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Préparé par :
Encadré par :
Pr. Ali BOULARBAH
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Tables des matières
Introduction .............................................................................................................................. 1
Principe ..................................................................................................................................... 2
Résultats ................................................................................................................................... 2
Interprétation ........................................................................................................................... 2
Principe ................................................................................................................................................ 2
Résultats ............................................................................................................................................... 3
Interprétation ...................................................................................................................................... 4
Principe ................................................................................................................................................ 4
Résultats ............................................................................................................................................... 4
Interprétation ...................................................................................................................................... 5
Conclusion ................................................................................................................................ 6
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Introduction
Dans les sols, les microorganismes les plus abondants sont aussi les moins visibles (<100 µm) :
les micro-organismes composés des bactéries, champignons, algues et protozoaires.
Dans les sols, il existe une diversité d’espèces de bactéries extrêmement forte de l’ordre de
un million d’espèces par gramme de sol. Elles peuvent être classées de plusieurs manières :
sur la base de leurs caractéristiques (morphologie, métabolisme, ressources nutritives…), sur
la base de leur génome ou par grandes catégories de fonctions. En effet les bactéries qui
sont Classifiées en groupes physiologiques présentent toutes la même aptitude à se
développer dans un environnement bien précis et à y mener à bien le même type de
réaction biochimique. Cette classification a été et est encore très largement utilisée pour la
description des paysages bactériens dans le sol. Ce travail est consacré d’étudier six groupes
les plus important qui intervenant dans le cycle de carbone et d’azote dans un sol
rhizosphérique et non rhizosphérique,
Dans cette optique notre travaille s’intéresse sur l’évaluation de la qualité microbienne de
deux type de sol ; le sol rhizosphérique et non rhizosphérique qui à l’entoure de deux
différents espèces, le gazon et la menthe, en mesurant quelques activités microbiennes tel
que solubilisation de phosphate inorganique et dosage enzymatique de déshydrogénase
et la phosphatase et aussi pouvoir faire une comparaison entre les deux types du sol aussi
bien entre les espèces.
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Test de solubilisation des phosphates inorganiques sur milieu solide :
Principe :
Ce test permet d’évaluer la capacité des bactéries à solubiliser les phosphates sur milieu de
Pikovskaya (PVK). Ce milieu de base est préconisé pour l’isolement des microorganismes
solubilisant les formes de phosphates insolubles contenant du Ca3(PO4)2 comme seule source
de phosphate.
La capacité de solubilisation des phosphates est testée selon la méthode décrite par
Nautiyal (1999). Un volume de la dilution des solutions mères du sol 10-2 et 10-3 contenant des
bactéries est déposé à la surface de la gélose PVK par méthode d’étalement. Après
incubation à 30°C pendant 7 jours, un halo de transparence apparait autour des colonies
ayant la capacité de solubiliser les précipités de phosphates.
Résultats :
Interprétation :
On peut voir même l’effet de l’espèce sur l’abondance de ces bactéries, tel que le sol
rhizosphérique du gazon abrite presque 2 fois plus les bactéries fixatrices du phosphate tri-
calcique que le sol rhizosphérique de la menthe.
Principe :
Ce test permet de testé la classe des phosphatases acides à pH 4. Le substrat utilisé pour la
réaction est le para-NitroPhenyl Phosphate (pNPP) à 1 % qui est incolore. Ce substrat vas
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subir une déphosphorylation par les phosphatases présentent dans le sol. L’hydrolyse du
pNPP conduit à la formation du para-NitroPhényl (pNP) qui a une coloration jaune.
Résultats :
Tableau Densité optique et activité des phosphatases pour chaque sol en µg pNP/g sol sec/h.
= 0,372/0,0497
= 7,48 µg/ml
Donc : 7,48 µg → 1 ml
Et on a pris au préalable 2g de sol frais qu’on a séché dans l’étuve pour avoir son poids sec
qui est de 1,78g
X → 2 g sol frais
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D’où : X = (3,74 x 2)/0,1 = 74,8 µg/2 g sol frais
Interprétation :
Pour le gazon on observe une concentration de produit élevée par rapport au sol non
rhizospherique ce qui montre que les exsudats racinaires acidifient le milieu et créent un
environnement favorable qui augmente l’activité des phosphatases acides.
Pour la menthe on s’attend à avoir une concentration de produit élevée par rapport au sol
non rhizospherique mais on a trouvé le contraire et cela est dû probablement a une fausse
lecture de DO ou bien les exsudats de la menthe ne créent pas un environnement favorable
pour les phosphatases.
Principe :
Ce test est basée sur l’utilisation des sels de tétrazolium comme le triphényle térzolium
chlorure (TTC). TTC est réduit par les déshydrogénase en triphényle formazane (TPF) qui a une
coloration rouge.
Résultats :
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Tableau Densité optique et activité des déshydrogénases pour chaque type de sol en mg TPF/g sol sec/h.
= 0,7415/0,0233
= 31,82 µg/ml
Alors 31,82 µg → 1 ml
Donc on a : 1g → 1 ml
Et on a pris au préalable 2g de sol frais qu’on a sécher dans l’étuve pour avoir son poids
sec qui est de 1,78g
X → 2 g sol frais
= 0,035 mg/g/24 h
Interprétation :
Pour cette manipulation on s’attendait que l’activité deshydrogénase soit plus importante
dans les sols rhizosphériques que dans les sols non rhizosphériques pour les deux espèces,
mais les résultats de l’expérience montrent le contraire. Cela peut-être expliqué soit par des
erreurs de manipulation, ou bien peut-être les deux sols qu’on a récoltés appartiennent au
même type du sol, en supposant que les deux sols s’agissent soit d’un sol rhizosphérique ou
bien les deux sols sont non rhizosphérique.
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Conclusion
Ce travail s’intéresse sur l’évaluation de l’activité microbienne du sol qui est un indice de la
qualité du sol. Les résultats obtenues montrent que les bactéries qui possèdent la capacité
de solubiliser le phosphate inorganique présents dans le sol rhizosphérique des deux espèces,
ce qui est expliqué par la disponibilité de leurs nutrition dans cette zone mais ces bactéries
ont aussi un effet positif sur la plante puisque ils rendent la matière minérale bio-disponible.
Donc les rhizobactéries peuvent être considérée comme des biofertilisant de la plantes.
Dans le cas des déshydrogénases Les résultats obtenus montrent l’inverse de ce qui est
attendu et cela peut être expliqué par un effet de l’espèce ou par une erreur de la
manipulation.
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