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Technologie vertes
Nous tenons à remercier nos parents qui n’ont de cesse de nous soutenir et accompagner.
Aussi nous tenons à remercier le corps administratif de l’ISGA qui au fil des années met à
disposition des étudiants un corps professoral de qualité et passionné.
Notre gratitude va aussi au corps professoral de l’ISGA qui par sa passion et sa compétence
dispense des cours structurées et de haute qualité.
Et pour finir, un grand merci aux professeurs membre de jury, pour leur qualités et le temps
qu’ils nous accorde pour évaluer notre travail en tout équité et franchise et qui de par conseils avisés
et qualités humaines nous sont d’une grande aide et prouvent une fois de plus la noblesse de
l’enseignement et nous poussent à encore améliorer notre travail pour approcher la perfection.
Introduction générale
A. La petite histoire
Le terme « technologie » étant une étude des techniques et outils fruit de l’activité humaine
qui est naturellement source de destruction et pollution il est très de ce fait peu souvent lié la
protection de l’environnement. Fort heureusement, ce n’est pas toujours le cas ! Certaines d’entre
elles sont dites « vertes » ou « propres » en raison de leur finalité : entretenir et préserver les
écosystèmes naturels.
Initier courant les années 1970 pour des raisons politiques. La crise pétrolière « choc
pétrolier » dévoile au monde entier la vulnérabilité à la dépendance au pétrole, ce qui décida
beaucoup de gouvernements à développer différents mécanismes pour limiter la dépendance au
pétrole, le recours accru au gaz naturel. Mais ce qui favorisa vraiment l’essor des technologies
vertes fut les actions concrètes des mouvements écologiques et politiques tourné vers la
préservation de l’écosystème et de l’environnement.
Après la guerre, des scientifiques comme Rachel Carson ont commencé à mettre en garde
contre les conséquences des pesticides chimiques, tandis que des médecins à l’étranger ont signalé
des maladies mystérieuses associées aux rayonnements nucléaires. Ce fut la genèse du mouvement
écologique, qui cherchait à préserver les écosystèmes et les ressources tout en sensibilisant aux
conséquences de l’emballement technologique.
Puis dans les années 1960 et 1970, avec la prise de conscience croissante des problèmes
environnementaux, les premières initiatives en faveur de l’environnement ont commencé à
émerger. Cela conduit à des développements technologiques visant à réduire l’impact sur
l’environnement.
Au fil des années, des progrès significatifs ont été réalisés dans différents domaines. Par
exemple, dans le secteur de l'énergie, les premiers panneaux solaires ont été développés dans les
années 1950, mais leur utilisation à grande échelle a vraiment décollé dans les années 1990 et 2000.
De même, les éoliennes ont connu une évolution majeure, passant de petites installations à des
parcs éoliens de grande envergure.
Dans le domaine des transports, les véhicules électriques ont également une longue histoire.
Les premiers modèles ont été développés dès le XIXe siècle, mais ils ont été supplantés par les
voitures à essence en raison de la disponibilité et du faible coût du pétrole. Cependant, avec les
préoccupations croissantes concernant les émissions de gaz à effet de serre, les véhicules
électriques sont revenus sur le devant de la scène dans les années 2000.
Les technologies vertes ont continué à se développer et à évoluer au fil des ans, avec des
avancées dans des domaines tels que la gestion des déchets, l'efficacité énergétique des bâtiments,
l'agriculture durable et bien d'autres encore. Aujourd'hui, elles jouent un rôle essentiel dans la
transition vers une économie plus verte et plus durable.
B. Etudes de l’évolution des technologies vertes
L'étude statistique sur les avancées de la technologie verte met en exergue une croissance
non moins significative ces dernières décennies. Les investissements colossaux en recherche et le
développement conduisent aux progrès remarquables observés dans plusieurs domaines clés. Ainsi
nous pouvons remarquer dans les domaines des :
Energies renouvelable : De nos jours nous assistons à une augmentation accrue de l’adoption des
sources d’énergies renouvelable, telle solaire et éolienne du fait de la diminution des coûts de
production les rendant très accessibles et compétitives au regard des sources conventionnelles
d’énergie :
o Énergie solaire : Nous assistons à une amélioration graduelle des cellules solaires, de
l’accessibilité, et l'efficacité nous donnaient des panneaux solaires en 2022 dépassant les
700 GW.
o Énergie éolienne : Les améliorations d’efficacité de turbines éoliennes, et les innovations
dans les conceptions offshores en entrainent la réduction des coûts sur le marché et de
l’entretien de l'énergie éolienne et nous permettant de remarquer aussi des éoliennes à
capacité pratiquement similaires à panneaux photovoltaïques soit plus de 700GW.
o Stockage thermique : Nous vivons une amélioration considérable dans le stockage
d'énergie sous forme thermique, notamment dans les applications de la chaleur solaire.
o Stockage d'énergie : Des progrès significatifs ont été réalisés dans le domaine notamment
les systèmes de stockage modernes, comme les batteries modernes, permettent à pallier les
défis de l’inconstance des sources d'énergie renouvelable. Ainsi nous assistons à une
fulgurance des batteries lithium-ion très accessibles.
Efficacité énergétique : L’efficacité des installations énergétique fait preuve d’une amélioration
sans précédent, dans le bâtiment, transports et les procédés industriels. Des innovations telles que
l'internet des objets (IO/IoT : Internet of Things)) sont couplés aux installer a fin d’optimiser la
consommation d'énergie du bâtiment. De même nous avons les bâtiments écologiques fleurissant
un peu partout à consommation quasi nulle (Nearly Zero Energy Buildings, NZEB).
Mobilité durable : L’importante électrification des transports, plus le l’avènement de véhicules
électriques et de solutions de mobilité durable. Nous assistons ainsi à un déploiement massif de
différentes technologies telles que :
o Transports électriques : dans ce domaine la croissance des flottes de véhicules électriques,
développement de batteries plus performantes, et les améliorations dans la conception de
véhicules de tous types permettent de diminuer les besoins carburant dans le secteur
automobile ainsi que transport de « personnes et biens » et l’émission de déchets et gaz à
effet de serre.
o Transport public écologique : Ici on fait usage de biocarburant, de véhicules hybrides ou
entièrement électriques dans les transports en commun, ainsi que de solutions permettant la
mobilité partagée électrique.
o Infrastructure de recharge : Ici on peut citer les expansions des réseaux de recharge
rapide et de technologies de recharge sans fil intégrés aux infrastructures routières et/ou
bâtiments.
Gestion des déchets : Application des technologies dites vertes dans la gestion des déchets, accroit
le taux de recyclage et la réduit des déchets plastiques, leur production ainsi que leurs usages ce qui
rend attrayant la promotion d’une économie circulaire avec de produits conçus pour être réutilisés.
Agriculture durable : Dans le secteur agricole des nouvelles solutions technologiques voient le
jour pour réduire sa trace environnementale, on couple ainsi l'usage de drones pour des fins de
surveillance de cultures, à la gestion concise des intrants agricoles et l’aide à la pratique agricole
durable accroit la productivité sans pour autant intoxiquer l’environnement. Et favorise une
agriculture de précision afin de gérer efficacement les ressources.
Données, intelligence artificielle et modélisation prédictive : on se sert de l’intelligence
artificielle dans la gestion des ressources et des infrastructures permettent une utilisation plus
efficace des ressources naturelles, systèmes capables d’ajustement fonction des conditions
environnementales instantanément. Également servir à anticiper le changement d’environnement
afin d’adapter quelles stratégies adoptées et offrant ainsi une précision dans la gestion des ressources
et la prévision de l’évolution environnementales, jusqu’à l’assistance à la prise des décisions
efficaces.
C. Concept et technologies
b. Technologies vertes
La technologie verte est une vaste catégorie qui englobe plusieurs formes d’assainissement
de l’environnement. Alors que le changement climatique et les émissions de carbone sont
désormais considérés comme les problèmes mondiaux les plus urgents, de nombreux efforts sont
également déployés pour faire face aux risques environnementaux locaux. Certains cherchent à
protéger des écosystèmes spécifiques ou des espèces menacées. D’autres cherchent à conserver des
ressources naturelles rares en trouvant des alternatives plus durables.
Les exemples de technologies vertes les plus connus sont le recyclage des déchets, le
traitement des eaux usées ou encore les énergies renouvelables telles que l'énergie solaire, éolienne,
hydraulique et la biomasse.
D. Les énergies renouvelables :
L’une des applications les plus courantes des technologies vertes est la production
d’énergie à partir de sources renouvelables.
Les énergies renouvelables peuvent être définies comme toute forme utile d’énergie
provenant d’une source renouvelable, dont la valorisation actuelle ne limite pas la disponibilité
future. Il existe diverses filières d’énergies renouvelables, qui permettent la production d’énergie
mécanique, d’énergie thermique et/ou d’électricité. Dans ce sens, on appelle les énergies
renouvelables ou énergies vertes toutes énergies dont la consommation n'aboutit pas à la diminution
des ressources naturelles, parce qu'elle fait appel à des éléments qui se recréent naturellement ;
exemple (la biomasse, l'énergie solaire, l'hydroélectricité et l'énergie éolienne…). Au contraire, les
combustibles fossiles et la fission nucléaire n'en font pas partie puisque les gisements connus de
ces formes d'énergie sont voués à disparaître plus ou moins rapidement. Ils sont donc considérés
comme des énergies fossiles. De plus, les énergies fossiles contribuent à la pollution de
l’environnement et au réchauffement climatique.
Avant d’entamer les différents types des énergies renouvelables, il est indispensable de
mettre en exergue leurs grandes familles. Dans ce sens, une énergie renouvelable quelconque doit
être fournie souvent par l’une de ces sources :
a. L’énergie solaire
Le terme énergie solaire fait référence à l’utilisation de l’énergie solaire. En installant des
panneaux solaires et d’autres systèmes, cette énergie peut être utilisée pour convertir la lumière du
soleil en énergie thermique ou encore en énergie électrique. L’énergie solaire est une solution fiable
et performante, qui contribue aux besoins énergétiques tout en réduisant les émissions de CO2. Elle
participe au développement des énergies renouvelables dans le mix énergétique français que l’État
prévoit de verdir dans l’avenir. De plus, le développement de l’énergie solaire s’accélère grâce à
l’amélioration des technologies et à la baisse des coûts de fabrication des cellules photovoltaïques.
L’énergie solaire est l’énergie contenue dans le rayonnement solaire. Ce type d’énergie
renouvelable est généré par des réactions de fusion nucléaire dans le Soleil. Le rayonnement se
déplace vers la Terre à travers le rayonnement électromagnétique et peut ensuite être utilisé.
L’énergie du vent ou énergie éolienne est l’énergie cinétique des masses d’air en
mouvement autour du globe. La racine étymologique du terme « éolien » provient du nom du
personnage mythologique Éole, connu en Grèce antique comme le maître des vents.
L’énergie éolienne est une forme indirecte de l’énergie solaire : les rayons solaires absorbés
dans l’atmosphère entraînent des différences de température et de pression. De ce fait les masses
d’air se mettent en mouvement et accumulent de l’énergie cinétique. Celle-ci peut être transformée
et utilisée à plusieurs fins :
L’énergie éolienne est une énergie renouvelable qui n'émet pas directement de gaz à effet
de serre en phase d’exploitation.
c. L’énergie hydraulique
L’énergie hydraulique est une forme d’énergie renouvelable qui est produite par le
mouvement de l’eau. Elle est considérée comme une énergie propre et non polluante, car elle ne
produit pas de déchets ou de gaz à effet de serre. L’énergie hydraulique peut être utilisée pour
produire de l’électricité, mais elle peut également être utilisée pour le chauffage, le refroidissement,
le transport et d’autres applications.
Les centrales hydrauliques fonctionnent en faisant circuler de l’eau à travers une turbine,
ce qui entraîne un générateur qui produit de l’électricité. L’énergie hydraulique peut être utilisée
pour alimenter des villes et des villages entiers, et elle est souvent utilisée comme source d’énergie
de secours en cas de panne d’électricité.
L’hydraulique est une technique utilisée depuis longtemps dans le domaine de l’irrigation
et de la production d’électricité. Aujourd’hui, cette énergie renouvelable représente environ 10 %
de la production mondiale d’électricité. Elle est produite à partir de l’eau, un élément essentiel à la
vie, et elle ne produit pas de déchets ou de gaz à effet de serre.
L’hydraulique a donc un impact positif sur l’environnement, car elle permet de réduire la
consommation d’énergie fossile et les émissions de gaz à effet de serre. De plus, elle ne nécessite
pas de grandes installations et peut être mise en place dans des zones isolées.
d. La biomasse
Il existe trois formes de biomasse présentant des caractéristiques physiques très variées :
La biomasse est une réserve d'énergie considérable née de l’action du soleil grâce à la
photosynthèse. Elle existe sous forme de carbone organique. Sa valorisation se fait par des procédés
spécifiques selon le type de constituant.
La biomasse est parfois considérée comme une source d'énergie renouvelable uniquement
si sa régénération est au moins égale à sa consommation (par exemple, l’utilisation du bois ne doit
pas conduire à une diminution du nombre d’arbres).
Les technologies vertes peuvent également être utilisées pour la gestion des déchets. Par
exemple, les technologies de méthanisation permettent la production de gaz à partir des déchets.
Les déchets peuvent également être récupérés pour être recyclés et réutilisés.
Une fois méthanisée, la matière résiduelle (digestat) est stockée.Il existe également un
procédé physique, la méthanation, qui, par gazéification de biomasse sèche, généralement du bois,
sous l’effet de la température, conduit à la production de méthane, de gaz de synthèse et de CO2.
Ce procédé, dont une version primitive était à la base des gazogènes utilisés pour la traction
automobile pendant la Seconde Guerre mondiale, est en cours de développement pour la production
de méthane « vert ».
f. Le traitement des eaux usées :
Le traitement des eaux usées est un enjeu majeur pour notre société moderne. En effet, les
activités humaines produisent chaque jour d’importantes quantités d’eaux polluées qui doivent être
dépolluées avant de pouvoir être rejetées dans la nature. Ici, vous découvrirez les principales
méthodes et techniques utilisées pour traiter ces eaux afin de préserver l’environnement et notre
santé.
Il existe plusieurs procédés et techniques permettant de traiter les eaux usées et de réduire
leur impact environnemental. Les voici :
1. Le prétraitement, qui consiste à éliminer les gros déchets et les matières solides (sable,
graviers) du flux d’eaux usées afin de préparer ces dernières à l’étape suivante.
2. Le traitement primaire, qui a pour objectif de séparer les matières solides en suspension
dans l’eau par décantation ou flottaison.
3. Le traitement secondaire, qui vise à éliminer les matières organiques présentes en grande
majorité dans les eaux usées. Parmi les techniques fréquemment utilisées pour ce faire, on
peut citer la méthode des boues activées, la digestion anaérobie, les lits bactériens ou
encore le lagunage naturel.
Pour ce faire, il est important de noter qu’aucune technologie ne peut être sur le marché
sans certifications de conformité aux normes internationales ISO 14001 et/ou ses variantes, et la
technologie en question doit au moins respecter une de normes. Si possible avoir un brevet pour la
propriété.
F. Promotion de technologies vertes :
b. Organes de l’ONU
La promotion par les États et les organes de l'ONU (Organisation des Nations Unies)
implique la diffusion d'informations et la sensibilisation du public à des enjeux mondiaux tels que
la paix, les droits de l'homme, le développement durable, etc. Ces entités utilisent divers moyens,
notamment les discours officiels, les déclarations, les campagnes médiatiques et les initiatives
éducatives pour communiquer leurs objectifs et mobiliser le soutien de la communauté
internationale. Nous pouvons citer COP21, le sommet de G20, le sommet européen pour la
transition écologique.
G. La valeur ajoutée des technologies vertes dans les différents domaines
a. Agriculture
L’énergie verte permet de diminuer notre dépendance aux combustibles fossiles, ce qui est
vraiment chouette pour l’agriculture ! En utilisant des sources d’énergie renouvelables telles que
l’énergie solaire et éolienne, les agriculteurs peuvent réduire leur consommation de combustibles
fossiles.
Cela signifie moins de pollution atmosphérique et une empreinte carbone plus faible pour
l’agriculture. De plus, en utilisant des systèmes d’énergie verte tels que les panneaux solaires ou
les éoliennes pour générer de l’électricité, les agriculteurs peuvent économiser sur leurs factures
d’énergie. Cela peut libérer des ressources financières supplémentaires pour investir dans des
technologies agricoles durables, améliorant ainsi la productivité et la rentabilité à long terme.
Il n’existe pas de définition officielle de ce qu’est une construction verte, appelée aussi
construction durable ou construction écologique. Le concept peut ainsi paraître assez flou et laisser
place à l’appréciation de chacun en fonction des critères qui lui semblent les plus importants.
Toutefois, il est possible de définir une construction écologique comme étant une habitation
ayant pour objectif de respecter l’environnement. Pour cela, elle sera étudiée pour réduire son
impact environnemental en termes de pollution et de consommation d’énergie.
Certains critères font l’unanimité quand il s’agit de construction écologique. Nous pouvons
ainsi citer :
Il existe donc une base commune aux différentes constructions écologiques même si
l’ensemble de ces critères n’est pas toujours réuni dans sa totalité.
Il existe de nombreux exemples de projets réussis qui intègrent les énergies renouvelables
dans la construction durable. Par exemple, le One Angel Square à Manchester, au Royaume-Uni,
est un bâtiment à énergie zéro qui utilise des panneaux solaires et une pompe à chaleur
géothermique pour répondre à ses besoins énergétiques. Ce bâtiment a été conçu pour minimiser
sa consommation d’énergie et maximiser l’utilisation des énergies renouvelables.
Un autre exemple est le parc éolien offshore de Block Island, aux États-Unis. Ce projet a
permis de fournir de l’énergie propre à plus de 17 000 foyers, réduisant ainsi les émissions de gaz
à effet de serre de manière significative. Ces exemples démontrent le potentiel des énergies
renouvelables dans la construction durable et encouragent d’autres professionnels du bâtiment à
adopter ces pratiques.
d. Le transport durable
L'idée du développement durable est de nous permettre de répondre aux besoins actuels du
marché tout en préservant les ressources pour les générations futures. La prise de conscience du
changement climatique ne date pas d'hier. On peut dire que nous commençons petit à petit, à
prendre conscience de la dette que nous avons « contractée » envers notre planète car nous devons
payer à présent. Néanmoins, le problème affectera sans doute encore plus nos descendants – surtout
si nous ne nous attaquons pas aux problèmes écologiques plus tôt. Il est essentiel de changer les
industries qui, par leur nature même, sont nuisibles à l'environnement. Les transports en sont un
bon exemple – nous ne pouvons pas les éviter mais garder à l'esprit qu'ils ne sont pas tous
respectueux de notre planète sous leur forme actuelle. Il faut examiner ce secteur plus en détail et
veiller à ce qu'il réponde aux normes dites « écologiques ».
L'objectif de toutes ces démarches reste le même. Il s'agit de réduire les impacts des
moyens de transport sur l'environnement.
À plus long terme, le transport durable n'implique pas seulement des mesures visant à
réduire les émissions. Il est également important de mettre en œuvre des solutions appropriées dès
le début de la conception d’un véhicule, surtout si l'on considère que l'industrie automobile joue un
rôle dans la production de gaz à effet de serre. L'application de normes environnementales à chaque
étape du produit (cycle de vie) joue un rôle de plus en plus important. Il est essentiel d'évaluer
l'impact dès le début du développement d'une solution automobile. Dans la plupart des cas, il est
possible d'utiliser des matériaux plus écologiques et de développer des méthodes de production
plus économiques et sans générer déchets
Conclusion
Introduction
Le ferroutage est mode de transport qui combine les technologies et infrastructures à la fois
de routières et ferroviaires dans l’optique de réduire la pollution de l’air car électriques. Depuis
quelques années l’Allemagne et la suède l’expérimente, il est combiné à un réseau électrique
d’environ 750 volts de tension. Tout cela dans l’optique de faire plus (transporter le maximum de
produits) avec moins de dégât sur l’environnement.
A. Camion classique vs électrique
Un camion thermique est un véhicule tout simplement équipé d'un moteur essence ou d'un
moteur diesel, qui sont les deux types de moteurs que l'on retrouve le plus sur nos routes ces
moteurs consomment une énergie à combustion.
a. Entretien
b. Environnement
Selon l’agence Européenne pour l’environnement en 2016, toutes les émissions de CO2
produites par les transports sont dues à 33% des émissions à gaz à effet de serre dans le monde en
ce sens les camions sont responsables de 14% d’émissions parmi les transports. Les camions
électrique en prenant en compte le processus de fabrication et selon les chiffres avancés, un camion
électrique de 40 tonnes émet 63% de gaz à effet de serre de moins qu’un camion diesel sur
1,3million de km parcourut en prenant l’en compte la production d’électricité renouvelable les
émissions pourraient être réduit à 84%. Les camions électriques disponible produisent à peu près
18050kg de co2 pour un camion classique qui produit 50330kg de co2
B. Concept créatif
Le concept derrière les camions électriques est qu’ils sont conçus de telle sorte qu’ils :
Prise d’élan électrique : le camion se déplace grâce à son moteur électrique alimenté par
de batteries électriques et économise ainsi de l’énergie car dépourvu de rejet de gaz
d’échappement.
Diffusion quasi nulle : Certains des avantages des camions électriques est qu’ils ne sont
pas émetteurs de bruit ni de gaz grâce aux batteries qui constitue leur principale source
d’énergie. Leur usage avec les énergies renouvelables fait d’eux d’excellentes technologies
vertes car leur nuisance pour l’écosystème devient très négligeable.
Exploitent peu de ressources : à long terme leur exploitation est beaucoup plus rentable,
car provoquent peu de coûts d’exploitation, et génère peu de dépenses lié aux combustible
contrairement à camions classique.
Technologies de pointes : Ils sont souvent dotés de technologies émergentes, et
écoresponsable (verte) et embarquent des systèmes un pilote de conduite autonome. Les
progrès technologiques dans le domaine de batteries, augmentent leur autonomie, en les
rendant attractif et compétitif sur le marché.
o Pantographe intelligent : une innovation sans précédent pour les camions qui
s’actionne au besoin. Et permet une diminution drastique de l’émission du CO2
o Des batteries : extrêmement efficace, servant à l’alimentation du moteur et du reste
des systèmes.
C. Design
La structure des camions actuel sont dépassé en exploitant les possibilités des technologies
d’IA et d’e-mobilité avec une réadaptation des tailles de véhicules grâce à la taille compacte des
nouvelles batteries. Les camions électriques de 2030 devront être capable d’avoir plus de mobilité
de mouvement une réduction de risque pour les manœuvres ces camions devront être libre de toute
restrictions. Ils répondent à une demande de silence dans les villes.
D. Commercialisation :
Les véhicules électriques sont comme les héros silencieux de la route. C'est comme si elles
avaient un superpouvoir qui rend les trajets plus propres et plus sympas pour la planète
Conclusion générale
Mecalux.fr
Faq-logistique.com
Chargeguru.com
Le point
https://www.lepoint.fr/automobile/l-allemagne-experimente-une-autoroute-electrique-a-catenaire-
21-09-2017-2158587_646.php#11
forum sara
http://forum.sara-infras.fr/viewtopic.php?f=19&t=8492&start=20
https://www.supplychaininfo.eu/ferroutage/
caradisiac
https://www.caradisiac.com/des-autoroutes-a-catenaires-pour-camions-electriques-en-france-
202248.htm
https://www.caradisiac.com/la-suede-teste-la-catenaire-pour-les-poids-lourds-108808.htm
https://www.caradisiac.com/la-suede-teste-la-catenaire-pour-les-poids-lourds-108808.htm
FCCQ
https://www1.fccq.ca/technologies-vertes-investissement-encourager-linnovation-technologique-
transition-energetique-entreprises/
CNUCED
https://unctad.org/fr/news/technologies-vertes-il-faut-des-politiques-coherentes-pour-que-les-
pays-en-developpement
Faster capital
https://fastercapital.com/fr/contenu/Technologie-verte---ouvrir-la-voie-a-la-nouvelle-
economie.html
https://www.wipo.int/edocs/pubdocs/fr/wipo-pub-1080-exec-summary-fr-green-technology-
book.pdf
OMPI
https://www.wipo.int/wipo_magazine/fr/2014/01/article_0002.html
CAIRN.INFO
https://www.cairn.info/revue-d-economie-du-developpement-2015-4-page-129.htm?ref=doi
Open edition
https://journals.openedition.org/rei/5576