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CHAPITRE I : GENERALITE

PB

HC CO CN CS COM

indole hydrogène thio


acide mercaptan sulfure (asphaltènes
saturé insaturé cabazole sulfurique ciclique
naphténique R-SH R-S-R' )
pirrole H2S R--S-R'
pirridine
vanadium
paraffines naphtènes oléfines aromatiques nickel
plomb

n-para iso-para cyclique

linéaire ramifié
CHAPITRE II : FRACTIONNEMENT OU DISTILLATION
DU PETROLE BRUT
Séparation du pétrole brut en plusieurs coupes pétrolières. Une
coupe pétrolière est un mélange plus simple, constitué de
produits aux caractéristiques homogènes.
On distingue 3 types de distillation :
A- LA TRUE BOILING POINT (TBP)
Elle se fait au laboratoire et n’est pas complémentaire aux
autres distillations. Elle permet de connaître le rendement des
différentes coupes pétrolières.
Qcoupe
r=
Q brut

Q :débit (t /h)

Le rendement se détermine sur une courbe TBP avec en


abscisse les % vaporisés et en ordonné les T.
∑r=1
2 critères majeurs permettent de juger la qualité du pétrole :
- La densité : lourd, léger, moyen. Le pétrole léger est
préféré
- Teneur en S
B- LA DISTILLATION ATMOSPHERIQUE (DAT)
Elle réalise la 1ère séparation du pétrole brut et permet
d’obtenir différentes coupes pétrolières dans une même
colonne appelée colonne de la DAT en soutirage multiple.

COLONNE DE LA DAT

MODE OPERATOIRE DE LA DAT


Le brut chauffé à la température de transfert (350°-380°C) est
introduit dans la colonne par la zone d’expansion (de détente).
Un flash est créé (séparation des phases liquides et gazeuses).
Les gaz montent dans la colonne puis en se refroidissant, les
liquides descendent progressivement vers le fond ou la
pression est autour de 1,8 bar. La colonne est constituée de
trois niveaux :
- La zone d’expansion : endroit ou entre le brut à traiter
- La zone de rectification : c’est la partie ou se fait toute les
séparations (gaz-liquide)
- La zone d’épuisement : partie où se dépose le résidu
Les coupes sont traitées afin d’éliminer les constituants trop
volatiles d’où le rôle du stripage.
II- ECHANGEUR
Appareil tubulaire dans lequel un fluide chaud transmet tout
ou partie de sa chaleur à un fluide froid. Un fluide chaud ou
caloporteur est tout fluide qui permet le préchauffage du brut
dans un échangeur :
- Gaz + essence
- Kérosène
- GO
La transmission de chaleur dans un échangeur se fait par :
- Convexion : déplacement d’une masse du corps avec sa
chaleur
- Conduction : transfert par contact de molécules
- Rayonnement : le corps est réchauffé par la lumière qu’il
absorbe
Le brut circule de façon latérale.
1- EQUATION THERMIQUE DE L’ECHANGEUR
Qb ×C Pb × ∆T ( T f −T i )=Q FC × C PFC × ∆ T ( T i−T f )

2- EQUATION FONDAMENTALE DE
L’ECHANGEUR
Q=U . S . ∆ TLM . F

Q : débit de charge (t/h)


U : coefficient de transfert global de l’échangeur (w/m2 °C ou
kcal/°C/m2)
ΔTLM : différence de température logarithmique moyenne de
l’écart ΔT entre l’entré et la sortie de l’échangeur (°C)
S : surface d’échange (m2)
F : facteur de correction de la ΔTLM = 1
°F= 1,8 ×°C+32 ou °K=°C+273,2
3- PARAMETRES DE SUIVI D’UN ECHANGEUR
Il faut suivre 2 paramètres importants :
- Calculer le coefficient global de transfert U, donnée par
la relation
Q
U=
S ∆ TLMF

- Calculer les résistances à la :


o Convection du fluide chaud
1
R 1=
h1

o Conduction de la paroi :
eP
Re =
∝P
o Convection du fluide froid :
1
R 2=
h2

h2 :coefficient de transfert de chaleur ou de convection du fluide froid


( mw ° c)
2

h1 :coefficient de transfert de chaleur ou de convection du fluide chaud


( )
w
m
2
°c

w
∝P :coefficient de conduction thermique de la paroi °c
m

eP : épaisseur de la paroi

La résistance globale est :


R=R 1+ ℜ+ R 2

Le coefficient global de l’échange thermique est :


1
U=
R

La quantité de chaleur cédée par le fluide chaud est :


θ=U ×(T 1−T 2)

T 1 et T 2:T fluide chaud et T fluide froid

Ces relations s’appliquent dans le cas d’une paroi plane et


propre. Dans le cas d’une paroi sale, une résistance à
l’encrassement ou de salissure RS intervient
1 1
R S= −
UP U S

U P : coefficient propre

U S : coefficient sale

R=R 1+ ℜ+ R 2+ RS

1
U=
R+ RS

ΔT 1−ΔT 2
ΔTLM =
ΔT 1
ln
ΔT 2

ΔT 1 :T 1−t 2

ΔT 2 :T 2−t 1

4- EQUATION DU RENDEMENT
Q 1=Qm ×CP ( T 1−t 1 )

Chaleur maximale que peut avoir un échangeur


Q 2=Qm ×CP ( T 2−t 2 )
Chaleur reçue par un échangeur.
Q2
μ=100 ×
Q1

III- Dessaleur
Le dessalage consiste à éliminer les impuretés (sels minéraux)
contenus dans le brut. Permet de lutter contre la corrosion des
équipements. Les phases du dessalage :
a- Lavage du brut par l’eau de dessalage
On obtient une émulsion de petites gouttelettes d’eau salées
dans le brut
b- Grossissement des gouttelettes d’eau par électro
coalescence
La force d’attraction des gouttelettes d’eau
F=Cte E 2 × a2 × ( da ) 4
Loi de Coulomb du dessalage
a : rayon de la goutte
d : distance entre les centres des gouttelettes
E : gradient de tension (volt/cm)
a/d : variables complémentaires
c- Séparation eau brut par décantation.
2
K × a ×(D 1−D2)
V décantation =
μ

Loi de Stockes
D 1−D2
:critère de décantation
μ

D1 :densité de la phase dispersée eau

D2 :densité de la phase continu brut

μ :viscosité de la phase continue

Les conditions du dessalage sont :


- T : 100-150°C
- Temps de séjour : 20 à 30 min
- Taux d’injection d’eau : 3 à 8% du volume du brut
- Niveau d’interface eau/brut autour de 40%
- Ampérage du champ électrique et le taux d’injection
du désémulsifiant.
[ sel entré ] −[ sel sorti ]
efficacité du dessalage= × 100
sel entrant

L’efficacité du dessalage n’étant pas totale, on :

- Injecte de soude dans le train d’échange pour la


transformation du HCl en NaCl
- Injection d’ammoniac dans les zones ou l’eau est
susceptible de se concentrer (tête de colonne, les
aéroréfrigérants (système de condensation)
IV- LE FOUR
Installation dans laquelle on fait passer un ensemble de tubes
contenant un fluide qui sera chauffé par de grandes flammes
provenant de la combustion d’un autre fluide. Les
combustibles utilisés pour le chauffage du brut dans le four
sont :
- Méthane
- Ethane
- Propane
Elle comprend 3 parties :

- Zone de radiation : combustion du combustible


- Zone de convection : la chaleur contenue dans les fumées
chaudes est récupérée avant d’être évacuée.
- Zone d’évacuation : évacuer les fumées de la combustion
vers l’atmosphère

Le pétrole brut une fois réchauffé est acheminer jusqu’à la


colonne par la ligne de transfert.
EQUATION THERMIQUE DU FOUR
Pc × Qc =Qb ×C Pb × ∆T ( T f −T i )

Pc : pouvoir calorifique Kj / Kg

Qc : débit du combustible t /h

Qb :débit du brut t/h

C Pb :chameur propre du(brut Kj /Kg)/(° C)


La quantité de chaleur (énergie) produite par un combustible
de pouvoir calorifique PC et de débit QC est :
E ( J )=P c ×Qc

- Pouvoir calorifique (PC) : quantité de chaleur produite


par la combustion 1 kg de combustible.
- Chaleur spécifique (CP) : quantité de chaleur à apporter
pour faire varier de 1°C la T d’1Kg de fluide.

V- LA DISTILLATION SOUS VIDE


1- MODE OPERATOIRE
Le RAT qui a une T initiale de 380°C est envoyé dans la
colonne de la DSV pour être fractionnée. Sachant que la T de
stabilité des hydrocarbures tourne autour de 400°C, si on
continue de chauffer la charge au-delà de cette température
dans les mêmes conditions de pression atmosphérique, les
molécules peuvent se craquées. Alors, on maintient la T
d’ébullition puis on baisse la pression (0,15bar) grâce aux
éjecteurs
1bar=105 Pa=760

Il suffit de rabaisser l’une des pressions partielles dans la


colonne et le vide se crée progressivement.

PRODUITS PETROLIERS OBTEBUS


CHAPITRE III : HYDROTRAITEMENT OU
HYDRORAFFINAGE
Procédé catalytique à base d’hydrogène permettant d’éliminer
les impuretés contenues dans les coupes pétrolières.
I- LES PROCEDES
NOM ELIMINE EQUATION
R−SH + H 2 cat RH + H 2 S
Hydrodésulfuratio S →

n
R−NH 2+ H 2+ cat RH + NH 3
Hydro N2 →

dénitrification
R−OH + H 2+cat RH + H 2 O
Hydro O →

désoxygénation
CIN + H 2+cat saturé
Hydrogénation Insaturé →
COM + H 2+cat HC + métaux
Hydro dé COM →

métallation
II- PARAMETRE DE FONCTIONNEMENT
- T : 320 à 400 °C
- Pression partielle de H2 : 20 à 200bar
- Vitesse spatiale : permet de connaître la quantité de
catalyseurs à mettre en place pour obtenir une
performance donnée
V VH =debit volumiue de la charge ¿ ¿

- Pression spatiale :
P PH =debit massique de la charge ¿ ¿

- Temps de contact :
1
θ=
V VH
- Pression partielle de H2 : plu elle est élevée plus les
réactions désirées sont rapides. Inhibe la formation de
coke.
- Taux de balayage : permet le maintient de la PPH2 et
garantit un bon contact entre les molécules de H2 et HC.
debit volumiue H 2
debit volumique de la charge

P PH 2=%H2 × Pression totale

III- LES CATALYSEURS


Matériaux qui accélèrent la réaction sans la modifier.
1- Les constituants des catalyseurs
- Support : matériau poreux inerte (alumine). Permet la
dispersion de la phase active.
- Phase active :
o Composé principal : Mo ; W
o Promoteur : Ni ; Co pour doper l’activité catalytique
en créant une synergie
Le types de catalyseurs présents sur le marché : CoMo, NiMo
Les caractéristiques d’un catalyseur :

- Activité : tâche qui lui est confié


- Sélectivité : exécuter d’abord la tache qui lui est confié
- Stabilité : effectuer dans le T la tache qui lui est confié
EFFICACITE OPTIMALE DU CATALYSEUR
promoteur
r=
total métaux

2- Poisons des catalyseurs


Soufre, eau, CO, chlore, fluor, métaux
3- Activation des catalyseurs
Ils sont inertes lorsqu’ils sont livrés aux raffineries (oxydé). Il
faut donc les activer
a- Production d’H2S
On fait régir le diméthyle de disulfure en présence de H.
b- La sulfuration des catalyseurs
L’H2S est utilisé sur les catalyseurs en vue de substituer l’O
par le S.
4- Conditions opératoires
EQUATION GENERALE DE L’ACTIVITE
1 E / RT
A=a × × PPH 2 × f × e
VVH

a : constante

f : facteur incluant ≤paramètre charge et la pressions partielles ou concentrations de diverses composopsés


'
E : énergie d activation(cal/ mol)

1,987 cal
R :constante des gaz parfaits .K
mol

T :temperature K

IV- Procédé d’adoucissement (Traitement MEROX)


Permet d’éliminer les impuretés particulièrement les
composés sulfurés. On les élimine afin de :
- Améliorer la couleur,
- L’odeur
- La stabilité à l’oxydation du produit
- Réduire les concentrations de dioxyde de carbone.
Ils sont éliminés par contact avec un produit :
- Hydrosoluble (l’acide sulfurique)
- Caustique (hydroxyde de sodium),
- Des composés aminés (diéthanolamine)
V- Les conversions
1- Alkylation
Combine par craquage catalytique les molécules d’oléfines
avec les molécules d’iso-paraffines et accroît ainsi le volume
et l’indice d’octane des essences de base. Cela donne un
alkylat (isooctane), qui possède des qualités antidétonantes.
2- Isomérisation
Convertir les paraffines en iso-paraffines afin d’élever l’indice
d’octane. Le produit final obtenu est appelé isomérat.
3- Le reformage catalytique
Transforme les HC saturés en aromatique à fort indice
d’octane. Le catalyseur est une mousse de platine. Elle se fait
sur la coupe essence grâce aux réactions de :

- Déshydrogénation : naphtènes en aromatique


- Isomérisation : N-para en iso-para
- Désydro cyclisation : N-para en aromatique.
CHAPITRE IV : SPECIFICATIONS DES PRODUITS
PETROLIERS
Caractéristiques que les produits pétroliers doivent avoir pour
être utilisés sur le marché. Des essais permettent de savoir si
les produits respectent ces normes et ils sont normalisés par
des organismes tels que :

- ASTM: American Society for Testing and Materials;


- IP: Institute of Petroleum;
- ISO: Organisation International de Standardisation;
- AFNOR: Association Française de Normalisation.
ESSAIS, SPECIFICATIONS, BUTS
Volatilité, Tension de vapeur relative, Plus le produit contient
des composés volatils, plus elle est élevée.
Tension de vapeur Reid, Pression développée par les vapeurs
d’un produit contenu dans une bombe normalisée à 37,8°C
(100°F).
Point d’éclair, T à laquelle il faut porter un produit liquide pour
qu’il émet dans des conditions normalisées des vapeurs en
quantité suffisante pour que celle-ci puissent s’enflammer en
présence d’une flamme. Mélange inflammable avec l’aire.
Combustion, Pouvoir calorifique, Quantité de chaleur produite
par la combustion d’1 kg de combustible
Résidu de carbone, Résidu obtenu après combustion d’un
échantillon de distillat. Indique la teneur du produit en composés
non vaporisable formant des dépôts carbonés appelé coke. Il
concerne le Fuel Oil, le Gazole, le DDO...
Indice d’octane, Aptitude du carburant à bruler correctement
dans un moteur à allumage commandé. L’apparition d’un
fonctionnement anormal lié au carburant se traduit par un bruit
métallique appelé cliquetis.
Indice de cétane, Aptitude des carburants diesel à s’enflammer
dans la chambre de combustion des moteurs à allumage par
compression.
Point de fumée, Le produit est brûlé dans une lampe à mèche
normalisée. On cherche à obtenir la flamme la plus haute
possible avec le moins de fumée possible.
EcoulementLubrificationStockage, Viscosité, Intervient dans les
problèmes d’écoulement et de pompabilité des liquides. Utile
pour la fonction lubrification des huiles de base.
Masse volumique, Rapport de la masse du produit (Kg) a son
volume (m3). Du fait de la dilatation des liquides, elle varie avec
la température.
Tenue au froid, Le point de trouble, T à laquelle un trouble
distinct dû à la présence de fines particules d’eau apparait dans
le produit
Le point d’écoulement, Plus basse T à laquelle le produit
s’écoule encore librement lorsqu’il est refroidi dans des
conditions normalisées
La température limite de filtrabilité, T la plus basse jusqu’à
laquelle le produit peut s’écouler librement. S’applique au FO
domestique et au diesel.
Le point disparition des cristaux, T à laquelle les cristaux
d’hydrocarbures disparaissent complément de l’appareillage
d’essai. C’est une caractéristique essentielle pour le Jet A1.
La teneur en eau, Permet de détecter de l’eau dans les GPL. Une
teneur en eau trop importante provoquerait le bouchage des
canalisations de gaz par formation d’hydrates.
Corrosivité et pollution, La teneur en soufre, Rejeter des fumées
à grande hauteur par des cheminéesUtiliser des combustibles à
moindre teneur en soufre
Le doctor test, Rechercher qualitativement la présence de H2S et
de mercaptan dans le butane commercial.Positif : changement de
couleur du butane (coloration noire ou brun foncé).
La corrosion à la lame de cuivre, détecter la présence de
composés corrosifs dans les GPL, les essences, le white-spirit, le
pétrole lampant et le kérosène1) Un peu terni2) Moyennement
terni3) Très terni4) Corrosion décelable
Composition chimique et stabilité, La teneur en eau et
sédiment ;, S’applique aux pétroles bruts. Ce sont les impuretés
solides permet de comptabiliser les quantités de pétroles bruts
effectivement réceptionnées par une raffinerie.
La teneur en gommes, Réunion d’un certain nombre de
molécules pour former de nouvelles molécules plus complexes
qui apparaissent sous forme de dépôts.
La stabilité des couleurs, La détermination s’effectue à l’aide
d’un colorimètreGaz butane = incoloreEssence super = jaune
paleEssence ordinaire = jaune orangéSuper carburant sans
plomb = verteJet A1 et pétrole lampant = blancGasoil
Commercial = violacé ;Fuel Oil: brun foncé
-
- Le pouvoir calorifique pour les combustibles solides et
liquides :

(
PCS=80 × %C+ 340 %H −
%O
8 )
+20 ×%S

PCI=PCS −54(%H +6 %E)

- Le pouvoir calorifique pour le pétrole


PCI ( Kcal
Kg )
=8440+ 499 , 3× log %API

- Pouvoir calorifique pour le gaz naturel


n
PCI gaz =∑ Xi × PCI
i=1

n
( n × M )i
PCS−PCI gaz=4 , 82×(%H + ∑ +%E)
i=1 2

Xi : Fraction de gaz (C1 à C4 par exemple) dans le gaz


naturel.
Mi : Pourcentage d’hydrocarbure ;
ni : Nombre d’hydrogène dans l’hydrocarbure.
Les conséquences du cliquetis sont les suivantes :

- Vibration pouvant provoquer des incidents mécaniques


- Pertes de puissance du moteur entrainant l’échauffement
du moteur
- Surchauffe du moteur et consommation abusive en
carburant.
Il en existe 2 types de viscosité :
a- La viscosité dynamique
Frottements entre les particules de fluide. Elle s’exprime le
plus souvent en milli Pascal-seconde plus connu sous
appellation centpoises (Cp).
b- La viscosité cinématique
Prend en compte en plus des frottements internes, la masse
volumique ou densité du liquide.
μ
ν=
d

S’exprime en mm²/seconde ou en centistoke (Cst)


Exemple : Gaz butane = incolore ; Essence super = jaune pale
Essence ordinaire = jaune orangé Super carburant sans plomb
= verte Jet A1 et pétrole lampant = blanc ; Gasoil Commercial
= Teinte violacé ; Fuel Oil: brun fonc

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