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PLAN

INTRODUCTION

I-Genèse et Evolution de l’Egypte d’après le coran

1-Genèse de l’Egypte

2- Evolution de l’Egypte

II-Les croyances religieuses et le séjour des prophètes en Egypte selon le coran

1-Les croyances religieuses en Egypte

2- Le séjour des prophètes en Egypte

III-L ‘influence de l’Egypte dans le coran

1-Sur le plan culturel

2-Sur le plan socio-religieux

Conclusion

INTRODUCTION

L’Egypte fut une terre de servitude pour les fils d’Israël. Tandis que le coran étant la base essentielle
de l’islam, fut la cible principale des attaques de tous ceux qui ont écrit contre celui-ci : aussi bien en
orient qu’en occident et c’est déjà dès la seconde moitié du premier siècle de l’hégire. En effet, il est
révélé en langue Arabe qui est l’une des plus riches au monde. Ainsi, la civilisation Egyptienne était
imprégnée de la religion d’ailleurs, ils ont toujours théorisé l’unicité de Dieu. Tout comme dans la
bible, le coran rappelle d’une manière ou d’une autre le règne du pharaon.

I. Genèse & évolution de l’Egypte d’après le coran


1-Genèse de l’Egypte

Égypte ptolémaïque, Égypte lagide, Égypte hellénistique : cette triple appellation est
employée communément pour désigner une même réalité, dans l'espace et dans le
temps, mais avec des connotations particulières. L'Égypte lagide, c'est la vallée du Nil,
de la mer à la deuxième cataracte, et les pays qui furent rattachés par conquête à ce
territoire, depuis la mort d'Alexandre le grand

Après la mort de Cléopâtre, en 30 avant J.-C., l'Égypte passe au pouvoir d'Auguste et


du même coup sous la domination romaine : elle devait y rester six siècles, c'est-à-dire
jusqu'à la conquête arabe marquée en 640 après J.-C. par la prise de Babylone et en
641 par la chute

La tradition islamique rapporte que le texte coranique aurait été définitivement fixé1
quelques années après la conquête de l’Égypte, à l’initiative du calife ‘Uṯmān ibn
‘Affān (r. de 644 à 656). Cependant, l’Égypte ne fit pas partie des garnisons qui
reçurent l’un des quatre – ou sept selon les récits – archétypes coraniques2 produits
à cette occasion. Privé de son archétype.

2-Evolutions de l’Egypte
La civilisation de l'Égypte ancienne prend forme autour de -3200 avec l'unification politique de la
haute et basse - Égypte sous le règne du premier roi Narmer ou Némés et se développe sur plus de
trois millénaires. L’Egypte ancienne est l’une des plus anciennes civilisations de l’antiquité .le pays
des pharaons doit sa prospérité et son exceptionnelle longévité au Nil, qui apportait des inondations
annuelles régulières, assurant des récoltes toujours plus abondantes. L’étude de la civilisation
égyptienne a longtemps été exclusivement celle de la civilisation pharaonique, une société
fastueuse, hiérarchisée, où le pouvoir est aux mains d'une minorité représentée par un seul homme
: le pharaon, symbole du roi-dieu, garant de l'ordre cosmique, qui veille au bon fonctionnement de
l'ordre social. Pourtant, cette civilisation, dont on fixe aujourd'hui l'origine autour de 3 000 avant
notre ère, n'est pas apparue ex nihilo. Nous savons aujourd'hui qu'en Égypte la transition (tardive)
d'une société nomade à une organisation sociale fondée sur l'agriculture et le stockage des denrées
s'est accompagnée d'une forte hiérarchisation sociale. Si la civilisation égyptienne a pu se maintenir
sur une si longue durée, elle le doit à une organisation efficace de son gouvernement et de sa
société. L’Egypte antique est une monarchie absolue de droit divin, tous les pouvoirs sont détenus
par un seul homme : Le pharaon qui détient lui-même son pouvoir de Dieu. Toutefois, le roi ne peut
rien faire tout seul et ce sont tous les Egyptien, quel que soit leur rang dans la société, qui a
contribué à faire de l’Egypte antique la première grande civilisation.

La société Egyptienne est très hiérarchisée : Chacun doit obéissance à son supérieur immédiat : Dieu.

On a l’habitude de dire, avec raison, que la société égyptienne est de type pyramidal cela signifie
qu’à la base de la hiérarchie (de la pyramide) se trouve un grand nombre de personnes (le peuple) et
à mesure que l’on se rapproche du haut, le nombre diminue (au sommet on trouve un seul homme :
le pharaon. En Egypte, il n’y a pas véritablement de classe de moyenne, on peut diviser la société en
deux grands groupes de tailles inégales : Les privilégiés, (les puissants, les riches) et les démunis, le
peuple qui représente plus de 90 % de la population. Le pharaon est souvent représenté avec les
symboles du pouvoir royal. L’Egypte antique est une monarchie théocratique. Bien plus qu'un roi, le
pharaon est à la fois l'administrateur principal, le chef des armées, le premier magistrat et le prêtre
suprême de l'Égypte. En effet, Pharaon avait une mission à remplir : mettre en œuvre la règle de
Maât sur Terre, c'est-à-dire assurer l'harmonie entre les hommes et le ciel, être garant de la morale
de son peuple, contribuant ainsi à assurer son éternité. Pour exercer son contrôle sur les terres et les
ressources, le pharaon s'appuie sur une administration composée de fonctionnaires qui gère ses
affaires au quotidien. Cette administration est dirigée par son homme de confiance, le vizir, qui agit
comme représentant du roi et coordonne l'arpentage des terres, le trésor, les projets de
construction, le système juridique et les archives. Le territoire égyptien est découpé en quarante-
deux régions administratives, appelées nomes, qui sont chacune régies par un nomarque,
responsable devant le vizir de sa compétence.

II/ les croyances religieuses et le séjour des prophètes en Egypte selon le coran

1- les croyances religieuses en Egypte


A partir de 1822, c'est-à-dire dire après le déchiffrement des hiéroglyphes par le savant français
Jean-François Champollion, les textes religieux Egyptiens sont enfin directement accessible. Mais
leur contenu a profondément divisé les spécialistes. La divergence est due à la nature de la religion
Égyptienne. En effet, pour certains Egyptologues, la religion Egyptienne est une religion polythéiste ;
alors que pour d'autres, elle est monothéiste. On parle de religion polythéiste (du grec polus,
signifiant nombreux, et theos, signifiant dieu lorsqu'une communauté croit en l'existence de
plusieurs dieux. C'est le fait que les anciens Egyptiens adoraient plusieurs dieux qui a amené peut-
être certains Egyptologues soutenir la thèse selon laquelle la religion Egyptienne repose sur le
polythéisme. Certains dieux que les anciens Egyptiens adoraient représenter sur les monuments à
la fois sous la forme d'un corps humain et d'une tête animale ; ils étaient considérés aussi comme
sacrés.

Mais d'autres combinaisons étaient possibles : des animaux complets, des génies (le nain Bis), des
êtres humains ornés de divers symboles (parties animales, astres, signes abstraits, etc.). Ainsi, se
pose toute la problématique de l'attitude monothéisme dans la religion Egyptienne. La divergence
de point de vue sur la nature de la religion Egyptienne atteint son paroxysme en 1997 après que
l'Egyptologue allemand Jan Assmann eut publié son ouvrage intitulée Moïse, l'Egyptien. Les thèses
défendues par cet auteur allaient susciter maintes controverses en France, en Allemagne et aux
Etats-Unis.

Ainsi, des spécialistes de la religion Egyptienne s'insurgèrent contre ce qui leur apparut comme une
contribution à la critique de la religion, voire comme une attaque frontale dirigée contre le
monothéisme. Ils défendent l'idée selon laquelle le monothéisme est seulement propre aux
religions révélées. Autrement dit, pour eux, avant les religions révélées le monothéisme n'existait
pas. Toutefois, leur position est aujourd'hui battue en brèche. Avant Jan Assmann, Sigmund Freud
avait écrit un ouvrage intitulé "Moïse et le monothéisme " (auditions Gallimard, 1948). Dans cet
ouvrage, Sigmund Freud défend l'antériorité du monothéisme égyptien sur celui du judaïsme et du
christianisme et l'influence du pharaon monothéiste Aménophis IV sur Moïse.

2- Le Séjour des prophètes en Egypte

.Ibrahima

Les chameaux apparaissent souvent dans le récit biblique. Genèse XII, 15, Pharaon offre des
chameaux à Ibrahima :

Le serviteur [Ibrahima] prit dix chameaux parmi les chameaux de son maître et partit ; et tous les
biens de son maître étant dans sa main, il se leva et alla à Aram Naharaïm, du côté de la ville de
Nahor. Il fit agenouiller les chameaux hors de la ville… (Genèse XXXIV, 10)
Ils sont présents avec Isaak (Genèse XXIV, 61,64…) et Jacob, petit-fils d’Ibrahima (Genèse XXX, 43 ;
XXXII, 16…), ainsi que dans l’exode, où le chameau fait partie des richesses de pharaon.

Les savants situent Ibrahima vers 1700 av JC. A cette époque, le chameau est un animal inconnu en
Egypte. Il n’était pas non plus domestiqué en Mésopotamie. En effet, il n’apparaît pas dans les
peintures murales des temples, ni dans les tombes ou les pyramides, ni dans les écrits. Il fut introduit
en Égypte bien longtemps après par les Romains (IIe s. av. JC)

.Youssouphe

Avec ce chapitre, nous entrons réellement, si l'on peut dire ainsi, dans le vif du sujet à savoir la
datation de la période au cours de laquelle youssouphe séjourna en Egypte. Ibn Kathir, l'Envoyé de
Dieu bénisse et le salue -- a dit de lui [youssouphe : « Il est le noble, le fils du noble, le fils du noble,
le fils du noble » d'autre termes il est « youssouphe Yakhoba Ben Isakha Ibrahima »

Le prophète aurait dit aussi de Youssouphe, d'après Abou Houraira : « Youssouphe est le
prophète de Dieu, le fils d'un prophète de Dieu. le fils d'un prophète de Dieu, le fils de l'ami
de Dieu. » Le moins que l'on puisse dire à ce propos, c'est que l'unanimité est sans aucun
doute faite autour des qualités de cette courte généalogie de Youssouphe, en ce qui concerne
les trois religions dites révélées. Il en est de même de l'appellation « Enfant d'Israël » laquelle
peut parfaitement être appliquée à youssouphe. Mieux, ce dernier est un des tout premiers «
Enfants d'Israël » puisqu'Israël est en réalité l'autre appellation de yakhoba , le père de
youssouphe .Toutefois, sur cette appellation d'Israël, les explications diffèrent Le
Commentateur de la T.O.B, sans pour autant faire une affirmation, note qu'« en hébreu, il y a
jeu de mots entre le nom d'Israël , qui vient des mots arabes asra ila allah , parce qu’il se réfugia
pendant la nuit vers Dieu , fuyant la main de son frère ( Esaii , a qui il avait usurpé la bénédiction
que lui réservait leur père Isakha ) et qu’il se retira vers Dieu et alla dans un pays où il se
trouvait en toute sûreté .

.Moussa
On peut souligner a priori, qu'il ne fait aucun doute que pour le Coran Moussa est né en Égypte. Cet
événement, ainsi que les circonstances qui l'ont amené dans la demeure de Pharaon (où le
recueillirent les gens de ce dernier) sont retracés à travers plusieurs sourates, particulièrement la
sourate 20 (versets 38 à 40) et la sourate 28 (versets 7 à 13). Autre élément que nous pouvons noter,
c'est le fait que Moussa, qui fut recueilli par les hommes de Pharaon, fut adopté par Asiya, la femme
de ce dernier comme cela apparait à travers ce verset : « Et la femme de Pharaon dit : (cet enfant)
réjouira mon œil et le tien ! Ne le tuez pas. Il pourrait nous être utile ou le prendrons nous pour
enfant »79. Le coran, quant à lui, ne donne ni de chiffre ni de date relatifs au moment où Moussa
quitta l’Egypte pour Madian suite au meurtre d'un Egyptien. En revanche, il fournit un
renseignement très précieux, susceptible de nous permettre de nous faire une idée sur l'âge de
moussa .En effet, le coran, à ce propos : dit << et quand il eut atteint la maturité et sa pleine
formation, nous lui donnâmes la faculté de juger et une science >>. Par conséquent, nous pouvons
affirmer, conformément au coran, que moussa était mûr lors ce qu'il s'enfuyait d’Egypte après son
forfait ; forfait qui est relaté dans le coran par le verset 15 de la sourate 28. Ainsi, nous pouvons
accorder un certain crédit à l’âge avancée par Tabari consternant moussa. Soulignons, par ailleurs,
que l'âge de 40as constitue pour l’islam celui de la pleine maturité. Il est plus que significatif
d'ailleurs que c'est à cette âge Mohammed (P .S.L ) commença à recevoir le révélation.

Il est évident que moussa dut rester encore en Egypte quelques années comme on peut le deviner à
travers ces versets
<< Et certes, nous donnâmes à Moussa neuf miracles évidents »

Nous avons éprouvé les gens de Pharaon par des années de disette et par une diminution de fruits
afin qu'ils se rappellent » (respectivement s.17, Vt.101 et S.7, Vt.130). Selon Tabari, cette disette «
désola pendant trois ans l'Égypte entière au point que rien ne poussait et qu'on ne tirait aucun fruit des
arbres » . Par conséquent, si nous considérons les années de disette et celles que l'accomplissement des
autres miracles (ou « plaies ») aurait nécessitées, on peut arrêter la durée de cinq ou six ans, comme
durée minimale, que Moussa, après son retour de Madian, eut à passer en Égypte avant l'Exode.
D'ailleurs, si l'on en croit Tabari, cette durée pourrait être revue à la hausse car selon lui
Moïse faisait un miracle chaque année »88

III/ L'influence de l’Egypte dans le coran

1- Sur le PLAN culturel

Les Egyptiens étaient circonscrit dès la préhistoire : ce sont eux qui ont transmis cette pratique au
monde sémitique en général (juifs et arabes) et en particulier à ceux qu’Hérodote appelé les syriens.
Pour démontrer que les colches étaient des Egyptiens Herodote invoque les deux indices suivants :

<<… Le premier, c'est qu'ils sont noirs et qu'ils ont les cheveux crépus, preuve a ces équivoques,
puisque qu'ils ont cela de commun avec d'autres peuples ; Le second, et le principal, c'est que les
colchidiens les égyptiens et les éthiopiens, sont les seuls hommes qui se fassent circoncire de temps
immémorial. . les phéniciens et les syriens de la Palestine conviennent au même qu'ils ont appris la
circoncision des Egyptiens ; mais les syriens qui habitent les bords du thermodon et parthenius , et des
macrons , leur voisin, avouent qu'ils la tiennent depuis peu des colchidiens or , ce sont là les seuls
peuples qui pratiquent la circoncision et encore paraît-il qu'en cela ils ne font qu’imiter les Egyptiens
.>> ( II ., p. 104.)

J’appelle Nègre espérant être d'accord avec tous les esprits logiques, un être humain dont la peau est
noir, à plus forte raison quand il a les cheveux crépus.

Tous ceux qui acceptent cette définition reconnaîtront que, d'après Hérodote, qui a vu les Egyptiens,
comme le lecteur de ce papier, la circoncision est d'origine égyptienne et éthiopienne, et qu’Egyptiens
et Éthiopiens n'étaient autres que des Nègres habitants des régions différentes.

Nous comprenons ainsi pourquoi les Sémites pratiquent la circoncision sans que leurs traditions en
donnent une justification variable. La faiblesse des arguments avancés dans la Genèse est caractéristique
à cet égard : Dieu demandera, à Ibrahima, comme à Moussa de se circoncire, en signe d'alliance avec
lui, sans qu'on sache ce qui peut, dans la circoncision considérée du point de vue de la tradition juive
même, conduire à l'idée d’une alliance. Le fait est d’autant plus étrange qu’Ibrahima serait Agé de 90
ans au moment où il fut circoncis. Ibrahima aurait épousé, en Egypte, une négresse, l’Egyptienne Agar,
mère d’Ismaël, point de départ biblique de la seconde blanche sémitique, les Arabes : Ismaël serait
l’ancêtre historique de Mohamed. Moussa aurait épousé une Mandanité et c’est consécutivement à
son que l’éternel lui a demandé de se circoncire. Ce qu’on pourrait retenir par-delà les détails
légendaires c’est l’idée que la circoncision n’a été introduite chez les « sémites » que par suite d’un
contact avec le monde noir, ce qui est conforme au témoignage d’Hérodote. La circoncision ne trouve
une interprétation intégrée dans une explication générale de l’univers, c’est-à-dire une cosmogonie,
que chez les nègres.

2- SUR LE PLAN SOCIO-RELIGIEUX

L’organisation sociale de la ville africaine épouse exactement celle de l’Egypte. Le matriarcat est la
base de l’organisation sociale en Egypte comme dans le reste de l’Afrique noire. Par contre on a jamais
pu prouver l’existence d’un matriarcat dit paléo-méditerranéen. Si l’idée d’un matriarcat, héritage
d’une paléo-méditerranée blanche, n’était autre chose qu’une vue de l’esprit, elle aurait du se
perpétuer à travers les époques : perse, grecque, romaine et chrétienne, comme elle s’est perpétuée
jusqu’à nos jours en Afrique noire. Mais nous savons qu’il n’en est rien.

Sur le plan religieux, la description du Paradis : d’après les informations fournies par les sources
Egyptiennes et celles des religions révélées, le Paradis est un monde de délices, de bienfaits divines,
ou rien d’agréable ne manque à ces habitants. Il a plusieurs dénominations. Dans le coran, il est
nommé le jardin de la retraite, le jardin de l’éternité, les jardins des délices, la demeure du salut, la
demeure du séjour, la demeure de la vraie vie, le séjour paisible, le bon accueil et la belle place. A
travers ces différentes appellations, on est tenté de dire qu’il y a des types de Paradis : matérialisé et
spiritualisé. Ces deux demeures de l’au-delà sont mentionnées par les textes Egyptiens. On les
retrouve aussi dans la bible.

CONCLUSION

L'égypte selon le coran est une civilisation parmi les premières qui a vu le jour dans la région des
grands lacs à partir du Nil englobant presque toute l'actuel moyen orient . cependant elle a influence
très significative sur le coran qui relate manière explicite leur croyances et leur mode de vie leur
évolution et le passage de quelques prophètes qui ont marqué à jamais l'histoire de l'égypte .
BIBLIOGRAPHIE

1- Cheikh Anta Diop, Nations Négres et Cultures.

2- Mahamadou Imrawe Sow, La conception de l'au-delà dans la religion Égyptien, les relations
révélées et négro-Africaines: étude comparative.

3- Mahamadou Imrawe Sow, Les relations entre Dieu et l' homme dans la religion Égyptienne,
dans les révélées et Négro-afraines: Études Analytique et comparative.

4- Sérigne Mbacké Ndao, Moïse et Joseph: princes Égyptiens, prophète Hébreux, 8L2021-0709

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