Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
La stratégie : acte de déterminer les finalités et les objectifs fondamentaux à long terme de
l’entreprise et de mettre en place les actions et d’allouer les ressources pour atteindre lesdites
finalités
- L’exigence de productivité
Productivité = gestion optimale des facteurs de production afin de réduire les couts de revient et par
conséquent le prix des produits
- Qualité
- L’exigence de flexibilité
- L’exigence d’innovation
• 4 types d’innovations
- de produit ou de service = Innovation « pull and push ». pull créer un produit en fonction des
besoins des consommateurs. push développement d’un ancien produit en améliorant ses
capacités
- de procédé
- relatives à l’organisation du travail
- sociales.
La recherche de la sécurité
- Les crises organisationnelles : Une crise est définie comme une situation soudaine et
imprévue qui conduit au chaos et à l’anxiété des employés sur le lieu de travail
- Les crises politiques et économiques : chute de la consommation de l’entreprise
- Les crises humaines et sociales : ne pas trouver des salarier nécessaire ou conflits entre les
travailleurs
- Les crises d’inspiration sociétale : les mouvements sociaux
• Corporate strategy = c’est l’ensemble des décisions et actions qui détermine l’entreprise sur le LT
• Business strategy = au niveau des activités, analyse de la valeur des activités et de la position des
concurrents (identification des facteurs clés de succès).
• Marketing strategy = décisions et actions sur les segments de marché de l’entreprise (4P) :
- Politique produit → définition des caractéristiques des produits et services, cycle de vie,
image perçue par le consommateur
- Politique prix → détermination du prix par rapport à la concurrence
- Politique de distribution → Comment et où le produit est distribué
- Politique de communication → publicité, promotion et relation publique
Les décisions stratégiques sont prises en se basant sur une analyse d’entreprise (détecter les
menaces/opportunités/les forces et les faiblesses) et sur le champ des possibilités (principaux atouts
et la meilleure façon d’y parvenir.
Un objectif stratégique est l’affirmation spécifique d’un résultat attendu, qui oriente, sur une action
ou un projet donné, la politique de l’entreprise et qu’il est possible de mesurer ou d’observer sur une
période donnée.
Les caractéristiques
Amélioration interne
La viabilité de l’e à LT
- De ressources suffisantes
- D’une capacité d’adaptation suffisante
- D’une capacité à gérer les risques spécifiques à son activité suffisante
- Stratégie internationale : exportation de l’offre définie (produit et/ou service) sur le marché
d’origine par déplacement de prestataires ou par des partenaires locaux.
- Stratégie multidomestiques : implantation de la firme dans un pays étranger, où chacune des
filiales implantée dispose de sa propre stratégie définie en fonction des besoins locaux.
- Stratégie mondiale : adoption d’une approche globale des marchés. Tendance d’une
entreprise à unifier sa gamme de produits sur tous ses marchés nationaux et centralise son
activité de R&D, coordonne sa politique commerciale et optimise son organisation
internationale de la production (cf. BIC). Autre point, les activités de production sont répartis
dans différents pays et où chacune est spécialisée dans la fabrication d’un élément.
- Stratégie transnationale : consensus entre stratégie mondiale et multidomestique. Cette
stratégie consiste à adapter les produits aux besoins locaux mais avec une identité de
marque commune (cf. IKEA & Macdo) → « Think global and act local !
La joint-venture : est un contrat de collaboration entre deux ou plusieurs entreprises dans le but de
mettre en commun une stratégie (mutualisation des coûts et des risques)
Trouver des partenaires des alliées ou acheter les entreprises concurrentes dans le but de mieux
contrôler le marché
CM3
La mission ou vocation de l’entreprise : reflète les finalités de l’e et renvoie aux orientations
générales de l’organisation, ses métiers et son identité
On se pose 3 questions
- Qui sommes-nous
- Que savons nous faire
- Que voulons nous faire
La mission sert à définir en quelques lignes : la vision de l’entreprise, ce qu’elle fait et ce
qu’elle souhaite réaliser.
Un Domaine d’Activité Stratégique (de l'anglais « strategic business unit) : est un terme utilisé pour
décrire une entité ou une unité gérée de manière indépendante au sein d'une grande entreprise. Les
DAS d’une entreprise on souvent les mêmes facteurs clés de succès.
Les Facteurs clé de succès (FCS) : sont l’ensemble des critères que les entreprises q’un secteur
doivent impérativement maîtriser, pour rester compétitives.
Les FCS :
La segmentation marketing aide l’organisation à connaître son marché et à définir les prospects et
clients à cibler. Celle-ci repose sur l’arbitrage des caractéristiques des individus et de leur division en
sous-ensembles homogènes et distinctifs (segments). Dans le but de permettre à l’organisation de
diriger les effets marketing vers une cible cohérente et de répondre aux attentes de ce segment
Dans le but de s’adapter aux besoins aux attentes et aux intérêts des individus en fonction de
ces caractéristiques
Un groupe stratégique consiste à réunir les organisations dont les caractéristiques stratégiques sont
semblables, qui suivent des stratégies comparables ou qui s’appuient sur les mêmes facteurs
concurrentiels.
Cela revient à cartographier les organisations présentes sur un marché, réparties selon similarités et
les avantages de leur stratégie
Dans le but d’identifier les concurrents directs et les opportunités (océan bleu rouge gris)
Liste non exhaustive, l’important étant de choisir 2 critères qui distingue bien les concurrents
afin de maximiser les contrastes et en minimisant les corrélations entre les facteurs
La stratégie d’océan bleu : elle consiste à « arrêter » l’affrontement direct avec les concurrents et à
se créer un espace pérenne et rentable. => innovation
La stratégie d’océan rouge : consiste à évoluer dans un marché existant où règne la concurrence. Le
concept s’apparente aux principes classiques du marketing et de la concurrence, mais dans un
marché saturé=> prix qualité et service
La stratégie d’océan gris : consiste à se placer sur un marché dont la concurrence n’est pas très forte
et le marché est accessible pour les nouveaux entrants=> prise de risque
CM4
La stratégie de domination par les coûts consiste à proposer une offre dont le coût est inférieur à
celui de la concurrence, dans le but d’accroitre ses parts de marché.
Cette stratégie nous permet d’avoir une forte rentabilité et une positionnement prix mais on a aussi
des risques de changement technologiques, incapacité à détecter les changements à apporter et
logique destructrice de marge
Dans le but de supprimer les variations dans les processus et méthodes de travail
opérationnels (la source d’erreur
Cela permet également un gain de matière de temps et plus généralement de ressources
La standardisation d’un produit revient à ramener un produit, ou une production à une norme, à un
modèle unique ou à un petit nombre de modèles aux caractéristiques bien définies.
Selon Levitt (1983), la standardisation est une stratégie de marketing international consistant pour
une entreprise à proposer un produit aux caractéristiques identiques aux différents segments de
consommateurs, pour répondre à des besoins homogènes.
Les novateurs/ développement : sont les plus sensibles à l’innovation. Ils sont à l’affut du
changement et partagent leur expérience avec d’autres individus.
Les premiers adoptants/ démarrage : sont également friands de nouveauté et se laissent très vite
convaincre par les précédents.
La majorité précoce / croissance : est constituée de clients qui attendent les retours d’expérience
des premiers avant de faire le pas.
La majorité tardive/ maturité : attend qu’une large part de la population donne des preuves de
l’intérêt de cette nouvelle technologie
Les retardataires/ décline : sont constitués des personnes qui perçoivent le changement comme une
menace. Ces personnes ne se laissent convaincre que si les avantages de la nouveauté sont très
largement supérieurs aux avantages de l’ancien produit/service.
Les inconvénients : risque d’imitation risque conjoncturel recherche d’un surprix juste nécessité de
protection (brevet)
Pour réussir une stratégie de différenciation, les facteurs de différenciation doivent être :
- Significatifs
- Economiquement viable (demande suffisante)
- Défendable sur le long terme
Les caractéristiques
La différentiant par le bas ou épuration, repose sur la suppression de prestations non valorisées par
la clientèle visée, permettant à l'entreprise de proposer un prix beaucoup plus bas que celui de l'offre
standard (exemples : le low-cost dans le transport aérien, le hard discount dans la distribution).
Inconvénients : risque d’imitation et risque de guerre des prix nécessité de veille concurrentielle et
adaptation de l’offre
Consiste à chercher un avantage en ayant les coûts les plus bas dans le segment cible.
Consiste à se différencier dans le segment cible en tirant parti de ses besoins spécifiques.
La pénétration du marché : cette stratégie consiste à augmenter les ventes de ses produits / services
sur un marché existant.
L'extension du marché : consiste à identifier et à exploiter de nouveaux marchés pour les produits
existants
Le développement de produits : consiste à développer des produits nouveaux qui s’adressent aux
marchés existants
La diversification : est une stratégie qui vise de nouveaux marchés avec de nouveaux produits. Elle
peut prendre deux RISQUE formes, concentrique ou conglomérale.
Risques :
Diversification conglomérale : « Il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même
panier » Développement d’activités n’ayant aucun lien entre elle. Cette stratégie a
pour objectif de limiter les risques et d’éviter le phénomène de contagion en cas de
problème sur une activité
Intégration verticale : désigne l’achat des entreprises dans des secteur complémentaire de l’activité
principal.
Intégration horizontale : achat des entreprise concurrents dans le même secteur d’activité
• La politique de R&D
L’entreprise se développe par autofinancement (CA), augmentation de son capital (apport financier
du PDG et/ou des associés) ou encore par un emprunt bancaire.
La croissance externe
La croissance externe correspond au développement de l’entreprise par association à d’autres
entreprises.
o Fusion-création (A+B = C)
o Fusion-absorption (A+B = A)
o Prise de participation
Sur le plan financier les moyens d’y parvenir sont les OPA et OPE (Offre Public d’Achat/Echange).
La croissance conjointe
La croissance conjointe consiste pour une entreprise A à coopérer avec une ou plusieurs entreprises
(B,C,D) tout en restant juridiquement indépendant, autour d’un projet commun.
• Etabli par un accord entre les parties, chacune des parties engage une partie de ses ressources pour
aboutir à la réussite de ce projet
Analyse interne
• Outils/analyses : La Chaîne de valeur de PORTER, SWOT, l’approche par les ressource de PENROSE,
le concept de compétences fondamentales de HAMEL et PRAHALAD, la matrice BCG,
Analyse externe
Objectif : mettre en avant la chaine de valeur de l’organisation et identifier les activités créatrices ou
destructrices de valeurs.
CM 6
Objectif : mettre en avent la chaine de valeur de l’organisation et identifier les activités créatrices ou
destructrices de valeur pour l’entreprise
• La logistique externe : c-a-d les activités liées à la distribution physique des produits finis
(traitement des commandes, expédition) ;
• Le développement technologique, ou R&D : c-a-d l’ensemble des actions qui visent à améliorer le
produit et le processus de production ;
• La gestion des ressources humaines : c-a-d le recrutement, la formation, la gestion des carrières, la
rémunération, la motivation et le bien-être des salariés ;
Outil PESTEL
1. L’environnement Politique Les facteurs politiques montrent à quel point le gouvernement
influence l’économie dans l’analyse PESTEL. Le gouvernement peut avoir une influence
majeure sur la santé, l’éducation et l’infrastructure d’un pays. Le dirigeant peut se poser
plusieurs questions: subventions réglementation etc.
2. L’environnement Economique Ce sont des facteurs qui ont une influence majeure sur les
opérations commerciales. Les décisions importantes des entreprises dépendent en effet le
plus souvent des facteurs économiques. Il est alors essentiel de se poser plusieurs questions:
croissance éco niveau de chômage
3. L’environnement Socioculturel Ces facteurs influent sur la demande de produits et de
services d’une organisation, et sur leur façon de les gérer. Les changements dans les facteurs
sociaux peuvent apporter des changements dans les opérations commerciales. Ces facteurs
prennent en considération les évolutions diverses des populations et de ses caractéristiques
(démographie, âge, courant de pensée). Le dirigeant d’une entreprise peut là encore se poser
plusieurs questions: Evaluation des revenus, mon produit trouvera des clients
4. L’environnement Technologique Les coûts et la qualité des produits et services sont
influencés par des facteurs technologiques. L’innovation découle souvent de limitations ou
de progrès dans ces facteurs. Le dirigeant doit se poser les questions suivantes
5. L’environnement Ecologique : L’environnement est un facteur de plus en plus important
pour les entreprises. Le respect de l’environnement et du développement durable est
désormais impératif. L’évolution des mentalités (également rattachable à l’environnement
socioculturel) a fait que l’écologie et les questions environnementales sont de plus en plus
importantes dans la stratégie marketing des entreprises. En effet, les questions de
développement durable sont désormais un impératif pour les entreprises. Questions se
lancer dans le DD ou pas ? l’entreprise respecte t elle ses engagements écologique
6. L’environnement Légal Le droit et son respect influent grandement les décisions prisent en
entreprise. La conduite du changement se fait toujours en fonction du droit local, mais aussi
international. La législation et les règles de droit impactent fortement les entreprises. Leurs
stratégies doivent prendre en compte le droit actuel et futur du département ou du pays en
question, sans oublier le droit international. Questions mes activités respecte les nouvelles
lois mon produit rentre dans le cadre de la loi
- Le macro-environnement
- Les frontières de l’industrie
- La dynamique de l’industrie (cycle de vie=> le développement=>
croissance=>maturité=>déclin )
- La structure de l’industrie
1)Intensité de la concurrence ;
• Les nouveaux entrants comparent les couts d’entrée aux profits espérés si ils entrent sur cette
industrie
• Les barrières à l’entrée réduisent les menaces de nouvelles entrées et rendent une industrie plus
attrayante
Economie d’échelle: les entreprises qui ne peuvent pas produire le minimum pour réaliser des
économies d’échelle ne pourront pas rentrer sur l’industrie
• Différenciation des produits: les nouveaux entrants sont obligés de convaincre la clientèle avec un
produit fort pour « casser » la fidélité client
• Avantages de couts: technologie brevetée, savoir-faire managérial, accès aux matières premières,
cout de la courbe d’apprentissage.
• Politiques gouvernementales: peuvent imposer des restrictions sur l’industrie ou octroient des
monopoles
Les produits de substitution répondent au même besoin mais d’une manière différente
Les substituts créent un appel de prix car les consommateurs vont se tourner vers un substitut si le
prix du produit de l’entreprise augmente
- Peu de fournisseurs
- Produits fortement différenciés
- Absence de substitut proches de ceux du fournisseur
- L’entreprise n’est pas un client important du fournisseur
Le pouvoir de négociation des clients peut « comprimer » les profits de l’entreprise en demandant
des prix bas et/ou des niveaux de qualité élevés.
• Organisations dans une industrie ayant des caractéristiques stratégiques similaires, suivant des
stratégies similaires ou en compétition sur des bases similaires
• Ces caractéristiques sont différentes de celles des autres groupes stratégiques de la même
industrie
Les ressources peuvent être définies comme des actifs détenus par l'entreprise qui lui permettent de
développer des stratégies susceptibles d'améliorer sa performance
1) Ressources tangibles
- Les ressources physiques : âge, localisation, évolution technologique, …
- Les ressources financières : les résultats de l’E, sa rentabilité, son niveau d’endettement, ses
sources de financement, …
- Les ressources humaines : l’effectif des salariés, la pyramide des âges, le niveau de
qualification et les compétences des salariés.
2) Ressources intangibles
- Les ressources technologiques : brevets, licences, dépenses en R et D…
- Les ressources organisationnelles : savoir-faire, structure de l'entreprise, flexibilité…
- Les ressources mercatiques : la notoriété et l'image de marque des entreprises.
3) Ressources stratégiques
- Leur valeur pour le client
- Leur exclusivité pour l'entreprise
L’identification permet à l’entreprise :
• De savoir quelles sont celles qui constituent une force pour obtenir et conserver un avantage
sur ses concurrents
D’abord il faut identifier les ressources tangible et intangible puis faire une analyse et trouver les
ressources stratégiques (trouver les forces et les faiblesses de l’organisation)
Cas BIC
- le processus productif (qualité, flexibilité, coût, rapidité d’exécution, respect des délais…)
- le processus d’accès au marché (marketing/communication, commercialisation, distribution,
logistique…)
- Ou la capacité de l’entreprise à différencier son produit ou son service (grâce à une fonction
particulière)
Les compétences doivent
- permettre à l'entreprise de saisir une opportunité ou d’échapper à une menace
- ne doit pas être détenue par un grand nombre de concurrents réels ou potentiels
- doit être difficilement imitable par les concurrents actuels ou potentiels
L’universalisation : diffuser leurs produits dans le monde entier => comprendre les valeurs les besoins
des clients.
Modèle de VRIO
VRIO est l'acronyme de :
On se pose la question : quelle est la valeur apportée par cette ressource ou compétence ?
- Cette étape consiste à vérifier si les ressources et compétences analysées créent de la valeur
pour l'entreprise ET pour le client.
- Pour l’entreprise, il faudra se poser la question « Est-ce que cette compétence ou ressource
permet d’exploiter une opportunité ou bien de maîtriser une menace ? »
- Pour le client, il faudra se demander « Est-ce que cette ressource ou compétence apporte un
rapport qualité/prix optimal, en jouant sur l'un ou l'autre ? »
les ressources et compétences sont rares lorsqu’elles sont détenues par un, ou très peu d'acteurs sur
un secteur d'activité et difficilement obtenables.=> savoir-faire unique ou brevet
Neutralité compétitive : ressource ou compétence qui apporte de la valeur sur un marché, mais ne
permet pas de se distinguer de la concurrence.
Avantage compétitif non utilisé : malgré toutes les vertus possédées (création de valeur, rare,
difficilement imitable) si l'organisation n'est pas en mesure de tirer le meilleur de cette ressource ou
compétence, elle perd de son intérêt.
L’objectif de ces outils → proposer des suggestions afin de permettre une allocation optimale des
ressources entre les DAS afin d’acquérir une position concurrentielle globale.
La décomposition des DAS → afin de procéder à des logiques d’arbitrage entre les DAS.
Le croisement des deux dimensions suivantes → l’attrait des différentes activités & la position
concurrentielle de l’entreprise par activité.
La différence de ces matrices → La manière d’évaluer ces deux dimensions (l’attrait des différentes
activités & la position concurrentielle de l’entreprise par activité)
Attrait des activités = Taux de croissance du marché
Permet de comprendre quelles sont les produits rentables pour l’E et lesquels abandonner
• La position concurrentielle = mesure de la force de l’entreprise à gérer les FCS du DAS analysé
- L’évaluation de la position concurrentielle repose sur différents critères tels que : la qualité
de l’outil de production, l’intégration amont-aval, la couverture géographique, l’image de
l’entreprise, la structure de financement, la qualité de distribution, de R&D, ou encore de la
gamme de produit
- L’évaluation de l’attrait de l’activité repose sur différents critères :
o Valeur intrinsèque : le taux de croissance du DAS, le niveau des prix,, la taille du
segment, le degré de fidélisation des clients, …
o Valeur extrinsèque : le potentiel de gain de productivité, les risques de substitution
des produits/services, les barrières à l’entrée, les facteurs économiques,
technologiques, politiques, sociaux et industriels.
Les critères retenus peuvent donc être différents selon l’E analysée
Les critères peuvent être modifiés dans le temps en fonction de l’évolution de l’environnement et de
l’E
Avantages : plus réaliste que la matrice BCG à travers l’éventail de segments stratégiques possibles et
permet de prendre en compte l’intérêt stratégique de l’E analysée.
- En se basant sur 2 principaux facteurs : les atouts de l’E par rapport à la concurrence
(avantages significatifs et distinctifs) & la capacité de ‘E à maintenir durablement sa position
(avantages concurrentiels durables)