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Le concept d'identité, complexe et fascinant, peut se décliner selon différentes échelles :

culturelle, nationale, individuelle... Sylvie Gruszow dans son livre a choisi d'explorer à partir de
la question : " Qui suis je ? " Elle l'aborde tant de manière scientifique que philosophique,
psychologique ou anthropologique : aspects biologiques, problèmes du développement, de
l'individuation et de la construction de soi, phénomènes actuels de communautarisme où
l'identité se cherche dans l'appartenance... Depuis le système immunitaire, qui rejette ce qui
est " étranger " au corps (mais qu'en est-il des greffes ou de la grossesse ?) jusqu'à
l'exploration du cerveau, depuis la biométrie jusqu'à la construction d'une identité sexuée, les
regards de dix spécialistes sont ici croisés. Avec pour ambition de mieux cerner ce qui fait que
nous sommes nous-mêmes et non un autre.

[1] Cette situation pourrait troubler l’élève qui lit ce texte ou qui l’explique. L’élève pourrait
penser que les idées proposées par Hume au début de son texte sont les siennes. Il pourrait
donc penser, en lisant la suite du texte, que l’auteur se contredit lui-même. Ce qui n’est pas le
cas. Il faut donc bien distinguer l’idée rationaliste introduite par Hume de sa propre idée
empiriste, critique à l’égard de l’idée rationaliste précédemment introduite.

EXPLICATION DE TEXTE DE HUME SUR L'IDENTITE ET L'EXISTENCE


DU MOI

« Il y a certains philosophes qui imaginent que nous avons à tout moment la conscience
intime de ce que nous appelons notre moi ; que nous sentons son existence et sa
continuité d’existence ; et que nous sommes certains, plus que par l’évidence d’une
démonstration, de son identité et de sa simplicité parfaites. [… ]

Pour ma part, quand je pénètre le plus intimement dans ce que j’appelle moi, je
bute toujours sur une perception particulière ou sur une autre, de chaud ou de froid, de
lumière ou d’ombre, d’amour ou de haine, de douleur ou de plaisir. Je ne peux jamais
me saisir, moi, en aucun moment sans une perception et je ne peux rien observer que la
perception. Quand mes perceptions sont écartées pour un temps, comme par un sommeil
tranquille, aussi longtemps je n’ai plus conscience de moi et on peut dire vraiment que
je n’existe pas. Si toutes mes perceptions étaient supprimées par la mort et que je ne
puisse ni penser, ni sentir, ni voir, ni aimer ni haïr après la dissolution de mon corps, je
serais entièrement annihilé et je ne conçois pas ce qu’il faudrait de plus pour faire de
moi un parfait néant. »

D.HUME, Traité de la nature humaine


(1740)

INTRODUCTION

L’homme a-t-il une identité stable et continue ? Somme-nous définit par notre moi ? Á
ces questions, David Hume propose dans ce texte une réponse négative. La thèse que
propose le philosophe dans ce texte constitue une rupture avec la conception classique
affirmant l’identité et la stabilité du moi. L’auteur développe ici une antithèse à la thèse
cartésienne. Contrairement à Descartes, Kant… qui soutenaient la continuité et l’identité
du moi, Hume explique que pour lui le moi n’existe pas, et que le sujet n’a pas une
identité réelle. Notre identité est illusoire, car l’analyse de notre intérieur intime prouve
que nous sommes une succession de perceptions multiples. Le texte se développe en
trois étapes : dans une première étape de son texte, Hume introduit la conception du moi
qui dominait traditionnellement la philosophie du sujet. Puis, dans la deuxième étape de
son argumentation, il montre que le moi est composé d’une somme de perceptions. Et
enfin, il montre que les perceptions conditionnent le moi.
DEVELOPPEMENT

Hume commence ce texte par « il y a certains philosophes qui imaginent… ». Il nous


introduit ce qu’imaginent d’autres philosophes. Qui sont ces philosophes ? On ne les
connaît pas ici. Car l’auteur ne les nomme pas directement. Il ne nous donne pas des
noms. Il préfère nous proposer leur idée plutôt que leurs noms. Mais on peut
comprendre qu’il s’agit de tenants de la philosophie métaphysique. Ces philosophes
dont l’auteur fait allusion ici sont probablement Descartes, Kant, Berkeley… Le
philosophe étale sur trois étapes la thèse de ces philosophes. Tout d’abord, il affirme
qu’ils pensent que « nous avons à tout moment la conscience intime de ce que nous
appelons notre moi ». Pour ce groupe de philosophes, l’homme a une « conscience
intime » de son identité, de son moi. Cette conscience de notre moi est continue, elle ne
s’arrête pas. Elle est présente à « tout moment ».

On apprend aussi qu’Ils pensent que « nous sentons son existence et sa continuité
d’existence ». On comprend bien donc que pour ces philosophes l’existence de ce moi
et cette identité peuvent se sentir chez chaque individu conscient. Chacun d’entre nous
peut la sentir, sentir son existence, sentir en permanence ce moi car son existence est
continue, sans arrêt. Et enfin, ils pensent, selon Hume, que cette identité est certaine,
indubitable. Elle n’a pas besoin d’être démontrée car elle est évidente, claire, sûre,
simplement accessible par le commun des mortels.[1]

Dans une deuxième étape de son texte, Hume propose sa pensée à propos de l’identité
du moi. Il partage avec le lecteur son aventure intérieure. Si ce moi est évidente et d’une
simple accessibilité, n’importe qui pourrait donc la rencontrer en plongeant dans sa
profonde intimité. D. Hume tente ici cette aventure. Il pénètre intimement et
profondément dans son moi. Que découvre donc le philosophe dans son intérieur ? A-t-
il saisit son moi ? Hume nous surprend : il ne découvre pas un moi, mais à la place une
perception. Quand j’immerge dans mon supposé moi, nous dit Hume dans ce texte, je
me bute sur une « perception particulière », c’est-à-dire sur une perception
quelconque. Si je replonge une deuxième fois dans ma profondeur, je me bute encore
fois sur une autre perception.

Hume découvre donc que le sujet est composé de perceptions multiples. Il n’a aucune
identité stable, même pas une perception stable. Il défile quelques unes de ces
perceptions : une perception de « chaud », de « froid », de « plaisir », de « douleur »,
de « lumière », d’ « ombre ». Par ces diverses perceptions, Hume veut nous montrer
qu’il n’y a aucune identité, stabilité, unité chez le sujet, à l’intérieur de l’être conscient.
Il est un chaos, un désordre, un changement : les perceptions changent, se contrastent, se
diversifient. Chaque moment, je suis quelqu’un de nouveau, avec une nouvelle
perception, avec un nouvel état… Je change constamment. On soupçonnait déjà que
Hume critiquerait la thèse proposée au début de son texte, il la critique directement ici.
Ainsi, pour Hume, il n’y a aucun moi saisissable indépendamment de toute perception.
On observe, selon ses dires, que des perceptions et jamais un moi. En effet,
contrairement à Locke, Descartes, Kant… qui affirmaient l’existence d’un moi et d’une
identité stable chez l’homme, Hume affirme, de son côté, qu’il n’existe aucun moi,
aucune identité chez l’homme, car l’homme n’est qu’une somme de perceptions
multiples et changeantes.

Contrairement à la philosophie du rationalisme, à la philosophie métaphysique qui place


la raison, l’esprit, la pensée au centre du sujet, D. Hume, quant-à-lui, fidèle à sa
philosophie empiriste valorise ici l’expérience sensible, la sensation, la perception,
l’impression. Rappelons que pour Hume toute la connaissance de l’homme viendrait de
l’expérience sensible, et plus concrètement de l’impression vivace que les sensations
impriment sur notre esprit. C’est la réalité extérieure (le monde sensible) qui est
première par rapport à l’esprit, à la raison (au monde intérieur et psychique). L’esprit ne
serait donc aucunement pour la philosophie empiriste la source de nos connaissances, ce
n’est pas lui qui produit la connaissance. Il ne serait pas au centre de notre
connaissance, il n’en serait que le récepteur passif. De ce fait, la connaissance ne serait
pas intérieure, mais extérieure, résultat de l’expérience, de l’habitude, de la perception.

Mais la perception n’est-elle pas l’arbre qui cache la forêt ? Ne faut-il pas aller au-delà
des perceptions pour dévoiler le moi ? D. Hume est conscient de ces critiques. Il va
donc, dans la dernière étape de son argumentation, s’efforcer de dépasser les
perceptions pour voir s’il y a un moi qui se cache derrière ces apparentes perceptions.
Alors Hume s’intéresse au moment où nous dormons. Quand nous dormons, nous
n’avons aucune perception de nous, de notre intérieure, mais aussi du monde extérieur.
Dans le « sommeil tranquille », les perceptions sont écartées, elles s’éclipsent. S’il
existe un moi extérieur à la perception, c’est le moment de le voir, de le rencontrer. Que
reste maintenant de nous ? Rien, dira Hume. Il ne restera plus rien de nous. Nous
disparaissons aussi. Et donc encore une fois, le moi ne se profile pas à l’horizon, ne se
montre pas. Si le moi ne se montre pas, ce n’est pas qu’il se cache, mais c’est parce
qu’il n’existe pas. Le moi n’est qu’une illusion. Et puis, je me réveille, et les perceptions
reviennent. Aucun moi là aussi que des perceptions.

Et si ces perceptions ne reviennent pas. Si elles disparaissent pour toujours,


définitivement supprimées par la mort, je disparaitrais à jamais. Si je cesse de
« penser », de « voir », de « sentir », d’ « aimer », de « haïr », je cesse aussi d’exister.
Je ne serais plus. Mon moi ne sera plus. La mort supprime les perceptions et dissolve le
corps. Et il ne restera plus rien de moi. Je serai un « parfait néant ». Un rien. Par
conséquent, ce sont les perceptions qui nous composent, nous sommes des perceptions.
Si nos perceptions disparaissent momentanément ou définitivement, nous disparaissons
avec elles. Aucune autre chose distincte de perceptions ne pourrait nous définir, rien
d’autre. Notre intérieur, notre soi-disant moi ne peuvent exister sans les perceptions.
L’homme est conditionné par la perception. Hume arrive donc à conforter sa thèse
empiriste à la fin de son texte et établir la primauté de la perception, de l’expérience
sensible sur l’esprit, la raison, le moi pensant.

CONCLUSION
Dans ce texte, Hume critique la philosophie classique du sujet. Avant lui, Descartes,
Locke, Kant, et d’autres ont attribué au sujet conscient, au moi une identité stable,
évidente, continue. Le cogito chez Descartes, le « Je » chez Kant, « la conscience » chez
Locke, constitue l’identité stable du moi. Mais Hume s’oppose à cette philosophie. Dans
ce texte, il montre précisément l’illusion du moi. Selon lui, il n’existe pas chez l’homme
un moi stable, continu et saisissable. A la place, il propose des perceptions variables,
changeantes, multiples et instables. Nous sommes la somme de ces perceptions
particulières, nous n’avons aucune identité indépendamment de ces perceptions. Rien
d’autre ne pourrait nous définir et constituer notre identité. La preuve, quand ces
perceptions disparaissent momentanément lors du sommeil, nous ne sentons rien, nous
n’existons plus. Et quand elles disparaissent à jamais, détruites par la mort, nous devons
un « néant » définitif. Rien ne restera de nous, ni un moi, ni rien…

Significado da expressão a "menina dos olhos


de Deus"
Davi sabia exatamente o que o significava a expressão "menina dos
olhos". Esta palavra é utilizada para designar algo, lugar ou pessoa
preferida. Por exemplo, "o povo de Israel é a menina dos olhos de
Deus". Tanto na língua portuguesa quanto no hebraico, a pupila ocular é
popularmente chamada de "menina dos olhos". Quando a Bíblia refere-
se a expressão menina dos olhos, faz uma alusão a esta parte preciosa
do corpo.

A pupila é uma parte importantíssima dos olhos e devido à sensibilidade


requer proteção. Qualquer acidente na pupila é doloroso e pode até
causar a perda da visão. É desta forma que a palavra é utilizada,
referindo-se a uma parte preciosa que requer cuidado e proteção.

Deus sabe o quanto somos frágeis e protege-nos como a menina dos


seus olhos. Ele sabe que todo o ser humano é precioso, por isso, enviou
o Seu Filho para nos redimir da condenação eterna. Esta é a prova de
como Deus nos trata com tanto cuidado e amor.
Você é precioso para Deus! Se Ele cuida dos lírios do campo, quanto mais a menina dos
seus olhos
Lucas 12:27-30
Você – seu corpo, alma e espírito foram "formados" e "habilmente trabalhados" por
Deus com cada dia de sua vida em detalhes como as páginas de um livro. (Salmo 139)
Você – sua existência, suas características e suas habilidades não são um erro. Deus não
comete erros. Ele fez você e pensativo colocou você em um corpo, uma família e um
lugar nesta terra.
Deus deseja que todos possam viver em um ambiente seguro e atencioso, onde um amor
por ele seja nutrido. Mas, algumas experiências danificam, situações prejudiciais as
mãos de outros, falta de sabedoria ou dos pecados absurdos. O mal, muitas vezes, leva a
liderança neste mundo sombrio, que não é a intenção de Deus. Sua vontade é que todos
escolham o que é certo e façam o bem. Deus quer curar os feridos e os quebrados; Ele
planeja pôr fim a todos os sofrimentos e estabelecer uma nova terra sem dor ou tristeza.
Você é filho de Deus; suas próprias pessoas especiais foram criadas para viver uma vida
pura e fiel. "Porque somos feitura sua, criados em Cristo Jesus para as boas obras, as
quais Deus preparou para que andássemos nelas.". Efésios 2:10. Não olhe para baixo
sobre o que Deus criou e ama! Se você duvida de Deus e se queixa de sua obra, seu ser
e suas situações, você perde as boas obras e a benção que elas trazem sobre sua vida.
Você é perfeito
Não é perfeito no sentido de um QI alto, pele impecável e uma grande personalidade.
Mas perfeito para o incrível plano de Deus para sua vida e para aqueles que você pode
ajudar ao longo do caminho. Perfeito para boas obras ao longo do dia que só você pode
fazer: escolher o bem quando confrontado com tentações, orar por um amigo que está
passando por um momento difícil, enviando um texto encorajador, abençoando um
colega de trabalho ou um membro da família. Estas são obras que têm valor eterno.
Tentar alcançar um corpo perfeito, a imagem das mídias sociais ou a "vida apaixonada"
é algo vazio e inútil para a eternidade.
Não é perfeito no sentido de que você faz tudo certo da primeira vez, não caiu no
pecado ou não está tentado a pecar. Mas perfeito porque Deus vê você com os olhos
cheios de esperança e amor mesmo que ele veja suas falhas e fraquezas. Ele vê o que
você pode se tornar se você continuar a escolher o que é certo e bom, quão valioso você
é para o seu trabalho e o reino dos céus. Você é perfeito para o trabalho de salvação que
Deus quer realizar em você. Deixe Deus guiar sua vida e forçá-lo através das provações
e você se tornará "perfeito e completo, sem falta de nada" em cada capítulo da vida.
(Tiago 1: 4)
Você é amado
O amor de Deus é mais forte e profundo do que o amor e as emoções humanas. Em
Deus, você tem um amigo íntimo que o conhece e o compreende melhor do que
qualquer um. Ele vê seu coração e deseja ser bom; Ele vê suas lutas e como você está
atraído por coisas que não são boas. Ele está sempre lá para ouvir e ajudar quando você
ora para Ele com um coração sincero e humilde. "Os olhos do Senhor estão sobre os
justos, e os seus ouvidos atentos ao seu clamor.". Salmo 34:15.
Os outros o maltrataram? Você se sente sozinho, sem importância ou indesejável? O
amor de Deus é curar quando você coloca suas vidas e pensamentos em Suas mãos. Os
seus planos caíram? Tem uma dificuldade aconteceu com você ou um ente querido?
Você não é menos amado por Deus; Seu amor é incondicional. Deus não é injusto; Ele
permite que a tragédia cai sobre pessoas boas e pessoas más. Deus quer ensinar-lhe algo
através das provações e levá-lo a Ele. Ele é ciumento por seu precioso espírito e quer
salvá-lo dos pecados que o deixam infeliz.
Você é único
Não há mais ninguém como você … de uma maneira realmente boa! Você preenche um
lugar especial neste mundo e no trabalho de Deus. Talvez você não goste de algo sobre
a forma como você olha ou um de seus traços de personalidade. Talvez você não se
destaque em algo como esportes ou música ou parece que você não possui muitas
habilidades em comparação com outras pessoas. Mas, quem pode ser um melhor
exemplo e ajudante para seu irmão e seu amigo? Quem pode expressar um ato de
bondade como você? Quem pode compartilhar algo encorajador como você? Quem
pode preencher necessidades talvez apenas você e Deus pode ver? Você é "feito sob
medida" para as boas obras que Deus preparou para você. Use sua energia, idéias,
habilidades e personalidade para o bem direito, onde você está na vida, em casa, na
escola ou no trabalho, com sua família e amigos!
Somos a menina do olho de Deus
Deus está acompanhando de perto sua vida como um pai atencioso e atento. Você é
muito querido para Ele e Ele deseja que vá bem com você. Os seus pensamentos em
relação a você são "paz e não do mal, para dar-lhe um futuro e uma esperança"
(Jeremias 29:11). Suas decisões são importantes para ele. Deus não pode tomar decisões
por você, mas Ele acredita em você e está ansioso para ajudar se você o perguntar. Ele é
para você como um protetor, um mentor, um ajudante, um amigo.
Você caiu no pecado várias vezes ou cometeu um grande erro e se sentiu indigno? Deus
é rápido para perdoar aqueles que se arrependem e nunca desiste de você ou fica
insatisfeito ou impaciente. O rei Davi confiou na misericórdia de Deus diante dos
inimigos. Ele orou: "Guarda-me como à menina do olho; esconde-me debaixo da
sombra das tuas asas,
Dos ímpios que me oprimem, dos meus inimigos mortais que me andam cercando.
"Salmos 17: 8-9. Você pode fazer o mesmo e se refugiar na Palavra de Deus quando se
deparar com pensamentos obscuros de desânimo e condenação. Sentimentos e
pensamentos de inutilidade não são verdadeiros! Acredite e pratique as verdades na
Palavra de Deus e você se tornará livre.
Sua vida tem um valor incrível
Não há nada mais raro e importante como alguém cuja confiança está em Deus e
obedece os Seus mandamentos! Eles são as verdadeiras "estrelas" neste mundo. Eles
serão revelados como filhos e filhas de Deus quando Jesus retornar. "Vós sois a luz do
mundo; não se pode esconder uma cidade edificada sobre um monte;. "Mateus 5:14.
Ore a Deus para abrir os seus olhos ao valor de viver para Ele, e você começará a ver o
seu verdadeiro valor e o valor daqueles ao seu redor. Viver com propósito, de acordo
com o plano de Deus para sua vida, e suas boas decisões terão significado eterno. Olhe
para si mesmo e para os outros através dos olhos de Deus e a vida é esperançosa e
brilhante!

São 13 anos de matrimônio 25/05/2023!!!

Viver no contexto de um casamento interracial (casamento misto), ou seja, a união de 2


pessoas de nacionalidades distintas. demanda sempre superar as diferenças, fortalece o
vínculo dentro da relação e você pode ouvir um "eu te amo" em outra língua.

0 casamento por si só é uma fusão. E unir-se a alguém de geografia diferente da sua é


incorporar muitos aspectos. O que para mim foi EXCELENTE ! Aprendi a ter mais noção do
outro, e isso não diz respeito tanto ao marido em si, mas sim, todo o conjunto que vem com
ele: sua família, seus valores, seus costumes e moldar-se a tudo isso, a meu ver, não significa
nem de longe para mim, subserviência; como alguns consideram integrar-se ao formato.
Particularmente, foi o molde encontrar o encaixe!!!

Anass, mon amour, tu és a pessoa certa para mim.

Tua trajetória e personalidade me ensinaram muito; mais do que isso até, contribuíram para o
meu crescimento pessoal e creio que Deus te colocou em meu caminho para manifestar o
amor, o cuidado e a obra DELE na minha e na tua vida.
Diferenças??? Aos montes! Todavia elas servem para preencher o que está faltando em mim e
em ti.

Peço a Deus SABEDORIA a fim de conseguirmos perseverar e prosseguir juntos nessa


caminhada rumo à ETERNIDADE!

Essa é minha singela homenagem para a pessoa, a qual me fez atravessar o oceano, e tive um
desejo realizado: VIVER EM FAMÍLIA!!!

Eu te amo ! Je t'aime ! Nbrick – ‫! نبغيك‬

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