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L’HEPATITE B (VHB)
MEMBRE DE GROUPE
KARAMA Ouissamien Delphine
KEITA Assétou
SAKANDE A. Aida
PLAN
INTRODUCTION
STUCTURE ET ORGANISATION
PATHOLOGIE :
a. MODE DE TRANSMISSION
b. DIAGNOSTIC
c. TRAITEMENT
CONCLUSION
Introduction
Parmis les maladies causées par les virus, l’un des
plus dangereux est celui de l’hépatite B (VHB). C’est
un virus qui s’attaque aux cellules du foie et qui
entraine l’inflammation de ce dernier. Ce virus a été
découvert par Baruch Blumberg en 1963. Il est très
rependu en Afrique et en Asie du Sud Est
Structure et Organisation
Le VHB est un virus appartenant au groupe taxonomique I
selon la classification simplifiée de Baltimore. De la famille
des Hepadnaviridae, du genre Orthohepadnavirus , ce virus
est de très petite taille avec un diamètre compris entre 42 et 47
nanomètres. La particule virale est constituée de trois (3)
parties:
- une envelope constituée d’une bicouche lipidique sur
laquelle se trouve l’antigène HBs ( AgHBs ) élement
spécifique du virus qui va activer le système immunitaire lors
de l’infection.
- un nucléocapside icosaédrique de 22 à 25 nm de
diamètre il permet de protéger le virus contenant les
antigènes HBc et Hbe.
- une molécule d’ADN double brin qui est le génome du
virus ayant une activité de retrotranscription. elle peut
s’intégrer en partie ou en totalité dans la cellule hôte qui
cause des infection du foie chez les humains et certains
animaux.
Il faut savoir que chaque virus est spécifique d’une espèce
mais il peut infecter des animaux phylogénetiquement
proches comme certains primates.
Pathologie
a. Mode de transmission
Le virus de l’hépatite B est extremement contagieux : dix
fois plus que le VHC et cent fois que le VIH. IL est aussi plus
resistant et n’est pas détruit par l’alcool et l’éther. Le VHB se
transmet par contact avec le sang et d’autres liquides
biologiques ( le sperme, les secretions vaginales).
Si l’on n’est pas vacciner, on peut être contaminé par:
- un rapport sexuel ( vaginal, anal, ou buccogénital) avec une
personne infectée
- la salive
- dans le cas d’usage de drogue, le partage ou la manipulation du
séringue et le materiel d’injection ou de sniff ( cuillère, coton, paille,
etc)
-le contact direct du sang d’une personne non contaminée avec le
sang d’une personne infectée
- la grossesse et/ou l’accouchement ( transmission mere/enfant)
- le partage de rasoir, de brosses a dents, ciseaux, coupe-ongles …
- le tatouage ,l’acupuncture et le piercing realisé sans les règles
d’hygiène necéssaire (le materiel doit être a usage unique ou stérilisé
à l’autoclave)
On ne peut être contaminé par le partage de couverts, nourriture, eau,
utilisation commune des toilettes.
b. Diagnostic