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DISSERTATION DE PSYCHO-
SOCIO-PEDAGOGIE ?
POUR L’OBTENTION DU
CERTIFICAT D’APTITUDE
PEDAGOGIQUE A l’ECOLE
PRIMAIRE (CAP/EP )
Ce type de sujet ne comprend qu’un seul paragraphe pouvant être réparti en sous-
paragraphe selon les exigences de ce sujet. On peut le reconnaitre par les questions suivantes :
A-EXPLIQUEZ
B-COMMENTEZ
Commenter un sujet, c’est expliquer tout en considérant ce que l’auteur veut vraiment
dire. C’est également en mettant en exergue ce qu’il pense. Cela veut dire que le
commentaire, c’est la façon de dire autrement ce que pense une personne sans exclure son
avis. Commenter, c’est donc, rendre plus claire une idée sans se passer de celle de l’auteur.
Bref, c’est expliquer en allant de pair avec le concepteur de l’idée.
C-ANALYSEZ :
Analyser un sujet, c’est expliquer d’une manière détaillée ce sujet, tout en présentant
des exemples à l’appui. Autrement dit, c’est chercher à approfondir la signification de ce sujet
en l’explicitant de plus en plus en vue de favoriser la compréhension. En d’autres termes,
l’analyse consiste à expliquer d’une manière convaincante ce qu’on pense.
D-DEVELOPPEZ :
EXEMPLE :
« L’action permet d’apprendre avec sa tête, avec son cœur et avec ses
mains ».Expliquez ou commentez ou analysez ou développez
2) LE SUJET BINAIRE :
EXPLIQUEZ ET COMMENTEZ ?
Ici, il s’agit d’abord d’expliquer le sujet et de le commenter ensuite et cela dans deux
paragraphes biens distinctes. D’où L’EXPLICATION et LE COMMENTAIRE doivent
être identifiés si bien que dans leur forme que dans leur contenu. Les sous-parties dépendent
des exigences du sujet.
EXPLIQUEZ ET APPLIQUEZ
EXPLIQUEZ ET DISCUTEZ
On avance avant tout, LES IDEES qui sont CONFORMES à l’avis de l’auteur, c'est-
à-dire qu’on est pour son opinion, de même conception que lui. C’est aussi « LE POUR » au
sujet, c'est-à-dire tout ce qui est en accord avec ce que pense le concepteur de cet avis. Bref,
c’est LA THESE ou l’on présente LES DIVERS AVANTAGES constatés.
Puis on évoque ensuite LE JUSTE MILIEU par rapport à ce sujet. C’est donc LA
SYNTHESE, c'est-à-dire LES SOLUTIONS PROPOSEES A LA PROBLEMATIQUE
demandées dans ce sujet.
QU’EN PENSEZ-VOUS ?
Ici, cette question doit nécessiter deux exigences qu’il fallait considérer : celles de
l’EXPLICATION et de l’AVIS PERSONNEL. Ce dernier consiste à évoquer d’abord LES
AVANTAGES, à parler ensuite DES INCONVENIENTS et à annoncer enfin LE JUSTE
MILIEU qui constitue la réponse à la problématique. L’AVIS PERSONNEL permet au
candidat de dire ses conceptions concernant un sujet donné. Il y peut accepter ou renier à
l’opinion de l’auteur pour pouvoir avancer après LES SOLUTIONS ENVISAGEES.
Notons que pour répondre à cette question, L’EXPLICATION est toujours entendue.
Autres questions peuvent engendrer un AVIS PERSONNEL à savoir : ETES-VOUS DE
MEME AVIS QUE….. ? PARTAGEZ-VOUS CETTE OPINION…. ? EN ETES-VOUS
D’ACCORD…. ?
APPLIQUEZ
Il appartient donc à chaque candidat de bien respecter toutes ces directives données
pour mieux considérer à la fois LA FORME et LE FOND du devoir.
Quand on le sujet en main, de nombreux critères sont à respecter pour mieux rédiger le
devoir. Les directives suivantes doivent donc aider le candidat dans l’élaboration de son
travail.
1-COMPREHENSION DU TEXTE
2-L’ELABORATION DU PLAN :
On peut reconnaitre LE PLAN du devoir de trois manières bien distinctes.
- A travers les questions posées. Ici, le candidat doit se conformer aux différentes
questions posées plus haut, pour s’y mettre au courant. Il lui appartient de se mettre au
courant de toutes ces variations des questions pour pouvoir identifier le plan y
afférent.
- A travers le type du sujet. Les questions posées peuvent également le déterminer. Il
peut être UN SUJET SIMPLE, ou UN SUJET BINAIRE ou UN SUJET
TERNAIRE. Tout cela dépend de la maitrise de ces questions.
- A travers la compréhension proprement dite du sujet. Cette troisième et dernière façon
peut aider le candidat à bien mener son travail selon le plan approprié et adéquat bien
choisi.
Notons que la bonne identification du plan consiste la première réussite de notre devoir.
Donc, à ne pas minimiser, car cela peut aboutir à un « HORS SUJET »
3-L’ELABORATION DE L’INTRODUCTION :
Pour cela UNE CONCLUSION doit comprendre SIX PHRASES à rédiger avec
ATTENTION :
C’est un travail harmonisé où les idées et les paragraphes sont reliés par DES
TRANSITIONS.
LES TRANSITIONS sont des mots, des expressions, des paragraphes ou des phrases
de liaison entre les idées et les paragraphes dans une dissertation. Il existe deux sortes de
transitions :
DES EXEMPLES :
La liste n’est pas exhaustive car il existe de nombreux types de transitions que l’on
peut utiliser pendant la rédaction du devoir.
Cette activité doit toujours partie d’un sujet bien déterminé que l’on va traiter selon les
directives qu’on a données. Et on peut le traiter :
Et tout cela à travers les questions posées,, selon le type de sujet, et même au moyen de la
compréhension de ce sujet. Nous allons en prendre UN EXEMPLE.
« L’action permet d’apprendre avec sa tête, avec son corps et avec ses mains »
C- IDEE GENERALE : cela peut être le ruelle nécessité, la valeur, l’importance, la raison
d’être ou même la place de l’ACTION en éducation ou en enseignement.
En enseignement, on peut mobiliser son corps, son esprit et son âme quand on agit.
Dans cette activité, on peut reconnaitre ce plan général à travers les questions posées
et qu’il fallait bien comprendre ce sujet et la type qu’il a.
a) EXPLIQUEZ
« L’action permet d’apprendre avec son cœur ……. ». Cela signifie que les
agissements jouent un rôle très important à l’éducation des attitudes et des comportements.
C’est pour dire qu’il n’y a pas de bon apprentissage sans âme.
« L’action permet d’apprendre avec ses mains…… ». Ici, l’action est basée sur la
manipulation d’objets, ce qui favorise également l’apprentissage des enfants. Autrement dit,
l’élève qui apprend doit mobiliser tous ses organes de sens.
« L’action permet d’apprendre avec sa tête, avec son cœur et avec ses mains…. ». Ici,
l’auteur veut insister que le bon fonctionnement du corps, de l’esprit et de l’âme doit dépendre
d’une bonne action.
b) QU’EN PENSEZ-VOUS ?
En général, l’avis de l’auteur est bien fondé, mais pas totalement, d’après l’explication
faite plus haute.
Par conséquent, l’apprentissage peut se faire par tous les moyens possibles. Autrement
dit, on peut apprendre de différentes manières selon le besoin et la volonté de celui qui le fait.
c) APPLIQUEZ
Le respect des étapes est ensuite l’un des critères à ne pas minimiser dans
l’accomplissement de son travail.
Notons qu’UNE APPLICATION est la mise en œuvre des activités exigées dans le
sujet. Il appartient donc à chaque candidat d’en chercher des idées convaincantes.
Généralement, un sujet n’a normalement que trois paragraphes, mais dans le cas des
sujets simples, ils peuvent en avoir plus quand il s’agit d’un sujet-question. Notons également
qu’un sujet qui a plus de trois paragraphes est UN SUJET SIMPLE.
L’éducation est une activité complexe. Elle exige beaucoup d’actions à faire en classe.
Pour conseiller aux Enseignants, on nous dit que : »L’action permet d’apprendre avec sa tête,
avec son cœur et ses mains ». Comment comprenons-nous cette affirmation ? Pour en
connaitre les vérités, une explication suivie d’un avis personnel et une application nous sont
nécessaires.
D’abord, l’action permet d’apprendre avec sa tête…Cela veut dire qu’à travers
l’action, on peut mobiliser l’esprit, base de la réflexion pour chercher à comprendre les
choses. D’où l’intelligence va de pair avec les mouvements qu’on fait.
Ensuite, l’action permet d’apprendre avec son cœur …C'est-à-dire qu’en faisant des
mouvements pendant chaque leçon, les attitudes et les comportements y sont bien à mobiliser.
C’est pour dire que l’INTERET, la MOTIVATION, l’ATTENTION et la VOLONTE
constituent les facultés les plus à recommander. Donc, il n’y a pas d’apprentissage sans âme.
Enfin, l’auteur veut insister que tout apprentissage doit dépendre du bon
fonctionnement du corps, de l’esprit et de l’âme à travers l’action qu’on fait. Pour cela, la
mobilisation de toutes les facultés humaines sont strictement à conseiller si on veut une bonne
éducation. Après cette explication, passons à l’avis personnel.
D’une manière générale, on constate que l’idée de l’auteur est bien fondée, mais peut-
on l’accepter totalement ? L’explication ci-dessus nous permet de l’affirmer.
Pour contre, on peut apprendre autrement, soit en observant ou en imitant les faits, soit
par la pratique directe ou tout simplement en regardant des émissions radiotélévisées.
Par conséquent, on peut apprendre par tous les moyens possibles pour faire travailler
toutes les facultés humaines à travers les actions faites. Il appartient à chaque Enseignant de
bien préparé d’une part ses activités scolaires, et de bien choisir, d’autre part les méthodes à
adopter, pour mieux apprendre.
Faire des recherches-actions avec ses élèves est aussi un moyen efficace pour les
encourager à apprendre selon leurs facultés psychologiques.
Bref, toutes les démarches sont bonnes, mais l’essentiel c’est de savoir les utiliser pour
l’amélioration de l’apprentissage.
a) Un sujet doit être compris avant d’être traité. Pour cela, le respect de toutes les
directives données est impérativement nécessaire.
b) Dans le traitement d’un sujet, on n’a droit ni à l’oubli ni au rajout. Donc, on doit
traiter le sujet, ne traiter que le sujet, traiter tout le sujet.
d) Celui-ci est l’organisation structurelle du devoir qui est dit à moitié fini. C’est
l’image globale du DEVELOPPEMENT.
INTRODUCTION :
Nos actions reposent sur trois principales SCIENCES que nous allons présenter et
définir l’une après l’autre. La première est L’EDUCATION. Celui-ci est tirée des deux mots
latins ayant une double origine. D’abord, de « édulcore » qui veut dire « nourrir » puis de «
éduquerai » qui signifie « tirer hors de » ou « conduire vers » et en un mot « élever ». D’où
le sens étymologique du mot EDUCATION repose sur les verbes « nourrir » et « élever ».
Cette science qui a pour but de développer toutes les facultés humaines se rapproche d’un
autre qu’est LA PEDAGOGIE. Celle-ci, basée sur la connaissance des enfants, étudie la
théorie scientifique de la première, c'est-à-dire les règles à suivre pour instruire et éduquer les
élèves. LA PEDAGOGIE constitue donc l’ensemble des moyens utilisés pour la réalisation
de l’EDUCATION. Ces deux sciences sont inséparables d’une troisième qu’est LA
PSYCHOLOGIE. Elle permet d’étudier les attitudes et les comportements des enfants, de
favoriser une connaissance approfondie des élèves en vue de bien adapter l’enseignement à
leurs besoins et attentes. La cohérence et la complémentarité entre ces trois sciences sont
indéniables pour mieux harmoniser notre tache et la rendre efficace.
L’éducation est une activité d’envergure nationale, voire internationale. Elle est d’une
importance capitale dans la vie humaine où tout le monde en a besoin. C’est une tache
vraiment délicate et qui exige à tout Enseignant des recherches appropriées à faire. Ainsi, de
nombreux chercheurs et concepteurs la définissent comme suit :
DURKHEM ( 1911) : « L’éducation est l’action exercée par les générations adultes
sur celles qui ne sont pas encore mures pour la vie sociale »
Mais pour accomplir cette activité d’une importance capitale et très délicate, on ne
peut se passer de la PEDAGOGIE qui lui est complémentaire : une bonne éducation doit
dépendre d’une meilleure PEDAGOGIE. Donc , le mariage de ces deux sciences doit
favoriser nos activités éducatives. Nombreux sont les éducateurs qui en disent leurs
conceptions.
C.FREINET : « La pédagogie est avant tout une démarche éducative face aux besoins
des enfants, des adolescents et des adultes ». Elle contribue l’amélioration de l’enseignement
car dit-on : »Enseigner est un métier qui requiert une formation professionnelle et doit offrir
en plus des savoirs indispensables, des savoir-dire, de savoir-faire et des savoir-être à
mobiliser ».
Une troisième science ne peut être exclue si l’on veut avoir une bonne éducation. C’est
LA PSYCHOLOGIE permettant la connaissance totale des enfants. Cette activité consiste à
étudier la raison d’être d’une personne : corps, esprit, âme. CLAPAREDE en parle : « La
pédagogie doit reposer sur la connaissance de l’enfant, comme l’horticulture sur la
connaissance des plantes ». Il est donc souhaitable que l’Enseignant connaisse se élèves, et
qu’il sache leur rythme de développement, leurs particularités sensorielles, leurs propres
caractères, leurs goûts et leurs aptitudes psychologiques. Notons que pour un Educateur digne
de lui, la connaissance des enfants est sa principale préoccupation, et cela pour bien identifier
toutes les caractéristiques humaines en vue d’une amélioration éducative. D’où, « Il faut
connaitre l’enfant pour pouvoir l’enseigner et l’éduquer ». La connaissance d’élèves constitue
donc un atout efficace pour faire l’éducation et cela durant toutes les périodes de l’enfance.
Actuellement, on prône L’EDUCATION PAR LA REUSSITE où l’Enseignant
cherche à travers de nombreuses pédagogies à faire réussir les élèves dans leur travail. Dans
cette activité, on doit encourager les enfants à être curieux, à être les propres artisans de leurs
savoirs, à participer activement pendant les leçons en les rassurant que tout le monde droit à
l’erreur, et à apprendre à apprendre par des recherches-actions et par la créativité. D’où, à la
naissance de LA PEDAGOGIE DE L’ERREUR consistant « à stimuler l’enfant que de le
décourager », « à le récompenser que le punir ». On apprend donc à l’enfant de ne pas se
soucier des erreurs qu’il a faites. Parce que le goût de la réussite renforce le dynamisme
personnel, l’éducation doit en être fondée, car dit-on, « Une éducation par la réussite n’est pas
une éducation de facilité, mais au contraire, un renforcement de dynamisme permettant
d’affronter toutes les difficultés rencontrées. Pour cela, le rôle de l’adulte consiste à aider les
enfants à prolonger leurs recherches spontanées, et pas seulement dans des programmes
préétablis. Il est donc très important de soutenir leur élan en vue d’élargir en permanence
leurs champs de réussite dans des divers domaines »(Sociologie de l’éducation).
Bref, « L’éducation par la Réussite renforce chez l’enfant le désir de travailler et de
créer » car dit-on : « L’éducation doit trouver son moteur essentiel dans le travail, un travail
QUOI ?
(Contenu du programme)
EVALUATION
(Résultats)
POURQUOI ?
Pourquoi enseigner ? Pourquoi éduquer ? Pourquoi former ?
La réponse à ces questions doit aboutir à la détermination des OBJECTIFS à viser.
Sachons que dans toute éducation, l’atteinte des objectifs constitue la première préoccupation
d’un Enseignant digne de lui, conscient de ses droits et devoirs et utile à la nation. Cette
première composante de la didactique doit être considérée et placée au centre de tout en étant
la principale base des activités éducatives. Pour cela, le bon choix des objectifs à atteindre est
un des moyens plus efficaces permettant d’aider l’Enseignant si bien que dans la préparation
que dans l’accomplissement de sa tache. Ainsi, l’atteinte des objectifs s’avère une nécessité
absolue pour la réussite de chaque leçon, ou plus exactement de toutes les activités
pédagogiques envisagées. Par conséquent, la bonne identification des objectifs doit être
impérative en vue de résoudre ces problèmes généraux de la didactique. Il appartient donc à
chaque Enseignant de bien définir d’abord ses objectifs, de les choisir selon les situations
ensuite en vue de les atteindre enfin à travers les activités à faire.
QUOI ?
La réponse à ces questions consiste à bien identifier les contenus des programmes à
traiter. Il s’agit dans cette partie, de bien déterminer les thèmes à faire acquérir, et de les
maitriser convenablement. La connaissance de ces contenus aidera l’Enseignant à penser
d’une part, à ses objectifs visés, et d’autre part, à accomplir ses taches comme il faut. La
question QUOI constitue un indice de reconnaissance des contenus à enseigner, à éduquer et à
former. Il est donc indispensable de les maitriser car cela contribuera au bon choix des
objectifs à atteindre, vu les liaisons étroites qui existent donc à chaque Enseignant de bien
définir ses objectifs par rapport aux contenus à traiter pour le bon fonctionnement de
l’enseignement.
A QUI ?
La connaissance des contenus et le bon choix des objectifs ne sont qu’une partie des
obligatoires professionnelles de l’Enseignant. Celui-ci doit savoir A QUI il va faire cette
éducation et QUI va être bénéficiaire de cette activité ? Pour cela, la réponse à cette question
va nous permettre de reconnaitre la population cible, c'est-à-dire les élèves, ou les adolescents.
On dit souvent.
COMMENT ?
En ayant pris soin des objectifs à viser et des contenus à enseigner conformément aux
besoins et attentes de la population cible, la seule chose qui doit préoccuper l’Enseignant,
c’est de chercher à mobiliser les moyens à mettre en œuvre, c'est-à-dire de choisir les
méthodes à adopter et à adapter la réponse à la question COMMENT va nous permettre de
bien déterminer les techniques à utiliser, les procédés pédagogiques à l’entreprendre et les
stratégies appropriées à mobiliser en se posant les questions suivantes: COMMENT
ENSEIGNER? COMMENT EDUQUER ? COMMENT FORMER ? Pour cela,
l’Enseignant doit non seulement maitriser les difficultés méthodes existantes, mais aussi,
savoir les choisir et les appliquer convenablement en classe. La connaissance des méthodes et
la maitrise de leur utilisation constituent la première préoccupation d’un Enseignant digne de
lui en voulant, d’une part, améliorer ses expériences personnelles et professionnelles, et
d’autre part, promouvoir l’efficacité doit être considérée pour l’amélioration de l’éducation.
Mais que doit-on faire après ?
EVALUATION
La réponse à cette question repose sur la façon d’évaluer les acquis des élèves. Certes,
toutes actions éducatives doivent aboutir à des finalités bien précises : la maitrise des
contenus à apprendre, la connaissance psychologique des enfants, la bonne application des
techniques et stratégies adéquates et la bonne élaboration des évaluations, base de l’atteinte
des objectifs. Pour cela, des questions sont aussi à poser : Quoi évaluer ? Pourquoi évaluer ?
Comment évaluer ? Quand évaluer ? C’est pour dire que :
L’EVALUATION consiste à reconnaitre si les résultats obtenus ont été efficaces au terme de
la leçon. Elle permet de mesurer le rendement de l’apprentissage, de réajuster si nécessaire les
L’Enseignant doit donc évaluer chaque objectif pour s’assurer de l’atteinte de celui-ci
avant de passer à l’objectif suivant. Ainsi, les objectifs spécifiques définis dans les
programmes peuvent être évalués sous forme d’évaluation formative d’abord, et d’évaluation
sommative ensuite.
Mais cela nécessite des périodes d’évaluation bien précises. Mais QUAND EVALUER ?
L’évaluation peut se faire oralement ou par écrit avec des outils d’évaluation :
VRAI/FAUX, OUI/NON, QCM(Question à Choix Multiples), EXERCICES A TROUS,
DEVOIRS ECRITS…..
D’après l’analyse que nous avions faite sur les problèmes généraux de la didactique,
nous avons pu constater la complexité des résolutions à apporter. Mais pour remettre à toutes
les situations, les impératifs pédagogiques suivants sont aussi à reconnaitre par les
Enseignants à savoir.
De nombreuses méthodes doivent être maitrisées par les Enseignants en vue de bien
effectuer leurs taches professionnelles. On peut en citer quelques-unes :
Celles-ci sont parfois dites actives dans la mesure où elles font agir les apprenants sur
tous les plans physique, intellectuel, moral, social et artistique. Ces genres de méthodes font
toujours appel à la théorie et la pratique.
Dans ces méthodes nouvelles, l’enseignement est centré sur l’apprenant et non sur le
programme. Autrement dit, c’est l’apprenant lui-même qui est le propre artisan de son savoir,
il est notre principale préoccupation tout en tenant toujours compte de ses besoins, de ses
intérêts et de ses attentes.
Notons que dans les méthodes traditionnelles, l’accent est mis sur l’activité de
l’Enseignant, c'est-à-dire que c’est lui qui détient tous les savoirs à faire acquérir
l’enseignement magistral, frontal ou expositif……C’est pour dire que pendant les cours, les
élèves restent passifs, non participatifs en écoutant leur maître, détenteur de toutes les
connaissances.
Par contre, dans les méthodes actives, l’accent est mis sur l’activité des élèves, c'est
l’enseignement centré sur l’apprenant, tout en tenant compte des besoins et des attentes des
enfants et de leur psychologie. Dans ce genre de méthode, ce sont les élèves eux-mêmes qui
construisent leurs savoirs avec l’aide de leur Enseignant.
Le triangle pédagogique constitue une démarche mettant en exergue les relations entre
l’Enseignant, les élèves et les savoirs et permettant de mettre ceux-ci au centre de toutes
préoccupations.
De plus, la triple cohérence doit permettre de favoriser les liaisons entre les objectifs à
atteindre, les contenus à enseigner, les stratégies à adopter et les évaluations à entreprendre.
c)LA LECON
Une leçon est conçue pour faire acquérir des connaissances, pour permettre aux
apprenants de s’approprier du savoir-savoir, du savoir-dire, du savoir-faire et du savoir-être en
les construisant avec l’aide des Enseignants en vue d’éduquer les élèves sur tous les plans
physique, intellectuel, moral, social et artistique.
Ces savoirs constituent les contenus de la leçon. Les procédés, les techniques, les
recettes pédagogiques et les méthodes sont des moyens facilitant l’acte pédagogique ou des
stratégies pédagogiques. Ce sont également des outils de mise en œuvre de toutes les activités,
en vue de les rendre efficaces.
La fiche de préparation constitue un outil approprié pour réaliser une activité. A cet
effet, elle devrait essentiellement comporter les éléments suivants : préciser les objectifs, les
moyens à mettre en œuvre, tout en précisant les différentes étapes et le temps imparti à chaque
séance ainsi que les contenus de la leçon et les stratégies à adopter.
Une leçon peut avoir deux aspects : l’ASPECT THEORIQUE englobant la phase de
découverte et l’ASPECT PRATIQUE se rapportant aux phases de fixation et d’évaluation.
Les évaluateurs peuvent être les élèves eux-mêmes, les Enseignants, les parents, la
société et les autres acteurs du système éducatif
En ce qui concerne aussi la didactique des disciplines, on peut utiliser deux méthodes :
-La méthode déductive, se faisant, par contre, dans la phase d’évaluation pour l’application
des acquis. Elle doit favoriser les pratiques pédagogiques, la mobilisation des différentes
techniques d’évaluation et des divers exercices confirmant l’acquisition des connaissances,
voire l’atteinte des objectifs visés.
C’est pourquoi on dit souvent : « Il n’y a que deux méthodes : la méthode inductive et
la méthode déductive ». D’où, leur complémentarité dans l’accomplissement des activités
scolaires.
Une leçon, pour qu’elle soit efficace, doit avoir les qualités suivantes :
Bref, la réussite d’une leçon doit dépendre de nombreux critères à considérer par les
Enseignants, à savoir :
-Le bon choix des objectifs à viser celui des contenus à enseigner
-La bonne élaboration des impératifs pédagogiques : répartition, journal de classe, fiches de
préparation, matériels didactiques.
-La maitrise des attitudes et des comportements exemplaires pendant toutes activités.
Le CAP/EP est un examen de haut niveau exigeant à celui qui le subit des
connaissances psycho-socio-pédagogiques et éducatives fortes. Cela consiste à mesurer la
compétence et la performance du candidat sur les problèmes généraux de l’éducation. A cet
effet , quatre épreuves bien distinctes sont à subir pendant deux journées consécutives, à
savoir :
1- LA PEDAGOGIE GENERALE
C’est une épreuve de dissertation en français sur un sujet d’ordre pédagogique ou socio-
pédagogique ou psychopédagogique. Elle permet d’évaluer les connaissances du candidat sur
les questions d’ordre éducationnel et sa capacité de réflexion sur les problèmes actuels de la
PEDAGOGIE et de l’EDUCATION en général. Sa durée est de QUATRE HEURES.
2- LA PSYCHOLOGIE
C’est la science de l’âme. Elle est l’étude scientifique de la vie mentale (mémoire,
intelligence, volonté…), l’étude des sensations et des perceptions. Bref, c’est l’étude
scientifique des comportements.
La psychologie comprend :
-L’étude de la vie affective car l’enfant est un être qui sent, qui éprouve du plaisir.
-L’étude de la vie intellectuelle car l’enfant est un être qui pense (perception par les cinq
sens, par les différentes facultés).
Comme tout être, l’enfant a ses tendances, ses reflexes, ses besoins et ses désirs qu’il
essaie de satisfaire mais parfois il n’arrive pas en surmonter les difficultés rencontrées.
Cette épreuve permet d’évaluer les capacités pédagogiques du candidat sur l’application
des disciplines littéraires. Celles-ci sont des matières de conviction permettant à l’Enseignant
d’inculquer à l’enfant l’affectivité et la volonté et d’éduquer ses sentiments. Ce sont les
disciplines : MALAGASY, FRANÇAIS, HISTOIRE, L’EDUCATION MORALE ET
CIVIQUE.
C’est une dissertation strictement traitée en français sur un problème d’ordre pratique
concernant les disciplines MATHEMATIQUES, SCIENCES DE LA VIE ET DE LA
TERRE, GEOGRAPHIE et permettant au candidat de résoudre une problématique
spécifique. L a durée de l’épreuve est de DUEX HEURES
Ce qui nous permet de dire que la conviction littéraire peut s’acquérir par le
raisonnement, tandis que la logique scientifique par des épreuves et des démonstrations
persuasives.
EXEMPLE 1 :
« La formation continue des Enseignants sera assurée pour combler leurs lacunes,
améliorer leur performance pédagogique, les préparer à mettre en pratique les modifications
introduites dans le système éducatif ».
Qu’en pensez-vous ?
En vous appuyant sur des exemples précis, proposez des mesures et des actions à
mener pour la réalisation de la formation continue ?
I-COMPREHENSION DU SUJET
2-MOTS-CLES : Le choix des mots clés est laissé à la propre initiative du candidat. En effet,
les expressions suivantes doivent être mises en considération : sera assurée, combler leurs
lacunes, améliorer leur performance pédagogique, les préparer à mettre en pratique. Elles vont
nous permettre de reconnaitre l’idée générale.
4-TRADUCTION DU SUJET : Cette activité nous permet de traduire à notre façon ce sujet.
Autrement dit, on cherche à appliquer d’une autre manière ce que pense vraiment l’autre.
Bref, dire son idée d’une autre façon, comme par exemple :
Les Enseignants ont besoin de la formation continue pour compléter leurs savoirs,
pour améliorer leurs aptitudes et pour se préparer à mettre en œuvre les innovations
pédagogiques actuelles.
II-PLAN GENERAL
Il s’agit ici d’un sujet ternaire comprenant trois parties bien distinctes :
-Explication
-Avis personnel
-Application
a)La formation continue des Enseignants sera assurée pour combler leurs lacunes . Ici,
on sait que les connaissances psychopédagogiques des Enseignants encore insuffisantes
doivent être compléter par des études personnelles et professionnelles en vue de
l’amélioration de leurs savoirs.
b)La formation continue des Enseignants sera assurée pour améliorer leur performance
pédagogique. On fait comprendre ici que grâce à la formation continue, les Enseignants
arrivent à s’expérimenter dans leur travail. Cette activité leur permet de développer leurs
aptitudes pédagogiques.
c) La formation continue des Enseignants sera assurée pour les préparer à mettre en
pratique les modifications introduites dans le système éducatif. Dans cette partie, on fait
connaitre que sa tache, il ne suffit pas d’améliorer ses acquis personnels ou professionnels et
de développer ses aptitudes dans le travail mais également de savoir les utiliser conformément
aux innovations pédagogiques préconisées dans le système éducatif actuel.
d)Dans cette quatrième sous-partie, on fait la synthèse des explications qu’on a faites
pour faire apparaitre que la formation continue est pour les Enseignants un moyen très
efficace permettant de s’améliorer, de se développer et de se mettre au courant de toutes les
innovations éducatives actuelles.
a)Dans cette première partie, on fait comprendre que l’idée de l’auteur est bien fondée
mais pas totalement d’après l’explication qu’on a faite ci-dessus.
Exemple : D’après, l’explication qu’on a faite, nous pouvons constater que cette idée est vraie
mais peut-on l’accepter totalement ?
3-APPLICATION :
CONSEILS: C’est ici qu’on devra évaluer les expériences pratiques du candidat non
seulement dans le choix des exemples utilisés mais également dans sa façon de convaincre le
lecteur ou le correcteur. Pour cela, les directives suivantes sont à respecter :
-Avancer des différents moyens de formation pour bien justifier les tenants et aboutissant de
cette idée en vue d’une amélioration dans le travail.
REMARQUES :
Nous pouvons affirmer et confirmer qu’un plan détaillé bien élaboré est déjà un travail
à moitié fini.
1- L’INTRODUCTION
En vue de bien élaborer l’introduction, les conseils suivants sont à respecter : cette
première partie de la dissertation doit avoir cinq sous-parties inséparables et complémentaires.
a) Annoncer une phrase introductive de l’idée principale
b) Faire l’analyse des mots clés pour bien identifier l’idée générale
c) Introduire le sujet
d) Annoncer le plan à suivre
Pour cela, il est nécessaire de bien respecter ces cinq éléments de l’introduction pour
la rendre plus efficace. On doit donc les appliquer intégralement dans l’élaboration de cette
première partie.
MODELE A TITRE D’EXEMPLE
1-On parle souvent de la formation continue au niveau de chaque entité.2-Cette
activité d’une importance capitale pour les Enseignants constitue un de leurs besoins
fondamentaux dans l’accomplissement de leur travail.3-Pour le justifier, on nous affirme dans
le PNAE2 que : « la formation continue des Enseignants sera assurée pour combler leurs
lacunes, améliorer leur performance pédagogique, les préparer à mettre en pratique les
modifications introduites dans le système éducatif ».4-Mais comment comprenons-nous cette
opinion ? 5-Pour en connaitre la raison d’être, nous allons d’abord l’expliquer, en dire ensuite
notre avis personnel et en évoquer enfin les mesures et les actions à mener pour la réalisation
de la formation continue.
2-LA CONCLUSION
Quand à la conclusion, elle doit comprendre également cinq sous-parties ayant des
relations étroites avec celles de l’introduction. Pour cele, les directives suivantes sont aussi à
respecter :
1-Au terme de notre analyse, nous avons pu d’abord expliquer cette affirmation, en
dire ensuite notre avis personnel et propose enfin les mesures et les actions à mener pour la
réalisation de la formation continue.2-Ainsi, on peut dire que cette idée est bien fondée, mais
peut-on l’accepter totalement ? 3-En effet, toute formation peut se faire autrement, à travers
des mass-médias par exemple ou par émissions radiotélévisées. 4-Certes, on peut se former
par tous les moyens possibles à l’aide de ces expériences personnelles. Il appartient à chaque
Enseignant de bien choisir les meilleurs moyens pour se faire à la fois bon pédagogue et
éducateur. 5-Est-ce vraiment le cas d’aujourd’hui ?
3-LES TRANSITIONS
Ce sont des expressions ou des phrases de liaison entre les grands et les petits
paragraphes. Leur rôle est de mettre fin au paragraphe précédent et d’introduire l’autre qui
suit. Leur reformulation est loin d’être facile à faire, mais « A cœur vaillant, rien
d’impossible ».
En éducation, on doit non seulement maitriser les disciplines à enseigner mais aussi
connaitre la psychologie enfantine en vue de mieux adapter les activités scolaires aux besoins
et attentes des élèves.
Notons que :
Il appartient donc à tous les Enseignants de bien maitriser les disciplines pour pouvoir
les enseigner convenablement et de connaitre aussi les innovations pédagogiques basées sur la
psychologie enfantine en vue de bien adapter l’enseignement aux besoins et attentes de la
population cible (élèves ou étudiants)
CONSEILS : Se référer d’abord aux directives qu’on vous a données avant d’aborder le
sujet.
I-COMPREHENSION DU SUJET :
MOTS CLES : Le choix de mots clés est à l’initiative de l’Enseignant pour pouvoir
évoquer l’idée générale
IDEE GENERALE :
Dans ce sujet, l’expression « peut ne pas s’intéresser, nécessite une réflexion très
particulière.
1- Explication
2- Application
III-PLAN DETAILLE :
En général, l’élève doit s’intéresser à la leçon. Mais ici, il peut aussi ne pas s’y
intéresser. Dans cette affirmation, le verbe peut est bien mis en évidence. Ce qui nous oblige à
expliquer cette opinion en trois temps
1-EXPLICATION
a)- Logiquement partant, tout élève doit s’intéresser à chaque leçon enseigne et cela pour de
nombreuses raisons.
b)En classe, bon nombre d’élèves ne s’intéressent pas au cours qu’on leur donne, et cela
pourra de nombreuses raisons.
- La méthode utilisée est mal choisie et/ou n’est conforme à leurs facultés
psychologiques.
c)Selon le cas, l’élève peut ne pas s’intéresser à l’enseignement qu’on lui offre.
Par conséquent, on fait comprendre que chaque enfant a ses propres tendances
(inclinations) qui sont des forces orientant l’activité d’un individu vers certaines fins : ici,
c’est vers celles de l’enseignement. Depuis, l’enfant n’est pas un adulte en raccourci, mais il a
sa façon de voir, de sentir, de penser, de vouloir et de juger.
2-APPLICATION :
En vue de pouvoir apporter des solutions à tous les problèmes rencontrés et survenus,
des mesures et des actions adéquates à mener serant prises en considération.
-Le bon choix des objectifs à viser, des contenus à enseigner, des méthodes à adopter et des
évaluations à entreprendre.
-La maitrise des directives pédagogiques constitue un atout efficace pour le bon
fonctionnement des différents cours .
-La formation continue et permanenta des Enseignants doit être le moteur de développement
de toutes les activités scolaires.
-L’enseignement centré sur l’apprenant doit favoriser la participation effective des élèves
pendant l’acquisition des différents savoirs.
-La bonne application des diverses méthodes aide l’Enseignant à la mise en œuvre des
innovations pédagogiques.
c) SYNTHESE
1-L’INTRODUCTION
2-LA CONCLUSION
3-LE DEVELOPPEMENT :
Le développement est rédigé à partie du plan détaillé et tout en respectant l’ordre des
idées à avancer. On construit au fu et à mesure des phrases simples mais explicatives. Dans
cette partie, il faut bien déterminer les paragraphes existants et ceux-ci doivent être reliés par
des transitions.
LES TRANSITIONS :
Rappelons que les transitions sont des phrases de liaison, entre les paragraphes. Elles
doivent mériter du respect.
REMARQUES :
En général, pour l’enseignement des matières scientifiques, les trois méthodes sont
jumelées mais c’est la procédé de l’enseignement qui équilibre son importance suivant le
niveau de la classe.
EXEMPLE 3
SUJET : Les disciplines dites « accessoires secondaires comme le chant, le dessin et le travail
manuel sont souvent négligées. Vous paraissent, ils mériter une telle désaffection ? A propos
de l’une d’elles, montrer ce que l’on peut en tirer du point de vue pratique et sur le plan
éducatif.
II-COMPREHENSION DU SUJET
MOTS CLES : Le choix des mots clés reste à l’initiative de l’Enseignant. En effet,
considérer : disciplines, dites « accessoires » souvent négligées, désaffections.
III-PLAN DETAILLE :
Vu les valeurs pratique et éducative de ces trois disciplines, nous pouvons affirmer qu’elles ne
méritent pas une telle désaffection et cela pour les raisons suivantes
En plus, le chant est à la fois source de la joie, moyen d’expression affective, instrument de
culture musicale et lien social.
-C’est un instrument de culture générale par son alliance avec le dessin et les autres
enseignements des disciplines scientifiques.
-C’est aussi une préparation à la vie : construction et création d’objet en lui donnent des
habitudes manuelles et scientifiques.
-Pour l’élève :
Comme moyen d’expression, le dessin permet aux élèves de développer leurs pensées,
de satisfaire les besoins et les désirs de dessiner. Comme un moyen de documentation, il
apprend à l’enfant la prise de possession du réel. Il donne une base solide à l’observation,
permet de serrer de plus près la réalité, initie au travail manuel
-Pour le maître :
1-L’enseignement consiste à faire acquérir les différents savoirs chez les enfants 2)-
Cette activité s’effectue à travers les disciplines dont l’importance varie chez certains
Enseignants qui ignorent la raison d’être des matières jugées moins intéressantes en classe.3)-
Pour pallier à ces problèmes, on nous fait penser que « les disciplines dites « accessoires »
comme le chant, le dessin et le travail manuel sont souvent négligées ». 4) Mais qu’est ce
B-La conclusion :
1)Au terme de notre analyse, nous avons pu d’abord évoquer la raison d’être des
disciplines « chant », « dessin », « le travail manuel » en classe, et en proposer ensuite une
application présentant les valeurs pratique et éducative du dessin pendant son enseignement.
2) Certes, certains enseignants négligent ces matières car ils méconnaissent leur importance
dans la vie quotidienne. 3) Mais nombreux sont aussi les maîtres qui les enseignent avec plus
de considération chez les élèves.4) L’enseignement des disciplines a besoin d’être maitrisé
pour pouvoir l’apprécier et l’ appliquer convenablement. Il appartient donc à chaque
enseignant de bien suivre les directives pédagogiques y afférentes et d’accéder à des
formations continues et permanentes en vue d’une amélioration dans les activités à faire.5)
Les enseignants en sont-ils conscients ?
SUJET N°1 :
1-Donnez les principaux types d’attention et soulignez son rôle et son importance dans
l’Enseignement/Apprentissage.
2-Quelles actions pédagogiques menez-vous dans votre classe pour éveiller et développer
cette attention chez vos élèves.
I-COMPREHENSION DU SUJET :
1- Explication de l’attention
2- Les différents types, le rôle et l’importance de l’attention dans
l’Enseignement/Apprentissage
3- Des actions pédagogiques en vue d’éveiller et développer l’attention chez les
élèves.
III-PLAN DETAILLE :
1- Explication
L’attention est :
- Une attitude
- Un effort de concentration de l’esprit
- Un effort de concentration de sens
-Enseignement adapté aux réalités vécues des élèves, qui leur sont familières,
habituelles
SUJET N°2 :
Vers quel âge la curiosité est-elle dominante chez l’enfant. Dites comment se
manifeste-t- elle ?
I-COMPREHENSION DU SUJET :
Traduction du sujet : L’enfant est curieux et cette profonde curiosité qui le pousse à
observer, à acquérir des connaissances et même ( et surtout ) à bien maitriser celles-ci.
1- Explication
2- Nature, rôle et importance de la curiosité chez l’enfant
3- Proposition de solutions pédagogiques en vue de susciter et développer la curiosité
chez les élèves.
1- Explication
-La curiosité de l’enfant est plus dominante au début de la troisième (3è) enfance et plus
spécifiquement entre l’âge de 4 à 7 ans où il a besoin d’observer de matériel concret, de le
manipuler pour pouvoir en tirer connaissance et de savoir l’utiliser dans la vie( maitrise des
connaissances), voir, connaitre, comprendre sont des objectifs de l’éducation, basée du
développement de la curiosité chez l’enfant.
I-COMPREHENSION DU SUJET :
Idée principale : La démarche scientifique
Mots clés : démarche scientifique, surtout, leçon, toutes ses activités
Idée générale : Adoption de la démarche scientifique dans une leçon
Traduction du sujet :
Explication de l’affirmation
Application en classe
III-PLAN DETAILLE :
1- Explication :
a) Ce qu’est la démarche scientifique :
La démarche scientifique est une approche qui respecte l’esprit scientifique. Elle exige
le strict choix des méthodes à adopter pour rendre la leçon :
SUJET N°2 :
« Au lieu d’adopter une discipline trop sévère, préconisez la liberté organisée
pour faire travailler vos élèves ».
( Conseil d’un Inspecteur à un Enseignant de l’école primaire)
1) Comment comprenez-vous ce conseil ?
2) Essayez de le mettre en pratique dans votre classe.
I-COMPREHENSION DU SUJET :
Idée principale : la discipline
Mots clés : discipline sévère # liberté organisée préconiser
Idée générale : La raison d’être de la liberté organisée préconisé
Traduction du sujet : la liberté organisée fait participer les élèves plus dans
l’adoption de la discipline trop sévère.
II-PLAN GENERAL :sujet binaire ou ternaire
1) Explication de l’affirmation
2) Application dans une classe
Ou
1) Explication
2) Avis personnel
3) Application
REMARQUE :
En pédagogie générale, l’application ne consiste pas à faire une fiche pédagogique
mais à dire tout simplement quels procédés pédagogiques à adopter pour la réalisation de ce
que l’on vous demande.
a) Eviter la discipline trop sévère en classe car elle contraint, embarrasse et ne fait pas
participer les élèves, et les rend passifs
b) Favoriser la discipline libérale organisée pour faire acquérir les trois savoirs d’une
leçon progressive, conforme aux besoins et attentes des élèves suscitant leur leur
participation effective, les encourageant à construire par eux-mêmes leurs compétence
et performance de leçon à ce que l’enseignant s’efface peu à peu dans l’acquisition des
connaissances, en priorisant les élèves dans toutes les activités scolaires.
c) Laisser les élèves à agir à leurs propres initiatives mais surtout avec l’aide de
l’enseignant, sous son égide pour éviter la déroute dans les actions à faires.
d) Pendant les leçon, bien suivre et respecter les différentes étapes tout en adoptant une
bonne progressive.
Ny Fanazarana Hiteny ?
Matetika dia taranja ataon’ny mpampianatra kitoatoa satria tsy fantany ny lanjany ara-
pratika sy ara-panabeazana.
Manazatra ny mpianatra ny Fanazarana Hiteny :
- Hahay hiteny
- Hahay hiteny tsy misy diso
- Hahay hilaza sy hanambara ny heviny ka voafehy tsara amin’izany ny fomba filaza ny
hevitra tian-kambara, ny fanajana ny rafitra sy ny fitsipika, ny fampiasana ny
voambolana mifanaraka amin’izany.
- Hahay hifanerasera amin’ny mpiara-belona aminy ka hita taratra amin’izany ny
fahaizana manambara sy mandahatra ny hevitra ka mahaliana ny olona hihaino ka
mandinika izay havaly.
Aseho avokoa ny maha zava-dehibe ny Fanazarana Hiteny na ao am-pianarana na eo
amin’ny fiaraha-monina.
2-Fampiharana
a) Miainga amin’ny fandinihana ny fitaovana sary, ary azo atomboka amin’ny
tantara fohy na zava-misy iainana ny Fanazarana Hiteny.
I-COMPREHENSION DU SUJET
Idée principale : Connaissances usuelles
Mots clés : observation directe, une place du premier choix
Idée générale : La raison d’être de l’observation dans l’enseignement des connaissances
usuelles.
Traduction du sujet : Dans l’enseignement des connaissances usuelles, l’observation directe
est l’une première nécessité
III-PLAN DETAILLE :
1- Explication
a) Qu’est ce que l’observation directe ?
On observe des choses réelles ou des personnes, des objets concrets ou des des
gravures ou des photos.
L’observation directe suscite les élèves à manipuler, exploité, analysé pour aboutir à
une synthèse.
b) L’observation directe occupe une place du premier choix de l’enseignement des
connaissances usuelles :
Celles-ci exigent l’utilisation des matériels concrets pendant chaque leçon. C’est une
discipline scientifique qui nécessite la démarche scientifique consistant à aller du facile au
difficile, du simple au complexe, du concret à l’abstrait…
L’observation directe des matériels est impérative car elle favorise l’intelligence et
l’attention soutenue chez les enfants.
Bref, l’enseignement des connaissances usuelles est une leçon d’observation.
c) Malgré cette vérité incomparable, il existe aussi en connaissances usuelles des
leçons où l’observation directe est impossible. Prenons par exemple le cas de
certaines maladies comme le SIDA.
2- Application :
La leçon des connaissances usuelles doit suivre une bonne progression. Toutes les
différentes étapes doivent être respectées si l’on veut que la leçon soit efficace. La
révision doit précéder la nouvelle leçon car elle permet de vérifier les acquis antérieurs
des élèves. Trois phases sont à respecter dans la leçon proprement dite, à savoir :
a) La phase « JE DECOUVRE » :
Celle-ci doit commencer par l’observation directe des objets concrets suscitant la
participation effective des élèves.
Viennent ensuite, la manipulation, l’exploitation, l’expérimentation persuasive,
l’analyse, cela pour aboutir à une synthèse, à une règle, à une formule à retenir.
La méthode inductive est mise en jeu dans cette phase car elle s’agit d’une phase de
découverte.
b) La phase « JE RETIENS L’ESSENTIEL » :
Après avoir découvert les notions à retenir, des exercices de fixation par des
questions/réponses favorisent aux élèves la bonne acquisition des notions à mémoriser, il
appartient à l’Enseignant de varier les questions à poser en vue de faciliter la compréhension.
Des exercices très simples permettant aux élèves de bien retenir ce qu’on leur a instruit.
CONCLUSION GENERALE
Au terme de notre analyse rappelons que : »Dans ce monde, il n’y a rien de parfait ».
Et le travail que nous avons fait est loin d’être irréprochable. Mais nous sommes quand même
très optiniste que nous voulons vous donner contribution non seulement à l’amélioration de
vos acquis, mais surtout à celle de vos expériences personnelles et professionnelles, favorisant
la bonne marche de vos taches psycho-socio-pédagogiques quotidiennes, sans oublier votre
prochaine réussite à vos examens à venir. Sur ce, nous vous souhaitons bon courage d’une
part et d’autre part bonne réussite au CAP/EP.
En êtes-vous conscient ?
Ny firenena tsy ampy sekoly dia azo lazaina fa firenena mahantraindrindra eran-tany.
Ao no amolavolana ireo hoavin’ny firenena ka iza anatin’ireo olomanga ka volavolaina ao
avokoa ny tetika amam-paika rehetra ho amin’ny fampivoaram-pirenena. Hita taratra amin’ny
fandrosoan’ny sekoly ny fandrosoan’ny firenena iray. Noho izany, raha tiana handroso ny
firenena iray dia NY SEKOLY ihany no hatsaraina, izany hoe ny fampianarana no atao vain-
dohan-draharaha sy hajaina.
Tsy rehefa mpampianatra akory dia azo tendrena ho tale avokoa, ary tsy misy olona
natokana ho Tale na Mpanampy, fa ny mpampianatra matianina rehetra dia azo atao TALE
raha mahafeno fepetra manokana ho amin’izany. Noho izany dia ireto avy ny mety ho olona
azo tendrena ho TALE :
1-ANDRAIKITRA ARA-OITONDRANA :
2-ANDRAIKITRA ARA-PAMPIANARANA :
3-ANDRAIKITRA ARA-PIARAHA-MONINA
NY FILAN-KEVITRY NY MPAMPIANATRA
(Conseil des maitres)
Fanoitra lehibe ho an’ny sekoly ny nanangana ity rafitra goavana ity eo anivon’ny
fampianarana. Miara-mivory sy mikaon-doha hoenti-mandrindra ny fampandehanana ny
sekoly ny mpampianatra rehetra izay tarihin’ny Tale. Zavatra maro no iaraha-midinika hoenti-
manatsara sy mampandroso bebe kokoa ny sekoly.
NY ANTOM-PISIANY SY NY ANDRAIKINY:
NY FIALAN-TSASATRA (Congés)
1-NY « CONGE ANNUEL »:
Araka ny lalàna mifehy eto amin’ny firenena dia zon’ny mpiasa tsirairay no
mangataka andro fialan-tsasatra ka mahazo 30 andro isan-taona ny olona iray. Raha handeha
lavitra aizy ohatra dia tsy isaina amin’io andro fialan-tsasatra io ny andro laniny eny an-
Marihina etoana fa ity karazana fialan-tsasatra ity dia ahazoam-bola ary hiantohan’ny
fanjakana ny vola lany rehetra indrindra fa mandritra ny fotoam-pialan-tsasatra ary ny saran-
dalana sy ny sakafo moba izany.
Noho izanydia tsy maintsy manao « ORDRE DE ROUTE » ilay olona fa io no fomba
hanonerana ny vola laniny.
3-NY « PERMISSION »
Noho izany ny « permission » dia tsy maintsy atao alohan’ny handehanana amin’izay
haleha fa raha tsy izany dia misy ny fahadisoana amin’ny asa.
Raha toa ka mbola tsy sitrana ilay olona mandritra izany fotoana izany dia apetraka tsy
hiasa aloha izy ka omena « congé de mise en disposition ».
Raha noho ny asany no namparary azy maharitra toy izao dia omena azy ny « congé
de santé » ary dia mitohy izany ka manome azy ny « congé de longue durée » izay tsy
voafetra mihitsy.
NY KARAZAN-TSAZY
(Les différentes sactions)
Roa karazana ny sazy azo ampiharina amin’ny mpiasam-panjakana manao hadisoana :
Ny « avertissement » na fampitandremena
Ny « blâme » na fanakianana. Mety atao an-tsoratra io na tsia
Ny « suspension de solde » na fanapahana karama
Ny « radiation de tableau d’avancement » na tsy fahazoana fisondrotan-girady mihitsy
Ny « abaissement d’échelon » na fampidinana dingana eo amin’ny girady
Ny « retrogradation » na fampidinanna girady na kilasy
Ny « licenciement » na fandroahana tsy hiasa intsony nefa mahazo fisotron-dronono
ihany
Ny « retraite d’office » na apetraka avy hatrany hisotro ronono
Ny « révocation » na fandroahana tsy hiasa intsony ka tsy mahazo fisotron-dronono
mihitsy
« Le rôle de l’Enseignant change ; il n’est pas d’abord, d’exposer des connaissances mais
d’assister l’élève dans l’élaboration de celles-ci » a écrit Britt Mari BARTH.
SUJET N°2 :
-Qu’en pensez-vous ?
1. Explication de l’affirmation
2. Avis personnel
3. Proposition des remédiations
SUJET N°3 :
Il est toujours recommandé aux enseignants de se pencher davantage sur les élèves en
s’assurant à chaque instant que ceux-ci ont compte, assimilé ce qu’ils ont compris. La
pédagogie centrée sur les apprenants devra être leur principale préoccupation.
-Proposez ensuite des mesures et des actions à mener pour atteindre ces objectifs
SUJET N°1 :
-Inona avy ireo olana atrehina ? Lazao avy eo ireo vahaolana amin’ny alalan’ny ohara mazava
tsara.
DRAFITRA ANKAPOBENY :
1. Fanazavana ny fanambarana
2. Tetika amam-paika azo ampiasaina hampazoto sy hampahaliana ny mpianatra amin’ny
lesona
3. Ireo olana atrehina
4. Vahaolana sy fampiasana
SUJET N° 2 :
-Lazao izay fomba fanatrao fa mety mahomby amin’ny fanatanterahana ny lesona Tantara ao
anatin’ny kilasy iadidianao.
DRAFITRA ANKAPOBENY :
1. Fanazavana ny fanambarana
2. Hevitra manokana momba izany
3. fampiharana
SUJET N°3 :
-Commentaire de l’affirmation
-Application en classe
1. Fanazavana ny toromarika
2. Hevitra manokana momba izany
3. Fampiharana amin’ny alalan’ny tetika amam-paika azo ampiasaina
SUJET N°2
La géographie doit être une discipline attrayante : elle incite à la pédagogie active et
exige avant tout la participation des élèves.
Explication de l’affirmation
SUJET N°3
DRAFITRA ANKAPOBENY :
Fanazavana ny toromarika
SUJET N°4
1. Explication de l’affirmation
2. Propositions des solutions
3. Rôle et place de l’observation à l’école primaire
4. Application en classe de CM
SUJET N°5
1. Explication de la recommandation
2. Avis personnel
3. Application en classe de 7ème
1. Explication de l’affirmation
2. Les causes d’incapacité possibles de ces élèves
3. Avantages du calcul mental (valeur pratique et éducative)
4. Les conditions d’efficacité des leçons de CM
SUJET N°7
« L’observation directe occupe une place de premier choix dans l’enseignement des
connaissances usuelles »
Montrez comment vous conduisez une leçon de connaissances usuelles dans une classe de
votre choix pour que l’observation soit efficace et rationnelle
1. Explication de l’affirmation
2. Conception sur le sujet
3. Application dans une classe
Ou un sujet binaire
SUJET N°8
Les différentes difficultés rencontrées par les enseignants dans l’enseignement du calcul
Remédiassions à adopter
A l’aide des exemples précis, comment pourriez-vous justifier et appliquer cette opinion ?
1. Explication de l’affirmation
2. Avis personnel sur cette déclaration
3. Justification et application de cette opinion
Considérant le contexte éducatif dans lequel devrait être placée les tout jeunes. Dr
déclare : « L’enfant n’a pas du défaut, il est mal élevé ou il est malade »
Précisez quelles attitudes l’éducateur devraient avoir devant les défauts des élèves et comment
remédier à ces défauts ?
1. Commentaire de l’affirmation
2. Attitudes de l’éducateur vis-à-vis des défauts de ses élèves
3. Remédiations à ces défauts
SUJET N°2
Dans ses observations adressées à un jeune instituteur qu’il veut d’inspecter, on relève
ces mots de l’inspecteur : « vos élèves sont passifs, contractés et paraissent apeurés par votre
présence »
Présentez d’une façon nette les problèmes psychologiques posés dans cette classe.
Proposez ensuite des solutions pour débloquer la situation, tenir les élèves éveillés et réceptifs
rendre la classe vivante et participation
1. Explication de la recommandation
2. Les problèmes psychologiques posés dans cette classe
3. Repérage et analyse des facteurs de blocage
4. Propositions des solutions réparties en trois sous paragraphes
1. Explication de la déclaration
2. Les causes de ces problèmes
3. Des conseils pratiques pour résolution de ces problèmes
SUJET N°4
SUJET N°5
Est-ce qu’on peut accepter et respecter ces désirs en classe sans nuire à l’autorité de
l’enseignant et à la discipline ? Comment faire pour l’appliquer efficacement ?
1. Explication de l’affirmation
2. Avis personnel
3. Application
INTRODUCTION
L’entretien, fait partie des épreuves orales à subir dans différents concours. C’est une
activité complexe, voire embarrassante pour celui qui le fait, chevronné ou apprend qu’il soit
dans son métier. Cette épreuve s’effectue à deux temps bien distincts :
LA PREMIERE PARTIE :
Elle consiste à un exposé de thème sous l’assistence de trois membres de jury dont un
Président et deux collaborateurs.
LA DEUXIEME PARTIE :
C’est l’entretien proprement dit avec ces examinateurs et qui permet au candidat de
faire preuve de sa personnalité et de sa raison d’être dans des échanges d’idées se rapportant
au thème étudié.
L’entretien est exercice très difficile. Il nécessite donc un plan bien déterminé. Pour ce
faire, cette activité doit comprendre :
1- INTRODUCTION
Monsieur le Président (Mme le Président)
M.M (Messieurs) les membres de Jury (s’il s’agit de deux hommes)
Mme et M les membres de Jury (s’il s’agit d’une femme et d’un homme)
Honorable assistance
Nous vous sollicitons donc une agréable écoute et, à la fin de notre exposé, celui-ci va
nous permettre de créer une fructueuse discussion.
Nous vous remercions encore une fois de votre générosité suivies de vos agréables
attitudes à nos égards.
II- DEVELOPPEMENT
EXEMPLE
a) Après cette brève introduction, nous allons passer immédiatement au vif du sujet ;
commençons donc par la définition du mot________________
d) Après avoir annoncé ces avantages et ces inconvénients, nous allons évoquer les
différentes sortes de__________________
e) Tout cela va donc nous permettre d’évoquer enfin les solutions et les suggestions y
afférentes.
Pour cela, ces solutions suivies des suggestions nous sont nécessaires et méritent d’être
adaptées et appliquées dans la vie quotidienne.
ET AINSI DE SUITE………………….
Notons que toutes les parties du développement doivent être reliées par de petites
transitions
Pour améliorer à la fois la forme ei le fond de l’exposé à faire.
Que chaque candidat doive suivre le plan qu’il a avancé, traiter les différentes
composantes du développement et également selon le plan tracé.
Cette partie doit aboutir à des solutions et des suggestions bien identifiées telles que
les solutions scolaires et institutionnelles.
Bien suivre le slogan : « traiter le sujet, ne traiter que le sujet, traiter tout le sujet ».
Autrement dit, on n’a pas droit à l’omission ou au rajout dans le traitement du devoir
De bonnes attitudes et des comportements appréciables y sont vraiment sollicités.
3-CONCLUSION
Les transitions sont souvent impératives et nécessaires pour garder les suites logiques
entre les idées et les différentes parties de l’épreuve.
EXEMPLE
M ;le Président
M ;M.les membres de Jury
(Mme et M. Les membres de Jury)
Nous voudrions, encore une fois, vous remercier de vos appréciables attitudes d’une
part, et de votre aimable écoute d’autres part pendant nos interventions. Nous vous adressons
Documents de ANDRIAMIARISOA Espérant Bizet Conseiller Pédagogique Page 66
également notre profonde reconnaissance pour vos attitudes très réconfortantes et
encourageantes pendant l’exposé. Bref, nous vous remercions de votre générosité.
En attendant vos apports personnels suivis des remédiations à propos de nos
interventions, nous vous réitérons nos meilleures appréciations.
EXEMPLE : LE TRANSPORT
M. Le Président
MM. Les Membres de Jury
Honorable assistance
Sur ce donc, nous vous sollicitons une agréable écoute nous permettant d’avoir, au
terme de notre exposé, une fructueuse discussion sur ce thème.
Passons donc dans le vif du sujet et entamons notre exposé par la définition du mot
transport
1-Les transports routiers : sont les moyens de locomotion utilisant les routes, en ville ou en
campagne. Ces genres de transport se font en voiture, en automobile, en charrette……..
2-Les transports aériens : Ce sont également les moyens de locomotion qui se font par avion,
dans l’espace
3-Les transports maritimes ou fluviaux : Ce sont des moyens de locomotion qui utilisent la
mer ou le fleuve. Ces genres de transport se font en bateau ou en pirogue.
4-Les transports ferroviaires : Ce sont ceux qui utilisent les voies ferrées ou les chemins de
fer. Ils s’effectuent en train.
C-IMPORTANCE DU TRANSPORT :
D-LE TRANSPORT : est une activité qui présente à la fois des avantages et des
inconvénients
Puis les fléaux naturels demeurent actuellement des obstacles majeurs pour le
transport, comme la destruction des infrastructures de développement.
Enfin, la hausse de frais de transport à cause du manque des moyens matériels pousse
les gens à ne pas s’y intéresser. Bref, le mauvais fonctionnement du transport constitue le
frein de tout développement.
Ainsi, nous avons pu évoquer toutes ces différentes parties, ce qui va nous permettre
d’avancer les solutions envisagées.
Nous vous remercions encore une fois, de votre appréciation assistance d’une part, et
de votre agréable écoute d’autre part pendant toutes nos interventions.
Notre profonde reconnaissance également pour vos aimables encouragements lors de
notre exposé. Nous avons pu donc faire une petite analyse sur le transport qui est loin d’être
parfaite. Nous voudrions donc, attendre de vous les remédiations y afférentes.
Je vous remercie infiniment.
REMARQUE :
Notons que dans un entretien, le candidat devrait d’abord exposer le thème entre 15 et
20mn d’intervention. Celle-ci sera suivre d’échanges d’idées entre les membres de jury et le
candidat en vue de tester la personnalité de celui-ci, sa compétence et sa performance, voire sa
vraie en la matière.
Cette activité est en quelque sorte un mini-mémoire à soutenir où l’on doit faire preuve
de conviction.
Dans la préparation d’un entretien, toutes les données doivent être prises sous forme
de plan détaillé facilement l’intervention.
IV-DES TEXTES D’ENTRETIEN
Pour aider le candidat à aller un peu plus loin dans cette activité, ces textes d’entretien
leur permettraient de thèmes de réflexion. :
1. Le SIDA
2. Nature et environnement
3. L’information
4. La communication
5. L’indépendance
6. La démocratie et l’Etat de droit
7. Le travail et la vie sociale
8. La femme et le travail
9. Le voyage
10. Les fléaux naturels
C’est vers les années 80 et plus précisément en 1981 que le SIDA a été identifié pour
la première fois. Il s’est rapidement rependu dans la plupart de la population sans distinction à
tel point que les effets néfastes de cette maladie sont devenus les principales causes de
mortalité chez les enfants et les jeunes adultes en 1992. C’est la raison pour laquelle de
nombreux chercheurs s’en occupent aujourd’hui en vue de pouvoir la bannir sur cette terre. A
cet effet , nous voudrions apporter quelques notions sur cette maladie placée au même rang
que les fléaux naturels de dégâts mortels sur l’humanité.
1- DEFINITONS
Le mot SIDA est une abréviation qui signifie : Syndrome d’Immuno Déficience Acquise
dont :
Le SIDA est donc une maladie qui est due à la destruction des mécanismes de défense
naturelle de l’organisme (ou de système immunitaire) par le virus appelé VIH. Il fait partie,
ou on les classe parmi les MST (Maladies Sexuellement Transmissibles).
Le SIDA est non seulement contagieux mais aussi mortel dont le traitement n’est pas
encore connu jusqu’à présent. On peut encore dire que cette maladie est incurable.
2- L’AGENT DE LA MALADIE
Le VIH est celui qu’on rencontre dans la plupart des pays du monde
Le VIH est connu actuellement en Afrique de l’Est comme en Ouganda par exemple.
Le VIH n’est pas un virus unique mais plutôt une famille de virus similaires.
b)- Transmission par voies sanguines, soit par les seringues ou les aiguilles non stérilisées,
soit par l’infection du sang d’un malade, soit par la circoncision, soit par les percements
d’oreilles ou par la transfusion sanguine.
c)- Transmission de la mère à l’enfant, pendant la grossesse, le virus peut percer (traverser) la
placenta (région de l’ovaire où soit fixé les ovules). Une fois infectée par le virus de SIDA, la
mère peut donc transmettre le VIH à son enfant.
B-PREVENTIONS
b)- Elle est le seul arme efficace dont nous disposons aujourd’hui pour lutter contre ce
fléau.
a) Un malade SIDA a besoin d’affection de ses proches. Il ne doit pas être rejeté de la
société où il vit. On peut lui donner la possibilité de participer à toutes les activités
sociales si son état de santé le permet à savoir le cinéma, les sports, les concerts, la
danse.
b) La sympathie et la compréhension du public de même que l’affection de son entourage
peuvent constituer un puissant remède pour aider un malade de SIDA dans la guérison
de la maladie
CONCLUSION
En conclusion, nous avons pu analyser que le SIDA est une maladie très dangereuse
devenue un fléau naturel actuellement et encore incurable qi met le monde entier dans une
énorme panique. Les seules armes dont nous disposons jusqu’à maintenant ce sont
l’information et la prévention de la transmission du SIDA.
Bon nombre de gens ont déjà contracté cette maladie. A cet effet, les spécialistes
veulent profiter de toutes occasions pour lancer un appel à toute la population, de faire preuve
de tolérance, de compréhension à l’égard des sidéens. Il appartient donc à l’Etat de prendre
toutes ses responsabilités vis-à-vis de ce danger imminent.
1- LA NATURE
C’est un système formé par les êtres vivants et par les facteurs abiotiques qui sont
interdépendants :
Les êtres vivants sont formés par l’homme, les plantes et les animaux
Les facteurs biotiques sont formés par l’eau, le sol, le climat, la lumière…
2- L’ENVIRONNEMENT
Ce sont les alentours géographiques de notre vie, donc tout ce qui nous entoure
L’environnement artificiel, c'est-à-dire tout ce qui existe en ville (fait par l’homme)
Les feux de brousses détruisent la fertilité du sol qui est dénudé, donc il n’y a plus de
production
Par conséquent, ces actions destructives ont des effets néfastes pour l’environnement :
La dégradation du sel occasionnée par la disparition de l’humus (élément fertile le sol) le rend
stérile
La disparition des espèces animales et végétales, la faune et la flore très utiles à l’homme, est
le premier ennemi de l’environnement.
EXEMPLE : Les abeilles qui donnent du miel, de la cire, assurent la fécondation des fleurs et
favorisent le développement économique de l’homme en lui donnant à la fois argent et
nourritures.
Les pollutions de l’air : dues aux échappements de voitures et aux fumées des usines.
Les pollutions de l’eau : émanent des déchets industriels et autres qui entrainent la
disparition des animaux aquatiques comme les poissons.
a) Le reboisement d’arbres d’essence rapide (qui grandit vite) remplaçant les arbres
abattus
b) La conscientisation ou la sensibilisation de la population sur l’importance de la forêt
dans la vie quotidienne.
c) Les différentes formes de protection pouvant favoriser et sauvegarder l’environnement
ou la nature.
d) L’instauration des diverses ONG, pour la protection de l’environnement.
e) Des crimes sur l’environnement.
III-LES PROBLEMES
IV-SOLUTIONS ET SUGGESTIONS
CONCLUSION
L’environnement est d’une grande valeur nationale, voire internationale car de lui
dépend la vie de l’homme. Ainsi, il est indispensable que l’homme prenne des mesures
adéquates pour le protéger.
III-IMPORTANCE DE L’INFORMATION
La communication est un droit pouvant être faite sous forme d’entretien, de débat, de
discussion et/ou d’échanges d’idées. Elle est proche de l’information consistant à informer ou
à s’informer des nouvelles, des renseignements ou des idées à évoquer. Elle est également
favorable et utile à l’enseignement ou à l’éducation que sont les bases de nos taches.
Quand on a un livre, il ne suffit pas de la lire, mais cela exige également l’application
de ce qu’il contient dans la vie quotidienne. Cela veut dire que son intégration doit se faire à
plusieurs reprises pour pouvoir s’habituer à de nouveaux comportements. Ce qui nécessite
une recherche-action sur soi :
La communication est une activité très délicate donc son apprentissage doit se faire au
fil des années.
SA RAISON D’ETRE est de mieux asseoir dans la vie sa personnalité toue en acquérant de
nouveaux comportements ayant des effets bénéfiques dans ses attitudes, c'est-à-dire qu’il est
possible de se changer soi-même.
D’où la communication est à la portée de tout le monde. Elle permet de nous présenter
des droits fondamentaux à savoir :
1-Je suis le premier juge de mes actes, de mes pensées et de mes sentiments et je suis
le premier responsable de leurs conséquences. C’est pour dire que tout dépend de soi-même.
MESSSAGE
FEED-BACK
Mais pour le rendre plus explicite, voyons une à une chacune de ces comportements :
C’est celui qui transmet le message. Autrement dit, c’est l’intervenant qui s’adresse à
une personne ou un groupe d’individus.
LE RECEPTEUR
C’est celui qui capte ou reçoit le message envoyé par l’Emetteur. C’est la personne à
qui le message est adressé.
LE CANAL
LE MESSAGE
LE FEED-BACK
Constitue les réactions émanant du récepteur au cas où le message est bien passé ou
non. C’est le symbole de la réussite ou non de la communication.
-Problème issu d’un Emetteur non communicatif, incapable de transmettre comme il faut le
message au récepteur. Plus précisément, c’est un problème de transmission de message
émanant d’un mauvais émetteur.
-Récepteur passif et mauvaise foi dans la réception des messages , niveau de compréhension
très bas du récepteur incapable de recevoir les messages à lui adresser.
VI-SOLUTIONS ET SUGGESTIONS/
En communication, les problèmes sont toujours présent mais c’est à nous de les
résoudre. Pour cela :
Un individu
Un pays ou d’une nation
Un groupe de pays
Elle sollicite la liberté dans tous les secteurs et favorise l’autonome de ce pays et cela
suivant les besoins politiques.
Sa souveraineté nationale
Possession de son hymne national, de son drapeau, de sa constitution, de son
gouvernement….
Son idéologie politique autonome
Ce genre de pays rejette l’indépendance déforme où les pouvoirs sont en quelque sorte
limitée.
-La liberté totale dans le développement économique dans tous les secteurs :
-La liberté de coopération avec les pays amis en vue de favoriser les échanges socio-
financiers pour le développement.
Ex : Algérie, Viet-Nam……..
Elle exige la création des diverses organisations ou des mouvements de tout genre
Lincoln définit la démocratie comme suit : « c’est le gouvernement du peuple par le peuple et
pour le peuple », c'est-à-dire que tout le pouvoir émane et repose sur le peuple.
1-Elle est fondée dans une société basée sur le peuple et la voix du peuple, c'est-à-dire que
c’est le peuple lui-même qui impose son choix et les élus dirigeants ne font qu’exécuter aux
besoins et intérêts de leur peuple. Elle n’est le peuple lui-même qui supervise et surveille ses
dirigeants.
La démocratie donne large latitude et considère les élections. C’est dans la démocratie
que le peuple peut exprimer ses idées, son choix, même en dehors des élections.
2-Dans une démocratie, chaque citoyen a ses pleins droits et sa propre liberté. C’est la raison
pour laquelle on considère la voix du peuple dans la société. Chaque citoyen a droit à la
religion, à la politique, à la philosophie et peut s’exprimer librement.
Dans la démocratie, c’est la majorité qui décide et qui gère toutes les affaires.
L’Etat de droit est celui qui respecte totalement les lois sociales exécutantes, c’est àa
dire celles qui définissent à la fois. Les responsabilités et le droit de chacun.
Dans ce pays, les citoyens se soumettent et respectent les règlements existants mais
quant à l’Etat et la Justice, ils supervisent l’application de ces dites lois.
Dans l’Etat de droit, la hiérarchie est moise en évidence c'est-à-dire considérée par le
peuple et c’est le domaine du respect mutuel entre les Dirigeants et les Dirigés.
Dans l’Etat de droit, la constitution se trouve au dessus de toutes les lois : elle est la
hiérarchie supérieure. C’est la mère de toutes les lois existantes.
Après les lois, vient le Décret signé par Chef de l’Etat. Il doit être conforme à la
constitution.
Vient ensuite, l’Arrêté qui émane et est signé par les membres du gouvernement. Il
doit être également conforme à la constitution.
Dans un Etat de droit, quand une loi n’est pas encore abrogée, elle est encore valide et
doit être respectée.
Dans cet Etat, la loi de Thalion diminue de plus en plus et tout le monde doit se
soumettre aux lois existantes.
Dans cet Etat de droit, tous les citoyens sont soumis aux lois. Celles-ci, quand elles
sont encore en vigueur, appartiennent à tout le monde et sont applicables à tous les citoyens.
Les systèmes de la Démocratie et l’Etat de droit sont interdépendants. Comme les lois
et les règlements émanent de la Démocratie, ceux-là sont bien fondés dans un Etat de droit et
il y est facile de les respecter. On a créé les lois pour le peuple et c’est le peuple lui-même qui
doit l’appliquer.
L’Etat de droit dépend et améliore d’une part la Démocratie et d’autre part, élimine la
loi de Thalion.
Dans un Etat de droit, les lois existantes sont toujours récentes (nouvelles) car c’est le
peuple lui-même qui les crée et les abroge en cas de besoin.
Dans un Etat de droit, la Démocratie conduit vers la bonne application des lois en
vigueur, et chaque citoyen est responsable de leur efficacité ou non dans le pays.
Le travail est toute dépense d’actes (énergie) qui tend à rendre les choses, les êtres, les
circonstances profitables ou délectables (agréables) à l’homme et l’homme lui-même plus sûr
et plus lier de soi (Paul Valéry).
Autrement dit, le travail est toutes choses que l’on fait et qui dépendent de l’énergie et
dont le but est la transformation de la nature par l’homme et pour rendre sa vie facile et
agréable, et pour cela, l’homme éprouve deux sentiments :
Du point de vue psychologique, le travail est une activité physique et intellectuelle qui
se différencie du jeu par son caractère contraignant (obligation, forcé..). Quand il est moins
contraignant, il peut être utilisé comme thérapeutique (qui soigne) des maladies mentales ou
comme moyen de réadaptation dans la vie sociale pour les jeunes délinquants (têtus) ou les
prisonniers.
L’homme est fait pour travailler, il est dans sa nature de travailler comme l’oiseau
pour voler. Donc, le travail est naturel pour l’homme, c'est-à-dire vient avec lui en naissant.
Ainsi, s’il ne travaille pas, il cesse d’être un homme et change de nature pour devenir un
animal ;tout comme l’oiseau qui cesse d’être oiseau quand il ne peut plus voler parce qu’on
lui a coupé les ailes.
Ainsi, dieu a crée l’homme pour travailler. D’après la genèse. La mission de travailler
a été donné à l’homme dès l’origine : Le Créateur dit au premier couple : « Dominez la terre,
soumettez-la » (Gen.1 :28)
Le travail n’est pas un châtiment (punition). Le châtiment, c’est la sueur qu’il nous
coûte. C’est pourquoi aucun homme ne peut vivre sans travailler.
Ex : Le charbonnier produit du charbon, non seulement pour son foyer, mais aussi
pour le foyer des autres qui peuvent, eux –aussi préparer leurs nourritures.
-L’âme juge
5-Il rend libre production faisait du travail un facteur de liberté parce que celui qui travaille
peut vivre par lui-même.
Il rend aussi digne car celui qui travaille est bien vu, bien considéré par la société.
6-Il permet aux femmes de montrer leurs valeurs réelles cachées autrefois par les travaux
domestiques. Pourtant, il y a des femmes capables et plus capables même que les hommes
dans leur travail.
Ex : Dans le domaine de la langue, les femmes sont plus douées que les hommes
7-Il permet aux handicapés (infirmes) de participer à la vie sociale, de se rendre utile au lieu
d’être seulement des changes pour la société.
Il est un meilleur moyen de réadaptation à la vie sociale, soit pour les prisonniers, soit
pour les jeunes délinquants.
8-Le travail dit Voltaire, éloigne de nous, trois grands maux : l’ennuie, le vice, l’oisiveté.
Ex : le jardinage
10-Le travail est la plus belle forme du patrimoine car il est un des moyens de développement
la plus rapide pour un pays du point de vue économique et social.
11-Il est l’aliment des hommes nobles car ce sont les gens de bien qui travaillent.
C’est l’homme qui travaille ne doit pas disparaitre dans son travail. Il est composé de
corps, d’esprit et d’âme.
Le travail humain est donc un travail qui permet à l’homme d’utiliser son corps, son esprit et
son âme, un travail digne (qui mérite) de l’homme, qui lui permet de développer sa
personnalité.
Le travail personnel, comme celui de l’artisan, est l’exemple vivant de ce travail humain où
l’homme est capable d’utiliser toutes ses facultés physique, intellectuelle, morale pour
développer sa personnalité.
Ainsi, le travail humain humanise l’homme tandis que le travail d’usine l’abêtit,
l’animalise.
Le travail est indispensable à la vie de l’homme, car aucun homme ne peut vivre sans
lui. Il est le garant de l’existence et de développement de la société. Ainsi, travail et société
sont-ils deux énergies solidaires car l’une ne peut exister sans l’autre. De ce fait, la société ne
tolère plus l’inaction et l’oisiveté qui entrainent le parasitisme. Le travail est impératif et
incontournable à un homme conscient et sûr de lui. D’où, tout le monde doit travailler. Telle
est la loi de la nature et de société. Cependant, ce travail doit être humain permettant à
l’homme d’épanouir sa personnalité.
1- Origine de la femme
La femme a été créée à partir de l’homme (Gen.1 :21).Dieu a fait dormir Adam, a pris une
de ses côtes et en a formé la première femme, Eve.
«Je lui ferai une aide qui sera son vis-à-vis » (gens.2 :18b)
4- place de la femme
« La femme a été créée pour être une compagne idéale, parfaite de l’homme. Donc sa
place est à la maison.
5 – Rôle de la femme :
La femme a un double rôle : celui d’être mère et celui d’être-épouse car elle a aussi
comme vocation de perpétuer (multiplier) l’espèce humaine.
Alors, la femme n’est pas faite pour travailler en dehors de son foyer.
En plus, elle est considérée comme « meuble fragile »et cela ne lui permet pas de
supporter le travail extra-ménager. « les femmes sont des êtres plus faibles » (1Pet : 3 :7)
1-L’insuffisance du salaire de son mari qui ne peut pas subvenir aux besoins de sa famille â
cause de la difficulté de la vie. Donc, la femme travaille par nécessité.
2-la recherche de l’indépendance et de la liberté pour ne plus dépendre du mari dans certains
cas.
3-la satisfaction des caprices car le salaire du mari est consacré aux nécessités familiales.
4-la solution à l’ennui de rester seule à la maison pendant l’absence de son mari, surtout au
cours de la première année du mariage.
a)- La femme doit participer aux besoins et soutiens de la famille si le salaire du mari est
insuffisant
b)-Elle a le plein droit d’utiliser ses diplômes dans le domaine de son travail
c)-Elle doit s’ouvrir au monde extérieur pour s’épanouir et non rester prisonnière entre les
quatre murs.
a) La femme délaisse (abandonne) le ménage et les enfants car la mère doit assurer
l’éducation de ses enfants durant les cinq premières années. Elle est alors responsable
de l’avenir de ses enfants. Ceux-ci ont besoin d’affection et d’éducation de leur mère
pour ne pas être traumatisés (troublés) psychologiquement. C’est le cas d’un garçon
qui a refusé de revoir sa mère pour la dernière fois avant sa condamnation à mort
parce qu’il la tenait responsable de cette condamnation.
b) La femme fait un sacrifice supplémentaire en travaillant en dehors de son foyer car
elle poursuit deux lièvres à la fois (être à moitié au bureau ou à l’usine et être à moitié
à la maison)
Tout cela l’oblige à se lever tôt et à se coucher tard, ce qui lui aura des conséquences
néfastes sur sa santé. Alors, il n’y aura pas de bonheur parce que les travaux ménagers
sont déjà fatigants alors qu’elle fait encore un travail complémentaire
La femme peut travailler à l’extérieur de son foyer mais cela dépend de la situation
familiale et de sa disponibilité, c'est-à-dire :
Le voyage est le fait d’aller ou de se déplacer d’un lieu dans un autre assez éloigné
d’une façon temporaire. C’est aussi le fait de quitter son domicile pour aller séjourner dans un
autre dans un temps limité.
Par exemple, un homme de Fianarantsoa veut aller à Antananrivo pour passer ses
vacances. Dans ces cas, il va faire un voyage, il est devenu un voyageur ou un agent de
voyage.
Le voyage est donc une occasion de déplacement dans un temps limité allant d’une
région à une autre afin de satisfaire à ses besoins ou à ses impératifs.
II-NATURE DU VOYAGE
1-Le tourisme, c’est une occasion de voyage permettant à un touriste de visiter une région ou
un pays.
2-Le voyage d’affaires, c'est-à-dire un déplacement lucratif fait par un opérateur économique
en vue d’une affaire quelconque.
3-Le voyage d’étude :organisé par des étudiants en vue d’explorer des régions historiques.
8-Le voyage d’information, est effectué par des journalistes qui veulent collecter des
informations.
9-Le voyage de mission, est fait par une personne qui est en mission de service.
Le voyage se fait de plusieurs façons, et on peut l’effectuer selon des moyens appropriés. :
-voyage à pied
V-IMPORTANCE DU VOYAGE
C’est :
-Un plaisir
-Les effets des changements climatiques diminuent le plaisir de voyager chez l’homme.
-Le manque des lieux touristiques provoquent des ennuis chez l’homme qui est avide de
voyager.
-La méconnaissance des valeurs pratique et éducative du voyage pousse l’homme à ne plus
voyager
1- SOLUTIONS INSTITUTIONNELLES
2-SOLUTIONS SCOLAIRES :
Organiser :
-des manifestations scolaires en vue de créer des voyages fructueux pour les enfants
Eduquer :
CONCLUSION
Les fléaux naturels sont des cataclysmes survenant périodiquement et provoquant des
calamités (malheurs publics) à travers le désastre ou la mort d’un grand nombre de personnes
qu’ils effectuent lors de leur passage ou leurs effets, a savoir le volcan, le trombe, le cyclone,
la tremblement de terre (le séisme), l’inondation, l’évasion des sauterelles, le raz-de-marée, la
sécheresse, l’épidémie, la famine. Autrement dit, c’est l’ensemble de tous les facteurs qui
provoquent des dégâts humains et matériels néfastes à la vie de l’homme.
1- LE CYCLONE
On appelle cyclone, d’énormes masses d’air qui tournent sur elles-mêmes avec une
vitesse qui donne une force irrésistible à travers les mouvements de translation qu’elles
effectuent. Elles démolissent et déstabilisent les régions sur leur passage comme les forêts, les
cultures, les constructions diverses.
Les cyclones sont malheureusement fréquents à Madagascar. Au cours des années, ils
ont causé de grands dégâts presque dans toutes régions de notre pays en détruisant les routes,
les chemins de fer, voire les champs très dévastés.
Ils sont souvent nominatifs et portent la plupart du temps des noms de femme.
Lors d’un cyclone, il est indispensable d’informer les gens sur la présence ou son
arrivée pour les mettre en garde. Pour ce faire, des avis leur sont nécessaires, chaque couleur
du drapeau a son sens, à savoir :
L’avis de menace (couleur jaune) : si l’on sait que le cyclone va passer dans la région
concernée
L’avis de danger imminent (couleur rouge) : si le cyclone est déjà tout près de la région cible
Certes, les cyclones embarrassent n’importe qui et n’importe quoi vu les dégâts
énormes qu’ils apportent.
Elles renversent les maisons, déracinent les gros arbres et détruisent tout ce qu’elles
rencontrent sur leur passage. Les trombes sont heureusement rares à Madagascar.
3- LE VOLCAN
Ce sont des projections issues d’une fissure à l’intérieur du globe terrestre. Les
éruptions fracturent le sol en projetant des nuées ardentes munies des roches diverses dans la
nature. Les ouvertures, se nomment cratères et les matières en fusion appelées laves coulant
sur le flanc des collines ou des montagnes et s’y solidifient. Autrement dit, le volcan est un
trou, une colline ou une montagne qui crache des sables, des roches ou des blocs de pierres
très chaudes souvent fondues. Tout ce qui est vomi par le volcan vient de l’intérieur de la
terre. Plus on descend à l’intérieur de la terre, plus il fait chaud.
Un tremblement de terre est presque toujours annoncé par certains signes précurseurs
dont les plus fréquents sont des grondements souterrains ou des bruits. Un indice qui ne
manque jamais de se produire avant la présence des séismes est la frayeur des animaux qui,
par une sorte d’instect, présentent des phénomènes et cherchent à fuir en poussant des cris
lamentables.
A Madagascar, les séismes sot assez fréquents mais ils n’ont pas produit jusqu’ici des
dégâts considérables. Et cela, contrairement à ce qui s’est passé en Iran qui a fait une perte de
25.000 personnes.
5- LE RAZ-DE-MAREE
Les raz-de-marée sont des phénomènes provoqués par des mouvements de la croute
terrestre, sous la mer en provoquant d’énormes vagues débordantes. Ils peuvent atteindre
jusqu’à 100m de hauteur. Lorsqu’ils arrivent sur les côtes, ils détruisent les maisons, les
cultures et arrachent les arbres sur leur passage.
6- L’EPIDEMIE
C’est l’atteinte d’un grand nombre de contagieux par des maladies transmissibles qui
revêtent des caractères particuliers selon leurs causes.
L’épidémie englobe toutes les maladies qui contaminent à la fois un grand nombre de
personnes et nécessitant des mesures immédiates et efficaces à prendre pour éviter la perte
Exceptionnellement pour le coronavirus ou COVID 19, c’est une pandémie car elle
dépasse les frontières d’un pays. Le COVID 19 a provoqué une crise non seulement sanitaire
mais aussi économique et sociale d’échelle mondiale.
7- LA FAMINE
La famine provoque de nombreux embarres chez les gens et restent toujours le premier
ennemi de la vie humaine.
CONCLUSION
Izany hoe tsy fantatra izay hanombohana sy hiafarana. Kahie no asaina hanaovana
fanadihadiana nefa aiza izay fanontaniana ho valiana ohatra. Very hevitra amin’izany àry ny
mpiadina satria tsy voafaritra marina izay hatao, tsy fantara izay hanombohana sy izay
hitenenina ary izay hiantefana.
Noho izany, jerena sy dinihina ary fantarina tsara ny votoatin’ny sahanasa misy ao
anatiny hahafahana manapa-kevitra ny momba azy. Porofoina amin’ny alalan’ny zava-misy
ao ny hevitra tiana hambara.
OHATRA :
Raha nohadihadiantsika ity kahie ity dia ireto avy ireo zavatra hita
tao :________(mitanisa). Noho ireo antony voalaza ireo àry, dia azontsika ambara fa kahie-na
______________________ izy ity.
Dia mbola mitohy hatrany ny fanadihadiana lalina ilay kahie, ka eto dia miezaka ilay
mpiadina hamantatra ny kilasy misy ilay zaza, na ny dingana koa aza.
KAJY (MATEMATIKA) :
MALAGASY
FRANCAIS
MATEMATIKA
TARANJA HAFA
1- NY MOMBA NY KAHIE:
-Iza no mitsara azy? Ny mpianatra samy mpianatra sa ny mpampianatra?
-Ny fahadiovany sy fomba fitantanana azy
-Inona avy no zava-misy ao? Feno tsara ary manaraka ny fandaharam-pianarana isan-
kerinandro ve? Mifanaraka amin’izany ve ny asa ao?
Ny fahafantarana ny momba izany rehetra izany dia efa ahitana taratra ny toetra
amam-panahin’ilay mpianatra, na tsara izany na ratsy mba hanomezana fanarenana.
-Ny fomba fampiasany ny kahieny sy ny naoty azony ary ny mety ho fari-pahaizan’ilay zaza.
3- NY MOMBAMOMBA NY MPAMPIANATRA
-Ny fomba fiasa, ny modely omena, ny fomba fanoratra ao anaty kahie, ny fitandremana
hita ombiny ombieny.
Ireo rehetra ireo ihany koa dia efa ahafantarana ny fomba siasan’ilay mpampianatra, ny
toetrany, ny fahavitrihany, ny fitiavany ny asany eo am-panatanterahana ny sahanasa rehetra
ho araka ny tokony ho izy.
1- TOROLALANA MIALOHA:
-Vao miditra dia tokony hanaja sy hiarahaba ireo mpanadina
-Iangaviana izy ireo mba hiditra am-panajana ao anaty efitra
-Miandry ny toerana misy avy eo ka miandry baiko vao mipetraka ny tena
-Mihaino tsar any toromarika rehetra omen’izy ireo koa raha misy tsy mazava dia
anontaniana avy hatrany.
-Ampitenenina vao mahazo miteny raha tsy misy antony manokana
-Amboarina tsar any fomba fiteny sy ny fomba fihetsika mba ho maontina satria eo no
fampisahoana sahady ny fahaiza-miaina.
a)TENY FAMPIDIRANA:
Ny drafitra arahina
Atao mifanesy manaraka ny toromarika telo tsy maintsy lazaina ary aloha.
Famintinana amin’ny fomba tsotra izay rehetra voalaza ka tsy maintsy asongadina
amin’izany ireo zavatra telo lehibe, notakiana amin’ny fanadihadiana kahie dia ny:
Fisaorana sy firariantsoa
FANAMARIHANA
Marihina fa laza adina tahaka ny hafa ihany koa ny fanadihadiana kahie, ka tokony ho
tony mandrakariva ny mpiadina eo ampanaovana azy.
Aussi aurions-nous l’occasion de réitérer que la perfection n’existe pas dans le monde.
Certes, le travail que nous avions fait est loin d’être irréprochable. Nous en sommes
conscients.
Il nous appartient donc d’accepter, d’une part, toutes les critiques constructives venant
de nos lecteurs, et d’autre part, de recevoir à bras ouverts leurs propres suggestions nous
permettant de nous améliorer dans nos prochains recherches.