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M3.16. Point mobile à l’intérieur d’un cône.


1. Cas d’un mouvement circulaire et uniforme.
Dans le référentiel terrestre supposé galiléen, la loi de la dynamique appliquée au point M s’écrit :

om
  
P  N  ma
La projection de cette expression dans la base cylindro-polaire s’écrit :

 
r  r 2   N cos 
(1) suivant u r : m 


(2) suivant u : m r  2r  m 
1 d 2
r dt
r  0  

b.c

(3) suivant u z : mz  N sin   mg
Dans le cas d’un mouvement circulaire uniforme on a :
r  cte  r  0 et r  0
  cte    0
z  cte  z  0 et 
z0
Les équations précédentes s’écrivent maintenant :

1' : mr 2  N cos 


 2 ' : r 2  Cte
 N
mr 2
cos 
we
ola
mg
 3' : N sin   mg  0  N
sin 
Le rapport des équations (3’) et (1’) donne :
mg cos 
 1 comme r  a on obtient :
sin  mr 2
g 2 1
kh

tan = 2  o2  2
a  o
1
o 
tan 
2. Expression de la constante.
D’après l’équation (2’) : r 2  Cte
w.

On détermine l’expression de la constante en utilisant les conditions initiales :

r  t  0    t  0   a 2  a 2 o  Cte
2

 
 
ww

On reconnait ici la loi des aires : en effet dans le plan u r , u le mouvement est à force centrale

 N cos  u r .
3. Equation différentielle.
On exprime l’énergie mécanique de la particule :

Em  Ec  E p 
1
2
 
m r 2  r 2 2  z 2  mgz  constante
2
r 2    a 2 o  1
Or : z ; r   a o    
2 2
 et o 
tan   r
2
 tan 

Ces relations permettent d’éliminer de l’intégrale première de l’énergie la dépendance en z et  :

1  2 2  a 2 o  r 2  mgr
2

om
Em  m  r  r      constante
2   r 2  tan 2   tan 
 
1   mgr
Em  m  r 2 1  o4   2 a 4  2o2  
1
 constante
2  r  tan 
r 1  o4   2 a 4  2o2  gr o2 
1 2 1 constante
2 2r m

b.c
Comme g  ao2 , on obtient :

 1 a 2 2 2 r 
r 1  o4   a 2o2 
1 2
 o   Cte '
 
2
2  2 r a 
Energie cinétique
suivant r Energie potentielle dite effective E p eff

 1 a 2 2 r
E p eff  a 2o2 
2 r
2
 o2 

r
a

r   E p eff  a 2o2 o2  ao2 o2 r

r  0 E p eff  
a
we
ola
On recherche les extremums de la fonction E p eff :
2
dE p eff  1 2 2    3
 a 2o2   a 2  2 3  o   0  r   
dr  2 r a   o 
kh
w.
ww
On peut déduire de cette étude graphique que : r1  r  r2 .
4. Evolution de r.
Comme à t = 0, r  0   0 pour r  a , l’une des deux positions limites r1 ou r2 doit être égale à a.
2

om
 3
D’autre part comme la position d’équilibre r  a   est nécessairement comprise entre r1 et r2 , on peut
 o 
en déduire que si :
  o  r1  a et r2  a
  o  r2  a et r1  a

b.c
we
ola
kh
w.
ww

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