaires
Elles ne concernent faculta&vement que les protéines globulaires. Celles-ci sont souples et
possèdent des ac&vités très diverses. Les structures (ou mo&fs) super-secondaires correspondent à
des associa&ons caractéris&ques de feuillets et hélices fréquentes.
Le mo&f de "main EF" de la calmoduline est un mo&f super-secondaire hélice-boucle-hélice. La
boucle va loger un atome de calcium. Certaines propriétés biologiques sont liées à ces structures.
Citons également: le mo&f de clé grecque (4 brins β), la fermeture éclair de Leucine (2 hélices α),
le mo&f doigt de zinc (1 boucle, un atome de zinc, 2 Cys + 2His ou 4 Cys), le mo&f brin β- hélice α-
brin β.
La myoglobine est un pigment voisin de l'hémoglobine présent dans une fibre, une fibre musculaire, au niveau du cytoplasme
ou du sarcoplasme.
Solubles dans l'eau, elles sont de forme sphérique. Elles ont une structure beaucoup plus complexe que les protéines
fibreuses mais elles présentent une bien plus grande variété d'acLvités biologiques.
• transporteur, récepteurs , canaux ioniques, liaisons GAP, protéines
d'adhésion cellulaire ...
Elles peuvent être solubles et donc être des protéines circulantes
plasmaLques comme l'albumine, des hormones protéiques comme la LH, des
protéines cytosoliques comme la calmoduline.
• l'hémoglobine et myoglobine .
o L'hémoglobine est un tétramère avec 4 sous-unités, 2 a et 2 p, alors
que la myoglo-bine est un monomère.
o L'hémoglobine s'unit à quatre molécules d'oxygène, une par sous-
unité, alors que la myoglobine, s'unit à une molécule d'oxygène
seulement.
LES
CORRESPONDANCES
CLINIQUES
-
L’anémie a hémaLes falciformes (drépanocytose).
Dans l’hémoglobine mutante des héma&es falciformes (HbS), la valine hydrophobe remplace le glutamate hydrophile en
posi&on 6 sur la chaine de l’hémoglobine A normale.
B. Le scorbut- cause par une anomalie de la synthèse du collagène provenant d’un manque vit.C
1. collagène anormal
2. vit C est nécessaire a l’hydroxyla&on de la proline et de la lysine du l’élabora&on post – traduc&onnelle du collagène.
3. l’hydroxyla&on forme des ponts hydrogène inter chaines qui stabilisent la triple hélice du collagène.
Marie-Océane SEYMOUR 9 sur 28
Biochimie Semestre 1 Sujets 1-8
SUJET 8 : ENZYME (STRUCTURE DE L’ENZYME, LE SITE ACTIF, FORMATION DU COMPLEXE ENZYME -
SUBSTAT, MECANISME D’AUGMENTATION DE LA VITESSE DE REACTION)
I. STRUCTURE DE L’ENZYME
1. Enzymes consistent uniquement en protéines – holoenzymes
2. Enzymes sont composes d'une parLe protéine appelée apoenzyme et un
cofacteur-hétéronymes (forme acLve) (a). Le non-protein-cofacteur est un
ion métallique ,(b) Coenzyme - la non protéique est une vitamine ou une
molécule organique (la faible teneur en protéines) (vit B6, vit B1)
Si elle élimine la protéine non l'ac&vité enzyma&que est perdu.
Apoproteina protéine responsable de la spécificité enzymaLque et le non est
impliqué dans la catalyse.
• L'ac&vité cataly&que de l'enzyme dépend de la structure.
• La reac&on entre le substrat et l`enzyme a lieu au niveau d`un site qui s’appelle le centre (site) ac&f de l'enzyme.
• La structure du centre ac&f de l'enzyme est complémentaire à la structure de l'état de transi&on (le substrat) de se
transformer en produit /produits de réac&on.
CLASSES ENZYMES :
1. Oxydoréductases: oxyda&on-réduc&on de catalyser des
réac&ons ((transfert d'électrons, d’atomes d’hydrogène
ou fixa&on d’oxygène)
2. Transférases: catalyse le transfert des groupes d'un substrat
à un autre substrat
3. Hydrolases: coupe les liaisons chimiques avec l'eau
4. Lyases: nonhydroli&que et catalyse le clivage d'un groupe
sur un substrat pour former une double liaison.
5. Isomerases: catalysent les réac&ons d’un ion de transi&on à
un autre.
6. Ligases ou synthases: catalyse la jonc&on de deux composés
en u&lisant l'énergie libérée par l'hydrolyse de molécules d'ATP.
Discussions:
1.La de faibles concentra&ons de concentra&on en substrat S peut être négligé. Notez que le taux ini&al est directement
propor&onnelle à la concentra&on de substrat.
2. à plus forte valeur substrat de KM est négligeable par rapport à la
concentra&on de S et de vitesse ini&ale est égale à Vmax.
3. v = Vmax / 2
Constant valeurs faibles indiquent une forte affinité de l'enzyme-substrat
Constante des niveaux élevés de l'enzyme indiquent une faible affinité
pour le substrat
L'uLlité praLque de l'équaLon de Michealis-Menten
1. Calcul du chiffre d'enzymes = nombre de molécules de substrat
transformé par mole d'enzyme en unités de temps (disons dans la
sec-1).
2. calcul des enzymes sériques. Quand la vitesse est mesurée à la
satura&on est mesuré la quan&té totale d'enzyme présente dans un
échan&llon biologique
3. inhibiteurs de l'influence de la vitesse de réac&on.
Marie-Océane SEYMOUR 11 sur 28
Biochimie Semestre 1 Sujets 9-15
1. Oxydoréductases: oxydation-réduction de catalyser des réactions (transfert d'électrons, d’atomes d’hydrogène ou fixation
d’oxygène).
2. Transférases: catalyse le transfert des groupes d'un substrat à un autre substrat.
3. Hydrolases: coupe les liaisons chimiques avec l’eau.
4. Lyases: non hydrolitique et catalyse le clivage d'un groupe sur un substrat pour former une double liaison.
5. Isomérases: catalysent les réactions d’un ion de transition à un autre.
6. Ligases ou synthases: catalyse la jonction de deux composés en utilisant l'énergie libérée par l'hydrolyse de molécules
d'ATP.
Classes Enzymes
1. Concentration de l'enzyme-augmentation du nombre d'enzyme augmente le montant des ES et donc la quantité de produit
formé, augmentant ainsi la vitesse de réaction.
2. Substrat de concentration. Quantité d'enzyme dans le corps humain (sauf induction) est relativement constante, la
concentration des substrats varient considérablement. Après combien d'enzymes de modifier leurs activités pour augmenter /
diminuer le montant de substrat peut être:
• Les enzymes qui présente une Michaelis-Menten kinetics,
• Les enzymes allostérique
Discussions :
1. La de faibles concentrations de concentration en substrat S peut être négligé. Notez que le taux initial est directement
proportionnelle à la concentration de substrat.
2. A plus forte valeur substrat de KM est négligeable par rapport à la concentration de S et de vitesse initiale est égale à Vmax.
3. V = Vmax/2.
Constant valeurs faibles indiquent une forte affinité de l'enzyme-substrat.
Constante des niveaux élevés de l'enzyme indiquent une faible affinité pour le substrat.
1. Inhibition réversible
Enzymes allostérique :
Protéines oligomérique, constituées de plusieurs sous-unités identiques ou non. La structure tridimensionnelle présente au
moins un axe de symétrie. Les enzymes allostériques possèdent des sites de fixation spécifiques pour les plusieurs sites de
fixation d’effecteurs allostérique qui sont soit des inhibiteurs, soit des activateurs, et qui n’ont aucune analogie structurale avec
le substrat, puisque ne se fixant pas dans le site actif.
Modèle de Kosland : Chaque sous unité passe individuellement d’un état a un autre. Cependant, le changement d’état d’une
sous-unité influe sur le changement des autres sous unités. Dans un tel modèle, la symétrie de l’enzyme n’est plus conservée, et
les possibilités de formes intermédiaires sont beaucoup plus nombreuses (modèle de coopérativité).
L'hémoglobine constitue un exemple important de protéine allostérique, bien qu'elle ne soit pas une enzyme stricto
sensu mais plutôt une molécule de transport.
Chaque monomère de l'hémoglobine, qui en comporte quatre, peut fixer une molécule de dioxygène. La fixation de la
première molécule de dioxygène augmente l'affinité de liaison de la seconde, la fixation de la seconde augmente l'affinité pour
la troisième et ainsi de suite (coopération positive par effet homotrope).
O2 : Exerce un effet coopératif positif sur sa propre fixation (l'affinité s'améliore avec la première fixation). La courbe sigmoïde
de saturation est une conséquence directe de ce phénomène.
B. Effet de désensibilisation
Le traitement d'une enzyme allostérique par des agents physiques (ex.chauffage) ou chimiques (urée, dérivés mercuriques)
s'accompagne d'une perte de la sensibilité de l'enzyme aux effecteurs allostériques (désensibilisation). Cependant, l'activité
enzymatique persiste. Seul, le site allostérique est détruit. Il en résulte une perte du phénomène de coopérativité et la cinétique
devient hyperbolique.
Enzymes digestives :
- Pepsinogène → pepsine
- Trypsinogène → trypsine
Si l’on s’intéresse au cas du trypsinogène, on remarque qu’une séquence de 6 acides aminés est clivée du côté N terminal
par une enteropeptidase duodénale, ce qui engendre la production de la trypsine active, enzyme chargée d’hydrolyser les
liaisons peptidiques lors de la digestion des aliments.
La trypsine active va alors s’autoactiver sa propre synthèse, mais également le clivage du chimotrypsinogen en chymotrypsine,
ainsi que d’autres clivages (proelastase, procarboxypeptidase).
• L'effet de rétrocontrôle négatif est très souvent rencontré dans les voies
métaboliques. Le produit final de la voie est souvent un inhibiteur
allostérique d'un enzyme catalysant une étape initiale. Plus le produit
final s'accumule, plus la réaction initiale est lente (par diminution de
l'affinité à l'un des réactifs de la réaction) et donc moins de produit sera
formé. Ce type de régulation évite d'accumuler le produit final, qui peut
être toxique dans certaines circonstances et évite à l'organisme de
produire en excès une molécule, ce qui est coûteux en énergie.
L'effecteur allostérique participe à l'autorégulation de la voie
métabolique.
Transporteur de glucose
• GLUT 1 : Neurones = Transporteur érythrocytaire de glucose
• GLUT 2 : Cellules β du pancréas et le foie (Maladie de stockage du glycogène Type I dû à l’absence de GLUT2)
• GLUT 3 : Neurones
• GLUT 4 : Cellules musculaires + Adipocytes
• GLUT 5 : Entérocytes + Spermatozoïdes
Localisation Affinité Commentaire
Phosphohexo isomérase
Fructose6P
ATP
Phosphofructo kinase
ADP Glycolyse - Bilan énergétique :
Fructose1,6bisP Glucose + 2 ADP + 2 NAD+ + 2 Pi
}
Aldolase ➡
2 Pyruvates + 2 ATP + 2 NADH,H+ + 2 H2O
3P isomérase
DihydroacétoneP Glycéraldéhyde3P
NAD+ + Pi
Glycéraldéhyde3P déshydrogénase
NADH,H+
1,3biPglycérate
ADP
Pglycérate kinase
ATP
3Pglycérate
Pglycérate mutase
x2
2Pglycérate
Enolase
H2O
Pénolpyruvate
ADP Carboxylation
Pyruvate kinase
ATP
Pyruvate
NAD+ Lactate DH ATP + CO2 Pyruvate carboxylase
NADH,H+ CO2 ADP + Pi + présence Biotine
Pyruvate DC
Lactate Acétaldéhyde Acétyl CoA Oxaloacétate
NAD+ NAD+ + CoASH Oxaloacétate - Bilan :
Ethanol DH Pyruvate + ATP + H2 + CO2
NADH,H+ NADH,H+ ➡
Oxaloacétate + ADP + Pi
Ethanol Cycle Krebs CRM
Pyruvate + TPP
Pyruvate décarboxylase (E1)
CO2
TPP (régénéré) TPP-Gpe Acétate
Lipoate
Bilan :
Dihydrolipoamide acétyltransférase (E2) Lipoate-Acétyl
Pyruvate + CoASH + NAD+
CoA ➡
Acétyl CoA
Acétyl CoA + CO2 + NADH,H+
Dihydrolipoate + FAD
Lipoate (régénéré) NADH réoxydé par CRM pour produire ATP
Navette Malate-Aspartate
Constituée de 2 cycles liés par les mécanismes : déshydrogénation + transamination.
• Cycle Malate-Oxaloacétate
Oxaloacétate cytosolique passe par
Malate-déshydrogénase pour entrer dans la mitochondrie
selon la réaction :
Oxaloacétate + NADH,H+ ➝ Malate + NAD+.
Une fois dans la mitochondrie grâce au transporteur
malate-cétoglutarate, l’isoenzyme mitochondriale redonne
l’oxaloacétate en inversant la réaction précédente.
• Cycle Glutamate-Aspartate
Par l’action de l’aspartate transaminase, l’oxaloacétate va
pouvoir retourner dans le cytosol en utilisant le
transporteur commun Aspartate-Glutamate.
Une fois dans le cytosol, l’aspartate va être retransaminé
en oxaloacétate par l’ASAT cytosolique.
Les mouvements couplés du glutamate et de
l’alpha-cétoglutarate maintiennent l’équilibre du cycle.
Sujet 19 - NÉOGLUCOGÉNÈSE
• Voie anabolique, permet de synthétiser du glucose à partir de précurseurs non glucidique (AA, Lactate, Glycérol)
• Permet de synthétiser glucose ➝ Maintenir glycémie constante + Assurer l’apport en glucose au cerveau + GR.
• Organes : Foie + Rein
• Lieu : Cytoplasme sauf Pyruvate Carboxylase (mitochondrie)
Acides Aminés
Mitochondrie
Lactate déshydrogénase Pyruvate carboxylase
Lactate Pyruvate Pyruvate Oxaloacétate Malate
NAD+ NADH,H+ ATP ADP
Pi
Pénol Pyruvate carboxykinase
Lieu : Cytosol Pénolpyruvate Oxaloacétate Malate
GTP GDP
Enolase H2O
CO2
2Pglycérate
Glycérol
Pglycérate mutase
ATP
Glycérol kinase
ADP 3Pglycérate
Glycérol3P ATP
Pglycérate kinase
ADP
NAD+
NADH,H+ 1,3biPglycérate
NADH,H+
Glycéraldéhyde3P déshydrogénase
NAD+ + Pi
DihydroacétoneP Glycéraldéhyde3P
3P isomérase
Aldolase
Fructose1,6bisP
H2O
Fructose1,6bisphosphatase
Pi
Fructose6P
Bilan :
Phosphohexo isomérase 2 Pyruvates + 4 ATP + 2 GTP + 2 NADH,H+ + 4 H2O
➡
Glucose6P Glucose + 4 ADP + 4 GDP + 2 NAD+ + 6 Pi
Glucose6Phosphatase
H2O 12 ATP ➝ 1 Glucose
Foie + Rein Pi
Glucose
Dégradation du Glycogène
1. Glycogène phosphorylase Glycogène
Pi
Glycogène phosphorylase
Glycogènen-1
2. Transférase et Glucose1P
Enzyme débranchante
Phosphoglucomutase Activité Transférase + Glucosidase de l’enzyme débranchante
3. Conversion Glucose6P
Voie des Pentoses Phosphates
Foie
Pyruvate H2O
Ribose + NADPH,H+
Glucose6Phosphatase
Glycolyse Enz abs Muscle + Cerveau Pi
➝ Glucose peut pas en sortir
Glucose
Bilan :
Dégradation du Glycogène ➝ Pas de coût d’énergie
≈ 95-99% Glucose6P
Anaérobie Aérobie Sang + Utilisation par d’autres Tissus
Synthèse du glycogène
Synthèse - Bilan :
Glucose6P ➝ Glucose1P
Glucose1P + UTP ➝ UDP-Glucose + PPi
Glucose
PPi + H2O ➝ 2 Pi
UDP-Glucose + Glycogène ➝ Glycogènen+1 + UDP
UDP + ATP ➝ UTP + ADP
Glucose6P
——————————————————————————————
Glucose6P + ATP + Glycogène + H2O ➝ Glycogènen+1 + ADP + 2 Pi
Irréversible
Glucose1P
UTP H2O
UDP-Glucose pyrophosphorylase
PPi
UDP-glucose 2 Pi
Glycogène
Glycogène synthétase
UDP
Glycogènen+1
Dégradation - Bilan :
90% résidus dégradés sans dépense d’énergie
10% résidus clivés aux sites de branchement ➝ 1 ATP pr phosphoryler en Glucose6P
Conclusion - Bilan :
- 1 ATP pour stocker 1 Glucose6P
- Oxydation totale : 1 Glucose6P ➝ 37 ATP
- Rendement énergétique très élevé
- Rendement mise en réserve ≈ 97 %
Hypoglycémie
Foie Acidocétose
Type I Von Gierke Glucose-6-Phosphatase
Rein Hyperucémie
Hyperlipidémie
Lysosome
Type II Pompe Gluc𝛼(1-4)lys Tous Normoglycémie
Insuffisance cardiaque
Accumulation polysaccharides,
Foie peu de branchement ➝ Cirrhose
Type IV Andersen Abs Enzyme branchante
Rate = Défaillance hépatique ➝ Mort
av 2 ans
Lactate bas
Type V Mcardle Phosphorylase Muscle
Ap exo ➝ Fatigue musculaire
Tendance à Hypoglycémie
Type VI Hers Phosphorylase Foie
(comme Type I en - prononcé)
Hypertrophie Foie
Type VIII Phosphorylase Kinase Foie
Hypoglycémie modérée
Galactosémie congénitale
Galactose + ATP ➝ Glucose1P + ADP + H+
Galactose1P-uridyl transférase : absente ou inactivée
Nourrissons ne se développent pas, vomissements,
diarrhées, retard intellectuel irréversible
⇨ Suppression totale du galactose dans
l’alimentation