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3EME SLIDE:
Le génome du virus d'Epstein-Barr se compose d'ADN linéaire double brin, totalisant
172 kilo-paires de base. Il renferme environ 100 gènes, dont seulement 10
s'expriment lors de la phase de latence du virus.
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5eme slide:
Le virus d'Epstein-Barr (EBV) se propage principalement par les fluides corporels,
en particulier la salive, constituant ainsi une voie de transmission privilégiée.
Les interactions sociales telles que les échanges de bises, le partage d'aliments
et de boissons, ainsi que l'utilisation d'objets récemment utilisés par une
personne infectée, comme une brosse à dents ou un verre, peuvent favoriser la
transmission du virus. De plus, le risque de contamination s'étend à des procédures
médicales telles que les transfusions sanguines et les greffes d'organes.
Notamment, les enfants peuvent également contracter le virus en consommant des
aliments pré-mâchés par une personne infectée par l'EBV, soulignant ainsi la
diversité des voies par lesquelles le virus peut se propager au sein de la
communauté. Cette connaissance approfondie des modes de transmission est cruciale
pour informer le public et mettre en œuvre des pratiques préventives efficaces.
6eme slide:
7eme slide:
Au cours de la phase lytique, le virus d'Epstein-Barr s'engage activement dans la
réplication, générant de nouvelles particules virales. Cette phase est déclenchée
par l'expression du gène viral BZLF1 au sein des cellules infectées par le virus
EBV.
8eme slide:
Après l'infection initiale, le virus d'Epstein-Barr (EBV) peut entrer dans une
phase de latence, se maintenant de manière inerte au sein des cellules B du système
immunitaire. Pendant cette période, le virus demeure non réplicatif et ne déclenche
aucun symptôme apparent.
Lorsqu'une réactivation du virus survient, elle peut entraîner des symptômes tels
que la fatigue, la fièvre et les maux de gorge. Cependant, pendant la phase
latente, le virus peut demeurer imperceptible.
Il est crucial de noter que les cellules infectées par le virus EBV pendant la
phase de latence présentent également un risque potentiel de transformation
cancéreuse, établissant ainsi un lien inquiétant avec divers types de cancer. Cette
dualité du virus, entre la latence apparemment silencieuse et le potentiel
oncogène, souligne la complexité de sa relation avec les cellules hôtes.
Par ailleurs, les cellules T cytotoxiques (CTL) jouent un rôle clé dans la
reconnaissance des antigènes lytiques pendant la primo-infection, et cette réponse
persiste au cours de l'infection latente. Cette persistance reflète la vigilance
continue du système immunitaire contre le virus, soulignant l'importance de
comprendre ces interactions pour le développement de stratégies thérapeutiques
efficaces.