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2023-2024

Technologie vertes

Mahamadou Laouali Hamadou


Table des matières
Remerciements ................................................................................................................................. 2
Introduction générale ........................................................................................................................ 3
I. Concept général de Technologies Vertes ................................................................................. 4
A. La petite histoire ................................................................................................................ 4
B. Etudes de l’évolution des technologies vertes ................................................................... 6
C. Concept et technologies ..................................................................................................... 8
a. Concept de technologies vertes ......................................................................................... 8
b. Technologies vertes ....................................................................................................... 8
D. Les énergies renouvelables : ............................................................................................ 10
a. L’énergie solaire .............................................................................................................. 10
b. L’énergie éolienne........................................................................................................ 12
c. L’énergie hydraulique ...................................................................................................... 13
d. La biomasse ................................................................................................................. 14
e. La gestion des déchets : ................................................................................................... 15
f. Le traitement des eaux usées : ......................................................................................... 16
E. Commercialisation : ......................................................................................................... 18
F. Promotion de technologies vertes : ..................................................................................... 20
a. ONG Organisation Non Gouvernementales .................................................................... 20
b. Organes de l’ONU: ...................................................................................................... 20
G. La valeur ajoutée des technologies vertes dans les différents domaines ......................... 21
c. La construction verte ou NZEB ....................................................................................... 22
d. Le transport durable ..................................................................................................... 24
Conclusion ...................................................................................................................................... 26
II. Camion électrique de ferroutage ............................................................................................ 27
Introduction ................................................................................................................................ 27
A. Camion classique vs électrique........................................................................................ 28
a. Entretien........................................................................................................................... 28
b. Environnement ............................................................................................................. 28
B. Concept créatif ................................................................................................................. 29
C. Design .............................................................................................................................. 31
D. Commercialisation : ......................................................................................................... 33
Conclusion générale ....................................................................................................................... 34
Bibliographie .................................................................................................................................. 35
Remerciements

Tout d’abord, louanges, gloire, et remerciements à ALLAH le seigneur de l’Univers qui


continue de nous combler de Ses bienfaits.

Nous tenons à remercier nos parents qui n’ont de cesse de nous soutenir et accompagner.

Aussi nous tenons à remercier le corps administratif de l’ISGA qui au fil des années met à
disposition des étudiants un corps professoral de qualité et passionné.

Notre gratitude va aussi au corps professoral de l’ISGA qui par sa passion et sa compétence
dispense des cours structurées et de haute qualité.

Spécial remerciement à notre professeur encadrant Mr YOUSSEF FILLALI dont ses


qualités sociales, pédagogiques et professionnelles ne sont plus à vanter et ayant su faire preuve de
patience et d’encouragement à notre égard.

Et pour finir, un grand merci aux professeurs membre de jury, pour leur qualités et le temps
qu’ils nous accorde pour évaluer notre travail en tout équité et franchise et qui de par conseils avisés
et qualités humaines nous sont d’une grande aide et prouvent une fois de plus la noblesse de
l’enseignement et nous poussent à encore améliorer notre travail pour approcher la perfection.
Introduction générale

De tout temps l'activité traditionnelle humaine a produit de déchets polluants, et la


révolution industrielle du XVII ème siècle amorce de profonds bouleversements et mutations de la
société. Ainsi, on passe de d'une société traditionnelle, agricole et artisanale moyennement
polluante et peu avide de ressources énergétiques à une société moderne industrielle et
commerciale très assoiffée en ressources et produits à fortement polluants ayant pour conséquences
un tarissement drastique des ressources énergétiques et une pollution exponentielle de
l’environnement. Pour faire face, une alternative nouvelle s’offre à nous ‘LA TECHNOLOGIE
VERTE’ une technologie visant à réduire les impacts polluant sur l’environnement verte avec un
champ d’application aussi large que la technologie ordinaire. Le terme technologie verte consiste
à l’ensemble des techniques visant l'amélioration de la qualité de l'environnement par le biais de la
réduction des rejets toxiques dans l'air, l'eau ou le sol, par l'économie de ressources : « produire
plus avec moins ». Dans ce cadre nous présenterons les buts, descriptions techniques ainsi les études
des gestion et commercialisation de ces technologies. En outre nous présenterons une étude
exhaustive d’un concept révolutionnaire dans le cadre du transport de marchandises en camion.
I. Concept général de Technologies Vertes

A. La petite histoire

Le terme « technologie » étant une étude des techniques et outils fruit de l’activité humaine
qui est naturellement source de destruction et pollution il est très de ce fait peu souvent lié la
protection de l’environnement. Fort heureusement, ce n’est pas toujours le cas ! Certaines d’entre
elles sont dites « vertes » ou « propres » en raison de leur finalité : entretenir et préserver les
écosystèmes naturels.

Initier courant les années 1970 pour des raisons politiques. La crise pétrolière « choc
pétrolier » dévoile au monde entier la vulnérabilité à la dépendance au pétrole, ce qui décida
beaucoup de gouvernements à développer différents mécanismes pour limiter la dépendance au
pétrole, le recours accru au gaz naturel. Mais ce qui favorisa vraiment l’essor des technologies
vertes fut les actions concrètes des mouvements écologiques et politiques tourné vers la
préservation de l’écosystème et de l’environnement.

Si aujourd’hui le mot « vert » fait considérablement partie de notre quotidien, le terme de


« technologies vertes » est encore assez méconnu, malgré leur réelle présence au tour de nous avec
pour objectif premier : réduire les effets nocifs et préjudiciables de l’activité humaine sur
l’environnement. En ces quatre mots « produire plus avec moins », elles doivent leur essor aux des
décennies de recherches et investissement.

Après la guerre, des scientifiques comme Rachel Carson ont commencé à mettre en garde
contre les conséquences des pesticides chimiques, tandis que des médecins à l’étranger ont signalé
des maladies mystérieuses associées aux rayonnements nucléaires. Ce fut la genèse du mouvement
écologique, qui cherchait à préserver les écosystèmes et les ressources tout en sensibilisant aux
conséquences de l’emballement technologique.

Les organismes gouvernementaux ont lentement reconnu l’importance de protéger les


ressources environnementales. Les programmes de collecte sélective sont devenus courants au
cours des décennies suivantes, sensibilisant aux déchets ménagers. L’Environnemental Protection
Agency, créée en 1970, a établi des exigences fermes en matière de pollution et de déchets, et a
établi des mandats pour les épurateurs de charbon et d’autres technologies propres. Et le premier
grand programme de recyclage avec près d’un demi-million de volontaires a été lancé pendant la
Seconde Guerre mondiale aux États-Unis.

Puis dans les années 1960 et 1970, avec la prise de conscience croissante des problèmes
environnementaux, les premières initiatives en faveur de l’environnement ont commencé à
émerger. Cela conduit à des développements technologiques visant à réduire l’impact sur
l’environnement.

Au fil des années, des progrès significatifs ont été réalisés dans différents domaines. Par
exemple, dans le secteur de l'énergie, les premiers panneaux solaires ont été développés dans les
années 1950, mais leur utilisation à grande échelle a vraiment décollé dans les années 1990 et 2000.
De même, les éoliennes ont connu une évolution majeure, passant de petites installations à des
parcs éoliens de grande envergure.

Dans le domaine des transports, les véhicules électriques ont également une longue histoire.
Les premiers modèles ont été développés dès le XIXe siècle, mais ils ont été supplantés par les
voitures à essence en raison de la disponibilité et du faible coût du pétrole. Cependant, avec les
préoccupations croissantes concernant les émissions de gaz à effet de serre, les véhicules
électriques sont revenus sur le devant de la scène dans les années 2000.

Les technologies vertes ont continué à se développer et à évoluer au fil des ans, avec des
avancées dans des domaines tels que la gestion des déchets, l'efficacité énergétique des bâtiments,
l'agriculture durable et bien d'autres encore. Aujourd'hui, elles jouent un rôle essentiel dans la
transition vers une économie plus verte et plus durable.
B. Etudes de l’évolution des technologies vertes

L'étude statistique sur les avancées de la technologie verte met en exergue une croissance
non moins significative ces dernières décennies. Les investissements colossaux en recherche et le
développement conduisent aux progrès remarquables observés dans plusieurs domaines clés. Ainsi
nous pouvons remarquer dans les domaines des :

 Energies renouvelable : De nos jours nous assistons à une augmentation accrue de l’adoption des
sources d’énergies renouvelable, telle solaire et éolienne du fait de la diminution des coûts de
production les rendant très accessibles et compétitives au regard des sources conventionnelles
d’énergie :
o Énergie solaire : Nous assistons à une amélioration graduelle des cellules solaires, de
l’accessibilité, et l'efficacité nous donnaient des panneaux solaires en 2022 dépassant les
700 GW.
o Énergie éolienne : Les améliorations d’efficacité de turbines éoliennes, et les innovations
dans les conceptions offshores en entrainent la réduction des coûts sur le marché et de
l’entretien de l'énergie éolienne et nous permettant de remarquer aussi des éoliennes à
capacité pratiquement similaires à panneaux photovoltaïques soit plus de 700GW.
o Stockage thermique : Nous vivons une amélioration considérable dans le stockage
d'énergie sous forme thermique, notamment dans les applications de la chaleur solaire.
o Stockage d'énergie : Des progrès significatifs ont été réalisés dans le domaine notamment
les systèmes de stockage modernes, comme les batteries modernes, permettent à pallier les
défis de l’inconstance des sources d'énergie renouvelable. Ainsi nous assistons à une
fulgurance des batteries lithium-ion très accessibles.
 Efficacité énergétique : L’efficacité des installations énergétique fait preuve d’une amélioration
sans précédent, dans le bâtiment, transports et les procédés industriels. Des innovations telles que
l'internet des objets (IO/IoT : Internet of Things)) sont couplés aux installer a fin d’optimiser la
consommation d'énergie du bâtiment. De même nous avons les bâtiments écologiques fleurissant
un peu partout à consommation quasi nulle (Nearly Zero Energy Buildings, NZEB).
 Mobilité durable : L’importante électrification des transports, plus le l’avènement de véhicules
électriques et de solutions de mobilité durable. Nous assistons ainsi à un déploiement massif de
différentes technologies telles que :
o Transports électriques : dans ce domaine la croissance des flottes de véhicules électriques,
développement de batteries plus performantes, et les améliorations dans la conception de
véhicules de tous types permettent de diminuer les besoins carburant dans le secteur
automobile ainsi que transport de « personnes et biens » et l’émission de déchets et gaz à
effet de serre.
o Transport public écologique : Ici on fait usage de biocarburant, de véhicules hybrides ou
entièrement électriques dans les transports en commun, ainsi que de solutions permettant la
mobilité partagée électrique.
o Infrastructure de recharge : Ici on peut citer les expansions des réseaux de recharge
rapide et de technologies de recharge sans fil intégrés aux infrastructures routières et/ou
bâtiments.
 Gestion des déchets : Application des technologies dites vertes dans la gestion des déchets, accroit
le taux de recyclage et la réduit des déchets plastiques, leur production ainsi que leurs usages ce qui
rend attrayant la promotion d’une économie circulaire avec de produits conçus pour être réutilisés.
 Agriculture durable : Dans le secteur agricole des nouvelles solutions technologiques voient le
jour pour réduire sa trace environnementale, on couple ainsi l'usage de drones pour des fins de
surveillance de cultures, à la gestion concise des intrants agricoles et l’aide à la pratique agricole
durable accroit la productivité sans pour autant intoxiquer l’environnement. Et favorise une
agriculture de précision afin de gérer efficacement les ressources.
 Données, intelligence artificielle et modélisation prédictive : on se sert de l’intelligence
artificielle dans la gestion des ressources et des infrastructures permettent une utilisation plus
efficace des ressources naturelles, systèmes capables d’ajustement fonction des conditions
environnementales instantanément. Également servir à anticiper le changement d’environnement
afin d’adapter quelles stratégies adoptées et offrant ainsi une précision dans la gestion des ressources
et la prévision de l’évolution environnementales, jusqu’à l’assistance à la prise des décisions
efficaces.
C. Concept et technologies

a. Concept de technologies vertes

La technologie verte également connue sous le nom d'écotechnologies ou de technologies


environnementales, fait référence à un type de technologie considérée comme respectueuse de
l’environnement en fonction de son processus de production ou de sa chaîne d’approvisionnement.
La technologie verte désigne également la production d’énergie propre, l’utilisation de carburants
alternatifs et des technologies moins nocives pour l’environnement que les combustibles fossiles.

A l’ère de la surconsommation, couplée à une société de plus en plus exigeante au respect


de l’environnement toute l’industrie se tourne progressivement vers une production
écoresponsable, satisfaire le marché tout en réduisant considérablement les effets nocifs et
polluants pour l’environnement.

Ainsi la technologie verte devient de plus en plus attrayante, et s’impose progressivement


une alternative acceptable et viable. Car en effet, dès l’aube de la révolution industrielle, les
scientifiques observèrent déjà les effets de la production sur la planète, et certains fabricants
s’engagèrent déjà à réduire leur production de déchets et suies. Des pratiques encore utiliser de nos
jours.

Axés essentiellement sur le respect et la préservation des trois principaux volets


environnementaux à savoir l’air, l’eau et le sol. On produit en évaluant les effets sur
l’environnement. Quel effet aura mon produit sur l’eau, l’air et/ou le sol selon son champ
d’application ? Quelles sont les effets des déchets industriels émis lors de la production ? et bien
plus encore, le concept concerne également le domaine la santé de.

b. Technologies vertes

La technologie verte est un terme générique qui décrit l’utilisation de la technologie et de


la science pour créer des produits et des services respectueux de l’environnement. Les technologies
vertes sont liées aux technologies propres, qui font spécifiquement référence aux produits ou
services qui améliorent les performances opérationnelles tout en réduisant les coûts, la
consommation d’énergie, les déchets ou les effets négatifs sur l’environnement.

L’objectif des technologies vertes est de protéger l’environnement, de réparer les


dommages causés à l’environnement dans le passé et de conserver les ressources naturelles de la
Terre. La technologie verte est également devenue une industrie en plein essor qui a attiré
d’énormes quantités de capitaux d’investissement.

La technologie verte est une vaste catégorie qui englobe plusieurs formes d’assainissement
de l’environnement. Alors que le changement climatique et les émissions de carbone sont
désormais considérés comme les problèmes mondiaux les plus urgents, de nombreux efforts sont
également déployés pour faire face aux risques environnementaux locaux. Certains cherchent à
protéger des écosystèmes spécifiques ou des espèces menacées. D’autres cherchent à conserver des
ressources naturelles rares en trouvant des alternatives plus durables.

Les exemples de technologies vertes les plus connus sont le recyclage des déchets, le
traitement des eaux usées ou encore les énergies renouvelables telles que l'énergie solaire, éolienne,
hydraulique et la biomasse.
D. Les énergies renouvelables :

L’une des applications les plus courantes des technologies vertes est la production
d’énergie à partir de sources renouvelables.

Les énergies renouvelables peuvent être définies comme toute forme utile d’énergie
provenant d’une source renouvelable, dont la valorisation actuelle ne limite pas la disponibilité
future. Il existe diverses filières d’énergies renouvelables, qui permettent la production d’énergie
mécanique, d’énergie thermique et/ou d’électricité. Dans ce sens, on appelle les énergies
renouvelables ou énergies vertes toutes énergies dont la consommation n'aboutit pas à la diminution
des ressources naturelles, parce qu'elle fait appel à des éléments qui se recréent naturellement ;
exemple (la biomasse, l'énergie solaire, l'hydroélectricité et l'énergie éolienne…). Au contraire, les
combustibles fossiles et la fission nucléaire n'en font pas partie puisque les gisements connus de
ces formes d'énergie sont voués à disparaître plus ou moins rapidement. Ils sont donc considérés
comme des énergies fossiles. De plus, les énergies fossiles contribuent à la pollution de
l’environnement et au réchauffement climatique.

Avant d’entamer les différents types des énergies renouvelables, il est indispensable de
mettre en exergue leurs grandes familles. Dans ce sens, une énergie renouvelable quelconque doit
être fournie souvent par l’une de ces sources :

 Le soleil : énergie solaire thermique, énergie solaire photovoltaïque.


 Le vent : énergie éolienne.
 L’eau : énergies hydraulique, énergie marine, énergie marémotrice.
 La biodégradation : biomasse.

a. L’énergie solaire

Le terme énergie solaire fait référence à l’utilisation de l’énergie solaire. En installant des
panneaux solaires et d’autres systèmes, cette énergie peut être utilisée pour convertir la lumière du
soleil en énergie thermique ou encore en énergie électrique. L’énergie solaire est une solution fiable
et performante, qui contribue aux besoins énergétiques tout en réduisant les émissions de CO2. Elle
participe au développement des énergies renouvelables dans le mix énergétique français que l’État
prévoit de verdir dans l’avenir. De plus, le développement de l’énergie solaire s’accélère grâce à
l’amélioration des technologies et à la baisse des coûts de fabrication des cellules photovoltaïques.

L’énergie solaire est l’énergie contenue dans le rayonnement solaire. Ce type d’énergie
renouvelable est généré par des réactions de fusion nucléaire dans le Soleil. Le rayonnement se
déplace vers la Terre à travers le rayonnement électromagnétique et peut ensuite être utilisé.

 L’élément chargé de capter le rayonnement solaire et de le transformer en énergie utile est


le panneau solaire. Les panneaux solaires peuvent être de différents types selon le
mécanisme choisi pour l’utilisation de l’énergie solaire :
Au moyen de capteurs solaires thermiques (énergie solaire thermique)

 Utilisation de panneaux solaires photovoltaïques (énergie solaire photovoltaïque)

 Sans élément extérieur (énergie solaire passive).


b. L’énergie éolienne

L’énergie du vent ou énergie éolienne est l’énergie cinétique des masses d’air en
mouvement autour du globe. La racine étymologique du terme « éolien » provient du nom du
personnage mythologique Éole, connu en Grèce antique comme le maître des vents.

L’énergie éolienne est une forme indirecte de l’énergie solaire : les rayons solaires absorbés
dans l’atmosphère entraînent des différences de température et de pression. De ce fait les masses
d’air se mettent en mouvement et accumulent de l’énergie cinétique. Celle-ci peut être transformée
et utilisée à plusieurs fins :

 La transformation en énergie mécanique : le vent est utilisé pour faire avancer un


véhicule (voilier ou char à voile), pour pomper de l’eau (éoliennes de pompage pour
irriguer ou abreuver le bétail) ou pour faire tourner la meule d’un moulin ;
 La production d'énergie électrique : l’éolienne est couplée à un générateur
électrique pour créer du courant continu ou alternatif. Le générateur est relié à un réseau
électrique ou bien fonctionne au sein d'un système « autonome » avec un générateur
d’appoint (par exemple un groupe électrogène), un parc de batteries ou un autre dispositif
de stockage d'énergie. Une éolienne produisant de l'électricité est parfois qualifiée
d’aérogénérateur.

L’énergie éolienne est une énergie renouvelable qui n'émet pas directement de gaz à effet
de serre en phase d’exploitation.
c. L’énergie hydraulique

L’énergie hydraulique est une forme d’énergie renouvelable qui est produite par le
mouvement de l’eau. Elle est considérée comme une énergie propre et non polluante, car elle ne
produit pas de déchets ou de gaz à effet de serre. L’énergie hydraulique peut être utilisée pour
produire de l’électricité, mais elle peut également être utilisée pour le chauffage, le refroidissement,
le transport et d’autres applications.

Les centrales hydrauliques fonctionnent en faisant circuler de l’eau à travers une turbine,
ce qui entraîne un générateur qui produit de l’électricité. L’énergie hydraulique peut être utilisée
pour alimenter des villes et des villages entiers, et elle est souvent utilisée comme source d’énergie
de secours en cas de panne d’électricité.

L’hydraulique est une technique utilisée depuis longtemps dans le domaine de l’irrigation
et de la production d’électricité. Aujourd’hui, cette énergie renouvelable représente environ 10 %
de la production mondiale d’électricité. Elle est produite à partir de l’eau, un élément essentiel à la
vie, et elle ne produit pas de déchets ou de gaz à effet de serre.
L’hydraulique a donc un impact positif sur l’environnement, car elle permet de réduire la
consommation d’énergie fossile et les émissions de gaz à effet de serre. De plus, elle ne nécessite
pas de grandes installations et peut être mise en place dans des zones isolées.

d. La biomasse

La biomasse désigne l’ensemble des matières organiques pouvant se transformer en


énergie. On entend par matière organique aussi bien les matières d’origine végétale (résidus
alimentaires, bois, feuilles) que celles d’origine animale (cadavres d’animaux, êtres vivants du sol).

Il existe trois formes de biomasse présentant des caractéristiques physiques très variées :

 Les solides (ex : paille, copeaux, bûches) ;


 Les liquides (ex : huiles végétales, bio alcools) ;
 Les gazeux (ex : biogaz).

La biomasse est une réserve d'énergie considérable née de l’action du soleil grâce à la
photosynthèse. Elle existe sous forme de carbone organique. Sa valorisation se fait par des procédés
spécifiques selon le type de constituant.
La biomasse est parfois considérée comme une source d'énergie renouvelable uniquement
si sa régénération est au moins égale à sa consommation (par exemple, l’utilisation du bois ne doit
pas conduire à une diminution du nombre d’arbres).

e. La gestion des déchets :

Les technologies vertes peuvent également être utilisées pour la gestion des déchets. Par
exemple, les technologies de méthanisation permettent la production de gaz à partir des déchets.
Les déchets peuvent également être récupérés pour être recyclés et réutilisés.

La méthanisation est un processus de décomposition de matières pourrissables


(putrescibles) par des bactéries qui agissent en l’absence d’air. On nomme ce processus de
décomposition « fermentation anaérobie ».

La méthanisation est un procédé complexe. Le principe est le suivant : les déchets


organiques sont stockés dans une cuve cylindrique et hermétique que l’on appelle « digesteur » ou
« méthaniseur » dans laquelle ils sont soumis à l’action de micro-organismes (bactéries) en
l’absence d’oxygène. Les réactions biologiques mises en jeu par la méthanisation sont complexes
mais globalement on repère trois grandes étapes :

 L’hydrolyse et l’acidogénèse : les chaînes organiques complexes (protéines, lipides,


polysaccharides) sont transformées en composés plus simples (acides gras, peptides,
acides aminés) ;
 L’acétogénèse : les produits de l’acidogénèse sont convertis en acide acétique ;
 La méthanogénèse : l’acide acétique est transformé en méthane et en gaz carbonique.

Une fois méthanisée, la matière résiduelle (digestat) est stockée.Il existe également un
procédé physique, la méthanation, qui, par gazéification de biomasse sèche, généralement du bois,
sous l’effet de la température, conduit à la production de méthane, de gaz de synthèse et de CO2.
Ce procédé, dont une version primitive était à la base des gazogènes utilisés pour la traction
automobile pendant la Seconde Guerre mondiale, est en cours de développement pour la production
de méthane « vert ».
f. Le traitement des eaux usées :

Le traitement des eaux usées est un enjeu majeur pour notre société moderne. En effet, les
activités humaines produisent chaque jour d’importantes quantités d’eaux polluées qui doivent être
dépolluées avant de pouvoir être rejetées dans la nature. Ici, vous découvrirez les principales
méthodes et techniques utilisées pour traiter ces eaux afin de préserver l’environnement et notre
santé.

Il existe plusieurs procédés et techniques permettant de traiter les eaux usées et de réduire
leur impact environnemental. Les voici :
1. Le prétraitement, qui consiste à éliminer les gros déchets et les matières solides (sable,
graviers) du flux d’eaux usées afin de préparer ces dernières à l’étape suivante.

2. Le traitement primaire, qui a pour objectif de séparer les matières solides en suspension
dans l’eau par décantation ou flottaison.

3. Le traitement secondaire, qui vise à éliminer les matières organiques présentes en grande
majorité dans les eaux usées. Parmi les techniques fréquemment utilisées pour ce faire, on
peut citer la méthode des boues activées, la digestion anaérobie, les lits bactériens ou
encore le lagunage naturel.

4. Le traitement tertiaire, qui traite spécifiquement les substances azotées et phosphorées


résiduelles ainsi que certains métaux lourds présents dans l’eau. Cette étape permet en
outre de désinfecter l’eau avant son rejet dans le milieu naturel.
E. Commercialisation :

La commercialisation est le processus de promotion et de vente de produits ou services.


Dans ce cadre précis elle consiste à la promotion d’une économie responsable et verte car
écoresponsable. Elle englobe :

 Travail de recherche et développement : Initialement il faudrait procéder à des recherches


poussées pour déterminer les informations sur les impacts de la technologie sur son environnement
si nécessaire corriger les problèmes potentiels ou déjà rencontré dans cette phase. Du design
(conception) à la production on doit garder à l’esprit l’écosystème d’abord (écologie).
 La recherche de marché et évaluation de viabilité : Les entreprises veulent savoir ce que les gens
veulent vraiment, quelles sont leurs habitudes et leurs préférences. Concernant l‘évaluation de
viabilité du produit, service et/ou solution sur le marché, il est important pour toute entreprise de
procéder à ces études sinon elle risque de courir à sa perte et des investissements qui partiront en
fumée.
 La publicité : La recherche des publicités, c'est un peu comme trouver la meilleure recette pour
attirer l'attention des gens. Les entreprises veulent savoir ce qui fonctionne, quelles idées font
sourire ou réfléchir, pour créer des annonces qui captivent.
 La tarification : La recherche de la tarification, c'est comme résoudre une énigme financière. Les
entreprises veulent fixer les prix de leurs produits ou services de manière à ce que les clients
soient heureux de payer et que l'entreprise reste rentable et c’est un peu comme trouver l’équilibre
parfait.
 La distribution : c’est comme planifier un voyage pour que tout le monde puisse facilement
obtenir ce dont qu’il a besoin. Les entreprises veulent s’assurer que leur produit ou services
atteignent les clients de manière pratique.
 Communication et marketing : La communication efficace est cruciale pour sensibiliser le public
aux avantages environnementaux de la technologie verte. Cela peut impliquer des campagnes
publicitaires, des relations publiques, la participation à des événements et l'utilisation des médias
sociaux pour informer et éduquer le marché. Et aussi établir des relations avec des organes
écologiques et ou des gouvernements qui encourages l’économie verte.
 Apports (investissements) : Pour bien mener les recherches et les projets de technologies vertes
demandent de moyen tant qu’elles demandent des recherches pour évaluation et validation des
normes et pour éventuellement servir à des projets connexes ou de l’innovation. Et donc il faudrait
avoir ses capitaux ou chercher d’investisseur et de nos nombreux organes et gouvernements
subventionnent les projets écoresponsable car voulant tendre vers une économie verte, entièrement
responsable de l’environnement.

Et d'autres activités visant à maximiser la demande et la rentabilité d'un produit ou service


sur le marché comme former ses employés pour une efficacité de production et expertisassions. Si
possible documentés ses recherchent pour des prises de décisions à l’avenir. Pour la
commercialisation de technologies vertes il est impératif de procéder par une vision globale du
projet jusqu’au marketing et la communication dans toutes ses phases de la conception à la mise
en œuvre de la production/services à commercialiser.

Pour ce faire, il est important de noter qu’aucune technologie ne peut être sur le marché
sans certifications de conformité aux normes internationales ISO 14001 et/ou ses variantes, et la
technologie en question doit au moins respecter une de normes. Si possible avoir un brevet pour la
propriété.
F. Promotion de technologies vertes :

Depuis le « crache pétrolier » et l’avènement de mouvements politiques, et purement


écologiques, beaucoup gouvernements et organisations se sont mise à fortement encourager la
transition vers une économie verte. Il existe plusieurs sommets, organes de l’ONU, ONG qui en
effet sont là pour promouvoir l’éco-responsabilité afin de garantir une transition efficace vers les
technologies vertes et définir une économie verte.

a. ONG Organisation Non Gouvernementales

La promotion par les organisations internationales non gouvernementales (ONG) vise à


sensibiliser et mobiliser le grand public autour de questions sociales, environnementales ou
humanitaires. Ces ONG utilisent divers canaux tels que les médias sociaux, les campagnes en ligne,
les événements, et parfois des partenariats avec d'autres organisations pour diffuser leur message
et encourager l'engagement. On peut donc citer parmi elles :

 Greenpreace : une organisation internationale qui vise à lutter contre le dérèglement


climatique
 WWF : World Wildlife Fund fond de financement et pour la promotion de de
l’environement.

b. Organes de l’ONU

La promotion par les États et les organes de l'ONU (Organisation des Nations Unies)
implique la diffusion d'informations et la sensibilisation du public à des enjeux mondiaux tels que
la paix, les droits de l'homme, le développement durable, etc. Ces entités utilisent divers moyens,
notamment les discours officiels, les déclarations, les campagnes médiatiques et les initiatives
éducatives pour communiquer leurs objectifs et mobiliser le soutien de la communauté
internationale. Nous pouvons citer COP21, le sommet de G20, le sommet européen pour la
transition écologique.
G. La valeur ajoutée des technologies vertes dans les différents domaines

a. Agriculture

Les technologies vertes peuvent également être appliquées à l’agriculture en utilisant


différentes techniques et pratiques agricoles telles que l’agriculture de précision, les cultures de
couverture, l’utilisation d’engrais organiques et la conservation de l’eau. Avec cela, les agriculteurs
peuvent améliorer la qualité du sol, augmenter leur rendement tout en réduisant les impacts
environnementaux.

L’énergie verte permet de diminuer notre dépendance aux combustibles fossiles, ce qui est
vraiment chouette pour l’agriculture ! En utilisant des sources d’énergie renouvelables telles que
l’énergie solaire et éolienne, les agriculteurs peuvent réduire leur consommation de combustibles
fossiles.

Cela signifie moins de pollution atmosphérique et une empreinte carbone plus faible pour
l’agriculture. De plus, en utilisant des systèmes d’énergie verte tels que les panneaux solaires ou
les éoliennes pour générer de l’électricité, les agriculteurs peuvent économiser sur leurs factures
d’énergie. Cela peut libérer des ressources financières supplémentaires pour investir dans des
technologies agricoles durables, améliorant ainsi la productivité et la rentabilité à long terme.

En réduisant notre dépendance aux combustibles fossiles grâce à l’utilisation de l’énergie


verte, nous pouvons créer un avenir agricole plus durable et respectueux de l’environnement.
c. La construction verte ou NZEB

Il n’existe pas de définition officielle de ce qu’est une construction verte, appelée aussi
construction durable ou construction écologique. Le concept peut ainsi paraître assez flou et laisser
place à l’appréciation de chacun en fonction des critères qui lui semblent les plus importants.

Toutefois, il est possible de définir une construction écologique comme étant une habitation
ayant pour objectif de respecter l’environnement. Pour cela, elle sera étudiée pour réduire son
impact environnemental en termes de pollution et de consommation d’énergie.

Cette définition générale permet de déterminer les contours du concept de construction


écologique. Avec la transition écologique il y a une multiplication des constructions vertes et des
concepts de bâtiments écologiques intelligents émergent. Pour aller plus loin, il est nécessaire de
prendre en compte certains aspects.

Certains critères font l’unanimité quand il s’agit de construction écologique. Nous pouvons
ainsi citer :

 La conception tient compte de l’environnement direct de la construction écologique pour


assurer son intégration (design et optimisation des ressources en termes de luminosité par
exemple).
 Le choix de matériaux naturels, recyclables et le moins polluants possibles notamment
pour l’isolation thermique. Les matériaux locaux seront également privilégiés.
 La sélection des équipements veille à retenir des systèmes qui limitent la consommation
d’énergie et de ressource.
 La réduction des déchets est sans cesse recherchée de la conception, à l’utilisation de la
construction écologique en passant par la réalisation du chantier.
 L’isolation thermique se veut la plus efficace possible (isolation naturelle, choix des
fenêtres, etc.).
 La durabilité de la construction est également essentielle afin d’avoir une solution pérenne.

Il existe donc une base commune aux différentes constructions écologiques même si
l’ensemble de ces critères n’est pas toujours réuni dans sa totalité.
Il existe de nombreux exemples de projets réussis qui intègrent les énergies renouvelables
dans la construction durable. Par exemple, le One Angel Square à Manchester, au Royaume-Uni,
est un bâtiment à énergie zéro qui utilise des panneaux solaires et une pompe à chaleur
géothermique pour répondre à ses besoins énergétiques. Ce bâtiment a été conçu pour minimiser
sa consommation d’énergie et maximiser l’utilisation des énergies renouvelables.

Un autre exemple est le parc éolien offshore de Block Island, aux États-Unis. Ce projet a
permis de fournir de l’énergie propre à plus de 17 000 foyers, réduisant ainsi les émissions de gaz
à effet de serre de manière significative. Ces exemples démontrent le potentiel des énergies
renouvelables dans la construction durable et encouragent d’autres professionnels du bâtiment à
adopter ces pratiques.
d. Le transport durable

L'idée du développement durable est de nous permettre de répondre aux besoins actuels du
marché tout en préservant les ressources pour les générations futures. La prise de conscience du
changement climatique ne date pas d'hier. On peut dire que nous commençons petit à petit, à
prendre conscience de la dette que nous avons « contractée » envers notre planète car nous devons
payer à présent. Néanmoins, le problème affectera sans doute encore plus nos descendants – surtout
si nous ne nous attaquons pas aux problèmes écologiques plus tôt. Il est essentiel de changer les
industries qui, par leur nature même, sont nuisibles à l'environnement. Les transports en sont un
bon exemple – nous ne pouvons pas les éviter mais garder à l'esprit qu'ils ne sont pas tous
respectueux de notre planète sous leur forme actuelle. Il faut examiner ce secteur plus en détail et
veiller à ce qu'il réponde aux normes dites « écologiques ».

La notion de transport durable désigne un transport respectueux de l'environnement. Il aide


à préserver la santé publique, les écosystèmes et les ressources renouvelables utilisées. Le transport
public implique une prise de conscience de la part de tous les acteurs du transport qui doivent
s'engager dans le développement durable. L'association du développement durable avec le transport
passe en effet par l'amélioration de la technologie des véhicules et de tous les types de moyens de
transport. Le transport durable concerne aussi l'aménagement du territoire, l'organisation des villes
en matière de transports en commun, la sensibilisation des acteurs et des consommateurs à adopter
un mode de vie écologique, etc.

L'objectif de toutes ces démarches reste le même. Il s'agit de réduire les impacts des
moyens de transport sur l'environnement.

À plus long terme, le transport durable n'implique pas seulement des mesures visant à
réduire les émissions. Il est également important de mettre en œuvre des solutions appropriées dès
le début de la conception d’un véhicule, surtout si l'on considère que l'industrie automobile joue un
rôle dans la production de gaz à effet de serre. L'application de normes environnementales à chaque
étape du produit (cycle de vie) joue un rôle de plus en plus important. Il est essentiel d'évaluer
l'impact dès le début du développement d'une solution automobile. Dans la plupart des cas, il est
possible d'utiliser des matériaux plus écologiques et de développer des méthodes de production
plus économiques et sans générer déchets
Conclusion

Enfin les technologies vertes représentent un nouveau souffle pour l’environnement et


l’écosystème du fait de l’immense promotion qu’elle reçoit et aussi par le fait que la philosophie
derrière ce concept est de produire plus de produits pour satisfaire le marché toujours très
demandeur tout en gardant à l’esprit que l’on doit minimiser les risques de pollution de
l’environnement. Dans notre cadre d’étude nous allons étudier un concept Allemand de camion
électrique roulant comme des trains.
II. Camion électrique de ferroutage

Introduction

Le ferroutage est mode de transport qui combine les technologies et infrastructures à la fois
de routières et ferroviaires dans l’optique de réduire la pollution de l’air car électriques. Depuis
quelques années l’Allemagne et la suède l’expérimente, il est combiné à un réseau électrique
d’environ 750 volts de tension. Tout cela dans l’optique de faire plus (transporter le maximum de
produits) avec moins de dégât sur l’environnement.
A. Camion classique vs électrique

Un camion électrique utilise un moteur électrique qui consomme de l’énergie électrique.


Les batteries stockent l’énergie électrique nécessaire au fonctionnement du camion ce qui
détermine son autonomie. Il consomme l’ED95 composé de plus de 90% d’éthanol permettant une
décarbonatation du carburant.

Un camion thermique est un véhicule tout simplement équipé d'un moteur essence ou d'un
moteur diesel, qui sont les deux types de moteurs que l'on retrouve le plus sur nos routes ces
moteurs consomment une énergie à combustion.

a. Entretien

Ces véhicules électriques nécessitent un entretien différent des camions à moteur à


combustion qui est plus et coûteux et plus complexe. Il faudra que les entreprises entretiennent bien
les composants électriques de leur véhicule pour garantir le bon fonctionnement et la durabilité des
véhicules. Ils ne nécessitent pas de vidanges ou de remplacement de bougies ou des différents
filtres

b. Environnement

Selon l’agence Européenne pour l’environnement en 2016, toutes les émissions de CO2
produites par les transports sont dues à 33% des émissions à gaz à effet de serre dans le monde en
ce sens les camions sont responsables de 14% d’émissions parmi les transports. Les camions
électrique en prenant en compte le processus de fabrication et selon les chiffres avancés, un camion
électrique de 40 tonnes émet 63% de gaz à effet de serre de moins qu’un camion diesel sur
1,3million de km parcourut en prenant l’en compte la production d’électricité renouvelable les
émissions pourraient être réduit à 84%. Les camions électriques disponible produisent à peu près
18050kg de co2 pour un camion classique qui produit 50330kg de co2
B. Concept créatif

Le concept derrière les camions électriques est qu’ils sont conçus de telle sorte qu’ils :

 Prise d’élan électrique : le camion se déplace grâce à son moteur électrique alimenté par
de batteries électriques et économise ainsi de l’énergie car dépourvu de rejet de gaz
d’échappement.
 Diffusion quasi nulle : Certains des avantages des camions électriques est qu’ils ne sont
pas émetteurs de bruit ni de gaz grâce aux batteries qui constitue leur principale source
d’énergie. Leur usage avec les énergies renouvelables fait d’eux d’excellentes technologies
vertes car leur nuisance pour l’écosystème devient très négligeable.
 Exploitent peu de ressources : à long terme leur exploitation est beaucoup plus rentable,
car provoquent peu de coûts d’exploitation, et génère peu de dépenses lié aux combustible
contrairement à camions classique.
 Technologies de pointes : Ils sont souvent dotés de technologies émergentes, et
écoresponsable (verte) et embarquent des systèmes un pilote de conduite autonome. Les
progrès technologiques dans le domaine de batteries, augmentent leur autonomie, en les
rendant attractif et compétitif sur le marché.
o Pantographe intelligent : une innovation sans précédent pour les camions qui
s’actionne au besoin. Et permet une diminution drastique de l’émission du CO2
o Des batteries : extrêmement efficace, servant à l’alimentation du moteur et du reste
des systèmes.
C. Design

La structure des camions actuel sont dépassé en exploitant les possibilités des technologies
d’IA et d’e-mobilité avec une réadaptation des tailles de véhicules grâce à la taille compacte des
nouvelles batteries. Les camions électriques de 2030 devront être capable d’avoir plus de mobilité
de mouvement une réduction de risque pour les manœuvres ces camions devront être libre de toute
restrictions. Ils répondent à une demande de silence dans les villes.
D. Commercialisation :

La commercialisation des camions électriques est en pleine expansion offrant une


alternative plus écologique aux véhicules traditionnels à combustion. Les avantages économiques
et environnementaux tels que la réduction des coûts de carburant et des émissions attirent de plus
en plus d'entreprises vers cette technologie. Les progrès dans la conception des batteries et les
incitations gouvernementales contribuent à stimuler cette transition vers une logistique plus
respectueuse de l'environnement.

Les véhicules électriques sont comme les héros silencieux de la route. C'est comme si elles
avaient un superpouvoir qui rend les trajets plus propres et plus sympas pour la planète
Conclusion générale

Pour conclure, le besoin en technologies vertes est de conséquence de la pollution, du


réchauffement climatique, de certaines décisions politiques et du tarissement des ressources et
gisements pour tendre vers une des solutions écoresponsables et alternatives à l’usage des énergies
fossiles. Ainsi la réalisation d’une technologie verte suit tout un processus de la conception à
l’étude de marché à la commercialisation tout faisant attention à toutes les étapes conceptuelles ce
qui veut dire donc procéder à des études et documentation pour chaque étape de la mise en œuvre
de la technologie et aussi elles ont le devoir d’être conforme aux normes internationales ISO 14001.
Ensuite dans le cadre de notre étude sur les camions électriques nous aboutissons à une réduction
d’émission de gaz à effet de serre (CO2) en fournissant une solution pour une transition écologique
efficace dans le domaine de transport avec ses 14% d’émission de CO2 par annuel.
Bibliographie

Mecalux.fr

Faq-logistique.com

Chargeguru.com

Le point

https://www.lepoint.fr/automobile/l-allemagne-experimente-une-autoroute-electrique-a-catenaire-
21-09-2017-2158587_646.php#11

forum sara

http://forum.sara-infras.fr/viewtopic.php?f=19&t=8492&start=20

supply chain info

https://www.supplychaininfo.eu/ferroutage/

caradisiac

https://www.caradisiac.com/des-autoroutes-a-catenaires-pour-camions-electriques-en-france-
202248.htm

https://www.caradisiac.com/la-suede-teste-la-catenaire-pour-les-poids-lourds-108808.htm

https://www.caradisiac.com/la-suede-teste-la-catenaire-pour-les-poids-lourds-108808.htm

FCCQ

https://www1.fccq.ca/technologies-vertes-investissement-encourager-linnovation-technologique-
transition-energetique-entreprises/

CNUCED
https://unctad.org/fr/news/technologies-vertes-il-faut-des-politiques-coherentes-pour-que-les-
pays-en-developpement

Faster capital

https://fastercapital.com/fr/contenu/Technologie-verte---ouvrir-la-voie-a-la-nouvelle-
economie.html

Résumé Livre sur les Technologies vertes 2022

https://www.wipo.int/edocs/pubdocs/fr/wipo-pub-1080-exec-summary-fr-green-technology-
book.pdf

OMPI

https://www.wipo.int/wipo_magazine/fr/2014/01/article_0002.html

CAIRN.INFO

https://www.cairn.info/revue-d-economie-du-developpement-2015-4-page-129.htm?ref=doi

Open edition

https://journals.openedition.org/rei/5576

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