Tous ces conseils sont des pistes, des idées à avoir en tête, mais pas forcément à

appliquer à la lettre, il faut toujours adapter à votre enfant et à votre situation.

-éviter de faire une sieste après 17h30

-on dit que si l’endormissement le soir se passe bien, alors il y aura un meilleur
sommeil de nuit et moins de réveils
-rituel du coucher ++ (bain, repas, histoire par exemple) pour amener
progressivement et calmement (pas de jeux ou d'activités stimulantes ex : pas de
TV) l'enfant vers le sommeil : cela le rassure ++

-éviter de donner le biberon ou le sein du soir dans la chambre (pour bien dissocier
le lieu du repas ex : à la cuisine, du lieu pour dormir = la chambre)
-horaire de coucher régulier (autour de 20h environ en général), pour cela repérer les
signes de fatigue de votre enfant (agitation, se frotte les yeux...)

-idéalement endormissement dans le lit, pas au sein ni au biberon ni bercé, sinon

bébé fait une « association d’endormissement » : il associe le biberon ou le sein ou
le bercement au sommeil, et donc lors des micro-réveils la nuit (qui sont
physiologiques) il ne saura pas se rendormir seul et réclamera la même chose que
ce qui lui a permis de trouver le sommeil

-éviter de laisser pleurer l'enfant seul (très anxiogène pour un enfant, sentiment
d’abandon…), mais rester à côté, le rassurer, lui parler, lui dire qu’il est en sécurité
dans son lit/dans sa chambre, sans forcément le prendre dans les bras, mais en
étant présent (les pleurs seront différents si le parent est à côté et rassure l’enfant,
plutôt que si l’enfant est seul)

-ne pas être dans le rapport de force, l’enfant doit garder plaisir à aller dans son lit, il
ne doit pas considérer cela comme « une punition »

-tester une veilleuse, ou de changer l’orientation du lit, parfois il suffit de quelques

petits détails pour que la situation s’améliore

-toujours expliquer à l’enfant, calmement, lui parler simplement, le rassurer, à la fois

au moment du coucher, et lors des réveils
-si réveils la nuit : attendre quelques secondes/minutes avant d’intervenir pour voir si
l’enfant se rendort seul ou non, si ce n’est pas le cas aller le voir, éviter de lui
proposer à manger (biberon ou sein), le rassurer, parler doucement, éviter de
prendre l'enfant, le laisser dans son lit mais en étant présent. Si allaitement
maternel : il y aura plus de chances que l’enfant se rendorme si c’est le papa qui y va
(sinon avec la maman il « sent » le lait)

-on dit que c’est surtout le sommeil de nuit qui est important, si le sommeil de nuit est
bon, l’enfant aura plus de chances d’avoir un bon sommeil de jour